DE QUELQUES INNOVATIONS PERSPECTIVES. Professeur H. DJOUDI EHS DOUERA
|
|
- Pauline Aubé
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 DE QUELQUES INNOVATIONS PERSPECTIVES Professeur H. DJOUDI EHS DOUERA
2 Nouvelles classes de molécules. Anticorps monoclonal humain anti RANK-L. Dénosumab Calcilytiques: bloquent les récepteurs du Ca des cellules parathyroïdiennes Ronacalceret Odanacatib ( produit inhibiteur de la Catepsine K) Bloquerai la résorption osseuse et augmenterai la densité osseuse lombaire et hanche (testé chez femmes ménopausées ostéoporotiques ou ostéopéniques). Anticorps anti-dkk1 antisclérostine testés chez l animal.
3 Regulation of osteoclastogenesis by factors from osteoblast/stromal cells Osteoclast precursor Mature osteoclast Differentiation M - CSF RANK RANKL Inhibition OPG "decoy receptor" RANKL Anti-RANKL Osteoblast / stromal cell Hofbauer LC & Heufelder AE, J Mol Med, 2001;79:
4 DENOSUMAB: Ac anti RANKL humanisé Diminue le turn over osseux et la résorption osseuse en inhibant RANKL, Élément de la formation, fonction et survie des ostéoclastes. RANK-L: Cytokine transmembranaire de la famille des TNF Ac anti RANKL Active le récepteur RANK pré ostéoclaste
5 DENOSUMAB: Ac anti RANKL humanisé Nbres études (+,++), randomisées, double aveugle contre placebo: Effets sur DMO Marqueurs du remodelage osseux à 24mois N=322, extension à 48 mois N= ) - significative DMO - Marqueurs du remodelage osseux - Suppression du remodelage réversible à l arrêt du trt - Reprise lors du retraitement - Effets secondaires similaires au placebo + Miller PD et al Bone 2008, 43(2): Bone HG et al. J Clin Endocrinol Metab 2008, 93(6):
6 DENOSUMAB Etude FREEDOM. Résultats à 3 ans sur fractures vertébrales et non vertébrales. Etude de phase III, multicentrique internationale, randomisée, contrôlée contre placebo femmes ménopausées, âge de ans (m=72 ans).ostéoporose (DMO rachis ou hanche totale: -4 T score< -2,5 T score moyen -2,8 rachis, -1,9 hanche totale, -2,2 col fémoral..23,8% fracture vertébrale initiale Denosumab 60mg q6 mois S.C. / Placebo Supplémentation vitamino-calcique. Cummings SR et al. N Engl Med 2009; 361(8):756-65
7 DENOSUMAB Etude FREEDOM : Résultats à 3 ans sur fractures vertébrales et non vertébrales. Objectif principal: Incidence des nouvelles fractures vertébrales. Objectifs secondaires: Fractures non vertébrales, Fractures de hanche Effet sur DMO et marqueurs. Suivi: Rx rachis (tous les ans) DMO: 441 Marqueurs: 160 Cummings SR et al. N Engl Med 2009; 361(8):756-65
8 Etude FREEDOM ( résultats à 3 ans sur fractures vertébrales et non vertébrales). Résultats fractures. significative incidences de nouvelles fractures 68% / placebo. ( 2,3% n=86, 7,2% n=264, p<0,0001) significative des fractures non vertébrales : 20% des fractures de hanche : 40% Cummings SR et al. N Engl Med 2009; 361(8):756-65
9 Etude FREEDOM. Résultats DMO et marqueurs: significative DMO + 9,2% / placebo p<0,0001 et + 6% hanche totale Marqueurs du remodelage osseux (sctx) 72%. Bonne Tolérance : pas de différence significative / placebo. Cummings SR et al. N Engl Med 2009; 361(8):756-65
10 Chez les femmes ostéoporotiques, Denosumab significative incidence des fractures vertébrales et non vertébrales et de hanche, Bonne tolérance.
11 PRECISIONS EFFETS Dmab : - en fonction du % remodelage - sur l os cortical - / évolution DMO et marqueurs du remodelage après arrêt : gestion du traitement
12 DENOSUMAB Effect of Denosumab vs Alendronate on Bone Turnover Markers and Bone Mineral Density Changes at 12 Months Based on Baseline Bone Turnover Level Analyse de cet effet selon les taux initiaux des marqueurs sctx, P1NP à 12 mois. Brown JP, Prince RL, Deal C et al. J Bone Miner Res 2009, 24(1):
13 Etude de phase III Femmes ménopausées avec faible DMO (T-score -2), T- score moyen au rachis -2.6, à la hanche totale Age moyen : 64 ans Randomisées : Denosumab s.c. 60 mg q6 mois / ALN 70 mg/semaine per os, + supplémentation vitamino-calcique pendant 1 an femmes 594 Denosumab, 595 ALN, Objectif primaire : Variations de la DMO à la hanche totale à 12 mois.. Brown JP, Prince RL, Deal C et al. J Bone Miner Res 2009, 24(1):
14 DMO Denosumab : significative / l ALN à tous les sites, quelque soit le remodelage de base. DMO (rachis ou hanche totale) sous Denosumab + importantes chez les femmes dont les variations des marqueurs étaient les plus importantes. J. P. Brown et al.
15 DMO Dans les 2 groupes : plus élevées DMO hanche totale à 1 an chez sujets ayant les marqueurs du remodelage initiaux plus élevés (de même aux autres sites : rachis, col fémoral. J. P. Brown et al.
16 CTx sériques significative Denosumab, 89% à 1 mois, 77% à 6 mois, 74% à 12 mois, / ALN 61% à 1 mois, 73% à 6 mois, 76% à 12 mois) (médiane, p< à 1 et 6 mois, ns à 12 mois). J. P. Brown et al.
17 P1NP significative Denosumab, 26% à 1 mois, 72% à 6 mois, 72% à 12 mois,/ ALN 11% à 1 mois, 62% à 6 mois, et 65% à 12 mois) (médiane, p< à 1, 6 et 12 mois). J. P. Brown et al.
