STRATIGRAPHIE. L histoire de la terre est surtout connue pour les 540 millions d années.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "STRATIGRAPHIE. L histoire de la terre est surtout connue pour les 540 millions d années."

Transcription

1 FOS COURS NUMERO 1 (TP commencent lundi 19, bat 5, salle Rouault) STRATIGRAPHIE Bio-stratigraphie : forte intéractions biologiques. Elle consiste à développer une série de méthodes au niveau des êtres vivants pour permettre une datation. La stratigraphie consiste à établir la succession des évenements qui caractérisent l histoire de la terre. (étudier l empillement des couches). La bio stratigraphie par contre, utilise les organismes. Elle ne fonctionne que pour les derniers 54O millions d années (alors que la stratigraphie va jusqu à 4.5 milliards d années). Avant, il n y a pas de substrat qui permettent cette étude. L histoire de la terre est surtout connue pour les 540 millions d années. CHAPITRE 1 : DEFINITIONS Stratigraphie : science qui étudie la succession des dépôts (surtout sédimentaires). Son but est d établir une chronologie et de fournir des indices de datation. Son objectif est de tenter de reconstituer dans sa continuité, l histoire de la terre. Cette histoire est ponctuée par des évenements, des crises (alors qu il y a des périodes durant lesquelles les choses se passent tranquillement). La bio stratigraphie permet de dater ces crises Sédimentologie : les organismes eux-mêmes ne possèdent pas l information concernant l environnement dans lequel ils vivaient. Le principe d actualisme ne s applique pas toujours car les modes de vie des organismes actuels sont très différents que ceux des organismes anciens. Pour retrouver ces infos, on doit étudier les sédiments (= précurseur d une roche qui va devenir une roche sédimentaire. C est quelque chose qui s est déposé à la surface de la terre et qui va donner une roche. Ex : litière, sables/ argiles) Pour passer du sédiment à la roche, il y a un phénomène de compression et une dissolution des minéraux, ce qui permet une lithification (durcissement). Le facteur temps est important : le sable se transforme en grès en un temps long non défini (ça dépend, il n y a pas de loi mathématique). Le sable-roche est un sédiment sur lequel le temps (long, 100 Ma par exemple) n a pas eu d impact mais on les appelle tout de même des roches car autre chose s est déposé au dessus. Mais le sable peut se transformer en grès très rapidement (quelques décénnies). Il n y a pas de liaison entre le temps qui s écoule et la dureté de la roche. Un sédiment peut être du sable, de l argile des galets ou des bio accummulation. En fonction de leur nature, on distingue trois types de roches sédimentaires :

2 1. Les roches détritiques (au fond des océans). Si le niveau de l eau alors que les sédiments s accumulent, cela veut dire que le socle, le fond, descend sous le poids des sédiments. Cette descente s appelle la subsidence. Ces éléments détritiques sont dérivés des continents, ce sont les minéraux hérités. Roches correspondantes : Au sable sable / grès armoricain (atteint jusqu à une épaisseur de 500m) A l argile Argillites Aux galets Conglomérats (ressemble au béton) 95% des roches sédimentaires bretonnes sont détritiques. Les galets et sables ont une capacité de compaction presque nulle alors que les argiles non (si il y a 11km d argiles, il y avait un dépôt 3 fois plus important à l origine). 2. Les roches bio-détritiques : ces roches sont des micro organismes (plancton) à l origine. A la mort de ces organismes, leurs éléments squelettiques se déposent au fond de l océan. Les particules s accumulent et donnent en général des calcaires (la craie est constituée d accumulation de coccolites, algues microscopiques, elles datent du crétacé il y a 80 Ma sur 500m d épaisseur) 3. Les autres types de calcaires qui ont une origine physico-chimique (résulte de la précipitation de calcium dans des environnements riches en CO₂ pour donner du CaCO₃. Cette précipitation se fait dans des températures élevées Biostratigraphie : utilise des fossiles successifs qui vont caractériser les couches successives. On s appuie sur les fossiles pour dater les terrains. Elle ne s appuie pas sur des méthodes de datation absolue (qui utilise la désintégration du carbone ou de l uranium). Comment ça fonctionne :

3 Termes à retenir dans l International Stratigraphic Chart : Deux grandes périodes : Le Précambrien L Archéen Le Protérozoïque Le Phanérozoique (-540 Ma : vie structurée sur terre : apparition des premières coquilles calclaires Le Paléozoique (ère primaire) jusqu à -250Ma : ère des trilobites o Cambrien o Ordovicien o Silurien o Devonien o Carbonifère (charbon : -390 Ma) o Permien Le Mésozoique (ère secondaire ) jusqu à 65 Ma : ère des dinausaures (terrestres) et des ammonites. o Trias o Jurassique (jura : endroit où il y avait les couches les plus caractéristiques) o Crétacé (craies) Le Cénozoique (ère tertiaire et quaternaire) : ère des mammiphères o Paléogène (jusqu à -23Ma) o Néogène o Quaternaire Corrélation : datations comparées entre association de faunes dans deux endroits différents Absence de couche= lacune (non dépôt, dépôt érrodé expliquée par des mouvements tectoniques)

