Les conférences sociales mensuelles de l Institut des Artisans de Justice et de Paix 2007
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- César François
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1 INSTITUT DES ARTISANS DE JUSTICE ET DE PAIX (I.AJ.P.) CENTRE DE RECHERCHE ET DE FORMATION «LE CHANT D OISEAU» COTONOU Les conférences sociales mensuelles de l Institut des Artisans de Justice et de Paix 2007 Thème : Histoire de l évolution de la pauvreté au Bénin de 1990 à 2006 Par : Mme Marie Antoinette ADISSODA, professeur certifié d histoire à la retraite Introduction Notre propos est de réfléchir sur l évolution de la pauvreté au BENIN de 1990 à Après mes deux prédécesseurs qui ont suffisamment déblayé le terrain, je m emploierai à mon tour à prouver non seulement que pauvreté et précarité font partie du quotidien des béninois au cours de la période envisagée, mais aussi à démontrer que malgré, tous les progrès réalisés par le pays, pendant deux ou trois décennies, la situation sociale des béninois s est dégradée par rapport à Faire un tel diagnostic, ne serait pas pour verser dans le pessimisme mais tout simplement pour aider à détecter le mal qui nous mine, afin d y trouver remède. Pour aboutir à ce résultat, je vais après avoir donné quelques définitions, voir comment se manifeste la pauvreté au cours de la période qui nous intéresse, et enfin, essayer d expliquer pourquoi la pauvreté sinon la précarité connaît une telle évolution au Bénin. I. Quelques définitions I 1. Qu est ce que la pauvreté? Dans le dictionnaire Larousse, le terme de pauvreté est entre autres défini comme suit : «insuffisance des choses nécessaires à la vie». Cette définition nous laisse sur
2 notre faim, car les choses nécessaires à la vie sont relatives. Si on compare le paysan de Pèrèrè et celui de Kpomassè ou le DG du Port Autonome de Cotonou et l instituteur de Ouidah, les choses nécessaires à la vie ne seront sûrement pas les mêmes pour eux.aussi il a fallu trouver une autre définition plus consensuelle. Celle-ci, nous est proposée par le PNUD dans le rapport sur le Développement humain au Bénin : La pauvreté est la privation «des moyens matériels permettant de satisfaire un minimum acceptable de besoins, notamment alimentaires». Et cette définition est complétée comme suit : est considéré comme pauvre «Toute personne qui est incapable de satisfaire ses besoins fondamentaux et qui de ce fait, est privé du droit à la parole, du pouvoir et de la considération». En termes clairs, la pauvreté est un phénomène multidimensionnel qui se manifeste sous plusieurs formes : absence de ressources ou de revenus pour assurer son existence, faim ou malnutrition, mauvaise santé, morbidité, mortalité accrue, analphabétisme, insalubrité de l environnement, discrimination ou exclusion sociale. Pour établir des comparaisons et mieux appréhender le phénomène, les organismes internationaux ont dû forger des instruments de mesure dont nous allons maintenant parler sans entrer dans des considérations de spécialistes de l économie ou des finances. I 2. Les instruments de mesure de la pauvreté. Le plus important, est le Seuil de Pauvreté Global (SPG). Il englobe le seuil de pauvreté alimentaire (SPA) et le Seuil de pauvreté non alimentaire (SPNA). Le SPG est la «dépense minimale annuelle, nécessaire à un individu ou à un ménage pour qu il puisse acquérir la quantité de biens alimentaires et non alimentaires jugés nécessaires, pour un régime alimentaire équilibré et essentiel, par la communauté dans laquelle il vit». Cette définition a l avantage de n entretenir aucune confusion dans la mesure où elle prend en compte le milieu dans lequel chacun vit. (reprendre l exemple cité plus haut pour expliquer) Quant à l Indicateur du Développement humain, (IDH) c est un instrument de mesure qui permet d avoir une évaluation approximative, du bien-être de la population, il permet de mesurer à la fois, le niveau de l espérance de vie, le niveau d éducation et de l accroissement de la richesse au sein d une société. Selon les normes du PNUD, lorsque l indicateur est supérieur à 0,80, on parle de développement humain élevé ; lorsqu il est compris entre 0,5 et 0,8 on parle de développement humain moyen ; lorsqu il est inférieur à 0,5 on parle de développement humain faible. Il existe beaucoup d autres instruments mais nous ne nous en servirons pas dans cet exposé. 2