18 Denosumab : - Diminue le remodelage osseux - Augmente la DMO à tous les sites mesurés, de manière significativement plus importante par rapport à l ALN, avec corrélation entre gains de DMO et remodelage osseux. J. P. Brown et al.
19 PRECISIONS ACTION Dmab : - en fonction du % remodelage - sur l os cortical et microarchitecture - / évolution DMO et marqueurs du remodelage après arrêt
20 Etudes intéressées : Mais : aux fractures vertébrales et à la perte osseuse trabéculaire, - 80% des fractures non vertébrales - apparaissent à des sites essentiellement corticaux. - 90% de la morbidité et de la mortalité fait des fractures non vertébrales Réduction du risque de fracture vertébrale d environ 50% par la plupart des agents anti-ostéoporotiques, Réduction du risque de fracture non vertébrale pas toujours obtenue Lorsque significative: ordre de 20% à 30%. Seeman E et al. Microarchitectural deterioration of cortical and trabecular bone: differing effects of denosumab and alendronate. J Bone Miner Res 2010;25:
21 Plusieurs facteurs Porosité corticale avancée irréversible lorsque le traitement est débuté, Degré d action des traitements sur compartiment cortical: - faible ratio surface/volume - faible accessibilité pour qu une modification du remodelage puisse survenir. Seeman E et al. Microarchitectural deterioration of cortical and trabecular bone: differing effects of denosumab and alendronate. J Bone Miner Res 2010;25:
22 - Puissance plus grande du Dmab à diminuer les marqueurs du remodelage osseux - Effet plus grand sur la DMO comparativement à l ALN à des sites à prédominance corticale (1/3 distal du radius), pourrait refléter le mécanisme d action distinct de ces agents, qui en retour pourrait influencer l architecture osseuse. Seeman E et al. Microarchitectural deterioration of cortical and trabecular bone: differing effects of denosumab and alendronate. J Bone Miner Res 2010;25:
23 Étude But: Comparer les effets du Dmab et de l alendronate (ALN) sur la microarchitecture corticale et trabéculaire au radius distal et au tibia. Microarchitecture était évaluée par QCT (Quantitative Computed Tomography) et HR-pQCT (QCT périphérique à haute résolution). Seeman E et al. Microarchitectural deterioration of cortical and trabecular bone: differing effects of denosumab and alendronate. J Bone Miner Res 2010;25:
24 Étude Etude phase 2, internationale, double aveugle contre agent actif et placebo, 247 femmes ménopausées, - Age: ans (60.5 ans en moyenne), - T-score hanche totale ou rachis ( -2 et -3 DS (DXA), (moyenne T-score rachis -2.4, hanche totale -1.3). - Sans fracture. Denosumab 60 mg sc tous les 6 mois (n=83),. ALN po 70 mg/semaine (n=82),. Placebo (PBO) (n=82) Pendant 1 an. 88% ont terminé les 12 mois de l étude. Mesures de HR-pQCT au radius distal et au tibia distal, et de QCT au radius distal, réalisées initialement 6 et 12 mois. Seeman E et al. Microarchitectural deterioration of cortical and trabecular bone: differing effects of denosumab and alendronate. J Bone Miner Res 2010;25:
25 Résultats Analyse par HR-qQCT au radius distal à 12 mois, : PBO: - DMO volumétrique totale, corticale et trabéculaire, - Épaisseur corticale, (-2.1 à -0.8%). ALN: DMO volumétrique préservée(-0.6 à +2.4%) Épaisseur corticale. Dmab: - DMO volumétrique totale, corticale et trabéculaire (+0.3 à 3.4%), - Épaisseur corticale par rapport aux valeurs initiales (p<0.001 vs PBO), (changements significativement plus importants / ALN pour la DMO volumétrique totale et corticale (p 0.024). Seeman E et al. Microarchitectural deterioration of cortical and trabecular bone: differing effects of denosumab and alendronate. J Bone Miner Res 2010;25:
26 Résultats Analyse par HR-qQCT au radius distal à 12 mois, : Pas de différence significative entre les groupes pour nombre, épaisseur espacement des travées à 6 et 12 mois. Modifications similaires au tibia. Moment d inertie polaire (PMI- Polar Moment of Inertia), : analyse QCT ( paramètre géométrique reflétant la résistance mécanique d un os long à la flexion et à la torsion,), plus importante sous Dmab / à l ALN ou au PBO à 12 mois (p<0.001). Seeman E et al. Microarchitectural deterioration of cortical and trabecular bone: differing effects of denosumab and alendronate. J Bone Miner Res 2010;25:
27 Résultats Marqueurs de résorption (CTx sériques) sous Dmab significativement plus importante et plus rapide / ALN. Incidence similaire des effets secondaires Seeman E et al. Microarchitectural deterioration of cortical and trabecular bone: differing effects of denosumab and alendronate. J Bone Miner Res 2010;25:
28 Discussion -Bénéfice observé avec le Dmab / ALN sur DMO volumétrique totale et corticale : - mécanisme d action au niveau tissulaire et unités de remodelage. Dmab : Diminue le taux d activation de nouvelles unités de remodelage. Diminue rapidement la résorption au niveau des unités de remodelage. ALN Effet décalé de l ALN pour inhiber la résorption osseuse. (captation du bisphosphonate par les ostéoclastes lorsqu ils résorbent la matrice osseuse), -
29 Conclusion Augmentation de la DMO Augmentation des mesures corticales dans les groupes traités / PBO compatibles avec effet anti-fracturaire de Dmab et ALN. Différences entre les effets Dmab et ALN sur microarchitecture de l os, différences probablement liées à leurs mécanismes d action distincts. Des études supplémentaires seront nécessaires pour apprécier la supériorité réelle des effets du Dmab par rapport à l ALN sur l os cortical observés ici à 1 an par pqct, en terme d activité anti-fracturaire, en particulier aux sites corticaux.
