«Les nouvelles menaces des maladies infectieuses émergentes» COMPTE RENDU DE LA TABLE RONDE DU 17 OCTOBRE 2012
|
|
- Mireille Lafontaine
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 47 rue de Babylone Paris France Tél. : 33 (0) Fax : 33 (0) forum@futuribles.com «Les nouvelles menaces des maladies infectieuses émergentes» COMPTE RENDU DE LA TABLE RONDE DU 17 OCTOBRE 2012 Fabienne Keller est une femme politique française, elle a été maire de Strasbourg de 2001 à 2008 et siège au Sénat depuis Elle a été en charge du rapport, fait au nom de la Délégation sénatoriale à la prospective, sur les nouvelles menaces des maladies infectieuses émergentes, paru le 5 juillet Les maladies infectieuses ont toujours existé mais c est au XIX e siècle que les pouvoirs publics se saisissent du problème. Le discours se rationalise et les sociétés s organisent : quarantaines, bureau de vaccination, etc. Le domaine des croyances et des convictions est un élément très important à prendre en compte dans la manière de conduire les politiques de santé publique. Dans la seconde moitié du XX e siècle, on a connu une remise en cause de la toute puissance de la médecine moderne, notamment avec le choc du SIDA (Syndrome de l immunodéficience acquise). Une maladie émergente correspond à un syndrome encore non observé, à une affection encore jamais identifiée dans une zone géographique ou à une affection disparue qui réapparaît (comme la tuberculose à Paris, par exemple). Il faut savoir que la place des maladies infectieuses dans la hiérarchie de la mortalité est assez importante : depuis 50 ans, le nombre de maladies émergentes a été multiplié par quatre. Dans les pays pauvres, ces maladies seraient responsables d environ 43 % des décès. Ces maladies apparaissent tout particulièrement en Afrique et dans les zones de conflit. Les causes du développement de ces maladies sont multiples : en Inde, par exemple, l accès libre aux antibiotiques a contribué a créé une forme de tuberculose multirésistante dans les années 1990 et une forme extrêmement multirésistante dans la deuxième moitié des années Les maladies émergentes n existent pas que dans les pays du Sud : la maladie de Lyme (maladie bactérienne transmise par les tiques), par exemple, touche un nombre non négligeable de personnes en Alsace. Les maladies émergentes ne sont pas forcément bien connues du corps médical : certains médecins, par exemple, ne connaissent pas ou très peu la maladie de Lyme, ce qui la rend plus difficile à diagnostiquer. La plupart des maladies infectieuses émergentes (MIE) proviennent du monde animal. Plus de 300 nouvelles maladies infectieuses ont été découvertes depuis 1940 : 60 % proviennent des zoonoses (animaux), dont 72 % de la faune sauvage. La domestication de certains animaux comme les rats ou les serpents pourrait Table ronde Futuribles du 17 octobre 2012
2 avoir accentué la propagation de ces maladies. Les virus sont la principale cause des MIE. Le nombre de virus a explosé ces cinquante dernières années mais la connaissance de ces virus se développe fortement grâce aux progrès de la génétique. Aujourd hui, il existe des bases de données particulièrement abouties sur les virus existants. Parmi les virus apparus ou réapparus récemment, on peut citer : le virus Ebola, le virus Marburg, le virus de Lassa. Ces trois virus ont largement touché l Afrique dans les années 2000, ils provoquent des fièvres hémorragiques foudroyantes. Les MIE ont un coût très importants d où l importance de la prévention : le coût total du paludisme en Afrique est estimé à 10 milliards d euros par an. Les MIE désorganisent totalement la société (entreprises, services publics, écoles ). Selon l OMS (Organisation mondiale de la santé) le SRAS (Syndrome respiratoire aigu sévère) a tué plus de personnes dans le monde, et aurait coûté plus de 60 milliards d euros. Dans notre rapport 1, nous nous sommes intéressés aux facteurs qui pourraient influencer la transmission et la virulence des pathogènes dans un avenir plus ou moins lointain. Voici quelques exemples de facteurs: - l organisation de la population en grands centres urbains : la concentration des populations multiplie les possibilités de recombinaison et de réassortiments génétiques. En 2020, 15 % de la population mondiale pourrait vivre dans des bidonvilles. Or les