Procédures d=investigation par thermographie infrarouge pour quatre types génériques de murs extérieurs

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1 Procédures d=investigation par thermographie infrarouge pour quatre types génériques de murs extérieurs Antonio Colantonio Direction de la technologie, Services d=architecture et de génie Travaux publics et Services gouvernementaux Canada Phase III, 8B1, 11, rue Laurier, Hull, (Québec), Canada K1A 0S5 RÉSUMÉ Les murs extérieurs qui enceignent les bâtiments de taille moyenne et grande peuvent être classés dans quatre types génériques :1) murs en maçonnerie, 2) murs en béton préfabriqué architectural, 3) murs-rideaux en métal et verre, et 4) murs en acier isolés. À l=intérieur de ces types génériques de murs, il existe des variantes de revêtement et de configuration du mur. Des études de murs extérieurs dans lesquelles on utilise des radiomètres de thermographie infrarouge sont effectuées pour obtenir des renseignements concernant : 1) l=accumulation d=humidité, 2) les fuites d=air, 3) les variations dans les résistances thermiques de murs de configuration similaire, et 4) les ponts thermiques de la structure. Chaque type générique de mur est conçu pour se comporter d=une façon différente, et son utilisation dans diverses conditions est régie par ses caractéristiques techniques de performance. Les images thermiques produites par chacun de ces types de murs sont uniques, et les tolérances d=erreur pour chaque type de mur varient. Par conséquent, il est nécessaire de déterminer la méthode d=inspection pour chaque type de mur afin d=isoler les paramètres particuliers de performance associés à chacun d=eux. Le présent article détermine les divers types de murs extérieurs, traite des paramètres de performance pertinents qui permettent à ces murs de se comporter de manière appropriée et détermine les exigences relatives à l=inspection nécessaires pour évaluer avec précision les défaillances dans les murs extérieurs de revêtement des bâtiments. Mots clés : enveloppe du bâtiment, performance thermique, procédures d=inspection. 1. INTRODUCTION Des investigations de murs extérieurs dans lesquelles on utilise des radiomètres de thermographie infrarouge sont effectuées pour deux raisons précises : a) le contrôle de la qualité des murs neufs ou rénovés; b) les évaluations de l=état des bâtiments existants. Les deux types d=investigations sont utilisées pour obtenir des renseignements concernant : 1) l=accumulation d=humidité, 2) les fuites d=air, 3) les variations dans les résistances thermiques de murs de configuration similaire, et 4) les ponts thermiques de la structure. Pour contrôler la qualité des nouvelles constructions, ces quatre facteurs sont évalués pour vérifier les ouvrages afin de s=assurer que la construction a été effectuée conformément aux documents contractuels et qu=il n=existe pas de défauts cachés qui pourraient entraîner une détérioration prématurée des matériaux. Au cours de ce type d=inspection, l=expert-conseil en thermographie et en sciences du bâtiment n=a pas la possibilité d=apercevoir des symptômes visuels de détérioration ni de défaillance des matériaux. L=imagerie infrarouge utilisée pour vérifier la performance d=enveloppes de bâtiment existantes afin d=évaluer l=état de leurs éléments peut compter sur des signes visuels de détérioration et de défaillance des matériaux pour confirmer les résultats. Le contrôle de la qualité des nouvelles constructions est la tâche la plus difficile qui soit. L=expert-conseil en thermographie et en sciences du bâtiment doit faire des évaluations et des recommandations basées sur les dessins de

