Dr SAOUAB, Pr DAFIRI Service de Radiologie Hôpital d Enfants-Maternité CHU - RABAT - MAROC
|
|
- Anne-Sophie Beaudoin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Imagerie de la pathologie vésicale acquise chez l enfant (À propos de 70 cas) Dr SAOUAB, Pr DAFIRI Service de Radiologie Hôpital d Enfants-Maternité CHU - RABAT - MAROC
2 INTRODUCTION La découverte d une lésion à point de départ vésical est une situation peu fréquente chez l enfant. Les atteintes vésicales sont variées. Il peut s agir de lésions pseudo tumorales ou de tumeurs vraies. Ces derniers sont dominées par le rhabdomyosarcome. Le signe d appel clinique essentiel reste l hématurie. L imagerie joue un rôle fondamental dans l approche étiologique et dans le bilan d extension et de surveillance. l échographie est un excellent moyen d approche des lésions vésicales et permet en particulier d apprécier l étendue lésionnelle et le retentissement sur le haut appareil. les opacifications urinaires continuent à être effectuées. La TDM et l IRM sont essentielles particulièrement en cas de pathologie tumorale.
3 Matériels et méthodes Etude rétrospective de 70 dossiers de lésions vésicales acquises chez l enfant colligées sur une période de 2 ans Sont exclues de cette étude les pathologies congénitales et fonctionnelles L âge Lâgemoyen : 7,3 ans [3 mois; 15 ans] 46 G/ 24 F L'imagerie était basée sur : L échographie (65 cas) Les opacifications urinaires (30 cas) La TDM (42 cas) L IRM (4 cas)
4 RÉSULTATS
5 Pathologie tumorale Rhabdomyosarcomes :13 cas Lymphome : 1 cas (infiltration par contigüité) Leucémie (LAM) : 1 cas Neurofibromes : 4 cas Tumeur myofibroblastique : 1 cas
6 Pathologie tumorale maligne RHABDOMYOSARCOMES Échographie : masse tissulaire de la paroi antéro-latérale gauche de la vessie, bourgeonnant dans la lumière Échographie : masse tissulaire, vascularisée au doppler comblant presque toute la lumière vésicale
7 Pathologie tumorale maligne RHABDOMYOSARCOMES a. b. c. TDM pelvienne C+ (a,b) et IRM en coupe sagittale en Sp T1 + GADO(c) : Masse intra vésicale avec aspect «en grappe» caractéristique du rhabdomyosarcome de type botryoide
8 Pathologie tumorale maligne RHABDOMYOSARCOMES TDM abdominopelvienne: Masse tissulaire occupant la totalité de la lumière vésicale, responsable d une UHN bilatérale.
9 Pathologie tumorale maligne RHABDOMYOSARCOMES TDM pelvienne réalisée en procubitus : volumineuse masse pelvienne inter vésico-rectale infiltrant la vessie et s étendant jusqu au périné
10 Pathologie tumorale maligne HEMOPATHIES MALIGNES Infiltration Lymphomateuse de la paroi latérale droite de la vessie par contigüité Épaississement vésical avec UHN droite dans le cadre d une leucémie aigue myéloblastique
11 Pathologie tumorale bénigne NEUROFIBROMATOSE Épaississement pariétal de la vessie, prédominant au niveau de la paroi postérieure avec extension extra vésicale et périnéale, associé à une UHN bilatérale
12 Pathologie tumorale bénigne NEUROFIBROMATOSE Épaississement circonférentiel de la vessie avec rehaussement en cible. Noter les neurofibromes intra canalaires au niveau sacré.
13 Pathologie tumorale bénigne NEUROFIBROMATOSE Échographie +UIV Épaississement de la paroi vésicale, nodulaire par endroit, notamment au niveau du méat urétéral droit et du col vésical réalisant un aspect lacunaire à l UCG
14 Pathologie tumorale bénigne TUMEUR MYOFIBROBLASTIQUE a. Masse tissulaire i intra-vésicale, éi hypervascularisée au doppler(a), en hyper signal T2(b), hyposignal T1(c), fortement rehaussé après injection (d) avec des bandes hypo intenses réalisant un aspect étoilé b. b. c. d.