4 CHAPITRE 2 : ORGANISMES Quand on parle de paleo environnement on a besoin de notions qui concernent les organismes. Il faut connaitre : la systématique (taxinomie) = ranger les organismes en catégories qui sont de rangs de plus en plus grands (règne, classe, ordre, famille, genre, espèce). Le langage est universel et très formel : le latin (ex : chien Canis lupus : genre= canis) la nomenclature = consiste à désigner une espèce (Canis lupus= nomenclature binomiale linnéenne- 1758). Une espèce est valide si elle est désignée par cette nomenclature. Le nom de l auteur mentionné dans un texte doit être écrit en petites majuscules, le nom latin de l espèce doit être en italique ou souligné. S il y a un troisième nom, c est celui d une sous espèce. L écologie des organismes actuels : notions qui vont concerner la connaissance des environnements actuels et la connaissance d éthologie (voir dessin des modes de vie des organismes marins) Zone pélagique : presque à la surface de l eau Zone benthique : au fond de l océan Les animaux fixés sur le substrat sont dits sessiles. Ceux qui sont mobiles sont dits vagiles Ceux qui ont un mode de vie libre sont nectoniques. Les animaux pélagiques sont surtout les cétacés, les méduses (surtout les grands animaux, les prédateurs ; sauf les micro organismes qui constituent le plancton : ce sont des organismes planctoniques) CHAPITRE 3 : AGES/ REPERES CHRONOLOGIQUES Quelle est l utilité de l étude des organismes? Datation Reconstitution des paleo environnements Ces deux disciplines sont très utiles aux les géologues pour la recherche de matériaux (pétrole ). On sait que le pétrole s est formé essentiellement au cours du tertiaire donc inutile de le chercher dans des terrains d âge primaire

5 FOSSILES ET FOSSILISATION A/ Définitions Fossile= tous les restes plus ou moins bien conservés d êtres vivants En général, ce sont des objets partiels ( éléments squelettiques mais pas de squelette entier). Plus largement, on appelle fossile, tous les éléments qui sont liés à l activité des organismes (traces de pas conservées toutes les traces liées au comportement des animaux) Par extension, le mot fossile est associé à tous les objets qui sont anciens (dune fossile) Fossilisation= désigne l ensemble des processus qui interviennent postérieurement à la mort de l organisme et postérieurement à son enfouissement. Pour fabriquer un fossile, l organisme doit être mort et enfoui (c est un phénomène relativement rare). Un enfouissement rapide est favorable à la fossilisation (cf Pompei : enfouissement instantané / tsunamis). Il permet de protéger l organisme d agents biologiques (prédation, dégradation par les bactéries) ou mécaniques (action du vent, courants des fonds marins, tempêtes). Les fossiles sont des objets qui sont relativement exceptionnels. B/ DIFFERENTS TYPES DE FOSSILES 1. In Toto In toto= fossile conservé en totalité (même les parties molles). Ex : les Mammouths Ils sont conservés grâce au froid (pergelisol= tranche superficielle de sol gelé. Il dégèle sur une dizaine de mètres au printemps et forme une bouillasse dans laquelle les animaux s engluaient et s enfonçaient progressivement en profondeur au fil des années pour finir totalement emprisonnés dans le sol gelé toute l année. On arrive à retrouver des mammouths grâce à l érosion qui les dégèle). Le froid conserve les animaux relativement récents ( ans ans pour le mammouth le plus récent retrouvé). Ils peuvent également se conserver grâce aux ambres (résines qui coulent le long du tronc et engluent des bestioles de petite taille). Il peut conserver des organismes vieux de 200 Ma - 2Ma. C est très fragile. On retrouve des insectes dans l ambre vieux de 140 Ma. Les fonds anoxiques peuvent conserver les organismes car il n y a pas de bactéries pour dégrader l organisme.

6 Les tourbes également («huiles») = accumulation de végétales, milieu acide qui datent plutôt du quaternaire. La momification naturelle= dissecation de l organisme (surtout à l époque du tertiaire : -100Ma) Formation d une momie : l organisme sèche sur place sous l effet d une chaleur intense. 2. Partielle Sans modification La peau des dinosaures se fossilise bien car il y a des os dedans. Dans quelques cas, il n y a aucune transformation entre le moment où un ibjet se fossilise et le moment où on le trouve : les dents, par exemple se conservent bien. La fossilisation sans modification est relativement rare. o o Avec modification Addition : rajoute quelque chose par rapport à la structure initiale. Elle comble les vides (sédiments environnants se glissent dans la coquille vide par exemple / phénomène de précipitation des miéraux à l intérieur des vides). Substitution : peut altérer l aspect initial. Le CaCO₃ peut être remplacé par la silice SiO₂ (silicification) ou par le fer Fe₂S = pyrite (pyritisation). o Recristallisation : Le CaCO₃ se transforme en Aragonite ou en Calcite ( et l aragonite peut se transformer à son tour en calcite et inversement). Une fois transformé, le minéraux ne peut pas retrouver sa structure d origine. La composition de ces minéraux est la même mais leur organisation spatiale est différente : o Disparition : le sédiment neuf est très chargé en eau salée riche en minéraux beaucoup d échanges et de circulation. L eau a un pouvoir de dissolution du calcaire. Mais les éléments minéraux remplissent les vides donc l eau a un rôle double paradoxal : elle dissout et remplit les vides à la fois. On obtient alors un moulage naturel qui peut être : _ externe = réplique _ interne (moulage interne) = réplique