2 construction et l=imagerie thermique disponibles de murs qui ne présentent aucun signe de problèmes d=humidité ou thermiques. Le présent article traitera principalement de l=inspection de nouvelles constructions, mais beaucoup de principes appliqués à cette dernière s=appliquent aussi à l=évaluation de l=état du bâtiment. Les murs extérieurs qui enceignent les bâtiments de taille moyenne et de grande taille peuvent être classés dans quatre types génériques : 1) murs en maçonnerie, 2) murs en béton préfabriqué architectural, 3) murs-rideaux en métal et verre, et 4) murs en acier isolés. À l=intérieur de ces types génériques de murs, il existe des variantes de revêtement et de configuration du mur. Chaque type générique de mur est conçu pour se comporter d=une façon différente, et les tolérances d=erreur pour chaque type de mur varient. Par conséquent, il est nécessaire de déterminer la méthode d=inspection pour chaque type de mur afin d=isoler les paramètres particuliers de performance associés à chacun. Les paragraphes suivants traitent des paramètres de performance pertinents qui permettent à ces murs de se comporter de manière appropriée et détermine les exigences relatives à l=inspection nécessaires pour évaluer avec précision les défaillances. Les inspections des murs extérieurs sont plus faciles et moins coûteuses à effectuer de l=extérieur que de l=intérieur. Dans la plupart des grands bâtiments, le coût pour effectuer une inspection complète de l=intérieur devient prohibitif. Les inspections effectuées de l=intérieur sont en général utilisées pour vérifier les anomalies thermiques détectées dans des essais précédents. Les inspections d=enveloppes de bâtiment demandent l=utilisation de radiomètres avec des résolutions spatiale et thermique d=une très grande exactitude. Compte tenu que ces inspections sont effectuées dans des conditions climatiques extérieures froides défavorables et que les conditions d=essai sont constamment instables, le matériel nécessaire pour évaluer la performance d=une variété de surfaces et de murs doit fournir au spécialiste en thermographie les meilleures données thermiques possibles. Les radiomètres doivent être opérationnels dans un milieu où la température varie entre -20 C et 40 C. Des résolutions de 180 éléments par ligne et de 200 lignes par image sont suffisantes pour afficher et enregistrer sur des supports vidéo analogiques. À 30 C, les radiomètres doivent présenter une résolution thermique de mesure (NETD) de 0,1 C à 0,2 C, de manière à détecter des petites variations dans les caractéristiques thermiques. Ils doivent avoir des dispositifs optiques qui affichent des résolutions spatiales (champ de visée instantané) de 0,6 mrad à 1,8 mrad. Des appareils dotés de ces caractéristiques ont permis d=obtenir d=excellentes résolutions de défauts d=enveloppes. Un matériel moins précis pourrait ne pas fournir les mêmes données vérifiables et conduire à des situations qui empêchent de résoudre des problèmes thermiques et entraîner un faux diagnostic des défauts de l=enveloppe. Il serait bon de noter que les caractéristiques mentionnées plus haut ne sont pas absolument nécessaires pour d=autres types d=inspections comme celles des toitures et des installations électriques. Pour ces types d=applications, il n=est pas nécessaire d=avoir des caractéristiques NETD et de champ de visée instantané aussi rigoureuses que dans les applications citées plus haut. En général, les caractéristiques des défauts thermiques sont d=une plus grande ampleur et, par conséquent, la détection des défauts nécessite des radiomètres moins sensibles. 2. MURS DE MAÇONNERIE Les murs de maçonnerie sont constitués d=éléments de maçonnerie de remplissage creux ou porteurs. Ces murs peuvent être des murs porteurs en maçonnerie massive, non porteurs ou des murs creux. Les murs en maçonnerie massive sont construits avec ou sans isolant et leur plan d=étanchéité à l=air située sur leur face intérieure. Les murs creux ont leur plan d=étanchéité à l=air située sur leur face situé soit du côté intérieur soit du côté extérieur du mur de remplissage. En général, l=isolant se trouve du côté extérieur du mur de remplissage. On trouve divers types de revêtements extérieurs associés à ces murs; les plus courants sont la maçonnerie et la pierre. En général, les murs massifs ont une grande capacité de rétention de la chaleur provenant soit du rayonnement solaire soit par la réflexion de sources d=énergie