Géothermie très basse énergie - Quels enjeux?
|
|
- Xavier Petit
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Géothermie très basse énergie - Quels enjeux? Charles KREZIAK CETE Ile de France Page 1/16 A la demande du Laboratoire Centrale des Ponts et Chaussées (actuel IFSTTAR), le CETE IdF a pris en charge en 2009 le pilotage d une opération de recherche dédiée aux systèmes géothermiques de basse-très basse énergie. L objectif de l opération est d affiner la connaissance des méthodes de dimensionnement de ces systèmes, évaluer leur possible incidence sur le milieu et favoriser leur intégration aux infrastructures. 1
2 Objectif du grenelle : Enjeux part des énergies renouvelables portée à 23% en 2020, géothermie X6 et 2 millions de foyers équipés Contribuer à un développement vertueux : améliorer la connaissance des mécanismes induits, affiner les méthodes de dimensionnements et limiter les risques de pathologie Thème inscrit dans le contrat quadriennal du LCPC : Charles KREZIAK CETE Ile de France Page 2/16 L opération s inscrit dans les objectifs du grenelle de l environnement et vise en particulier à favoriser l essor des systèmes géothermiques de basses températures. Ces systèmes sont en effet susceptibles d être déclinés à une large échelle (usage pour les particuliers notamment) et peuvent donc contribuer à porter la part des énergies renouvelables à 23% de la consommation à l horizon
3 Typologie Charles KREZIAK CETE Ile de France Page 3/16 Source BRGM Traditionnellement on distingue les systèmes : - haute énergie (géothermie profonde source à plus de 150 C) : qui servent à produire de la vapeur et de l électricité - basse énergie (source à environ 80 C) : utilisée pour les réseaux de chauffage urbains - très basse énergie (source à moins de 40 C) : nécessitant l usage d une machine thermodynamique (Pompe A Chaleur) pour la production de chaleur mais permettant également le refroidissement des bâtiments L opération de recherche porte plus spécifiquement sur cette dernière typologie de système. 3
4 Charles KREZIAK CETE Ile de France Page 4/16 Les systèmes de très basse température exploitent : - soit la température constante des sols et nappes en dessous d une certaine profondeur (une dizaine de mètre). Cette température faible (environ 12 C) est amplifiée par une Pompe A Chaleur pour chauffer/refroidir les bâtiments (à droite dispositif sur sonde verticale, en bas captage d un aquifère) - soit l inertie thermiques des sols, pour les systèmes de très proche surface, qui permet de restituer en hiver les calories emmagasinées en été (à gauche capteur horizontaux enterrés à environ 1m). 4
5 Opération 11W103 Objectif : favoriser le développement de l usage de la géothermie en liaison avec les structures en limitant les possibles impacts sur l environnement Axes : 1 Nomenclature des dispositifs et technologies 2 Dimensionnement des systèmes et impacts environnementaux 3 Caractérisation des propriétés thermiques et évolution dans le temps 4 Relations des systèmes géothermiques et des infrastructures 5 Effets des échanges thermiques sur la chimie de l eau et le milieu vivant Charles KREZIAK CETE Ile de France Page 5/16 L opération de recherche initiée en 2009 devrait se dérouler sur 3 ans ( ). Elle associe différents Laboratoires du réseau des CETE (LR Aix, Bordeaux, Nord-Picardie, Nancy, Rouen, Toulouse) et des partenaires extérieurs (entreprises privées, université de Lille, BRGM). Dans un premier temps, le cahier des charges de l opération a identifié 5 axes de travail, qui pourront être amendés en fonction des échanges avec les partenaires. Les axes visent successivement à mobiliser les ressources du RST (notamment au travers d une phase d acculturation) puis à se focaliser sur le dimensionnement et les interactions des systèmes avec l environnement (milieu et structures enterrées). 5
6 Axe 1 Nomenclature des dispositifs et technologies Objet : Alimenter une base de connaissances et une veille technologique permettant la conduite d opération au sein du réseau Produits visés : - Production d un document de synthèse sur l état de l art (vademecum des techniques) - Cartographie des zones à risques pour des opérations de géothermie (méthodologie appliquée à l Est de la France) Charles KREZIAK CETE Ile de France Page 6/16 L axe 1 est consacré à une synthèse des connaissances et pratiques et vise à mettre à profit les compétences du RST pour l études des systèmes géothermiques très basse énergie. L objectif est notamment d utiliser la connaissance acquise par le RST sur la géologie «proche» (moins de 100m) au travers des nombreuses études d infrastructures pour se prononcer sur les opportunités voire les risques d implanter localement ce type de dispositif. 6