7 _ dans la roche directement (entre surface externe et interne) : moulage externe = empreinte Ces moulages permettent de reconstituer une image ressemblante de l objet d origine. o Moulages naturels : _ moulage interne _ réplique _ empreinte

8 o Traces (empreintes) liées à l activité Ichnologie= dscipline très utilisée pour la reconstitution des environnements Grès paléozoique

9 Discipline qui s est affranchi des organismes à l origine des traces : comparaison des traces sans connaitre leur propriétaire Traces classées suivant le même type de nommenclature (linnéenne) mais qui ne représente pas les organismes à l origine des traces = Parasystématique («Cruziana» «cruziana» ) trilobites. (ils se conservent dans les sédiments fins : argiles schistes) Un même individu peut laisser trois types de traces différentes (uniquement dans la catégorie «déplacement») donc trois noms de traces différents Traces liées à la nutrition : (coprolites = déjections fossilisées) Différent de : Ethologie : o Dom ichnia = traces liées à l habitation o Fod ichnia = nourriture o Rep ichnia = déplacements lents (cruziana sont de type rep ichnia)

10 DATATION DES TERRAINS I/ principes fondamentaux 1. Historique Cette discipline est relativement récente et s est développé en parallèle avec la notion d Evolution (mais dès le XVème, certaines personnes avaient déjà envisagé le fait qu il existait des fossiles : Vinci, Palissy, Stenon) Dès le XIXème siècle, en France, d Orbigny a prouvé qu il existait autant de couches superposées qu il existait d organismes disparus (notion de succession des organismes et couches qui se succèdent) et en GB (Lyell : 1820/ Darwin avec l Evolution) 2. Fondements Principe d Identité Paleontologique : un même contenu fossilifère qu on retrouve à un autre endroit permet d attribuer le même âge aux deux endroits Principe de continuité : une même couche a le même âge en chacun de ses points (on va donc trouver la meême association de fossiles). C est paradoxal car une couche est définie par le mur et le toit donc entre le moment où elle commence à se déposer et le moment où elle se termine ne se fait pas en un instant donc pourquoi on trouve les mêmes fossiles sur toute l epaisseur? Et bien en fait, l âge se comprend dans le sens où les fossiles ne changent pas entre le début et la fin de la couches (donc on parle d âge en fossiles et non d âge absolu). Principe de superposition : une couche située au dessus d une autre est plus récente que celle qu elle surmonte (et vice versa!). Sauf problèmes tectoniques Principe de recoupement :

11 II/ appréciation des temps géologiques 1. Notion d unité lithostratigraphique Lithologie = ensemble des caractéristiques d une roche sédimentaire

12 2. Notion d unité chronostratigraphique a) définitions Notion d Etage : unité de découpement fondamentale correspondant à des subdivisions du temps pendant lesquelles se sont déposées un certain volume de sédiments C est un ensemble de strates déposées dans le monde pendant un intervalle de temps donné C est d Orbigny qui a fait l inventaire b) hiérarchie des UCs (Eons) >(Erathèmes) >systèmes >(séries) >Etage > sous-étage (50Ma) (jurassique) (3Ma) UCs fondamental Bajocien Bajocianum bayeux Bretagne : Brioverien (défini par Barrois en 1889) Le brioverien correspond au Protérozoique (pré cambrien). Cet étage est beaucoup utilisé en Europe occidentale ( de 1Ga à 0,6Ga) Les étages se choisissent en fonction de la qualité des couches que l on va observer (Bayeux : coupe de référence) c) notion de stratotype ils correspondent aux séries concrètes sur lesquels on va s appuyer pour définir les étages. La série matérielle caractéristique du Bajocien se trouve à quelques km de Bayeux

13 Cette série est sensée être visible. Il faut avoir une bonne définition géologique du contenu (avoir des couches de roches visibles et variées, représentatives des types de milieu marins possibles ; les séries doivent être riches en fossiles ; il faut que la limite de l étage et la limite supérieure soient visibles) Tous ces critères sont difficiles à réunir à l heure actuelle. Remarques : Avec le temps qui passe, les stratotypes tels qu ils ont été fabriqués par les auteurs qui les ont inventé ont eu tendance à disparaitre avec le temps d où l idée de redéfinir un stratotype en s éloignant un peu du site initial. Holostratotype : stratotype conforme du point de vue des observations actuelles et du point de vue du moment auquel il a été inventé, à la définition d origine (ils n existent presque plus) Parastratotype : stratotype supplémentaire qui est défini par le même auteur que l holostratotype quand il constate que son holostratotype n est pas suffisant Ces deux définitions sont anciennes. Dans certains cas, on définit des stratotypes sans donner de localisation précise (de profil). Quand l auteur n a pas donné de profil, quelqu un d autre va caractériser un stratotype nouveau qui correspond à celui que l auteur initial a oublié de définir : c est un Lectostratotype (nouvel auteur qui définiti un stratotype mal définis initialement). Néostratotype : quand le stratotype initial a disparu Hypostratotype : défini à posteriori par un autre auteur (par rapport au stratotype initial) pour compléter le stratotype initial (l holostratotype) 3. Notion d unité géochronologique C est un intervale de temps donné entre deux valeurs numériques. Bajocien correspond à la fois à l unité chronostratigraphique (étage) et l unité géochronologique (âge) Tous les fossiles que l on trouve dans l étage bajocien ont un âge bajocien. UCS UGC Eonothèmes Eons Erathème ères Système période Séries époques Etage age

