COMPTE RENDU DE LA REUNION DU MARDI 18 février Maison des Sports de Touraine à Parçay-Meslay

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1 COMPTE RENDU DE LA REUNION DU MARDI 18 février 2014 Maison des Sports de Touraine à Parçay-Meslay Afin de mieux se connaitre, d échanger des idées, de parler de l organisation de l ASA et de ses épreuves, le président Gérard EDOUARD a proposé lors de notre Assemblée Générale du 17 janvier, de réunir avec les membres du Comité de Direction tous les présidents d écuries "organisateurs techniques" et les officiels de l ASA. Présents : Alain AUBERT, Régis BEREAU, Bruno BILLARD, Jean-Claude BONNIER, Guy BOU- CHER, Patricia CASTETS, Philippe COURTIN, Michelle DAGUET, Rémy DUMONT, Jean-François DUPAS, Roger DUTARDRE, Gérard EDOUARD, François FARE, Serge FAUVEL, Loïc GAGNEUX, Dennis GILLET, Gilles GUILLIER, Claude HERVIEU, Michel JUIGNER, Alain LAFONT, Jean-Marc LECHAT, Daniel LEFORT, Claude MARANDEAU, Claudette MARANDEAU, Charles MARIE, Christian MEUNIER, Sylvain MENORET, Alain PETRUS, Mickaël RAGUENEAU, Jean-Luc ROGER, Cédric TRICOTELLE. Excusés : Michel HERVE, Jean-Marc SEGOUIN, Sylvère LAJOUX (représenté par Jean-Marc LECHAT). Ouverture de la séance à 19h45 sous la présidence de Gérard EDOUARD. Dennis GILLET propose de démarrer la discussion tout en rappelant que le rôle de l ASA est de fédérer. Il souligne que, entre passionnés par le sport auto, nos discussions doivent avoir pour objectif de déboucher sur des solutions à nos problèmes.

2 COMMISSAIRES TECHNIQUES Régis BEREAU : Ne viendra pas à Bléré et Loches à cause d obligations personnelles. Ne veut plus faire de courses de côte régionales, pour cause de mauvaises relations avec les pilotes. Régis trouve le programme de Cœur de France trop lourd à digérer. D. Gillet rappelle que l organisation du CDF change cette année et que le problème doit se régler. Régis demande à voir avant de prendre une décision. Concernant le rallycross, problème avec un pilote suite à un changement de voiture. (Knapick?) Conteste aussi les horaires de convocation. Daniel LEFORT : Nous informe qu il est engagé à l année dans des disciplines dont il ne peut se dégager : (Le Mans séries et TTE). Mais sera présent sur les épreuves de l ASA chaque fois que cela sera possible, car n a pas de problème avec les organisateurs. Cédric TRICOTELLE : Engagé également en TTE. OK pour Loches, vallée du Cher, Chinon et Vouvray. Reproche à CFO les vérifications le vendredi. Sylvain MENORET : Certaines épreuves sont trop proches en terme de dates.(ex : Crochu/ Choisille). Le calendrier établi par l ASA n est pas bon. D. Gillet lui rappelle qu il fait partie du comité directeur de l ASA, mais Sylvain reproche qu on ne l écoute pas. Sylvain dit que si on veut que les commissaires techniques fassent toutes les courses de l ASA, il faut payer leur licence. Cette suggestion ne semble pas faire l unanimité chez ses collègues, qui souhaitent rester «libres». Intervention de Bruno BILLARD, qui dit devoir demander à des techniques hors comité de venir sur son épreuve. Déplore le manque de réponse à ses demandes.

3 Philippe COURTIN : Se plaint également de la relation avec certains pilotes. Ne fera que quelques épreuves de l ASA, car souhaite se faire plaisir en roulant un peu luimême sur terre. Intervention d Alain AUBERT, qui déplore aussi le manque de réponse à ses demandes répétées. Intervention d Alain PETRUS, qui tient à faire remarquer que, si certains pilotes ont un comportement contestable en côte, ce n est pas la majorité. Il souligne que lui-même a toujours veillé à présenter une voiture correcte et avoir une attitude exemplaire vis-à vis de tous les officiels. Jean-Luc ROGER rappelle qu il avait été proposé aux commissaires techniques de financer leur licence, mais cela avait été refusé. COMMISSAIRES DE ROUTE Jean-Claude BONNIER : Si en course de côte, il n y a pas de problème pour avoir des commissaires de route, il n en va pas de même en rallye. Claudette Marandeau précise que certains commissaires sont partis vers le circuit et que l on manque de commissaires aux points stop, mais il faudrait les former. Tout d abord, il est demandé de soigner l accueil des commissaires, souvent médiocre. Lorsque la convocation est tôt le matin, un vrai petit-déjeuner est souhaité. Les commissaires restent souvent 2 à 3 heures en attente avant l épreuve, mais là, il sera difficile de faire quelque chose car c est la procédure qui veut ça. Lorsqu un commissaire est seul à un poste, c est un peu dur, surtout avec la gestion des spectateurs. Bruno Billard ajoute que, en cas d accident ou incident, la situation est plus difficile lorsqu on est seul. Il est demandé de nommer systématiquement un responsable commissaires à chaque rallye, ce qui n est apparemment pas toujours le cas.