conditions de vie insalubres sont propices au développement des MIE. - Les pratiques agricoles modernes (déforestation, élevage intensif, déplacement d hommes et d animaux entre les espaces urbains et les espaces naturels) pourraient favoriser le transport et la mutation des pathogènes. - La multiplication des échanges de marchandises pourrait faciliter l expansion des MIE (cf. Chikungunya dans le Sud de la France). - La progression du transport aérien : les deux points les plus éloignés de la Terre (Lagos et Sydney) peuvent être reliés en 26 heures. - Les déplacements de populations : dans les camps de réfugiés au Rwanda, personnes sont mortes du choléra. Quatre hypothèses ont alors été émises sur l évolution de ces facteurs 2 : une évolution volontariste, une évolution satisfaisante, une évolution tendancielle, une évolution négative. Nous avons envisagé le «scénario catastrophe» dans lequel un virus serait hautement contagieux, avec une période d incubation courte, un traitement limité et une forte létalité. Les exemples récents ne cumulent pas tous inconvénients : le SRAS, par exemple, a été moins contagieux que prévu (un million de personnes touchées), la grippe aviaire a été cantonnée à un petit territoire et aux animaux, la grippe H1N1 a été moins létale que prévu 1 Voir KELLER Fabienne, Les nouvelles menaces des maladies infectieuses émergentes, (Paris : Délégation à la prospective du Sénat, 2012, 233 p.), Bibliographie prospective n 107, septembre Liste des facteurs : démographie et urbanisation, précarité des conditions sanitaires, évolution des agents pathogènes, voyages et échanges intercontinentaux, interactions santé animale santé humaine, organisation du système sanitaire, recherche, usage des sols, changement climatique. Table ronde Futuribles du 17 octobre
3 Il est ressorti de ce travail que la préparation de la France à ce type de catastrophe était relativement faible : les besoins sociaux répondent en réalité à des peurs spontanées. Nous nous sommes posé différentes questions : quelles décisions stratégiques faut-il prendre? Comment appliquer les mesures traditionnelles de santé publique (quarantaine)? Comment communiquer sur le risque et l incertitude compte tenu des comportements des médias? Comment garantir un accès équitable aux ressources en cas de crise? Nous avons défini dix leviers d action : 1) faire prendre conscience aux opinions publiques de la globalisation du phénomène et de l importance des rapports Nord-Sud ; 2) agir sur les facteurs d émergence et de propagation des MIE pour les ralentir ; 3) considérer la prévention des maladies infectieuses comme une grande cause collective de l humanité ; 4) faire progresser l information des populations du Nord comme du Sud sur les pathologies, les vecteurs, etc. ; 5) développer des méthodes de concertation pluridisciplinaire plus larges : professionnels de la santé, mais aussi géographes, spécialistes des transports, historiens, sociologues, etc. pour construire des liens de confiance, créer des méthodes de travail en cas de crise ; 6) réintroduire des procédures classiques : isolement, quarantaine, hygiène publique ; 7) promouvoir de nouveaux outils d intervention : analyses géographiques, constitution de bases de données épidémiologiques, modélisation des phases de diffusion ; 8) réguler les mouvements de praticiens des pays du Sud vers les pays du Nord : sanctuariser la prise en charge financière des médecins dans les pays du Sud, faciliter l accès aux vaccins dans ces pays ; 9) soutenir et orienter la recherche sur les vaccins ; 10) faire des efforts d organisation logistique de terrain : encourager la coopération décentralisée entre collectivités locales du Nord et du Sud, transferts des médicaments, des vaccins, des souches Afin de faciliter les échanges sur notre travail, nous avons créé un blog 3. Néanmoins, nous avons manqué de sociologues qui pourraient nous aider à comprendre les comportements des populations. Ce travail n a pas non plus su mobiliser le ministère de la Santé, qui manquait de temps et était occupé par une succession de problèmes au moment des travaux (canicule, H1N1). 3 Table ronde Futuribles du 17 octobre