14 4. Notion d unité biostratigraphique Elles sont basées uniquement sur les organismes. Fondamentalement, les unités biostrati. Sont conçues comme des unités de rang inférieur aux étages. Les unités biostrati. Sont constitués comme des unités à l intérieur d un étage. Elle se définit par son contenu paléobiologique indépendamment de la lithostratigraphie. L unité de base est la biozone (ou zone). Donc les étages sont subdivisés en biozones. Pour un étage comme le bajocien, on va distinguer entre 8 et 9 biozones zuperposées. Ces unités sont donc très précises temporellement. La biozone comprend des sous unités : Biozone > Sous-zones > Biohorizons (ou Horizons) La biozone correspond à un ensemble de couches (ou une couche) dont la base et le sommet sont caractérisés par l extension d un taxon (espèce caractéristique) (biozone = temps qui s écoule entre le moment où une espèce apparait et où elle disparait. Le moment d apparition est le FAD= First apparition Datum et le moment de disparition est le LAD= Last Apparition Datum). Les biozones sont censées avoir une définition générale (être reconnu par tous) mais ce n est pas le cas car c est rare qu une espèce ait une distribution mondiale. Nomenclature : Biozone à Sapiens (ou Zone à Sapiens) le nom de Genre n est pas utilisé syntaxe la plus répandue (utilisée pour le post paléozoique) Biozone à Homo sapiens (type de syntaxe utilisée pour le Paléozoique) L espèce qui sert de marqueur pour la biozone doit être bien connue (on doit connaitre sa FAD et sa LAD) L extension stratigraphique doit être la plus courte possible (il faut des espèces à très court «Range» : une durée de vie la plus courte possible 1Ma ou 0,5Ma) Ces espèces doivent également être faciles à identifier et faciles à trouver (abondantes) Elles doivent être associées à l extension géographique la plus vaste possible (l espèce ne doit pas être trouvée qu à un seul endroit dans le monde, sa distribution doit petre relativement indépendante de l environnement : ex : les Foraminifères planctoniques qui vivent à la surface des océans et se disséminent très facilement dans le monde. En général, on utilise des organismes planctoniques et pélagiques. Dans le milieu terrestre, on utilise plutôt les pollens et les spores) Les durées des biozones (0,5Ma 1Ma) sont dépendantes de la durée de vie d une espèce = mondiale Une Sous zone : 0,2Ma 0,5Ma = bassin (<1000km) Un Biohorizon : ans = local, région (10-100km) Les Sous zone se définissent par la disparition et l apparition d autres espèces à l intérieur d une Biozone

15 On n utilise pas les animaux benthiques pour dater (bivalves, trastérapodes). Par contre quand on n a aucun fossiles durant une époque, on essaie de les utiliser quand même Milieu terrestre : eau douce + aérien Dans le paléozoique, on utilise les fougères. Durant le phanérozoique, on utilise les spores et les pollens : L identification de ces organismes est très difficile. Les characées et les Diatomées (algues vertes dont les organes reproducteurs ou les coques siliceuses se fossilisent) existent à partir du Crétacé Pour le Cénozoique, on utilise les mammifères (les dents se fossilisent très bien). Les rongeurs fournissent énormément de restes Milieu marin : Durant le paléozoique, on utilise les Conodontes (micropaléontologie : ressemble un peu à des dents : structure impliquée dans la nutrition chez un animal d une dizaine de cm). On les utilise pour dater le Devonien mais on a trouvé l animal pour la première fois en 2002 alors qu on utilise les conodontes depuis le 19 ème siècle. On utilise également d autres micro, les Chitinozoaires pour dater l Ordovicien Le groupe phare du paléozoique et du post paléozoique sont les foraminifères : ce sont des micro organismes unicellulaires. On en trouve des benthiques (Nummulites 8cm) et des pélagiques Pour le paléozoique : fusulines Pour le Mésozoique (Crétacé) : Orbitolines Pour le Cénozoique : Nummulites

16 Les Globigérines font le lien entre le paléozoique et l actuel ( <mm). Les macro organismes sont également utilisés pour la datation comme les Brachiopodes (Paléozoique et Mésozoique) Paléozoique : trilobites Mésozoique : ammonites Les trilobites sont des arthropodes. Ce sont des animaux benthiques. Le trilobite est divisé en trois parties Problèmes majeurs lors de la fossilisation : les trilobites sont segmentés donc, se séparent. L autre groupe phare (mésozoique jurassique, crétacé) est l ammonite : ce sont des céphalopodes pélagiques. La coquille présente beaucoup d analogies avec les nautiles actuels. Le fait qu ils soient pélagiques facilite leur dissémination géographique importante Les différentes espèces d ammonites ne vivent pas longtemps ( / ans) donc ce sont des outils privilégiés de datation. Elles possèdent une coquille externe, planispiralée et cloisonnée.