4 Il faudrait améliorer l organisation du ramassage du matériel après le rallye, car dans une grande spéciale, les commissaires en poste en fin d épreuve attendent parfois très longtemps. Jean-Luc ROGER suggère d avoir 2 véhicules de ramassage dans les longues ES. Le deuxième commencerait à ramasser à partir du milieu. Claude HERVIEU Il arrive que certains concurrents n ont pas de triangle. Rémy DUMOND Evoque la difficulté à être certain que tous les commissaires prévus seront présents le jour J. Dit également l importance d un accueil de qualité pour les commissaires, qui doivent se sentir aussi considérés que n importe quel autre officiel. Rémy pense qu il faudrait faire plus d information et de pédagogie, ainsi que de la communication. Problème du ramassage du matériel évoqué également. Réaction de l ASA : Nous allons voir comment utiliser internet pour mieux communiquer avec les commissaires. Bruno BILLARD suggère de leur envoyer le calendrier de l ASA en début d année. François FARE Il faut faire des efforts pour que les commissaires se sentent considérés comme des officiels au même titre que les autres. Jean-Luc ROGER Nous donne quelques informations concernant les rallyes. Dans le contexte actuel, le directeur de course ne bouge plus du départ d une ES. Il fait confiance à l organisateur technique. Eventuellement, il est allé voir l ES avant. Une vérification juste avant le départ est impossible, c est l organisateur technique qui engage sa responsabilité. Quand la tricolore part, le directeur de course doit être au départ. CHRONOMETREURS Patricia CASTETS Vit mal de subir des critiques personnelles sur les réseaux sociaux.

5 JL Roger confirme qu il peut y avoir sanction contre ce genre de pratique. Un commissaire du comité a été ou va être sanctionné par la FFSA pour des propos tenus sur un réseau. Patricia informe que, à cause de certaines obligations personnelles, elle ne pourra être présente sur toutes les courses de l ASA. (Bien se caler avec les organisateurs pour éviter les soucis de dernière minute). Guy BOUCHER Demande si le travail du chronométreur consiste à donner l heure d arrivée ou le temps du concurrent. JL Roger répond que le chronométreur doit donner le temps du concurrent. Il doit également toujours doubler son temps. G. Boucher ajoute qu un chronométreur de l'asa refuse de faire le calcul. Loïc GAGNEUX Très sollicité, fait beaucoup d épreuves. Concernant le temps, il le donne à chaque fois que c est possible. La solution est, pour lui, départ et arrivée à l heure de l horloge parlante. Fait remarquer que le chrono d arrivée est souvent mal loti : Isolé, manque d infos, pas de contact. JL Roger ajoute que, la nuit, le chrono voit très mal. Les petits numéros orange sont bien plus visibles que les noirs classiques. Souligne le manque de chronos. G. Boucher dit qu il serait bien d avoir un aide chrono, facile à former. Mais il serait préférable d avoir un licencié pour la question d assurance. JL Roger recommande de prendre une licence volontaire. La responsabilité civile organisateur couvre les membres d écuries. COMMISSAIRES SPORTIFS ET DIRECTEURS DE COURSE

6 Michèle DAGUET Ne fait pas appel à certains officiels, tout simplement parce que l écurie a ses habitudes et quand ça se passe bien, on rappelle les mêmes l année suivante. François FARE Il lui manque deux sportifs pour St Arnoult. Souhaiterait que les côtes et slaloms bénéficient de la subvention du conseil régional, via le comité. Réponse de JL Roger : C est non, à voir avec le département. Roger DUTARDRE Nous communique la fiche qu il envoie à chaque officiel, avec le détail de son affectation, plus le lieu de couchage, etc Une bonne source d inspiration. Claudette MARANDEAU Fait remarquer que l organisateur doit notifier clairement à l officiel appelé sur son épreuve la fonction qui lui est attribuée (DR de course PC ou DR de course d ES par exemple) et prévoir le chasuble qui va avec. Charles MARIE Pas de problème d officiels pour le rallycross sauf chronos. Difficultés pour trouver des médecins. DIVERS Suite à une question concernant l épreuve de Nascar organisée à Tours sous l autorité d une ASA hors comité, JL Roger confirme que c est légal, une ASA peut organiser sur le «territoire» d une autre, dans un autre comité. Fin de la réunion à 22h30. Le président Gérard EDOUARD Le secrétaire général adjoint Michel JUIGNER