15 C O M M E N T A I R E S Pathologie tumorale Épidémiologie Les tumeurs de la vessie qu elles soient bénignes ou beaucoup plus souvent malignes restent des affections rares chez l enfant. Les tumeurs malignes primitives sont dominées par le rhabdomyosarcome (RMS) qui représente environ 5%de l ensemble des tumeurs solides de l enfant. C est le premier diagnostic à évoquer devant toute masse intra vésicale. Dans le cadre d une hémopathie maligne, l atteinte vésicale est souvent secondaire. Elle se voit dans 10 à 25% des cas de lymphome ou leucémie Les tumeurs bénignes sont principalement de nature mésenchymateuse (neurofibrome, hémangiome, léiomyome). La tumeur myofibroblastique est une pseudotumeur ubiquitaire rare dont la localisation vésicale se voit dans 8%des cas tout âge confondu. Seule une dizaine de cas sont rapportés dans la population pédiatrique.
16 C O M M E N T A I R E S Pathologie tumorale Clinique / biologie La symptomatologie clinique est non spécifique. Ilpeut s agir de : Rétention aiguë ou subaiguë d urines, en particulier chez le garçon Infections urinaires fréquentes et récidivantes Hématurie Rarement, elle-même) Pas de marqueur tumoral masse sus-pubienne (globe ou la masse Diagnostic : cystoscopie + biopsie
17 C O M M E N T A I R E S RMS Âge moyen : 4 ans Garçon ++ Siège : bas fond vésical Masse avec aspect «en grappe» ++, parfois épaississement diffus Tm agressive avec extension aux organes de voisinage Métastases ganglionnaires et à distance Tumeur myofibroblastique inflammatoire (TMI) Particularités de quelques tumeurs Hémangiome isolée ou syndrome de Klippel-Trenaunay-Weber ou Sturge-Weber Hématurie majeure Masse hypervascularisée, en hypersignal T2 franc, souvent de petite taille (2mm à 3cm) = Réaction pseudo-sarcomateuse, pseudo-sarcome fibro-myxoïde et pseudotumeur inflammatoire Atteinte du dôme : 50% Longtemps asymptomatique volume important Masse intra-vésicale hyper vascularisée avec parfois des calcifications Retentissement discret sur les voies excrétrices d amont Leiomyome La plus fréquente des TB Siège : Trigone ++ Endoluminal, interstitiel ou extra pariétal Masse en hyposignal T2 NEUROFIBROME VESICAL Isolée ou dans le cadre de NF type 1 (Von Recklinghausen) La Tm est aux dépens du plexus nerveux prés du trigone Épaississement nodulaire ou diffus Masse : très hypodense, en hyposignal T1, aspect en cible en T2 et rehaussement en cible aussi Extension aux foramens : évocatrice
18 Pathologie infectieuse et inflammatoire Cystite banale : 20 cas Cystite tuberculeuse : 3 cas Cystite bilharzienne : 3 cas Cystite pseudo tumorale : 3 cas Cystite post-chimiothérapie : 2 cas Cystite post-radique : 1 cas
19 Pathologie infectieuse et inflammatoire CYSTITE NON SPÉCIFIQUE TDM abdomino-pelvienne : Épaississement pariétal circonférentiel de la vessie prédominant en antéro latéral gauche + UHN bilatérale
20 Pathologie infectieuse et inflammatoire TUBERCULOSE UCG : images lacunaires avec rétraction du dôme vésical
21 Pathologie infectieuse et inflammatoire BILHARZIOSE UIV : Multiples images lacunaires déformant la vessie + UHN modérée et bilatérale
22 Pathologie infectieuse et inflammatoire BILHARZIOSE PM UIV : vessie lacunaire
23 Pathologie infectieuse et inflammatoire BILHARZIOSE -Épaississement de la paroi vésicale ( )avec des images lacunaires du dôme ( ) -Image lacunaire ovalaire de l uretère lombaire gauche ( )
24 Pathologie infectieuse et inflammatoire Cystite radique Sarcome d Ewing de la branche pubienne gauche. Epaississement pariétal vésical post radique.