17 espèces d ammonites L histoire des ammonites commence au Devonien (- 390Ma) et se termine à la fin du Crétacé (- 65Ma). C est un groupe qui a été très affecté par de grandes crises. On va étudier trois groupes (du plus ancien au plus récent) : Les Goniatites (Devonien) Les Cératites (Trias) Les Ammonites (Crétacé) La suture d une ammonite est sa cloison externe : elle nous permettra d identifier à quelle espèce d ammonite on a affaire.

Interprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses)

Interprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses) L' approche de la complexité; Un exemple de démarche en classe de seconde. Bulletin officiel spécial n 4 du 29 avril 2010 L approche de la complexité et le travail de terrain Le travail de terrain est

Plus en détail

Séquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.

Séquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment. Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications

Plus en détail

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est

Plus en détail

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE 1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES

Plus en détail

Présentation générale des principales sources d énergies fossiles.

Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.

Plus en détail

Végétaux Exemples d individus

Végétaux Exemples d individus Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»

Plus en détail

Thème Le domaine continental et sa dynamique

Thème Le domaine continental et sa dynamique Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels

Plus en détail

Nous retrouvons tout cela et bien d autres événements encore inscrits dans les roches de la région et les fossiles qui s y sont incrustés.

Nous retrouvons tout cela et bien d autres événements encore inscrits dans les roches de la région et les fossiles qui s y sont incrustés. Rue Fusch 3 à 4000 Liège 04 250.75.10 04 222.16.89 info@education-environnement.be asbl reconnue par la Communauté Française comme organisation d éducation permanente pluies de météorites, grandes terres

Plus en détail

Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol?

Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Introduction La vie végétale et animale, telle que nous la connaissons, n'existerait pas sans la terre fertile qui forme à la

Plus en détail

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe? Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment

Plus en détail

ÉVOLUTION BIOLOGIQUE ET ENVIRONNEMENT

ÉVOLUTION BIOLOGIQUE ET ENVIRONNEMENT CHAPITRE 7 ÉVOLUTION BIOLOGIQUE ET ENVIRONNEMENT Ce chapitre, dernier de la partie «Évolution», a pour objectif de donner aux élèves les informations scientifiques pour établir l existence d interdépendances

Plus en détail

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche

Plus en détail

Pour l environnement. Strength. Performance. Passion.

Pour l environnement. Strength. Performance. Passion. Strength. Performance. Passion. Pour l environnement Réduire les émissions de CO 2 en optimisant les matériaux de construction et les méthodes de production Holcim (Suisse) SA Les fondements de notre avenir

Plus en détail

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des

Plus en détail

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance

Plus en détail

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉNERGIE C EST QUOI? L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.

Plus en détail

Qui mange qui? Objectif : Prendre conscience des nombreuses relations qui existent entre les êtres vivants et notamment les relations alimentaires.

Qui mange qui? Objectif : Prendre conscience des nombreuses relations qui existent entre les êtres vivants et notamment les relations alimentaires. Qui mange qui? Objectif : Prendre conscience des nombreuses relations qui existent entre les êtres vivants et notamment les relations alimentaires. Tous les êtres vivants ont besoin d énergie pour vivre,

Plus en détail

PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE?

PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE? PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE? F R A N Ç O I S E B E R T H O U D G D S E C O I N F O / C N R S w w w. e c o i n f o. c n r s. f r F r a n c o i s e. B e r t h o u d @ g

Plus en détail

Inrap / Les étapes de l archéologie préventive

Inrap / Les étapes de l archéologie préventive Les étapes de l archéologie préventive LE DIAGNOSTIC Lorsque l on aménage un terrain à des fins publiques ou privées (pour construire une route ou un immeuble par exemple), le sol est remanié. Bien avant

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes). SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,

Plus en détail

un très vieux parent!

un très vieux parent! Le parcours des objets,... de la fouille au musée! Dessin : Sonia Souvenir CEDARC Tous les objets présentés dans le musée ont été découverts lors de fouilles archéologiques. Ils ont été dégagés de la terre,

Plus en détail

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important

Plus en détail

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et

Plus en détail

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY «Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration

Plus en détail

Les plastiques en débat 2014

Les plastiques en débat 2014 Les plastiques en débat 2014 Pratique Léger Astucieux Solide Transformable Indispensable Qualifié Utile Esthétique 3eD_college_LES_CAMPELIERES Collège Les Campelières 121 Chemin Campelières 06250 Mougins

Plus en détail

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes.

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation

Plus en détail

INFOFICHE EB001 NETTOYAGE ET ENTRETIEN DES PAVÉS ET DES DALLES DE RUE EN BÉTON

INFOFICHE EB001 NETTOYAGE ET ENTRETIEN DES PAVÉS ET DES DALLES DE RUE EN BÉTON EBEMA NV Dijkstraat 3 Oostmalsesteenweg 204 B-3690 Zutendaal B -2310 Rijkevorsel T +32(0)89 61 00 11 T +32(0)3 312 08 47 F +32(0)89 61 31 43 F +32(0)3 311 77 00 www.ebema.com www.stone-style.com www.megategels.com

Plus en détail

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier

Plus en détail

INVENTAIRE DES BÂTIMENTS AGRICOLES DE LA MRC DE CHARLEVOIX-EST. Le positionnement des bâtiments

