Vaccination par ADN et
|
|
- Camille Marceau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Vaccination par ADN et Thérapie génique. g Module Terre-Biologie. Licence Scientifique Générale. Université Paris Sud XI. Cornu Pauline Druais Delphine Dumont Stéphanie
2 Plan. Comment le génie génétique permet-il d envisager des solutions thérapeutiques dans le traitements de différentes maladies? Introduction. I.De l ADN aux protéines. 1.Passage de l ADN aux protéines sans modifications. 2.Passage de l ADN aux protéines avec mutations. II.La vaccination préventive ou thérapeutique. 1.Rappel système immunitaire. 2.Vaccin préventif. 3.Vaccination thérapeutique à partir d ADN. III.Thérapie génique. 1.La thérapie génique. 2.Exemple concret de la thérapie génique au service des maladies cérébrales. Conclusion.
3 1. Passage de l ADN l aux protéines sans modification. Ce passage se fait en deux grandes étapes: La transcription. De l ADN à un ARN messager. La traduction. De l ARN messager à une protéine.
4 Passage de l ADN l aux protéines sans modifications. ADN: acide désoxyribonucléique. C est une molécule en double hélice complémentaire constituée d une succession de nucléotides (T,A,C,G).C est le support de l'information génétique et ce support est universel.
5 Passage de l ADN l aux protéines sans modifications. ARN messager :acide ribonucléique messager. C est une molécule en simple brin constituée d une succession de nucléotides. (U,A,C,G). Comme l ADN, l ARN est une succession de nucléotides mais ils sont légèrement différents.
6 La Transcription de l ADN l à l ARN messager. La première étape est de reconnaître le début du gène à copier. Dérouler la double hélice ainsi que la fermer. On doit ensuite associer les nucléotides précurseurs complémentairement aux nucléotides du brin transcrit. Puis faire migrer l ARN messager formé vers le cytoplasme.
7 La transcription de l ADN l à l ARN messager.
8 La Transcription de l ADN l à l ARN messager. C est l ARN polymérase qui est une enzyme qui va ouvrir l ADN et permettre la synthèse de l ARN messager en associant de manière covalente une à une les bases azotés du brin transcrit avec l ARN messager du côté 3 vers 5 T=>A, A=>U, C=>G, G=>C.
9 La Transcription de l ADN l à l ARN messager. La transcription a ainsi permis la synthèse d une molécule simple brin complémentaire du brin transcrit de l ADN.Cette ARN porte l information génétique toujours sous la forme d une séquence nucléotidique et migre vers le cytoplasme.
10 La traduction de l ARN l m à la protéine. C est le processus qui va permettre de passer de l ARN messager à la protéine. Cette étape a lieu dans le cytoplasme et met en jeu des acteurs telle que le ribosome qui se compose d une petite sous partie et d une grande sous partie.
11 La traduction de l ARN l m à la protéine. Le brin d'arn messager est A U A G C G U U C A G A A C U G A U A C G U A A Les différents codons sont donc AUA - GCG - UUC - AGA - ACU - GAU - ACG - UAA Les ARN de transfert se fixent UAU CGC AAG UCU UGA CUA UGC AUU par complémentarité et apportent les acides aminés appropriés Île Ala Phe Arg Thr Asp Thr X Le brin d ARN m se fixe à un ribosome qui va assembler une séquence d acide aminé selon les codons du code génétique en commençant par le codon initiateur et finissant par le codon stop. Un codon est un groupe de 3 nucléotides et chacun correspond à un acide aminé.
12 La traduction de l ARN l m à la protéine. Le ribosome va parcourir le brin d'arn m codon par codon en commençant par le codon initiateur et va par l'intermédiaire d'un ARN de transfert ajouter un acide aminé à la protéine en cours de fabrication selon le codon lu. Une fois le codon-stop atteint, la protéine est complète: le ribosome se détache de la protéine et du brin d'arn m, et la protéine est libérée dans l'organisme.
13 2. Passage de l ADN l aux protéines avec mutations. Mutation: une modification de l information génétique. C est un événement qui est considéré comme rare, aléatoire et héréditaire et qui ne conduit pas forcément à une variation phénotypique. Ils en existent de différentes formes et qui entrainent des modifications différentes. λ ADN =>ARN messager => Protéine λ ADN altéré => ARN messager le plus souvent altéré => Protéine modifiée Due à: Les ondes électromagnétiques Des substances chimiques interagissant avec l ADN (ou éventuellement avec l'arn) Une modification du système de réparation de l'adn, qui cesse alors de corriger les erreurs de réplications.
14 Transmission des mutations. Si sur les cellules germinales: =>donner un avantange sélectif =>transmise aux descendants de l'individu mutant et peut être létale. => selon le principe de l'evolution. Les mutations accidentelles (provoquées par irradiation ou substances chimiques), si elle n'affecte que des cellules somatiques affecte juste le sujet atteint directement. Si les cellules se divisent activement, il y a possibilité de création d'une tumeur pouvant évoluer vers un cancer. À l'opposé, s'il n'y a pas de division l'effet est négligeable.
15 Conséquences des mutations. la plupart des mutations ont de plus ou moins importantes conséquences phénotypiques : cancers ou maladies génétiques. les mutations neutres ne modifient pas le fonctionnement de la protéine et n'ont pas de conséquence phénotypique macroscopique. les mutations silencieuses ou muettes n'entraînent aucun changement dans la séquence d'acides aminés, ce qui est dû aux nombreuses redondances dans le code génétique.
16 Vaccination préventive et vaccination thérapeutique à partir d ADNd 1. Rappel : Système immunitaire 2. Vaccination préventive 3. Vaccination thérapeutique à partir d ADN
17 1. Rappel : Système immunitaire Deux types de mécanisme de défense immunitaire: 1. Les mécanismes de défense non spécifiques : la peau, les muqueuses 2. Les mécanismes de défense spécifiques : les lymphocytes, les anticorps
18 Quelques définitionsd Les lymphocytes sont des globules blancs du sang et du tissu lymphoïde responsable de l immunité spécifique. Les anticorps sont des protéines sécrétées par les cellules du système immunitaire et sont capables de se fixer spécifiquement sur un antigène. Les antigènes sont des substances chimiques qui, introduient dans l organisme sont susceptibles de provoquer une réponse immunitaire.
19 Rappel : Système immunitaire Le système immunitaire doit être capable d identifier les différents agents pathogènes afin de déclencher une réaction capable de les éliminer. Notre système immunitaire garde une mémoire de l agent infectieux. (cellules mémoires : lymphocytes T et lymphocytes B)
20 Le fonctionnement du système immunitaire
21 Rappel : Système immunitaire Le système immunitaire a donc 4 propriétés: 1. Reconnaître le soi du non soi 2. La spécificité : à un antigène correspond un anticorps. 3. La capacité à répondre à des pathogènes très divers. 4. La mémoire immunitaire.
22 2. Vaccination préventive Un vaccin c est une préparation contenant un agent pathogène rendu inoffensif et qui est capable de déclencher une réaction immunitaire. La vaccination préventive vise à stimuler les défenses naturelles de façon à prévenir l apparition d une maladie, elle permettra donc de détruire rapidement l agent infectieux.
23 Des outils pour la vaccination préventive ou thérapeutique Les toxines inactivées: Des chercheurs ont trouvés une protéine, une toxine qu ils ont modifié pour la rendre non toxique afin de fabriquer un vaccin. Une protéine couplée à un polysaccharide: Une enveloppe de polysaccharides (sucres) entoure de nombreuses bactéries infectieuses. La vaccination par des polysaccharides purifiés ne déclenche qu une immunité partielle. Par conséquent, les chercheurs ont couplé un polysaccharide à une protéine de l agent infectieux afin de fabriquer des vaccins.
24 Des outils pour la vaccination préventive ou thérapeutique L immunisation par l ADN: L ADN des plasmides pénètre dans les cellules des malades. Le gène codant l antigène est transcrit en ARN messager et ensuite traduit en protéine ce qui active le système immunitaire contre l antigène, et produit ainsi une immunisation contre le virus.
25 3. Vaccination thérapeutique Cette technique consiste à stimuler le système immunitaire de l organisme pour favoriser la production d anticorps. Il ne s agit donc plus de prévenir l apparition d une maladie mais d aider l organisme d une personne déjà infectée à lutter contre la maladie en renforçant ses défenses immunitaires.
26 Vaccination thérapeutique Des vaccins thérapeutiques sont en cours de mise au point afin de lutter contre diverses maladies telles que : Hépatite C, papillomavirus
27 Conclusion La vaccination n est plus seulement préventive mais thérapeutique. Elle va chercher à prévenir une infection ou à modifier une maladie déjà établie. La vaccination permet de protéger l organisme contre des agents infectieux. Le développement et la fabrication des vaccins classiques et thérapeutiques bénéficient de la thérapie génétique.
28 La thérapie géniqueg 1. La thérapie génique (définition/méthodes/vecteurs) 2. Exemple concret: la thérapie génique au service des maladies cérébrales (Principe/stratégie/exemples)
29 1. Définition de la thérapie génique Correction d un défaut génétique par le remplacement ou l ajout de cellules génétiquement corrigées, c est-à-dire porteuse d un allèle fonctionnel. Il existe deux thérapies géniques: - germinale (dans les cellules-œufs) (non réalisée) - somatique (dans les cellules somatiques)
30 Les méthodesm Ajouter un gène dans une cellule ou une nouvelle propriété Empêcher la synthèse ou l action de protéine nuisibles produites par un gène défectueux : 1 ère méthode ADN «antisens»: - à l aide de courtes séquences d ADN synthétique ou des ribozymes (ARN) on empêche les segments d ARN messager de gènes mutants (ou non) de synthétiser des protéines 2 ème méthode: - Insérer le gène d une protéine nommée anticorps intracellulaire - bloque l activité de la protéine mutante
31 2 méthodes m d introduction d de gènesg
32 Les différents types de vecteurs pour transporter et distribuer les gènes Les virus: - les rétrovirus: insèrent une copie de leurs gènes dans les chromosomes des cellules qu ils envahissent - les adénovirus humain: sont inoffensifs/n entraînent que des rhumes/n insèrent pas leur gènes dans des chromosomes - les virus associés aux adénovirus: sont inoffensifs et intègrent leurs gènes dans des chromosomes - les herpèsvirus: n intègrent pas leurs gènes dans des chromosomes/sont attirés par les neurones
33 Les agents synthétiques: - combinaison d ADN et de molécules - transport de l ADN dans les cellules - protège des dégradations Les peptides: L ADN est transporté Les liposomes: - étudiés comme des rétrovirus - on sait y loger un plasmide (ADN) dont les gènes modifiés ont un effet thérapeutique L ADN nu: Immunisation contre les maladies infectieuses, voire certaines formes de cancers
34 Les limites La quantité de protéine nécessaire est difficile à réguler On a pas encore de vecteurs capables de s orienter eux-même vers les cellules cibles Les virus: - Les rétrovirus: peu sélectifs/ne propagent leurs gènes que lors des divisions cellulaires (pas neurones)/vih utilisé comme rétrovirus mais pas encore certain qu il ne reviendra pas pathogène - Les adénovirus: les gènes transporteur de l ADN finissent par disparaître: renouvellement mensuel ou annuel/peu sélectifs/provoque une réaction immunitaire énergétique - les virus associés aux adénovirus, les herpèsvirus, les alphavirus et les proxivirus: aucun n est idéal mais chacun à des applications spécifiques
35 Les agents synthétiques: Les gènes s intègrent bien dans les chromosomes en laboratoire mais mal dans l organisme Les liposomes: Moins efficace que les virus mais les essais sont en cours
36 2. Exemple concret: la thérapie génique au service des maladies cérébrales Maladies neurologiques = évolutives Cellules touchées: cellules nerveuses ou les neurones - le problème: les neurones touchées sont perdus, ne se divisent plus. - Solution: ralentir la dégénérescence cérébrale ou compenser un déficit lié à la neurodégénerescence.
37 La maladie de Parkinson Le problème: - dégénérescence progressive de la substance noire (motricité, tremblements ) - mort des ces neurones: plus de neuromédiateur : la dopamine Les solutions: - Stimuler la production de la dopamine en augmentant la production d une enzyme - Greffer des cellules génétiquement modifiées Tests sur des rats: - utilisation de vecteurs génétiques: virus de l herpès et des adénovirus - transplantation de neurones - mais s autodétruisent - il faut une survie des greffons à long terme - Stratégie: bloquer le suicide cellulaire Résultat: L état général des rats est mieux
38 La crise d éd épilepsie Le problème: Les cellules touchées sont les neurones qui produisaient comme neuromédiateur le glutamate. Le calcium n est donc plus réabsorbé. Solution: Essayer d évacuer le calcium en excès Tests sur des rats: Utilisation d un vecteur: le virus de l herpès modifié pour évacuer le calcium en excès Résultats: - préservation du métabolisme des neurones lors d une crise d épilepsie - réductions des lésions
39 Stratégie «anti-suicide» Désactivation des mécanismes m d apoptosed (suicide cellulaire) Gène inhibiteur de l apoptose (bcl-2) dans le virus de l herpès Protège contre les dégâts d une crise neurologique
40 Conclusions D autres formes de vecteurs sont à l étude comme des chromosomes miniatures Quand les vecteurs seront au point, ils seront utilisés pour des traitements différents : pour une activité à court terme par exemple on privilégiera soit un adénovirus, un liposome ou un ADN nu Une fois au point, les biologistes devront éviter l inactivation des gènes étrangers et limiter les réactions immunitaires : - utiliser des substances antirejet - commencer très tôt la thérapie génique dans la vie du malade avant que son système immunitaire ne soit devenu opérationnel Difficulté du cerveau: il est enfermé dans une boîte crânienne: les vecteurs viraux arriveront-ils à arriver jusqu au cerveau? seront-ils alors assez actifs? agiront-ils suffisamment longtemps? Les progrès dans quelques années dans ce domaine neurologique permettra d aider et de soigner les maladies des personnes âgées
41 Bibliographie Dictionnaire des Sciences de la Vie et de la Vie et de la Terre de Michel Breuil (Nathan) Livre de terminal S: Sciences de la Vie et de la Terre (Hâtier) Biologie et physiologie humaine (Vuibert) Le monde du vivant (Flammarion) Encyclopédie Universalis Dictionnaire de biologie (De Boeck) Internet pour les images
CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailUnivers Vivant Révision. Notions STE
Univers Vivant Révision Notions STE Chap. 13) L Écologie 1) a) Qu est-ce que l empreinte écologique? L empreinte écologique correspond à la surface terrestre et aquatique totale nécessaire à un individu,
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailTITRE : On est tous séropositif!
PRÉPARER UNE «SITUATION COMPLEXE DISCIPLINAIRE», SITUATION D APPRENTISSAGE ET/OU D ÉVALUATION TITRE : On est tous séropositif! classe : 3 ème durée : 30 min I - Choisir des objectifs dans les textes officiels.
Plus en détailSéquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire
Séquence 2 L expression du patrimoine génétique Sommaire 1. La synthèse des protéines 2. Phénotypes, génotypes et environnement Synthèse de la séquence 2 Exercices de la séquence 2 Glossaire des séquences
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailVI- Expression du génome
VI- Expression du génome VI-1.- EXPRESSION DU GÉNOME- PRINCIPES GÉNÉRAUX DOGME CENTRAL Les gènes et l information génétique sont conservés sous forme d acides nucléiques La perpétuation à l identique de
Plus en détailMYRIAD. l ADN isolé n est à présent plus brevetable!
MYRIAD La Cour Suprême des Etats-Unis revient sur plus de 30 ans de pratique : l ADN isolé n est à présent plus brevetable! Mauvaise passe pour les inventions en biotechnologies sur le territoire américain.
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailContrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles
Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles http://perso.univ-rennes1.fr/serge.hardy/ utilisateur : biochimie mot de passe : 2007 L'ARNm, simple intermédiaire entre le
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailAnticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions
Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées
Plus en détailTravaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015
Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailBases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre
Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Chaque enfant qui naît hérite de 10 à 30 nouvelles mutations ponctuelles. L essentiel des ces mutations sont heureusement des variations neutres de séquence
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailTP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique
TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique Partie 1 : Spécificité d'un anticorps pour un déterminant antigénique du VIH La séropositivité pour le VIH correspond à la présence
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailChapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype
Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chaque chromosome est en double exemplaire Donc chaque gène (situé sur son locus) est en double exemplaires : et peut être sous différente
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailLa maladie de Huntington, une maladie du cerveau
Actualités à propos de la recherche sur la maladie de Huntington. Expliqué simplement. Écrit par des scientifiques. Pour la communauté mondiale HD. La greffe de moelle osseuse dans la maladie de Huntington
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailMédicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014
Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailCe manuel a comme objectif de fournir des informations aux patients et ses familiers à respect du Trait Drepanocytaire.
Ce manuel a comme objectif de fournir des informations aux patients et ses familiers à respect du Trait Drepanocytaire. Nous savons que les informations médicales sont entourés, dans la plupart des cas,
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailLes débuts de la génétique
HPITRE 9 DES DÉBTS DE L ÉNÉTIQE X ENJEX TELS DES BIOTEHNOLOIES 1 Les débuts de la génétique est avec les travaux de regor Mendel vers la fin du XIX e siècle que furent posées les bases de la génétique.
Plus en détailVaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»
Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailVieillissement moléculaire et cellulaire
Vieillissement moléculaire et cellulaire Yves Courtois Lorsque, en 1961, Léonard HAYFLICK, aux USA, re - mit en cause le concept général de l'immortalité des cellules, il apportait à la recherche en gérontologie
Plus en détailSommaire de la séquence 8
Sommaire de la séquence 8 Nous avons découvert dans la séquence 7 que les micro-organismes sont présents partout dans notre environnement et qu à la faveur d une lésion, ils sont capables de franchir nos
Plus en détail4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE
4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE L écologie microbienne (ou étude des micro-organismes de l environnement) étudie : les relations entre les différentes populations de micro-organismes
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailConférence technique internationale de la FAO
Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches
Plus en détailLa gestion de données dans le cadre d une application de recherche d alignement de séquence : BLAST.
La gestion de données dans le cadre d une application de recherche d alignement de séquence : BLAST. Gaël Le Mahec - p. 1/12 L algorithme BLAST. Basic Local Alignment Search Tool est un algorithme de recherche
Plus en détailGénétique et génomique Pierre Martin
Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée
Plus en détailLa surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir
Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir Dr Irène Sari-Minodier Service
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailQu est-ce que la maladie de Huntington?
Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée
Plus en détailGènes du développement et structuration de l organisme
03-Gènes du développement_00/maquette imports 19/01/10 10:45 Page99 Revue des Questions scientifiques, 2010, 181 (1) : 99-110 Gènes du développement et structuration de l organisme René Rezsohazy Unité
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailToxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup
A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailBulletin. Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone?
Bulletin Numéro 34 I Novembre 2013 Vaincre la Sclérose en Plaques par la recherche Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone? Depuis 1992, les interférons (IFNs) et le Copaxone
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailSemestre 2 Spécialité «Analyse in silico des complexes macromolécules biologiques-médicaments»
Master In silico Drug Design Semestre 2 Spécialité «Analyse in silico des complexes macromolécules biologiques-médicaments» 30NU01IS INITIATION A LA PROGRAMMATION (6 ECTS) Responsables : D. MESTIVIER,
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailL univers vivant De la cellule à l être humain
L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailLes nouveaux traitements du psoriasis
Les nouveaux traitements du psoriasis Ci-après, vous trouverez 3 articles, parus récemment, parmi d'autres tout aussi intéressants, dans notre bulletin trimestriel Pso Magazine: - un extrait de l'exposé
Plus en détailChapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème
Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailDécidezvous. Sinon, vos proches devront le faire pour vous. Informations sur le don d organes, de tissus et de cellules en cas de décès.
Informations sur le don d organes, de tissus et de cellules en cas de décès. Décidezvous. Sinon, vos proches devront le faire pour vous. Le court-métrage sur le sujet transplantinfo.ch Vous pouvez être
Plus en détailPour un principe matérialiste fort. Jean-Paul Baquiast
Pour un principe matérialiste fort Jean-Paul Baquiast Plan détaillé :. Pour un matérialisme fort Le retour en force du dogmatisme religieux Nécessité d un renouvellement du matérialisme Que sont les nouvelles
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailPARTIE I Compte pour 75 %
PARTIE I Compte pour 75 % Instructions : Noircissez la lettre correspondant à la bonne réponse sur la feuille de réponse fournie. 1. Dans le diagramme, quelles structures font partie du système nerveux
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailLes outils de génétique moléculaire Les techniques liées aux acides nucléiques
Les outils de génétique moléculaire Les techniques liées aux acides nucléiques Sommaire Preparation des acides nucléiques Extraction / purification Les enzymes agissant sur les acides nucléiques Les enzymes
Plus en détailLa goutte la maladie des rois
La goutte la maladie des rois Tous droits protégés Pharmanetis Sàrl Tout savoir sur la goutte Comment bien gérer sa maladie? Par Van Nguyen et Xavier Gruffat (pharmaciens) Photo: Matthew Cole - Fotolia.com
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailL INITIATIVE EN M ATIÈRE DE MÉDIC A MENTS INNOVANTS
L INITIATIVE EN MATIERE DE MEDICAMENTS INNOVANTS d e s m é d i c a m e n t s a u s e r v i c e d e l h u m a n i t é l a r e c h e r c h e d a u j o u r d h u i, l e s t r a i t e m e n t s d e d e m a
Plus en détail- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à
Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailQue sont les. inhibiteurs?
Que sont les inhibiteurs? TABLE DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2010 La FMH encourage la redistribution de ses publications à des
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailObserver : l'absence de noyau des hématies la petite taille des plaquettes la forme et la taille des noyaux (leucocytes) ACTIVITES ELEVES TS
4.1 La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée 4.1.1 Les cellules de défense au microscope optique : Par l'observation d'une goutte de sang humain au microscope, repérer chaque type de cellule
Plus en détailPOLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ
Date d entrée en vigueur: Mai 2006 Remplace/amende: VRS-52/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-52 DÉFINITION Une substance biologique dangereuse se définit comme un organisme
Plus en détail3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détail