7 Charles KREZIAK CETE Ile de France Page 7/16 Les premières productions ont porté sur l élaboration d un manuel, à l usage du RST, décrivant les typologies de système et leur principe de fonctionnement. Le manuel intègre également une analyse comparée des pratiques réglementaires de différents pays européens. 7
8 Charles KREZIAK CETE Ile de France Page 8/16 Le souhait est aussi de mettre l accent sur la description de certain systèmes jugés atypiques mais dont le développement est directement en lien avec les métiers du RST. A titre d illustration, la diapositive présente un système d échangeur thermique connecté à une voirie afin d assurer la viabilité hivernale : en été les calories captées par la chaussée sont injectées dans le sol puis re-prélevées en hiver pour empêcher la formation de verglas ou l enneigement. 8
9 Axe 2 Dimensionnement des systèmes et impacts environnementaux Objet : Evaluer les méthodes de dimensionnement et recherche d optimiser pour limiter les impacts Produits visés : - Principes de dimensionnement des systèmes synthèse des pratiques actuelles - Retour d expérience des forages géothermiques et éléments de contrôle Charles KREZIAK CETE Ile de France Page 9/16 L axe 2 porte sur l analyse des méthodes de dimensionnement des systèmes et sur leurs conditions de réalisation. Pour les systèmes superficiels l objectif est notamment de sortir des approches forfaitaires qui se traduisent par des dimensionnement sur la base des surfaces à chauffer (surface des capteur compris entre 1,5 et 2 fois la surface du bâti) pour optimiser la géométrie des dispositifs en tenant compte de la nature des sols et de leur état. 9
10 Charles KREZIAK CETE Ile de France Page 10/16 Les premières observations de chantier ont montrées des difficultés de réalisation susceptibles d induire des sous-performances voire des pérennités réduites des dispositifs. La réalisation des sondes verticales (échangeurs en U scellé dans un forage d environ 100m de profondeur) pose notamment problème : connaissance et tenue des terrains traversés puis maîtrise des scellements : autant de problématiques auxquelles le RST a déjà été confrontées. 10
11 Axe 3 Caractérisation des propriétés thermiques et évolution dans le temps Objet : Validation d essais ou de méthodes indirectes permettant d obtenir les paramètres nécessaires aux dimensionnements Produits visés : - Synthèse des propriétés thermiques des sols/roches Méthode de caractérisation - Caractérisation de vieillissement des ouvrages Charles KREZIAK CETE Ile de France Page 11/16 L axe 3 se concentre sur la caractérisation des propriétés thermiques des sols et des systèmes ainsi que sur leur comportement dans le temps. Cet axe mettra à profit la connaissance du RST sur la tenue des produits cimentaires. 11
12 Charles KREZIAK CETE Ile de France Page 12/16 Les premières expérimentations menées ont montrées que les produits employées dans le scellement des échangeurs de chaleur dans les sols, pouvaient subir des dégradations notables sous l effet des échanges thermiques forcés (incidence des dessiccations et gels éventuels). Ces dégradations risquent de d amoindrir les performances des systèmes et pourraient engendrer des communications entre niveaux aquifères (risques de transferts de polluants). 12
13 Axe 4 Relation des systèmes géothermiques et des infrastructures Objet : Analyse du fonctionnement et modélisation des «infrastructures durables» telles que les pieux géothermiques, les chaussées déverglaçeantes, Produits visés : - Suivi des caractéristiques d un pieu échangeur de chaleur - Modélisation numérique d ouvrages géothermiques fermé associés à des infrastructures Charles KREZIAK CETE Ile de France Page 13/16 L axe 4 est dédié aux inter-actions entre les systèmes géothermiques et les infrastructures : comment tirer partie enterrés des infrastructures pour extraire de la chaleur et comment faire en sorte que cet usage ne soit pas néfaste à la pérennité des ouvrages et à leur fonction première. L axe de travail intègrera des expérimentations, des modélisations permettant de justifier par le calcul les observations et à la suite des propositions de règles de dimensionnement. 13