25 Pathologie infectieuse et inflammatoire Cystite post chimiothérapie Épaississement irrégulier de la paroi vésicale
26 C O M M E N T A I R E S CYSTITES non spécifiques Fréquentes chez la fille; chez le garçon il faut toujours rechercher une malformation sous-jacente (valve de l urétre postérieur) Clinique : Signes urinaires : brûlure mictionnelle, fuite urinaire diurne ou nocturne, hématurie Sans fièvre Diagnostic positif : ECBU ++ Imagerie : diagnostic étiologique et surtout de retentissement sur le haut appareil Epaississement diffus pfs irrégulier de la paroi vésicale ou focal cystite pseudo tumorale (après sondage ou infection chronique) Contenu vésical : Transsonique ou finement échogène ou lithiase
27 C o m m e n t a i r e s Très rare chez l enfant car tardive après la primo-infection (15 à 20 ans) < 5 % de l ensemble des atteintes tuberculeuses L atteinte vésicale est toujours secondaire à l'atteinte du haut appareil. Siège : région péri-méatique et trigone Cystite tuberculeuse Y PENSER DEVANT : ATCD de contage tuberculeux Cystite récidivante ou résistante au traitement habituel Leucocyturie aseptique à l ECBU Petite vessie ou signes de rétraction à l UCG ou l UIV Recherche de Mycobacterium dans les urines Recherche d autre localisation
28 C o m m e Parasitose due au Schistosoma haematobium (S. h) Y PENSER DEVANT : Cystite bilharzienne Origine endémique : l Afrique tropicale Nord, Moyen orient, Afrique de Sud et Afrique Equatoriale Hématurie macroscopique avec hyper eosinophilie biologique n Calcifications l : pariétales ou totales t (vessie «porcelaine») t a i r e s Épaississement mamelonnée, polyploïde obstruant parfois les méats urétéraux avec UHN Absence d atteinte rénale ( tuberculose) Aspect cystographique caractéristique : petites granulations blanchâtres en «sucre en poudre» sur une muqueuse inflammatoire, aspects de grains de riz, polypes ou tuméfaction (bilharziomes), ulcérations superficielles ou profondes. Recherche des œufs de S.h dans les urines ou la biopsie _ Sérologie bilharzienne
29 C o m m e n t a i r e s Cystite post-chimio ou radiothérapie Complication souvent tardive Elle survient dans 3 à 6 % des cas en post-radiothérapie et 0,5 à 40% post-chimiothérapie Clinique : syndrome irritatif, hématurie parfois incoercible. Au stade chronique : rétraction vésicale avec possible UHN et/ou reflux; parfois calcifications vésicales Diagnostic = cystoscopie muqueuse rigide avec télangiectasies et placards hémorragiques.
30 Lithiase vésicale : 10 cas
31 Lithiases compliquées Lithiase vésicale étranglée Rétraction de la vessie sur L h Lithiase + UHN bilatérale bl é l Lithiase vésicale migrée dans l urethre postérieur
32 C o m m e n t a i r e s La lithiase vésicale Elle constitue encore une pathologie courante endémique dans les pays en voie de développement Le calcul vésical se développe autour d'un noyau central de nature variable par accumulation concentrique de dépôts Étiologies les plus fréquentes : L infection des voies urinaires Les malformations de l appareil urinaire Les maladies héréditaires et métaboliques Les corps étrangers
33 Rupture vésicale post-traumatique 5 cas de rupture post-traumatique 3 cas en sous-péritonéal 2 cas en intra-peritoneal
34 Rupture vésicale post-traumatique Rupture sous péritonéale de la vessie
35 Rupture vésicale post-traumatique Rupture sous péritonéale de la vessie Fracture iliaque gauche
36 Rupture vésicale post-traumatique Rupture intra péritonéale de la vessie
37 Rupture vésicale post-traumatique Délabrement pelvien avec rupture sous-péritonéale de la vessie
38 C o m m e n t a i r e s Ruptures de la vessie Plus souvent post-traumatiques que post-chirurgicales 2 types de mécanisme physiopathologique et d aspect radiologique différents Rupture sous péritonéale Plus fréquentes Siège de la rupture : prés du col Diffusion de l'urine dans : L'espace de Retzius La paroi abdominale Les organes génitaux externes. Association : fracture du bassin et lésions urétrales Rupture intra péritonéale Rupture suite à un traumatisme violent sur une vessie pleine. Siège de la rupture : dôme++ Diffusion de l urine dans la cavité péritonéale
39 Vessie neurologique Vessie de grande capacité, diverticulaire avec UHN bilatérale
40 Vessie neurologique Fille de 3 ans Adressée pour masse abdomino-pelvienne On a compléter par une échographie médullaire Globe vésical Processus intra canalaire sacré Complément encéphalique IRM médullaire Médulloblastome Processus intra dural en iso signal T1 et T2 évoquant en 1 er une métastase sous-arachnoïdienne
41 C o m m e n Vessies neurologiques acquises Compressions médullaires d'origine tumorale Myélites et radiculonévrites Traumatismes médullaires : rares chez l'enfant Chirurgie pelvienne dans certaines Dysfonctionnement vésico éi sphinctérien i d'origine neurologique ectopique, extrophie vésicale, cure de maladie de Risque d insuffisance Hirschsprung, malformation anorectale haute, rénale t malformations urologiques (de l'uretère a i r e s tératome sacrococcygien). Anorexie cérébrale néonatale, un syndrome infectieux sévère (méningite) peuvent être retrouvés.
