Stratégie des examens d imagerie en gynécologie. Dr Thibault CARTERET Pr Hervé TRILLAUD Hôpital Saint André
|
|
- Anne-Marie Gascon
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Stratégie des examens d imagerie en gynécologie Dr Thibault CARTERET Pr Hervé TRILLAUD Hôpital Saint André
2 Echographie Examen de référence : 1 ère intention, innocuité, facile, faible coût Voie sus pubienne vessie remplie, sonde 3.5 à 4 mhz Endo-vaginale +++++, vessie vide, sonde 5 à 10 mhz
3 Echographie
4 Voie EndoVaginale Echographie
5 Aspect normal de l endomètre en pré-ménopause US normal : Endomètre : 2-4 mm hypo-échogène après les règles mm en cible (hypo et hyper en périphérie pendant l ovulation) mm après l ovulation hyperéchogène
6 Echographie : endomètre Phase menstruelle Jo-J4 Phase régénérative J4-J8 phase proliférative J8-J14 À J14, aspect en cible Phase préovulatoire Glaire cervicale
7 Echographie : endomètre Phase lutéale : hyper-échogénicité progressive (12-14 mm)
8 Echographie : ovaire Inconstamment visualisés par voie sus-pubienne Localisés en para-utérin ou plus à distance sous la veine iliaque externe et en avant de l uretère et des vaisseaux iliaques internes L'ovaire actif se caractérise par la présence de follicules dont le nombre et la taille dépendent de la phase du cycle menstruel (folliculogénèse). En début de cycle, présence de 5 à 10 follicules de 3 à 5 mm par ovaire
9 Echographie : ovaire Folliculogénèse: La sélection du follicule dominant se fait 7 à 10 jours avant l'ovulation Il grossit d environ 2 mm par jour jusqu à l ovulation où il atteint en moyenne 20 à 25 mm (parfois jusqu à 30 mm). Lors de l ovulation, La rupture folliculaire peut s'accompagner de la présence de liquide dans le cul-de-sac de Douglas.
10 Echographie : ovaire Le corps jaune est visible chez 50 % des femmes qui ovulent. Il se présente sous forme d'une formation arrondie, à paroi irrégulière, à contenu hémorragique ou liquidien et disparaît avec l'apparition des règles
11 IRM Examen clef de la pathologie pelvienne (résolution en contraste +++) Toujours en deuxième intention après une échographie pelvienne Peux tout aussi bien lever un doute diagnostique que constituer un élément indispensable de la prise en charge d une pathologie gynécologique
12 IRM Orientation des plan de coupe : Sagittal Coronal Axial Oblique dans le plan de col (cancer du col)
13 IRM utérus T1 : hyposignal homogène T2 : endomètre en hypersignal zone jonctionnelle bordant l endomètre (1/3 int du myomètremax 8 mm) en hyposignal 2/3 ext du myomètre en signal intermédiaire Le col en pondération T2 présente un hypersignal central correspondant à l'épithélium glandulaire endocervical et un hyposignal périphérique correspondant au stroma fibreux
14 IRM : utérus Paramètres
15 IRM : ovaires Signal : Hyposignal T1 global T2 : cortex hypot1, stroma hyper T2
16 Algies pelviennes aiguës de la femme Choc US hémorragie Rupture tubaire Rupture d un Kyste Intervention
17 Algies pelviennes aiguës de la femme Hémodynamique stable -HCG Signes inflammatoires Pas de signe inflammatoire Liens des Douleurs avec le Cycle menstruel Milieu du cycle Induction de l Ovulation Fin de cycle Pas de lien us us us us US Douleur intermenstruelle Hyperstimulation Rupture d un follicule Ou d un corps jaune Rupture d un kyste ovarien Torsion Endométrite Annexites Abcès tubo-ovarien Non spécifique TDM
18 Algies pelviennes aiguës de la femme TDM : US insuffisant Non concluant Champ trop limité TDM si doute sur l origine de la douleur => Pelvis? Digestif? Urinaire?