INVENTAIRE DES BÂTIMENTS AGRICOLES DE LA MRC DE CHARLEVOIX-EST. Le positionnement des bâtiments 23B Grange étable située au 18 21, rang des Lacs, Notre Dame des Monts. Patri Arch, 2011 INVENTAIRE DES BÂTIMENTS AGRICOLES DE LA MRC DE CHARLEVOIX-EST Le positionnement des bâtiments Décembre 2011 Le

Plus en détail

Activité 45 : La responsabilité de l Homme sur son environnement géologique

Activité 45 : La responsabilité de l Homme sur son environnement géologique 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie : Géologie externe, évolution des paysages (16 heures) Notions. contenus Compétences Exemples d activités L procure à l Homme des ressources. [Thèmes : Environnement,

Plus en détail

Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»

Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait

Plus en détail

Liste des matières enseignées

Liste des matières enseignées Liste des matières enseignées Domaine : Sciences de la Nature et de la Vie Filière : Biologie Parcours : Tronc Commun Semestre1 VHG Coefficient Cours TD/TP Crédits/s. unité crédits U.E fondamental : 13

Plus en détail

Changement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française

Changement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française Les tempêtes L expert Avec la crise climatique, les rivages subissent plus durement les assauts de la mer et les crues de fleuves. Pour anticiper et prévenir des risques d érosion et d inondation, il est

Plus en détail

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le

Plus en détail

L empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés

L empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires

Plus en détail

Salle de technologie

Salle de technologie Prénom : Nom : Classe : Date : Salle de technologie Séquence Le dessin technique Définition du dessin technique : Le dessin technique est un ensemble de règles pour représenter des objets ; ces règles

Plus en détail

16- Grand lac Shaw Portrait 2006

16- Grand lac Shaw Portrait 2006 Grand lac Shaw 16- Grand lac Shaw Portrait 2006 16.1 Localisation et description physique du Grand lac Shaw : Municipalité St-Narcisse-de- Rimouski Bassin versant (sous-bassin) Tenure Altitude (m) Latitude

Plus en détail

CORRIGES Plan de la séance

CORRIGES Plan de la séance CORRIGES Plan de la séance 1. Corriges Compréhension écrite 2. Corriges Compréhension orale 3. Corriges Syntaxe 4. Corriges Vocabulaire 5. Corriges Conjugaison 6. Corriges Lecture d'élargissement 7. Corriges

Plus en détail

Le compost. Un petit écosystème au jardin

Le compost. Un petit écosystème au jardin Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

Étape 1 : Balancer la chimie de l'eau

Étape 1 : Balancer la chimie de l'eau Étape 1 : Balancer la chimie de l'eau Au printemps surtout et durant l'été, il sera important de contrôler et d'ajuster certain paramètres qui constituent la chimie de l'eau. Cet étape est bien souvent

Plus en détail

PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3

PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 ECOLE SPECIALE DES TRAVAUX PUBLICS PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 AUTEUR : GABILLAT Arnaud PACAUD Fabien BUSSUTIL Clothilde TAN Vincent B3 1 IMPLANTATION DU PROJET Programme : Réalisation

Plus en détail

enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie.

enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie. 4.0 Contrôles /4 4 e enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie. RPPEL de 0. Wikipédia 2/2 Dans le chapitre : XX e siècle : ( 4.0 mythe paroxysme ) sous la photo d un

Plus en détail

LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999)

LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999) Délégation ANCREAI Ile-de-France CEDIAS - 5 rue Las-Cases 75007 PARIS Tél : 01 45 51 66 10 Fax : 01 44 18 01 81 E-mail : creai.idf@9online.fr Contact : Carole PEINTRE LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION

Plus en détail

Faculté des Sciences d ORSAY

Faculté des Sciences d ORSAY Université Paris-Sud 11 Faculté des Sciences d ORSAY Personnes ressources des disciplines représentées : Département de Biologie Vice-Président : Hervé DANIEL Secrétaire : Malika DERRAS Université Paris-Sud

Plus en détail

Production mondiale d énergie

Production mondiale d énergie Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum

Plus en détail

Auriol : le service public de la Restauration scolaire

Auriol : le service public de la Restauration scolaire Auriol : le service public de la Restauration scolaire Au titre de nos valeurs communes, nous avons voulu décliner l offre de restauration en mettant l accent au plus près des enfants. Plus de 80% des

Plus en détail

Évolution du climat et désertification

Évolution du climat et désertification Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture

Plus en détail

Annexe C. Prols sismiques traites

Annexe C. Prols sismiques traites Annexe C Prols sismiques traites 252 Prols sismiques traites 4.0 4.4 PR12 PR15-1 500 600 700 800 4.0 4.4 PR15-2 500 600 700 PR16 500 600 700 800 900 Fig. C.1 { Prols sismiques PR12, PR15-1, 15-2 et PR16.

Plus en détail

Poser un carrelage mural

Poser un carrelage mural Thierry Gallauziaux - David Fedullo Poser un carrelage mural Deuxième édition 2012 Groupe Eyrolles, 2012, 978-2-212-13490-2 Poser un carrelage mural Le carrelage est un revêtement de sol ou mural indémodable.

