Le quasi-apport Une tâche spécifique, confiée par la loi à votre réviseur d entreprises
|
|
- Marie-Paule Grégoire
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 2. Bas i s reg el s voor een g ezon d f i n an ci eel b el ei d Le quasi-apport Une tâche spécifique, confiée par la loi à votre réviseur d entreprises MISSIONS SPÉCIFIQUES DU RÉVISEUR D ENTREPRISES DANS LA VIE DE L ENTREPRISE 1
2 In trod u cti on Un entrepreneur a constitué une société il y a moins de deux ans et souhaite vendre des biens détenus à titre privé à sa société parce qu il peut les utiliser dans l exercice de son activité. Peut-il faire ceci tout simplement ou doit-il respecter certaines règles particulières? Lorsqu une société, dans les deux ans à dater de sa constitution, souhaite acquérir un élément de patrimoine appartenant à un fondateur, un associé ou un gérant/administrateur contre paiement d un montant égal ou supérieur à un dixième du capital souscrit, il est question de quasi-apport. Dans ce cas, l entrepreneur devra, de sa propre initiative, remplir certaines formalités avant que la société ne puisse procéder à l acquisition des actifs concernés. L objectif principal de ces formalités est de veiller à ce que la société ne paie pas de rémunération excessive pour les biens qu elle souhaite acquérir. Dans ce cas, on soustrairait en effet indûment des moyens à la société et on l appauvrirait au détriment d éventuels créanciers. Cette règle n est cependant pas d application dans les cas suivants : lors d acquisitions faites dans le cadre de l activité normale de la société et conclues à des conditions conformes au marché ; lors d acquisitions en Bourse ; lors d acquisitions résultant de ventes forcées. La présente brochure a pour objectif de constituer un guide succinct à l occasion d un quasi-apport, en tenant compte de la réglementation en vigueur. Elle ne peut en aucun cas être considérée comme un exposé exhaustif sur le sujet. Dans le cadre de sa mission, le réviseur d entreprises peut transmettre cette brochure au client. Cette brochure a été rédigée par le groupe de travail SME/SMP au sein de l Institut des Réviseurs d Entreprises, composé de : I. Saeys (Président), M. Hoste,T. Dupont, D. Smets, J.-P. Vandaele, L.R. Van Den Abbeele, L. Vleck, J. Nicolet et P. Weyers. Toutes les brochures de l IRE sont disponibles sur le site internet : De brochures zijn ook verkrijgbaar in het Nederlands. 2
3 Que peut-on apporter? Les opérations les plus classiques ont trait à l apport d éléments matériels comme des biens immobiliers, des machines, des meubles, des véhicules, des stocks, une activité d entreprise, etc. Il peut également s agir d éléments immatériels comme des brevets, une clientèle, des marques, etc. Un goodwill est aussi un actif incorporel et peut donc également faire l objet d un quasi-apport mais, dans ce cadre, il convient de ne pas perdre de vue que le goodwill va de pair avec une activité d entreprise, ce qui signifie que le quasi-apport d un goodwill doit être examiné en même temps que le transfert des activités qui y sont liées. Un quasi-apport concerne donc un achat/vente, où la société achète quelque chose appartenant à un fondateur, un associé, un gérant ou un administrateur et pour lequel la société paie en contrepartie un certain montant ou a une dette vis-à-vis du vendeur. Contrairement à l apport en nature, la rémunération ne consiste pas en des actions de la société. Ainsi, en principe, aucun acte notarié n est requis si le capital de la société n est pas modifié. Il y a toutefois un certain nombre d autres exigences formelles à remplir, dont l intervention d un réviseur d entreprises et d un notaire, lorsque le quasi-apport concerne un bien immobilier. Le législateur a prévu une série de mesures d exception où l intervention d un réviseur d entreprises n est pas requise lors d un apport. 3
4 Mod al i tés L ensemble de la procédure doit en principe être menée, de sa propre initiative, par l organe de gestion. Lorsqu un commissaire a été nommé dans la société, c est à celui-ci que revient de plein droit l établissement du rapport de contrôle. Si aucun commissaire n a été nommé, il revient à l organe de gestion de désigner un réviseur d entreprises en vue d établir le rapport de contrôle. D un point de vue déontologique, le réviseur d entreprises est tenu de faire signer une lettre de mission dans laquelle il est notamment certifié qu aucun autre réviseur d entreprises n a été chargé de la même mission dans les douze mois précédents. L organe de gestion doit également rédiger un rapport spécial dans lequel il expose l intérêt que présente le quasi-apport pour la société et dans lequel il doit, le cas échéant, également commenter les raisons pour lesquelles il s écarte de l opinion du réviseur d entreprises. En effet, le réviseur d entreprises exprimera son opinion sur l opération envisagée dans son rapport qu il rédigera sur la base d un projet de rapport de l organe de gestion. Il est possible que la direction de l entreprise ne partage pas l opinion du réviseur d entreprises, ce qui mène alors souvent à une concertation entre les intéressés. S ils n arrivent pas à un même jugement, le chef d entreprise devra commenter dans son rapport les raisons pour lesquelles l opinion du réviseur d entreprises n est pas suivie. Cette acquisition doit être soumise à l autorisation préalable de l assemblée générale. Tant le rapport spécial de l organe de gestion que le rapport du réviseur d entreprises sont déposés au greffe du tribunal de commerce et sont dès lors accessibles au public. Dél ai s A l occasion de sa nomination par l organe de gestion, le réviseur d entreprises estimera le temps nécessaire pour exécuter ses travaux de contrôle ainsi que ceux relatifs à l élaboration de son rapport. A cet égard, il ne faut pas perdre de vue que le rapport spécial définitif de l organe de gestion ainsi que le rapport de contrôle du réviseur d entreprises doivent être mis à la disposition des actionnaires quinze jours avant l assemblée générale. Ces rapports doivent être déposés au greffe du tribunal de commerce dans les quinze jours suivant l assemblée générale. 4