14 Charles KREZIAK CETE Ile de France Page 14/16 Les premières réflexions menées portent sur les «pieux géothermiques» (fondations profondes couplées à un échangeur de chaleur). Les phase d extractions (chauffage du bâtiment en hiver) ou d injection (refroidissement des bâtiment en été) de chaleur dans le sol se traduisent respectivement par un refroidissement ou un réchauffement du pieux et des rétractations ou gonflement qui peuvent modifier les interactions entre le sol et le pieux et notamment la mobilisation du frottement le long du pieux : il convient d évaluer l incidence éventuelle sur la capacité de reprendre les descentes de charge de cet élément de fondation. 14
15 Axe 5 Effets des échanges thermiques sur la chimie de l eau et le milieu vivant Objet : Déterminer les variations acceptables de température pour les équilibres chimiques et biologiques dans les sols et eaux impactés par des systèmes géothermiques Produits visés : - Synthèse bibliographique des impacts des modifications thermiques sur les milieux souterrains - Suivi des caractéristiques des eaux souterraines à proximité d un ouvrage géothermique Charles KREZIAK CETE Ile de France Page 15/16 L axe 5 s intéressera à l incidence sur le milieu du fonctionnement des systèmes géothermiques : les modifications de températures des sols et nappes, éventuellement durables, induites par le fonctionnement des systèmes vont-ils modifier les conditions d équilibres du sous-sol? 15
16 Charles KREZIAK CETE Ile de France Page 16/16 Les premières questions évoquées portent notamment sur les possibles modifications des équilibres chimiques du milieu qui pourraient se traduire par la réactivation de phénomènes de dissolution de roches sensibles (gypse, sels, ) et engendrer à termes des risques d effondrement. 16
CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailLa nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments
La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports
Plus en détailIncitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne
Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailLa Géothermie arrive à Bagneux. En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous
La Géothermie arrive à Bagneux En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous Le réseau de chaleur géothermique arrive à Bagneux La ville de Bagneux a fait le choix de
Plus en détailPrésentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013
COMMUNAUTE D AGGLOMERATION MARNE ET CHANTEREINE AGENDA 21 - DEVELOPPEMENT DURABLE PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIAL Présentation et proposition d engagement Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 DE QUOI
Plus en détailSOMMAIRE ARTIPRIX PIQUAGES - FORAGES - PERCEMENTS DES MURS FORAGES DANS MURS FORAGES DANS PLANCHERS PERCEMENTS SAIGNÉES SCELLEMENTS
1 2 3 4 5 6 7 PIQUAGES - FORAGES - PERCEMENTS DES MURS FORAGES DANS MURS FORAGES DANS PLANCHERS 15 PERCEMENTS 16 SAIGNÉES SCELLEMENTS FRAIS DIVERS D'INTERVENTION DE DÉPANNAGE RECONNAISSANCE DES TRAVAUX
Plus en détailChoc de simplification
Choc de simplification Le choc de simplification souhaité par le Président de la République rejoint les besoins identifiés par le Syndicat des énergies renouvelables qui a défini six grands axes de modernisation
Plus en détailLa Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois
Forum Bois Construction Beaune 2011 La Règue verte - 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois B. Dayraut 1 La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature
Plus en détailTER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE
TER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE DOSSIER DE PRESSE SNCF CONTACTS PRESSE Clément Nourrit - 01 53 25 76 56 - clement.nourrit@sncf.fr Gaëlle Rual - 01 53 25 74 83 - gaelle.rual@sncf.fr TER 2020 : VERS
Plus en détailGÉOTHERMIE ASSISTÉE PAR POMPE A CHALEUR
GÉOTHERMIE ASSISTÉE PAR POMPE A CHALEUR ETUDE TECHNICO- ECONOMIQUE JUILLET 2014 Table des matières INTRODUCTION 3 MÉTHODOLOGIE ET HYPOTHÈSES 5 A. Présentation de la méthodologie 5 B. Hypothèses 6 B.1.
