LES ACCIDENTS DE DÉCOMPRESSION N4. Novembre 2011 Marc RAULIN - MF2 N 1814 NITROX N CTD77
|
|
- Julie Marier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 1
2 Introduction Premières études remontent au 19ème siècle, font toujours l objet de recherches par le corps médical. Touche toutes les populations de plongeurs, quels que soient le niveau, la technicité, l âge, la condition physique, la profondeur, la durée Le rôle du N4, futur enseignant, est primordial dans la prévention de ce type d accident. Les objectifs pour le N4 : Comprendre ce qui se passe Connaître les facteurs favorisants Pouvoir reconnaître les ADD Savoir comment les traiter Apprendre à éviter ces accidents. Sans jamais oublier, qu il s agit d accidents majeurs qui peuvent parfois être graves, voire fatals. 2
3 Rappels Les mélanges gazeux : Loi de Dalton : à température donnée, la pression d un mélange gazeux est égale à la somme des pressions qu auraient chacun des gaz s il occupait seul le volume total. Justification de la quantité de N 2 dissoute en fonction de sa concentration dans l air La dissolution des gaz : Loi de Henry : à température donnée et à saturation, la quantité de gaz dissoute dans un liquide est proportionnelle à la pression du gaz audessus de ce liquide. Justification du rôle du temps et de la profondeur dans le principe de dissolution et d élimination de N 2 La compressibilité des gaz : Loi de Mariotte : à température donnée, le volume d un mélange gazeux est inversement proportionnel à la pression qu il subit. Justification du rôle mécanique dans le déroulement de l ADD 3
4 Différence de Pp ou tension entre deux tissus Echanges gazeux Dissolution N 2 Poumons (alvéoles) => Sang => Tissus (cellules). Élimination N 2 Tissus (cellules) => Sang => Poumons (alvéoles). N 2 reprend sa forme gazeuse dans le sang (micro bulles circulantes) Les états de saturation Plongée Surface Pression P atm Mécanismes 1/5 État Saturation Mvts N 2 Équilibre Tension N 2 + Relation = Pp N 2 + Descente Augmente Sous-saturation Dissolution ++ < +++ Fond Variable Sous-saturation Tend vers saturation Dissolution +++ < ++++ Exploration Variable Saturation Équilibre ++++ = ++++ Remontée Diminue Sursaturation Élimination +++ > ++ Surface P atm Sursaturation Tend vers saturation Élimination ++ > + Surface + 12 h P atm Saturation Équilibre + = + 4
5 Mécanismes 2/5 Les procédures de décompression (tables ou ordinateurs) sont élaborées suivant un modèle «dit standard» pour : Une certaine quantité de N 2 dissoute en un temps donnée Une vitesse de remontée donnée Une certaine quantité de N 2 devant être éliminée à une profondeur et en un temps donnés. Cs = T N2 / P amb > CSC : Production micro-bulles en quantité très importante. Formation d agrégats bullaires soumis à la loi de Mariotte. Dégazage anarchique dans le sang : Élimination de N 2 insuffisante par le filtre pulmonaire Formation de bulles stationnaires, puis de manchons gazeux Obstruction de la circulation sanguine, anoxie des tissus Dégazage anarchique dans les tissus : Compression des tissus avoisinants (nerf, encéphale) Compression des vaisseaux, collapsus, arrêt circulatoire. Dilacération des tissus (lésion, déchirement). 5
6 Mécanismes 3/5 Encombrement du filtre pulmonaire 1 Augmentation PpN 2 alvéolaire 2 Diminution des échanges gazeux Filtre pulmonaire forcée 3 Bulles non éliminées cœur gauche 4 Ouverture de shunts cœur gauche Encombrement artère pulmonaire et cœur droit 5 Augmentation pression oreillette droite 6 Diffusion bulles par le foramen ovale oreillette droite oreillette gauche Augmentation pression veineuse en amont 7 Ralentissement circulation drainage tissus déficient, détresse ventil. 8 Formation manchons gazeux 9 Arrêts localisés de la circulation 10 Formation bulles dans les tissus 11 Zone sensible - Moelle épinière Accident neurologique médullaire
