Q U A N T I F I C A T I O N DE L E N E R G I E D A N S L A T O M E D H Y D R O G E N E

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Q U A N T I F I C A T I O N DE L E N E R G I E D A N S L A T O M E D H Y D R O G E N E"

Transcription

1 ARCHITECTURE DE LA MATIERE : Lycée F.BUISSON PTSI De la classification péiodique à la stuctue électonique de l atome Q U A N T I F I C A T I O N DE L E N E R G I E D A N S L A T O M E D H Y D R O G E N E I LE RAYONNEMENT ELECTROMAGNETIQUE 1. DESCRIPTION La lumièe est une infime patie de l ensemble du ayonnement électomagnétique. Ce denie est!"!" constitué du champ électique E et du champ magnétique B ( voi cous de physique de PT ). Le champ électomagnétique tanspote de l énegie, c est une onde, c'est-à-die un phénomène ondulatoie, caactéisée pa : Une vitesse de popagation c. Une féquence! = 1 T (nombe d oscillations pa seconde), c est une péiodicité tempoelle. Une longueu d onde! (distance pacouue pendant le temps d une oscillation), c est une péiodicité spatiale. Comme la féquence est aussi le nombe de longueus d onde pacouues pendant une seconde, ces tois gandeus sont liées pa la elation :! = ct = c " La vitesse de popagation des ondes électomagnétiques dans le vide est toujous la même. C est une constante univeselle qui a été déteminée avec une gande pécision et vaut!"!" c = 2, m.s -1. Le champ électomagnétique (E,B) pemet d intepéte un gand nombe de phénomènes, notamment en optique (éflexion, éfaction, inteféence, diffaction). La desciption de ces phénomènes électomagnétiques epose su les équations de Maxwell (qui seont étudiées en PT) telles qu elles ont été établies à la fin du 19 ème siècle. Mais la desciption continue des ondes électomagnétiques a été incapable d intepéte cetains phénomènes mis en évidence au début du 20 ème siècle. Il fallut alos faie appel à une desciption discontinue, copusculaie du ayonnement : c est la théoie des quanta, mise au point pa Planck (1900). Dans cette théoie, l énegie tanspotée pa le ayonnement est quantifiée, chaque «gain» de ayonnement ou photon possédant le quantum d énegie! = h ",! étant la féquence du ayonnement et h une constante fondamentale, appelée constante de Planck qui vaut : h = 6, !34 J.s. Le photon est une paticule de masse nulle. L énegie! de chaque photon de féquence! vaut : ( ) = h " ( aspect ondulatoie )! aspect copusculaie 1

2 Dans cette desciption du ayonnement, les échanges d énegie ente matièe et ayonnement se faisant de façon discontinue, l énegie échangée ne peut ête inféieue à! = h ".! = h " appaaît comme la plus petite énegie pouvant ête échangée ente matièe et ayonnement, toute énegie échangée étant un multiple de! = h ". Ces deux aspects du ayonnement (aspects ondulatoies et quantique ou copusculaie) sont complémentaies et sont décits de façon cohéente dans le cade de la physique quantique élaboée dans les années LE SPECTRE ELECTROMAGNETIQUE Le ayonnement électomagnétique compend toutes les longueus d onde épaties de façon continue, mais l œil humain n est sensible qu à un infime domaine de l ensemble du specte électomagnétique: ce domaine est compis ente! = 400 nm (couleu violette) et! = 800 nm (couleu ouge). La figue ci-dessous epésente l ensemble du specte (en longueu d onde, wavelength en anglais, en féquence et en énegie), la sépaation ente les domaines est indicative et n a ien de physique puisque! vaie de façon continue. II RAIES SPECTRALES DE L ATOME D HYDROGENE 1. DESCRIPTION DU SPECTRE Dans son état nomal, la matièe n émet aucun ayonnement. Mais losqu elle est «excitée» c està-die losqu on lui founit de l énegie, elle peut «estitue» cette énegie sous fome lumineuse (ou plus généalement sous fome de ayonnement électomagnétique). L énegie founie peut l ête sous fome themique ou électomagnétique. Losque l on excite un gaz de dihydogène (pa exemple pa déchage électique), on obseve l émission de lumièe visible dont l étude est faite, pa exemple, avec un spectoscope à pisme (voi TP d optique). L étude expéimentale du specte est tès simple ca il est composé d un petit nombe de aies dans le visible (4) (voi figue ci-dessous). 2

3 2. CONSTANTE DE RYDBERG Le pemie tavail des checheus, apès l obsevation et l étude expéimentale du specte, fut de echeche une elation empiique ente les caactéistiques des difféentes aies spectales. Cette elation pend une fome paticulièement simple si la aie spectale est caactéisée pa son nombe d onde! = 1/ ". C est Balme qui établit cette elation en 1885 : # 1! = R H 2 " 1 & % $ m 2 ( R H = ,6 cm -1 ' m est un entie pouvant pende les valeus 3,4,5, et R H la constante de Rydbeg déteminée de façon expéimentale. Suivant les valeus de m, on etouve les 4 adiations du specte visible : m = 3! " = 656 nm m = 4! " = 486 nm m = 5! " = 434 nm m = 6! " = 410 nm Au-delà de m = 6, on a! < 400 nm, on se touve dans l ultaviolet. On constate que les aies sont de plus en plus appochées au fu et à mesue que l entie m devient plus gand. 3. FORMULE DE RITZ Ritz a généalisé la elation de Balme aux autes séies de l atome d hydogène : # 1! = R H n " 1 & % $ 2 m 2 ( ' m et n deux enties avec m > n Séie de n = 1 Lyman (1916) n = 2 Balme (1885) n = 3 Paschen n = 4 Backett (1908) (1922) Domaine UV lointain Visible et poche UV Infaouge n = 5 Pfund (1924) 3