42 C o m m e n t a i r e s Vessies neurologiques acquises Échographie : «gold standard» pour l'étude du retentissement sur le haut appareil urinaire Signes de pyélonéphrite chronique, Calculs rénaux Hydronéphrose (hyperpression, RVU) Calculs intra vésicaux Urographie intraveineuse : Les clichés de vessie capacité vésicale et les signes de vessie de stase (trabéculation, diverticules, calculs) Les clichés per mictionnels : analysent le col vésical et l'urètre fonctionnement du sphincter strié. Les clichés post-mictionnels : apprécient le résidu post-mictionnel D'une façon schématique : La vessies automatique vessie trabéculée de petite capacité +RVU La vessie autonome vessie de grande taille, flasque. Le reflux est moins fréquent.
43 Points à retenir : La pathologie vésicale reste dominée par la pathologie tumorale et inflammatoire Le rhabdomyosarcome est le 1 er diagnostic à évoquer devant toute masse vésicale Le diagnostic est souvent confirmé par la cystoscopie + biopsie L imagerie est primordiale pour le bilan d extension tumorale et l évaluation du retentissement sur le haut appareil
44 QCM 1. Le rhabdomyosarcome vésical : a. est la tumeur maligne la plus fréquente b. Prédomine chez les filles c. Présente un aspect caractéristique en imagerie en «grappe» 2. Une cystite tuberculeuse doit être évoquer devant : a. Une leucocyturie aseptique b. Une rétraction vésicale c. Des calcifications vésicales 3. La rupture sous-péritonéale de la vessie est associée à : a. Une brèche du dôme vésical b. Une diffusion du produit de contraste dans l espace de retzius c. Des fractures du bassin
INCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détaille bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor
le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Dr. René Yiou Service d urologie et département d anatomie CHU Henri Mondor 51, avenue du Maréchal de-lattre-de-tassigny 94010 Créteil Tel: 0149812559 Fax: 01.49.81.25.52 Email: rene.yiou@hmn.ap-hop-paris.fr
Plus en détailInfections urinaires chez l enfant
Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous
Plus en détailTRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE. Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne
TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne DEFINITION! Incontinence urinaire (IU) : perte involontaire des urines par l urètre, survenant en dehors de la miction et pouvant
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie
INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailCENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN. Prolapsus génital
CENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN Prolapsus génital Qu est-ce que c est? Le prolapsus génital est une affection féminine. Il se définit par une saillie des organes pelviens (vessie, utérus, rectum) à travers
Plus en détailIncontinence urinaire. DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris
Incontinence urinaire DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris INCONTINENCE URINAIRE : DEFINITION 2002 ICS (Internationnal Contience Society) : perte involontaire d urine, on distingue Symptôme : élément décrit
Plus en détailMise au point sur l IRM l troubles de la statique pelvienne chez la femme
Mise au point sur l IRM l et les troubles de la statique pelvienne chez la femme V.FAUTH P.MESTDAGH M.COSSON J.P.LUCOT E.PONCELET Service d imagerie d médicalem Hôpital Jeanne de Flandres - CHRU Lille
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailProlapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002
Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale
Plus en détailEXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE
EXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE Pr Claude Hocké Pôle Gynécologie- Obstétrique-Reproduction Hôpital Pellegrin CHU Bordeaux 1 INTERROGATOIRE IL RESTE FONDAMENTAL ET PEUT ÊTRE DIVISÉ
Plus en détailLa déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure
Troubles périnéaux du post-partum La déchirure T. Linet La déchirure Les risques Entre 2 et 6 % de périnée complet mais TRES sous diagnostiqué car ± rupture du sphincter interne sur périnée semblant intact
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD
PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD Douleurs du post-partum : Douleurs cicatricielles (déchirures ou épisio) Dyspareunies orificielles
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailDiagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires
Diagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires Emmanuelle Vignot Hôpital Edouard Herriot, Lyon Unité Inserm UMR1033 Lyon emmanuelle.vignot@chu-lyon.fr Arthrite septique (1) 1/ Monoarthrite :
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailIncontinence urinaire en gériatrie. DR Depireux urologue DR Noël l interniste
Incontinence urinaire en gériatrie DR Depireux urologue DR Noël l interniste Vieillissement Variabilité interindividuelle des effets du vieillissement. Aboutissement à un groupe hétérogh rogène du point
Plus en détailLes fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive
ROLE DE LA SAGE FEMME DANS LA PREVENTION, LE DIAGNOSTIC ET ORIENTATION DES FISTULES Présenté par Mme Atchoumi Annie Hortense Sage-femme DU épidémiologie-bordeaux CHU de Yaoundé Introduction Définition
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailMANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998
Collège Hospitalo-Universitaire de Chirurgie Pédiatrique MANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998 TRAUMATISMES DE L ABDOMEN. J.M. GUYS INTRODUCTION I - LE MECANISME DES LESIONS
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détaild une Dr Ei Eric Peterman
d une Dr Ei Eric Peterman Implantations de MDM MALI: 1994-2010 TCHAD: 2009-2010 - 2-3 millions de fistules obstétricales dans le monde - 90% en Afrique (source OMS) MDM Yaoundé 2010 MOPTI MDM BERLIN 2010
Plus en détailLa vessie neurogène (VN)
La vessie neurogène (VN) Dr. Eugenia Luca, Service de Paraplégie CRR Sion, le 26.03.2015 Introduction Les troubles urinaires associés aux maladies neurologiques sont fréquentes et d expression polymorphe.