Plus en détailVAlorisation et Stockage du CO 2. Un projet global de management du dioxyde de carbone sur la zone de Fos Berre Gardanne - Beaucaire
VAlorisation et Stockage du CO 2 Un projet global de management du dioxyde de carbone sur la zone de Fos Berre Gardanne - Beaucaire Gilles Munier Directeur Général gmu@geogreen.fr Projet cofinancé par:
Plus en détailIdentification, évaluation et gestion des incidents
Identification, évaluation et gestion des incidents De la cartographie des risques à la mise en place de la base incidents Xavier DIVAY Responsable de la conformité et du contrôle permanent QUILVEST BANQUE
Plus en détailF.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B
F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B Fiche d interprétation et / ou complément aux référentiels Qualitel et Habitat & Environnement Objet : Rubrique AI Acoustique Intérieure Rubrique TH Niveau de consommation d
Plus en détailBesoin et offre de formation dans les métiers du Bâtiment en lien avec le Grenelle de l Environnement
Phase 2: Analyse du besoin des entreprises Besoin et offre de formation dans les métiers du Bâtiment en lien avec le Grenelle de l Environnement Les plus fortes demandes en «Construction durable» Estimation
Plus en détailAvis sur la 1 ère révision du schéma d'aménagement et de gestion des eaux «Nappes profondes de Gironde»
Commission Planification Séance du 24 mai 2012 Délibération n DL/CB/12-XX Avis sur la 1 ère révision du schéma d'aménagement et de gestion des eaux «Nappes profondes de Gironde» Le comité de bassin délibérant
Plus en détailCentre Social de REVEL (31) C.C.A.S 500 m2. Journée de sensibilisation à la géothermie en Midi Pyrénées
Centre Social de REVEL (31) C.C.A.S 500 m2 1 Sommaire Pourquoi le choix de la géothermie? Dimensionnement de l installation Les forages Quelques photos, Bilans des consommations Synthèse 2 Pourquoi le
Plus en détailSystèmes et réseaux d information et de communication
233 DIRECTEUR DES SYSTÈMES ET RÉSEAUX D INFORMATION ET DE COMMUNICATION Code : SIC01A Responsable des systèmes et réseaux d information FPESIC01 Il conduit la mise en œuvre des orientations stratégiques
Plus en détailDéfi Transition énergétique : ressources, société, environnement ENRS Projet Exploratoire PALEOSTOCK
Des traitements thermiques de matériaux lithiques du paléolithique destinés à faciliter leur taille, aux prétraitements adaptés à leur usage en stockage thermique haute température. Contexte «Stockage»
Plus en détailQU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?
QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détailEnjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise
Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise Journées d échanges franco-suisses sur la gestion des sites et sols pollués 14 15 juin 2012 Hans-Jürg Reinhart Carine
Plus en détailLa gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options
La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds
Plus en détailInstaller une pompe à chaleur
L habitat AGIR! Installer une pompe à chaleur Quand le sol, l eau ou l air chauffent la maison ou produisent l eau chaude Édition : avril 2015 sommaire glossaire introduction Il y a de la chaleur dans
Plus en détailMMA - Projet Capacity Planning LOUVEL Cédric. Annexe 1
Annexe 1 Résumé Gestion Capacity Planning Alternance réalisée du 08 Septembre 2014 au 19 juin 2015 aux MMA Résumé : Ma collaboration au sein de la production informatique MMA s est traduite par une intégration
Plus en détailV- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation Prévision à l horizon 2014
V- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation A- Les marchés du Bâtiment à l horizon 2014 1. Scénario prospectif sur le territoire de la Les prévisions à horizon 2014 reposent sur plusieurs hypothèses
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailRapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6)
Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) ler semestre 2002 Renault O. Juiilei ZOO2 Ri-51786 Rapport de suivi du système de
Plus en détailEtude de diagnostic territorial et accompagnement de projets en vue de la revitalisation du site de la base aérienne de Brétigny
Etude de diagnostic territorial et accompagnement de projets en vue de la revitalisation du site de la base aérienne de Brétigny Phase 2 Perspectives de développement Proposition de stratégie de mise en
Plus en détailGestion et entretien des Installations Electriques BT
Durée : 5 jours Gestion et entretien des Installations Electriques BT Réf : (TECH.01) ² Connaître les paramètres d une installation basse tension, apprendre les bonnes méthodes de gestion et entretien
Plus en détailEîude réalisée dans le cadre des actions de Service Public du BRGM 02PIR115. E. Equilbey, J.F. Vernoux. mars 2002 BRCMIRPB 1576-FR
Avis hydrogéologique sur des dossiers de demande de reconnaissance de l état de catastrophe naturelle liée à une remontée de nappe phréatique - Communes de Marcoussis et du Val-Sain t-germain (Essonne)
Plus en détailLes réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014
Les réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014 Direction Régionale et Interdépartementale de l'environnement et de l'énergie d'île-de-france www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailInformation. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges?
Compétences générales Avoir des piles neuves, ou récentes dans sa machine à calculer. Etre capable de retrouver instantanément une info dans sa machine. Prendre une bouteille d eau. Prendre CNI + convocation.
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détail«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact
Plus en détailBachelors Technologiques
Bachelors Technologiques Mines et Carrières - Gestion et Maintenance de Parc de Matériels de Travaux Publics - QHSE Qualité Hygiène Sécurité Environnement www.2ie-edu.org Institut International d Ingénierie
Plus en détailImpacts potentiels de la géothermie très basse énergie sur le sol, le sous-sol et les eaux souterraines Synthèse bibliographique
Impacts potentiels de la géothermie très basse énergie sur le sol, le sous-sol et les eaux souterraines Synthèse bibliographique Rapport final BRGM/RP-59837-FR Février 2012 Impacts potentiels de la géothermie
Plus en détailTechnologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost
Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage M. Prévost Version V2/ nov 2006 Structure du cours Partie 1 : Introduction Partie 2 : Mise en contact de Gaz et de
Plus en détailSynthèse sur les réglementations et permis relatifs à l installation et à l exploitation de pompes à chaleur en Région wallonne
Synthèse sur les réglementations et permis relatifs à l installation et à l exploitation de pompes à chaleur en Région wallonne Version 1 28 mai 2009 Synthèse sur les réglementations et permis relatifs
Plus en détailComment optimiser la performance énergétique de son logement?
Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Janvier 2014 AHF / J.M. VOGEL Plan de la présentation Contexte Objectifs Faire un premier bilan énergétique Les différents travaux d économies
Plus en détailCAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE
Cahier des charges pour l évolution des réseaux de surveillance des eaux souterraines en France CAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE Version complétée
Plus en détailEtude de faisabilité
Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un
Plus en détailLe baromètre. Dauphine-Crédit Foncier. de l immobilier résidentiel. Tendance globale
Le baromètre Dauphine-Crédit Foncier de l immobilier résidentiel Tendance globale N. 3 Juin 2011 Kevin Beaubrun-Diant, co-responsable de la chaire «Ville et Immobilier», Université Paris-Dauphine. Cette
Plus en détailPrésentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste
Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus
Plus en détailThème Techniques : 9. Mécanique et maintenance industrielle. 10. Electricité, électronique, électrotechnique et automatisme
Thème Techniques : 9. Mécanique et maintenance industrielle 10. Electricité, électronique, électrotechnique et automatisme 11. Qualité et gestion de la production 12. Hydraulique 13. Organisation industrielle
Plus en détailLa Charte. forestière. du Pilat. Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt
La Charte forestière du Pilat Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt Réalisation Jecom - RCS 493 898 043 - Avril 2011 - Imprimé sur papier issues de forêts françaises et belges gérées
Plus en détailPRÉVENTION DES RISQUES CHAUFFE-EAU. Adoptez les bons réflexes!
PRÉVENTION DES RISQUES CHAUFFE-EAU Adoptez les bons réflexes! La gamme de chauffe-eau Atlantic P R O T E C T I O N D Y N A M I Q U E P R O T E C T I O N P R O T E C T I O N P R O T E C T D Y N A M I O
Plus en détailLe chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020
Chauffe-eau thermodynamique Le chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020 Ballon de stockage ( 300 l) chaude M o d e c h a u f f a g e Q k T k Pompe à chaleur Effet utile Pompe à chaleur pour chauffer
Plus en détailVersion 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)
Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS
Plus en détailREFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE
REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE Le monde de la formation est en plein bouleversement,
Plus en détailAugmenter l impact économique de la recherche :
Augmenter l impact économique de la recherche : 15 mesures pour une nouvelle dynamique de transfert de la recherche publique, levier de croissance et de compétitivité Partout dans le monde, la recherche
Plus en détailRéussir le choix de son SIRH
Réussir le choix de son SIRH Pascale Perez - 17/09/2013 1 L évolution du SI RH 1960 à 1970 : le progiciel de paie. Le système d information RH apparaît dans les années soixante avec la construction des
Plus en détail2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» 2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE SP2-F et SP4-F 295/310 SP2-F et SP4-F 295/310 MODELE H DH SP2/4-F 295 295 163 SP2/4-F 310* 310 163 *Standard Garage avec porte frontale devant parking mécanique
Plus en détailEtude sur les cadres règlementaires et leur efficacité à encourager les entreprises à améliorer leur efficacité énergétique et sur les mesures
Etude sur les cadres règlementaires et leur efficacité à encourager les entreprises à améliorer leur efficacité énergétique et sur les mesures complémentaires nécessaires Synthèse Avril 2015 Pourquoi
Plus en détailProgramme consultant expert (PCE)
Programme consultant expert (PCE) Bénéficiez par le biais du PCE de l expertise d un consultant sénior et/ou d un jeune chercheur expérimenté Ce programme s adresse aux entreprises de la filière chimie
Plus en détailGéothermie très basse et basse énergie :
FICHE DE SYNTHÈSE SCIENTIFIQUE N 10 - Avril 2005 Géothermie très basse et basse énergie : Une énergie du développement durable Le sous-sol est naturellement chaud, surtout à grande profondeur : plus on
Plus en détailles outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir
connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE
Plus en détailSYSTÈME DE DALLE ACTIVE ACTIV+ TEMPÉRISATION DE DALLE POUR CHAUFFER OU RAFRAÎCHIR LE CONFORT POUR LE TERTIAIRE
TEMPÉRISATION DE DALLE POUR CHAUFFER OU RAFRAÎCHIR LE CONFORT POUR LE TERTIAIRE *Des solutions polymères à l infini www.rehau.fr Bâtiment Automobile Industrie Les bâtiments tertiaires possèdent des équipements
Plus en détailLe rôle des territoires dans le développement des nouveaux systèmes sectoriels d innovation locaux : le cas des smart cities
Le rôle des territoires dans le développement des nouveaux systèmes sectoriels d innovation locaux : le cas des smart cities Amel ATTOUR Maître de Conférences Université de Lorraine ENSMN- BETA-CNRS- UMR7522
Plus en détailAcoustique et thermique
Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule 2. Étude de systèmes constructifs 29 Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule Les bonnes solutions thermiques n améliorent pas forcément l acoustique!
Plus en détailLa B.I. au secours des Managers de transition 72
T r i b u n e Depuis quelques années, la demande d interventions ponctuelles en Supply Chain est croissante. Améliorer la gestion des flux de l entreprise, piloter un projet ambitieux de restructuration
Plus en détailGuide Méthodologique. Eco-conception & Ergo-conception : méthodes croisées
Guide Méthodologique Eco-conception & Ergo-conception : méthodes croisées La méthodologie qui vous est proposée a été développée par l Aract des Pays de la Loire, structure paritaire pour l Amélioration
Plus en détail«Quelques concepts de l analyse stratégique & les grandes lignes de la démarche stratégique et comment les mettre en œuvre!...»
«Quelques concepts de l analyse stratégique & les grandes lignes de la démarche stratégique et comment les mettre en œuvre!...» Jean Claude Vacher Alençon 9 décembre 2008 Intervention pour le Groupe Plato
Plus en détailIntroduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU
Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU NB : les notes font référence au diaporama de synthèse de l enquête en ligne sur le site de l'adbu Comment les SCD tentent-ils
Plus en détailCONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT
PREMIER MINISTRE CONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT conclue entre l'état, la Caisse Nationale d'assurance Maladie des Travailleurs Salariés
Plus en détailLyon, le 17 septembre 2013
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LYON N/Réf. : CODEP-LYO-2013-052873 Lyon, le 17 septembre 2013 Monsieur le Directeur du centre nucléaire de production d'électricité du Bugey Electricité de France CNPE
Plus en détailLa pertinence de l information pour agir au bon moment. Recherche exploitation de. l information. & pertinente
La pertinence de l information pour agir au bon moment Recherche exploitation de & pertinente l information Une expertise reconnue dans la gestion et le traitement de l information Face à une croissance
Plus en détailLa valorisation des terres excavées
La valorisation des terres excavées Matinée "Matières premières et matériaux du BTP " Céline Blanc c.blanc@brgm.fr BRGM / Direction Eau, Environnement et Ecotechnologies Lundi 2 décembre, 2013 Contexte
Plus en détailLoi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire
Référence : DEP-Bordeaux-0538-2009 Monsieur le directeur du CNPE de Civaux BP n 64 86320 CIVAUX Bordeaux, le 15 avril 2009 Objet : Réf. : Contrôle des installations nucléaires de base Centre nucléaire
Plus en détailde faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.
9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation
Plus en détailLE GROUPE EDF FAIT DES SYSTEMES ELECTRIQUES INTELLIGENTS UNE REALITE
Naud et Poux Architectes DOSSIER DE PRESSE LE GROUPE EDF FAIT DES SYSTEMES ELECTRIQUES INTELLIGENTS UNE REALITE N imprimez ce message que si vous en avez l utilité. EDF SA 22-30, avenue de Wagram 75382
Plus en détailComment mieux lutter contre la fraude à l assurance? Gestion de sinistres Odilon Audouin, le 4 avril 2013
Comment mieux lutter contre la fraude à l assurance? Gestion de sinistres Odilon Audouin, le 4 avril 2013 Eléments de contexte Un coût significatif, une évolution des typologies Selon l ALFA (sur la base
Plus en détailLes Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détailBÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL
BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL A. PRÉSENTATION : BEST ENTREPRISE SARL est une société de droit sénégalais qui intervient dans les Bâtiments/Travaux Publics, le
Plus en détailPôle de compétitivité Aerospace Valley. Agilité et Confiance dans la filière aéronautique (2)
Pôle de compétitivité Aerospace Valley Agilité et Confiance dans la filière aéronautique (2) Cahier des charges pour une offre d accompagnement pour une démarche «Agir ensemble pour la filière aéronautique».