5 T âch es s p éci f i q u es d u rév i s eu r d en trep ri s es L intervention du réviseur d entreprises à l occasion d un quasi-apport est réglée par la loi. Il intervient en qualité d expert indépendant et doit s exprimer dans son rapport de révision sur un certain nombre d aspects spécifiques, à savoir : il doit mentionner dans son rapport l identité et la qualité du propriétaire du bien visé (fondateur, gérant, administrateur ou actionnaire) ; de plus, il doit insérer dans son rapport une description des actifs (et, le cas échéant, des dettes) qui font l objet du quasi-apport ; en outre, il doit également faire rapport sur les méthodes d évaluation appliquées par les apporteurs pour l évaluation des actifs (et, le cas échéant, des dettes) à apporter. Il n appartient nullement à la mission du réviseur d entreprises d effectuer l évaluation, mais bien d exprimer son opinion sur l évaluation effectuée ; le réviseur d entreprises devra également s exprimer dans son rapport sur la rémunération attribuée en contrepartie du quasi-apport ; enfin, le réviseur d entreprises doit faire part de ses conclusions quant à la concordance entre les éléments vendus et la rémunération attribuée en contrepartie. La mission est exécutée selon un programme de travail adapté que le réviseur d entreprises établit conformément aux normes de l Institut des Réviseurs d Entreprises. Le réviseur d entreprises récoltera, entre autres, les informations suivantes pour son dossier de contrôle : la lettre de mission signée par l organe de gestion ; les données personnelles de l apporteur telles que sa pièce d identité, son régime matrimonial, etc. ; le rapport (sous forme de projet) de l organe de gestion ; une description claire et détaillée des biens apportés pour lesquels il doit par exemple vérifier si le bien à apporter est grevé d une inscription hypothécaire ; les titres de propriété de l apporteur tels que des factures, un acte d achat, un extrait hypothécaire, etc. ; des documents d évaluation tels que le rapport d évaluation d un expert, etc. ; d éventuels accords de tiers tels que l accord d un créancier lorsque le quasi-apport a trait à un bien immobilier grevé d une inscription hypothécaire. Dans ce cas, l intervention d un notaire est également requise ; certaines déclarations spécifiques de l organe de gestion qui sont, la plupart du temps, standardisées sous forme d une lettre ; les attestations requises. 5
6 La loi oblige le réviseur d entreprises à reprendre dans son rapport une description des biens que la société se propose d acquérir. En général, le quasi-apport requiert que le réviseur d entreprises effectue un contrôle physique de l existence et de l état des biens à apporter. Le cas échéant, il fera, à cet égard, appel à un expert. Comme mentionné précédemment, le réviseur d entreprises analysera le mode d évaluation des biens apportés à la société, qui a été retenu par les parties. L objectif n est nullement qu il effectue lui-même l évaluation. Lors de son analyse, il contrôlera essentiellement si les modes d évaluation adoptés par les parties conduisent à des valeurs qui ne s écartent manifestement pas des valeurs qui découleraient d un accord conclu entre des parties non liées dans des conditions normales de marché. Dans ce cadre, le réviseur d entreprises prêtera une attention particulière à la question de savoir si le quasi-apport n est pas surévalué. Si cela semble être le cas, il le mentionnera explicitement dans son rapport et émettra une opinion négative à cet égard. L évaluation doit reposer sur des considérations liées à l économie d entreprise. Ceci implique que lors de l évaluation, il convient de ne pas se laisser (exclusivement) guider par, par exemple, des dispositions réglementaires spécifiques applicables à un secteur particulier, ni par des règles générales, des restrictions ou des plafonds qui sont développés, par exemple, par la doctrine ou la jurisprudence fiscales. Le Code des sociétés stipule que l organe de gestion est tenu solidairement envers tout tiers intéressé par la réparation du préjudice qui serait une conséquence immédiate et directe de la surévaluation manifeste des éléments de patrimoine acquis. Le réviseur d entreprises est responsable pour l opinion qu il exprimera dans son rapport de révision. 6
7 Con s éq u en ces f i s cal es Le quasi-apport aura également des conséquences au niveau fiscal. Celles-ci différeront selon les circonstances spécifiques. Il est recommandé de demander un avis à ce sujet et ce, en concertation avec votre conseiller. Cod e d es s oci étés SPRL : art SC : art. 396 SA : art SCA : art
8 MISSIONS SPÉCIFIQUES DU RÉVISEUR D ENTREPRISES DANS LA VIE DE L ENTREPRISE Institut des Réviseurs d'entreprises Rue d Arenberg Bruxelles Fax: info@ibr-ire.be Institut des Réviseurs d Entreprises - E.R.: IRE David Szafran Rue d Arenberg Bruxelles SME/SMP 2008/2