30 PRECISIONS ACTION Dmab : - en fonction du % remodelage - sur l os cortical et microarchitecture - / évolution DMO et marqueurs du remodelage après arrêt
31 À la différence des bisphosphonates, le Denosumab n est pas intégré dans la matrice osseuse, et est éliminé par le systéme réticuloendothélial. L évolution de la DMO et des marqueurs biochimiques du remodelage osseux à l arrêt du produit est donc importante à évaluer pour la gestion de ce traitement. Bone HG, et al. Effects of denosumab treatment and discontinuation on bone mineral density and bone turnover markers in postmenopausal women with low bone mass. J Clin Endocrinol Metab 2011;96:
32 Étude Etude de phase 3, multicentrique, randomisée, double-aveugle, contrôlée contre placebo, (Bone H., JCEM 2008). Evolution de la DMO et des marqueurs du remodelage pendant les 2 ans suivant l arrêt du traitement complété la phase traitement, ont été incluses dans la phase d extension sans traitement, et (87%) moyenne d âge 59 ans. ont complété les 2 années en placebo / 109 Denosumab,
33 Résultats DMO 24 mois de Dmab, Augmentation DMO: - rachis (+6.4%), - col fémoral (+2.9%) et à la - hanche totale (+3.6%) / au placebo (p<0.0001). Mois 48, (24 mois après arrêt Dmab ou placebo: Diminution DMO - tous sites dans les 2 groupes. - Après arrêt du Denosumab, diminution principalement durant la 1 ère année, valeurs proches avant traitement. - Groupe Dmab :DMO significativement plus élevée / groupe PBO tous sites (p 0.05).
34 Résultats marqueurs du remodelage. 24 mois Dmab: Diminution - Marqueurs du remodelage osseux - (-63% )pour les sctx / placebo. Après arrêt Dmab: Augmentation - taux des marqueurs du remodelage - 3 mois environ (sctx et P1NP), au dessus des valeurs initiales - environ +60% à 6 mois et - +40% à 12 mois pour les sctx, et - environ +40% à 6 et 12 mois pour les P1NP, Retour aux valeurs initiales à 24 mois d arrêt du traitement.
35 Conclusion Réversibilité des effets du Dmab 60 mg tous les 6 mois sur: DMO et les Marqueurs du turnover osseux après l arrêt du traitement, Pas d effet rémanent : élimination rapide absence de stockage dans la matrice osseuse Dmab.
36 Sous-étude, 160 femmes de l étude FREEDOM (96 sous Dmab, 64 sous placebo) : Dosage des marqueurs de résorption (CTx, TRAP5b), des marqueurs de formation (P1NP, PAL osseuses), Mesures : - initiale, - 1 mois, - avant injections à 6, 12, 24 et 36 mois.
37 Résultats Marqueurs de la résorption: -Diminution plus rapide et plus prononcée CTx / P1NP et PAL osseuses (-90% pour les CTx, / 20% pour P1NP à 1 mois). - Remontée des valeurs avant chaque injection à des taux médians plus élevés (-70%). Marqueurs de formation: - 6 mois (-70%) - puis entre -60 et -70% jusqu à la fin de l étude. Valeurs des marqueurs restaient en-dessous des valeurs normales des femmes préménopausées à tous les temps chez 46% des sujets sous Dmab pour les CTx, et 31% pour les P1NP.
38 Sous Dmab, et non placebo, il y avait une corrélation significative entre la diminution des CTx et l augmentation de la DMO à 3 ans. Extension étude à 10 ans en cours
39 Commercialisé sous le nom de PROLIA - Dec 2009 USA - Juin 2010 EU Indications : Traitement et prévention OPM : 60mg/6m Traitement évènement osseux tumeurs malignes solides (nov 2010 XGERA : 1200mg/4s.
40 Nouvelles classes de molécules. Anticorps monoclonal humain anti RANK-L. Dénosumab Calcilytiques: bloquent les récepteurs du Ca des cellules parathyroïdiennes : Ronacalceret Odanacatib ( produit inhibiteur de la Catepsine K) Bloquerai la résorption osseuse et augmenterai la densité osseuse lombaire et hanche (testé chez femmes ménopausées ostéoporotiques ou ostéopéniques). Anticorps anti-dkk1 antisclérostine testés chez l animal.
41 Calcilytiques: -Antagoniste de courte durée du récepteur du calcium (CaR) au niveau des cellules parathyroïdiennes -Entraîne une libération transitoire de la PTH endogène, qui stimule la formation osseuse.
42
43 Nouvelles classes de molécules. Calcilytiques: Etude randomisée, contrôlée contre placebo Tolérance et propriétés pharmaco-cinétiques et dynamiques du Ronacalceret. Administration à doses croissantes de Ronacalceret. Femmes ménopausées: N = 65, 55ans en moyenne. 4 groupes 2 doses de ronacalceret à 28 j d intervalle (75,175,475 mg) Marqueurs du remodelage avant et J 28. Fitzpatrick LA et al. ASBMR 30th annual meeting-montreal sept2008
44 Nouvelles classes de molécules. Effet net ostéoformateur, doses dépendantes : - ostéocalcine +63% - P1NP +79% - BSAP +35% pour la dose de 475mg vs placebo (p<0.05). Sans modification significative du marqueur de résorption CTx. La ½ vie terminale moyenne est de 4 à 5 heures avec accumulation négligeable après la 2 ème dose. Augmentation dose et concentration dépendante de la C max de PTH post dose de Ronacalceret(J28):+287% pour 75mg, +551% pour 175mg, +885% pour 475mg, et calcémie Effets secondaires discrets ou modérés. Ronacalceret = agent anabolisant oral pour trt ostéoporose. Fitzpatrick LA et al. ASBMR 30th annual meeting-montreal sept2008
45 Etude de phase 2 déterminant la dose interrompue plus tôt que prévue pour manque d efficacité
46 Nouvelles classes de molécules. Anticorps monoclonal humain anti RANK-L. Dénosumab Calcilytiques: bloquent les récepteurs du Ca des cellules parathyroïdiennes Ronacalceret Odanacatib ( produit inhibiteur de la Catepsine K) Bloquerai la résorption osseuse et augmenterai la densité osseuse lombaire et hanche (testé chez femmes ménopausées ostéoporotiques ou ostéopéniques). Anticorps anti-dkk1 antisclérostine testés chez l animal.