19 Hémorragie génitale Affirmer l origine génitale Ménorragie? Métrorragie? Déterminer le contexte : Pré ménopause Grossesse Post ménopause
20 Hémorragie génitale et grossesse Grossesse Extra-utérine Grossesse Intra-utérine Avortement spontané Mort In-utéro Infection Hémorragie sous placentaire Maladie du trophoblaste Môle
21 Grossesse Extra-utérine -HCG +++ Si -HCG > 1000 Sac visible en Intra-utérin # pseudo-sac = GIU Pas de sac = GEU (masse latéro-utérine et vacuité utérine) Si -HCG < 1000 et masse latéro-utérine = GEU Rien de visible : revoir la patiente à 3-4 jours avec - HCG (augmentation en faveur de GEU et décroissance en faveur d avortement)
22 Grossesse Extra-utérine
23 Grossesse Extra-utérine
24 Hémorragie génitale en pré-ménopause Vérifier l absence de grossesse Cause systémique (trouble de la coag, anticoag, métabolique) DIU (malposition) Fibromes Adénomyose Polypes Infection Cancers utérins (col)
25 Fibromes Utérins Tumeur bénigne fréquente, hormono-dépendante, qui se développe aux dépens des fibres musculaires de l'utérus Synonyme : Myome utérin, léïomyome
26 US et fibromes
27 US et fibromes
28 IRM et fibromes Cartographie réalisée par échographie IRM utile dans la décision thérapeutique Désir de grossesse Myomectomie Embolisation
29 IRM et fibromes
30 Polype muqueux
31 Polype muqueux
32 Adénomyose Très fréquent Muqueuse endométriale hétérotopique au sein du myomètre Ménorragies Dysménorrhées Diagnostic échographique Adénomyome Forme diffuse
33 Adénomyose Echo en premier lieu, IRM en seconde intention
34 Endométriose
35 Endométriose
36 Endométriose
37 Hémorragie génitale péri- et post ménopause US : atrophie de l endomètre si < 5 mm US pathologique : Polype Hyperplasie Myome sous muqueux Cancers utérins
38 Cancer de l endomètre Intérêts principaux de l IRM dans le cancer de l endomètre : Extension myomètriale en profondeur : intérêt +++ des dynamiques
39 Intérêts principaux de l IRM dans le cancer de l endomètre : Extension myomètriale en profondeur : intérêt +++ des dynamiques Extension au col Cancer de l endomètre
40 Cancer de l endomètre 78 ans Métrorragies Épaississement hétérogène endomètre
41 Cancer de l endomètre 66 ans Métrorragies Épaississement hétérogène endomètre
42 Cancer du col L IRM est l examen le plus performant pour évaluer (Zand KR Cancer Im. 2007) Taille tumorale
43 Cancer du col L IRM est l examen le plus performant pour évaluer (Zand KR Cancer Im. 2007) Taille tumorale Envahissement paramètrial
44 L IRM est l examen le plus performant pour évaluer (Zand KR Cancer Im. 2007) Taille tumorale Cancer du col Envahissement paramètrial Extension : paroi pelvienne et vessie