7 Mécanismes 4/5 Présence bulles dans le cœur gauche 1 Bulles remontent vers la crosse aortique Passage bulles dans 1 ou 2 carotides 2 Remontée vers l encéphale 3 Embolie cérébrale 4 Obstruction des capillaires, anoxie Accident neurologique cérébral Passage bulles dans artères coronaires 5 Embolie cardiaque 6 Blocage irrigation du muscle Nécrose, infarctus Passage des bulles dans la grande circulation 7 Artère, artériole, capillaire 8 Obstruction capillaire, ouverture shunts 9 Anoxie, nécrose des tissus en aval 10 Formation bulles dans les tissus 11 Diminution échanges gazeux cellulaires Appauvrissement O 2 et rejets N
8 Mécanismes 5/5 Maladie de décompression : Suite à la formation de manchons gazeux Réaction de notre organisme identique à sa réaction lors de la présence d un corps étranger (virus) Mise en place du système de défense immunitaire (attaque des globules blancs) Réaction de coagulation avec pour conséquence un épaississement du sang (idem blessure à l air libre) agrégat plaquetto-cellulaire Évasion d une partie du plasma hypo volémie sanguine 8
9 Causes Avant la plongée : Mauvaise condition physique, adiposité, fatigue, état psychique Certains médicaments, alcool, tabac, âge Pendant la plongée : Profondeur et durée de la plongée Plongée consécutive et successive Profil de plongée à risque (yo-yo, profil inversé) Augmentation du rythme cardiaque (Froid, Stress, Effort) Ventilation non contrôlée, essoufflement Remontée rapide (mauvaise maîtrise gilet, panne d air) Valsalva à la remontée Blocage de la ventilation => Surpression Pulmonaire Paliers non respectés, paliers interrompus (panne d air) Erreur décompression (ordinateur défectueux, tables non maîtrisées) Après la plongée : Apnée, effort violent, altitude, avion. 9
10 Symptômes 1/4 Accidents neurologiques - cerveau - moelle épinière Accidents cutanés - surface peau - sous la peau Accidents Cochléo-vestibulaires - oreille interne Accidents cardio-pulmonaires - cœur - poumons Accidents ostéo-arthro-musculaires - articulation - muscles 10
11 LES ACCIDENTS MAJEURS (78 % des accidents) Accidents Neurologiques Médullaires (Moelle épinière 45% majeurs) : Coup de poignard dans la région lombaire (bas du dos) Fourmillements dans les membres inférieurs Sensation de jambes lourdes, difficultés à se tenir debout Installation d une paraplégie (paralysie membres inférieurs) Rétention urinaire Test de Babinski (excitation voûte plantaire, extension orteils) Accidents Neurologiques Cérébraux (Cerveau 15% des majeurs) : Fatigue intense Sensation d angoisse Vertiges, vomissements Trouble parole, audition, vue Perte de sensibilité Hémi-para-tétraplégie (paralysie de tout type) Crise de convulsion épileptique Coma Symptômes 2/4 11
12 Symptômes 3/4 Accidents Cochléo-vestibulaires (Oreille interne 35% des majeurs) : Vertiges, nausées, trouble de l équilibre Sifflement, bourdonnement dans l oreille (Acouphène) Baisse de l acuité auditive Accidents Cardio-Pulmonaires (Cœur et Poumons 5% des majeurs) : Gêne respiratoire, douleur poitrine Détresse cardio-ventilatoire Arrêt ventilatoire Arrêt cardiaque, puis décès 12
13 Symptômes 4/4 ACCIDENTS MINEURS (4 % des accidents - rare en plongée loisir) Accidents Cutanés (apparition rapide) : Puces - Démangeaisons superficielles Moutons - Marbrures - Boursouflures Accidents Ostéo-arthro-musculaires (apparition 30 à plusieurs heures) : Bends Bulles dans le liquide synoviale - Douleurs vives aux articulations (épaule, coude, poignet, hanche, genoux, cheville) Groupe musculaire - Douleurs irradiantes et lancinantes Malaise général (effet de sludge) DELAIS D APPARITION DES SYMPTÔMES De 0 à 30 De 30 à 1h De 1h à 3h De 3h à 6h De 6h à 12h => pour 50 % des accidents => pour 35 % des accidents => pour 10 % des accidents => pour 4 % des accidents => pour 1 % des accidents 13
