Vaccination(s) et déficits immunitaires. Eric Jeziorski Réunion IRIS Le 26 sept 2015, Marseille

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1 Vaccination(s) et déficits immunitaires Eric Jeziorski Réunion IRIS Le 26 sept 2015, Marseille

2 Introduction Vaccination de la population générale Médecine de population et non d individu Administration à des individus sans pathologie d un médicament Rapport bénéfice/risque: Rougeole encéphalite : 1/1 000 Vaccin rougeole encephalite : 1/ Vaccination population ciblée Population présentant une pathologie Rapport bénéfice/risque

3 Les différents niveaux de défense Protection de barrière Immunité innée Immunité acquise/adaptative

4 Mémoire de la réponse immunitaire et efficacité des vaccins Stimulus Ag Stimulus Ag IgG IgM 7-10 jours <7 jours

5 Efficacité vaccinale et déficits immunitaires Stimulus Ag Stimulus Ag IgG IgM? 7-10 jours <7 jours L étude de l immunité vaccinale repose sur l immunité humorale Cela ne veut pas dire que l immunité cellulaire n est pas impliquée

6 Protection collective et effet troupeau Epidémie naturelle Epidémie population vaccinée Moutons immunisés Moutons malades Moutons décédés

7 Quels sont les vaccins qui apportent une immunité de groupe?

8 Quels sont les vaccins qui apportent une immunité de groupe? Pas d immunité de groupe BCG Tétanos Fièvre jaune Protection des autres Diphtérie, Polio, Coqueluche ROR, Varicelle Grippe Haemophilus, Pneumocoque, Méningocoque HAV, HBV HPV Rotavirus

9 Virus/Bactéries Les différents vaccins Atténués/Vivants Inactivés/Tués Fraction protéique VLP (virus Like Particule), HPV

10 Vaccins vivants Historique (Jenner et variole 1789) Repiquage de souche, forme atténuée Immunogénicité bonne 1 vaccin Pas de rappel, mais rattrapage Effets indésirables Réaction locale petite maladie CI : immunodéprimés En France : ROR, Varicelle, Fièvre Jaune, BCG, Rotavirus, (Grippe?)

11 Vaccins tués Agents infectieux entiers mais tué Nombreux antigènes Immunogénicité++ EI : moindre que pour vivant Supérieur aux protéiques Soupe antigénique

12 Vaccins protéiques Anatoxine : Diphtérique (1923) Tétanique (1926) Implication physiopathologique des protéines visées Bonne immunogénicité<vivants Starter rappels

13 Vaccins protéine recombinante Production d une protéine recombinante S assemblent miment une particule virale Peu de recul Immunogénicité bonne

14 Adjuvants Stimuler la réponse innée Recrutement cellulaire Réponse vaccinale augmentée Améliore la réponse (ID) Diminue les besoins Quantité Qualité

15 Adjuvants Plusieurs types : Formes particulaires Sels minéraux (Aluminium) Liposomes Particules synthétiques Émulsions Substances spé Ciblants les sensor Extraits naturels (saponine) Substances naturelles (vitamines)

16 Vaccinations obligatoires Obligatoires : Population générale : 1938 diphtérie (1 500cas/an) 1940 tétanos 1950 BCG (40 000cas/an) 1964 poliomyélite ( 1000 à 5000 cas/ans) Professionnels : Soignants : diptérie, poliomyélite, tétanos, tuberculose, hépatite B Labo : fièvre jaune Guyane : BCG, fièvre jaune En 2014 sont obligatoires : DT : 2 (3) doses et 1 rappel Polio : rappels jusqu à 13 ans

17 Recommandations vaccinales Santé basée sur la responsabilité individuelle, depuis les années 70 Promotion, campagne Remboursement, 65% Les vaccins Coqueluche ROR Haemophilus Hépatite B Pneumocoque conjugué méningocoque C HPV

18 Effets indésirables Précoces : Rougeur locale Fièvre 24/48h pour DTP Allergie Œuf / grippe Secondaires Nodule à l injection Fièvre et éruption 5/10j Rougeole Spécifiques Vivants: patients immunodéprimés et femmes enceintes Pharmacovigilance : Difficulté d interprétation d évènements rares

19 Vaccins et déficits immunitaires Les vaccins sont ils dangereux quand on a un déficit immunitaire????

20 Vaccins et DI Population fragile/infections Population fragile/certains effets indésirables des vaccins Les vaccins renforcent les défenses de l individu par rapport à un risque infectieux donné

21 Principe actif du vaccin et DI Vaccin vivant : agent infectieux pouvant proliférer et n ayant pas de pouvoir pathogène Peuvent devenir pathogènes chez certains immunodéprimés Sera fonction du déficit immunitaire, de la pression de la maladie : rapport bénéfice/risque! Vaccins non vivants : normalement pas de risque, au pire inefficacité

22 Adjuvants et DI Pas de CI relative au DI Augmentent l efficacité vaccinale Effets indésirables le plus souvent locaux EI graves rares, imputabilité??? Dans le cadre des DI le bénéfice relatif à l augmentation d efficacité est de très loin supérieur aux risque (hypothétique) représenté par les adjuvants

23 En pratique avant 2014 Vaccins vivants : Contre indiqués déficits cellulaires Déficits humoraux au cas par cas Autres vaccins : Pas de CI Efficacité? Indications?????

24

25 Grands principes A précisé les indications et les contres indications des vaccins vivants Déficits humoraux efficacité discutée intérêt des vaccins antigrippaux et anti pneumococciques Réaction cellulaire / activité humorale résiduelle Vaccination cocooning

26 Explications spécifiques (1) Le vaccin antigrippal Virus grippal Virus «chimérique» changeant chaque année Nécessité d adaptation/an : Pari Efficacité 70% «seulement» mais bénéfice sur mortalité certain Existe un vaccin vivant qui sera CI chez l immunodéprimé

27 Explications spécifiques (2) Le vaccin antipneumocoque 100 sérotypes de pneumocoques circulant 2 vaccins Un protégeant contre les 13 plus agressifs, très efficace (vaccin administré à tous les nourrissons) Un protégeant contre 23 sérotypes mais moins efficace Le schéma en cas d immunosuppression On commence par le plus efficace (13 valent) On effectue un rappel avec le second moins efficace mais avec un spectre plus large

28 Explications spécifiques (3) Méningites/infections invasives à méningocoque 1-2/ habitants Du fait de la faible incidence, leur efficacité clinique est difficile à prouver par des études, elle est démontrée le plus souvent après la généralisation de la vaccination Plusieurs sérotypes A, B, C, W, Y A le plus fréquent (50%) C 2 e en fréquence, le plus sévère A, W, Y moins fréquents Répartition est pays dépendant Les différents C le plus ancien, actuellement généralisée Récemment A+C+W+Y Encore plus récemment B, actuellement seule la Grande Bretagne a généralisé son indication

29 Vaccination cocooning Il est capital que l entourage des enfants ID soit bien vacciné Calendrier vaccinal Vaccins vivants : Varicelle si non immunisé, ou pas encore (fratrie) Vaccination antigrippale

30 Tableau synoptique (1) Méningocoque B

31 Tableau synoptique (2)

32 Tableau synoptique (3) Méningocoque B Méningocoque B

33 Conclusion Problématiques communes avec la population générale Problématiques spécifiques, a considérer de manière spécifique pour chaque deficit immunitaire Importance du cocooning Demandez à votre MT, pédiatre, spécialiste (immuno-hémato-pneumo-interniste etc )

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