47 INHIBITEUR CATHEPSINE: ODANACATIB. Cathepsine: - cystéine protéase fortement exprimée et de manière sélective dans les ostéoclastes, - enzyme qui contribue à la dégradation de la matrice osseuse, capable de dégrader la collagène de type I, l ostéopectine et l ostéonectine. McClung M et al. ASBMR 30th annual meeting-montreal- sept2008
48 INHIBITEUR CATHEPSINE: ODANACATIB. Etude de phase II randomisée, double aveugle, contrôlée contre placebo, (12 mois doses N=399, extension à 24 N=280) Age moyen 64,2ans DMO(-3,5 T score<-2 au rachis, trochanter, col ou hanche totale) En moyenne -2,1 au rachis, -1,9 col fémoral. 3,10, 25 ou 50 mg ou placebo /semaine per os + Ca et Vit D. Efficacité: variation DMO au rachis, marqueurs du remodelage McClung M et al. ASBMR 30th annual meeting-montreal- sept2008
49 INHIBITEUR CATHEPSINE: ODANACATIB. Résultats à 24 MOIS: significative DMO dose dépendante, avec pour 50mg/s (+ 5,5% au rachis, + 3,2% hanche totale et 3,5% col). Marqueurs du remodelage osseux avec pour dose de 50mg/s (NTx urinaires de -52%(sCTx) -70%). Produit bien toléré: Rash 4,8% ( 50mg/s 7,9% placebo Odanacatib administré pendant 24 mois est bien toléré, augmente la DMO au rachis et hanche chez les femmes ménopausées avec faible DMO. McClung M et al. ASBMR 30th annual meeting-montreal- sept2008 Bone HG et al. Odanacatib, a Cathepsin-K Inhibitor for Osteoporosis: A Two-Year Study in Postmenopausal Women With Low Bone Density. J Bone Miner Res, 2009, Oct;25(5):937-47
50 EXTENSION A TROIS ANS Résultats des femmes ayant reçu - soit 3 ans d ODN (n=20), - soit 3 ans de placebo (n=19), - ou 2 ans ODN et 1 an placebo (n=18). L analyse statistique est de type «per-protocol». Eisman JA et al.odanacatib in the treatment of postmenopausal women with low bone mineral density: three-year continued therapy and resolution of effect.j Bone Miner Res 2011, 26(2):
51 Résultats La poursuite du traitement (50 mg ODN par semaine pendant 3 ans) : - Augmentation significative DMO / valeurs initiales : +7.9% au rachis, +5.8% à la hanche totale, +5% au col fémoral, et +7.4% au trochanter (augmentation de +1.5 à +2.5% au cours de la 3ème année selon le site). CTx sériques restaient diminués à 3 ans (-24%), Marqueurs de formation restaient stables à 3 ans / aux valeurs initiales (+18% BSAP, -6% P1NP). Eisman JA et al.odanacatib in the treatment of postmenopausal women with low bone mineral density: three-year continued therapy and resolution of effect.j Bone Miner Res 2011, 26(2):
52 Après l arrêt du traitement, Diminution valeurs de DMO à tous les sites pour atteindre des valeurs non différentes des valeurs initiales à 3 ans Augmentaient rapide marqueurs du remodelage au-dessus des valeurs initiales (sctx +120%, P1NP +90%) ; Rebond pécoce à l arrêt du traitement, dissipation avec le temps, (disparition en 2 ans de l arrêt du traitement par ODN (+10% sctx, 0% P1NP à 3 ans). Evènements indésirables: pas de différence entre les groupes placebo et ODN. Eisman JA et al.odanacatib in the treatment of postmenopausal women with low bone mineral density: three-year continued therapy and resolution of effect.j Bone Miner Res 2011, 26(2):
53 Conclusion A 3 ans: ODN augmente la DMO au rachis et à la hanche, ODN bien toléré, chez les femmes ménopausées avec DMO basse. L augmentation de la DMO et la diminution des marqueurs de résorption sous ODN s atténuent et disparaissent à l arrêt du traitement, soulignant la réversibilité de l effet du traitement par ODN. Eisman JA et al.odanacatib in the treatment of postmenopausal women with low bone mineral density: three-year continued therapy and resolution of effect.j Bone Miner Res 2011, 26(2):
54 Commentaires Evolution de la DMO Marqueurs après l arrêt du traitement importants pour optimiser les stratégies de traitement. L arrêt ODN s associe à : - une augmentation importante du remodelage osseux (effet rebond, les sctx passant de -30% à + 120% en 1 mois, les P1NP de -20% à +80% en 3 mois), - une perte rapide de la masse osseuse (-6% au rachis 1 an Effet sur les fractures à l arrêt des traitements important à considérer. Eisman JA et al.odanacatib in the treatment of postmenopausal women with low bone mineral density: three-year continued therapy and resolution of effect.j Bone Miner Res 2011, 26(2):
55 Commentaires : Données disponibles pour les autres traitements (alendronate, risedronate, denosumab),: - Effets similaires : Augmentation de la DMO et la Diminution des marqueurs à 2 ans, Perte osseuse à 1 an plus importante lorsqu il s agit de l ODN ou du denosumab à l arrêt du traitement 2 éléments = facteurs de risque indépendants de fracture Des études sur le risque fracturaire à l arrêt de ces traitements permettrait d évaluer cet aspect, Eisman JA et al.odanacatib in the treatment of postmenopausal women with low bone mineral density: three-year continued therapy and resolution of effect.j Bone Miner Res 2011, 26(2):
56 Le traitement par ODN 50 mg/semaine fait actuellement l objet d une étude de phase III pour évaluer l efficacité anti-fracturaire du produit.
