Apport de l IRM dans le diagnostic des tumeurs intradurales : à propos de 63 cas

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1 Apport de l IRM dans le diagnostic des tumeurs intradurales : à propos de 63 cas M. OUALI IDRISSI, J. YACOUBI, F. ADRAOUI,,,, M. MOULATTAF, N. CHERIF EL IDRISSI EL GUANOUNI, O. ESSADKI, A. OUSEHAL Service de radiologie, hôpital Ibn Tofaïl, CHU Mohammed VI, Marrakech, Maroc.

2 Urgence neurologique Diversité des signes cliniques IRM médullaire Diagnostic positif Diagnostic topographique Parfois étiologique

3 Étude rétrospective de 63 cas colligés sur une période de 5 ans Tous nos patients ont bénéficié d une IRM médullaire (1,5 (, Tesla) Les séquences : T1 axial et sagittal T2 axial, sagittal et parfois coronal T1 avec injection de Gadolinium Saturation de graisse

4 Age moyen : 30 ans Sexe ratio : 0, 9 Délai moyen de consultation : 2 mois Clinique : Syndrome de compression médullaire débutant: 10% des cas Syndrome de compression médullaire complet: 82% des cas Syndrome de la queue de cheval : 8% des cas

5 IRM: Le siège des lésions: Intradurale extramédullaire: 60% des cas Intradurale intramédullaire: 40% des cas Le diagnostic étiologique: Tumeurs intradurales extramédullaires: 15 neurinomes 3 lipomes 4 kystes arachnoïdiens 3 lipomes

6 Tumeurs intradurales intramédullaires: 9 ependymomes 5 astrocytomes 2 ependymomes myxopapillaires 2LMNH 1 lipome 1 kyste arachnoïdien 1 kyste dermoïde 1 kyste épidermoïde

7 Méningiome: lésion intradurale en regard de D7, en isosignal T1, isosignal T2 et se rehausse de façon modérée après contraste. Cette lésion à une large base d implantation méningée avec une prise de contraste méningée en regard.

8 Neurinome dorsal: lésion intradurale latéralisée à gauche en hyposignal T1, hypersignal T2 et se rehausse après contraste. Elle s étend en extracanalaire à travers le trous de conjugaison.

9 Ependymome: lésion intramédullaire étendue de C4 à C6 en isosignal T1, hypersignal T2 et se rehausse de façon hétérogène après contraste. Elle élargit la moelle, réduit les espaces périmédullaire et s accompagne d une hydromyélie d amant.

10 Ependymome du cône terminal: lésion du cône médullaire en isosignal T1, hypersignal T2 hétérogène et se rehausse de façon hétérogène après contraste. Elle élargit le canal avec un scalloping sur les structures osseuses en regard.

11 Ependymome myxopapillaire du filum terminal: Volumineux processus expansif intramédulairedorso-lombo-sacré en iso signal T1, hypersignal hétérogène T2, serehaussant de façon hétérogène après gadolinium. Il est responsable d un important scalloping sur la face postérieure des corps vertébraux.

12 Astrocytome pilocytique: lésion intramédullaire étendu de la charnière cervico-occipitale jusqu en C5 en discret hypersignal hétérogène sur les séquences pondérées en T2, en hyposignal T1 et se rehausse de façon intense et hétérogène après injection de gadolinium. Cette lésion est associée à des kystes satellites sus et sous lésionnels et à une cavité syringomyélique dorsale.

13 Kyste arachnoïdien intramédullaire: Lésion intramédullaire en regard de C7-D1 en hyposignal T1 et hypersignal T2. Elle est responsable d un élargissement médullaire avec amincissement des espaces sous arachnoïdiens dans tous les plans.

14 Lipome intramédullaire: lésion intramédullaire étendue de C6 à D3, en hypersignal T1, hypersignal T2 et s efface sur la saturation de graisse. Elle élargit la moelle et efface l espace épidurale postérieure.

