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1 Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

2 D un programme à l autre Plan Retour sur le Programme de français au secondaire Quelques précisions concernant la Progression des apprentissages au secondaire Et la progression des élèves Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

3 D un programme à l autre De 1994 à 2011 Du primaire au secondaire Des programmes à la progression des apprentissages Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

4 Retour sur le Programme de français au secondaire Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

5 Évolution du concept de compétence «ensemble intégré de connaissances, d habiletés et d attitudes permettant d effectuer des tâches précises» (Programme de français, 1995, p. 2) «savoir-agir fondé sur la mobilisation et l utilisation efficaces d un ensemble de ressources» (PDF, Deuxième cycle du secondaire, chapitre 1, p. 11) Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

6 La définition de la compétence : un élément structurant (P2, p. 29) Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

7 La définition de la compétence : un élément structurant (P2, p. 10) Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

8 La définition de la compétence : un élément structurant (P2, p ) Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

9 La définition de la compétence : un élément structurant Composantes des compétences (P2, p. 5; 29, 54, 78) Construire du sens, élaborer un texte cohérent, intervenir en situation Mettre à profit et acquérir des connaissances sur la langue, les textes et la culture Réfléchir à sa pratique de lecteur, de scripteur, d auditeur, d interlocuteur et de locuteur Porter un jugement critique (L) Faire appel à sa créativité (É) Adopter une distance critique (O) Paramètres des situations d apprentissage (P2, p. 10) L agir en situation : situation de communication, textes écrits et oraux, tâches La mobilisation de ressources : structuration de ressources internes et utlisation de ressources externes La réflexion sur la pratique : tâches et ressources, démarche, profil et autoévaluation Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

10 Pourquoi avoir introduit les familles de situations? Pour donner du sens aux apprentissages en français: contextualisation et authenticité Pour tisser des liens avec les intentions éducatives des Domaines généraux de formation Pour permettre la mise en place de situations d apprentissage stimulantes et variées : diversité des sujets à traiter, des problèmes à résoudre, des enjeux à considérer, des angles et des modalités de travail (P2, p. 8) Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

11 P2, p. 9 Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

12 Pourquoi avoir introduit la justification? Parce que la justification est très présente à l école : en classe de français, particulièrement en lecture (fonder une interprétation, une réaction ou une appréciation) dans les autres disciplines Pour permettre aux élèves de faire des apprentissages liés à la justification Pour établir une ligne de continuité du début à la fin du secondaire : de la justification à l argumentation Pour soutenir l interdisciplinarité et le transfert des apprentissages de la classe de français aux tâches demandées dans les autres disciplines Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

13 Quelques précisions concernant la Progression des apprentissages au secondaire Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

14 Pourquoi avoir retenu les modes de discours comme structure d organisation du document? Pour établir des liens avec les familles de situations les genres de textes Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

15 Les connaissances liées aux modes de discours sont-elles de nouveaux apprentissages prescrits? Non, dans le programme, les connaissances liées à la situation de communication, à l organisation des genres de textes, à la cohérence et à l organisation du texte sont présentées dans les processus et stratégies associés à chaque compétence ainsi que dans les notions et concepts. Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

16 Pourquoi le genre a-t-il été retenu comme organisateur des contenus? Parce que «La notion de genre est la plus fonctionnelle, car ce que les élèves lisent, entendent et devront produire tout au long de leur vie appartient à un genre oral ou écrit.» «Elle fait partie de la culture des enfants avant d arriver à l école.» Suzanne-G. Chartrand, Conférence au précongrès de l AQPF, 2 novembre 2011 Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

17 Pourquoi le genre a-t-il été retenu comme organisateur des contenus? Pour favoriser un travail plus systématique : «Travailler en lecture, en écriture et en communication orale des genres particuliers, plus typés, les regrouper dans des ensembles plus vastes pour montrer les points communs et les relier aux familles de situations à la base du programme» «Pour ainsi favoriser la généralisation d apprentissages spécifiques.» Suzanne-G. Chartrand, Conférence au précongrès de l AQPF, 2 novembre 2011 Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

18 Pourquoi le genre a-t-il été retenu comme organisateur des contenus? Pour que l enseignant puisse plus facilement choisir les connaissances à cibler dans une situation Pour que les élèves fassent des apprentissages plus structurés comprennent mieux l utilité des connaissances acquises acquièrent des repères culturels d ordre textuel Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

19 Pourquoi des genres sélectionnés chaque année plutôt que des genres prescrits? Pour accorder plus de flexibilité aux enseignants Pour respecter o l ouverture qui a été fournie dans le programme depuis 2006 o la pratique des enseignants et le matériel didactique Parce que les genres sélectionnés ne sont pas toujours très bien «normés» Parce que d autres genres «permettraient de répondre aux exigences des contenus de la progression» (Progression, p. 6) Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

20 Comment interpréter la légende? Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

21 Comment interpréter la légende? La légende privilégie une logique d apprentissage. Pour une année donnée, lorsqu il n y a qu une étoile, il faut considérer que la phase au cours de laquelle l élève apprend à reconnaître un phénomène et son rôle dans le texte doit être faite au cours de la même année. Il est important de : o o o vérifier ce que les élèves savent déjà d un phénomène, le présenter dans un contexte nouveau et exigeant de telle sorte qu ils puissent l acquérir ou en approfondir la compréhension ou encore l utiliser de façon plus efficace; proposer aux élèves des situations signifiantes, variées et de plus en plus complexes jusqu à ce que tous les élèves maîtrisent les apprentissages prévus; varier les stratégies d enseignement afin que tous les élèves puissent faire les apprentissages prévus. Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

22 Et la progression des élèves Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

23 Comment passer d une progression balisée dans des documents à une réelle progression des apprentissages des élèves? En assurant une progression des situations d apprentissage «dont le degré de complexité permettra aux élèves de consolider leurs acquis et de construire de nouvelles connaissances» (P2, p. 35, 57, 81) En respecter les contenus assignés chaque année En se souciant des acquis des élèves et en vérifiant leurs représentations des concepts et leur compréhensions des notions textuelles et grammaticales En s assurant que les élèves saisissent le pourquoi des apprentissages afin qu ils aient des connaissances bien organisées En étant au courant des acquis antérieurs et des nouveaux apprentissages Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

24 Quelques questions Dans une perspective de développement de compétences, peut-on faire l économie du Programme? la Progression des apprentissages remplace-t-elle le programme? quel est l apport de la Progression des apprentissages? comment la Progression complète-t-elle le programme? Montréal, 29 et 30 novembre 2011; Québec, 7 et 8 décembre

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