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailLES CONTUSIONS DU REIN
LES CONTUSIONS DU REIN Table des matières Table des matières 3 I - Épidémiologie 9 II - Mécanismes lésionnels 11 A. 1. Choc direct...11 B. 2. Lésions indirectes...11 C. 3. Plaies pénétrantes...11 D. 4.
Plus en détailService d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3
Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailIncontinence urinaire : trop souvent taboue
Incontinence urinaire : trop souvent taboue Tous concernés! De quoi s agit-il? C est une perte accidentelle ou involontaire des urines, qu il s agisse de quelques gouttes à une fuite plus conséquente :
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie MC. Votre assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie MC Votre assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailM me Emma Thurie voit rouge!
L hématurie démasquée M me Emma Thurie voit rouge! Nancy Nadeau et Anne-Patricia Prévost 1 Vous recevez M me Emma Thurie,une Sénégalaise de 34 ans immigrée au Québec il y a dix ans.elle vous consulte parce
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailIncontinence urinaire de la femme
1 Incontinence urinaire de la femme un problème de santé publique Docteur Jean-Louis GARIN Médecine Physique et RéadaptationR Centre Hospitalier Général G de Longjumeau 2 Trois périodes p critiques Le
Plus en détailRAPPORT SUR LE THEME DE L INCONTINENCE URINAIRE
RAPPORT SUR LE THEME DE L INCONTINENCE URINAIRE Ministère de la Santé et des Solidarités Avril 2007 Rapport remis à Monsieur Philippe BAS Pr François HAAB Université Paris VI, Hôpital Tenon, Paris SOMMAIRE
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailTraumatismes pelviens
Traumatismes pelviens Baptiste Vallé Desc Mu Nov 2012 GENERALITES Traumatismes fréquents, graves, violents et générés à haute énergie: Polytraumatisme: AVP, chute de grande hauteur Pronostic vital en jeu
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailTraitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)
Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailLombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat
Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat rappeler l examen clinique du rachis Reconnaître les signes d alertes(red flags) Distinguer la lombalgie commune d une lombalgie
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailProstate Une petite glande de grande importance
Prostate Une petite glande de grande importance Informations sur les maladies les plus fréquentes, à l intention des patients et des personnes intéressées Société Suisse d Urologie (SSU) Votre partenaire
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailLA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM
LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM Prise en charge au CH de Pau Dr Sophie Rouleaud Service de médecine physique et de réadaptation Samedi 4 octobre 1 2 DEFINITION Définition 2003 Glavind K. et Bjork
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailLe terme «infection urinaire» est souvent utilisé par les médecins pour des pathologies telles que l urétrite, la cystite ou la pyélonéphrite.