3 II. Les manifestations de la pauvreté au Bénin entre 1990 et 2006 Avant de nous pencher sur les manifestations de la pauvreté au cours de cette période, il convient de voir quel était alors le contexte socio économique. II 1. Contexte socio économique. La période a été celle de grandes difficultés économiques et sociales pour le Bénin, marquée par la dévaluation du Franc CFA en 1994, l engagement du pays dans des programmes d Ajustement Structurel, le dégraissage de la fonction publique, et le gel des recrutements, les menaces de blocage de l appareil administratif par des grèves à répétitions etc. En 1990, lorsque l option socialiste prend fin, le Bénin avait déjà signé le 1 er programme d ajustement structurel avec le concours du FMI et de la Banque mondiale. Le pays sera soumis à plusieurs programmes d ajustement structurel : PAS I PAS II PAS III L objectif de ces différents programmes étaient de rétablir les grands équilibres macro économiques et la croissance par : o la réduction des déséquilibres budgétaires et de la balance des paiements o la promotion du secteur privé o la privatisation des entreprises d Etat o la réforme de la fonction publique etc. Le résultat de cette politique fut le rétablissement de la croissance qui après avoir été négative à la fin des années 80, est passée à 4,2% de 1990 à 1995 et à 5,3% de 1996 à Le taux d accroissement démographique était supérieur à 3% pour toute la période. Or avec un tel taux de croissance démographique, il aurait fallu une croissance de7% au moins pour améliorer le niveau de vie. Ces réformes ont contribué à l amélioration du cadre macro économique, à la libéralisation de l économie, au désengagement progressif de l Etat du secteur productif, à la restructuration du secteur financier et à l amélioration de la gestion des finances publiques. Dans la fonction publique les effectifs sont passés de à de1990 à Quant aux entreprises publiques elles ont presque toutes été privatisées à l exception de celles de certains secteurs clé tels que l énergie, la communication 3
4 Malgré les succès économiques de cette décennie d ajustement structurel les conditions de vie des populations ne se sont pas améliorées au contraire celles-ci sont restées en marge du développement et parfois même leur situation s est davantage dégradée II 2. La persistance de la pauvreté : A la fin des années 90, face à l échec social des programmes d ajustement structurel et à l aggravation de la misère populaire, un nouveau concept a vu le jour et la plupart des pays africains ont été invités à réfléchir sur une stratégie de réduction de la pauvreté, d où la conception et la mise en oeuvre de Document de stratégie de réduction de la pauvreté (DRSP). Que nous révèle ce document? Sur le plan mondial sur 174 pays pauvres identifiés en 1995 par le PNUD, le Bénin occupe le 145 ème rang avec 47% de la population privée des services sociaux essentiels. L IDH est établi en 1999 à 0,435 alors que pour la même période il est évalué à 0,542 au Ghana et à 0,702 en Afrique du Sud, donc le Bénin est classé dans la catégorie des pays à développement humain faible. Quant au SPG, d après les résultats de l enquête légère auprès des ménages (ELAM) et de l enquête sur les conditions de vie des ménages en milieu rural (ECVR), en % des ménages en ville sont pauvres ou vulnérables, 57% en milieu rural. En outre en ce qui concerne l emploi, le gel des recrutements dans la fonction publique, l inadéquation des jeunes diplômés, aux besoins du marché du travail entraînent un fort taux de chômage au niveau des demandeurs d un premier emploi. En 1999 sur 3110 demandeurs d emploi, il n y avait que 325 offres disponibles, donc 2785 demandeurs laissés sur le carreau. A ces derniers il faut ajouter tous ceux qui sont sujets au sous emploi, car menant des activités précaires (conducteurs de zem, démarcheurs, vendeurs d essence Kpayo, tenanciers de buvette ou cafétéria etc.). Par rapport aux Béninois des années 1972, à défaut d avoir des statistiques d ensemble sur la période, nous pouvons établir quelques comparaisons très simples. Exemple : un jeune professeur certifié, qui commence à travailler en 1975, avec un salaire net de F environ, désireux de construire sa maison il pouvait alors avec l équivalent de son salaire mensuel s acheter, 7 tonnes de ciment ; trente ans plus tard, son jeune collègue qui a un salaire un peu plus élevé ( F), ne peut plus qu acheter une tonne ; mieux lui même dont le salaire serait passé à F environ ne pourrait plus en acheter que 3. De tels exemples peuvent être multipliés à l infini. Le paysan qui après avoir vendu une mesure de maïs à 100 F, en 1972 pouvait s acheter deux litres de pétrole, avec le maïs à 350 F la mesure, trente ans plus tard, est à peine capable de se procurer un litre de pétrole. Plus simple encore, en 1990 pour 100 F on pouvait se procurer à l auto gare de Bohicon, 12 grosses boules de «lio» aujourd hui pour la même quantité, il faut payer 250 F. Produits manufacturés importés ou produits locaux, le constat est le même ; le Béninois de 2006, s enfonce réellement dans la précarité. 4
