Espèces exotiques envahissantes (Agenda Item 3.3)
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- Marie-Françoise Normand
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1 Déclaration de Position Espèces exotiques envahissantes (Agenda Item 3.3) Neuvième réunion de la Conférence des Parties (CdP 9) à la Convention sur la diversité biologique, mai 2008, Bonn, Allemagne Recommandations Adopte le projet de recommandation XIII-5 de l Organe subsidiaire chargé de fournir des avis scientifiques, techniques et technologiques, qui figure dans le document UNEP/CBD/COP/9/3 ; Invite la Convention internationale pour la protection des végétaux à intégrer, dans le cadre des ses travaux en cours sur les espèces exotiques envahissantes, celles qui ont un impact sur la diversité biologique des milieux marins et aquatiques ; Invite l Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture (FAO) à compiler les expériences récentes et à préparer des orientations complètes sur la gestion des risques associés à l utilisation d espèces exotiques en mariculture, et à mettre à jour les orientations existantes sur l aquaculture d eau douce ; Encourage les Parties et les autres États à mettre en place des procédures d'évaluation des risques reposant sur des données scientifiques, pour les importations nationales d animaux vivants ; pays d élaborer des stratégies et des plans d action nationaux relatifs aux espèces envahissantes ; de concevoir et d appliquer des mesures de renforcement des capacités pour la mise en œuvre de ces plans et stratégies ; et, ce faisant, de s attacher à garantir une coopération et une cohérence étroites à l échelle régionale, nationale et infranationale ; États d intégrer dans leurs stratégies et plans nationaux les impacts que les espèces exotiques envahissantes ont sur l environnement, la santé et l économie, et de traiter tous les vecteurs d introduction, y compris les introductions non intentionnelles, dans les milieux terrestres, aquatiques et marins ; États qui ne l ont pas encore fait, de ratifier la Convention internationale pour le contrôle et la gestion des eaux de ballast et sédiments des navires ; Encourage les Parties à prendre les mesures qui s imposent pour introduire des mécanismes réglementaires à l échelle nationale et régionale, pour assurer la gestion des salissures des coques de navires ; Appelle les Parties à continuer à soutenir les efforts déployés par les organisations, tels que BIONET, visant à promouvoir la formation à la taxonomie traditionnelle et aux méthodes novatrices d identification des espèces ; Prie instamment les organismes bailleurs de fonds de contribuer davantage à la prévention et à la gestion des espèces exotiques envahissantes ; Invite les organismes bailleurs de fonds à élaborer et à appliquer des critères pour Pour tout renseignement complémentaire, veuillez contacter : Geoffrey Howard Coordonnateur mondial pour les espèces envahissantes Bureau régional de l UICN pour l Afrique de l Est Tél. : /06/07 Fax : (20) Geoffrey.Howard@iucn.org Constanza Martinez Conseillère politique principale Service des politiques mondiales Siège de l UICN Tél. : Fax : constanza.martinez@iucn.org Siège mondial de l UICN Rue Mauverney Gland Suisse Tél. : Fax : mail@iucn.org
2 évaluer les risques d invasion par des espèces exotiques que posent les projets d aide au développement, et d inclure les problèmes liés aux espèces envahissantes et leur impact dans leurs protocoles d élaboration et de financement des projets/programmes. Espèces exotiques envahissantes : rapport sur les consultations relatives aux normes internationales L UICN se félicite des consultations menées par le Secrétariat de la Convention sur la diversité biologique (CDB) avec les secrétariats de l Organisation mondiale du commerce (OMC), de l Organisation mondiale de la santé animale (OIE), de l Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture (FAO) et de la Convention internationale pour la protection des végétaux (CIPV) concernant le manque de normes internationales sur les espèces exotiques envahissantes, en particulier les animaux qui ne sont pas considérés comme des organismes nuisibles aux végétaux selon la CIPV. L UICN se félicite également des discussions qui ont eu lieu à ce sujet dans le cadre de la 13 e réunion de l Organe subsidiaire et des projets de recommandations proposés, ainsi que des conclusions de l atelier d experts «sur les meilleures pratiques d'évaluation des risques avant importation pour les spécimens vivants d'espèces faisant l'objet d'un commerce international», organisé du 9 au 11 avril 2008 à South Bend, Indiana, États-Unis. L'UICN appuie les travaux proposés sur les différentes voies de pénétration des animaux exotiques envahissants et souscrit à la nécessité de tenir compte de toutes les formes d'aquaculture. À cet égard, l'uicn a élaboré des lignes directrices relatives à l'évaluation des risques, ainsi qu à l'évaluation et la gestion des importations d'espèces exotiques à des fins d'aquaculture. Ces lignes directrices donnent en outre un aperçu des structures existantes à l'échelle internationale, régionale et nationale, qui pourraient se révéler utiles à cet égard. Ces lignes directrices sont disponibles à l'adresse suivante : Adopte le projet de recommandation XIII-5 de l Organe subsidiaire chargé de fournir des avis scientifiques, techniques et technologiques, qui figure dans le document UNEP/CBD/COP/9/3 ; Invite la Convention internationale pour la protection des végétaux à intégrer, dans le cadre des ses travaux en cours sur les espèces exotiques envahissantes, celles qui ont un impact sur la diversité biologique des milieux marins et aquatiques ; Invite l Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture (FAO) à compiler les expériences récentes et à préparer des orientations complètes sur la gestion des risques associés à l utilisation d espèces exotiques en mariculture, et à mettre à jour les orientations existantes sur l aquaculture d eau douce. L UICN voudrait souligner que, comme l a constaté le Groupe spécial d experts techniques (GSET), les lacunes présentes dans le cadre réglementaire international ne limitent pas nécessairement la capacité des gouvernements de combler les lacunes au niveau national. L UICN recommande en outre que la CdP 9 : Encourage les Parties et les autres États à mettre en place des procédures d'évaluation des risques reposant sur des données scientifiques, pour les importations nationales d animaux vivants. Examen approfondi des travaux en cours relatifs aux espèces exotiques qui menacent des écosystèmes, des habitats et des espèces Pendant des millénaires, des espèces et des écosystèmes uniques ont pu évoluer de façon isolée, à l abri de barrières naturelles telles qu océans, montagnes, fleuves et déserts. En l espace de quelques centaines d années, ces barrières ont été dégradées par les grandes tendances planétaires, ce qui a permis à des espèces exotiques de se déplacer très loin de leur aire de répartition d origine et de devenir envahissantes dans leur nouvel habitat. Peu d États ont mis en place des cadres juridiques et institutionnels permettant de répondre à efficacement à l impact des espèces envahissantes. D où la nécessité de trouver une riposte planétaire. C est dans cet esprit que l UICN considère la prévention et le contrôle UICN (Union internationale pour la conservation de la nature) : Déclaration de position Page 2
3 des espèces envahissantes comme une priorité. L UICN constate que la contribution des Parties à l examen approfondi des travaux en cours relatifs aux espèces exotiques envahissantes 1, demandé par le Secrétariat de la CDB, est loin d être exhaustive. Dans certains cas, cela s explique par l incapacité des pays à gérer les espèces envahissantes à l échelle locale, nationale et régionale, et par la rareté relative de l information disponible sur les espèces envahissantes dans ces pays et ailleurs. Il importe de renforcer l engagement des pays à traiter les problèmes liés aux espèces envahissantes et à encourager l élaboration de stratégies et plans d action nationaux relatifs aux espèces envahissantes (le cas échéant, dans le cadre des mesures nationales en matière de biosécurité). Ces efforts doivent être complétés par la mise en place des capacités nécessaires pour gérer ces stratégies et plans d action. Les Parties à la Convention devraient œuvrer de concert à l élaboration des stratégies nationales et au renforcement des capacités afin que les espèces envahissantes soient gérées de façon cohérente et coordonnée. L UICN s engage à soutenir les pays dans ces efforts et, forte de l expérience qu elle a acquise en matière de renforcement des capacités dans ce domaine, elle est disposée à fournir des avis techniques. L UICN recommande en outre que la CdP 9 : pays d élaborer des stratégies et des plans d action nationaux relatifs aux espèces envahissantes ; de concevoir et d appliquer des mesures de renforcement des capacités pour la mise en œuvre de ces plans et stratégies ; et, ce faisant, de s attacher à garantir une coopération et une cohérence étroites à l échelle régionale, nationale et infranationale. Des stratégies nationales intégrées pour gérer les espèces envahissantes Concernant la gestion des espèces envahissantes, l UICN est consciente que l une des grandes priorités consiste à adopter une 1 Examen approfondi des travaux en cours relatifs aux espèces exotiques qui menacent des écosystèmes, des habitats et des espèces UNEP/CBD/COP/9/11 approche globale pour assurer une gestion intégrée. Outre les aspects techniques de la gestion des espèces envahissantes, il est urgent d étudier les dimensions sociales et culturelles du problème et d encourager la participation pleine et effective des communautés locales. La prévention reste prioritaire et un regain d efforts est nécessaire pour limiter et prévenir les introductions de nouvelles espèces dans le milieu naturel. Les programmes nationaux de gestion des espèces envahissantes devraient traiter tous les vecteurs d introduction, y compris les introductions intentionnelles, et tenir compte de tous les milieux, terrestres, aquatiques et marins. Ces programmes devraient donc prévoir des systèmes de détection précoce des invasions et d intervention rapide. Il conviendrait aussi qu ils prévoient davantage de recherches sur les bioinvasions, ainsi que des volets sensibilisation du public et éducation. Des mesures d incitation ou des instruments économiques devraient, dans la mesure du possible, être introduits pour décourager les introductions non souhaitées ou promouvoir l éradication et le contrôle des nouvelles invasions. L UICN est préoccupée par le fait que les efforts nationaux de prévention, y compris en matière de quarantaine, ne portent que très rarement sur le milieu marin. Les stratégies nationales en place omettent souvent les voies de pénétration maritimes une question qui devrait être traitée par la CdP. États d intégrer dans leurs stratégies et plans nationaux les impacts que les espèces exotiques envahissantes ont sur l environnement, la santé et l économie, et de traiter tous les vecteurs d introduction, y compris les introductions non intentionnelles, dans les milieux terrestres, aquatiques et marins. Viser des voies de pénétration particulières Les eaux de ballast Préoccupée par le transfert et l introduction d organismes aquatiques nuisibles et d agents pathogènes par les eaux de ballast et sédiments des navires, la communauté UICN (Union internationale pour la conservation de la nature) : Déclaration de position Page 3
4 internationale a adopté la Convention internationale pour le contrôle et la gestion des eaux de ballast et sédiments des navires en février Cette convention entrera en vigueur douze mois après sa ratification par trente États dont les flottes marchandes représentent 35 pour cent du tonnage brut de la flotte mondiale. À ce jour, seuls 13 États représentant 3,62 pour cent du tonnage de la flotte mondiale ont ratifié la Convention. États qui ne l ont pas encore fait, de ratifier la Convention internationale pour le contrôle et la gestion des eaux de ballast et sédiments des navires. Les salissures des coques de navires Il n existe à l heure actuelle aucune réglementation relative à la gestion des salissures des coques de navires. L Organisation maritime internationale (OMI), par l entremise de son Comité pour la protection du milieu marin, n a commencé que très récemment à traiter cette question. Mais, même dans ce cas, une lacune de taille subsiste : la gestion des salissures des coques de navires liées à l expansion de la flotte mondiale des navires de plaisance, qui n entre pas dans le cadre du mandat de l OMI. Étant donné que beaucoup de navires de plaisance ne battent aucun pavillon, voire, ne sont pas immatriculés, l UICN recommande que la CdP 9 : Encourage les Parties à prendre les mesures qui s imposent pour introduire des mécanismes réglementaires à l échelle nationale et régionale, pour assurer la gestion des salissures des coques de navires. Taxonomie Le manque de données taxonomiques est considéré comme un obstacle à la gestion des espèces exotiques envahissantes, en particulier dans le milieu marin. L identification précise des espèces est un enjeu de taille pour la surveillance continue et la détection des espèces envahissantes. Le renforcement des capacités en matière d identification des espèces et de taxonomie traditionnelle est une mesure qui s impose de toute urgence. Les progrès de la biologie moléculaire et de la biotechnologie pourraient offrir des méthodes novatrices, faciles à appliquer. pour détecter et identifier les espèces envahissantes. Il vaudrait la peine d investir dans des travaux de recherche pour permettre la mise au point de telles techniques d identification. L UICN recommande que la CdP 9 Appelle les Parties à continuer à soutenir les initiatives des organisations, telles que BIONET, visant à promouvoir la formation à la taxonomie traditionnelle et aux méthodes novatrices d identification des espèces. Tenir compte des interactions avec le climat et des autres processus intervenant dans les changements planétaires Plusieurs facteurs planétaires, y compris les changements climatiques, la mondialisation de l économie, la surpêche et l altération du cycle des nutriments, contribuent à accélérer le rythme des invasions d espèces. Les changements climatiques peuvent altérer le milieu physique de façon bénéfique pour des espèces non indigènes, ce qui peut réduire la capacité de résister aux invasions. La mondialisation de l économie modifie non seulement les voies de pénétration et le rythme des transferts d espèces, mais aussi les forces économiques qui déterminent les décisions prises aux niveaux local et régional, influençant ainsi de manière indirecte les possibilités d invasion d espèces. Appelle les Parties et les autres organisations compétentes à recueillir des informations et à entreprendre des études afin de déterminer les impacts des changements climatiques et des politiques de libre échange sur les voies de pénétration et le comportement des espèces envahissantes, y compris dans le milieu marin. La communauté des donateurs Nombre de décideurs et de bailleurs de fonds, ne considèrent pas les espèces envahissantes comme une priorité et ne consacrent que des fonds limités à cette question. Le manque de fonds est considéré comme l un des principaux obstacles à la formulation et à la mise en oeuvre de programmes nationaux axés sur les UICN (Union internationale pour la conservation de la nature) : Déclaration de position Page 4
5 espèces envahissantes, notamment dans le milieu marin. Qui plus est, les bailleurs de fonds n ont souvent pas conscience de l impact que les espèces envahissantes peuvent avoir sur les projets de développement et leur viabilité. Qui plus est, certains de ces projets favorisent l introduction d espèces exotiques envahissantes marines. Prie instamment les organismes bailleurs de fonds de contribuer davantage à la prévention et à la gestion des espèces exotiques envahissantes ; Invite les organismes bailleurs de fonds à élaborer et à appliquer des critères pour évaluer les risques d invasion par des espèces exotiques que posent les projets d aide au développement, et d inclure les problèmes liés aux espèces envahissantes et leur impact dans leurs protocoles d élaboration et de financement des projets/programmes. UICN (Union internationale pour la conservation de la nature) : Déclaration de position Page 5
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