environnantes. Cette particularité seulement impose que ces murs soient inspectés au moins six (6) à huit (8) heures après le coucher du soleil. La différence minimale de température nécessaire pour effectuer des inspections de performance thermique pour ce type de mur est de 10 C. Sans pressurisation, à cette différence minimale de température, les seuls motifs thermiques visibles sont les variations d=émissivité de surface, les différences de résistance thermique des diverses configurations de mur et les ponts thermiques de la structure. Avec pressurisation, à la même différence minimale de température, les fuites d=air sont également visibles. Par contre, avec

3 ou sans pressurisation et à la même différence minimale de température, l=humidité dans les murs n=est pas visible. L=accumulation d=humidité dans les murs provient soit de la pénétration d=eau de pluie ou de fonte soit de l=air chargé d=humidité qui migre de l=intérieur du bâtiment jusqu=au mur. En général, la détection de pénétration d=eau de pluie ou de fonte est visible au moyen de la thermographie infrarouge à des différences de température entre l=intérieur et l=extérieur d=environ 15 C. Afin de détecter des preuves d=accumulation d=humidité dans le mur, il est nécessaire d=avoir une différence de température entre l=intérieur et l=extérieur de 20 C associée à une température extérieure égale ou inférieure à -5 C. Ces conditions sont indispensables pour provoquer la condensation de la vapeur d=eau dans le mur. Quand la température extérieure chute au-dessous de 0 C, on peut déceler les motifs thermiques associés au changement de phase de l=eau sur ou sous la surface du revêtement qui se traduisent par des zones éparses sombres. Ces zones sur les surfaces en maçonnerie se produisent seulement quand la température est égale ou légèrement inférieure au point de congélation. Ces motifs thermiques sont associés à des températures extérieures qui chutent, pendant la soirée de l=inspection, des températures positives aux températures négatives. Il est nécessaire d=avoir une température extérieure très basse pour obtenir les meilleurs images d=accumulation d=humidité dans les murs en maçonnerie. Quand la pressurisation du bâtiment n=est pas possible, l=effet de cheminée se traduit par une exfiltration naturelle dans la section supérieure du bâtiment et entraîne une accumulation d=humidité maximale dans les éléments de maçonnerie. Quand il est possible de pressuriser le bâtiment, des températures extérieures autour du point de congélation sont acceptables pour détecter tous les défauts thermiques dans le mur. Il est possible de pressuriser la plupart des nouveaux bâtiments et, de ce fait, les inspections du contrôle de la qualité relatives aux fuites d=air et à l=accumulation d=humidité dans les murs sont effectuées facilement. Dans le cas des bâtiments plus anciens, dont beaucoup sont dotés de murs extérieurs en maçonnerie, des inspections thermographiques infrarouges effectuées lors des plus grands froids de l=année montrent le pire cas de fuites d=air et d=accumulation d=humidité dans les murs que la structure peut présenter. Par conséquent, quand il est nécessaire d=évaluer l=état des vieux bâtiments, il est recommandé d=effectuer ces inspections aux températures extérieures les plus basses. Quel que soit le type de mur, il est nécessaire d=effectuer toutes les inspections de l=enveloppe extérieure des bâtiments quand la vitesse du vent est inférieure à 15 km/h. Lorsque la vitesse du vent est supérieure à 10 km/h, cela entraîne des variations dans les motifs thermiques produits par un effet de rayonnement d=angle et par des fuites d=air et, dans des cas de murs creux, cela entraîne des pertes de chaleur par convection dans la lame d=air derrière le revêtement. Les effets de rayonnement d=angle dans des murs en maçonnerie sont surtout produits par le vent. Ce phénomène est encore plus marqué avec des revêtements légers que l=on trouve dans des murs-rideaux et dans des murs métalliques isolés. Pour obtenir des données thermiques uniformes sur le bâtiment entier, quand son revêtement est en maçonnerie, il est nécessaire d=effectuer les inspections lorsque la vitesse du vent est minimale. 3. MURS DE BÉTON PRÉFABRIQUÉ ARCHITECTURAL Les murs de béton préfabriqué architectural sont de deux types génériques : isolés et non isolés. En général, les murs comportant des panneaux non isolés ont une structure de mur intérieur autonome avec un pare-air incorporé. Il peut y avoir ou pas une lame d=air entre le mur intérieur et le mur de béton préfabriqué. Les joints autour du revêtement extérieur sont calfeutrés pour empêcher la pénétration de la pluie; le mur intérieur est muni d=une étanchéité à l=air. Les panneaux préfabriqués isolés offrent la possibilité d=incorporer le plan d=étanchéité à l=air sur la face intérieure des panneaux ou sur un mur autonome intérieur. Dans le second cas, des joints scellés sont faits seulement sur la face extérieure du panneau préfabriqué. Dans le premier cas, des joints scellés sont faits sur les deux faces du panneau préfabriqué, un sur l=angle extérieur et un sur l=angle intérieur. Le joint intérieur scellé joue le rôle d=un pare-air/vapeur, tandis que le joint extérieur joue le rôle d=une barrière pour empêcher la pénétration de la pluie. Ces murs sont mis en évidence car au cours de l=inspection thermographique infrarouge, sous une pression positive, ils se comportent différemment et les motifs thermiques associés à des mécanismes de perte de chaleur similaires varient de manière significative. Dans le cas d=un panneau avec ou sans isolant, où le pare-air est situé sur un mur distinct intérieur,

4 une pression positive entraîne un mouvement d=air et d=humidité dans les éléments intérieurs du mur. Les motifs des fuites d=air peuvent ressembler aux motifs de perte de chaleur par convection à l=intérieur du mur plutôt qu=à des motifs de fuites d=air directes à travers le mur. Des différences de température plus grandes entre l=intérieur et l=extérieur sont nécessaires pour vérifier les sources des fuites d=air sur ces murs que sur des murs à deux joints scellés, où les fuites d=air se situent seulement aux joints. Pour déterminer avec précision les fuites d=air sur des murs dont le pare-air n=est pas intégré au panneau, une différence de température de 20 C est nécessaire. Dans le cas des murs avec double joint sur les panneaux, une différence de température de 10 C est suffisante. Les inspections avec dépressurisation du bâtiment devraient être effectuées avant les inspections sous pression positive afin de réduire la migration d=humidité de l=intérieur jusque dans les murs. Une dépression devrait être maintenue sur tous les types de murs de panneaux de béton préfabriqué pendant un minimum de deux (2) heures avant la première inspection thermographique infrarouge. Cette mesure permettra de dissiper le gain de chaleur du revêtement extérieur engendré par le mouvement d=air vers l=extérieur précédent et permettra aux températures de surface du revêtement de se stabiliser. Une partie des pertes de chaleur par convection, toute la chaleur par conduction et une partie de l=accumulation d=humidité sera visible sur le revêtement au cours de ces inspections. Quand l=inspection sous dépression est terminée, le bâtiment devrait être mis sous pression positive et elle devrait être maintenue pendant au moins deux (2) heures avant d=effectuer une inspection dans ces conditions. Cette mesure permet à la température du revêtement autour des fuites d=air de se stabiliser. La présence d=une cavité interne dans les panneaux de béton préfabriqué a des répercussions importantes sur la différence de température minimale nécessaire à la détection de fuites d=air. Plus grande est la lame d=air dans le mur, plus grande devra être la différence de température ou de pression nécessaire pour déterminer l=emplacement exact de la fuite d=air sur le pare-air intérieur. Dans la plupart des murs préfabriqués, il est nécessaire de maintenir entre l=intérieur et l=extérieur une différence de pression supérieure à 20 Pa, pour détecter de