57 Nouvelles classes de molécules. Anticorps monoclonal humain anti RANK-L. Dénosumab Calcilytiques: bloquent les récepteurs du Ca des cellules parathyroïdiennes Ronacalceret Odanacatib ( produit inhibiteur de la Catepsine K) Bloquerai la résorption osseuse et augmenterai la densité osseuse lombaire et hanche (testé chez femmes ménopausées ostéoporotiques ou ostéopéniques). Anticorps anti-dkk1 antisclérostine testés chez l animal.
58 Nouvel Agent anabolique: Anticorps anti-dkk1 chez la souris. Dkk1: - exprimé dans l os adulte - antagoniste naturel de la voie Wint, - inhibe les interactions entre le co-récepteur LRP5/6 avec le récepteur Frizzled de la voie Wnt impliquée dans la formation osseuse. Inhibition de la liaison LRP/Dkk1 formation osseuse Glantschnig et al. ASBMR 30th annual meeting-montreal- sept2008
59
60 Nouvel Agent anabolique: Anticorps anti-dkk1. Ac monoclonaux neutralisants antidkk1 chez la souris et la singe. Testé chez - souris normale (4s) et Ovx (8s):. P1NP et nouvelle formation osseuse aux surfaces endocorticales et dans os trabéculaire et. résolution partielle ou complète de l ostéopénie (DMO) au fémur et vertèbres (Ovx) - singe ( formation ) Possibilé de modulation de la voie Wnt par Ac neutralisants anti-dkk1, dans un modèle expérimental d ostéopénie par carence estrogénique. (ostéoporose) Glantschnig et al. ASBMR 30th annual meeting-montreal- sept2008
61 Nouvelles classes de molécules. Anticorps monoclonal humain anti RANK-L. Dénosumab Calcilytiques: bloquent les récepteurs du Ca des cellules parathyroïdiennes Ronacalceret Odanacatib ( produit inhibiteur de la Catepsine K) Bloquerai la résorption osseuse et augmenterai la densité osseuse lombaire et hanche (testé chez femmes ménopausées ostéoporotiques ou ostéopéniques). Anticorps anti-dkk1 antisclérostine testé depuis chez l homme.
62 ANTICORPS ANTI-SCLEROSTINE. La sclérostine est un inhibiteur physiologique de la voie Wnt.
63 ANTICORPS ANTI-SCLEROSTINE. Etude de phase I chez des femmes ménopausées, l administration d un Ac anti-sclérostine augmentait les marqueurs de formation osseuse. X Li et coll. 2008
64 Première étude réalisée chez l homme. Padhi D, Jang G, Stouch B et al. Single-dose, placebo-controlled, randomized study of AMG 785, a sclerostin monoclonal antibody.j Bone Miner Res 2011; 26:
65 Étude Etude de phase I randomisée, double-aveugle contrôlée contre placebo 72 sujets sains, hommes et femmes ménopausées (78%) de 45 à 59 ans en moyenne, Randomisés (3:1) pour recevoir une seule dose d un anticorps monoclonal anti-sclérostine (AMG 785) en s.c. à la dose de 0.1 à 10 mg/kg (n=42) ou i.v. à la dose de 1 ou 5 mg/kg (n=12), ou un placebo (n=18). Padhi D, Jang G, Stouch B et al. Single-dose, placebo-controlled, randomized study of AMG 785, a sclerostin monoclonal antibody.j Bone Miner Res 2011; 26:
66 Étude Etude de phase I randomisée, double-aveugle contrôlée contre placebo Prélèvements sanguins réalisés jusqu à 85 jours après la dose pour déterminer les concentrations sériques d Ac anti-sclérostine, les taux de BSAP (phosphatases alcalines osseuses), ostéocalcine, P1NP et CTX. Objectif principal: tolérance du produit AMG 785, Objectifs secondaires: données de pharmacocinétique, la variation des marqueurs osseux et de la DMO. Padhi D, Jang G, Stouch B et al. Single-dose, placebo-controlled, randomized study of AMG 785, a sclerostin monoclonal antibody.j Bone Miner Res 2011; 26:
67 Résultats Augmentation liées à la dose des marqueurs de formation P1NP, ostéocalcine et BSAP, / placebo, Diminution des marqueurs de résorption CTx, - Augmentation significative de la DMO jusqu à 5,3% au rachis lombaire, et 2,8% à la hanche totale comparativement au placebo AMG 785 a été bien toléré, un cas d hépatite résolutive à la dose de 10 mg/kg, survenue à J1, et résolutive à J26. Six sujets recevant les doses les plus élevées ont développé des anticorps anti-amg 785. Padhi D, Jang G, Stouch B et al. Single-dose, placebo-controlled, randomized study of AMG 785, a sclerostin monoclonal antibody.j Bone Miner Res 2011; 26:
68 Conclusion Résultats encouragent la poursuite des investigations cliniques pour l utilisation de l inhibition de la sclérostine pour stimuler la formation osseuse dans les pathologies telle que l ostéoporose. Padhi D, Jang G, Stouch B et al. Single-dose, placebo-controlled, randomized study of AMG 785, a sclerostin monoclonal antibody.j Bone Miner Res 2011; 26:
69 ANTI ACTIVINE Activine A : membre de la famille du TGFb, initialement identifiée pour sa capacité à stimuler la production hypophysaire de FSH,. impliquée dans la différenciation et la maturation des erythrocytes. présente en abondance dans l os, L inhibition de l activine pourrait stimuler la formation osseuse ostéoblastique. diminuer la résorption osseuse ostéoclastique Ruckle J et al. single-dose, randomized, double-blind, placebo-controlled study of ACE-011 (ActRIIA-IgG1) in postmenopausal women. J Bone Miner Res (4):744-52
70 ACE-011 : Protéine de fusion composée du domaine extra-cellulaire du récepteur humain de l activine type IIA lié au fragment Fc de l IgG1 humaine capable de lier l activine.