4 Extraits des débats Y a-t-il de plus en plus d agents pathogènes où les détecte-t-on de mieux en mieux? Les deux à la fois. Il y a eu une polémique sur la manipulation des virus (H1N1), des chercheurs japonais et hollandais ont introduit séparément un gène H5 dans H1N1. Les deux publications ont été mises sous embargo (par crainte du bioterrorisme) puis ont finalement été publiées dans leur intégralité. On manipule les virus pour voir si on peut modifier leur virulence et étudier les mutations : pensez-vous qu il faille continuer dans ce sens? Si oui, quelle coopération peut-on espérer? Quid du bioterrorisme? La polémique est sur le site Internet. Je n ai pas vraiment d avis sur ce sujet mais il est intéressant d observer les différentes réactions des acteurs à ce type de situation. Thierry Pineau (chef du département santé animale à l INRA) se propose de répondre en trois temps à la question de la recherche universelle et du bioterrorisme : 1) Les activités des chercheurs dans le domaine de la génétique inversée (création de nouveautés génétiques virales à partir de l existant par recombinaison maîtrisée), sont pratiquées depuis des décennies. Elles doivent être réalisées en milieu confiné avec une garantie de la qualité du confinement. Interrompre ces recherches sous la pression citoyenne serait se mettre la tête dans le sable. 2) Il y a un écart entre la connaissance par la société des pratiques de la recherche et la recherche elle-même, et cet écart est anxiogène. 3) En France, il manque un niveau minimum de compréhension des enjeux sociétaux via l enseignement d un minimum de savoirs en biologie pour que les enjeux puissent être compris et débattus dans la société. La question de la diffusion de l information semble revêtir une grande importance En effet, c est un vrai enjeu : peu de chercheurs en science de la communication se penchent sur ce sujet en France. Il est par ailleurs intéressant de noter qu une partie des conséquences économiques des maladies est en réalité due à la peur de la maladie. Par exemple, pour le virus de la grippe aviaire, il y a eu une chute de 15 % de la consommation de volaille en France avant même que le virus ne soit sur le territoire. J ai été interpellé par des chiffres sur le SRAS, qui aurait coûté 60 milliards d euros et entraîné la mort de personnes. Où en est-on concernant ce fléau? Le SRAS s est éteint sans qu on ne comprenne pourquoi il est arrivé ni comment il a disparu. Il existe un programme d alerte à l OMS (Organisation mondiale de la Santé) en cas de réactivation de la maladie (plan publié en 2004). Que feriez-vous si vous deveniez ministre de la santé dès demain? En France, il y a beaucoup de compétences sur chaque sujet mais un fractionnement excessif des compétences et pas d interaction : c est un enjeu majeur. Pour bien gérer le risque, il faut croiser les analyses et avoir un suivi dans le temps. Il ne faut pas être trop pessimiste car il est toujours difficile de savoir à quelle épidémie on a échappé grâce au travail des experts. La maladie de la vache folle aurait pu avoir des conséquences bien pires. Table ronde Futuribles du 17 octobre
5 En effet, pour les grippes H5N1 puis H1N1, c est la première fois que l homme se prépare à une épidémie : jusqu alors, les épidémies survenaient comme des catastrophes naturelles. Le CAS (Centre d analyses stratégiques) va publier une note sur la résistance des bactéries aux antibiotiques 4. Le mauvais usage et la consommation abusive d antibiotiques sont des facteurs très importants de la résistance des bactéries. Par exemple, des formes plus résistantes de la tuberculose se sont développées à cause de personnes malades qui n ont pas pris leur traitement jusqu au bout. Ces personnes ont arrêté leur traitement lorsqu ils ont commencé à sentir une amélioration de leur état (et non à la fin du traitement) et ils ont développé des formes résistantes aux antibiotiques. On a vu une réapparition de la tuberculose en Europe. La réapparition de certaines maladies n est-elle pas liée à l accroissement des foyers de pauvreté? Il existe un lien évident : lorsque la tuberculose est réapparue en Île-de-France, elle s est développée en Seine-Saint-Denis, département plus pauvre que d autres. Propos recueillis par Laurie Grzesiak. 4 CAS (Centre d analyses stratégiques), «Les bactéries résistantes aux antibiotiques», note d analyse n 299, novembre 2012, 12 p. URL : 5
Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution?
