Annales corrigées du concours d agent social territorial, centre de gestion du Var

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1 Multiconcours animation, social, sport_multiconcours 190x240 jeudi29/08/13 11:13 Page308 Annales corrigées du concours d agent social territorial, centre de gestion du Var Sujet Copie négligée (soin, calligraphie, présentation) : 1 point. Plus de 15 fautes d orthographe : 2 points. Le suicide chez les personnes âgées Après avoir pris connaissance des documents joints, répondez aux cinq questions suivantes en prenant soin de préciser le numéro de la question avant d y répondre. 1. En une dizaine de lignes et grâce à l ensemble des documents, définissez quelles sont les caractéristiques du suicide chez les personnes âgées (5 points). 2. Dans le texte «Une hausse préoccupante du suicide des personnes âgées», il est évoqué le chiffre de suicides de personnes âgées de 65 ans et plus (dont deux tiers d hommes) (4 points). Calculez le nombre de suicides d hommes de 65 ans et plus. Calculez le pourcentage et le nombre de suicides de femmes de 65 ans et plus. Dressez un graphique représentant la répartition en pourcentage des suicides par lieux. 3. Dans le texte «Suicide, le mal de l âge», expliquez les termes suivants (4 points) : euthanasie ; enfants du baby-boom. 4. Listez les raisons pour lesquelles les hommes se suicident davantage que les femmes (3 points). 5. Quels sont les facteurs qui peuvent limiter le risque de suicide (4 points)? Documents joints Document 1 : «Suicide, le mal de l âge», de Nour Richard-Guerroudj. Document 2 : «France : une hausse préoccupante du suicide des personnes âgées» 308

2 Multiconcours animation, social, sport_multiconcours 190x240 jeudi29/08/13 11:13 Page309 Document 1 : «Suicide, le mal de l âge», de Nour Richard-Guerroudj Suicide, le mal de l âge Les aînés sont plus nombreux que les ados à mettre fin à leurs jours. Un phénomène encore occulté, voire accepté. Les suicidés ne sont pas toujours ceux qu on croit. Alors que les actions de prévention ciblent essentiellement les adolescents, les seniors sont plus nombreux qu eux à choisir de mettre fin à leurs jours : personnes de plus de 60 ans se sont donné la mort en 2003, selon le CépiDc-lnserm, soit un tiers des suicides répertoriés. Un chiffre certainement sous-évalué : on estime le taux de sous-déclaration des suicides à 20 %. Les suicides masqués sont aussi fréquents avec l âge, les pathologies physiques cachant la souffrance psychique. Alors que la prévention du suicide est une priorité de santé publique depuis 1998, le phénomène reste tabou chez les personnes âgées. Un constat souligné par les 8 e journées nationales pour la prévention du suicide de février «La réalité du phénomène est masquée car le suicide est souvent assimilé à l euthanasie, note le Michel Dubout, professeur de médecine légale et président de l Union nationale pour la prévention du suicide (UNPS). Pourtant, le suicide est davantage l expression d un mal-être, qui n est pas inéluctable avec le vieillissement.» Ainsi, les suicides réalisés en pleine conscience, ou «suicides philosophiques», restent très marginaux même chez les personnes âgées. Cela tient aussi à la représentation collective de la vieillesse. Serait-il normal d être triste en prenant de l âge? Plus une personne vieillit, plus on souligne son droit au suicide, un droit qui n est pourtant jamais invoqué pour un adolescent. Et les soignants ne sont pas exempts de ce type d approche. Une étude américaine a révélé que face à la description d un même cas clinique, les médecins généralistes proposent une prise en charge moins importante lorsque la personne est âgée. Dans une société qui stigmatise la dépendance, les personnes âgées sont parfois perçues comme inutiles, voire encombrantes. Le sociologue Emile Durkheim a été le premier à affirmer en 1897 que le suicide est un fait social. Pour lui, la société engendre le suicide et cette donnée augmente avec l âge. Son analyse a depuis été affinée et actualisée : le suicide ne progresse pas toujours avec l âge. Ainsi, ce sont les adultes qui se suicident le plus en France aujourd hui. Le suicide des personnes âgées a diminué de 15 % en dix ans. Selon une étude de la Direction de la recherche, des études, de l évaluation et des statistiques (Drees) d août 2002, le taux de suicide des personnes âgées varie énormément depuis vingt ans, ce qui signifie que les variables économiques et sociales ne sont pas les seuls facteurs explicatifs. Il faut aussi compter avec l effet de génération, selon la sociologue Josiane Andrian. Au même âge, les personnes issues de générations différentes ne se suicident pas dans les mêmes proportions. Qu en sera-t-il donc en 2010, quand les enfants nés en 1945 atteindront 65 ans? Des générations où une plus grande tendance au suicide a été observée vont atteindre les âges où les comportements suicidaires se renforcent, du moins chez les hommes. Si l effet de SITUATIONS DE CONCOURS 309

3 Multiconcours animation, social, sport_multiconcours 190x240 jeudi29/08/13 11:13 Page310 génération perdure, on peut s attendre à une hausse mécanique de la mortalité par suicide, selon une étude de la Drees. Cependant, la prédiction en la matière reste difficile. Le sociologue Louis Chauvel précise que les variations de taux de suicide dans une même tranche d âge, à des époques différentes, résultent de la rencontre entre un âge de la vie et certains faits socio-économiques. Les générations nées avant 1910, qui ont eu entre 85 et 89 ans en 1995 ont un taux de suicide élevé. Souvent originaires du monde rural, leur carrière a été interrompue par la crise économique de 1930 et la guerre de Ainsi, à l âge de la vieillesse, leur patrimoine est plus restreint et leur âge perçu comme un handicap. En revanche, les enfants de l entre-deuxguerres ont déroulé leur carrière au cours des Trente glorieuses et disposent d une retraite relativement correcte. Ils ont 65 ans en 1995, et leur taux de suicide s infléchit. Chaque génération, en fonction de son vécu social, a ses propres représentations et valeurs. Les enfants du baby-boom, qui auront 60 ans et plus à partir de 2010, ont connu le chômage et la crise pendant leur vie active, et leurs descendants n ont pu remplir leur espoir d atteindre un meilleur niveau de vie qu elles. Mais peut-être d autres variables socio-économiques viendront-elles contrebalancer ces tendances, car les facteurs du suicide sont nombreux et intriqués. Les travaux de Josiane Andrian ont souligné la vulnérabilité des hommes veufs de plus de 80 ans. A tous les âges de la vie, les hommes se suicident davantage que les femmes. Cela tient sans doute au rôle social encore attribué à chacun. Les hommes tissent des liens hors de la cellule familiale, tandis que les femmes sont davantage dépendantes des liens familiaux. Ainsi, lors du passage à la retraite, la rupture est moins difficile pour les femmes que pour les hommes. La mort du conjoint est également insupportable pour certains, surtout les hommes. Ils se suicident sept fois plus que les veuves au-delà de 75 ans. Et le risque le plus élevé se situe durant la première année suivant le décès. Pour Josiane Andrian, la disparition de la compagne rend le veuf «orphelin» et le confronte à sa propre mort. «La solitude n est absolument pas supportée par les hommes âgés», note le docteur Gilbert Perrey, géronto-psychiatre au CH d Eaubonne. Selon certaines études, 25 % des personnes âgées n ont plus d amis, et elles sont un tiers à rencontrer moins de trois parents par mois. «A cet âge de la vie, le carnet d adresses ressemble souvent à un monument aux morts», souligne Jean- Louis Terra, psychiatre au CH le Vinatier (Rhône). Et «même très entourée, une personne âgée peut avoir le sentiment d être seule», précise Vincent Camus, psychiatre au CH de Tours. L isolement géographique accroît aussi le risque suicidaire. Ainsi, la mortalité par suicide est plus importante dans les zones rurales, notamment dans le nord-ouest de la France. Josiane Andrian constatait en revanche une moindre mortalité par suicide dans le sud-ouest, où trois générations cohabitent parfois sous le même toit. 310

4 Multiconcours animation, social, sport_multiconcours 190x240 jeudi29/08/13 11:13 Page311 Certains spécialistes assimilent la vieillesse à une crise, comparable à la crise d adolescence. Physiquement, elle est marquée par la perte de certaines facultés et par l apparition de maladies spécifiques. C est aussi l âge du passage à la retraite ou de l entrée en institution, des ruptures qui entraînent parfois une perte totale des repères. La grande dépendance sociale s accroît, qu elle soit affective ou financière, à l égard de ses propres enfants, ou physique, à l égard des soignants ou intervenants à domicile. Certains ont l impression de mourir plusieurs fois, socialement puis physiquement. Mais le sentiment de solitude n est pas le seul facteur du suicide. Face à cette approche, plusieurs spécialistes surtout aux Etats-Unis étudient les conditions d un vieillissement réussi, ou sucessful aging. Etre capable de préparer sa retraite, avoir des projets, surveiller sa santé et être à même de demander de l aide : autant de facteurs protecteurs pour prévenir le risque suicidaire. La fréquence des décès par suicide est plus forte dans les milieux sociaux les moins favorisés et chez les agriculteurs, plus faible en haut de la hiérarchie sociale. Les classes sociales élevées sont davantage préparées à prendre leur santé physique et psychique en charge. Améliorer l intégration des personnes âgées dans le tissu social peut aussi prévenir les risques suicidaires. La mise en place de l allocation personnalisée d autonomie ou la création des centres locaux d information et de coordination (Clic) s inscrivent dans cette optique. Les associations d entraide et de soutien, les clubs de troisième âge et les réseaux d intervenants professionnels à domicile (services d aide ménagère, de soins et de portage de repas à domicile) contribuent aussi à rompre l isolement. La dépression est le premier facteur de risque. Bien des gestes suicidaires surviennent dans un contexte de dépression chez les sujets âgés. Elle représente une pathologie à part entière et n est pas la conséquence de l âge. Pourtant, près de 60 % des syndromes dépressifs ne sont pas diagnostiqués ou pris en charge, car la dépression prend parfois des figures atypiques chez les personnes âgées et reste masquée. Elle peut se manifester par des modifications du comportement : moindre attention vestimentaire, augmentation de la consommation d alcool, dons d objets chers, altération de l écriture Autant de changements difficiles à identifier. Ce syndrome de glissement est considéré comme un équivalent suicidaire : la personne se laisse aller vers la mort, en arrêtant ses traitements, en refusant de s alimenter Vincent Camus, professeur de psychiatrie au CHRU de Tours précise également que «l abus de substances comme l alcool, les troubles de la personnalité ou encore les personnalités impulsives ou borderline sont des facteurs de passage à l acte suicidaire». Le dernier plan Santé mentale a ainsi pour objectifs de mieux repérer les pathologies psychiatriques et d améliorer leur prise en charge, un rôle qui repose essentiellement sur les intervenants de première ligne. SITUATIONS DE CONCOURS 311

5 Multiconcours animation, social, sport_multiconcours 190x240 jeudi29/08/13 11:13 Page312 Document 2 : «France : une hausse préoccupante du suicide des personnes âgées» France : une hausse préoccupante du suicide des personnes âgées La mortalité par suicide en France est une des plus élevées des pays européens. Dans le cadre du Programme national de prévention du suicide, qui vise en priorité les jeunes, le suicide des personnes âgées a fait l objet d une étude afin de mettre en évidence ses facteurs de risque et de définir les actions de prévention à envisager (a). Le risque suicidaire augmente avec l âge. C est chez les personnes âgées que le taux de décès par suicide est le plus élevé, et il augmente progressivement avec l âge, surtout chez les hommes (b). En chiffres absolus, le nombre des suicidés de plus de 65 ans est très élevé (plus de sur un total de suicides environ en 1997). Les générations nées après 1945 se suicident plus que les précédentes nées dans l entre-deuxguerres. Ce constat laisse entrevoir une possible augmentation des décès par suicide de personnes âgées dans les prochaines années, en nombre absolu comme en taux de suicide. Un taux de décès par suicide plus élevé en maison de retraite. Pour la période , sur un nombre moyen annuel de décès par suicide de personnes âgées de 65 ans et plus (dont deux tiers d hommes), (64 %) ont été déclarés à domicile, (32 %) en d autres lieux (voie publique, hôpital, etc.) et 131 (4 %) en maison de retraite. Ces proportions ont peu varié depuis Ces chiffres sont à rapporter à la répartition de la population vivant à domicile et en maison de retraite (c). Pour toutes les périodes étudiées, le taux de suicide en maison de retraite a été significativement plus élevé que le taux de suicide au domicile, pour les hommes comme pour les femmes (d). Même en attribuant tous les décès survenus sur la voie publique et autres lieux uniquement à des résidents à domicile, le taux de suicide en maison de retraite aurait été encore deux fois plus élevé qu à domicile en 1990 par exemple. Le risque de suicide a aussi été évalué selon I état matrimonial. Chez les femmes vivant en maison de retraite, le taux de suicide est plus élevé que chez les femmes vivant à domicile, quel que soit le statut matrimonial (veuve, mariée au célibataire) de ces dernières. Par contre, chez les hommes vivant en maison de retraite le taux de suicide est inférieur à celui des hommes vivant seuls à domicile. Le mode de suicide diffère selon les lieux. Au domicile, plus de la moitié des décès par suicide sont consécutifs à la pendaison. 33 % des hommes ont recours aux armes à feu. 15 % des femmes ingèrent des toxiques et 15 % choisissent la noyade. 312

6 Multiconcours animation, social, sport_multiconcours 190x240 jeudi29/08/13 11:13 Page313 a) L étude a utilisé les données d état civil et de recensement de l Institut national de la statistique (lnsee) et celles de l Institut national de la santé et de la recherche médicale (lnserm) sur les causes de décès. Le nombre de suicides est vraisemblablement sous-estimé dans les statistiques, notamment parce que certains refus de s alimenter ou de soins peuvent relever d attitudes suicidaires non forcément étiquetées comme telles. Les auteurs de l étude estiment cependant que les données sur les caractéristiques démographiques des suicidés ne sont pas altérées par cette sous-déclaration. b) En 1997, le taux de décès par suicide était évalué à 19 pour habitants. En France, il était d environ pour hommes de 35 à 74 ans, et dépassait 60 pour hommes de plus de 75 ans. c) En France en 1999, 98 % des personnes âgées de 65 ans à 74 ans résidaient à domicile, et moins de 1 % en maison de retraite ; après 74 ans, 90 % résidaient à domicile (94 % des hommes versus 88 % des femmes) et 8 % en maison de retraite (5 % des hommes versus 10 % des femmes). d) Le taux de suicide en maison de retraite rapporte les décès par suicide en maison de retraite à la population recensée dans ces établissements. De même, le taux de suicide au domicile est rapporté à l effectif de population résidant à domicile. En maison de retraite, la pendaison et le saut d un lieu élevé sont les principaux moyens utilisés. Dans les lieux publics, les suicides sont en majorité consécutifs à la noyade. Ceux enregistrés à l hôpital résultent en grande partie d actes suicidaires réalisés hors de l hôpital. Détresse profonde ou décision réfléchie et sereine? Des programmes de prévention ciblés sont envisagés en France, et déjà engagés dans d autres pays. Les signes prémonitoires d un suicide chez les personnes âgées sont cependant difficiles à détecter, et les tentatives de suicide n ayant pas abouti au décès sont relativement peu fréquentes à un âge avancé. En pratique, le phénomène du suicide chez les personnes âgées mérite surtout d être mieux étudié. Il s agit notamment de distinguer les circonstances menant au suicide : détresse profonde due à une incapacité à faire face à la souffrance (maladie, solitude, etc.), ou décision réfléchie et sereine de mettre un terme à une vie jugée bien remplie, avant qu il ne soit trop tard? Selon les cas, la prise en compte par les soignants et par la collectivité n est pas la même. SITUATIONS DE CONCOURS 313

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