Echanger entre soi Dialoguer avec les autres
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- Violette Godin
- il y a 7 ans
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1 Echanger entre soi Dialoguer avec les autres Namur, le 16 juin 2016 Jean-Claude Simon logopède et psycho-motricien maître - praticien en programmation neuro-linguistique Collaborateur de la Ligue Alzheimer
2 Objectifs de la journée Se questionner sur : Comment échanger en équipe Comment instaurer un dialogue entre les différents intervenants Comment concilier les 3 pôles (famille, patient, aide familiale) Comment aménager les lieux de vie Comment résoudre les problèmes et répondre aux demandes Et toujours dans le souci de préserver la qualité de vie des personnes atteintes de la maladie Alzheimer
3 Rappel de quelques règles de fonctionnement Être responsable Être à l écoute de soi-même du groupe Le feed-back Donner du feed-back Recevoir du feed-back Des questions et des opinions Respect de l horaire GSM coupé
4 Commençons par quelques chiffres Aujourd hui, 70 à 80 % des personnes atteintes de démence vivent et sont soignées à domicile Au sein de la famille, 2/3 des aidants sont des femmes (épouses, filles, belles-filles, ) La plupart de ces aidants sont pensionnés et souvent déjà âgés Plus de 80% de ces personnes gardées à leur domicile ont besoin d accompagnement bienveillant Plus de 90% des aides familiales sont des femmes 4
5 Rappel des effets de cette démence sur le patient : C est une maladie progressive, irréversible, chronique (incurable) Perte progressive de l autonomie (ne plus savoir décider par / pour soi-même) Perte progressive de l indépendance (ne plus pouvoir fonctionner seul) Nécessite une adaptation permanente par le milieu par la famille par le personnel soignant et accompagnant 5
6 Nous sommes tous dans la même galère Malade Société Conjoint Enfants Professionnels/soignants Ligue Alzheimer La galère Alzheimer 6
7 La triangulation 3 acteurs dans la relation : => Répercussions d un pôle vers l autre 7
8 LA FAMILLE, QUI EST-CE? Entourage du patient, l aidant, le proche Aidant principal ou de 1 ère ligne => Proche, conjoint (celui qui s investit le plus) Aidant de 2 ème ligne => enfants, beaux-enfants, voisins, amis, (souvent spectateurs impuissants et impatients) 8
9 L aidant / Le proche a ses propres besoins et droits Veiller sur soi pour pouvoir continuer à veiller sur l autre Proverbe chinois : «Celui qui ne se repose pas, fatigue les autres» 9
10 La famille = un système affecté par la maladie Elle avait et garde ses règles, ses valeurs, ses habitudes, son histoire. Chacun y assure une fonction, une position, un rôle le bénéficiaire aussi. Face à la maladie, chaque membre a des attentes et a dû faire des choix. Chacun éprouve des sentiments et gère ses propres émotions. Chaque système a ses rites et possède différents modèles de communication. 10
11 Le professionnel, cela peut être : Le médecin généraliste/spécialiste L infirmier(e) L aide-familial(e) L assistant(e) social(e) Le (la) psychologue Le (la) logopède L ergothérapeute Un(e) écoutant(e) bénévole/professionnel(le) 11
12 Mais pour la famille et le bénéficiaire, le professionnel fait toujours partie : des soins du remède de la solution miracle ou non 12
13 C est ainsi que face à la maladie, le professionnel peut être : un sauveur un ami un partenaire Et parfois, tout à la fois 13
14 Le professionnel et l envie de tout savoir Le «tout savoir» à propos d un bénéficiaire peut parfois : => encombrer => éloigner de l ici et maintenant Attention à la prise de pouvoir Essayons de favoriser le «faire connaissance». 14
15 Le personnel considérera la famille comme : Victime => attention à une attitude d assistanat Étrangère => attention à ne pas l isoler Partenaire => vous obtiendrez une co-responsablilité et peut-être même une véritable collaboration 15
16 La famille = victime Entraîne une prise en charge exagérée par le professionnel ou par le «faire trop à la place» Cela peut provoquer : Déresponsabilisation Surprotection Apitoiement Disqualification Surinvestissement Non-écoute Monologue Toute-puissance Limitation de l autonomie et de l indépendance Pitié Pas de limites Disproportion 16
17 La famille = une étrangère Entraîne la famille à «laisser-faire» le professionnel et à s investir de moins en moins dans l accompagnement Cela peut provoquer : Froideur Observation distante Distance Non partage des responsabilités Réaction de se décharger Désintérêt Indifférence 17
18 La famille = partenaire Entraîne le «faire ensemble», c est-à-dire chacun sa part dans l accompagnement bienveillant Cela peut provoquer : Ecoute mutuelle Construction du projet de soin / de vie Franchise et empathie Acceptation Reconnaissance de l autre et de ses compétences Faire aussi peu que nécessaire et non autant que possible Progressivité, évaluation = Envisager l avenir ensemble 18