Chapitre 21 : Maladies du système génito-urinaire (Traduction de la p259) Aperçu du chapitre Les maladies du système génito-urinaire sont classées dans le chapitre 14 d ICD-10-CM. Elles ne sont pas dans
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF
PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailurinaire féminine à l effort de la femme
Evaluation clinique préopératoire d une incontinence urinaire féminine à l effort de la femme Jean-François HERMIEU Service d Urologie CHU Bichat 46, rue Henri Huchard 75018 Paris E mail : jean-francois.hermieu@bch.aphp.fr
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailUROLOGIE DCEM III. Professeur Pierre PLANTE Professeur Michel SOULIE
UROLOGIE DCEM III Professeur Pierre PLANTE Professeur Michel SOULIE 2006 1 - MOD 17 : 156, 201 Hématurie p. 3 - MOD 7 : 89, 93 Les infections urinaires p. 9 - MOD 17 : 158 Les gros reins p. 16 - MOD 17
Plus en détailTUTORAT UE5 spé PB 2010-2011 Anatomie Séance n 1 CORRECTION.
FACULTE De PHARMACIE TUTORAT UE5 spé PB 2010-2011 Anatomie Séance n 1 CORRECTION. ANATOMIE BASSIN OSSEUX ET ARTICULATIONS Séance préparée par Anne G. et Nicolas T. QCM n 1 :C. Après la naissance... Au
Plus en détailFuites d urine des femmes
mai 2006 Dr Jean-François Hermieu Dr Emmanuel Cuzin et le Comité d urologie et de périnéologie de la femme Fuites d urine des femmes En parler pour se soigner Si vous avez des fuites d urine n ayez pas
Plus en détailINTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE
INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération
Plus en détailLA HERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait
Plus en détailKEAT : premier électrostimulateur sans fil d auto-rééducation périnéale à domicile
L incontinence : une maladie très fréquente D après le Pr François Haab, chirurgien urologue, coordinateur du centre d explorations périnéales de l hôpital Tenon (Paris) Des solutions adaptées à chaque
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailAprès un an d enquête, 1176 femmes travaillant au C.H.U avaient répondu à notre questionnaire.
Prévalence de l incontinence urinaire d effort selon le traumatisme obstétrical et la catégorie socio-. G. Philippe (1), I. Clément (2), I. Thaon (3) (1) Service d urologie C.H.U St jacques, Besançon (2)
Plus en détailRecommandations pour la pratique de l imagerie dans l évaluation d une incontinence urinaire féminine non neurologique
Pelvi-Périnéologie (2009) 4:291-303 DOI 10.1007/s11608-009-0274-5 PRATIQUE MÉDICALE / MEDICAL PRACTICE Recommandations pour la pratique de l imagerie dans l évaluation d une incontinence urinaire féminine
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailMANUEL DE FORMATION A LA CHIRURGIE REPARATRICE DE LA FISTULE
MANUEL DE FORMATION A LA CHIRURGIE REPARATRICE DE LA FISTULE FIGO et ses partenaires Fédération Internationale de Gynécologie et d Obstétrique (FIGO) Société Internationale des Chirurgiens Obstétriques
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailABREGE D HEPATO-GASTRO-ETROLOGIE- 2ème édition - Partie «Connaissances» - Octobre 2012 par la CDU-HGE - Editions Elsevier-Masson
Chapitre 36 : Item 308 Dysphagie I. Définition II. Deux types de dysphagie III. Démarche diagnostique en cas de dysphagie œsophagienne IV. Dysphagies lésionnelles V. Dysphagies fonctionnelles OBJECTIF
Plus en détailGuide des définitions des maladies graves
Guide des définitions des maladies graves Assurance maladies graves Sun Life La vie est plus radieuse sous le soleil Guide des définitions des maladies graves Ce guide vous aidera à comprendre les maladies,
Plus en détailSein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc
Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors
Plus en détailSYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule
Plus en détailTroubles mictionnels de la femme. Dysurie, urgenturies, douleurs vésicales
Dysurie, urgenturies, douleurs vésicales Xavier Deffieux Service de Gynécologie Obstétrique et de Médecine de la Reproduction Hôpital Antoine Béclère, Clamart Module 5 Gynécologie générale Troubles mictionnels
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailcitadoc Urologie a v r i l 2 0 0 8 organe de communication intermédicale à l attention des médecins généralistes
organe de communication intermédicale à l attention des médecins généralistes citadoc Urologie a v r i l 2 0 0 8 Site du Chateau rouge rue du Grand Puits, 47 4040 Herstal tél. : 32 (0)4 240 59 05 Site
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailContact SCD Nancy 1 : memoires@scd.uhp-nancy.fr
AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle
Plus en détailL opéré de PROSTATECTOMIE RADICALE TOTALE
1 L opéré de PROSTATECTOMIE RADICALE TOTALE Informations concernant la chirurgie et la rééducation fonctionnelle destinées aux patients Yves CASTILLE Docteur en Réadaptation et Kinésithérapie Service de
Plus en détail