l=extérieur des ouvertures précises sur la surface du pare-air intérieur. Il est nécessaire de maintenir cette différence de pression pendant au moins deux (2) heures pour des revêtements à base de ciment et en maçonnerie, et d=au moins 20 minutes pour des revêtements légers. Il est facile d=atteindre des différences de pression entre 30 Pa et 70 Pa dans la plupart des bâtiments bien construits. Pour les inspections thermographiques infrarouges, il n=est pas recommandé de maintenir des différences de pression supérieures à 200 Pa, car cela pourrait aggraver les petits défauts existants dans les pare-air. Comme avec les murs en maçonnerie, dans les panneaux en béton préfabriqué, pour détecter l=humidité provenant de fuites intérieures, il est nécessaire que la température extérieure soit inférieure à -5 C. Il est aussi nécessaire de maintenir une pression positive pour s=assurer que les fuites d=air sont visibles de l=extérieur et pour détecter des accumulations d=humidité possibles à ces mêmes endroits. L=accumulation d=humidité dans les murs en panneaux en béton préfabriqué n=est pas facile à déceler. Elle est plus fréquente dans les revêtements en maçonnerie que dans les revêtements à base de ciment ou en pierre. Comme avec les murs en maçonnerie, les inspections thermographiques infrarouges devraient se concentrer sur la détection des motifs d=humidité associés à des sources d=humidité intérieure plutôt qu=à des sources d=humidité extérieures, comme la pluie. L=accumulation d=humidité causée par l=humidité intérieure signifie qu=il existe des défauts dans le pareair/vapeur et que cela peut facilement entraîner la détérioration prématurée des éléments intérieurs du mur et la prolifération possible de moisissure et de champignons à l=intérieur de celui-ci. 4. MURS-RIDEAUX EN MÉTAL ET VERRE Il existe deux types de murs-rideaux en métal et verre : les murs-rideaux montés sur grille et les murs-rideaux en panneaux composites. Le type monté sur grille est principalement utilisé sur des bâtiments de faible hauteur ou comme mur décoratif sur des bâtiments à parement composite. Les bâtiments de grande hauteur utilisent presque exclusivement le type à panneaux composites. Dans les deux cas, on utilise des types similaires de vitrages isolants et de panneaux d=allège. Bien qu=ils soient construits différemment, ces murs-rideaux ont sensiblement la même performance thermique. Par conséquent, la procédure d=inspection de ces deux types de murs-rideaux est aussi similaire. En général, ces murs utilisent des matériaux ayant des surfaces à faible émissivité. Le fait que les matériaux dont sont composés les murs-rideaux soient des matériaux légers, qui emmagasinent mal la chaleur, rend l=inspection des ces mursrideaux extrêmement difficile. Ainsi, l=accumulation d=humidité dans ces murs-rideaux est impossible à détecter en utilisant la thermographie infrarouge. De plus, la surveillance des variations de résistance thermique est moins précise en raison de

5 la variation de l=émissivité de surface et de l=émissivité extrêmement faible de cette dernière. Les ponts thermiques sont uniformes dans tout le mur et ne demandent pas de vérification. Les fuites d=air représentent le seul paramètre de performance important des murs-rideaux qui peut être détecté sur place par thermographie infrarouge. Sur d=autres types de murs, il est recommandée d=effectuer une inspection sous dépression avant d=effectuer une inspection sous pression positive. Compte tenu que les murs-rideaux n=absorbent pas d=humidité, il n=y a aucune raison de recommander l=un de ces types d=inspection avant l=autre. Ces inspections peuvent être faites dans n=importe quel ordre sans aucune répercussion l=une sur l=autre. En raison de la faible capacité thermique des matériaux, la durée de stabilisation de la température avant d=effectuer les deux inspections est minimale. Un intervalle de vingt minutes s=est révélé acceptable. Les fuites d=air influent peu sur la température de la surface des matériaux de ces murs. Compte tenu des difficultés mentionnées