45 Cancer du col RELIQUAT Masse mesurable Hypersignal T2
46 Cancer du col PAS DE RELIQUAT Pas de masse mesurable Reconstitution de l anatomie zonale Viala-Trentini M. & al.
47 Cancer du col
48 Kystes et masses ovariennes Trois cas ne nécessitent pas de complément IRM : kyste fonctionnel : contrôle à 2 ou 3 mois s il n existe aucun argument péjoratif
49 Kystes et masses ovariennes Trois cas ne nécessitent pas de complément IRM : kyste fonctionnel : contrôle à 2 ou 3 mois s il n existe aucun argument péjoratif kyste lutéal : contrôle au début du deuxième cycle suivant s il n existe aucun argument péjoratif
50 Kystes et masses ovariennes Trois cas ne nécessitent pas de complément IRM : Kyste fonctionnel : contrôle à 2 ou 3 mois s il n existe aucun argument péjoratif Kyste lutéal : contrôle au début du deuxième cycle suivant s il n existe aucun argument péjoratif Kyste para ovarien
51 Kystes et masses ovariennes Kyste dermoïde : écho << TDM < IRM
52 Kystes et masses ovariennes Endométriome
53 Caractérisation des masses ovariennes Tumeurs organiques de l ovaire : rechercher des arguments pour la malignité IRM > Echo taille échostructure paroi végétations cloisons hypervascularisation Dynamiques +++ Diffusion +++
54 Cancer du col
55 Carcinose péritonéale
56 Ascite gélatineuse
57 Conclusion Echographie par voie endocavitaire+++ IRM Fibrome dans certains cas Adénomyose Oncologie : col, endomètre, ovaire
Images en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détail19 thèmes dans 10 villes
SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie
Plus en détailUn avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système
Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes Système Nouvelle norme en résection hystéroscopique Truclear apporte une précision, une clarté et une efficacité sans précédents pour réséquer
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailExploration et Prise en charge d un couple infertile
Exploration et Prise en charge d un couple infertile Florence LESOURD Pôle d Obstétrique, Gynécologie et Médecine de la Reproduction CHU Paule de Viguier - Toulouse DIU de Médecine de la Reproduction-Gynécologie
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailCet article a été remis à EndoFrance par le Pr Madélenat pour une utilisation réservée à l association EndoFrance
Faut-il coelioscoper les adolescentes? Patrick Madélénat Juin 2008 La difficulté de vivre avec une endométriose est admise de toutes celles qui en souffrent. En parallèle la difficulté de son traitement
Plus en détailCet article a été transmis par le Pr Madélénat à l association EndoFrance pour une utilisation qui lui réservée
PRISE EN CHARGE DE L'ENDOMETRIOSE Patrick Madélénat Hôpital Bichat Juin 2007 L'endométriose est une maladie difficile. Avant tout elle est difficile à vivre pour celles qui en souffrent, mais elle est
Plus en détailL endométriose. souvent méconnue. Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes
L endométriose une maladie gynécologique évolutive, souvent méconnue Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes intéressées Groupe d experts de l endométriose de la Société d
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailLes cancers de l appareil génital féminin
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers de l appareil génital féminin (col et corps de l utérus, ovaires) G R A N D P U B L I C Janvier 2009
Plus en détailINTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE
INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération
Plus en détailJFM. 7èmes journées franco-marocaines de. Gynécologie, Obstétrique et Fertilité. Marrakech. 17, 18 et 19 mai 2012. www.lesjfm.com
JFM 2012 7èmes journées franco-marocaines de Gynécologie, Obstétrique et Fertilité Marrakech 17, 18 et 19 mai 2012 Président des 7 èmes jfm : Pr. Léon Boubli (Marseille) Coordination scientifique et organisation
Plus en détailMise au point sur l IRM l troubles de la statique pelvienne chez la femme
Mise au point sur l IRM l et les troubles de la statique pelvienne chez la femme V.FAUTH P.MESTDAGH M.COSSON J.P.LUCOT E.PONCELET Service d imagerie d médicalem Hôpital Jeanne de Flandres - CHRU Lille
Plus en détailProlapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002
Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailÉchographie obstétricale
- Support de Cours (Version PDF) - Échographie obstétricale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/03/11 Université Médicale Virtuelle Francophone 1/38 - Support de Cours
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin. Lévonorgestrel
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin Lévonorgestrel Ce médicament fait l objet d une surveillance supplémentaire qui permettra l identification rapide
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailGONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire
ésumé des Caractéristiques du Produit 1 sur 5 21/09/2010 14:31 Mis à jour : 16/02/2010 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailIl importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au
Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au 15 août 2011. Toutefois, ces recommandations n ont aucunement
Plus en détailItem 292 : Algies pelviennes chez la femme
Item 292 : Algies pelviennes chez la femme Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) Date de création du document 2010-2011 Table des matières Pré-Requis... 3 OBJECTIFS... 3 INTRODUCTION...
Plus en détailUEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1.
UEMS - OB/GYN SECTION Board et Collège Européen de Gynécologie et d' Obstétrique ( EBCOG) LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. ADOPTEES
Plus en détailLe terme «infection urinaire» est souvent utilisé par les médecins pour des pathologies telles que l urétrite, la cystite ou la pyélonéphrite.