14 Prise en charge de la victime : Consciente Traitements 1/2 => Position de confort Inconsciente et ventile => LVA * + PLS * Inconsciente et arrêt ventilatoire => LVA * + VA * + MCE * LVA : Libération des voies aériennes ; PLS : Position latérale de sécurité ; VA : Ventilation artificielle ; MCE : Massage cardiaque externe * Traitement par Oxygène pur normobare (débit 15l/min) : Élément Vital!!! Si ventilation => Inhalation O 2 au masque Si arrêt ventilatoire => Insufflation O 2 au BAVU Traitement fluidifiant si victime consciente et aucune gène ventilatoire : Eau plate, 1/2 litre par 1/2 heure (si pas de rétention urinaire) 5mg/kg d aspirine avec 500 mg maximum (si non allergique) Procédure d évacuation : Alerter les secours, relever les paramètres de plongée et le matériel Remplir une fiche d évacuation Faire évacuer la victime vers un hôpital hyperbare (caisson) 14
15 Traitements 2/2 15
16 Préventions 1/2 ÉLIMINER TOUS LES FACTEURS FAVORISANTS mais aussi Avant la plongée : Prendre connaissance de la configuration du site de plongée Analyser les conditions de plongée (visibilité, courant, température) Planifier la plongée (profondeur, durée, remontée, paliers) Séjour - conserver la même procédure de décompression Ne jamais plonger sans ses tables (ordinateur défectueux) Ne jamais passer des tables vers l ordinateur entre deux plongées Faire une plongée de réadaptation (profondeur limitée, progressive) Privilégier les plongées dans la courbe ou avec peu de palier (< 10 ) Faire la seconde plongée moins profonde que la première Pendant la plongée : Savoir adapter la plongée aux conditions réelles dans l eau Se tenir à la planification prévue (autant que possible) Éviter les comportements risqués (yo-yo, profil inversé, panne d air) Respecter les procédures de décompression (vitesses et paliers) 16
17 Préventions 2/2 Pendant la plongée : Maîtriser les procédures et calculs de décompression aux tables Prendre la procédure la plus pénalisante de la palanquée Si indicent de plongée (remontée rapide, essoufflement, narcose) ou plongée technique, passer aux tables Si condition défavorable (froid, effort, stress) ou incident de plongée ou plongée technique, majorer les paliers Si ventilation à deux sur un embout, doubler le temps des paliers Faire au moins un palier de 3 à 3m (si possible - sécurité) Un palier à 3m doit être fait entre 3,5 et 5m (houle) A l ordinateur, un palier à 3m peut être fait à 6m Après la plongée : Privilégier un intervalle minimum de 4h pour une successive Pas plus de deux plongées par 24h Ne pas faire d excursion en altitude Séjour - faire une pause tous les 3 ou 4 jours - dé-saturation complète Ne pas plonger durant 12h avant de prendre l avion 17
18 Conclusion 1/5 CAUSES FACTEURS SYMPTÔMES Remontée rapide Paliers non respectés, interrompus, erreur décompression Froid, stress, efforts, essoufflement Plongée consécutive et successive Profil de plongée à risque (yo-yo, profil inversé, profonde) Fatigue, médicaments, alcool État de malaise, vertiges, douleurs, difficulté ventilatoire Signaler les immédiatement pour éviter l aggravation TRAITEMENTSAgir très vite pour éviter l aggravation de l accident O2 pur à 15l/min, ne jamais interrompre un traitement Connaître la procédure d évacuation PRÉVENTIONS Maîtrise de l autonomie pour éviter la panne d air Ne jamais plonger sans tables et maîtriser son ordinateur Maîtrise des procédures et calculs aux tables Se maintenir en bonne condition physique 18
19 Conclusion 2/5 Ne négligez aucun acte de prévention, avant, pendant et après la plongée Le simple fait de respecter une procédure de décompression ne suffit pas à se préserver d un accident de décompression Nous ne sommes pas égaux devant l accident de décompression, que ce soit d une personne à l autre, mais aussi et surtout d une plongée à l autre Ne négligez aucun symptôme et suggérer à vos plongeurs de se manifester immédiatement en cas de doute auprès de vous Les autres membres de la palanquée de la victime doivent être surveillés avec attention, et dans tous les cas, être évacués avec la victime pour subir des examens médicaux et éventuellement un traitement hyperbare Le N4 est un encadrant, qui doit être un exemple pour les plongeurs. Par sa communication et son discours, il doit éduquer les plongeurs pour que la prévention devienne un réflexe dans leurs expériences futures. 19