Les Rencontres de l Inra au Salon de l agriculture Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Lundi 23 février 2015 Programme 14h30
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détailau concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde
Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources
Plus en détailLa résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens
DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre
Plus en détailConférence technique internationale de la FAO
Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailAprès la crise et si le meilleur était à venir?
Colloque AGRICA mercredi 24 juin 2009 Après la crise et si le meilleur était à venir? VOS NOTES ANIMATION DES DEBATS Nathalie LEVY Journaliste-présentatrice, Nathalie Lévy présente en direct «Info 360»
Plus en détailMarché public d assurances Passé selon la procédure adaptée Article 28 du CMP. Cahier des charges
Marché public d assurances Passé selon la procédure adaptée Article 28 du CMP Cahier des charges 1. Assurance dommages aux biens 2. Assurance responsabilité civile 3. Assurance protection juridique 4.
Plus en détailAteliers 2011. Energie et territoires Vers des réseaux intelligents?
Ateliers 2011 Energie et territoires Vers des réseaux intelligents? ENERGIE ET TERRITOIRES : VERS DES RESEAUX INTELLIGENTS? Atelier Promotion 2011 - IHEDATE CONTEXTE : Dérèglements climatiques et énergie
Plus en détailPartage des coûts vs gratuité
Assurance maladie et gratuité des soins en Afrique subsaharienne : quelles bases pour une couverture universelle? Alain Letourmy (CNRS et animateur du réseau RAMUS (Réseau d appui aux mutuelles de santé))
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détail1-Thème du chantier : LE DEVELOPPEMENT DURABLE
Chantier d Emmaus International sur le DEVELOPPEMENT DURABLE Lisbonne du 10 au 18 octobre 2008 1-Thème du chantier : LE DEVELOPPEMENT DURABLE Le thème du développement durable a été choisi étant un vecteur
Plus en détailHealthcare * sdv.com. Logistique. Imagination. *Santé
Healthcare * sdv.com Logistique. Imagination. *Santé SDV, un service de proximité et une performance assurée La puissance de notre réseau : Notre présence dans 102 pays garantit un service de proximité
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailRÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE
9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,
Plus en détailNotre approche de développement local
Notre approche de développement local Renforcer le pouvoir d agir des personnes et des collectivités La grande marche de la démocratie La Déclaration universelle des droits de l homme adoptée en 1948 affirme
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détailRapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts
Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts par Équiterre 30 novembre 2011 Objet de l étude Cette étude
Plus en détailIntroduction Quels défis pour l Administration Publique face àla crise? Crise et leadership : quelles relations? Quels défis pour les dirigeants?