Chapitre 21 : Maladies du système génito-urinaire (Traduction de la p259) Aperçu du chapitre Les maladies du système génito-urinaire sont classées dans le chapitre 14 d ICD-10-CM. Elles ne sont pas dans
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailIRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir
CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre
Plus en détail«DIRE» UNE ECHOGRAPHIE A 12 SEMAINES D AMENORRHEE. Laurence Hamou Interne CHU ROUEN
«DIRE» UNE ECHOGRAPHIE A 12 SEMAINES D AMENORRHEE Laurence Hamou Interne CHU ROUEN INTRODUCTION 3 échographies obstétricales recommandées au cours d une grossesse normale. Idéalement réalisée entre 11
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailDirective clinique de consensus sur la dysménorrhée primaire
DIRECTIVES CLINIQUES DE LA SOGC N o 169, décembre 2005 Directive clinique de consensus sur la dysménorrhée primaire CO-PRÉSIDENTES Guylaine Lefebvre, MD, FRCSC, Ottawa (Ont.) Odette Pinsonneault, MD, FRCSC,
Plus en détail20eme Symposium Franco-Hongrois de Radiologie 25-27 avril 2012 Hotel Bambara, Felsőtárkány, Hongrie
MRT, ÁEK, GREF és SFR rendezvénye 2012 április 25 27 Hotel Bambara, Felsőtárkány A kongresszus elnökei: Jean- Michel BIGOT, Jean- Pierre PRUVO, FORRAI Gábor, FORNET Béla 20eme Symposium Franco-Hongrois
Plus en détailLe cancer de l utérus
Le cancer de l utérus Carcinome de l endomètre, sarcome de l utérus Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches Impressum _Editrice Ligue suisse contre le
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailFécondation in vitro avec don d ovocytes
Fécondation in vitro avec don d ovocytes Ref. 155 / abril 2009 Service de Médecine de la Reproduction Gran Vía Carlos III 71-75 08028 Barcelona Tel. (+34) 93 227 47 00 Fax. (+34) 93 491 24 94 international@dexeus.com
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailDIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme
Plus en détailCENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN. Prolapsus génital
CENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN Prolapsus génital Qu est-ce que c est? Le prolapsus génital est une affection féminine. Il se définit par une saillie des organes pelviens (vessie, utérus, rectum) à travers
Plus en détailTUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE?
TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE? R.CAMPAGNA, F.THEVENIN, D.RICHARME, H.GUERINI, A.FEYDY, F.LAROUSSERIE, JL.DRAPÉ Service de Radiologie B CHU
Plus en détailRecommandations pour la pratique clinique. Les pertes de grossesse
Recommandations pour la pratique clinique Les pertes de grossesse (texte court) Élaborées par le Collège national des gynécologues et obstétriciens français Promoteur CNGOF (Collège national des gynécologues
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailComprendre le cancer de l ovaire Guide d information et de dialogue à l usage des patientes et de leurs proches
Comprendre le cancer de l ovaire Guide d information et de dialogue à l usage des patientes et de leurs proches 2002 Sommaire Introduction 4 1 Le cancer de l ovaire 10 2 Le diagnostic 21 3 Les traitements
Plus en détailnfocancer Le cancer de l'ovaire www.infocancer.org Une initiative bénévole universitaire
Le cancer de l'ovaire Informations médicales clés Options thérapeutiques et leur suivi Recherche clinique Infos pratiques et carnet d'adresses Démarches à suivre, les administrations Une initiative bénévole
Plus en détailGynécologie Obstétrique
Gynécologie Obstétrique Chez le même éditeur Dans la même collection Anatomie pathologique, par le Collège français des pathologistes (CoPath), 2013, 416 pages. Cardiologie, par le Collège National des
Plus en détailEmbolisation des artères utérines
Embolisation des artères utérines Avertissement Ces renseignements ont été préparés par L Hôpital d Ottawa et ne visent pas à remplacer les conseils d un fournisseur de soins de santé qualifié. Veuillez
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailINFLUENCE D UN TRAITEMENT MYOFASCIAL ABDOMINO-PELVIEN SUR LA MIGRAINE CATAMÉNIALE
INFLUENCE D UN TRAITEMENT MYOFASCIAL ABDOMINO-PELVIEN SUR LA MIGRAINE CATAMÉNIALE Mémoire de fin d études pour l'obtention du Diplôme Français d Ostéopathe (DFO) Juin 2008 Sonia BOGLIOTTI Maître de Mémoire
Plus en détailMais pourquoi je ne suis pas enceinte?