20 Conclusion 3/5 Quelques Chiffres sur les accidents : 350 / an dont 18 décès et 35 séquelles (sources accidentologie par B Grandjean Dernière édition 2005) Répartition par Niveau Cumul P0 P1 P2 P3-P5 Moniteur 100% 2% 11% 25% 44% 18% Répartition par Profondeur Cumul 0-5m 5-30m 30-40m 40-60m Au-delà Inconnu DO NT Incompatible avec le niveau 100% 2% 36% 29% 27% 4% 2% 5% Répartition par Type d'accident Cumul ADD médulaire ADD cérébral ADD labyrintique ADD ostéo ADD Baro et SP Incident Autres 100% 36% 11% 27% 4% 78% 4% 14% 4%
21 Conclusion 4/5 Défaillance des Secours Répartition par Protocole de Désaturation Sur la Base de O2 en cause Négligence Accidenté Aspirine en cause Cumul Tables Ordinateur Dont avec facteur Inconnu 100% 53% 45% 53% 100% 0% 94% 50% 6% Cumul 100% Répartition par Type de Plongée Technique 24% Explo avec erreur procédure 18% Explo avec respect procédure 58% Cumul 100% Technique : Répartition par Cause Yoyo R Rapide Succ/Inv 46% 38% 8% Autres 8% Cumul 100% 49 Explo avec Erreur : Répartition par Origine P Air 30% 15 Gestion Matériel 20% 10 Lestage 10% 5 Inconnu 40% 20 Explo avec Erreur : Répartition par Type Erreur Cumul R Rapide Paliers Yoyo Autres 100% 30% 20% 20% 30% Explo avec Respect : avec/sans Facteur Explo avec Respect : Répartition par Type Facteur Cumul Sans Facteur Avec Facteur Cumul Fatigue Effort Succ Obésité Valsalva 100% 60% 40% 100% 47% 15% 15% 8% 15%
22 Conclusion 5/5 22
1. Les barotraumatismes
Dans le cadre de votre formation niveau 3 de plongeur subaquatique, nous allons traiter les accidents de plongée. Pourquoi commencer par ce cours? Ce n est pas pour vous faire peur, mais plutôt pour vous
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailII. REVOD Plongée à l ordinateur. Septembre 2010. Plan de l exposé
1 Décompression II. REVOD Plongée à l ordinateur Septembre 2010 Plan de l exposé Introduction Typologie de la décompression: No déco Déco légère Déco Lourde La planification Les profils de plongée Le palier
Plus en détailQu est-ce que la fibrillation auriculaire? (FA)
Qu est-ce que la fibrillation auriculaire? (FA) Qu est-ce que la fibrillation auriculaire? La fibrillation auriculaire (FA) est le trouble du rythme le plus répandu. Certains signaux du cœur deviennent
Plus en détailLA PERTE DE CONSCIENCE
CES QUELQUES NOTIONS PEUVENT SAUVER DES VIES. PENSEZ Y SV D URGENCES Pompiers et service médical urgent : 100 Police : 101 L'HEMORRAGIE Comment reconnaître une hémorragie? Le sang s'écoule abondamment
Plus en détailNotions physiques Niveau 2
14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détail& BONNES POSTURES TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES. Le guide. Guide offert par la MNT
A5-MNTrefonte.indd 1 28/07/2011 08:28:01 & BONNES S TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES Le guide Guide offert par la MNT A5-MNTrefonte.indd 2 28/07/2011 08:28:02 SOULEVER UN OBJET LOURD OU UNE PERSONNE
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailLivret de Certification. Plongeur Niveau 2 ISO 24801-2
Livret de Certification Plongeur Niveau 2 ISO 24801-2 Nom du stagiaire : Nom de la structure :.. Tampon PLONGEUR NIVEAU 2 CMAS** / NF-EN 14153-2 / ISO 24801-2 I DÉFINITION DU NIVEAU Plongeur confirmé qui
Plus en détailManuel de l ergonomie au bureau
Manuel de l ergonomie au bureau 1 Manuel préparé par le Service environnement, santé et sécurité de l Université Concordia. Pour tout complément d information sur l ergonomie, les étirements et les autres
Plus en détailLE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport
LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport LES FEMMES ET LE SPORT LES FEMMES ONT LE CŒUR MOINS SENSIBLE Moins de maladie cardiovasculaire protection hormonale sauf tabac + pilule LES
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailPROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc
CONGRES UCL DE MEDECINE GENERALE 1 juin 2013 PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc Philippe Mahaudens, PhD Faculté des sciences de la motricité UCL Service de Médecine Physique et Réadaptation, Saint-Luc
Plus en détailQu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)?