4. NORMES RELATIVES AU CONTROLE DES APPORTS EN NATURE ET QUASI-APPORTS
4. NORMES RELATIVES AU CONTROLE DES APPORTS EN NATURE ET QUASI-APPORTS Vu la loi du 22 juillet 1953 portant création de l I.R.E., telle que modifiée par la loi du 21 février 1985, spécialement les articles
Plus en détailComment établir des projections financières pour ma PME? LE REVISEUR & L ENTREPRISE
Comment établir des projections financières pour ma PME? LE REVISEUR & L ENTREPRISE Table des matières 1. Le plan financier: une réflexion sur le futur 3 2. Le plan financier préscrit par le Code des sociétés
Plus en détail3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES
3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES Considérant que la révision des comptes consolidés doit s exercer conformément aux normes générales de révision; que ses caractéristiques
Plus en détailComment rémunérer son personnel à partir des résultats ou du capital de la société? LE REVISEUR & L ENTREPRISE
Comment rémunérer son personnel à partir des résultats ou du capital de la société? LE REVISEUR & L ENTREPRISE Introduction Table des matières Introduction 3 1. Définitions des différents plans et cadre
Plus en détail(la Société ) I. ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE
Wereldhave Belgium SCA Société en commandite par action Société publique d investissement à capital fixe en immobilier (Sicafi) de droit belge Medialaan 30, boîte 6 1800 Vilvoorde Numéro d entreprises
Plus en détailjanvier 2014 Choisir un statut juridique Entreprise individuelle ou société?
janvier 2014 Choisir un statut juridique Entreprise individuelle ou société? Choisir un statut juridique Entreprise individuelle ou société? 2 Service public fédéral Economie, P.M.E., Classes moyennes
Plus en détail(la Société ) ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE
Wereldhave Belgium SCA Société en commandite par actions Société publique d investissement à capital fixe en immobilier (Sicafi) de droit belge Medialaan 30, boîte 6 1800 Vilvoorde Numéro d entreprise
Plus en détailComment reprendre une entreprise? De l importance des audits d acquisition LE REVISEUR & L ENTREPRISE
Comment reprendre une entreprise? De l importance des audits d acquisition LE REVISEUR & L ENTREPRISE Table des matières Préambule 3 1. Etapes habituelles de la reprise 4 2. La définition du prix 5 2.1.
Plus en détailLES CONDITIONS REQUISES POUR CREER UNE SARL
LES CONDITIONS REQUISES POUR CREER UNE SARL Hôtel Consulaire Nouveau-Port 20293 BASTIA Tél : 04.95.54.44.44 Fax : 04.95.54.44.47 DIRECTION DES SERVICES AUX ENTREPRISES CCI Bastia Haute Corse DSE Sous réserve
Plus en détailLa dissolution et la liquidation en un seul acte
La dissolution et la liquidation en un seul acte La loi du 25 avril 2014 portant des dispositions diverses en matière de Justice a apporté de nouvelles modifications à l'article 184, 5 du Code des sociétés
Plus en détailREQUETE AUX FINS D OUVERTURE D UNE PROCEDURE DE CONCILIATION (Articles L. 611-6 et R. 611-22 du code de commerce)
REQUETE AUX FINS D OUVERTURE D UNE PROCEDURE DE CONCILIATION (Articles L. 611-6 et R. 611-22 du code de commerce) Identification de la personne déposant la demande Nom de naissance : Nom d usage : Prénoms
Plus en détailLes modalités de la vente. La société civile immobilière SCI. www.notaires.paris-idf.fr
IMMOBILIER Les modalités de la vente La société civile immobilière SCI www.notaires.paris-idf.fr Les modalités de la vente La société civile immobilière SCI Une Société Civile Immobilière (SCI) est une
Plus en détailLes sociétés agricoles
Les sociétés agricoles L exercice d une activité agricole peut se faire soit dans le cadre d une entreprise individuelle soit dans le cadre d une société. Dans cette dernière situation, la loi prévoit
Plus en détailImplantation au Maroc
Implantation au Maroc I- Fonction du guichet d aide à la création d entreprises Le Guichet d aide à la création d entreprises est l interlocuteur unique de toutes les personnes qui veulent créer une entreprise,
Plus en détailDemande d'ouverture de sauvegarde
Demande d'ouverture de sauvegarde Identification de la personne déposant la demande Nom de naissance : Nom d usage : Prénoms : Né(e) le à Nationalité : Situation matrimoniale (en cas de mariage, préciser
Plus en détailles Contrats de mariage, les régimes matrimoniaux
Personnes et familles Vie familiale / vie à deux les Contrats de mariage, les régimes matrimoniaux www.notaires.paris-idf.fr Vie familiale, vie à deux LES CONTRATS DE MARIAGE ET LES RÉGIMES MATRIMONIAUX
Plus en détailApport Partiel d Actif et interventions du Commissaire aux comptes. Audit Commissariat aux comptes Expertise comptable & Conseil
Apport Partiel d Actif et interventions du Commissaire aux comptes PAGES Introduction 3-4 Mission de commissariat aux apports 5-6 Mission de commissariat à la scission 7-8 Introduction Définition : L'Apport
Plus en détailguide du créateur d entreprise 63
06 Choisir une forme juridique guide du créateur d entreprise 63 1. Entreprise individuelle ou société? Prendre la décision d exercer vos activités en tant qu indépendant en personne physique ou de constituer
Plus en détailGUIDE DU CRÉATEUR D ENTREPRISE
GUIDE DU CRÉATEUR D ENTREPRISE Révision : 1/02/08 Impression : 8/02/08 GUIDE DU CRÉATEUR D ENTREPRISE I. CHOIX DE LA FORME JURIDIQUE Le Sénégal est, depuis le 18 septembre 1995, membre de l Organisation
Plus en détailRester indépendant en personne physique ou devenir indépendant en personne morale?
Communauté Française - Ville de Bruxelles Institut des Carrières Commerciales Rue de la Fontaine, 4 1000 - Bruxelles Rester indépendant en personne physique ou devenir indépendant en personne morale? Comparaison
Plus en détailCIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2011-06. Objet : Renforcement des règles de bonne gouvernance dans les établissements de crédit.
Tunis, le 20 mai 2011 CIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2011-06 Objet : Renforcement des règles de bonne gouvernance dans les établissements de crédit. Le Gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie,
Plus en détailLes différentes formes de sociétés et leur mode de fonctionnement
Mise à jour : 10/06/2014 Parc scientifique Einstein - Rue du Bosquet 8A - B-1348 Louvain-La-Neuve Téléphone : +32 (0)10/811 147 Fax +32 (0)70/401 237 - info@filo-fisc.be Les différentes formes de sociétés
Plus en détailS.A RODRIGUEZ GROUP. Exercice 2004-2005
S.A RODRIGUEZ GROUP Exercice 2004-2005 Rapport du Président du Conseil de Surveillance sur les procédures de contrôle interne Mesdames, Messieurs, Chers Actionnaires, Conformément aux dispositions de l
Plus en détailDiligences professionnelles du réviseur d entreprises qui agit comme domiciliataire de sociétés INDEX
Diligences professionnelles du réviseur d entreprises qui agit comme domiciliataire de sociétés Cette recommandation professionnelle a été adoptée lors de l'assemblée générale de l'institut des Réviseurs
Plus en détailLa société privée à responsabilité limitée
La société privée à responsabilité limitée Avril 2008 La société privée à responsabilité limitée Avril 2008 2 Service public fédéral Economie, P.M.E., Classes moyennes et Energie Rue du Progrès 50 B-1210
Plus en détailGUIDE PRATIQUE SUCCESSION
GUIDE PRATIQUE SUCCESSION Vous venez d'hériter. Il s'agit d'une situation difficile et douloureuse pour laquelle diverses démarches doivent être faites. Les questions que vous vous posez sont nombreuses
Plus en détailVOTE PAR CORRESPONDANCE ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE (**)
VOTE PAR CORRESPONDANCE Le(a) soussigné(e) Prénom Nom Adresse ou Dénomination sociale Forme juridique. Adresse du siège social. ci-après représenté(e) par. (nom, prénom et qualité du représentant) qui
Plus en détailCode civil local art. 21 à 79
Code civil local art. 21 à 79 Toute association qui fixe son siège, ou qui transfère son siège en Alsace-Moselle doit rédiger des statuts conformes aux présents articles du Code civil local. 1. Dispositions
Plus en détailSAVOIR TIRER PARTI DES OPPORTUNITES FISCALES DE LA SOCIETE CIVILE A L'IR
SAVOIR TIRER PARTI DES OPPORTUNITES FISCALES DE LA SOCIETE CIVILE A L'IR Outil d'optimisation fiscale très performant par rapport à la détention directe d'un patrimoine, la société civile permet de choisir
Plus en détailLES DIFFERENTES FORMES JURIDIQUES D UNE ENTREPRISE
LES DIFFERENTES FORMES JURIDIQUES D UNE ENTREPRISE Une entreprise est une entité économique et sociale qui permet la production et la vente de biens et de services répondant à un besoin par le biais de
Plus en détailAlgérie. Code des sociétés (livre 5 du code de commerce)
Code des sociétés (livre 5 du code de commerce) Ordonnance du 26 septembre 1975 [NB - Cette version est à jour des textes suivants : le Décret législatif n 93-08 du 25 avril 1993 ; l Ordonnance n 96-27
Plus en détailACHETER OU VENDRE UNE ACTIVITE DE COURTAGE : LA MÉTHODE POUR RÉUSSIR
ACHETER OU VENDRE UNE ACTIVITE DE COURTAGE : LA MÉTHODE POUR RÉUSSIR 72, rue du Faubourg Saint - Honoré 75008 PARIS Tél : 01.46.10.43.80 Fax : 01.47.61.14.85 www.astreeavocats.com Xxx Enjeux Cahier des
Plus en détailaux Comptes et Attestation
Rapports des Commissaires aux Comptes et Attestation page.1. Rapport des Commissaires aux Comptes sur les comptes annuels* 186.2. Rapport des Commissaires aux Comptes sur les comptes consolidés* 188.3.
Plus en détailLe non-paiement répété par la société de la dette d impôt en matière de TVA, est, sauf preuve du contraire, présumé résulter d une faute.
23. Je suis dirigeant d une société. Existe-t-il des cas dans lesquels je peux être tenu des dettes de ma société vis-à-vis de la TVA ou du précompte professionnel? Cette situation peut effectivement se
Plus en détailNouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés)
Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés) INTRODUCTION Historique 1. Le 6 octobre 1989, le Conseil de l IRE a approuvé une recommandation de révision
Plus en détailSuccès commercial avec la Russie Les 10 Principes de Base
Succès commercial avec la Russie Les 10 Principes de Base Les 10 Principes de Base Introduction Tout d abord, une bonne nouvelle: vendre en Russie n exige en général pas plus de préparation ni d informations
Plus en détail«OUTIL DE GESTION DE LA RELATION CLIENT - CRM» CONVENTION DE PRESTATIONS
«OUTIL DE GESTION DE LA RELATION CLIENT - CRM» CONVENTION DE PRESTATIONS 18/06/2015 CONTRACTANTS Entre d une part, RESSOURCES, Association régie par la Loi du 1 er juillet 1901 modifiée et ses textes d
Plus en détailHAUT COMITE DE GOUVERNEMENT D ENTREPRISE GUIDE D APPLICATION DU CODE AFEP-MEDEF DE GOUVERNEMENT D ENTREPRISE DES SOCIETES COTEES DE JUIN 2013
HAUT COMITE DE GOUVERNEMENT D ENTREPRISE GUIDE D APPLICATION DU CODE AFEP-MEDEF DE GOUVERNEMENT D ENTREPRISE DES SOCIETES COTEES DE JUIN 2013 Janvier 2014 Ce guide a pour objet de préciser l interprétation
Plus en détailL huissier de justice
L huissier de justice Introduction Si vous devez faire appel à un huissier de justice ou si vous êtes confronté à son intervention, vous vous posez peut-être quelques questions sur ce qui vous attend.
Plus en détailConseils & Accompagnement
Conseils & Accompagnement Se lancer comme indépendant en personne physique ou en société? Aidez-vous de notre tableau comparatif pour prendre votre décision. N'hésitez pas à contacter nos conseillers pour
Plus en détailContrat d agence commerciale
http://www.droitbelge.net infos@droitbelge.net Contrat d agence commerciale Auteur: Me Frédéric Dechamps, avocat AVERTISSEMENT Ce document est une version d évaluation du contrat. Il a pour seul objectif
Plus en détailTITRE V : ORGANISMES DE PLACEMENT COLLECTIF
TITRE V : ORGANISMES DE PLACEMENT COLLECTIF Chapitre I : Les Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières Section I : Dispositions générales Article 264 : Les dispositions du présent chapitre
Plus en détailNom de naissance : Nom d usage : Prénoms : Né(e) le à Nationalité : Domicile : Fonction du dirigeant : Assisté(e) ou représenté(e) 1 par :
Demande d'ouverture de sauvegarde accélérée ou de sauvegarde financière accélérée (L. 628-1, R. 628-2, D. 628-3, R. 621-1 et le cas échéant L. 628-9 et R. 628-13 du code de commerce) Identification du
Plus en détailen10 points L entrepreneur individuel à responsabilité limitée
L entrepreneur individuel à responsabilité limitée en10 points Frédéric LEFEBVRE, Secrétaire d État chargé du Commerce, de l Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services, des
Plus en détailRAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GENERAL
4.5.1 RAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GENERAL relatif au transfert du patrimoine immobilier de la S.I. Le Locle-Avenir S.A. en faveur de la Commune du Locle Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs,
Plus en détail1 copie de l acte pour le dossier + 2 x Formulaire I et II. 1 copie de l acte pour le dossier + 2 x Formulaire I et le cas échéant II
ASSOCIATIONS, FONDATIONS et ORGANISMES : UTILISATION DES FORMULAIRES 1. Associations, Fondations et Organismes existantes. Formulaires à utiliser SITUATION JURIDIQUE Coûts 1 2013 Nombre exemplaires Modification
Plus en détail«Guide du créateur d entreprise» Recueil d informations utiles
«Guide du créateur d entreprise» Recueil d informations utiles «Guide du créateur d entreprise» Recueil d informations utiles 3. «... Pour ces considérations, nous avons décidé qu il sera créé, sous la
Plus en détailCodes des banques 9 septembre 2009
Codes des banques 9 septembre 2009 1/16 PREAMBULE Le Code des banques a été établi par l Association des banques néerlandaises (NVB) en réponse au rapport intitulé Naar herstel van vertrouwen (vers le
Plus en détailDÉCLARATION DES INTÉRÊTS PERSONNELS DU MEMBRE DU CONSEIL EXÉCUTIF FORMULAIRE III (ENFANT À CHARGE)
DÉCLARATION DES INTÉRÊTS PERSONNELS DU MEMBRE DU CONSEIL EXÉCUTIF FORMULAIRE III (ENFANT À CHARGE) CODE D ÉTHIQUE ET DE DÉONTOLOGIE DES MEMBRES DE L ASSEMBLÉE NATIONALE (chapitre C-23.1, articles 51, 52
Plus en détailANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES
PPB-2006-8-1-CPA ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES Introduction 0. Base légale 1. Le contrôle interne 1.1. Définition et éléments constitutifs 1.2. Mesures
Plus en détailMANUEL DES NORMES Audit légal et contractuel
325 MANUEL DES NORMES TITRE 6 NORMES RELATIVES AUX INTERVENTIONS CONNEXES A LA MISSION GENERALE 326 6000. NORMES ET COMMENTAIRES DES NORMES RELATIFS AUX INTERVENTIONS CONNEXES A LA MISSION GENERALE SOMMAIRE
Plus en détailAvis n 2011-01 du 15 septembre 2011
Avis n 2011-01 du 15 septembre 2011 relatif à l exigence d une assurance de responsabilité civile pour dommages directs ou indirects sous peine de résiliation du contrat La Commission interprofessionnelle
Plus en détailGUIDE DE LA CREATION D ENTREPRISE EN SERBIE. Cadre légal Autorisations sectorielles Procédure
GUIDE DE LA CREATION D ENTREPRISE EN SERBIE Cadre légal Autorisations sectorielles Procédure GUIDE DE LA CREATION D ENTREPRISE EN SERBIE Cadre légal Autorisations sectorielles Procédure Belgrade, 2014
Plus en détailMISE À JOUR DE LA DÉCLARATION DES INTÉRÊTS PERSONNELS DU DÉPUTÉ FORMULAIRE III (ENFANT À CHARGE)
MISE À JOUR DE LA DÉCLARATION DES INTÉRÊTS PERSONNELS DU DÉPUTÉ FORMULAIRE III (ENFANT À CHARGE) CODE D ÉTHIQUE ET DE DÉONTOLOGIE DES MEMBRES DE L ASSEMBLÉE NATIONALE (chapitre C-23.1, articles 37 et 38)
Plus en détailCréer une ASBL : Comment s y prendre?
Créer une ASBL : Comment s y prendre? Bruxelles, 11 décembre 2013 Programme du jour: 1) Introduction 2) La personnalité juridique, différences société-asbl 2) Constitution d une ASBL 3) Mesures de publicité
Plus en détailCréer son ASBL. VERSION 1 01 février 2013
Créer son ASBL La démarche à suivre! Ce dossier a été rédigé par l AWBB pour faciliter la démarche des clubs qui doivent acquérir la forme juridique ASBL avant le 30 juin 2013. VERSION 1 01 février 2013
Plus en détailLoi n 17-95 Relative aux sociétés anonymes*
Loi n 17-95 Relative aux sociétés anonymes* Référence Titre premier : Dispositions générales Titre II : De la constitution et de l' immatriculation des sociétés anonymes Titre III : De l' administration
Plus en détail2008 Règles de conduite pour négociants en valeurs mobilières. applicables à l exécution d opérations sur titres
008 Règles de conduite pour négociants en valeurs mobilières applicables à l exécution d opérations sur titres Table des matières Préambule... 3 A Directives générales... 4 Art. Base légale... 4 Art. Objet...
Plus en détailLe TEG dans tous ses états
Le TEG dans tous ses états L un des ingrédients essentiels pour choisir son prêt immobilier est son taux. Mais si le taux d intérêt mis en avant par le prêteur est important, le Taux Effectif Global (ou
Plus en détail1.2 Les conditions standards de l Acheteur sont expressément exclues par les présentes conditions.
CONDITIONS GÉNÉRALES DE LIVRAISON D ALPHA DEUREN INTERNATIONAL B.V. dont le siège et les bureaux sont établis à Didam, inscrit au registre du commerce de la Chambre de commerce de la Gueldre centrale sous
Plus en détailFICHE N 8 - LES ACTIONS EN RECOUVREMENT DES CHARGES DE COPROPRIETE
FICHE N 8 - LES ACTIONS EN RECOUVREMENT DES CHARGES DE COPROPRIETE A QUI INCOMBE LE RECOUVREMENT DES CHARGES? Le rôle du syndic : Le non-paiement des charges par un ou plusieurs copropriétaires oblige
Plus en détailEIRL. Introduction. En 2010, les pouvoirs publics instaurent l EIRL avec un double objectif :
EIRL Introduction Depuis plus de 30 ans, vos élus se sont battus pour atteindre un objectif : assurer la protection du patrimoine personnel de l entrepreneur individuel en cas de difficultés professionnelles
Plus en détailQuelles nouveautés pour les rapports à présenter à l assemblée générale ordinaire annuelle?
Pratique d experts 9 Assemblées générales 2014 (sociétés cotées et sociétés non cotées) Toutes les nouveautés pour la préparation de vos assemblées générales : rapports à présenter, décisions à prendre,
Plus en détailJURIDIC ACCESS. Le droit pour les professionnels de santé F8. PROTECTION DES BIENS PERSONNELS DU MEDECIN
JURIDIC ACCESS Le droit pour les professionnels de santé Organisation du cabinet Fiscalité, comptabilité, patrimonialité F8. PROTECTION DES BIENS PERSONNELS DU Auteur : Nora Boughriet, docteur en droit
Plus en détailLe passage en société
Le passage en société Ce sujet est d une telle complexité que nous n avons pas la prétention de l aborder de manière exhaustive dans ces quelques pages. Certains ouvrages repris en bibliographie le traitent
Plus en détailImpacts de la réglementation sur le métier d IOBSP
Impacts de la réglementation sur le métier d IOBSP Marie-Agnès NICOLET Regulation Partners Présidente fondatrice 35, Boulevard Berthier 75017 Paris marieagnes.nicolet@regulationpartners.com +33.6.58.84.77.40
Plus en détailDES MEUBLES INCORPORELS
Un bien meuble incorporel est un bien qui n a pas d existence matérielle. C est un bien impalpable (ex : une somme d argent, les parts d une société). En France, il existe différents types de saisies de
Plus en détailG uide M éthodologique
MESURES DE PROTECTION DES MINEURS Suivez le guide!!! AVRIL 2015 G uide M éthodologique Document actualisé le 07 avril 2015 par Le Service en charge des Mesures de Protection des Mineurs de l UDAF de la
Plus en détailB Qui sont les propriétaires et les gestionnaires des entreprises?
B Qui sont les propriétaires et les gestionnaires des entreprises? a) L entrepreneur individuel trepreneur individuel Nombre de propriétaires = 1 seul Responsabilité sur ses biens propres = illimitée Activités
Plus en détailGUIDE PRATIQUE DE LA SCI
PASCAL DÉNOS Diplômé d expertise-comptable et Commissaire aux Comptes DESS en Banques et Finances GUIDE PRATIQUE DE LA SCI Modèles prêts à l emploi sur CD-Rom www.editions-organisation.com/livres/denos
Plus en détailLa délégation de pouvoirs
La délégation de pouvoirs, est un acte juridique par lequel une personne/autorité (le délégant) se dessaisit d'une fraction des pouvoirs qui lui sont conférés et les transfère à une personne/autorité subordonnée
Plus en détailmaison pour associations
maison pour associations Eléments de compréhension de la comptabilité des petites A.S.B.L. mpa, Association Sans But Lucratif Route de Mons, 80 à 6030 Marchienne-au-Pont Tél 071 53 91 53 - Fax 071 53 91
Plus en détail5.5.4. Evaluation du Conseil d administration, de ses Comités et de ses administrateurs individuels. 5.5.5. Autres rémunérations
5.5.4. Evaluation du Conseil d administration, de ses Comités et de ses administrateurs individuels Sous la direction de son Président, le Conseil d administration évalue régulièrement sa taille, sa composition
Plus en détailContrat de partenariat et domaine public
Contrat de partenariat et domaine public Le titulaire d un contrat de partenariat est souvent dans la situation d un occupant du domaine public, ce qui conduit à s interroger sur l articulation des régimes
Plus en détailQue pourrait-on donner comme exemples d organismes à but non lucratif? Est-il interdit aux organismes à but non lucratif de faire de l argent?
ORGANISMES À BUT NON LUCRATIF UN GUIDE JURIDIQUE La présente brochure a pour but principal de donner des renseignements généraux aux groupes communautaires et aux organismes à but non lucratif qui envisagent
Plus en détailLe Président Correspondant sg@ibr-ire.be
AVIS (1) 2015/02 DU CONSEIL DE L INSTITUT DES REVISEURS D ENTREPRISES Le Président Correspondant sg@ibr-ire.be Notre référence EV/VY/vy Votre référence Date 02 mars 2015 Chère Consœur, Cher Confrère, Concerne
Plus en détailDISPOSITIONS GÉNÉRALES
DISPOSITIONS GÉNÉRALES Le présent contrat est régi par le Code civil du Québec Les références aux articles du Code civil du Québec accompagnant certaines dispositions ne sont données qu à titre indicatif
Plus en détailD/2005/7951/FR/293. La Justice et vous. Les acteurs de la Justice. Les institutions. S informer. Justice pratique. Les ASBL
D/2005/7951/FR/293 La Justice et vous Les acteurs de la Justice Les institutions S informer Justice pratique Les ASBL AVANT-PROPOS La Constitution de notre pays proclame la liberté d association. Celle-ci
Plus en détail3.1. Eléments probants externes (7 juillet 1995)
3. ASPECTS TECHNIQUES 79 80 3.1. Eléments probants externes (7 juillet 1995) Introduction Selon le paragraphe 2.5. des normes générales de révision de l I.R.E., «Le réviseur d entreprises doit récolter
Plus en détailFORMULAIRE DE DEMANDE D AGREMENT DES SOCIETES DE BOURSE ET AUTRES INTERMEDIAIRES DE MARCHE
FORMULAIRE DE DEMANDE D AGREMENT DES SOCIETES DE BOURSE ET AUTRES INTERMEDIAIRES DE MARCHE 1 I - DEMANDE D AGREMENT Dénomination de la Société pour laquelle l agrément est requis :. Siège social :. Tel./Fax
Plus en détailComptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA
Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA Le résumé des comptes annuels de la société Groupe Delhaize SA est présenté ci-dessous. Conformément au Code des Sociétés, les comptes annuels complets, le
Plus en détailVotre Entreprise en Suisse. Philipp Troesch Avocat Schaer Partners Bâle, le 26 septembre 2014
Votre Entreprise en Suisse Philipp Troesch Avocat Schaer Partners Bâle, le 26 septembre 2014 Thèmes abordés 1. Présentation 2. Premiers pas, le début d un projet 3. Fonder une société en Suisse 4. Gérer
Plus en détailLa délégation de pouvoirs
La délégation de pouvoirs DELEGATIONS DE POUVOIR Secteur Pharmaceutique Paris, 27 septembre 2006 Introduction: définition, contexte et rappel des principes généraux Délégation de pouvoirs et notions voisines
Plus en détailSYNERGIE. Société Anonyme Capital social : 121.810.000 Siège : 11 avenue du Colonel Bonnet 75016 PARIS RCS 329.925.010 PARIS S T A T U T S
SYNERGIE Société Anonyme Capital social : 121.810.000 Siège : 11 avenue du Colonel Bonnet 75016 PARIS RCS 329.925.010 PARIS S T A T U T S Statuts mis à jour suite à l Assemblée Générale Mixte du 17 juin
Plus en détailAEDIFICA SOCIETE ANONYME SICAF IMMOBILIERE PUBLIQUE DE DROIT BELGE AVENUE LOUISE 331-333 1050 BRUXELLES R.P.M. BRUXELLES N ENTREPRISE 0877.248.
AEDIFICA SOCIETE ANONYME SICAF IMMOBILIERE PUBLIQUE DE DROIT BELGE AVENUE LOUISE 331-333 1050 BRUXELLES R.P.M. BRUXELLES N ENTREPRISE 0877.248.501 FUSION PAR ABSORPTION DE LA SOCIETE ANONYME IMMO RESIDENCE
Plus en détailRapport d audit interne
Exercice social clos au 31/12/2004 Rapport d audit interne du Président du Conseil d administration de la Compagnie Financière de Deauville en application de l article 117 de la loi n 2003-706 du 1 er
Plus en détailINSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE
INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE La Banque Centrale du Congo, Vu la loi n 005/2002 du 07 mai 2002
Plus en détailPROCES-VERBAL DE L ASSEMBLEE SPECIALE DES PORTEURS D ACTIONS A DROIT DE VOTE DOUBLE DU 29 MAI 2015
LEGRAND Société Anonyme au capital de 1 063 830 460 euros Siège Social : 128, avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny 87000 Limoges 421 259 615 RCS Limoges PROCES-VERBAL DE L ASSEMBLEE SPECIALE DES PORTEURS
Plus en détailPLAN DE FORMATION : ACTUALITE FISCALE 1ER SEMESTRE
PLAN DE FORMATION : ACTUALITE FISCALE 1ER SEMESTRE Année 2015 SEANCE DU 30 JUIN 2015 05000 GAP 1.1. - OBJECTIFS DE LA FORMATION Conformément au 6 des dispositions de l article L 6313-1 du Code du Travail,
Plus en détailCONVENTION ENTRE ACTIONNAIRES
CONVENTION ENTRE ACTIONNAIRES La convention entre actionnaires est un contrat écrit, conclu entre tous les actionnaires d une entreprise incorporée et régissant les droits, pouvoirs et obligations de ceux-ci
Plus en détailLa protection des associés en droit congolais et en droit OHADA
Le statut des associés des sociétés commerciales La protection des associés des sociétés commerciales constitue une avancée du droit OHADA sur le droit congolais La République démocratique du Congo (RDC)
Plus en détailS I M O N, D A C O S T A & C A T R O U
S I M O N, D A C O S T A & C A T R O U N O T A I R E S OUVERTURE DE SUCCESSION LISTE DES PIECES A FOURNIR AU NOTAIRE Concernant le défunt : - Deux extraits de son acte de décès, - Livret de famille et
Plus en détailAperçu des 37 principes directeurs
Département fédéral des finances DFF Administration fédérale des finances AFF Gouvernement d entreprise de la Confédération Aperçu des 37 principes directeurs Principe n o 1 En principe, il convient d
Plus en détailAll Boards Family Association loi 1901 Statuts
Statuts ARTICLE 1: Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts et une association régie par la loi du 1 er Juillet 1901 et le décrêt du 16 Août 1901, ayant pour titre All Boards Family ARTICLE
Plus en détailGuide pratique genevois. Guide sur les successions
Guide pratique genevois Guide sur les successions Edition janvier 2011 Sommaire Sommaire Préambule 3 Compétence de la Justice de paix 4 Qui sont les héritiers? 5 Comment s acquiert la successions? 6 Quels
Plus en détailVERONE. Cependant les sûretés sont régies par le Code Civil et le Code de Commerce.
Thème N 4 LES VOIES D EXECUTION VERONE Les voies d exécution sont régies en France par la loi du 9 juillet 1991 portant réforme des procédures civiles d exécution et du décret du 18 décembre 1992. Rares
Plus en détailResponsabilité des dirigeants d entreprise en société
Responsabilité des dirigeants d entreprise en société François MOISES, avocat Un des objectifs de la constitution d une société est de mettre son patrimoine privé à l abri des poursuites des créanciers
Plus en détailCette feuille vous permet de calculer le salaire du conservateur des hypothèques pour la prise d une inscription hypothécaire d office.
Instructions pour le Livret Formados Le livret se compose d une collection de feuilles de calcul automatisées pour de nombreux actes notariés fréquents, accompagnées - le cas échéant d un décompte pour
Plus en détailLES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL
LES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL (SPF) www.bdo.lu 2 Les Sociétés de Gestion de Patrimoine Familial (SPF) TABLE DES MATIERES AVANT-PROPOS 3 1. INTRODUCTION 4 2. ACTIVITES D UNE SPF 2.1 Activités
Plus en détail