Renforcement des capacités en matière de Leadership au niveau du Secteur Public dans le contexte de la crise financière et économique Par Dr. Najat ZARROUK Introduction Quels défis pour l Administration
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailEtude de diagnostic territorial et accompagnement de projets en vue de la revitalisation du site de la base aérienne de Brétigny
Etude de diagnostic territorial et accompagnement de projets en vue de la revitalisation du site de la base aérienne de Brétigny Phase 2 Perspectives de développement Proposition de stratégie de mise en
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailPlan d orientations stratégiques 2012-2016
Plan d orientations stratégiques 2012-2016 Agence Française de Développement Établissement public, l Agence Française de Développement (AFD) agit depuis soixante-dix ans pour combattre la pauvreté et favoriser
Plus en détailPandémie : pas de fermetures de classes Évaluation de la situation au 13 novembre 2009
Erziehungsdirektion des Kantons Bern Direction de l'instruction publique du canton de Berne Amt für Kindergarten, Volksschule und Beratung Office de l'enseignement préscolaire et obligatoire, du conseil
Plus en détail«Challenging social reality, inspiring experiences»
«Challenging social reality, inspiring experiences» Cornélia Federkeil-Giroux Mutualité Française représentante de l Association internationale de la mutualité (AIM) 1 L Association internationale de la
Plus en détailSBM Offshore OIL & GAS* sdv.com. Logistique. Imagination. *Pétrole et Gaz
SBM Offshore OIL & GAS* sdv.com Logistique. Imagination. *Pétrole et Gaz SDV, UN SERVICE DE PROXIMITÉ ET UNE PERFORMANCE ASSURÉE La puissance de notre réseau : Notre présence dans 102 pays garantit un
Plus en détail14 26 mars 2007. 25 avril 17 mai 2007 8 16 décembre 2007
Le Centre de gestion des crises santé animale (CMC-AH) est un mécanisme de l Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture (FAO) et de l Organisation mondiale de la santé animale
Plus en détailURGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS
1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailAccélérer les projets de géoservices des PME. Réunion d information Paris, le 17 juillet 2014
ign.fr En partenariat avec Accélérer les projets de géoservices des PME 1 ère ÉDITION JUILLET 2014 Réunion d information Paris, le 17 juillet 2014 Nicolas Lambert (IGN) Eric Dubois (Cap Digital) LE PROGRAMME
Plus en détailCONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI
CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses
Plus en détailLa biométrie au cœur des solutions globales
www.thalesgroup.com GESTION D IDENTITÉ SÉCURISÉE La biométrie au cœur des solutions globales Risques et solutions Explosion de la mobilité des personnes et des échanges de données, croissance des flux
Plus en détailOSIRIS GRIPPE A H1N1
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE État-major opérationnel OSIRIS OSIRIS INFORMATION ÉTAT-MAJOR OPÉRATIONNEL POLICE Genève, le 13 mai 2009 Rapport mensuel Avis de précaution Message urgent GRIPPE A H1N1 Recommandations
Plus en détailAgir face aux risques sanitaires. Pour un pacte de confiance William Dab et Danielle Salomon
Agir face aux risques sanitaires. Pour un pacte de confiance William Dab et Danielle Salomon La sécurité sanitaire est-elle garantie en France? SFSE 29.11.2013 SFSE - 29.11.2013 2 Introduction Les crises,
Plus en détailIntervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire
1 Intervention de Marisol TOURAINE Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Maison de Santé Pluridisciplinaire Magny-en-Vexin Vendredi 20 février 2015 Seul le prononcé fait
Plus en détaileduscol Santé et social Enseignement d'exploration
eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des
Plus en détailComité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée
Strasbourg, le 14 novembre 2014. Comité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée Philippe Richert, Président du Conseil Régional d Alsace, Ancien Ministre, a ouvert
Plus en détailProgramme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena. 28-30 avril 2015
Deuxi ème jour Premier jour Jour 0 Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena 28-30 avril 2015 Date Heure Activité Veille du forum (Hôtel KEMPINSKI) Arrivée
Plus en détailLES NOTES D ALTAÏR. L intégration des œuvres d art dans l ISF : une mesure lourde de conséquences.
LES NOTES D ALTAÏR L intégration des œuvres d art dans l ISF : une mesure lourde de conséquences. Altair Think tank culture médias interpelle les parlementaires afin qu ils prennent le temps de la réflexion
Plus en détailEnjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD
PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat
Plus en détailLe partage de la création des espaces publics : concertation, participation, coproduction.
avec le soutien financier de ColloqueENSP-19janvier2012-DREAL/DDTM 16, rue Antoine Zattara MARSEILLE 1er. Lepartagedelacréationdesespacespublics:concertation, participation,coproduction. «Le nécessaire
Plus en détail4. Les options Une option donne à son propriétaire le droit d acheter ou de vendre un contrat à terme à un prix et une échéance prédéterminés.