plus haut, il est recommandé qu=une différence de température entre l=intérieur et l=extérieur d=au moins 20 C soit respectée pour pouvoir déceler des défauts associés aux fuites d=air dans les joints du mur. Des différences de pression élevées sont nécessaires pour entraîner des motifs thermiques identifiables aux fuites d=air soit sur la structure métallique soit sur les panneaux d=allège entre les étages. Vu que dans la plupart des fiches d=essai des murs-rideaux en métal et en verre indiquent d=effectuer un essai de performance à 75 Pa, il est recommandé que la détection des fuites d=air au moyen de la thermographie infrarouge soit aussi réalisée à des différences de pression positive ou négative de 75 Pa. La dimension de l=orifice par lequel ont lieu les fuites d=air est si petite que, dans la plupart des cas, il est nécessaire d=utiliser un téléobjectif pour obtenir une résolution spatiale acceptable afin de définir les motifs thermiques des fuites d=air. Cela est certainement le cas quand on effectue des inspections de bâtiments de plus de dix (10) étages. Une résolution radiométrique et une résolution optique spatiale de 0,6 mrad (champ de visée instantané) peut être nécessaire pour déterminer correctement les fuites d=air sur place des murs-rideaux en métal et verre. Des résolutions plus faibles ne semblent pas détecter avec constance les défauts associés aux fuites d=air. 5. MURS MÉTALLIQUES ISOLÉS Les murs d=acier isolés sont composés de structures d=acier avec des doublures métalliques intérieures et d=une variété d=isolants et de matériaux de revêtement. Les doublures métalliques intérieures agissent comme pare-air principal. En général, il existe une lame d=air derrière le revêtement extérieur. Les matériaux isolants ont la capacité d=absorber de l=humidité, contrairement aux autres matériaux du revêtement. L=accumulation d=humidité associée aux fuites d=air provenant de l=intérieur est attirée vers le revêtement extérieur métallique en raison des gains de chaleur solaires et, en général, se condense sur la face intérieure du revêtement et parfois coule vers l=isolant. Sur les murs-rideaux en métal et verre, l=ordre dans lequel sont effectuées les inspections sous pression ou dépression ne semble pas faire de différence sur les motifs thermiques relevés. Sur ces murs, les fuites d=air, les variations de résistance thermique de murs de composition similaire et les ponts thermiques peuvent être détectés au moyen d=inspections thermographiques infrarouges. En revanche, il ressort que l=accumulation d=humidité est très difficile à détecter au moyen de ce même type d=inspections. Quand les matériaux de revêtement ont des émissivités supérieures à 0,75, on peut effectuer des inspections pour détecter les fuites d=air, le mouvement d=air et les ponts thermiques avec des différences de température minimales de 10 C associées à des différences de pression de 20 Pa. Ces conditions minimales ne permettent pas de détecter les défauts d=isolation de l=extérieur, mais bien de l=intérieur. La vérification de défauts de l=extérieur (quand il existe une lame d=air derrière le revêtement) est difficile et peut demander des différences de température minimales d=au moins 20 C. Certains types de revêtements sur des murs métalliques isolés ont de faibles émissivités. Dans ces cas, la détection des défauts d=isolation au moyen d=inspections extérieures est presque impossible. 6. CONCLUSIONS Quatre types génériques de murs extérieurs utilisés sous des climats froids ont été identifiés : 1) les murs de maçonnerie, 2) les murs en béton préfabriqué architectural, 3) les murs-rideaux en métal et en verre et 4) les murs en acier isolés. Les