4 III INTERPRETATION DE BOHR A la fin du 19 ème siècle la physique du «continu» était incapable de donne une intepétation théoique de ce specte. Nous allons étudie la pemièe intepétation théoique, celle poposée pa le physicien Danois Niels Boh (1913). Ce denie joua un ôle de pemie plan dans l élaboation de la physique quantique. Les hypothèses «ad hoc» fomulées pa Boh en 1913, qui mélangent physique classique et quantification, sont en contadiction avec la théoie quantique actuelle. Mais à cause de l impotance histoique de cette théoie (qui fut le pemie jalon ves une théoie quantique complète), de sa simplicité et de l excellent ésultat qu elle founit pou l atome d hydogène, nous allons développe l intepétation de Boh qui doit ête considéé comme une application du cous de physique. 1. UN MODELE EN SCIENCES PHYSIQUES Toute théoie, dans le domaine des sciences expéimentales, ne peut s élaboe que si l on fait le choix d un modèle, c est-à-die si l on epésente le phénomène étudié pa une image, cette image pemettant une mathématisation du poblème étudié. Autement dit à pati d un modèle censé epésente le phénomène étudié, on peut développe toute une séie de calculs aboutissant à des ésultats que l on confonte avec l expéience. Si cette véification est bonne, le modèle a été coectement choisi pou la desciption du phénomène étudié. Dans le cas contaie, il faut affine le modèle, c est-à-die modifie cetains paamètes qui le décivent jusqu à concodance ente les calculs théoiques et les éalités expéimentales. Mais, toute théoie, eposant su le choix d un modèle, peut ête limitée, c est-à-die qu elle pemet d intepéte seulement un cetain nombe de faits ; alos cette théoie est emplacée pa une théoie plus généale pa le choix d un modèle plus appopié. N oublions pas également que, si une théoie doit intepéte les faits expéimentaux connus, elle doit également pemette de découvi de nouveaux phénomènes. 2. L ATOME D HYDROGENE SELON BOHR (1913) système physique étudié : un poton et un électon. Pa analogie avec le système solaie, on suppose que l électon décit une tajectoie ciculaie de ayon (cette hypothèse est eonée à l heue actuelle) autou du poton supposé fixe. Application du pincipe fondamental de la dynamique à l électon : L électon est soumis à la foce électostatique de la pat du poton ; de plus en utilisant l expession de l accéléation pou un mouvement ciculaie, on obtient :! f! = ma =!m v 2 "!" u = (!e)e "!" 4"# 0 u 2 ce qui donne : v 2 ( ) = e 2 4!" 0 m. "!" avec u vecteu unitaie dans la diection poton-électon, 4

5 Expession des énegies : Enegie cinétique : E c ( ) = 1 2 mv 2 = e2 8!" 0 Enegie potentielle d inteaction électostatique : E p ( ) =!e2 4"# 0 Enegie totale : E( ) = E c ( ) + E p ( ) =!e2 8"# 0 Conditions de quantification :! "!! Moment cinétique de l électon : L = mv! soit L = mv Boh a intoduit une hypothèse «ad hoc» en quantifiant le moment cinétique de l électon tel que : L = mv = n! avec n entie natuel et! = h /2!. Cette hypothèse, eonée de nos jous, a pemis de touvé néanmoins les expessions littéales exactes des énegies et ayons quantifiés de l atome d hydogène. Cette condition donne : v 2 = n 2 h 2 Résultats : 4! 2 m 2 2. On obtient ainsi l expession de l énegie et du ayon de l électon E n =! E 1 n 2 avec E 1 = m e4 8" 2 0 h = 13.6 ev et = 2 n n2 a 0 avec a 0 = " h 2 0 = 52,9 pm 2 #m e 3. DISCUSSION ET CONSEQUENCES DU MODELE DE BOHR A chaque valeu du nombe entie n coespond une valeu de l énegie de l électon ainsi qu une valeu possible du ayon de la tajectoie ciculaie stable ou obitale. Ainsi l état physique de l électon est caactéisé pa un nombe entie n, appelé nombe quantique pincipal, et non plus comme en mécanique newtonienne pa son vecteu position et son vecteu vitesse. Quand l électon passe d une obitale d énegie E n à une obitale d énegie E m > E n, il absobe un photon de féquence! n,m tel que E m! E n = h" n,m. De même, quand l électon passe d une obitale d énegie E m à une obitale d énegie E n < E m, il émet un photon de féquence! n,m. Ce pocessus est schématisé su la figue ci-dessous Niels Boh ( ), physicien Danois, pix Nobel de physique en Il fut l un des pincipaux atisans de l édification de la physique quantique. 5