4. Les options Une option donne à son propriétaire le droit d acheter ou de vendre un contrat à terme à un prix et une échéance prédéterminés. C est un droit et non une obligation. L acheteur d une option
Plus en détailéglise paroissiale ; cimetière Saint-Pierre de Poulainville, devenus cimetière communal (détruit)
Ancienne église paroissiale et cimetière Saint-Pierre de Poulainville, devenus cimetière communal (détruit) place de l' Eglise Poulainville Dossier IA80003711 réalisé en 2002 Copyrights Copyrights Auteurs
Plus en détailSÉMINAIRE PRODUCTIF 18, 19 AVRIL 2013
SÉMINAIRE PRODUCTIF 18, 19 AVRIL 2013 Cergy-Pontoise REPLAY* D UN ENTRE DEUX À UN TERRITOIRE DU GRAND PARIS : LA PLAINE DE PIERRELAYE BESSANCOURT * Innover, comprendre, inventer, renouveler, régénérer,
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailLe fonds de dotation. Titre. www.artisandumonde.org
Le fonds de dotation d Artisans du Monde Faire un don Pour construire un monde plus juste au Nord comme au Sud Titre Crédit photo : Ellas Cuentan www.artisandumonde.org 1 Fonds de dotation d Artisans du
Plus en détailCapital in the twenty- First Century
Capital in the twenty- First Century 21 2013 9 2014 3 19 20 20 21 Capital in the twenty-first Century 20 19 18 20 80~90 World top income Database 1/4 1/4 XVi 20 90 2000 2010 / / 90% 100% 20 90 1/3~1/2
Plus en détailpas de santé sans ressources humaines
Résumé Une vérité universelle : pas de santé sans ressources humaines + alliance mondiale pour les personnels de santé Résumé Objectif Le présent rapport est destiné à éclairer les débats du troisième
Plus en détailBonsoir, Mesdames et Messieurs,
Bonsoir, Mesdames et Messieurs, Tout d abord je souhaiterais remercier les organisateurs de ce symposium, la Division de la Population des Nations Unies et la Fondation Roselli, pour leur invitation de
Plus en détailEquipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable
Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau
Plus en détailRéduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?
Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants
Plus en détailLe niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.
ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailInformations préliminaires sur le poste. Informations générales sur la mission
Intitulé du poste Rattachement hiérarchique Pays / ville d affectation Date d arrivée souhaitée 15/09/15 Durée de la mission Contexte Informations préliminaires sur le poste CHARGE DE PROJET SANTE PROFIL
Plus en détailRÈGLEMENT SANITAIRE INTERNATIONAL (2005) DEUXIÈME ÉDITION
RÈGLEMENT SANITAIRE INTERNATIONAL (2005) DEUXIÈME ÉDITION RÈGLEMENT SANITAIRE INTERNATIONAL (2005) DEUXIÈME ÉDITION RÈGLEMENT SANITAIRE INTERNATIONAL (2005) DEUXIÈME ÉDITION RÈGLEMENT SANITAIRE INTERNATIONAL
Plus en détailMASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)
MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES
Plus en détailPROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS
PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS Cycle terminal de la série sciences et technologies du management et de la gestion I. INDICATIONS GÉNÉRALES L enseignement de management des organisations vise
Plus en détailLe processus du développement économique
DOUGLASS C. NORTH Prix Nobel d économie Le processus du développement économique Présentation de Claude Ménard Traduit de l anglais par Michel Le Séac h, 2005 ISBN : 2-7081-3397-7 13 Où allons-nous? Le
Plus en détailCOALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE
COALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE PROPOSITIONS COMMUNES Mise en œuvre de la rénovation énergétique du parc existant de bâtiments Contact CFEE : Joël VORMUS Tél. : 01 55 86 80 08 joel.vormus@cler.org
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailLes outils classiques de diagnostic stratégique