Qu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)? Symptômes et atteintes qui touchent principalement ces structures : nerfs muscles tendons ligaments articulations vaisseaux sanguins Cela peut se produire
Plus en détailLivret de Certification Plongeur niveau 1
Livret de Certification Plongeur niveau 1 Supervised Diver 20m ISO 24801-1 Nom du stagiaire : Nom de la structure :.. Tampon PLONGEUR NIVEAU 1 Supervised Diver 20m ISO 24801-1 I DÉFINITION DU NIVEAU Plongeur
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailDiabète de type 1 et haute montagne. Revue de la littérature
Diabète de type 1 et haute montagne Revue de la littérature Contre-indications absolues Diabète mal équilibré : hypoglycémies sévères mal ressenties, acido-cétose. Présence de complications du diabète
Plus en détail2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques
2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques Les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès au Canada. Bien que leur incidence ait diminué au cours des dernières
Plus en détailQu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)?
Qu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)? Ensemble de symptômes et d atteintes qui touchent principalement : nerfs ligaments tendons vaisseaux sanguins articulations disques intervertébraux muscles
Plus en détailEn souvenir du P r Olivier Dizien, décédé le 1 er juillet 2007
En hommage au D r Marc Maury, ancien médecin chef du CRM de Fontainebleau et ancien vice-président de l APF, pour son œuvre sur la paraplégie et son action au service du rapprochement associations / médecine
Plus en détailSuva Sécurité durant les loisirs Case postale, 6002 Lucerne. Renseignements Tél. 041 419 51 11
«Top 10» de l hiver Suva Sécurité durant les loisirs Case postale, 6002 Lucerne Renseignements Tél. 041 419 51 11 Commandes www.suva.ch/waswo-f Fax 041 419 59 17 Tél. 041 419 58 51 Auteurs Dr Hans Spring,
Plus en détailSIÈGE SURFACE DE TRAVAIL
Les accidents strictement de nature «ergonomique» coûtent une fortune aux entreprises canadiennes. En effet, Statistique Canada évaluait en 1996 à 1,5 milliards de dollars les coûts annuels associés aux
Plus en détailLe diagnostic de la sclérose en plaques
Le diagnostic de la sclérose en plaques par le D r J. Marc Girard, neurologue, FRCP(c) 3 e édition VOUS VENEZ TOUT JUSTE DE RECEVOIR un diagnostic de sclérose en plaques de la part d un neurologue? Vous
Plus en détailSéquence maladie: insuffisance cardiaque. Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI
Séquence maladie: insuffisance cardiaque Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI Janvier 2012 Finalité de l atelier: Présentation de la séance Cette séance a pour buts de vous permettre
Plus en détailRÉGLEMENTATION LE DIRECTEUR DE PLONGÉE (DP)
F I C H E DIRECTION DE PLONGÉE, ORGANISATION ET RÉGLEMENTATION FICHE N RÉGLEMENTATION LE DIRECTEUR DE PLONGÉE (DP) POUR PLUS DE DÉTAILS, voir la fiche n 116 sur l organisation des plongées. 46. Rôle et
Plus en détailGuide des définitions des maladies graves
Guide des définitions des maladies graves Assurance maladies graves Sun Life La vie est plus radieuse sous le soleil Guide des définitions des maladies graves Ce guide vous aidera à comprendre les maladies,
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailLA VIE APRES VOTRE INFARCTUS
Hôpital Privé d Antony LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Livret d information Hôpital Privé d Antony - OPC/KINE/268 Page 1 sur 5 Intervenants Rédigé par : C.DUPUY M.CERISIER Masseur Kinésithérapeute Masseur
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailExtraits et adaptations
Extraits et adaptations Guide de prévention des troubles musculo-squelettiques (TMS) en clinique dentaire - 2007 MOYENS DE RÉCUPÉRATION MUSCULAIRE Il est difficile de donner des soins dentaires en évitant
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailPrenez soin de votre dos. Informations et astuces contre les douleurs lombaires