5 III. Analyse du phénomène de la pauvreté A notre avis deux types d explications peuvent être données : III 1. Les causes structurelles de la pauvreté Ce sont celles qui ont toujours été avancées - croissance économique insuffisante par rapport au taux d accroissement démographique - utilisation de techniques et d outils archaïques dans le domaine agricole - inexistence d une législation foncière - exode rural - analphabétisme du monde rural - insuffisance d encadrement - enclavement des zones de production - monoculture et détérioration des termes de l échange - Faiblesse de l industrialisation - Insuffisance des infrastructures - Chômage et sous emploi - Hypertrophie du secteur tertiaire - Déséquilibre des balances commerciale et paiement - mondialisation et ses effets pervers dans les pays en développement - etc. A ces causes structurelles reconnues par tous, ne pourrait on pas ajouter les causes que j appellerai bien volontiers des causes circonstancielles ou conjoncturelles. III 3. Les causes circonstancielles Dans le document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté au Bénin, de la Commission Nationale pour le Développement et la Lutte contre la Pauvreté (CNDLP) publié en décembre 2002, on peut lire : «La mise en œuvre de différentes politiques et mesures économiques ces dix dernières années a été à la base de la relance de la croissance économique. Ces politiques n ont toutefois pas suffi pour réduire la pauvreté, particulièrement dans le milieu rural. Cette situation pourrait s expliquer par l inefficacité des mesures de redistribution des revenus tirés de cette croissance, les difficultés du monde rural à obtenir une rémunération optimale de sa production alors que d autres 5
6 acteurs du système de production et de commercialisation captaient des marges de profits conséquentes, les insuffisances dans la gouvernance des affaires publiques.» En 2006, le Mémento économique et fiscal du Bénin, publié par le ministère des Finances et de l Economie pour inciter les bailleurs de fonds à venir investir au Bénin n a pas pu éviter de mentionner ce qui suit : «Malgré toutes ces performances de l économie, les conditions de vie des populations ne se sont pas améliorées car non seulement la croissance économique s est révélée insuffisante, mais la richesse semble avoir été mal répartie engendrant des inégalités de plus en plus grandes entre les différents agents économiques». Ces deux citations nous amènent à dire qu il existe un problème dans le pays au sujet de la répartition du peu de richesses produites, et à poser la question de savoir à qui cette répartition profite t-elle? La période qui s est achevée avec l avènement du changement en avril 2006 a été particulièrement riche en scandales politico financiers (affaires SONACOP, SONAPRA, Bénin Télécom ), au terme desquels des sommes importantes soustraites du patrimoine commun sont soit par des jeux de passe passe financiers, soit par des surfacturations, soit par la mise en oeuvre de projets fictifs ou mal conçus, soit par simple appropriation sont utilisées à des fins inavouées. L impunité accompagnant de tels actes, la confusion entretenue autour de ces dossiers, le silence coupable ou la résignation des uns et des autres ne sont ils pas des explications pouvant justifier la persistance de la pauvreté? Telles sont les réflexions auxquelles je voudrais vous inviter chers amis. L appel au changement lancé voici un an peut il nous aider à répondre à cette question? Pour ma part, je pense que si nous recevons cet appel comme un slogan comme ce fut le cas dans un passé récent au sujet du «comptons d abord sur nos propres forces ou bonne gouvernance m oblige», nous ne ferons rien pour faire reculer la pauvreté dans notre pays. CONCLUSION Sur notre planète la lutte pour la survie est quotidienne ; l étape que nous vivons actuellement a été vécue par d autres avant nous ; les armes pour mener cette lutte sont à notre portée. C est la raison pour laquelle je tiens à remercier l Institut des artisans de Justice et de Paix pour son rôle de Veilleur qui interpelle nos consciences et nous pousse à la réflexion avant l action. Quant à vous chers amis la réflexion commencée il y a deux mois se poursuit, vos réactions et suggestions seront les bienvenues pour enrichir ce travail! Je vous remercie. 6
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