Chapitre I Les outils classiques de diagnostic stratégique Ce chapitre présentera les principaux outils de diagnostic stratégique dans l optique d aider le lecteur à la compréhension et à la manipulation
Plus en détailCHARTE BUDGET PARTICIPATIF
CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes
Plus en détailLutte contre l étalement urbain
Lutte contre l étalement urbain L étalement urbain et la consommation d espace résultent de plusieurs causes cumulatives. Ces phénomènes s expliquent notamment par l insuffisance et l inadaptation de l
Plus en détail«Selon les chiffres de la BNS, l évasion fiscale prospère»
«Selon les chiffres de la BNS, l évasion fiscale prospère» * Précision apportée par l auteur, publiée le 26 novembre. Voir en fin d'article Gabriel Zucman vient de publier un livre, «La Richesse cachée
Plus en détailRapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa
Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa L an 2013, le 28 et 29 août, s est tenue dans la salle du Campus Numérique Francophone de Kinshasa, le Forum sur la Gouvernance de l Internet en Afrique Centrale,
Plus en détailCONSEIL DES MINISTRES
CONSEIL DES MINISTRES LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSEE LE MERCREDI 2 SEPTEMBRE 2015 À L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA
Plus en détailPAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE
Note Conceptuelle PAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE La Tunisie renouvelle son engagement pour le développement et la prospérité de l'afrique et des pays arabes, par l'organisation de la 8ème édition de
Plus en détailIntervention du Premier ministre, François FILLON. Séminaire Ambrosetti «Une stratégie économique pour l Europe» Cernobbio, samedi 5 septembre 2009
PREMIER MINISTRE SERVICE DE PRESSE Intervention du Premier ministre, François FILLON Séminaire Ambrosetti «Une stratégie économique pour l Europe» Cernobbio, samedi 5 septembre 2009 EMBARGO AU PRONONCE
Plus en détailCORRECTION BREVET BLANC 2015 PREMIER PARTIE/HISTOIRE
CORRECTION BREVET BLANC 2015 PREMIER PARTIE/HISTOIRE 1/ en 1804 2/ le second empire 3/JULES FERRY 4/régime de Vichy : 1940/1944 La collaboration caractérise ce régime. Par exemple, la milice française
Plus en détailLAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES
LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans
Plus en détailles évolutions récentes
DE L ADEUS les évolutions récentes dans le BAS-RHIN : des territoires plus spécialisés et plus interdépendants 92 DéCEMBRE 2012 TRANSVERSAL Illustration : ADEUS, 2012 Depuis le milieu des années 1970,
Plus en détailL Agence nationale de la sécurité des systèmes d information
L Agence nationale de la sécurité des systèmes d information http://www.ssi.gouv.fr http://www.certa.ssi.gouv.fr http://www.securite-informatique.gouv.fr Vendredi 5 juin 2015 OZSSI sud C'est le relais
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailL empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés
L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires
Plus en détailTNS. BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA FORCE
15/01/10-08:01 - Page 1/3 Ref. Doc. : 2500-4318690-8 A : Service de presse / VEOLIA ENVIRONNEMENT Mot-Clé : VEOLIA BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA
Plus en détailRésumé du rapport final du Projet ECDD
Résumé du rapport final du Projet ECDD Janvier 2010 avril 2013 A propos du projet ECDD Le projet ECDD a été mis en œuvre par la Bristol Conservation & Science Foundation (une unité opérationnelle de Bristol,
Plus en détailCOOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet
COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération
Plus en détailRépublique de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION
République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN
Plus en détailChapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 7 mai 2015 à 13:59 Chapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles? Introduction Regards croisés? car apports de la science économique (économie de la firme)