6 Si on emplace E n et E m pa leu expession déduite du modèle de Boh, on a :! = 1 " = # c = E m $ E n hc = m e4 & 1 8% 2 0 h 3 c n $ 1 ) ( ' 2 m 2 + *. Cette expession est identique à celle de Ritz en posant : R H = me4 8! 0 2 h 3 c On touve en faisant l application numéique R H = ,8 cm -1 ce qui est en excellent accod avec la valeu de la mesue expéimentale. Le modèle de Boh pemet de etouve avec succès le specte d émission de l atome d hydogène obsevé expéimentalement. La figue ci-dessous donne le diagamme énegétique de l atome d hydogène L hydogène, dans son état fondamental ou non excité, occupe le niveau de plus basse énegie, c est-à-die n = 1, E 1 =!13,6 ev. 6

7 4. CAS DES AUTRES ATOMES Pou les autes atomes, les diagammes d énegie obsevés expéimentalement sont beaucoup plus complexes. Le modèle de Boh à un seul nombe quantique ne pemet absolument pas de les intepéte théoiquement. Il faut alos faie appel à la physique quantique. Dans ce cas, les niveaux d énegie des dives électons de l atome sont décits cette fois pa plusieus nombes quantiques, comme nous le veons dans le chapite suivant. 7

où «p» représente le nombre de paramètres estimés de la loi de distribution testée sous H 0.

où «p» représente le nombre de paramètres estimés de la loi de distribution testée sous H 0. 7- Tests d austement, d indépendance et de coélation - Chapite 7 : Tests d austements, d indépendance et de coélation 7. Test d austement du Khi-deux... 7. Test d austement de Kolmogoov-Sminov... 7.. Test

Plus en détail

TRAVAUX DIRIGÉS DE M 6

TRAVAUX DIRIGÉS DE M 6 D M 6 Coection PCSI 1 013 014 RVUX DIRIGÉS DE M 6 Execice 1 : Pemie vol habité (pa un homme) Le 1 avil 1961, le commandant soviétique Y Gagaine fut le pemie cosmonaute, le vaisseau spatial satellisé était

Plus en détail

FINANCE Mathématiques Financières

FINANCE Mathématiques Financières INSTITUT D ETUDES POLITIQUES 4ème Année, Economie et Entepises 2005/2006 C.M. : M. Godlewski Intéêts Simples Définitions et concepts FINANCE Mathématiques Financièes L intéêt est la émunéation d un pêt.

Plus en détail

M F. F O Unité: [m. N] La norme du moment de force peut se calculer en introduit le bras de levier d

M F. F O Unité: [m. N] La norme du moment de force peut se calculer en introduit le bras de levier d Chapite 2: But: connaîte les lois auxquelles doit obéi un cops solide en équilibe. Ceci pemet de décie la station debout ainsi que les conditions nécessaies pou teni une tasse dans la main, souleve une

Plus en détail

CHAPITRE VI : Le potentiel électrique

CHAPITRE VI : Le potentiel électrique CHPITRE VI : Le potentiel électiue VI. 1 u chapite III, nous avons vu ue losu'une foce est consevative, il est possible de lui associe une énegie potentielle ui conduit à une loi de consevation de l'énegie.

Plus en détail

Chapitre 6: Moment cinétique

Chapitre 6: Moment cinétique Chapite 6: oment cinétique Intoduction http://www.youtube.com/watch?v=vefd0bltgya consevation du moment cinétique 1 - angula momentum consevation 1 - Collège éici_(360p).mp4 http://www.youtube.com/watch?v=w6qaxdppjae

Plus en détail

11.5 Le moment de force τ (tau) : Production d une accélération angulaire

11.5 Le moment de force τ (tau) : Production d une accélération angulaire 11.5 Le moment de foce τ (tau) : Poduction d une accéléation angulaie La tige suivante est soumise à deux foces égales et en sens contaie: elle est en équilibe N La tige suivante est soumise à deux foces

Plus en détail

Créer un observatoire de la concurrence. Créer un observatoire de la concurrence. Démarche. ntérêt. C aractéristiques.

Créer un observatoire de la concurrence. Créer un observatoire de la concurrence. Démarche. ntérêt. C aractéristiques. Cée un obsevatoie de la concuence poblématique I Quelle est l'étendue d'un maché? Quelle pat du maché, une entepise peut-elle espée pende? Quels sont les atouts des entepises pésentes su le maché? ntéêt

Plus en détail

A la mémoire de ma grande mère A mes parents A Mon épouse A Mes tantes et sœurs A Mes beaux parents A Toute ma famille A Mes amis A Rihab, Lina et

A la mémoire de ma grande mère A mes parents A Mon épouse A Mes tantes et sœurs A Mes beaux parents A Toute ma famille A Mes amis A Rihab, Lina et Remeciements e tavail a été effectué au sein du laboatoie optoélectonique et composants de l univesité Fehat Abbas (Sétif, Algéie) en collaboation avec le goupe MALTA consolido du Dépatement du Physique

Plus en détail

CIRCULAIRE N 02/04. Elle précise les méthodes de valorisation des titres de capital et des titres de créances contenus dans les actifs de l OPCVM.