71 Etude de phase I randomisée, double aveugle, contrôlée / placebo. 48 femmes ménopausées. Evaluer les effets d une injection d ACE-011 : doses de 0,01 à 3 mg/kg en i.v, doses de 0,03 à 0,1 mg/kg en s.c. Suivi 120 jours. Aucun effet secondaire sérieux (céphalées, nausées-vomissements ) réactions locales au site d injection (i.v.). Pharmacocinétique: profil linéaire lié à la dose, ½ vie de jours.
72 Administration de ACE-011 : - Augmentation rapide, soutenue et dose-dépendante des phosphatases alcalines sériques (+36% J15, groupe 3mg/kg), - Diminution dose-dépendante des CTx (-30% J8, -24% J15, groupe 3mg/kg) et TRAP-5b. - Diminution dose-dépendante de FSH, reflétant l inhibition de l activine. ACE-011: stimule la formation osseuse diminue la résorption osseuse ACE-011 = nouvel agent anabolique pour le traitement des ostéopathies fragilisantes.
73 Étude : Les données pharmacocinétiques de ACE-011 et ses effets sur la masse osseuse ont été évaluées chez le singe (Cynomolgus) Fajardo RJ et al. Treatment with a soluble receptor for activin improves bone mass and structure in the axial and appendicular skeleton of female cynomolgus macaques (Macaca fascicularis).bone 2010, 46(1):64-71
74 Conclusion : Chez le singe, ACE-011 augmente la masse osseuse et la résistance de l os, Résultats encourageants pour le développement de ACE-011 comme nouvel agent anabolique pour le traitement des ostéopathies fragilisantes. Fajardo RJ et al. Treatment with a soluble receptor for activin improves bone mass and structure in the axial and appendicular skeleton of female cynomolgus macaques (Macaca fascicularis).bone 2010, 46(1):64-71
75 SERM de 3ème génération vise à améliorer le ratio bénéfice-risque. lasofoxifène Haute affinité pour ER α et ER β (10 fois plus que le raloxifène) Excellente biodisponibilité Effets extra-squelettiques. Diminue le LDL-cholestérol (comme les autres SERM) Diminue CRP us Améliore les marqueurs de résorption osseuse et la densité osseuse davantage que le raloxifène. (étude PEARL), Cummings SR, Ensrud K, Delmas PD et al. Lasofoxifene inpostmenopausal women with osteoporosis.nejm 2010, 362,
76 . Arzoxifène semble être plus puissant que le Raloxifène pour diminuer la résorption osseuse et améliorer la masse osseuse chez les femmes ménopausées. L étude GENERATIONS Arzoxifene for prevention of fractures and invasive breast cancer in postmenopausal women. Cummings SR et al. J Bone Miner Res 2011, 26(2):397-40
77 Arzoxifène partage un profil identique à celui des autres SERMs; - réduction de la résorption osseuse, - augmentation modeste de la DMO, - diminution du risque de fractures vertébrales, mais pas des fractures non vertébrales. Comme les autres SERMs: diminue le risque de cancer du sein invasif, augmente le risque d événements thrombo-emboliques et d effets indésirables gynécologiques. - Arzoxifene for prevention of fractures and invasive breast cancer in postmenopausal women. Cummings SR et al. J Bone Miner Res 2011, 26(2):397-40
78 Seul Lasofoxifène ( 0.5 mg par jour) a montré - une diminution du risque de fracture non vertébrale (Cummings, NEJM 2010). Analyse détaillée des fractures montrait que cet effet portait essentiellement sur les fractures du poignet et avant-bras, avec une diminution du risque relatif de 24%, mais une diminution très faible du risque absolu de ces fractures (3.1% vs 3.9%).. - Arzoxifene for prevention of fractures and invasive breast cancer in postmenopausal women. Cummings SR et al. J Bone Miner Res 2011, 26(2):397-40
79 Les SERM de 3ème génération prometteurs, Prévention globale chez la femme ménopausée : osseuse, cardio-cérébrovasculaire et anti-tumorale. Il reste à mettre au point un SERM sans effet thrombogène sans effet flush avant d en faire un agent de prévention pour les femmes ménopausées
80
81
Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool)
Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool) F. FLAISLER Service de Rhumatologie Groupe Hospitalo-Universitaire CAREMEAU, Nîmes OSTÉOPOROSE DEFINITION AFSSAPS «Maladie diffuse
Plus en détailOstéoporose chez l homme
le point sur Ostéoporose Rev Med Suisse 2013 ; 9 : 1260-4 E. Biver B. Uebelhart Drs Emmanuel Biver et Brigitte Uebelhart Service des maladies s Département des spécialités de médecine HUG et Faculté de
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailTraitement de l ostéoporose post-ménopausique Janv ier 2006 TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTEOPOROSE POST-MENOPAUSIQUE RECOMMANDATIONS
TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTEOPOROSE POST-MENOPAUSIQUE RECOMMANDATIONS Actualisation 2006 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France F-93285 Sai nt-denis Cedex t él. +33 (0)1 55 87 30 00 www.afssaps.sante.fr
Plus en détailConsolidation des fractures ostéoporotiques. oporotiques
Consolidation des fractures ostéoporotiques oporotiques Jean-Marc Féron Service de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique Hôpital Saint Antoine Hôpitaux Universitaire Est Parisien UPMC-Sorbonne Universités,
Plus en détailL OSTÉOPOROSE INVOLUTIVE DE LA FEMME : STRATÉGIE THÉRAPEUTIQUE Un point de vue actualisé du Belgian Bone Club*
L OSTÉOPOROSE INVOLUTIVE DE LA FEMME : STRATÉGIE THÉRAPEUTIQUE Un point de vue actualisé du Belgian Bone Club* J.M. Kaufman (1), J.J. Body (2), S. Boonen (3), J.P. Devogelaer (4), F. Raeman (5), S. Rozenberg
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailPrévention osseuse dans le traitement du cancer de la prostate