Plus en détailUNEP /UNESCO /UNCH / ECA
UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailSimplifiez-vous la rénovation énergétique avec Énergies POSIT IF
Simplifiez-vous la avec www.energiespositif.fr , les spécialistes de la et de son financement en Île-de-France 400 000 logements franciliens à rénover d ici à 2020, c est 18 % des copropriétés L énergie
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine
NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire
Plus en détailLes partenariats associations & entreprises
Les partenariats associations & entreprises Initier ou renforcer une politique de partenariats avec les entreprises Novembre 2011 Référentiel réalisé en partenariat avec et Edito Avec leurs 1,9 millions
Plus en détailComprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012)
Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012) Sommaire 1 Un engagement fort du Grenelle de l environnement 1 Calendrier et champ d application 2 Les nouveautés 3 Les exigences 9 Les quatre niveaux
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailCe dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016.
FINANCER MON PROJET Crédit d'impôt développement durable Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. Mais attention, il ne s'applique pas dans les mêmes conditions et au même
Plus en détailFormation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION
mail: d2geo@yahoo.fr Page 1/6 PLAN DE FORMATION Formation réalisée en deux partie distinctes Durée totale de la formation 2 jours Présentation Cette première partie est enseignée en trois modules: a) Notions
Plus en détailDE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 VOUS AVEZ UN PROJET. Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé
VOUS AVEZ UN PROJET DE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 EDITION 2015 avec la mention RGE et le CITE Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé SOMMAIRE ECO PTZ P.2 CREDIT D IMPÔT
Plus en détailL eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011
L eau dans les documents d urbanisme L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 Pourquoi ce guide? Participer à «décloisonner» les services «Environnement Eau» et «Urbanisme»
Plus en détailEstimation de potentiel éolien
cours1 (suite) Estimation de potentiel éolien Mesures de la vitesse et de la direction du vent Différents types d anémomètres-girouettes Anémomètre à coupelles Simple et robuste, il nécessite l adjonction
Plus en détailL entretien hivernal des routes : concilier protection de l environnement et sécurité routière
L entretien hivernal des routes : concilier protection de l environnement et sécurité routière Audrée Perreault, ing. Naomie Gagnon, ing. jr. Frédéric Champagne, ing. Ministère des Transports du Québec
Plus en détailMétiers d études, recherche & développement dans l industrie
Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers d études, recherche & développement dans l industrie R&D Production Ingénieur
Plus en détailAtlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre
Atlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre Rapport final BRGM/RP-55088-FR mars 2007 Atlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre Rapport final BRGM/RP-55088-FR mars 2007
Plus en détailLe nouveau programme en quelques mots :
Le nouveau programme en quelques mots : Généralités Le programme est constituéde trois thèmes qui doivent tous être traités. L ordre de traitement des trois thèmes est libre, tout en respectant une introduction
Plus en détailMutualité Française Ile-de-France
Mutualité Française Ile-de-France Représentation régionale de la Fédération Nationale de la Mutualité Française Acteur de l économie sociale et solidaire 280 mutuelles adhérentes 5.5 millions de personnes
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailInrap / Les étapes de l archéologie préventive
Les étapes de l archéologie préventive LE DIAGNOSTIC Lorsque l on aménage un terrain à des fins publiques ou privées (pour construire une route ou un immeuble par exemple), le sol est remanié. Bien avant
Plus en détailPlancher chauffant avec revêtement de sol
Équipements E.2 1/6 Plancher chauffant avec revêtement de sol Domaine d application Cette fiche vise à établir les principales interfaces au niveau des planchers chauffants, à eau chaude ou électriques,
Plus en détailSynthèse du questionnaire en ligne
èmes Rencontres Régionales pour la Biodiversité VENDREDI SEPTEMBRE 0 Université de Caen Basse-Normandie Amphithéâtre Oresme Vers un observatoire régional de la biodiversité en Basse-Normandie Synthèse
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détail