Plus en détailII. LE PRINCIPE DE LA BASE
II. LE PRINCIPE DE LA BASE Le comportement des opérateurs (position longue ou courte) prend généralement en compte l évolution du cours au comptant et celle du cours à terme. Bien qu ils n évoluent pas
Plus en détailUNE REFLEXION PREALBLE
UNE REFLEXION PREALBLE NOUS N AVONS JAMAIS ETE AUSSI RICHES IL N Y A JAMAIS EU AUTANT DE PAUVRES QUI GERE LA REPARTITION? 1 ÉNERGIE ET TRANSITION Comprendre la situation est facile Ce qu il faut faire
Plus en détailLES DÉFIS DE L EXPANSION
LES DÉFIS DE L EXPANSION DU MONDE 49 e ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES ÉLEVEURS DE PORCS DU QUÉBEC JEAN-LOUIS ROY, 28 MAI 2015 L ESPACE AGRICOLE GLOBAL JEAN-LOUIS ROY, MAI 2015 Tous les pays du monde 1,35 milliards
Plus en détaildemain Aujourd hui ACDIC A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS
ACDIC Aujourd hui & demain A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS D. QUATRE THEMES D ACTIONS PRIORITAIRES E. NOS AMBITIONS
Plus en détail10 conseils sur la gestion et la mutualisation des agents par les groupements intercommunaux
Juin 2006 10 conseils sur la gestion et la mutualisation des agents par les groupements intercommunaux Article publié dans le Courrier des maires, n 191 du 01 mai 2006, par Emmanuel Duru, Responsable des
Plus en détailFiche 7: Privatisation et eau
De nos jours, la sauvegarde et le contrôle de l eau sont des enjeux qui donnent lieu à de multiples débats à l échelle planétaire. Maintenant que la ressource diminue, on se demande à qui elle appartient,
Plus en détailNathalie ARMAND, Praticien en hygiène - CH VALENCE Catherine BLANC, Infirmière hygiéniste - CH MONTELIMAR Philippe BURLAT, Médecin inspecteur de
GUIDE D ELABORATION DU VOLET INFECTIEUX DU PLAN BLEU GROUPE DE TRAVAIL : Nathalie ARMAND, Praticien en hygiène - CH VALENCE Catherine BLANC, Infirmière hygiéniste - CH MONTELIMAR Philippe BURLAT, Médecin
Plus en détailFondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone
Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Mettre l écologie au cœur des consciences Fondée en juillet 2005 par Yann Arthus-Bertrand
Plus en détailCONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE
CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L ASSOCIATION DES MAIRES DE FRANCE ET RTE Entre L Association des Maires de France, sise 41 quai d Orsay, 75343 Paris cedex
Plus en détail13 ème Forum pharmaceutique international: Problématique de l accès au médicament. CEREMONIE D OUVERTURE Intervention de la Présidente de la CIOPF
13 ème Forum pharmaceutique international: Problématique de l accès au médicament N Djamena, 5 juin 2012 CEREMONIE D OUVERTURE Intervention de la Présidente de la CIOPF Excellence, Monsieur le Président
Plus en détailAgence web marketing Pourquoi une agence de web marketing? Définition du web marketing.
Agence web marketing Pourquoi une agence de web marketing? Définition du web marketing. Internet est la plus grande vitrine imaginable pour présenter et vendre des produits et des services. En permanence
Plus en détailObjectif 3 : Confinement et certification
Objectif 3 : Confinement et certification CONFINEMENT ET CERTIFICATION Principaux objectifs Indicateurs de réalisation Principales activités Certifier l éradication et le confinement de tous les poliovirus
Plus en détailLe Ministre Pieter De Crem prend la parole
Le Ministre Pieter De Crem prend la parole Monsieur Pieter De Crem, Ministre de la Défense nationale, a donné un exposé le 21 mai 2008 à l Institut royal Supérieur de Défense (IRSD) Pendant cette conférence,
Plus en détailQu est-ce que l adaptation au changement climatique?
Note de position de CARE sur le changement climatique Qu est-ce que l adaptation au changement climatique? Le changement climatique représente une menace sans précédent pour les populations des pays en
Plus en détail