73 Volume 1 - Février 11 - Supplément 1 Progrès en urologie (11) 1, supplément, S5-S Journées d Onco-Urologie Médicale : La pratique, les protocoles 5 et juin 1 ISSN 11-77 Prévention osseuse dans le traitement
Plus en détailRevue du Rhumatisme 76 (2009) 222 226. Mise au point. Accepté le 19 septembre 2008 Disponible sur Internet le 14 février 2009
Revue du Rhumatisme 76 (2009) 222 226 Mise au point Impact de la contraception estroprogestative et progestative sur la densité minérale osseuse Impact of combined and progestogen-only contraceptives on
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailOstéoporose au cours des hépatopathies chroniques en 2006
Ostéoporose au cours des hépatopathies chroniques en 2006 Gérard Chalès Service de Rhumatologie, CHU Rennes Hôpital Sud, Rennes Points clés L ostéoporose et non l ostéomalacie est la complication la plus
Plus en détailEvaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée
Evaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée M-A Gomez, M Nasser-Eddin, M Defontaine, B Giraudeau, F Jacquot, F Patat INTRODUCTION L ostéoporose
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailCinq stratégies essentielles pour prendre soin de ses os après 50 ans. www.iofbonehealth.org
Cinq stratégies essentielles pour prendre soin de ses os après 50 ans www.iofbonehealth.org QU EST-CE QUE L OSTÉOPOROSE? L ostéoporose est une maladie qui fragilise les os, conduisant à une augmentation
Plus en détailTRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTÉOPOROSE CORTISONIQUE
Recommandation de Bonne Pratique TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTÉOPOROSE CORTISONIQUE RECOMMANDATIONS 1 GROUPE DE TRAVAIL Docteur Christian ROUX, Président, Rhumatologue, Paris Docteur Bertrand MOURA,
Plus en détailActivité physique et santé osseuse
L os est en remodelage perpétuel selon les contraintes auxquelles il est soumis. Activité physique et santé osseuse Avis du Comité scientifique de Kino-Québec Activité physique et santé osseuse Avis du
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailDeux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban
Deux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban Améliorations attendues et problèmes M.M. Samama, M-H. Horellou, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F.
Plus en détailLes anticoagulants oraux: des AVK aux «NOACs» NOACs ou NACOs? Bandes des rues de Mexico responsables d incivilités permanentes
Les anticoagulants oraux: des AVK aux «NOACs» NOACs ou NACOs? NACO: Contraction de «Narcissistes compacts» Bandes des rues de Mexico responsables d incivilités permanentes Les Nacos ne boivent pas d alcool
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailCibles Nouveaux ACO AVK. Fondaparinux HBPM HNF. Xarelto. Eliquis Lixiana. Pradaxa PARENTERAL INDIRECT ORAL DIRECT. FT / VIIa.
Accidents hémorragiques aux nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP Cibles Nouveaux ACO ORAL DIRECT FT / VIIa PARENTERAL INDIRECT AVK
Plus en détailLes rhumatismes inflammatoires. Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante
Les rhumatismes inflammatoires Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante Arthrite Rhumatoïde (RA) Voorstelling van de ziekte Arthrite Rhumatoïde Inflammation chronique des
Plus en détailCHAPITRE III : LA MENOPAUSE
CHAPITRE III : LA MENOPAUSE I- Définition II- Données démographiques III- Hormonologie de la péri et de la post-ménopause A- La péri-ménopause B- La ménopause C-La post-ménopause IV- La ménopause : savoir
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailSuivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants
Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants M.M. Samama, M-H. Horellou, C. Flaujac, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F. Depasse Biomnis - Ivry sur Seine TFPI TFPI
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailA. Ne u p r e z (1), H. Jo h a n s s o n (2), J.A. Ka n i s (2), E.V. McCl o s k e y (2), A. Od é n (2), O. Br u y è r e (3),
Rationalisation du remboursement des médicaments de l ostéoporose : de la mesure isolée de la densité osseuse à l intégration des facteurs cliniques de risque fracturaire. Validation de l algorithme FRAX
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailImplantologie et Bisphosphonates
Société Française de Stomatologie et Chirurgie Maxillo-Faciale DD Implantologie et Bisphosphonates Recommandations de Bonne Pratique Juillet 2012 1 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 CONTEXTE... 5 BISPHOSPHONATES
Plus en détailTRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida.
TRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida. Malgré une prescription qui date maintenant de quelques dizaines d années, le traitement hormonal substitutif de la ménopause
Plus en détailCommuniqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.
Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailA C T I V Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007
Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007 Edouard BINGEN, Robert COHEN, Corinne LEVY, France de La ROCQUE, Emmanuelle VARON, Yannick AUJARD, pour le GPIP-ACTIV Objectifs de l Observatoire des Méningites
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailHémorragies cérébrales et nouveaux anticoagulants
Hémorragies cérébrales et nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP BHR, Boeringer, LFB, Fresenius-Kabi, Integra-Neurosciences Patient
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailBulletin. Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone?