15 Kyste dermoide : lésion du cône terminal ovalaire, en hypersignal T1, hypersignal T2 et s efface sur la saturation de graisse.

16 Neurinome intramédullaire: lésion intramédullaire en regard de C6-C7, en isosignal T1, hypersignal T2 et se réhausse de façon intense et hétérogène après contraste. Elle élargit la moelle et efface les espaces périmédullaires en regard.

17 Tumeurs intradurales: Urgence neurochirurgicale Diagnostic précoce Levée d obstacle précoce Imagerie : IRM +++

18 IRM: -Examen de choix -Etude multiplannaire Séquences: T1 axial, sagittal,+/- frontal: séquence anatomique T2 axial, sagittal,+/- frontal: analyse morphologique Injection de Gadolinium dans les trois plans de l espace Saturation de graisse

19 IRM: Cartographie lésionnelle Siège de la lésion en hauteur Localisation dans un espace rachidien Nombre, l étendue létendue et les dimensions Rapports avec les structures avoisinantes Séméiologie de la lésion Retentissement sur la moelle

20 Diagnostic étiologique: Topographie des lésions Tumeurs intramédullaires: -Elargissent la moelle -Amincissent les espaces périmédullaires dans tous les plans Tumeurs intradurales extramédullaires: -Respectent la graisse épidurale -Elargissent les espaces périmédullaires dans au moins un plan -Compriment la moelle

21 Les étiologies Les tumeurs intramédullaires Les tumeurs gliales L épendymome L astrocytome L hémangioblastome Autres tumeurs: métastases, lipomes, neurinomes.

22 L épendymome [1, 2]: -65% des tumeurs gliales intramédullaire -Benin dans 80% des cas -Localisation: rachis cervical, le cône médullaire++ -Siège: central, élargit la moelle et le canal médullaire -Signal :intermédiaire T1 et hypersignal T2 -Prise de contraste homogène -Lésions kystiques dans la 1/2 des cas -Liseré d hyposignal péritumoral aux pôles de la tumeur = coiffe apicale

23 Ependymome bulbo-protubérentiel: lésion bulbo-médullaire avec zones spontanément hyperintenses en T1 et T2 en rapport avec une hémorragie. Elle se rehausse de façon modérée et hétérogène par le gadolinium. Elle est responsable d un élargissement bulbomédullaire avec effacement des espaces sous arachnoïdiens en regard.

24 L épendymome myxopapillaire [3]: -Type histologique particulier au niveau du filum terminal -30 à 40% de l ensemble des épendymomes rachidiens -Mêmes caractéristiques morphologiques que l épendymome -Hypersignal T1 ( mucus intratumoral+++)

25 Ependymome myxopapillaire du filum terminal: Volumineux processus expansif intramédulairedorso-lombo-sacré en iso signal T1, hypersignal hétérogène T2, serehaussant de façon hétérogène après gadolinium. Il est responsable d un important scalloping sur la face postérieure des corps vertébraux.

26 L astrocytome [2, 4]: -30 % des tumeurs gliales intramédullaires -Infiltrant et agressif -Localisation: cervicodorsale+++ -Tumeur excentrée et mal limitée -Signal intermédiaire en T1, hypersignal en T2 et rehaussement hétérogène -Dégénérescence kystique et hémorragique sont possibles

27 Astrocytome pilocytique: lésion intramédullaire étendu de la charnière cervico-occipitale jusqu en C5 en discret hypersignal hétérogène sur les séquences pondérées en T2, en hyposignal T1 et se rehausse de façon intense et hétérogène après injection de gadolinium. Cette lésion est associée à des kystes satellites sus et sous lésionnels et à une cavité syringomyélique dorsale.