CIRCULAIRE N 02/04. Elle précise les méthodes de valorisation des titres de capital et des titres de créances contenus dans les actifs de l OPCVM. Rabat, le 02 juillet 2004 CIRCULIRE N 02/04 RELTIVE UX CONDITIONS D ÉVLUTION DES VLEURS PPORTÉES À UN ORGNISME DE PLCEMENT COLLECTIF EN VLEURS MOBILIÈRES OU DÉTENUES PR LUI La pésente ciculaie vient en

Plus en détail

Mécanique du point : forces Newtoniennes (PCSI)

Mécanique du point : forces Newtoniennes (PCSI) écanique du oint : foces Newtoniennes (PCSI Question de cous On admet que, losqu'il est soumis à une foce Newtonienne F K u, la tajectoie d'un cos est lane et décite a mc K +e cosθ où C θ est une constante

Plus en détail

Serveur vidéo IP. caméras analogiques PC serveur. PC Client 1. Serveur de stockage ( optionnel )

Serveur vidéo IP. caméras analogiques PC serveur. PC Client 1. Serveur de stockage ( optionnel ) Sony RealShot Manage V3 Info Poduit Mas 2005 RealShot Manage V3.0 Logiciel de gestion des caméas IP MJPEG, MPEG-4, Audio, il sait tout enegiste! Une nouvelle vesion du logiciel RealShot Manage de Sony

Plus en détail

Validation CFD axisymétrique de modèle zonal des écoulements gazeux de chambre de combustion de moteur Diesel

Validation CFD axisymétrique de modèle zonal des écoulements gazeux de chambre de combustion de moteur Diesel CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS Cente d enseignement de Genoble Mémoie Mécanique des stuctues et des systèmes Validation CFD axisymétique de modèle zonal des écoulements gazeux de Auditeu: Jean-Michel

Plus en détail

PHYSIQUE DES SEMI-CONDUCTEURS

PHYSIQUE DES SEMI-CONDUCTEURS Dépatement Mico-électonique et télécommunications Pemièe année 004/005 PHYSIQUE DES SEMI-CONDUCTEURS Rouge Violet Infa-Rouge Visible Ulta-Violet Cd x Hg 1-x Te InSb Ge Si GaAs CdSe AlAs CdS GaP SiC GaN

Plus en détail

Physique quantique. Dans l UF Physique Quantique et Statistique. 3ème année IMACS. Pierre Renucci (cours) Thierry Amand (TDs)

Physique quantique. Dans l UF Physique Quantique et Statistique. 3ème année IMACS. Pierre Renucci (cours) Thierry Amand (TDs) Physque quantque Dans l UF Physque Quantque et Statstque ème année IMACS Pee enucc cous They Aman TDs Objectfs UF Nanophysque I : De l Optque onulatoe à la Photonque et aux Nanotechnologes La physque quantque

Plus en détail

Roulements à rotule sur deux rangées de rouleaux en deux parties

Roulements à rotule sur deux rangées de rouleaux en deux parties Roulements à otule su deux angées de ouleaux en deux paties Réduction des coûts gâce au changement apide du oulement difficilement accessible Contenu Changement apide du oulement 2 Réduction des coûts

Plus en détail

Informations Techniques A7 A141. Roulements à Billes à Gorge Profonde. Roulements à Billes à Contact Oblique. Roulements à Billes Auto-Aligneurs

Informations Techniques A7 A141. Roulements à Billes à Gorge Profonde. Roulements à Billes à Contact Oblique. Roulements à Billes Auto-Aligneurs ROULEMENTS Pages Infomations Techniques A7 A141 Infos Tech. Roulements à Billes à Goge Pofonde B4 B45 Roulements à Billes à Contact Oblique Roulements à Billes Auto-Aligneus Roulements à Rouleaux Cylindiques

Plus en détail

CONSTANTES DIELECTRIQUES

CONSTANTES DIELECTRIQUES 9 E7 CONTANTE DIELECTRIQUE I. INTRODUCTION Dans cette expéience, nous étuieons es conensateus et nous éiveons les popiétés e iélectiques tels que l'ai et le plexiglas. II. THEORIE A) Conensateus et iélectiques

Plus en détail

Po ur d o nne r un é lan à vo tre re traite

Po ur d o nne r un é lan à vo tre re traite Po u d o nne un é lan à vo te e taite ez a p é P aite t e e vot joud'hui dès au E N EN T TR RE E N NOOUUSS,, CC EESSTT FFAA CC I I LL EE DD EE SS EE O M M PP RR EE NN DDRRE E CC O Toutes les gaanties de

Plus en détail

DEUXIEME ANNEE TRONC COMMUN TECHNOLOGIE TRAVAUX DIRIGES DE PHYSIQUE VIBRATIONS ONDES

DEUXIEME ANNEE TRONC COMMUN TECHNOLOGIE TRAVAUX DIRIGES DE PHYSIQUE VIBRATIONS ONDES UNIVERSITE DES SCIENCES ET DE A TECHNOOGIE HOUARI BOUMEDIENNE INSTITUT DE PHYSIQUE DEPARTEMENT DES ENSEIGNEMENTS DE PHYSIQUE DE BASE DEUXIEME ANNEE TRONC COMMUN TECHNOOGIE TRAVAUX DIRIGES DE PHYSIQUE VIBRATIONS

Plus en détail

Moments partiels crédibilistes et application à l évaluation de la performance de fonds spéculatifs