6 discussions ont surtout porté sur les méthodes précises d=investigation requises pour diagnostiquer adéquatement les problèmes de performance des murs sous les aspects suivants : a) fuites d=air, b) ponts thermiques, c) variations dans les couches d=isolant et d) accumulation d=humidité à l=intérieur des murs. Bien qu=il y ait des similarités entre les méthodes d=inspection de certains murs, il est évident qu=il n=existe pas de méthode universelle. Pour les bâtiments de hauteur moyenne et de grande hauteur, il est plus rentable d=effectuer l=inspection des enveloppes par l=extérieur. On a généralement recours aux inspections par l=intérieur pour vérifier les anomalies thermiques initialement constatées grâce à d=autres essais. Les inspections d=enceinte de bâtiment requièrent des radiomètres ayant une résolution spatiale et thermique très élevée. À 30 C, les radiomètres devraient présenter une résolution thermique de mesure (NETD) de 0,1 C à 0,2 C afin de pouvoir déceler des variations mineures des motifs thermiques. Ils doivent avoir des dispositifs optiques qui affichent des résolutions spatiales (champ de visée instantané) de 0,6 mrad à 1,8 mrad. Dans des murs creux, les motifs thermiques dus à une accumulation d=humidité, à une perte de chaleur par convection et aux ouvertures dissimulées dans le pare-air ne peuvent être décelées avec du matériel moins sensible. Ces caractéristiques ne sont pas nécessaires pour d=autres types d=inspections comme celles des toitures et des installations électriques. Toutes les inspections de murs extérieurs doivent être faites sous un vent de moins de 15 km/h pour que les données thermiques obtenues soient exactes et cohérentes pour toute l=enveloppe du bâtiment. De forts vents semblent affecter les surfaces extérieures des parements de maçonnerie davantage que les parements métalliques. Dans le cas des murs avec éléments de maçonnerie, les fuites d=air et les ponts thermiques sont détectables à des différences de température de seulement 10 C. Pour déceler une condensation dans le mur de l=humidité produite à l=intérieur du bâtiment ou des défauts dans les couches d=isolant (en particulier dans les murs creux), il faut avoir une différence de température supérieure, soit environ 20 C. Il est recommandé d=effectuer les inspections avec dépressurisation avant celles avec pressurisation pour éliminer les risques d=injection d=humidité dans l=enveloppe du bâtiment. Lorsqu=il est impossible de réaliser une pressurisation, les inspections de l=enveloppe du bâtiment devraient être effectuées lorsque les températures extérieures sont les plus froides. Cela s=applique principalement aux murs de maçonnerie. Les murs à panneaux préfabriqués comportant un double joint scellé sur leur pourtour produisent des motifs thermiques complètement différents de ceux qui ont un pare-air indépendant sur la face intérieure du mur. Une détection précise des sources de fuite d=air dans ce dernier type de mur requiert soit une pressurisation accrue du bâtiment ou un plus grand écart de température. La thermographie infrarouge est seulement utile dans la localisation des défaillances des joints de scellement dans les mursrideaux en métal et en verre assemblés sur place. La détection des défaillances de joint nécessite du matériel ayant une résolution spatiale très sensible et une pressurisation d=environ 75 Pa. D=autres paramètres de performance des mursrideaux ne peuvent être évalués in situ. Des essais en laboratoire ou sur maquette dans des conditions contrôlées sont requis pour mesurer la performance hygrothermique des murs-rideaux. La détection d=humidité à l=intérieur des murs d=acier isolés est difficile à effectuer avec la thermographie infrarouge. Les fuites d=air sont relativement plus faciles à évaluer sur ces murs. Un écart de température d=au moins 10 C permet de recueillir des données adéquates sur l=écoulement d=air sous un différentiel de pression de 20 Pa. Les défauts de l=isolation sont plus faciles à déceler de l=intérieur que de l=extérieur sur ce type de mur. 7. DOCUMENTS DE RÉFÉRENCES 1. Seeber, S.A.. * Use of Infrared Thermography for the Identification of Design and Construction Faults in Buildings +, SPIE Vol. 446, Thermosense VI, Oak Brook, Colantonio, A. and McIntosh G.B. * Pressurization Effects on Thermal Images of Building Envelopes +, SPIE Vol Thermosense XI, Orlando, 1989.

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