Prenez soin de votre dos Informations et astuces contre les douleurs lombaires Prenez soin de votre dos 1 2 3 4 Des causes diverses, souvent liées au travail Plaintes et lésions Prévention: mieux vaut
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailI. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture
148 l e x a m e n m u s c u l o s q u e l e t t i q u e I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE Faites les exercices suivants au moins 2 fois par jour, tous les jours. Faites l effort de maintenir une
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailDystrophie musculaire
Définition Les maladies neuromusculaires font référence à un groupe de maladies qui affectent la motricité. Ces maladies se manifestent à des degrés divers par la dégénérescence et l affaiblissement progressif
Plus en détailF.M.A.S. COMITE TECHNIQUE NATIONAL MANUEL du MONITEUR PLONGEUR 1 ETOILE
PLONGEUR 1 ETOILE ORGANISATION GENERALE - Les sessions de plongeur 1 étoile sont organisées à l échelon du club, en formation continue ou sous forme d un examen ponctuel. - L acquisition de chacune des
Plus en détailComment ça va? Quand ça ne va pas. 4 comment ça va?
Comment ça va? 1 Voici quatre dialogues. Dites à quelle situation de communication correspond chacun d eux. Situation a) : consultation chez un médecin. Situation b) : salutations dans la rue, par simple
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailMOUVEMENTS DE BASE (global) EN MUSCULATION. bphiver2013 Hamrouni Samy 1
MOUVEMENTS DE BASE (global) EN. bphiver2013 Hamrouni Samy 1 Squat Développé Couché Traction Traction bphiver2013 Hamrouni Samy 2 Un travail de ces mouvements sur appareils guidés est plus sécurisant mais
Plus en détailFormation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA)
Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA) Que devons nous savoir? Utiliser en toute sécurité un défibrillateur semi-automatique au cours de la réanimation cardio-pulmonaire Durée
Plus en détailPLAN D ATHLETISATION PROTOCOLES D EVALUATION DES QUALITES PHYSIQUES DES JOUEURS INTERNATIONAUX
PLAN D ATHLETISATION PROTOCOLES D EVALUATION DES QUALITES PHYSIQUES DES JOUEURS INTERNATIONAUX TEST NUMERO 1 (1/3) Nom : Test Luc LEGER Navette (20m) Objectifs : Mesure de la VMA (Vitesse maximal aérobie)
Plus en détailsur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip
À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance
Plus en détailFORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER
FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER Date d'effet : Échéance Annuelle : Périodicité : Annuelle Semestrielle Durée : 1. LE PROPOSANT (sera le preneur
Plus en détailL utilisation des tables de décompression MN90 et ordinateurs
L utilisation des tables de décompression MN90 et ordinateurs cours N2 2006-2007 Jérôme Farinas jerome.farinas@irit.fr Amis de la Mer FFESSM 08 31 0184 6 décembre 2006 Jérôme Farinas (ADLM) MN90 et ordinateur
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailLA HERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE. Comité pédagogique SAP SDIS 43
LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE Comité pédagogique SAP SDIS 43 DEFINITIONS Electrisation: manifestations physiopathologiques liées au passage du courant dans l organisme Electrocution: décès par électrisation
Plus en détailThéorie niveau 3. OCEANAV Cours Niveau 3
Théorie niveau 3 OCEANAV Cours Niveau 3 1 Sommaire Objectif général...3 Les accidents de plongée...4 Généralités...4 Les accidents biophysiques...4 Les accidents biochimiques...7 Les autres accidents...11
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailAllégez la charge! Dossier d enseignement: Soulever et porter des charges Exercices de consolidation niveau 2
Allégez la charge! Dossier d enseignement: Soulever et porter des charges Exercices de consolidation niveau 2 Objectif Les apprenants soulèvent et portent des charges correctement. Public-cible - Des apprenants