28 L hémangioblastome [5]: -Tumeur vasculaire rare -Peu rentrer dans le cadre de la maladie de Von Hippel Lindau -Nodule tumoral rehaussé après contraste + kyste intramédullaire adjacent -S accompagnent de vaisseaux sous-arachnoïdiens dilatés Autres tumeurs [6]: métastases, lipomes, neurinomes. -Rares

29 Les tumeurs extramédullaires Méningiomes Neurinomes Métastases léptoméningées Les kystes arachnoïdiens Autres tumeurs: kystes neurentériques, dermoïdes et épidermoïdes sont rares

30 Méningiomes [1, 2]: -Prédominance féminine -Localisation: moelle thoracique -Hyposignal T1, hypersignal T2 ou hyposignal T2 et rehaussement intense et homogène -Large base d implantation méningée

31 Méningiome du trou occipital : processus tumoral du trou occipital, avec large base d implantation méningée antérieure, en isosignal T1, discret Hypersignal T2 rehaussé de façon intense par le gadolinium avec épaississement et prise de contraste méningée en queue de comète en regard. Il est responsable d une compression avec souffrance de la moelle en regard.

32 Neurinomes [1, 2, 7]: -Peut survenir sur un terrain de neurofibromatose -Evolution lente -Hyposignal T1, isosignal ou hypersignal T2 -Possibilité d une dégénérescence kystique et hémorragique -Possibilité d une extension extracanalaire - Peut élargir le trous de conjugaison en sablier

33 Neurinome dorsal: lésion intradurale latéralisée à gauche en hyposignal T1, hypersignal T2 et se rehausse après contraste. Elle s étend en extracanalaire à travers le trous de conjugaison en sablier avec scalloping sur l os en regard.

34 Métastases léptoméningés [8]: -Secondaires aux médulloblastomes, épendymomes, glioblastomes rarement aux autres néoplasies primitives -Nodules ou plaques sous arachnoïdiennes qui prennent le contraste Les kystes arachnoïdiens [9]: -Signal identique au celui du LCR Autres tumeurs: kystes neurentériques, dermoïdes et épidermoïdes sont rares [2, 7]

35 Urgence diagnostique et thérapeutique Etiologies diverses IRM: Bilan lésionnel complet Approche de la nature de la lésion Suivi post thérapeutique

36 1. Hauret L, Graef C, Bellaiche R, Dion AM, Geffroy Y, Bourcier B et al. Les compartiments intracanalaires rachidiens : anatomie, séméiologie et pathologie. Feuillets de Radiologie 2005; 45(1) : Cosnard G, Lecouvet F. Imagerie du rachis, des méninges et de la moelle épinière. Masson, Paris, 2001, 259 pages. 3. Ouali Idrissi M, Belhadj Z, Aniba K, Cherif Idrissi El Ganouni N, Essadki O, Ousehal A et al. Apport de l IRM dans le diagnostic de l épendymome myxopapillaire du filum terminal : A propos d 1 cas. Archives de pédiatrie 14 (2007) Baréa D, Richez P, Gueguen E, Clavel G, Grisoli F, Briant Jf. Astrocytome pilocytique du cône médullaire. J radiol 1999; 80 : Kremer S, Bierry G, Abu Eid M, Bogorin A, Koob M., Zollner G et al. Imagerie des lésions kystiques du canal rachidien chez l adulte. J Radiol 2007 ; 88, n 5 :

37 6. Morandi X, Riffaud L, Chabert E, Haegelen C et Brassier G. Tumeurs rachidiennes et intrarachidiennes. Encycl Méd Chir, Neurologie, A-10, 2001, 16 p. 7. Decq P, Palfi S, Ricolfi F. Compressions médullaires lentes. Encycl Méd Chir. Neurologie, A-10, 1993, 29p. 8. Surcin B, Bersani D, Lippa A, Tauzin C, Quenel-Tueux N. Métastases médullaires et cavités syringomyéliques. J radiol 2001; 82: Kremer S, Bierry G, Abu Eid M, Bogorin A, Koob M., Zollner G et al. Imagerie des lésions kystiques du canal rachidien chez l adulte. J Radiol 2007 ; 88, n 5 :

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