Mais pourquoi je ne suis pas? On a beau vouloir très fort un bébé, la nature ne nous obéit pas toujours au doigt et à l œil Ce qu il faut savoir pour être au top de sa fertilité et tomber plus facilement!...
Plus en détail8 èmes journées franco-marocaines
Journées franco-marocaines de gynécologie obstétrique et fertilité 2014 8 èmes journées franco-marocaines Gynécologie, Obstétrique et fertilité Président d honneur Professeur Patrick Madelenat Marrakech
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailGUIDE D INFORMATION À L INTENTION DES RÉCIPIENDAIRES DE DON D OVULES DES RÉPONSES À VOS QUESTIONS
GUIDE D INFORMATION À L INTENTION DES RÉCIPIENDAIRES DE DON D OVULES DES RÉPONSES À VOS QUESTIONS Cette brochure a été conçue dans le but de répondre à vos questions et vous aider à prendre une décision
Plus en détailCOMPÉTENCES EN SOINS AUX ADULTES COMPÉTENCES GÉNÉRALES. Le médecin de famille est un clinicien compétent et efficace
À la fin de sa résidence, le résident : COMPÉTENCES EN SOINS AUX ADULTES 1. Prodigue à une clientèle adulte (homme et femme) des soins de santé globaux (préventifs et curatifs) et continus avec comme objectifs
Plus en détailTroisième Congrès de l Association Algérienne des Chirurgiens Libéraux. 30 et 31 Janvier 2015 Hôtel Mercure Alger
1 Troisième Congrès de l Association Algérienne des Chirurgiens Libéraux. 30 et 31 Janvier 2015 Hôtel Mercure Alger Président du Congrès : Pr B. Meradji Comité d organisation : Invité : Pr J-P Squifflet
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailLes irrégularités du cycle en préménopause
Fiche 3.2.2 Les irrégularités du cycle en préménopause Je suis déjà rendue là? Saviez-vous que... La majorité des femmes connaîtront des changements dans leur cycle menstruel pendant une période de quatre
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailSERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE - CLINIQUE DE FERTILITE
1 TABLE DES MATIERES 1. Un petit mot d introduction 2. En quoi consiste le don d ovocyte? 3. A qui s adresse le don d'ovocyte? 4. Les différents types de don d ovocyte A. Le don anonyme B. Le don dirigé
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailMONOGRAPHIE. Fibristal MC. acétate d ulipristal. comprimé à 5 mg. Modulateur sélectif des récepteurs de la progestérone (SPRM)
MONOGRAPHIE Pr Fibristal MC acétate d ulipristal comprimé à 5 mg Modulateur sélectif des récepteurs de la progestérone (SPRM) Watson Laboratories, Inc. Date de préparation : 19 juin 2013 577 Chipeta Way
Plus en détailChirurgie prophylactique des cancers avec prédisposition génétique
traitements, soins et innovation août 2009 recommandations professionnelles Chirurgie prophylactique des cancers avec prédisposition génétique Cancer DE L OVAIRE COLLECTION recommandations & référentiels
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailItem 30 : Assistance Médicale à la Procréation (AMP)
Item 30 : Assistance Médicale à la Procréation (AMP) Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) Date de création du document 2010-2011 Table des matières Pré-Requis... 4 OBJECTIFS...