19 Le projet de soins = la triangulation des 3 partenaires Voyons ensemble comment le rendre : compatible faisable utile Rappelons-nous qu un projet de soins s inscrit dans le projet de (fin) vie 19
20 Le professionnel et la famille, le même combat! Chacun a un rôle, il est : complémentaire spécifique à chacun cumulable Le plus grand danger = disqualification mutuelle 20
21 Le professionnel a au moins 2 clients : le bénéficiaire le proche et/ou la famille auxquels il faut bien souvent ajouter son cadre institutionnel. Problèmes : Question de l impartialité se pose Gestion de la relation quand le proche se substitue au patient Engagement et valeurs personnelles 21
22 Réflexions sur la relation d aide : La relation est-elle : une relation d aide? une relation de contrainte? une relation de pouvoir? > Choix conscient de positionnement du professionnel dans cette relation possible > Stratégie relationnelle aux bénéfices réciproques (mais différents) > Relation influencée par la vision du monde, de la vie et par les priorités de chacun 22
23 Établissement de la demande d aide 1. Perception de la demande Est-elle fluctuante? Diverse? Globale? 2. Analyse de la demande (Démarche en 5 questions) Qui demande quoi? Quel est le problème? (précisions, définition) Quelles sont les tentatives de solution? (initiatives prises sans succès, satisfaction) Quel est l objectif minimal? (le 1 er signe de progrès dans la situation présente?) Quelle est la position du bénéficiaire? (ses valeurs, normes, représentations, règles?) 23
24 La relation d aide est en danger quand surviennent : la généralisation la catégorisation 2 croyances limitantes : par jugement de valeurs, basé sur les émotions, le vécu et les croyances Représentation type «une fois pour toutes» (patient difficile, mauvais soignant, ) Le bénéficiaire n a besoin ni de permanence ni de régularité 24
25 L importance du milieu Le Milieu est l espace de vie, Il est habité par un plus ou moins grand groupe et procure à ses membres le sentiment d appartenance. C est un endroit où se tissent des liens sociaux et où se font les interactions nécessaires au maintien du groupe et à sa survie. Maintenir une personne dans son milieu de vie est donc à l opposé de la solitude et du rejet. 25
26 Une bonne triangulation favorise ce que certains appellent la milieuthérapie La Milieuthérapie prétend que le développement et la spécificité (surtout l intelligence, le langage, le caractère et le comportement) de l être humain sont façonnés avant tout par son milieu social. Le milieu social est familial, éducatif, culturel, sportif, mais aussi la fratrie, le voisinage et le travail. La milieuthérapie agit tout au long de notre vie. 26
27 La milieuthérapie plus grande doit être la capacité d adaptation du Milieu Plus petite est la capacité d adaptation de la personne démente, Abb.1; vgl. Gutzmann/Wojnar;
28 Les 4 piliers de la milieuthérapie 1. Matériel Architecture, disposition, atmosphère, 2. Organisation de l accompagnement 3. Perception, point de vue et connaissance de l environnement du bénéficiaire 4. Attitude et communication avec des personnes démentes 28
29 1. Organisation matérielle Architecture, disposition Ameublement Couleurs (plutôt claires) Luminosité, éclairage Température adaptée, sans exagération Atmosphère Fenêtre, jardin 29
30 2. Organisation de l accompagnement Organisation du cadre Structuration du temps et des présences Concordance entre sphère de vie des patients et sphère des soins 30
31 3. Le professionnel Capacité de créer le rapport Écoute, perception et observation Engagement personnel => volontariat Organisation du temps de travail flexible Implication dans les décisions, l organisation Entretenir la motivation 31
32 4. La communication Banale Valorisante Sécurisante Différentes offres d accompagnement bienveillant Aménagement conscient et adapté de la vie journalière Supports de perception par les différents sens 32
33 Répondre à une demande Ecouter, observer, vérifier la cohérence Reformuler Manifester clairement vos intentions Si c est oui, c est quand, comment, avec qui, où, Si c est non, à quoi dites-vous oui Vérifier l accord sur vos intentions Terminer sur un accord et remercier de la bonne volonté Agir en conséquence 33
34 Résoudre un problème L écoute et l observation Les questions La reformulation Je suis désolé(e) Les intentions Les remerciements A éviter: des réactions limitantes des réactions fuyantes des réactions culpabilisantes 34
35 Le modèle S.C.O.R.E. 35
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