Bulletin Numéro 34 I Novembre 2013 Vaincre la Sclérose en Plaques par la recherche Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone? Depuis 1992, les interférons (IFNs) et le Copaxone
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailSociété Algérienne de Dermatologie Pédiatrique 12èmes Journées Nationales Alger, 3-4 mars 2011. Symposium PFIZER
Société Algérienne de Dermatologie Pédiatrique 12èmes Journées Nationales Alger, 3-4 mars 2011 Symposium PFIZER Psoriasis de l enfant et traitement biologique B. Bouadjar, Alger Traitement du psoriasis
Plus en détailMéthodes radiographiques d évaluation des fractures vertébrales ostéoporotiques Radiographic methods for evaluating osteoporotic vertebral fractures
Revue du Rhumatisme 76 (2009) 397 404 Mise au point Méthodes radiographiques d évaluation des fractures vertébrales ostéoporotiques Radiographic methods for evaluating osteoporotic vertebral fractures
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailImmunothérapie des cancers bronchiques
Immunothérapie des cancers bronchiques Alexis Cortot, MD, PhD Service de Pneumologie et Oncologie Thoracique Hôpital Calmette, CHRU de Lille UMR8161, Institut de Biologie de Lille 11 ème Journée du CPHG
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailOSTÉOPOROSE PRÉVENIR ET AGIR À TOUT AGE
OSTÉOPOROSE PRÉVENIR ET AGIR À TOUT AGE www.grio.org L'ostéoporose est une maladie qui a été longtemps méconnue et dont les conséquences ont été sous estimées. On sait maintenant qu'il s'agit d'une maladie
Plus en détailLa Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse
La Société de Pharmacie de Lyon, le 17 novembre 2011 Le risque thrombo-embolique : actualités thérapeutiques et sa prise en charge La Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailL exercice à la retraite. Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal
L exercice à la retraite Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal Buts de la conférence Vous renseigner sur les changements du corps qui avance en âge, avec emphase sur le système
Plus en détailsur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière
Généralités sur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière Généralités Tissu vivant Constant renouvellement Trois fonctions principales Tissu de soutien (station
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailTraitement des hépatites virales B et C
Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement
Plus en détail«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»
«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique
Plus en détailEXERCICE N 10 : Modifier le protocole d'un essai pour mieux réussir ; mais réussir quoi?
EXERCICE N 10 : Modifier le protocole d'un essai pour mieux réussir ; mais réussir quoi? Le bévacizumab (Avastin ) est un anticorps monoclonal qui a fait l objet d une autorisation supplémentaire pour
Plus en détailMATTHIEU GUYARD SEBASTIEN MARTRES GUALTER VAZ JEAN-PAUL CARRET
MATTHIEU GUYARD SEBASTIEN MARTRES GUALTER VAZ JEAN-PAUL CARRET PROTHESE TOTALE DE HANCHE POUR OSTEONECROSE ASEPTIQUE DE LA TETE FEMORALE Analyse d une série de 126 arthroplasties. Hôpital Edouard HERRIOT
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailS. Hercberg, Key-words: Antioxidants, Vitamins, Minerals, Randomized trial, Supplementation.
2006. Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés Ann Pharm Fr 2006, 64 : 397-401 Stress oxydant L étude SU.VI.MAX, un essai contrôlé randomisé, en double aveugle, testant l effet de la supplémentation en
Plus en détailNouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette forme rare et sévère d arthrite
Communiqué de presse Bâle, 18 avril 2011 La FDA homologue Actemra dans le traitement de l arthrite juvénile idiopathique systémique (AJIS) Nouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette
Plus en détailOption sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES
Option sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES PLLAANN DU CCOURRSS INTRODUCTION : GENERALITES I. CONSOLIDATION
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailGrande journée de Charleroi. Cas cliniques en biologie clinique: quoi de neuf docteur? M.Lambert
Grande journée de Charleroi 15 janvier 2010 Cas cliniques en biologie clinique: quoi de neuf docteur? M.Lambert Cas N 1: bilan phospho-calcique Femme 64 ans Polyarthrite rhumatoide R/ methylprednisolone
Plus en détailPsoriasis. EPU Bats CARMI Esther
Psoriasis EPU Bats CARMI Esther Idées clefs Co morbidité Biothérapies Intérêt Risque Psoriasis «Exclusion sociale pour impureté» 1805 : individualisation Importance de la microcirculation du derme superficiel
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détail------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE
CNCURS SUR ÉPREUVES UVERT AUX CANDIDATS TITULAIRES D UN DIPLÔME U TITRE CNFÉRANT LE GRADE DE MASTER U D'UN DIPLÔME U TITRE HMLGUÉ U ENREGISTRÉ AU RÉPERTIRE NATINAL DES CERTIFICATINS PRFESSINNELLES AU NIVEAU
Plus en détailConsolidation osseuse et biotechnologies État des lieux. Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY
Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY La problématique Tissu osseux : forte aptitude à se réparer MAIS Situations cliniques particulières
Plus en détailvoie extrinsèque voie intrinsèque VIIa IXa XIa XIIa IX XI prothrombine Xa, V, Ca, PL thrombine IIa facteurs contact XII fibrinogène fibrine
Les nouveaux anticoagulants oraux Pierre Avinée EPU B Septembre 2012 Anticoagulants:pourquoi des nouveaux? Héparines Voie parentérale (1 à 3 fois par jour) Surveillance biologique (HNF) Risque: TIH, ostéoporose
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 10 mars 2010 ARIXTRA 1,5 mg/0,3 ml, solution injectable en seringue pré-remplie - Boîte de 2 (CIP : 363 500-6) - Boîte de 7 (CIP : 363 501-2) - Boîte de 10 (CIP : 564
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailNouveautés dans Asthme & MPOC
Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailPrésenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie
Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailCancer colo-rectal : situation belge
Cancer colo-rectal : situation belge J.-L. Van Laethem, MD, PhD Unité d'oncologie digestive Département médico-chirurgical de Gastro-entérologie Pas de conflit d intérêt déclaré Cancer du colon 7000 nouveaux
Plus en détailPlacebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes
Placebo Effet Placebo Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Plan Définitions Placebo dans les essais thérapeutiques Effet placebo Médicaments
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailQuantification de l AgHBs Pouquoi? Quand?
Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand? Michelle Martinot-Peignoux Service d Hépatologie Hôpital Beaujon Université Paris-Diderot INSERM U-773/CRB3 Clichy-France Plan Introduction Applications Cliniques
Plus en détailQu avez-vous appris pendant cet exposé?
Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Karl VINCENT, DC IFEC 2010 Diplôme Universitaire de Méthodes en Recherche Clinique Institut de Santé Publique d Epidémiologie et de développement ISPED Bordeaux
Plus en détailAvis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 avril 2014 BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA DCI Code ATC (2012) Motif de l
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détail