Plus en détailLES STANDARDS DES METHODES DE PLANIFICATION FAMILIALE AU MAROC
ROYAUME DU MAROC MINISTERE DE LA SANTE DIRECTION DE LA POPULATION DIVISION DE LA PLANIFICATION FAMILIALE Programme National de Planification Familiale LES STANDARDS DES METHODES DE PLANIFICATION FAMILIALE
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailPOST-PARTUM DR HADJI DR BELAHRACHE. janvier 2013 CHU PARNET
POST-PARTUM DR HADJI DR BELAHRACHE janvier 2013 CHU PARNET DÉFINITION période qui s étend de l accouchement (après la délivrance) jusqu à la première menstruation -marquée par : o retour à la normale de
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailDr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger
Dr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger *Malgré les progrès de dialyse, la transplantation rénale demeure le meilleur choix thérapeutique de l insuffisance
Plus en détailCase report. Hernie de Spiegel: a propos d un cas. Open Access
Case report Open Access Hernie de Spiegel: a propos d un cas Karim Ibn Majdoub Hassani 1,&, Fatimzohra Zahid 1, Hicham Anoune 1, Imane Toughrai 1, Said Ait Laalim 1, Khalid Mazaz 1 1 Service de chirurgie
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailLes petis signes de T21 : comment ça marche et à quoi ça sert? Christophe Vayssière (Toulouse) DIU d echographie 2011
Les petis signes de T21 : comment ça marche et à quoi ça sert? Christophe Vayssière (Toulouse) DIU d echographie 2011 2 types de «petits signes»? Il a 2 types de petits signes de T21 : 1/ les signes suite
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailDOSSIER de PRESSE. Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis. Saint-Denis, Janvier 2011
DOSSIER de PRESSE Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis Saint-Denis, Janvier 2011 A l occasion de la rénovation de sa façade, validée par l architecte
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailPlace de la PSP et des AMS. «Parkinson plus!» Ce qui doit alerter. Paralysie supra-nucléaire progressive (PSP) Ce qui doit alerter
«Parkinson plus!» Pr Marc Verny Centre de Gériatrie, pav. M. Bottard Hôpital de la Salpêtrière Place de la PSP et des AMS Maladie de Parkinson : diagnostic clinique et certitude neuropathologique. Etude
Plus en détailinfo ROACCUTANE Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane Roaccutane
Roaccutane isotrétinoïne Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane info ROACCUTANE RM SM MANAGEMENT Programme de prévention de la grossesse SOMMAIRE 3.
Plus en détailDIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE. Responsables de l enseignement :
DIU de rééducation pelvi-périnéale DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE Responsables de l enseignement : Pr. Gérard AMARENCO (UPMC), Pr. Michel COSSON (CHU Lille), Pr. Gilberte ROBAIN (UPMC) 1. Cible La
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailStratégie de don d'ovocytes : expérience Belge
Stratégie de don d'ovocytes : expérience Belge B. Lejeune Le don d'ovocytes existe depuis une vingtaine d'années : la première grossesse obtenue par cette méthode date de 1984 et avait été obtenue par
Plus en détailLes fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive
ROLE DE LA SAGE FEMME DANS LA PREVENTION, LE DIAGNOSTIC ET ORIENTATION DES FISTULES Présenté par Mme Atchoumi Annie Hortense Sage-femme DU épidémiologie-bordeaux CHU de Yaoundé Introduction Définition
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailB08 - CAT devant une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs
B08-1 B08 - CAT devant une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs 1. I n t r o d u c t i o n La thrombose veineuse profonde (TVP) des membres inférieurs est indissociable de sa complication
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailTraitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)
Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil
Plus en détailINTÉRÊT DU SCANNER 3D DANS LA MESURE DE L'ANTÉVERSION DES COLS FÉMORAUX
INTÉRÊT DU SCANNER 3D DANS LA MESURE DE L'ANTÉVERSION DES COLS FÉMORAUX F. COLAS, R. CARLIER, C. LE BRETON, D. SAFA, D. MOMPOINT, F. ROFFI, E. M. KOCHEIDA, S. MOKHTARI, S. M KAOUAR, C. VALLÉE HÔPITAL RAYMOND
Plus en détailAccidents musculaires. Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre
Accidents musculaires Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre I. Lésions musculaires aiguës Classification Clinique
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détail