Plus en détail

1. Titre du contrat. (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à assurer)

1. Titre du contrat. (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à assurer) FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE ASSURANCE TOUS RISQUES MONTAGE - ESSAI 1. Titre du contrat (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à

Plus en détail

L ENERGIE CORRECTION

L ENERGIE CORRECTION Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que

Plus en détail

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits 2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose

Plus en détail

Energie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015

Energie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015 Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la

Plus en détail

La valeur, la vulnérabilité, la menace et le besoin de protection des grottes suisses (Géotopes spéléologiques)

La valeur, la vulnérabilité, la menace et le besoin de protection des grottes suisses (Géotopes spéléologiques) SOCIETE SUISSE DE SPELEOLOGIE SCHWEIZERISCHE GESELLSCHAFT FÜR HÖHLENFORSCHUNG SOCITETA SVIZZERA DI SPELEOLOGIA KOMMISSION FÜR DOKUMENTATION COMMISSION DE DOCUMENTATION Concept pour l évaluation de La valeur,

Plus en détail

L énergie sous toutes ses formes : définitions

L énergie sous toutes ses formes : définitions L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,

Plus en détail

Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer

Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...

Plus en détail

Introduction. Henri Poincaré

Introduction. Henri Poincaré Introduction «On fait la science avec des faits comme une maison avec des pierres, mais une accumulation de faits n est pas plus une science qu un tas de pierres n est une maison.» Henri Poincaré Après

Plus en détail

Le réchauffement climatique, c'est quoi?

Le réchauffement climatique, c'est quoi? LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre

Plus en détail

Principe et règles d audit

Principe et règles d audit CHAPITRE 2 Principe et règles d audit 2.1. Principe d audit Le principe et les règles d audit suivent logiquement l exposé précédent. D abord, comme dans toute branche de l activité d une entreprise, l

Plus en détail

PROCESSUS VALMONT CONCERNANT L APPLICATION DE LA TEINTE

PROCESSUS VALMONT CONCERNANT L APPLICATION DE LA TEINTE En ce qui concerne le calcul, les mâts bois sont comparables à tous les autres mâts acier ou aluminium. Conformément à la directive européenne de 1985 ils sont calculés et dimensionnés avec le même référentiel

Plus en détail

La construction durable : quelle stratégie d innovation d. Pascal Casanova, Directeur R&D, Lafarge

La construction durable : quelle stratégie d innovation d. Pascal Casanova, Directeur R&D, Lafarge La construction durable : quelle stratégie d innovation d? Pascal Casanova, Directeur R&D, Lafarge Le béton est le matériau le plus utilisé sur la planète après l eau et le plus largement disponible Materials

Plus en détail

Ressources pour l école élémentaire

Ressources pour l école élémentaire Ressources pour l école élémentaire éduscol Découverte du monde Progressions pour le cours préparatoire et le cours élémentaire première année Ces documents peuvent être utilisés et modifiés librement

Plus en détail

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement

Plus en détail

LE POINT DE VUE DE FNE

LE POINT DE VUE DE FNE LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés

Plus en détail

La Vinification en Alsace

La Vinification en Alsace La Vinification en Alsace La grande caractéristique des Vins d Alsace est qu ils sont tous élaborés à partir de cépages très aromatiques. Le vinificateur n aura de cesse, tout au long des vendanges et

Plus en détail

2012-2013 GRAND CONCOURS. des jeunes reporters. Pour les 8-10 ans. Photos : Istockphoto. Remise des prix le. Les mammifères marins!

2012-2013 GRAND CONCOURS. des jeunes reporters. Pour les 8-10 ans. Photos : Istockphoto. Remise des prix le. Les mammifères marins! 2012-2013 GRAND CONCOURS des jeunes reporters Pour les 8-10 ans Photos : Istockphoto Les mammifères marins! Remise des prix le 23 MARS 2013 au Tu adores la nature et les animaux? Tu veux protéger les baleines

Plus en détail

Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité. Alain VICAUD - EDF Division Production Nucléaire

Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité. Alain VICAUD - EDF Division Production Nucléaire Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité 1 Les circuits d eau d une centrale thermique Circuit secondaire Appoint Circuit primaire Circuit tertiaire Purge

Plus en détail

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds

Plus en détail

Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de :

Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de : GUIDE EXPLICATIF POUR LES CITOYENS RÈGLEMENT SUR L UTILISATION DES ENGRAIS ET DES PESTICIDES Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de : Réduire l apport par ruissellement

Plus en détail

CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION POUR LA PROTECTION DE NOTRE PATRIMOINE MARITIME & TERRESTRE DOSSIER DE PRESENTATION

CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION POUR LA PROTECTION DE NOTRE PATRIMOINE MARITIME & TERRESTRE DOSSIER DE PRESENTATION CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION POUR LA PROTECTION DE NOTRE PATRIMOINE MARITIME & TERRESTRE DOSSIER DE PRESENTATION LES STANDS DES PARTENAIRES DE FAMILLES DE FRANCE Les partenaires de Familles de

Plus en détail

Bien vivre, dans les limites de notre planète

Bien vivre, dans les limites de notre planète isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale

Plus en détail

Niveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus

Niveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus Niveau CEl CE2 Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus INTRODUCTION: non un poisson. Le dauphin souffleur ou grand dauphin est un mammifère marin, et Comme tous les mammifères il suivantes

Plus en détail

LE BATON D ISHANGO. Une machine à calculer vieille de 20 000 ans...

LE BATON D ISHANGO. Une machine à calculer vieille de 20 000 ans... LE BATON D ISHANGO Une machine à calculer vieille de 20 000 ans... Les collections du Muséum des Sciences naturelles à Bruxelles abritent un artefact aussi unique que remarquable : le bâton d Ishango.

Plus en détail

ACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS

ACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS ACOUSTIQUE REGLEMENTATION Dans les exigences réglementaires, on distingue l isolement aux bruits aériens (voix, télévision, chaîne-hifi...) et l isolement aux bruits d impact (chocs). ISOLEMENT AUX BRUITS

Plus en détail

Physique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques

Physique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme

Plus en détail

EN QUÊTE DU MONDE. Les nids de fourmis rousses. Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés...

EN QUÊTE DU MONDE. Les nids de fourmis rousses. Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés... Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés... 2 Contenus... 3 niveaux, disciplines, compétences... 3 notions... 4 Vocabulaire... 4 découpage du film... 5 Suggestions

Plus en détail

La gale d été arrive à grands pas que faire?

La gale d été arrive à grands pas que faire? La gale d été arrive à grands pas que faire? Enfin chaque année - le printemps arrive, chevaux et cavaliers peuvent enfin retourner dans la nature verdoyante. Mais c est aussi le cas des moustiques et

Plus en détail

Présentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013

Présentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 COMMUNAUTE D AGGLOMERATION MARNE ET CHANTEREINE AGENDA 21 - DEVELOPPEMENT DURABLE PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIAL Présentation et proposition d engagement Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 DE QUOI

Plus en détail

Etude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine

Etude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine Etude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine Contexte de la mission Connaissance, compréhension et anticipation des phénomènes d érosion et de submersion

Plus en détail

Site d étude. Résultats

Site d étude. Résultats Avec la collaboration de l Université de Bretagne Occidentale, (Institut Universitaire Européen de la Mer, Laboratoire d'ecophysiologie et de Biotechnologie des Halophytes et Algues Marines) Site d étude

Plus en détail

APPLICATION, NETTOYAGE ET ENTRETIEN Le Groupe Pavigrés représente une vaste gamme de produits céramiques pour application au sol et au mur.

APPLICATION, NETTOYAGE ET ENTRETIEN Le Groupe Pavigrés représente une vaste gamme de produits céramiques pour application au sol et au mur. APPLICATION, NETTOYAGE ET ENTRETIEN Le Groupe Pavigrés représente une vaste gamme de produits céramiques pour application au sol et au mur. Ces produits se divisent en 3 groupes : Grés cérame, Grés émaillé

Plus en détail

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler

Plus en détail

Piegeage et stockage du CO 2

Piegeage et stockage du CO 2 Piegeage et stockage du CO 2 Résumé du rapport spécial du GIEC, le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat Un résumé réalisé par: LE PIÉGEAGE ET STOCKAGE DU DIOXYDE DE CARBONE (PSC)

Plus en détail

Prestations de services d application Solutions pour vos besoins en réparation des surfaces

Prestations de services d application Solutions pour vos besoins en réparation des surfaces Prestations de services d application Solutions pour vos besoins en réparation des surfaces Henkel Votre partenaire en solutions de réparation des surfaces Grâce à de nombreuses années d expérience dans

Plus en détail

Physique, chapitre 8 : La tension alternative

Physique, chapitre 8 : La tension alternative Physique, chapitre 8 : La tension alternative 1. La tension alternative 1.1 Différence entre une tension continue et une tension alternative Une tension est dite continue quand sa valeur ne change pas.

Plus en détail

Forum annuel Plan Climat des Alpes-Maritimes

Forum annuel Plan Climat des Alpes-Maritimes Forum annuel Plan Climat des Alpes-Maritimes 15 Novembre 2013 Franck Lavagna franck.lavagna@orange.com Directeur des relations avec les Collectivités Locales José-Pedro Machado josepedro.machado@orange.com

Plus en détail

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine

Plus en détail

L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se

L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale

Plus en détail

La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments

La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports

Plus en détail

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des

Plus en détail

Organiser des séquences pédagogiques différenciées. Exemples produits en stage Besançon, Juillet 2002.

Organiser des séquences pédagogiques différenciées. Exemples produits en stage Besançon, Juillet 2002. Cycle 3 3 ème année PRODUCTION D'ECRIT Compétence : Ecrire un compte rendu Faire le compte rendu d'une visite (par exemple pour l'intégrer au journal de l'école ) - Production individuelle Précédée d'un

Plus en détail

BEP Auxiliaire Prothèse Dentaire BO n 35 du 30 Septembre 2010

BEP Auxiliaire Prothèse Dentaire BO n 35 du 30 Septembre 2010 Marie-Pascale Schammé Inspectrice de L Éducation Nationale Sciences Biologiques et Sciences Sociales Appliquées Académie de ROUEN Document de référence académique BEP Auxiliaire Prothèse Dentaire BO n

Plus en détail

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008 GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère

Plus en détail

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources

Plus en détail

Les mathématiques du XXe siècle

Les mathématiques du XXe siècle Itinéraire de visite Les mathématiques du XXe siècle Tous publics de culture scientifique et technique à partir des classes de 1ères Temps de visite : 1 heure 30 Cet itinéraire de visite dans l exposition

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail