- Permet de traduire les informations contenues dans le matériel génétique des cellules pour produire des protéines.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "- Permet de traduire les informations contenues dans le matériel génétique des cellules pour produire des protéines."

Transcription

1 1 CHAP VI Synthèse protéique B. LE CODE GENETIQUE Un codon est l asso iatio de u l otides de l ARN lue da s le se s et ui correspond à un acide aminé. - Permet de traduire les informations contenues dans le matériel génétique des cellules pour produire des protéines. - Le codon est la correspondance entre un triplet de nucléotides (voir tableau) sur l'arn messager et un acide aminé qui sera incorporé dans la protéine en cours de synthèse. Le nombre de séries de trois bases de quatre lettres (A-G-C-U) étant de 43, le code génétique comporte 64 codons différents, codant les vingt acides aminés standard et les signaux de fin de la traduction, appelés codons-stop ou codons de terminaison. Dans le cytoplasme de la cellule, les ribosomes interprètent (décodent) le code génétique (traduction génétique), et assemblent les protéines en réalisant la lecture séquentielle des codons sur l'arn. En utilisant des ARN intermédiaires indispensables : ARN de transfert (adaptateurs), interagissent avec le codon auquel ils s'apparient via un triplet de nucléotides complémentaires, l'anticodon, et d'autre part portent l'acide aminé correspondant attaché par une liaison ester à leur extrémité 3'-hydroxyle. Figure 4: Un brin ARNm avec sa séquence de bases nucléiques, à droite, les codons correspondants, chacun spécifiant un acide aminé. 1) Taille du codon Il existe quatre nucléotides représentés par les quatre bases qui sont : (A, U, G, C) et les 20 acides aminés à coder. - i le odo est fo d u e seule ase ; o pourra coder que 4 acides aminés. - Si le codon est formé de deux bases ; on pourra avoir 42 pour donner 16 acides aminés. - Si le codon est formé de trois bases ; on aura 43 qui correspond à 64 triplets. Ce qui sera plus que suffisant pour coder les 20 acides aminés. Dans ce cas 44 de ces codons seraient superflus. Le nombre de codons inutiles serait plus élevé si le codon était supérieur à trois bases. Page 1 sur 8

2 2 Pou e d e o pte des odo s e e s, o peut suppose ue plusieu s d e t e eu peuvent coder un acide aminé particulier (voir tableau). Un code où il ya plusieurs codons qui codent pour un acide aminé est dit dégénéré. Il est possible que ces 44 codons en excès ne codent pour aucun acide aminé et correspondent à des odo s ui o t pas de sens (codon non sens). Tableau des AA et Codons : Chaque acide aminé d'une protéine est codé par un ou plusieurs codons La région codante d'un ARNm se termine toujours par un «codon non-sens» «codon-stop», il existe 3 codons-stop (UAG, UAA et UGA) déclenchant l'arrêt de la traduction par le ribosome et la libération de la protéine terminée. Dégénérescence du code génétique (tableau) Il existe plusieurs combinaisons de trois lettres pour coder le même acide aminé. Ainsi, l'histidine peut être codée par les codons CAU et CAC. On parle alors de codons synonymes. Sauf deux acides aminés ne montrent pas de répétition de leur code (La méthionine et le tryptophane), on distingue des duos (histidine, lysine, asparagine, glutamine, acide glutamique, asparagine, tyrosine, cystéine et phénylalanine), des trios (isoleucine et codons stop), des quatuors (thréonine, proline, alanine, glycine et valine) et des sextuors (arginine, leucine et sérine). Il existe donc souvent plusieurs ARNt Page 2 sur 8

3 3 associés au même acide aminé, capables de lier les différents triplets dégénérés de nucléotides sur l'arn. On parle alors d'arnt isoaccepteurs, car ils acceptent le même acide aminé. 2) Disposition des bases Les expériences ont montré que le code génétique est non ponctué, non chevauchant. Il est plutôt adjacent, et non ambigu. 3) Hypothèse de flexibilité ou «Wobble» Les deux premières bases jouent un rôle plus important que la t oisi e ase ui i te vie d ait pas dans la spécificité du codon. Partant de ce constat, Crick en 1966, a émis la théorie de flexibilité (tolérance) ou le «Wobble». Les deu p e i es ases du odo de l ARN s appa ient spécifiquement avec les deux dernières ases de l a ti odo de l ARNt. Mais l appa ie e t de la t oisi e ase est peu sp ifi ue. Pour la troisième base, un jeu (Wobble) pourrait être toléré. Ainsi, dans le cas de la phénylalanine (phe), le même ARNt reconnaît les codons UUU et UUC, Or son anticodon ne peut pas être à la fois AAA et AAG. Mais o sait ue l a ti odo est AAG, il faut donc imaginer que G peut e eptio elle e t s appa ie à U. Cette th o ie e d pa faite e t compte de la dégénérescence du code génétique 5) 4) Codons non -se s et odo d i itiatio Ce so t les odo s ui e o espo de t à au u a ide a i o t pas de se s. Il s agit de : UAA (ochre) ; UAG (ambre) ; UGA (azur ou opale). Servant de signal de fin de chaîne de la synthèse p ot i ue alo s ue AUG est à u odo d i itiatio et d lo gatio de la hai e pol peptidi ue. Page 3 sur 8

4 4 C. TRADUCTION DE L INFORMATION GENETIQUE EN PROTEINE Les a teu s de la t adu tio de l i fo atio Le app o he e t e t e u e s ue e de u l otides o te us da s l ARN et u a ide a i se fait pa l i te diai e des ARNt ui so t de petites ol ules sp ifi ues poss da t deu sites, l u e o aissa t l a ide a i et l aut e le odo o espo da t. a) ARNt structure et propriété ARN de transfert (ARNt) L ARNt est la macromolécule de 70 à 80 nucléotides qui réalise la traduction des codons en acides aminés. A chaque acide aminé correspond donc un sous ensemble de l'arnt. Les ARNt poss de t u e e t it li e OH p d de la s ue e CCA où se fi e l a ide a i et u e e t it P. O disti gue u e petite po tio pa ti uli e appel e a ti odo ui e o aît pa liaison hyd og e le odo sp ifi ue de l a ide a i situ su l ARN, ais la st u tu e se o dai e est âtie su le od le d u e feuille de t fle. Source de l image (Wikipedia) Page 4 sur 8

5 5 Charge de l ARNt La fixation d'un acide aminé sur l'extrémité CCA-3' de son tarn est possible grâce à une enzyme l'aminoacyl-tarn synthétase (tarn + A.aminé + ATP --> AminoacyltARN + AMP + 2 Pi). L'initiation de la traduction : 1/ la fixation de la petite sous-unité du ribosome (30 S) sur la région leader 5' du ARNm, 2/ Positionnement du 1er tarn sur la petite sous unité ribosomique. Ce tarn porte l'anticodon UAC. L'initiation exige du GTP, du Mg++ et deux facteurs d'initiations (IF) 3/ Déplacement du complexe sur le codon AUG et fixation de la grosse sous unité (50 S) et positionnement du tarn au site P. L'élongation : Nécessite 3 facteurs d'élongation (EF = Elongation Factor), du GTP et du Mg++. Elle comporte les étapes : 1/ Fixation du tarn chargé sur le site A du ribosome 2/ Formation de la liaison peptidique et libération du site P. Elle est catalysée par la peptidyl transferase du rarn 23 S. La terminaison nécessite un codon stop (UAA ou UAG ou UGA), des facteurs de terminaison (Facteur R, Release Factor). Elle consiste en trois étapes : 1/ Blocage de la translocation 2/ Relargage de la chaine polypeptidique 3/ Séparation des sous unités ribosomiques Le mê e fila e t d ARNm peut servir à la synthèse simultanée de plusieurs molécules de protéines, lorsque plusieurs ribosomes s'en occupent. Avant d'être détruite, cette molécule participe à la fabrication de 10 à 20 protéines. L'ensemble formé par un ARNm et plusieurs ribosomes se déplaçant dessus s'appelle un polysome (voir animation). La fi atio e d a ide a i su u e esp e d ARNt se fait pa liaiso ovale te i he e e gie ui asso ie les ol ules. U e ol ule d ATP est h d ol s e pou fou i l ergie nécessaire à la réaction catalysée par une enzyme dite aminoacyl ARNt synthétase. Avant la formation du composé a ide a i ARNt, les a ides a i s so t a tiv s pa des e z es e fo a t des o ple es du t pe a ide a i ad late AA AMP do t la éaction est la suivante. AA + ATP e zy e > AA AMP E+ P~P L i te diai e AA AMP este fi à l e z e jus u à e u il ait i te a tio ave u e ol ule d ARNt sp ifi ue de et a ide a i. La e e z e d a tivatio t a sfe t l a ide a i du sidu a ide ad late à l e t it de l ARNt : AA AMP E +ARNt e zy e ARNt AA + AMP + enzyme P e i e a tio : fo atio d u e liaiso COOH et phosphate de l AMP Page 5 sur 8

6 6 Deu i e a tio : uptu e de ette liaiso et fo atio d u e liaiso e t e COOH AA et OH de l ARNt. U e esp e d ARNt e peut s asso ie u à u seul a ide a i ais u e a ide a i peut t e ha g su plusieu s esp es d ARNt. Do le s st e de e o aissa e ARNt a ide a i tout o e le ode g ti ue est pas a igu ais d g Origine des ARNt Les e p ie es d h idatio e t e les ADN et les ARNt o t e t ue les ARNt sont les produits de la t a s iptio de l ADN tout o e les ARNm et les ARNr (ARN ribosomal). c) Structure et propriétés des ribosomes Chez les procaryotes, les ribosomes sont libres au sein de la cellule. Chacun est constitué de deux sous u it s do t u e petite de s et u e g osse de s et la o sta te de sédimentation est de 70s (s=svedberg) Chez les eucaryotes, les ribosomes sont ne sont pas libres dans la cellule mais tapissent les surfaces e te es du ti ulu e doplas i ue ou e gastoplas e. Cha u d eu o po te u e petite sousunité de 40s et une grosse sous u it de s. La o sta te de s di e tatio du i oso e de la ellule eu a oti ue est de s. Da s le toplas e, la ol ule d ARN se fi e g ale e t su uat e à si i oso es à la fois et e i au iveau de leu petite sous u it. Les i osomes sont dans e as espa s de μ les u s des aut es. Source de l image (Wikipedia) C est le o ple e ARN i oso e ai si o stitu u o appelle pol so e ou pol i oso e. Cha ue i oso e o po te deu avit s da s la g a de sous u it au iveau des uelles les ol ules d ARNt peuve t s i s e. Ce so t les sites P ou peptid l et A ou a i o a l. 2) Traduction proprement dite a) Initiation de la traduction Page 6 sur 8

7 7 Elle d ute ave la fi atio su l ARN de la petite sous u it s ou s du i oso e. a s ue e commence toujours par le sig al AUG ou odo i itiateu. Ce odo situ su l ARN appelle l ARNt do t l a ti odo est UAC, 'est à di e l ARNt su le uel s est fi l a ide a i thio i e sous forme de formyl méthionine ARNt. Ce premier agrafage nécessite la présence de deux facteurs Fc et Fb. Da s u deu i e te ps, g â e à la ol ule GTP fou issa t l e gie et à u t oisi e fa teu d i itiatio Fa, la sous u it s ou s o pl te la st u tu e d i itiatio. Le o ple e fo l méthionine ARNt qui initie la traduction entre directement au site P. de même, la fixation de tous les autres ARNt chargés sur le ribosome se fait par le site A. Source de l image (Wikipedia) b) Elongation de la chaine polypeptidique C est la ise e pla e des a ides a i s da s l o d e p vu da s la succession des codons sur l ARN. U fa teu d lo gatio T i te vie t pou fi e u se o d o ple e AA ARNt da s le site A. est la a tio d asso iatio. Ap s la fi atio de e deu i e ARNt ui po te le p e ie a ide aminé caractéristique du peptide en formation, le ribosome détache alors la formyl méthionine de l ARNt et utilise l e gie pou alise la liaiso peptidi ue e t e la N thio i e et l a ide a i u o u sous l a tio d u e e z e. Ce ui do e aissa e à u dipeptide a o h au deuxième ARNt. Le i oso e da s e as ava e de t ois ases et au e o e t le p e ie ARNt F thio i e est li et la hai e pol peptidi ue o e e à s a o e g â e à des fa teu s de transpeptidation et de translocation. La réaction nécessite la présence de GTP. La deuxième ARNt accroché au dipeptide se déplace du site A au site P si bien que le site A libéré se trouve en face du t oisi e odo de l ARN. Le troisième ARNt porteur du deuxième acide aminé est caractéristique du polypeptide vient à son tou se fi e da s le site A. u e liaiso peptidi ue s ta lit e t e a ide a i sp ifi ue u o u et Page 7 sur 8

8 8 l a ide a i sp ifi ue u o deu et le deu i e ARNt est e puls du site P. le p o essus de la traduction se poursuit de la sorte codon pa odo jus u à la fi de la le tu e de l ARN. c) Terminaison De e u il e iste su la ol ule d ARN u odo d i itiatio AUG, il e iste t ois odo s de po tuatio s ou odo s te i ateu s ou odo s o se s ui so t UAA, UAG et UGA. Le i oso e aya t a hev so ôle de t te de le tu e et de pôle de s th se d u e hai e pol peptidi ue lâ he le pol so e, s i de e ses deu sous u it s ui so t ai si e dues li es pou u e ouvelle t adu tio. d) Sens de lecture Pour la protéine, la synthèse commence pa l e t it N te i ale. E e ui o e e le se s de la le tu e de l ARN, de o euses e p ie es o t o t ue l ARN est lu o e il est t a s it, 'est à di e à pa ti de l e t it P ve s l e t it OH. Remarques : ARNm, ARNt et ARNr so t tous t a its à pa ti d u i d ADN. Chez les Eucaryotes La grande sous-unité ribosomique 60S (49 protéines) et ARNr 28S La petite sous-unité ribosomique 40S (33 protéines) et d'un ARNr 18S Chez les procaryotes La grande sous-unité ribosomique 50S des procaryotes contient les ARNr 23S La petite sous-unité ribosomique 30S contient ARNr 16S. Fonctions des différents ARNr ARNr de la petite sous-unité (16S ou 18S). Rôle: Lecture de l'arn messager. Vérifie que l'interaction entre le codon situé dans le site A du ribosome et l'anticodon de l'arnt est correcte. L'ARN de la petite sous-unité est donc le contrôleur de la fidélité de la traduction en protéine du message génétique. ARNr de la grande sous-unité (23S ou 28S) Rôle : La formation des liaisons peptidiques. C'est lui qui est le catalyseur direct de la synthèse des protéines. Le centre actif du ribosome, appelé peptidyltransférase, est constitué exclusivement d'arn ribosomique. Références bibliographiques : Emmanuel Monnier, dossier «Le point sur les nouveaux mystères de l'adn», no 1145 de Sciences et Vie, pages 104 à 114, février Chargaff E,. Chemical specificity of nucleic acids and mechanism of their enzymatic degradation in Experientia vol., nº 6, pp (Erwin Chargaff, Le Feu d'héraclite, traduit par Chantal Philippe, éditions Viviane Hamy, 2006 : ISBN ; 300 p). B e da Maddo : «Rosali d F a kli, la da k lad de l ADN», ditio s Des fe es /A toi ette Fouque). Page 8 sur 8

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés

Plus en détail

Tutoriel Infuse Learning. Créer des quizzes multimédias sur ordinateur ou tablette

Tutoriel Infuse Learning. Créer des quizzes multimédias sur ordinateur ou tablette Tutoriel Infuse Learning Créer des quizzes multimédias sur ordinateur ou tablette 1- Présentation Infuselearning.com est un service web (en ligne) gratuit qui permet aux enseignants de créer des exercices

Plus en détail

VI- Expression du génome

VI- Expression du génome VI- Expression du génome VI-1.- EXPRESSION DU GÉNOME- PRINCIPES GÉNÉRAUX DOGME CENTRAL Les gènes et l information génétique sont conservés sous forme d acides nucléiques La perpétuation à l identique de

Plus en détail

Séquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire

Séquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire Séquence 2 L expression du patrimoine génétique Sommaire 1. La synthèse des protéines 2. Phénotypes, génotypes et environnement Synthèse de la séquence 2 Exercices de la séquence 2 Glossaire des séquences

Plus en détail

À travers deux grandes premières mondiales

À travers deux grandes premières mondiales Les éco-i ovatio s, le ouvel a e st at gi ue d ABG À travers deux grandes premières mondiales - éco-mfp, premier système d impression à encre effaçable - e-docstation, premier système d archivage intégré

Plus en détail

«Participer, dans la région PACA, à la mise en œuvre d une politique d accueil et d insertion par l habitat et par l économique, des jeunes, des

«Participer, dans la région PACA, à la mise en œuvre d une politique d accueil et d insertion par l habitat et par l économique, des jeunes, des «Participer, dans la région PACA, à la mise en œuvre d une politique d accueil et d insertion par l habitat et par l économique, des jeunes, des familles et personnes en difficulté ou exclues» RAPPORT

Plus en détail

Leslie REGAD ; Gaëlle LELANDAIS. leslie.regad@univ- paris- diderot.fr ; gaelle.lelandais@univ- paris- diderot.fr

Leslie REGAD ; Gaëlle LELANDAIS. leslie.regad@univ- paris- diderot.fr ; gaelle.lelandais@univ- paris- diderot.fr Programmation avec R Polycopié d exercices Leslie REGAD ; Gaëlle LELANDAIS leslie.regad@univ- paris- diderot.fr ; gaelle.lelandais@univ- paris- diderot.fr Ce polycopié rassemble différents exercices vous

Plus en détail

TD de Biochimie 4 : Coloration.

TD de Biochimie 4 : Coloration. TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi

Plus en détail

PARTIE I Compte pour 75 %

PARTIE I Compte pour 75 % PARTIE I Compte pour 75 % Instructions : Noircissez la lettre correspondant à la bonne réponse sur la feuille de réponse fournie. 1. Dans le diagramme, quelles structures font partie du système nerveux

Plus en détail

IlliS. Le ribosome bactérien : structure et fonctions SYNTHÈSE

IlliS. Le ribosome bactérien : structure et fonctions SYNTHÈSE IlliS SYNTHÈSE médecine! sciences 1989 ; 5: 662-69 Le ribosome bactérien : structure et fonctions Le ribosome est une particule ribonucléoprotéique, complexe jouant le rôle d'«unité centrale» de la synthèse

Plus en détail

Parallélisation et optimisation d un simulateur de morphogénèse d organes. Application aux éléments du rein

Parallélisation et optimisation d un simulateur de morphogénèse d organes. Application aux éléments du rein Parallélisation et optimisation d un simulateur de morphogénèse d organes. Application aux éléments du rein Jonathan Caux To cite this version: Jonathan Caux. Parallélisation et optimisation d un simulateur

Plus en détail

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une

Plus en détail

Chapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION

Chapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION Chapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION Rappel d u c h api t r e pr é c é d en t : l i de n t i f i c a t i o n e t l e s t i m a t i o n de s y s t è m e s d é q u a t i o n s s i m u lt a n é e s r e p o

Plus en détail

Tableau 1. Liste (non exhaustive) des protéines se localisant dans les P-Bodies

Tableau 1. Liste (non exhaustive) des protéines se localisant dans les P-Bodies NOM FONCTION EFFET DE L ABSENCE OU DE REFERENCES LA SUREXPRESSION SUR LES P- BODIES XRN1 exonucléase 5 3 Absence : augmente la taille et le Bashkirov et al. 1997 Shet et Parker 2003 Cougot nombre des P-bodies

Plus en détail

Univers Vivant Révision. Notions STE

Univers Vivant Révision. Notions STE Univers Vivant Révision Notions STE Chap. 13) L Écologie 1) a) Qu est-ce que l empreinte écologique? L empreinte écologique correspond à la surface terrestre et aquatique totale nécessaire à un individu,

Plus en détail

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction

Plus en détail

Les centres techniques industriels : spécificités et impacts sur l audit des comptes

Les centres techniques industriels : spécificités et impacts sur l audit des comptes Les centres techniques industriels : spécificités et impacts sur l audit des comptes Faustine Suco To cite this version: Faustine Suco. Les centres techniques industriels : spécificités et impacts sur

Plus en détail

Détermination du besoin en protéines de la canette mulard en phase de démarrage :

Détermination du besoin en protéines de la canette mulard en phase de démarrage : TECHNIQUE Détermination du besoin en protéines de la canette mulard en phase de démarrage : effet sur la croissance et les rejets azotés RÉSUMÉ Cette étude avait pour objet de définir le besoin en protéines

Plus en détail

LES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.

LES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol. LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont

Plus en détail

TD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT

TD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT TD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT Daniela LENER IBMC Texte conseillé pour consultation : Biochimie, Voet & Voet, ed. De Boeck. Dosage des protéines Pendant une purification

Plus en détail

Compression Compression par dictionnaires

Compression Compression par dictionnaires Compression Compression par dictionnaires E. Jeandel Emmanuel.Jeandel at lif.univ-mrs.fr E. Jeandel, Lif CompressionCompression par dictionnaires 1/25 Compression par dictionnaire Principe : Avoir une

Plus en détail

Combinaison de modèles phylogénétiques et longitudinaux pour l analyse des séquences biologiques : reconstruction de HMM profils ancestraux

Combinaison de modèles phylogénétiques et longitudinaux pour l analyse des séquences biologiques : reconstruction de HMM profils ancestraux Combinaison de modèles phylogénétiques et longitudinaux pour l analyse des séquences biologiques : reconstruction de HMM profils ancestraux Jean-Baka Domelevo Entfellner To cite this version: Jean-Baka

Plus en détail

NUTRINEAL MC PD4 MONOGRAPHIE. Solution d acides aminés à 1,1 % pour la dialyse péritonéale. Solution pour dialyse péritonéale

NUTRINEAL MC PD4 MONOGRAPHIE. Solution d acides aminés à 1,1 % pour la dialyse péritonéale. Solution pour dialyse péritonéale MONOGRAPHIE NUTRINEAL MC PD4 Solution d acides aminés à 1,1 % pour la dialyse péritonéale Solution pour dialyse péritonéale Corporation Baxter 7125, Mississauga Road Mississauga (Ontario) L5N 0C2 www.baxter.ca

Plus en détail

Un exemple d étude de cas

Un exemple d étude de cas Un exemple d'étude de cas 1 Un exemple d étude de cas INTRODUCTION Le cas de la Boulangerie Lépine ltée nous permet d exposer ici un type d étude de cas. Le processus utilisé est identique à celui qui

Plus en détail

Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles

Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles http://perso.univ-rennes1.fr/serge.hardy/ utilisateur : biochimie mot de passe : 2007 L'ARNm, simple intermédiaire entre le

Plus en détail

Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)

Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr

Plus en détail

chez les eucaryotes, source de diversification et de modulation de l'expression des gènes

chez les eucaryotes, source de diversification et de modulation de l'expression des gènes L'initiation de la traduction chez les eucaryotes, source de diversification et de modulation de l'expression des gènes Olivier Jean-Jean, Michel Cassan, Jean-Pierre Rousset Société Française de Génétique

Plus en détail

Production de Protéines d Organismes Unicellulaires Cultivés sur Corn Steep Liquor et Evaluation Nutritionnelle de la Biomasse

Production de Protéines d Organismes Unicellulaires Cultivés sur Corn Steep Liquor et Evaluation Nutritionnelle de la Biomasse Rev. Energ. Ren. : Production et Valorisation Biomasse, (2001) 11-28 Production de Protéines d Organismes Unicellulaires Cultivés sur Corn Steep Liquor et Evaluation Nutritionnelle de la Biomasse N. Badid

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Contrôle de l'expression génétique :

Contrôle de l'expression génétique : Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles L'ARNm, simple intermédiaire entre le génome et les protéines? gène protéine L'ARNm, simple intermédiaire entre le génome et

Plus en détail

COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux

COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection

Plus en détail

Retour d expérience sur le management des processus

Retour d expérience sur le management des processus GSI Gestion des systèmes d information Retour d expérience sur le management des processus Université d été 8-31 août 00 Dijon Guy Rivoire Consultant ELNOR Guy RIVOIRE 30/08/00 / 1 Présentation ELNOR Cabinet

Plus en détail

leurs produits respectifs, et production d'anticorps spécinques. Mémoire présenté Département de biochimie Université Laval

leurs produits respectifs, et production d'anticorps spécinques. Mémoire présenté Département de biochimie Université Laval Philippe Garneau Étude de la régulation de l'expression des gènes cyse et cyss de Batcillus subtitis : Surproduction et puriffcation de leurs produits respectifs, et production d'anticorps spécinques.

Plus en détail

Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015

Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne

Plus en détail

Vieillissement moléculaire et cellulaire

Vieillissement moléculaire et cellulaire Vieillissement moléculaire et cellulaire Yves Courtois Lorsque, en 1961, Léonard HAYFLICK, aux USA, re - mit en cause le concept général de l'immortalité des cellules, il apportait à la recherche en gérontologie

Plus en détail

Insulinothérapie et diabète de type 1

Insulinothérapie et diabète de type 1 Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas

Plus en détail

Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre

Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Chaque enfant qui naît hérite de 10 à 30 nouvelles mutations ponctuelles. L essentiel des ces mutations sont heureusement des variations neutres de séquence

Plus en détail

Module 5 La maturation de l ARN et le contrôle post-transcriptionnel chez les eucaryotes

Module 5 La maturation de l ARN et le contrôle post-transcriptionnel chez les eucaryotes Module 5 La maturation de l ARN et le contrôle post-transcriptionnel chez les eucaryotes Où trouver l'information complémentaire? MCB -11, GVII-5, 22, 23. La maturation des ARNm chez les eucaryotes Les

Plus en détail

Lot 4: Validation industrielle. Youness LEMRABET Pascal YIM, 19/11/2010

Lot 4: Validation industrielle. Youness LEMRABET Pascal YIM, 19/11/2010 Lot 4: Validation industrielle Youness LEMRABET Pascal YIM, 19/11/2010 Partenaires Lot 1 Modèle du processus métier L4.1 Modèles PSM Lot 2 Guide d implantation L4.2 Développement & Recette prototype Lot

Plus en détail

Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire

Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

DOSSIER SCIENTIFIQUE DE L IFN N 9 LES PROTEINES

DOSSIER SCIENTIFIQUE DE L IFN N 9 LES PROTEINES DOSSIER SCIENTIFIQUE DE L IFN N 9 LES PROTEINES Tome 1 : Le métabolisme et les besoins protéiques chez l homme Février 1997 AVANT PROPOS LOUISOT P. L Institut Français pour la Nutrition a pris depuis cinq

Plus en détail

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production

Plus en détail

CENTRE INTERNATIONAL D ETUDES SUPERIEURES EN SCIENCES AGRONOMIQUES MONTPELLIER SUPAGRO THESE. Pour obtenir le grade de

CENTRE INTERNATIONAL D ETUDES SUPERIEURES EN SCIENCES AGRONOMIQUES MONTPELLIER SUPAGRO THESE. Pour obtenir le grade de CENTRE INTERNATIONAL D ETUDES SUPERIEURES EN SCIENCES AGRONOMIQUES MONTPELLIER SUPAGRO THESE Pour obtenir le grade de DOCTEUR DU CENTRE INTERNATIONAL D ETUDES SUPERIEURES EN SCIENCES AGRONOMIQUES MONTPELLIER

Plus en détail

INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE

INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs

Plus en détail

CHAPITRE 3 LES TASQ COMME PLATEFORME POUR LA CATALYSE PSEUDO-ENZYMATIQUE

CHAPITRE 3 LES TASQ COMME PLATEFORME POUR LA CATALYSE PSEUDO-ENZYMATIQUE L. Stefan Chapitre 3 CHAPITRE 3 LES TASQ COMME PLATEFORME POUR LA CATALYSE PSEUDO-ENZYMATIQUE Nous avons démontré dans le chapitre précédent que les TASQ hydrosolubles développés au cours de cette thèse

Plus en détail

l Agence Qui sommes nous?

l Agence Qui sommes nous? l Agence Qui soes nous? Co Justine est une agence counication globale dont la ission est prendre en charge l enseble vos besoins et probléatiques counication. Créée en 2011, Co Justine a rapient investi

Plus en détail

Bougez, protégez votre liberté!

Bougez, protégez votre liberté! > F a Bgz, pégz v bé! www.a-. CAT.ELB.a240215 - Cé ph : Fa Daz à v p aé N az p a v gâh a v! Aj h, p g évq v ; Pa, p 4 aça q, v, éq qaé v. Ca ax é ç, b pa évé ax p âgé a h a p j. E pè v, h pa épagé. Pa

Plus en détail

GUIDE COMPLET SUR LES PROTÉINES COMMENT SÉLECTIONNER VOS PROTÉINES ET QUAND LES CONSOMMER. v3.0

GUIDE COMPLET SUR LES PROTÉINES COMMENT SÉLECTIONNER VOS PROTÉINES ET QUAND LES CONSOMMER. v3.0 GUIDE COMPLET SUR LES PROTÉINES COMMENT SÉLECTIONNER VOS PROTÉINES ET QUAND LES CONSOMMER v3.0 LES PROTÉINES LES BASES IL FUT UN TEMPS... Quand prendre un complément de protéine rimait avec gober des œufs

Plus en détail

Notice d'exploitation

Notice d'exploitation Notice d'exploitation Equipement de Contrôle et de Signalisation incendie ECS 80-4 ECS 80-4 C ECS 80-8 ECS 80-8 C Sommaire Introduction...3 Maintenance...4 Commandes et signalisations utilisateur...6 Commandes...7

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

OpenLDAP : retour d expérience sur l industrialisation d annuaires critiques

OpenLDAP : retour d expérience sur l industrialisation d annuaires critiques Intervention du 29 Avril 2004 9 h 15 10 h 45 M. Sébastien Bahloul Chef de projet Expert Annuaire LDAP bahloul@linagora.com OpenLDAP : retour d expérience sur l industrialisation d annuaires critiques Plan

Plus en détail

Formavie 2010. 2 Différentes versions du format PDB...3. 3 Les champs dans les fichiers PDB...4. 4 Le champ «ATOM»...5. 6 Limites du format PDB...

Formavie 2010. 2 Différentes versions du format PDB...3. 3 Les champs dans les fichiers PDB...4. 4 Le champ «ATOM»...5. 6 Limites du format PDB... Formavie 2010 Les fichiers PDB Les fichiers PDB contiennent les informations qui vont permettre à des logiciels de visualisation moléculaire (ex : RasTop ou Jmol) d afficher les molécules. Un fichier au

Plus en détail

La santé de votre entreprise mérite notre protection.

La santé de votre entreprise mérite notre protection. mutuelle mclr La santé de votre entreprise mérite notre protection. www.mclr.fr Qui sommes-nous? En tant que mutuelle régionale, nous partageons avec vous un certain nombre de valeurs liées à la taille

Plus en détail

Q. A quels produits s adresse ce document?

Q. A quels produits s adresse ce document? Licences F O R U M A U X Q U E S T I O N S Adobe Q. A quels produits s adresse ce document? Adobe Acrobat Adobe Font Folio Adobe Acrobat Distiller Server Adobe PageMaker Adobe After Effects Adobe Illustrator

Plus en détail

Les joints Standards COMPOSANTS LEANTEK ET UTILISATIONS. Tous nos joints standards sont disponibles en version ESD. Vis de fixation : S1-S4

Les joints Standards COMPOSANTS LEANTEK ET UTILISATIONS. Tous nos joints standards sont disponibles en version ESD. Vis de fixation : S1-S4 COMPOSANTS LEANTEK ET UTILISATIONS Les joints Standards F-A Joint pour liaison à 90 F-A se combine avec F-B, F-A et F-C 51 mm 51 mm 90 F-B Joint d angle à 90 Il se combine à un autre F-B ou à 2 F-A. 47

Plus en détail

OBJECTIFS. Savoir identifier les différents domaines des ondes électromagnétiques.

OBJECTIFS. Savoir identifier les différents domaines des ondes électromagnétiques. 4 Les ondes électromagnétiques et le photon Le V.L.A. (Very Large Array) au ouveau-mexique est formé d antennes paraboliques orientables, disposées au sol selon un immense Y inscrit dans un carré de côté

Plus en détail

Luca : à la recherche du plus proche ancêtre commun universel Patrick Forterre, Simonetta Gribaldo, Céline Brochier

Luca : à la recherche du plus proche ancêtre commun universel Patrick Forterre, Simonetta Gribaldo, Céline Brochier MEDECINE/SCIENCES 2005 ; 21 :???-??? > L application des méthodes de la biologie moléculaire à l étude des premières étapes de l évolution a montré que le monde vivant pouvait être divisé en trois domaines

Plus en détail

Inscription en ligne FQSC. Guide d utilisation

Inscription en ligne FQSC. Guide d utilisation Inscription en ligne FQSC Guide d utilisation Ce Guide est rédigé comme aide-mémoire pour l achat de votre licence sur le site internet de la FQSC. Dans un prem ier temps, vous devrez vous rendre sur le

Plus en détail

Quel niveau RAID est le mieux adapté à mes besoins?

Quel niveau RAID est le mieux adapté à mes besoins? SOUTOS STO VR Quel niveau R est le mieux adapté à mes besoins? Table des matières ntroduction...1 escription des niveaux R...1 R 0 (entrelacement)...1 R 1 (écriture miroir)...2 R 1 (écriture miroir entrelacée)...2

Plus en détail

2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences

2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences 2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences Jean-Etienne Poirrier Centre de Neurobiologie Cellulaire et Moléculaire Centre de Recherches du Cyclotron Université de

Plus en détail

Activité physique et produits dérivés du soja : intérêts dans la prise en charge du stress oxydant associé au diabète de type 1

Activité physique et produits dérivés du soja : intérêts dans la prise en charge du stress oxydant associé au diabète de type 1 Activité physique et produits dérivés du soja : intérêts dans la prise en charge du stress oxydant associé au diabète de type 1 Ludivine Malardé To cite this version: Ludivine Malardé. Activité physique

Plus en détail

Génétique et génomique Pierre Martin

Génétique et génomique Pierre Martin Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée

Plus en détail

MAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de

MAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps

Plus en détail

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert

Plus en détail

GUIDE GÉNÉRAL SUR LE CCSP ET LA PRÉSENTATION DE L I N F O R M ATION FINANCIÈRE DES CONSEILS SCOLAIRES

GUIDE GÉNÉRAL SUR LE CCSP ET LA PRÉSENTATION DE L I N F O R M ATION FINANCIÈRE DES CONSEILS SCOLAIRES GUIDE GÉNÉRAL SUR LE CCSP ET LA PRÉSENTATION DE L I N F O R M ATION FINANCIÈRE DES CONSEILS SCOLAIRES Ministère de l Éducation TA B L E D E S M AT I È R E S 2 I N T RO D UC TI ON E T C O N T EX T E Q

Plus en détail

Production d une protéine recombinante

Production d une protéine recombinante 99 Production d une protéine recombinante Lic. B. PIRSON Lic. J-M. SERONT ISICHt - Mons Production de la protéine recombinante GFP (Green Fluorescent Protein d Aequoria victoria) par une bactérie ( E.

Plus en détail

Université de Sherbrooke, Département d informatique

Université de Sherbrooke, Département d informatique Université de Sherbrooke, Département d informatique IGL501 : Méthodes formelles en génie logiciel, Examen périodique Professeur : Marc Frappier, mardi 7 octobre 2013, 15h30 à 18h20, local D4-2022 Documentation

Plus en détail

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines

Plus en détail

VILLE DE VILLEURBANNE CONSEIL MUNICIPAL 5 JUILLET 2010. -ooo-

VILLE DE VILLEURBANNE CONSEIL MUNICIPAL 5 JUILLET 2010. -ooo- VILLE DE VILLEURBANNE CONSEIL MUNICIPAL 5 JUILLET 2010 -ooo- La s é a n c e e s t o u v e r t e s o u s l a p r é s i d e n c e d e M o n s i e u r J e a n - P a u l BR E T, M a i r e d e V i l l e u r

Plus en détail

Les débuts de la génétique

Les débuts de la génétique HPITRE 9 DES DÉBTS DE L ÉNÉTIQE X ENJEX TELS DES BIOTEHNOLOIES 1 Les débuts de la génétique est avec les travaux de regor Mendel vers la fin du XIX e siècle que furent posées les bases de la génétique.

Plus en détail

Le GPS, la téléphonie mobile et les alertes intelligentes au service de la santé et de votre famille.

Le GPS, la téléphonie mobile et les alertes intelligentes au service de la santé et de votre famille. Le GPS, la téléphonie mobile et les alertes intelligentes au service de la santé et de votre famille. Symposium sur les Créneaux d'excellence québécois et les Pôles de compétitivité français Québec Mercredi

Plus en détail

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:

Plus en détail

Mémoire de fin d études d orthophonie CENTRE DE FORMATION DE STRASBOURG

Mémoire de fin d études d orthophonie CENTRE DE FORMATION DE STRASBOURG Mémoire de fin d études d orthophonie CENTRE DE FORMATION DE STRASBOURG Objectifs : Au cours de la dern ière ann ée d études, les cand idats ayant v alidé la to talité de s enseignements théoriques et

Plus en détail

International : les références d Ineo Systrans

International : les références d Ineo Systrans International : les références d Ineo Systrans Ineo Systrans Références SAEIV* *Système d Aide à l Exploitation et d Information des Voyageurs ZONE EUROPE BELGIQUE Bruxe l les Liège Mons ROYAUME-UNI Edimbourg

Plus en détail

Respiration Mitochondriale

Respiration Mitochondriale Université Pierre et Marie Curie Respiration Mitochondriale Objectifs au cours de Révisions Biochimie PCEM2 Révisions Biochimie Métabolique 2004-2005 Pr. A. Raisonnier (alain.raisonnier@upmc.fr) Mise à

Plus en détail

ANTIVIRAUX ET INTERFERONS LES ANTIVIRAUX

ANTIVIRAUX ET INTERFERONS LES ANTIVIRAUX ANTIVIRAUX ET INTERFERONS LES ANTIVIRAUX La thérapeutique antivirale progresse avec lenteur car elle s'attaque à des micro-organismes ne se multipliant qu'à l'intérieur des cellules vivantes dont ils détournent

Plus en détail

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre

Plus en détail

Accueil Events, l accueil personnalisé des touristes d affaires Informations, bonnes adresses, réservations et découvertes!

Accueil Events, l accueil personnalisé des touristes d affaires Informations, bonnes adresses, réservations et découvertes! Lyon City Card 1 jour 2 jours 3 jours Ta xis et M inibus - Tarifs forfaitaires Jour : 7h - 19h Nuit : 19h - 7h Lyon/ Villeurbanne - Aéroport St Exupéry 59 81 Lyon 5ème et 9ème excentrés - Aéroport St Exupéry

Plus en détail

La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006

La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006 La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et

Plus en détail

Université de Montréal. Développement d outils pour l analyse de données de ChIP-seq et l identification des facteurs de transcription

Université de Montréal. Développement d outils pour l analyse de données de ChIP-seq et l identification des facteurs de transcription Université de Montréal Développement d outils pour l analyse de données de ChIP-seq et l identification des facteurs de transcription par Eloi Mercier Département de bioinformatique Faculté de médecine

Plus en détail

Extraction d information des bases de séquences biologiques avec R

Extraction d information des bases de séquences biologiques avec R Extraction d information des bases de séquences biologiques avec R 21 novembre 2006 Résumé Le module seqinr fournit des fonctions pour extraire et manipuler des séquences d intérêt (nucléotidiques et protéiques)

Plus en détail

OpenStack Le cloud libre. Thierry Carrez (@tcarrez) Release Manager, OpenStack

OpenStack Le cloud libre. Thierry Carrez (@tcarrez) Release Manager, OpenStack OpenStack Le cloud libre Thierry Carrez (@tcarrez) Release Manager, OpenStack Cloud? Marketing Evolution des technologies Diffusion, Universalité Commodité Produit Innovation Définition, Certitude Evolution

Plus en détail

N 1 2 1 L a R e v u e F r a n c o p h o n e d u M a n a g e m e n t d e P r o j e t 2 è m e t r i m e s t r e 2 0 1 3

N 1 2 1 L a R e v u e F r a n c o p h o n e d u M a n a g e m e n t d e P r o j e t 2 è m e t r i m e s t r e 2 0 1 3 Du côté de la Recherche > Managemen t de projet : p1 L intégration des systèmes de management Qualité -Sécurité- Environnement : résultats d une étude empirique au Maroc Le co ntex te d es p roj et s a

Plus en détail

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une

Plus en détail

Utilisation des substrats énergétiques

Utilisation des substrats énergétiques Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...

Plus en détail

ILT. Interfacultair Instituut voor Levende Talen. T@@lvaardig. Actes de communication. Serge Verlinde Evelyn Goris. Katholieke Universiteit Leuven

ILT. Interfacultair Instituut voor Levende Talen. T@@lvaardig. Actes de communication. Serge Verlinde Evelyn Goris. Katholieke Universiteit Leuven IL If I L S V Ey G Khk U L 13/02/02 pé? xp qé xp pz à pz p héhq pé p à q z p à p héhq fé à p à q pz xp q 'p (è) f, '-à- p. x. ' é ff. N xp à py qq' q z b ( f) P xp pô pp L p - pé pz ': z qq', q -? Bj,

Plus en détail

centre de congres Niveau inférieur CENTRE DE CONGRES + SALLES MULTIFONCTIONNELLES U T S X Q V P Contact: vente@palexpo.

centre de congres Niveau inférieur CENTRE DE CONGRES + SALLES MULTIFONCTIONNELLES U T S X Q V P Contact: vente@palexpo. centre de congres 5 5 0 0 m D P Ô T iveau inférieur 3 U T U V D P I IP T FO Y ) B T s m 50 P od 0 p É ula ers ble on IÈ s - nes sty le thé âtr e lle D O G T T sa O T G D (3 V P X 5 0 0 m 3 Q 0 3 VI I T

Plus en détail

lysozyme la lactoferrine bactéries de l'acide lactique les bifidobactéries peptides bioactifs le syndrome du côlon irritable.

lysozyme la lactoferrine bactéries de l'acide lactique les bifidobactéries peptides bioactifs le syndrome du côlon irritable. Gastroentérologie Le lait de jument peut aider à améliorer certains problèmes digestifs résultant de la déstabilisation de la flore bactérienne intestinale. Il peut agir comme un prébiotique et/ou un probiotique

Plus en détail

4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE

4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE 4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE L écologie microbienne (ou étude des micro-organismes de l environnement) étudie : les relations entre les différentes populations de micro-organismes

Plus en détail

Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype

Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chaque chromosome est en double exemplaire Donc chaque gène (situé sur son locus) est en double exemplaires : et peut être sous différente

Plus en détail

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule

Plus en détail

PLANIFICATION ET BUDGÉTISATION

PLANIFICATION ET BUDGÉTISATION PLANIFICATION ET BUDGÉTISATION Alberto Escudero Pascual Ce que cette unité vous dit... Un budget n'est pas une requête pour du financement... Un bon plan nécessite un bon budget... Un bon budget montre

Plus en détail

Effets électroniques-acidité/basicité

Effets électroniques-acidité/basicité Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir

Plus en détail

Des besoins du nouveau-né à son alimentation lactée

Des besoins du nouveau-né à son alimentation lactée Des besoins du nouveau-né à son alimentation lactée Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 2010-1011 Table des matières I SPECIFIQUE :... 4 II Les besoins du nouveau-né à

Plus en détail

Polyarthrite rhumatoïde et biologie

Polyarthrite rhumatoïde et biologie Polyarthrite rhumatoïde et biologie Le point de vue de l'immunologiste Sylvain Laboratoire d'immunologie, sdubucquoi@univ univ-lille2. -lille2.fr FR et PR Définition Auto-anticorps anti-fragment Fc des

Plus en détail

MABioVis. Bio-informatique et la

MABioVis. Bio-informatique et la MABioVis Modèles et Algorithmes pour la Bio-informatique et la Visualisation Visite ENS Cachan 5 janvier 2011 MABioVis G GUY MELANÇON (PR UFR Maths Info / EPI GRAVITE) (là, maintenant) - MABioVis DAVID

Plus en détail

Le décret du 11 mars 1999 relatif au PERMIS D ENVIRONNEMENT

Le décret du 11 mars 1999 relatif au PERMIS D ENVIRONNEMENT Le décret du 11 mars 1999 relatif au PERMIS D ENVIRONNEMENT «Le registre des modifications» UWE «90 minutes pour l environnement» DGO3 - DPA Mons Wavre - Jeudi 10 mai 2012. B. Bequet 1 Plan de l exposé

Plus en détail

Si la vie vous intéresse

Si la vie vous intéresse Si la ie ous intéresse paroles: J Pauze musique: J Pauze / M A Lépine ã 160 c c öguiõt aõcous fr ÛÛ ÛÛÛÛÛ ÛÛÛ ÛÛ ÛÛÛÛÛ ÛÛÛ öõbõasse G 3fr fr fr Û Û ÛÛÛ Û Û Û ( ) 3 ~~ ÿ % % J'ais dans ouer un la monde

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail