Beaumont : deux cabinets médicaux cambriolés, 3 échographes volés

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1 France3 Auvergne 9 avril 2015 Beaumont : deux cabinets médicaux cambriolés, 3 échographes volés Dans la nuit de mardi à mercredi, 2 cabinets médicaux installés à Beaumont et à Cournon ont été cambriolés entre minuit et 2h du matin. Au total, 3 échographes ont été volés. Le préjudice atteint les euros. C'est une première en Auvergne. Dans la nuit de mardi à mercredi, 3 échographes ont été volés dans 2 cabinets médicaux de l'agglomération clermontoise. A Beaumont d'abord, à l'intérieur de la Clinique de la Chataigneraie où se trouvent des cabinets privés : 2 échographes ont été dérobés, d'une valeur unitaire de euros. A Cournon ensuite, dans un autre cabinet médical où un échographe a été embarqué par les voleurs. Celui-ci valait environ euros. Les policiers du SRPJ de Clermont-Ferrand sont en charge de l'affaire. Il faut dire que s'il s'agit d'une première en Auvergne, le vol de matériel médical de ce type est beaucoup moins rare au niveau national, et notamment en Rhône-Alpes. En 2014, plus de 70 appareils d'imagerie médicale ont en effet été dérobés en France, contre 7 seulement en Les enquêteurs soupçonnent des bandes approvisionnant des filières de trafiquants sur le pourtour méditerranéen ou aux confins de l'europe de l'est.

2 ZoneBourse.com 9 avril 2015 Median Techno : Nouvelles attributions de projets pour un montant de cumulé de 2,76 M Nouvelles attributions de projets pour un montant de cumulé de 2,76 M Attribution de trois projets de phase II sponsorisés par deux sociétés américaines majeures de biotechnologie spécialisées en oncologie MEDIAN Technologies (ALMDT), éditeur de logiciels pour l'imagerie médicale et fournisseur de services pour l'interprétation et la gestion des images dans les essais cliniques en oncologie, les programmes de dépistage de cancers et la routine radiologique en oncologie, annonce aujourd'hui avoir été sélectionné en tant que fournisseur de solutions et de services d'imagerie dans trois nouvelles études cliniques en oncologie. Le montant cumulé de ces trois nouveaux projets est d'environ 2,76 M. Les trois études sont sponsorisées par deux sociétés de biotechnologie spécialisées en oncologie et en immuno-oncologie. Une étude de phase II (cancer pulmonaire non à petite cellule - NSCLC) pour un montant de 1,08 M Une étude de phase II (cancer colorectal) pour un montant de 1,44 M Une étude de phase II (adénocarcinome pancréatique) pour un montant de 248 K. Ces deux sociétés sont basées sur la côte ouest des Etats-Unis et sont deux nouveaux clients pour MEDIAN Technologies. «La montée en puissance des sociétés de biotechnologie principalement dans le domaine de l'immunooncologie est aujourd'hui un vecteur majeur de développement pour MEDIAN Technologies sur le marché des essais cliniques» précise Jérôme Windsor, VP Business Development Pharma. «Le caractère très innovant de notre offre en imagerie est très attractif pour les sociétés de biotechnologie. De ce fait, depuis décembre 2013, date de notre premier projet avec une biotech, les signatures de contrat avec les acteurs de ce segment de marché se sont considérablement accélérées.» Pour rappel, MEDIAN avait annoncé le 3 Mars 2015 des attributions de projet pour un montant cumulé de 1,53 M. A la date du 9 Avril 2015, les attributions de projet et signatures de contrat se montent à 4,29 M, à comparer avec la prise de commandes du 1er trimestre 2014 qui était de 1,8 M. * Une attribution de projet est une notification qui annonce que la solution de la société est retenue pour un projet donné. Cela devrait donner lieu à un contrat ferme dans un délai de 18 mois, sous réserve de confirmation des résultats cliniques en phase amont. A propos de MEDIAN Technologies : MEDIAN Technologies propose des solutions logicielles d'imagerie médicale et des services dédiés aux essais cliniques en oncologie, au dépistage du cancer et à la pratique radiologique. MEDIAN Technologies standardise et automatise l'interprétation des images médicales pour optimiser le diagnostic des patients et mieux évaluer l'efficacité de leur thérapie. La société cible deux marchés : le marché des essais cliniques et celui du soin aux patients. MEDIAN Technologies a un partenariat stratégique avec la première CRO (Contract Research Organization) mondiale, afin d'offrir aux sociétés biopharmaceutiques des services d'imagerie intégrés pour la conduite des essais cliniques et un partenariat stratégique avec Canon, afin de développer de nouvelles technologies liées à l'image et d'adresser le marché du soin aux patients. Créée en 2002, MEDIAN Technologies est basée à Sophia Antipolis en France et possède une filiale aux Etats-Unis à Boston. D'envergure mondiale, la société participe à des projets en cours avec des sites cliniques en Asie, en Europe, en Amérique du Nord, en Amérique du Sud, et en Australie. MEDIAN est labellisée «Entreprise innovante» par BPI Financement et est cotée sur Alternext d'euronext Paris. Code ISIN : FR Code MNEMO : ALMDT. MEDIAN est éligible au PEA PME. «S'engager à améliorer le traitement des patients atteints de cancer grâce à l'innovation en imagerie médicale et la qualité de son exécution pour offrir un meilleur dépistage, un meilleur diagnostic et un meilleur suivi de la maladie»

3 LeQuotidienDuMedecin.fr 10 avril 2015 Cancer du pancréas : l IRM seule pourrait constituer une stratégie de dépistage chez les patients à haut risque Un programme de dépistage reposant sur l IRM a permis de détecter des lésions précancéreuses ou des cancers précoces chez 40 % des patients à risque élevé de cancer du pancréas, selon les résultats d une petite étude observationnelle publiée dans «JAMA surgery». Il n existe actuellement pas de test de dépistage pour le cancer du pancréas. Les patients ne présentent pas de symptômes cliniques et la maladie est donc généralement diagnostiquée à un stade tardif, ce qui complique le traitement. En France, environ 5 % des personnes ayant un cancer du pancréas survit cinq ans après le diagnostic. Chez les patients pour lesquels l ablation complète de la tumeur est possible, le taux de survie à cinq ans est d environ 20 %, après chimiothérapie. En cas de prédispositions familiales et génétiques, les sociétés savantes recommandent l établissement d un programme de dépistage et de surveillance. Mais la stratégie la plus efficace, sur le plan clinique et économique, ne fait pas encore l unanimité. Une étude chez 40 patients Des chercheurs du Karolinska Institute de Stockholm, en Suède, ont évalué les résultats, à court terme, d un programme de dépistage reposant sur l utilisation de l IRM seul c est-à-dire sans tomodensitométrie ou ultrasonographie endoscopique. Cette approche serait la plus simple, noninvasive, et peu onéreuse. Leur étude a porté sur 40 personnes, dont le risque de cancer du pancréas était dix fois supérieur à celui de la population générale, à savoir : des personnes avec un historique familial de cancer pancréatique, avec au moins 2 parents de premier degré atteints, des patients avec un syndrome de Peutz-Jeghers, et des porteurs de mutations p16, BRCA2 ou BRCA1. Sur une période de 13 mois environ, l IRM a permis de détecter des lésions pancréatiques suspectes chez 16 patients. Parmi ces derniers, 5 ont ensuite été opérés : 3 pour des cancers du pancréas, 2 pour des tumeurs intracanalaires papillaires mucineuses avec dysplasie modérée. Les 35 autres patients, eux, restent sous surveillance continue. D après le Dr Mark Talamonti, de l Illinois, auteur d un commentaire accompagnant l étude, «Ces résultats montrent que certains patients à haut risque peuvent bénéficier d une détection précoce et d une intervention chirurgicale ; cependant, le nombre limité de patient dans l étude, et la durée réduite de suivi des patients non-opérés, font qu il est trop tôt pour dire si un dépistage reposant uniquement sur l IRM est la stratégie recommandable.» Ce dernier rappelle que, dans la majorité des cas (90 %), le cancer du pancréas est diagnostiqué chez

4 des patients sans facteurs de risques connus et, qu en pratique, il n existe pas de biomarqueur permettant une détection précoce. «Dans la population générale, le dépistage par radiographie ou par endoscopie n a aucun intérêt clinique ou économique, vu que les cancers du pancréas ne représentent que 3 % des nouveaux cancers chaque année.» Clémentine Wallace

5 Jim.fr 09 avril 2015 Recommandations pour l imagerie dans les spondylo-arthrites Un groupe d'experts de l'eular (European League Against Rheumatism) a émis des recommandations pour l'utilisation des examens d'imagerie dans les spondylo-arthrites axiales (SpAa) et périphériques (SpAp). 1/ Pour le diagnostic de SpAa, la radiographie conventionnelle (RC) des sacro iliaques (SI) est recommandée pour le diagnostic de sacro iliite. Chez les sujets jeunes ou en cas de symptômes récents, ou en cas de RC non contributive, l'irm des SI est une alternative. Sur l'irm seront recherchées des lésions actives inflammatoires et /ou structurales. L'IRM du rachis et les autres techniques d'imagerie ne sont pas recommandées. 2/ En cas de suspicion de SpAp, une IRM ou une échographie peut être réalisée pour détecter enthésite, arthrite, ténosynovite ou bursite. 3/ L'IRM des SI et/ou du rachis peut être utilisée pour surveiller l'activité de la SpAa. Sa répétition dépendra des circonstances cliniques. Les séquences STIR sont suffisantes pour détecter l'inflammation. Un produit de contraste est inutile. 4/ Au cours de la SpAa, la RC des SI et /ou du rachis permet de surveiller l'apparition de nouvelles ostéoformations. Elle ne doit pas être réalisée plus souvent que tous les 2 ans. 5/ L'échographie et l'irm peuvent être utilisées pour surveiller l'activité au cours de la SpAp (synovite, enthésite), en fonction de la clinique. 6/ La RC est recommandée pour surveiller les lésions structurales au cours de la SpAp. L'IRM ou l'échographie peuvent apporter des éléments supplémentaires. 7/ Chez les malades atteints de spondylarthrite ankylosante (SpA axiale radiographique), des RC initiales du rachis lombaire et des cervicales sont recommandées pour détecter des syndesmophytes, prédictifs de nouveaux syndesmophytes). L'IRM (dépôts graisseux des coins vertébraux) peut également prédire le développement de nouveaux syndesmophytes en RC. 8/ Au cours de la SpAa, une activité diffuse (œdème de la moelle osseuse) en IRM, surtout au rachis, est un facteur prédictif de bonne réponse aux anti TNF alpha. L'IRM peut aider à la prise de décision d'un traitement anti TNF, en plus des données cliniques et de la CRP. 9/ En cas de suspicion de fracture vertébrale, la RC est recommandée en première intention. Si elle est négative, un scanner peut être réalisé. 10/ Chez les malades avec une SpAa sans syndesmophyte à la radio, une ostéoporose peut être recherchée par ostéodensitometrie (ODM) à la hanche et au rachis. Chez ceux ayant des syndesmophytes, l'ostéoporose sera évaluée par une ODM à la hanche et, soit une ODM au rachis en projection latérale soit un scanner quantitatif au rachis. Dr Juliette Lasoudris Laloux RÉFÉRENCES Mandi P et coll. : EULAR recommendations for the use of imaging in the diagnosis and management of spondyloarthritis in clinical practice. Ann Rheum Dis., 2015 ; publication avancée en ligne le 2 avril. doi: /annrheumdis

6 LeFigaro.fr 9 avril 2015 L'Assemblée change la définition du service public hospitalier L'Assemblée nationale a voté aujourd'hui la nouvelle définition du service public hospitalier prévue dans le projet de loi sur la Santé, au grand dam de la droite qui s'est faite le défenseur des établissements privés dont une majorité en seront exclus. Le projet de loi redéfinit la notion de service public hospitalier, qui avait été supprimée implicitement par la droite en 2009, ainsi que les missions des établissements de santé assurant ce service (urgences notamment). Les établissements privés ne devront plus réaliser de dépassements d'honoraires pour y participer, ce qui devrait en évincer un bon nombre, les privant des fonds dédiés. Les députés UMP ont présenté des amendements "pour défendre le secteur privé" et "en rester à la loi HPST" (hôpital, patients, santé et territoire) de Depuis cette réforme, les cliniques peuvent assurer à la carte l'une ou la totalité des 14 missions de service public aujourd'hui établies (urgences, enseignement, recherche, etc.). Le député UMP Dominique Tian, lui-même président d'une clinique, a souligné le "rôle essentiel des cliniques privées", tandis que son collègue Elie Aboud dénonçait "deux poids deux mesures", des dépassements d'honoraires pouvant être pratiqués dans certaines conditions à l'hôpital.

7 Metronews.fr 10 avril 2015 Tiers payant généralisé : ce qui va changer LOI SANTÉ - Au lendemain du vote de la généralisation du tiers payant à l'assemblée nationale, metronews fait le point sur ce qui va change d'ici fin L'Assemblée nationale a voté ce jeudi 9 avril la généralisation du tiers payant chez les médecins. La mesure du projet de loi santé porté par la ministre Marisol Touraine, une promesse de campagne de François Hollande, a suscité la fronde des professionnels de santé libéraux. La généralisation du tiers payant entrera en vigueur fin novembre Décryptage Le tiers payant : qu'est-ce que c'est? Aujourd'hui, les consultations chez le médecin sont payées par le patient. L'Assurance-maladie et sa mutuelle complémentaire, s'il en possède une, remboursent ensuite l'intégralité ou une partie des frais avancés par le malade. Le tiers payant permet au patient de ne plus avoir à avancer les frais de consultation chez le médecin. S'il bénéficie du tiers payant partiel, le patient ne paie que la partie des honoraires qui n'est pas remboursée par la l'assurance-maladie : ce qu'on appelle le ticket modérateur. En revanche, s'il dispose du tiers payant total, le patient n'a aucun frais à avancer. Le professionnel de santé sera lui payé par Sécurité sociale. Qui sont les patients concernés? Pour le moment, le tiers payant généralisé concerne essentiellement les personnes bénéficiant de la couverture maladie universelle complémentaire (CMU- C), de l'aide médicale de l'état (AME) ou de l'aide pour complémentaire santé (ACS). Les mineurs de plus de 15 ans qui consultent un médecin pour obtenir une contraception sont aussi concernés. D'ici fin 2017, il deviendra un droit pour l'ensemble des Français couverts à 100%. Ce que prévoit le projet de loi santé La généralisation du tiers payant a pour but que les patients n'aient plus à avancer les frais de consultation chez le médecin d'ici fin L'assurance-maladie et les complémentaires paieront directement les honoraires aux médecins. Les franchises et les forfaits seront payés directement par l'assuré auprès de l'assurance-maladie, par prélèvement bancaire. Le tiers payant étendu se mettra en place en deux étapes : en voici le calendrier.

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