Moments partiels crédibilistes et application à l évaluation de la performance de fonds spéculatifs Moments patiels cédibilistes et application à l évaluation de la pefomance de fonds spéculatifs Alfed MBAIRADJIM M. 1 & Jules SADEFO K. 2 & Michel TERRAZA 3 1 LAMETA- Univesité Montpellie 1 et moussa alf@yahoo.f

Plus en détail

tudes & documents ÉCONOMIE ET ÉVALUATION L assurance habitation dans les départements d Outre Mer n 24 Juin 2010

tudes & documents ÉCONOMIE ET ÉVALUATION L assurance habitation dans les départements d Outre Mer n 24 Juin 2010 COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 24 Juin 2010 É tudes & documents L assuance habitation dans les dépatements d Oute Me RISQUES ÉCONOMIE ET ÉVALUATION Sevice de l économie, de l évaluation

Plus en détail

Mémoire de DEA. Modélisation opérationnelle des domaines de référence

Mémoire de DEA. Modélisation opérationnelle des domaines de référence Mémoie e DEA Ecole octoale IAEM Loaine / DEA Infomatique e Loaine Univesité Heni Poincaé, Nancy 1 LORIA Moélisation opéationnelle es omaines e éféence soutenu le Mai 22 juin 2004 pa Alexane Denis membes

Plus en détail

Évaluation de l'incertitude de mesure par une méthode statistique ("méthode de type A") Voir cours d'instrumentation

Évaluation de l'incertitude de mesure par une méthode statistique (méthode de type A) Voir cours d'instrumentation G. Pinson - Physique ppliquée Mesues - 16 / 1 16 - Instuments de mesues Eeu et incetitude su la mesue d'une gandeu Ce qui suit découle des pesciptions du IPM (ueau Intenational des Poids et Mesues, Fance),

Plus en détail

Magister en : Electrotechnique

Magister en : Electrotechnique انج س ت انجضائش ت انذ مشاط ت انشعب ت République Algéienne Démocatique et Populaie صاسة انتعه ى انعان انبحث انعه Minitèe de l Eneignement Supéieu et de la Recheche Scientifique Univeité Mohamed Khide Bika

Plus en détail

Guide de l acheteur de logiciel de Paie

Guide de l acheteur de logiciel de Paie Note pespicacité Pivilégie les essouces humaines Guide de l acheteu de logiciel de Paie Table des matièes Intoduction Tendances écentes de Paie L automation de Paie avec libe-sevice pou employés Analyse

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Univ. Béjaia, Faculté de la Technologie, Département d électronique

Univ. Béjaia, Faculté de la Technologie, Département d électronique Univ. Béjaia, Faculté de la Technologie, Dépatement d électonique L INTELLIGENCE ARTIFICIELLE APPLIQUEE AUX TELECOMMUNICATIONS Thème : Intelligence économique et télécommunication Poposé pa : D A/. KHIREDDINE

Plus en détail

DiaDent Group International

DiaDent Group International www.diagun.co.k DiaDent Goup Intenational Dispositif de compactage sans fil à chaleu intégée Copyight 2010 DiaDent Goup Intenational www.diadent.com Dispositif de compactage sans fil à chaleu intégée w

Plus en détail

( Mecanique des fluides )

( Mecanique des fluides ) INSTITUT NTION GRONOMIUE ERTEMENT U GENIE RUR SECTION YRUIUE GRICOE YRUIUE GENERE ( Mecanique des fluides ) TRONC COMMUN ème NNEE atie : Statique des Fluides ( ydostatique ) atie : ynamique des Fluides

Plus en détail

( Codes : voir verso du feuillet 3 ) SPECIMEN

( Codes : voir verso du feuillet 3 ) SPECIMEN Aide demandeu d emploi Pojet pesonnalisé d accès à l emploi Pesciption de Pô emploi RFPE AREF CRP - CTP ou d un patenaie de Pô emploi Pécisez : N d AIS Concene de naissance Pénom Né(e) Inscit(e) depuis

Plus en détail

SOMMAIRE. ATRACOM-Centrafrique Manuel de Procédures Administratives Financiers et Comptables

SOMMAIRE. ATRACOM-Centrafrique Manuel de Procédures Administratives Financiers et Comptables ATRACOM-Centafique Manuel de Pocédues Administatives Financies et Comptables G MODULE G GESTION DE LA TRESORERIE SOMMAIRE G MODULE G GESTION DE LA TRESORERIE... 1 G.1 COMPOSANTES DE LA TRESORERIE... 2

Plus en détail

Roulements à billes et à rouleaux

Roulements à billes et à rouleaux Fo New Technology Netwok R copoation Roulements à billes et à ouleaux CAT. NO. 222-VIII/F Manuel technique A- Roulements à billes à goges pofondes B- Roulements miniatues B- 1 Roulements à billes à contact

Plus en détail

Mécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE. E-MAIL : dataelouardi@yahoo.

Mécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE. E-MAIL : dataelouardi@yahoo. Mécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE E-MAIL : dataelouardi@yahoo.fr Site Web : dataelouardi.jimdo.com La physique en deux mots

Plus en détail

Quelques éléments d écologie utiles au forestier

Quelques éléments d écologie utiles au forestier BTSA Gestion Foestièe Module D41 V.1.1. Avil 1997 Quelques éléments d écologie utiles au foestie Paysage vosgien : un exemple d écocomplexe divesifié. Sylvain Gaudin CFPPA/CFAA de Châteaufaine E 10 ue

Plus en détail

Permis de feu. Travail par point chaud. r Soudage r Brasage. r Découpage r Tronçonnage. r Meulage r Autres. r Poste à souder r Tronçonneuse

Permis de feu. Travail par point chaud. r Soudage r Brasage. r Découpage r Tronçonnage. r Meulage r Autres. r Poste à souder r Tronçonneuse Pemis de feu Tavail pa point chaud Patage vote engagement Ce document doit ête établi avant tout tavail pa point chaud (soudage, découpage, meulage, ) afin de péveni les isques d incendie et d explosion

Plus en détail

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA 3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre

Plus en détail

Mouvement d'une particule chargée dans un champ magnétique indépendant du temps

Mouvement d'une particule chargée dans un champ magnétique indépendant du temps Moueent d'une patiule hagée dans un hap agnétique indépendant du teps iblio: Pee elat Gaing Magnétise Into expéientale: Dispositif: On obsee une déiation du faseau d'életons losqu'il aie ae une itesse

Plus en détail

THÈSE. présentée pour obtenir le titre de. DOCTEUR de L ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE D ARTS ET MÉTIERS. Spécialité: Génie Electrique.

THÈSE. présentée pour obtenir le titre de. DOCTEUR de L ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE D ARTS ET MÉTIERS. Spécialité: Génie Electrique. N d ode: 005-7 ECOLE DOCTORALE 43 Ecole Nationale Supéieue d At et Métie Cente de Lille THÈSE péentée pou obteni le tite de DOCTEUR de L ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE D ARTS ET MÉTIERS Spécialité: Génie Electique

Plus en détail

LE LOGEMENT AU NUNAVIK

LE LOGEMENT AU NUNAVIK SOCIÉTÉ D HABITATION DU QUÉBEC LE LOGEMENT AU NUNAVIK DOCUMENT D INFORMATION WWW.HABITATION.GOUV.QC.CA Coodination du contenu et édaction Diection des affaies integouvenementales et autochtones Coodination

Plus en détail

Chapitre 1.5a Le champ électrique généré par plusieurs particules

Chapitre 1.5a Le champ électrique généré par plusieurs particules hapte.5a Le chap électque généé pa pluseus patcules Le chap électque généé pa pluseus chages fxes Le odule de chap électque d une chage ponctuelle est adal, popotonnel à la chage électque et neseent popotonnel

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND

LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur

Plus en détail

D'CLICS CONSO. ayez les bons réflexes! Logement, téléphonie, mobilité, budget : soyez acteur de votre consommation! www.crij.org.

D'CLICS CONSO. ayez les bons réflexes! Logement, téléphonie, mobilité, budget : soyez acteur de votre consommation! www.crij.org. n 26 2013/2014 Jounal du Cente Régional d Infomation Jeunesse Midi-Pyénées D'CLICS CONSO ayez les bons éflexes! d o s s i e Logement, téléphonie, mobilité, budget : soyez acteu de vote consommation! www.cij.og

Plus en détail

INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE

INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles

Plus en détail

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant

Plus en détail

Panorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques

Panorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Panorama de l astronomie 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gilles Theureau, Grégory Desvignes, Lab Phys. & Chimie de l Environement, Orléans Ludwig.klein@obspm.fr,

Plus en détail

Correction ex feuille Etoiles-Spectres.

Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800

Plus en détail

Amélioration des performances des aérogénérateurs

Amélioration des performances des aérogénérateurs N d ode : Séie : الجمهورية الجزاي رية الديمقراطية الشعبية REPUBIQUE AGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPUAIRE MINISTERE DE ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE A RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIERSITE CONSTANTINE I Faculté

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

Mise en pratique : Etude de spectres

Mise en pratique : Etude de spectres Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La

Plus en détail

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)

Plus en détail

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre

Plus en détail

RAISONNER L INVESTIGATION EN RHUMATOLOGIE

RAISONNER L INVESTIGATION EN RHUMATOLOGIE NOVEMBRE L objectif de ce document est de guide le médecin omnipaticien dans le choix des modalités de laboatoie et d imageie pou l investigation d une condition humatologique. En effet, les analyses de

Plus en détail

Les impulsions laser sont passées en quarante ans de la

Les impulsions laser sont passées en quarante ans de la Toujours plus court : des impulsions lumineuses attosecondes Les impulsions laser «femtoseconde» sont devenues routinières dans de nombreux domaines de la physique. Elles sont exploitées en particulier

Plus en détail

TD 9 Problème à deux corps

TD 9 Problème à deux corps PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile

Plus en détail

NOTICE DOUBLE DIPLÔME

NOTICE DOUBLE DIPLÔME NOTICE DOUBLE DIPLÔME MINES ParisTech / HEC MINES ParisTech/ AgroParisTech Diplômes obtenus : Diplôme d ingénieur de l Ecole des Mines de Paris Diplôme de HEC Paris Ou Diplôme d ingénieur de l Ecole des

Plus en détail

SYSTÈME D ALARME ET PRODUITS TRANSMETTEURS

SYSTÈME D ALARME ET PRODUITS TRANSMETTEURS SYSTÈME D ALARME ET PRODUITS TRANSMETTEURS NOTICE D UTILISATION Vous venez d acquéi un système de sécuité DAITEM adapté à vos besoins de potection et nous vous en emecions. Quelques pécautions L'installation

Plus en détail

Fluorescent ou phosphorescent?

Fluorescent ou phosphorescent? Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester

Plus en détail

Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :

Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette

Plus en détail

Rayonnements dans l univers

Rayonnements dans l univers Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter

Plus en détail

CLOUD CX263 MÉLANGEUR

CLOUD CX263 MÉLANGEUR COUD CX6 MÉANGEU Clealy bette soun ZONE ZONE MUSIC SOUCE MUSIC SOUCE MUSIC SOUCE MUSIC EVE MUSIC EVE MUSIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE 6 6 6 5 5 5 MICOPHONE CX6 4 4 4 F HF F HF

Plus en détail

La fonction d onde et l équation de Schrödinger

La fonction d onde et l équation de Schrödinger Chapitre 1 La fonction d onde et l équation de Schrödinger 1.1 Introduction En physique classique, une particule est décrite par sa position r(t). L évolution de sa position (la trajectoire de la particule)

Plus en détail

Considérations sur les contraintes liées à la gestion des données thermodynamiques en vue de la création de la base de données THERMODDEM

Considérations sur les contraintes liées à la gestion des données thermodynamiques en vue de la création de la base de données THERMODDEM Cnsidéatins su les cntaintes liées à la gestin des dnnées themdynamiques en vue de la céatin de la base de dnnées THERMODDEM Rappt final BRGM/RP-55118- FR Décembe 2006 Gnsidéatins su les cntaintes liées

Plus en détail

Quantité de mouvement et moment cinétique

Quantité de mouvement et moment cinétique 6 Quantité de mouvement et moment cinétique v7 p = mv L = r p 1 Impulsion et quantité de mouvement Une force F agit sur un corps de masse m, pendant un temps Δt. La vitesse du corps varie de Δv = v f -

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

Guide 2005 GESTION. des solutions partenaires logiciels. IBM Software. commerciale (CRM) comptable et financière logistique marketing de la qualité

Guide 2005 GESTION. des solutions partenaires logiciels. IBM Software. commerciale (CRM) comptable et financière logistique marketing de la qualité IBM Softwae Guide 2005 des solutions patenaies logiciels GESTION commeciale (CRM) comptable et financièe logistique maketing de la qualité des elations humaines et compétences documentaie (GED) des appels,

Plus en détail

MODE D EMPLOI ENFANT MINEUR MONFINANCIER LIBERTE VIE

MODE D EMPLOI ENFANT MINEUR MONFINANCIER LIBERTE VIE MODE D EMPLOI ENFANT MINEUR MONFINANCIER LIBERTE VIE Pou établi vote contat MonFinancie Libeté Vie pou un enfant mineu, nous vous emecions de bien vouloi éuni les éléments suivants : Le bulletin de sousciption

Plus en détail

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la

Plus en détail

Préface. Le programme d électricité du S2 se compose de deux grandes parties :

Préface. Le programme d électricité du S2 se compose de deux grandes parties : Péface. Ce cus d électicité a été édigé à l intentin des étudiants qui pépaent, dans le cade de la éfme L.M.D 1, une licence dans les dmaines des Sciences de la Matièe et des Sciences et Technlgies. Il

Plus en détail

CARACTERISTIQUES DES SECTIONS PLANES

CARACTERISTIQUES DES SECTIONS PLANES CRCTERITIQUE DE ECTION PLNE OENT TTIQUE D UNE ECTION PLNE oient une aie pane et une doite Le moment statiue de a section pa appot à m est défini pa intégae : m ( ) ( ) δ d (doénavant, on note e moment

Plus en détail

Mesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse

Mesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les

Plus en détail

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)

Plus en détail

UNIVERSITE JOSEPH FOURIER GRENOBLE I THESE. présentée par. Ioana - Cristina MOLDOVAN. pour obtenir le grade de DOCTEUR. Spécialité : Physique

UNIVERSITE JOSEPH FOURIER GRENOBLE I THESE. présentée par. Ioana - Cristina MOLDOVAN. pour obtenir le grade de DOCTEUR. Spécialité : Physique UIVERSITE JOSEPH FOURIER GREOBLE I THESE pésenée pa Ioana - Cisina MOLDOVA pou obeni le gade de DOCTEUR Spécialié : Physique Eude phooméique de l aome de sodium applicaion aux éoiles lases LGS e PLGS Souenance

Plus en détail

Les pertes de charge dans les installations. Le dimensionnement des mitigeurs. octobre 2005

Les pertes de charge dans les installations. Le dimensionnement des mitigeurs. octobre 2005 octobe 005 REUE PÉRIODIQUE D INFORMATIONS TECHNIQUES ET INDUSTRIELLES DES THERMICIENS Les petes de chage dans les installations Le dimensionnement des mitigeus octobe 005 Sommaie Le petes de chage dans

Plus en détail

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du

Plus en détail

Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique

Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique J.M. Raimond Université Pierre et Marie Curie Institut Universitaire de France Laboratoire Kastler Brossel Département de

Plus en détail

MAISON DE L ARSLA 75 AVENUE DE LA REPUBLIQUE 75011 PARIS 28/03/2014

MAISON DE L ARSLA 75 AVENUE DE LA REPUBLIQUE 75011 PARIS 28/03/2014 MAISON DE L ARSLA 75 AVENUE DE LA REPUBLIQUE 7511 PARIS 28/3/214 D BUDGET PREVISIONNEL 214 Le budget pévisionnel 214, d un ontant de 1 8 en dépenses et en ecettes, epend, hos éléents exceptionnels, les

Plus en détail

LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE

LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE Enseignement : 1 ère STL Mesures et instrumentation Thème : Instrumentation : Instruments de mesure, chaîne de mesure numérique Notions et contenus :

Plus en détail

GESTION DE LA SAUVEGARDE DES DONNÉES (SÉCURITÉ ET STOCKAGE)

GESTION DE LA SAUVEGARDE DES DONNÉES (SÉCURITÉ ET STOCKAGE) GESTION DE LA SAUVEGARDE DES DONNÉES (SÉCURITÉ ET STOCKAGE) SAUVEGARDE DES DONNÉES DEMANDE D INFORMATION Vous souhaitez ecevoi de l infomation elative aux solutions de la thématique Gestion de la sauvegade

Plus en détail

Nouvelles techniques d imagerie laser

Nouvelles techniques d imagerie laser Nouvelles techniques d imagerie laser Les chimistes utilisent depuis longtemps les interactions avec la lumière pour observer et caractériser les milieux organiques ou inorganiques. La présence, dans la

Plus en détail

pka D UN INDICATEUR COLORE

pka D UN INDICATEUR COLORE TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant

Plus en détail

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour

Plus en détail

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie

Plus en détail

Etrangeté et paradoxe du monde quantique

Etrangeté et paradoxe du monde quantique Etrangeté et paradoxe du monde quantique Serge Haroche La physique quantique nous a donné les clés du monde microscopique des atomes et a conduit au développement de la technologie moderne qui a révolutionné

Plus en détail

Cours de. Point et système de points matériels

Cours de. Point et système de points matériels Abdellah BENYOUSSEF Amal BERRADA Pofesseus à la Faculté des Scences Unvesté Mohammed V Rabat Cous de Pont et système de ponts matéels A L USAGE DES ETUDIANTS DU 1 ER CYCLE UNIVERSITAIRE FACULTES DES SCIENCES,

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance

Plus en détail

CIGI 2011 Job shop sous contraintes de disponibilité des ressources : modèle mathématique et heuristiques

CIGI 2011 Job shop sous contraintes de disponibilité des ressources : modèle mathématique et heuristiques CIGI 2011 Job shop sous cotaites de dispoibilité des essouces : modèle mathématique et heuistiques SADIA AZEM 1, RIAD AGGOUNE 2, STÉPHANE DAUZERE-PERES 1 1 Dépatemet Scieces de la Fabicatio et Logistique,

Plus en détail

Annexe II. Les trois lois de Kepler

Annexe II. Les trois lois de Kepler Annexe II es tois lois de Keple écnique & 4 èe - Annexe II es tois lois de Keple Johnnes Keple (57-6), pulie en 596 son peie ouge, ysteiu Cosogphicu Teize nnées plus td, en 69, il pulie Astonoi No, dns

Plus en détail

Flux Réseau et Sécurité

Flux Réseau et Sécurité Flux Réseau et Sécuité v1.01 Yann BERTHIER Spécialiste Sécuité Systèmes et Réseaux yb@bashibuzuk.net Nicolas FISCHBACH Senio Manage, Netwok Engineeing Secuity, COLT Telecom nico@secuite.og - http://www.secuite.og/nico/

Plus en détail

Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants

Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants & INNOVATION 2014 NO DRIVER! Logiciel embarqué Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants contact@ovio-optics.com www.ovio-optics.com Spectromètre

Plus en détail

A chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde.

A chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde. CC4 LA SPECTROPHOTOMÉTRIE I) POURQUOI UNE SUBSTANCE EST -ELLE COLORÉE? 1 ) La lumière blanche 2 ) Solutions colorées II)LE SPECTROPHOTOMÈTRE 1 ) Le spectrophotomètre 2 ) Facteurs dont dépend l'absorbance

Plus en détail

Puis le convertisseur bloque en mémoire cette valeur pendant une période d échantillonnage.

Puis le convertisseur bloque en mémoire cette valeur pendant une période d échantillonnage. PATIE 7 CHAPITE (PHYSIQUE) NUMÉISATION, STOCKAGE ET TANSMISSION DE L INFOMATION TS I. LE SIGNAL NUMÉIQUE. Signal analogique ou numérique? Un signal est la représentation physique d une information qui

Plus en détail

Nouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours. www.physagreg.fr

Nouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours. www.physagreg.fr Nouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours www.physagreg.fr 22 avril 2012 Table des matières 1 Couleur, vision et image 3 1.1 Oeil réel et oeil réduit...................... 3 1.2 Lentille

Plus en détail

Spectrophotomètres. Spectrophotomètres modèle 6700. Les spectrophotomètres Série 67 : 3 modèles uniques

Spectrophotomètres. Spectrophotomètres modèle 6700. Les spectrophotomètres Série 67 : 3 modèles uniques Spectrophotomètres Les spectrophotomètres Série 67 : 3 modèles uniques Forte de son expérience en spectrophotométrie, la société Jenway a mis au point une série de spectrophotomètres nouvelle génération.

Plus en détail