Plus en détailCarnet de suivi Lithium
Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous
Plus en détailErgonomie au bureau. Votre santé avant tout
Ergonomie au bureau Votre santé avant tout L individu est unique, sa morphologie aussi. L aménagement ergonomique de la place de travail doit tenir compte des spécificités de chacun. Il permet d éviter
Plus en détailComprendre la mort cérébrale
Comprendre la mort cérébrale Imprimeur de la Reine pour l Ontario, 2010. Adaptation et reproduction autorisées. 1 Comprendre la mort cérébrale Il est difficile d imaginer une expérience plus douloureuse
Plus en détailLA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI
LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI? LA MÉTHAMPHÉTAMINE est un produit stupéfiant illicite, synthétisé à partir de substances chimiques, également connu sous le nom de «crystal» ou «crystalmet», «ice»,
Plus en détailAccidents cardiaques chez les athlètes de 35 à60ans
Accidents cardiaques chez les athlètes de 35 à60ans Karl Cernovitch Alex C. Samak Jay Brophy MD, PhD, Mark Goldberg PhD Hôpital Royal Victoria Division d'épidémiologie clinique C est arrivé à un Pro. Pourquoi
Plus en détailLivret d information destiné au patient MIEUX COMPRENDRE LA FIBRILLATION ATRIALE ET SON TRAITEMENT
Livret d information destiné au patient MIEUX COMPRENDRE LA FIBRILLATION ATRIALE ET SON TRAITEMENT Introduction Votre médecin vous a diagnostiqué un trouble du rythme cardiaque nommé fi brillation atriale.
Plus en détailRisques liés à l'activité physique au travail. Mireille Loizeau
Risques liés à l'activité physique au travail Mireille Loizeau Cours DIUST Paris Descartes-20 janvier 2015 1 Activité physique 2 Définition Quotidien Travail Loisirs Sports... Définition Organisation Mondiale
Plus en détailAPRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX
Hôpital Privé d Antony APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX Livret d information Hôpital Privé d Antony OPC/KINE/297 Page 1 sur 6 Intervenants Rédigé par : Nom Profession Le Visa C.DUPUY
Plus en détailPARTIE III : RENSEIGNEMENTS POUR LE CONSOMMATEUR
PARTIE III : RENSEIGNEMENTS POUR LE CONSOMMATEUR Pr ELIQUIS MD Comprimés d apixaban Le présent dépliant constitue la troisième dernière partie de la monographie publiée à la suite de l homologation d ELIQUIS
Plus en détailLe cœur est compliqué et il est aussi un organe que travaille très fort (Heart Attack,
Le cœur est compliqué et il est aussi un organe que travaille très fort (Heart Attack, 2003), et c est la seule sorte de muscle qui peut se contracter régulièrement sans fatigue; tandis que les autres
Plus en détailDéclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012
Assurance voyage et soins médicaux Déclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012 Nom : Date de naissance : JJ / MM / AAAA Numéro de membre : Numéro de police : DIRECTIVES POUR LE PROPOSANT IL
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailLe Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales
Le Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales Le Kin-AP est une évaluation qui se déroule à travers un parcours comprenant différentes stations qui simulent les tâches que le technicien ambulancier-paramédic
Plus en détailDEMONSTRATION DE FONCTIONNEMENT DU DÉFIBRILLATEUR
DEMONSTRATION DE FONCTIONNEMENT DU DÉFIBRILLATEUR H e a r t S t a r t ( Philips ) Démonstration réalisée par les Docteurs Alain LIAGRE & Thierry LEDANT Membres du Conseil Syndical DOMAINE DE SAINT PIERRE
Plus en détailinformations pratiques
COLLECTIVITÉS LOCALES Arrêt cardiaque informations pratiques avec le soutien de Arrêt cardiaque I Informations pratiques I 1 2 I L arrêt cardiaque L arrêt cardiaque est la première cause de mortalité des
Plus en détailFiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR
Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailUn environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?
Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détailQUESTIONNAIRE SUR LA SANTE RESPIRATOIRE ET ALLERGIQUE DES ECOLIERS ET LEUR ENVIRONNEMENT SCOLAIRE
Santé et pollution intérieure dans les écoles : Réseau d observation en Europe QUESTIONNAIRE SUR LA SANTE RESPIRATOIRE ET ALLERGIQUE DES ECOLIERS ET LEUR ENVIRONNEMENT SCOLAIRE A compléter par les enfants
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détail1 La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin
La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin Pour mieux connaître l état de votre cœur, votre médecin vous a demandé de passer une scintigraphie myocardique au Persantin. Cette fiche explique
Plus en détailERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS
Qu est ce que l ergonomie d un poste de travail? ERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS Un poste de travail ergonomique est un poste qui offre un environnement et des équipements permettant de créer
Plus en détailSéquence : La circulation sanguine
Séquence : La circulation sanguine Objectifs généraux : Amener l élève à Comprendre le rôle du cœur dans la circulation sanguine. Connaître le rôle du sang et ses composants. Connaître l anatomie du cœur.
Plus en détailEquipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable
Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau
Plus en détailCeinture Home Dépôt. Orthèse lombaire et abdominale. Mother-to-be (Medicus)
Orthèse lombaire et abdominale Mother-to-be (Medicus) Prévention Soutient courbe lombaire Supporte poids du ventre Ajustable Soulage les maux de dos en position debout (Beaty et al. 1999) Ceinture Home
Plus en détailLES FORMATIONS CONTINUéES
8.1. Hygiène dans les cuisines collectives Module I : Formation de base reprenant la réglementation et les exigences légales dans le secteur alimentaire ainsi que les bonnes pratiques d hygiène Economes,
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailVivre avec une prothèse du genou. Conseils pratiques
Vivre avec une prothèse du genou Conseils pratiques Introduction Pourquoi cette brochure? Avant la pose de votre prothèse de genou, vous avez bénéficié d un cours. L objectif de ce document est de résumer
Plus en détailgracieuseté de: Une compressothérapie et des jambes plus en santé
gracieuseté de: SIGVARIS Corp. 4535, rue Dobrin Ville St-Laurent (Québec) H4R 2L8 Canada 1.800.363.4999 Pour un détaillant SIGVARIS certifié près de chez vous, veuillez visiter le site www.sigvaris.ca
Plus en détailCARDIOLOGIE LA MÉDICATION POUR L'INSUFFISANCE CARDIAQUE
CARDIOLOGIE LA MÉDICATION POUR L'INSUFFISANCE CARDIAQUE La médication est importante, elle aidera à améliorer le travail du cœur et à éliminer le surplus d'eau. Il est important de prendre la médication
Plus en détailDéclaration médicale. Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur.
Déclaration médicale Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur. Les données communiquées ci-après seront nécessaires pour pouvoir formuler une offre d assurance. Important Le candidat
Plus en détailFemmes, prenez soin de votre cœur! LIVRET DE PREVENTION
LIVRET DE PREVENTION Femmes, prenez soin de votre cœur! TOUT SAVOIR SUR LA SANTE DU CŒUR DES FEMMES, par la Fondation Cœur et Artères, reconnue d utilité publique Introduction Ce livret s adresse à toutes
Plus en détailF.F.E.S.S.M. Commission Technique Nationale Manuel du Moniteur PLONGEUR NIVEAU I
PLONGEUR NIVEAU I ORGANISATION GENERALE - Les sessions de plongeur de Niveau I sont organisées à l échelon des clubs ou des structures commerciales agréées, en formation continue ou sous la forme d un
Plus en détailASSURANCE MALADIES GRAVES. Guide des maladies graves. Effets et traitements
ASSURANCE MALADIES GRAVES Guide des maladies graves Effets et traitements «En tant que médecin et cardiologue, je sais que le bien le plus précieux dans la vie, c est d être en bonne santé. Par ailleurs,
Plus en détailBrûlures d estomac. Mieux les comprendre pour mieux les soulager
Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Définition et causes Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Vous arrive-t-il de ressentir une douleur à l estomac
Plus en détailN o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20
RÉVISION DE SURPRIME Nom : Prénom : Date de naissance : - - Année Mois Jour N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à
Plus en détail