PREMIER MINISTRE LE HAUT COMMISSAIRE Á LA JEUNESSE DDJSVA JPA 94. du Val de Marne

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1 du Val de Marne PREMIER MINISTRE LE HAUT COMMISSAIRE Á LA JEUNESSE PROJET DE RECENSEMENT DES POLITIQUES JEUNESSE LOCALES DANS LE VAL DE MARNE Compte rendu du diagnostic réalisé par le Comité "Jeunesse au Plein Air" du Val de Marne en partenariat avec la DDJSVA DDJSVA JPA 94 Département Politiques Educatives Locales Comité "Jeunesse au Plein Air" du Val de Marne Christian BELISSON Gabriel PELLERIN Comité Jeunesse au Plein Air du Val de Marne 13 bis avenue du Général Pierre Billotte Créteil Tél. : Portable : E.Mail : comite.jpa.94@ wanadoo.fr

2 Le Val-de-Marne (94) Le Val-de-Marne, Département de la Région Île-de-France. Chef-lieu de département : Créteil Chefs-lieux d'arrondissement : L'Haÿ-les-Roses, Nogent-sur-Marne Nombre d'arrondissements : 3 Nombre de cantons : 49 Nombre de communes : 47 Superficie : 245 km 2 Population : habitants Nom des habitants : Val-de-Marnais Le Val-de-Marne est un des plus petits départements de France avec une superficie de 245 km², mais il se place au dixième rang français pour sa population. Le département appartient à l'académie de Créteil, à la cour d'appel de Paris, à la zone de défense Paris.

3 La population Val de Marnaise Le Val-de-Marne compte habitants (chiffre au 1er janvier 2009). Il est le département le moins peuplé de la Petite couronne, mais aussi le moins dense (5348 habitants par km²). Le Val-de-Marne est un département jeune : 30% de la population a moins de 25 ans (contre 25% en France métropolitaine) et plus de la moitié a moins de 40 ans. La département est marqué par un taux de natalité fort (16,5 naissances pour habitants en 2007, alors que le taux national est de 12,8). En 2007, naissances ont été domiciliées dans le département et élèves fréquentaient les collèges publics ou privés sous contrat. Cependant, comme partout en France, la population vieillit : on compte aujourd hui personnes de plus de 75 ans et bénéficiaires de l allocation pour personnes âgées. Le profil des Val-de-Marnais La population se répartit en 30% de ménages cadres et professions intermédiaires, 32% de ménages employés ou ouvriers, 25% de ménages retraités. Les sept villes les plus grandes en chiffre: annuaire-mairie.fr Champigny-sur-Marne : H Créteil : H Fontenay-sous-Bois : H Ivry-sur-Seine : H Maisons-Alfort : H Saint-Maur-des-Fossés : H Vitry sur Seine : H Situation économique À la confluence de la Seine et de la Marne à l'ouest, le Val de Marne se confine à l'est aux limites du plateau de la Brie. Au centre, il comprend la vallée de la Seine, d'ivry-sur-seine à Villeneuve-Saint- Georges, dominée vers l'ouest par le rebord du plateau d'orly-rungis. Département fortement urbanisé sur les deux tiers de son territoire, le Val-de-Marne présente cependant des aspects diversifiés : les communes situées à la périphérie sud de Paris et le long de la rive gauche de la Seine sont les plus anciennement urbanisées et industrialisées (chimie, tannerie, textile, industries alimentaires). Les communes à urbanisation plus récente sont proches des nouvelles zones d'activité (Fontenay-sous-Bois, Créteil, Boissy-Saint-Léger) ou proches de l'aéroport d'orly (Villeneuve-le-Roi, Thiais). Les zones pavillonnaires se sont installées dès avec des zones d'habitat à caractère résidentiel à l'est, le long des boucles de la Marne et dans les communes limitrophes du bois de Vincennes (Vincennes, Le Perreux, Joinville, Saint-Maur-des-Fossés et La Varenne), et à l'ouest. (Arcueil, Cachan, L'Haÿ-les- Roses). Dans le S.-E., il existe encore une zone semi-rurale en bordure de la Brie. Après une phase de croissance démographique rapide, donc d'urbanisation intense, la population du Val-de-Marne est aujourd'hui quasiment stabilisée. Seule Créteil continue de croître. À la faveur de la politique de décentralisation, des usines ont quitté le Val-de-Marne, d'autres, dans un contexte de récession, ont été fortement touchées par la crise : les industries des métaux, la construction automobile, l'agroalimentaire, l'imprimerie et l'édition, la chimie et la parachimie, presque toutes installées dans la vallée de la Seine, jalonnée de centres industriels (Villeneuve-Saint-Georges, Vitry-sur- Seine, Alfortville, Ivry-sur-Seine). Cependant, certaines branches de pointe se maintiennent et même se développent.

4 Toutefois, le phénomène majeur est le développement rapide du secteur tertiaire : bureaux d'études et de conseil, services bancaires et administratifs, secteur du commerce de gros grâce à la présence du marché d'intérêt national à Rungis et également secteur des transports, avec la zone aéroportuaire d'orly, s'ajoutant à la gare de triage de Villeneuve-Saint-Georges. Le Val-de-Marne est favorisé dans le secteur des transports par la présence de deux des principales voies ferrées françaises (vers Lyon et Bordeaux) qui empruntent la vallée de la Seine, par le terminus est d'une ligne du R.E.R. (Boissy-Saint-Léger). La démarche méthodologique : L objectif de ce diagnostic, réalisé par le comité JPA du Val de Marne, est d avoir une vision globale des actions menées dans le cadre des politiques éducatives locales sur les questions de jeunesse. Pour cela, le chargé de mission a rencontré les directeurs et chefs de service jeunesse des communes du département. Deux axes d étude ont été définis pour orienter la collecte d informations : - recenser les actions menées dans le cadre des politiques éducatives locales, ainsi que celles mises en œuvre plus spécifiquement pour la jeunesse - favoriser l expression des problèmes, attentes et besoins des chefs de «service jeunesse». Parallèlement, les données recueillies par la DDJS 94, ont permis d avoir une vision globale des types d accueils mis en œuvre au niveau du département pour les jeunes âgés de plus de 12 ans. Au delà de la communication de ces informations à nos partenaires institutionnels, les objectifs de la démarche est de favoriser un échanges entre professionnels, afin de dégager des dynamiques de communication et d organisation qui répondent à ces attentes. Les thématiques soulevées lors de la consultation des chefs de service seront soumises à leur appréciation, puis approfondies, avant d être communiquées à leurs élus. La DDJS, de son côté, favorisera la médiation et l information auprès des partenaires institutionnels. Cette action pourra déboucher, par ailleurs, sur une conférence, pour accroître la visibilité de l action auprès des élus et des partenaires. La thématique et l organisation de celle ci seront définies en fonction des attentes et des besoins exprimés au fur et à mesure de l avancée des discussions entre les différentes parties : chefs de service, élus, partenaires institutionnels.

5 ANALYSE DES DISPOSITIFS EDUCATIFS ET POLITIQUES EN FAVEUR DE LA JEUNESSE DES COMMUNES DU VAL DE MARNE I) Analyse des dispositifs 1. Les dispositifs CEL, PEL, PRE Contrat Educatif Local (1 ERE ANALYSE AU 16 NOVEMBRE 2009) Les CEL (15 signés de 2000 à 2004) avaient, pour fonction, de favoriser la coordination entre les partenaires : «cette contractualisation vise à mettre en œuvre en complément d autres dispositifs, un projet éducatif global et local, conçu par les différents partenaires concernés par l éducation des enfants et de jeunes» (circulaire du 9 juillet 1998). L objectif de la démarche était de favoriser l accès aux pratiques éducatives, culturelles et sportives de tous les jeunes des écoles et collèges sur les temps péri et extrascolaires, dans le souci d une meilleure intégration scolaire et sociale de chacun. Elle se formalisait par un Contrat avec les villes : un engagement des communes sur la base du projet éducatif local et global concerté, dans lequel les actions éducatives hors du temps scolaire trouvent leur place, en lien avec le projet d école. Ils avaient la vocation à intégrer les volets «éducatifs» les contrats de ville (CUCS) et s articuler avec les contrats locaux de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD). Pour les professionnels, le CEL apparaît une notion disparate, très diversifiée en fonction des dynamiques locales, et plus souvent liée aux dispositifs financés qu à la dynamique globale impulsée. Chaque CEL est ainsi plus ou moins identifié aux moyens mis en œuvre : ressource en personnels et structures, financements des ministères de la Jeunesse, de l'education nationale, des Sports, de la Culture et de la Ville ; personnels, équipements et crédits investis par les collectivités locale ; 'aide des Caisses d'allocations Familiales (CAF), du Fonds d'action et de Soutien pour l'intégration et la Lutte contre les Discriminations (FASILD), des associations d'éducation populaire, etc. L ambiguïté de la notion de Projet Educatif Local apparaît une conséquence de ce flou. Aboutissement du CEL pour les uns, simple accompagnement pour les autres, contractualisation d un dispositif pour un financement d actions pour la plupart des communes. Projet Educatif Local Sur les 28 villes engagées dans la mise en place d un Projet Educatif Local, en , il n en reste qu une dizaine en 2009 (du moins par rapport aux 38 villes recensées à ce jour). On en retrouve dans des villes de plus de à habitants : Ivry sur seine, Villejuif, Fontenay sous Bois, ainsi que dans des villes de à plus de habitants (par exemple : Bonneuil sur Marne, Choisy le Roi, et certaines communes du plateau Briard). Par contre, beaucoup de communes ont abandonné les PEL lorsque les moyens financiers ont disparus. Sont alors évoqués le manque de moyens humains ou les difficultés dans l exercice politique. Un premier constat : pour la plupart des chefs de service dans les communes concernées, les CEL ont servi à faire émerger des projets éducatifs et des orientations politiques plus claires et lisibles par les acteurs de terrain. Ils ont aussi permis de mettre en place et de financer des initiatives en faveur de la jeunesse (ouverture de lieux d accueils, PIJ ). On pu alors émerger certaines activités éducatives correspondant à des besoins d une demande locale (MAO, Rapp, Slam, projets CD) ou des projets en soutien à la réussite scolaire du jeune (partenariat d actions entre les villes et l Education Nationale )

6 Projet de Réussite Educative 11 Projets de Réussite Educative ont été recensés sur les 38 villes consultées (Bonneuil sur Marne, Choisy le Roi, Fontenay sous Bois, Villeneuve Saint Georges, l Haÿ les Roses, Créteil, Villiers sur Marne, Orly, Cachan, Champigny sur Marne, Villejuif) Beaucoup de villes ne sont pas rentrées dans un dispositif PRE, faute de moyens humains ou financier, mais plusieurs d entre elles, grâce à la mise en place d un diagnostic, ont fait surgir les problèmes d un public préados et ados en échec scolaire, qui ne trouvait par forcement une réponse en terme d accompagnement à la scolarité. De nombreuses initiatives ont ainsi surgi dans les villes du département : partenariat avec des associations locales (Assoc. coups de pouce, AFEV ), partenariat avec les établissements scolaires (écoles, collèges), accompagnement périscolaire dans les structures jeunesse, ateliers éducatifs pour des enfants repérés par les enseignants au sein des établissements scolaires ou par les animateurs dans les associations locales, voire tutorat par des étudiants ou bénévoles (retraités, étudiants, enseignants, élus, militant d associations familiales ). Commentaire Pendant les entretiens, les responsables de service ont souligné la difficulté que rencontrent les élus à s engager sur un projet : les communes sont très frileuses dans la mise en place d un PEL ou PRE, voire un diagnostic par un cabinet consultatif, en raison de l incertitude des engagements de l Etat et de la diminution des budgets engagés par les partenaires institutionnels. La notion de PEL, outil de cohésion d une politique municipale, apparaît encore peu inscrite dans les représentations du milieu professionnel. 2. Les CUCS et CLSPD : Contrats Urbains de Cohésion Sociale ou Conseil Local de Sécurité et de Prévention de la Délinquance Sur les 38 villes recensées, 21 villes ont signé un C.U.C.S (16 en 1999). 20 d entre elles ont créé un CLSPD (8 en 1999). 3 villes n ont qu un CLSPD. Plusieurs communes, à l instar de Charenton le Pont et Saint Maurice partage un CLSPD, dans le cadre d un comité d agglomération. 76 quartiers qui ont fait l objet d un CUCS cela concerne plus de habitants soit 25% du département Les contrats signés dans le cadre des CUCS comportent des engagements financiers de l Etat (politique de la ville) et des différents partenaires. Projet urbain de cohésion sociale à l échelle de l agglomération, les CUCS s inscrivent dans une cohérence d actions stratégiques de développement entre des territoires prioritaires et leur environnement. La participation de l Etat est un soutien apporté aux villes, sur des actions de sécurité, de prévention à la délinquance, des actions d éducation à la citoyenneté et de mixité sociale (projet jeune, séjours jeune, juniors association, ambassadeurs citoyenneté, actions périscolaire ), mais aussi d aménagement du territoire, d urbanisme, de transports, d habitat, d insertion par l emploi Dans le Val de Marne, les principales villes engagées dans des CUCS ont aussi une ZEP (Zone d Education Prioritaire) : Fontenay sous Bois, Villiers sur Marne, Chennevières sur Marne, Gentilly, Ivry sur Seine, Alfortville, Champigny sur Marne, Maisons-Alfort, Vitry sur Seine, Créteil, l Haÿ les Roses, Bonneuil sur Marne, Choisy le Roi, Valenton, Orly, Limeil-Brévannes, Villeneuves saint Georges. Les ZEP ont été créées pour répondre à une situation spécifique, qui se traduit par des difficultés scolaires et pédagogiques des enfants et jeunes de la ville. Le CLSPD constitue le cadre de concertation sur les priorités de la lutte contre l insécurité et de la prévention à la délinquance dans les communes de plus de habitants et celles dotées de ZUS (Zone Urbaine Sensible) Alfortville, Bonneuil sur Marne, Champigny sur Marne, Choisy le Roi, Créteil, Ivry

7 sur Seine, Limeil-Brévannes, Villeneuve Saint Georges, Villiers sur Marne, Vitry sur seine. Beaucoup d actions financées par le CLSPD interviennent dans les initiatives des services jeunesse concernant la prévention : conduites addictives et dépendance, les stages sportifs, citoyenneté : juniors association et humanitaire: chantier en Afrique ) Les acteurs impliqués dans la mise en œuvre des CUCS sont aussi, souvent, ceux que l on retrouve dans les CLSPD ou dans les coordinations ZEP. Les responsables de service jeunesse sont le plus souvent associés aux réunions et sont amenés à proposer des initiatives ou actions suivant les orientations et les décisions prises dans le cadre d un projet global : intervention auprès des jeunes dans les quartiers, financement d actions, etc. 3. Contrat CAF A la fin des Contrats Temps Libre, quasiment toutes les villes du département ont adopté un Contrat Enfance/jeunesse avec un volet jeunesse c'est à dire au moins une action suivante financée parmi les suivantes : - Accueils de loisirs, - accueils périscolaires, - séjours vacances été, - séjours petites vacances, - camps adolescents, - accueils jeune déclarés à la DDJSVA - formation BAFA-BAFD Les CEJ sont aussi sollicités pour financer des postes de coordinateurs pour assurer une pertinence éducative dans les villes s engageant dans la mis en place d un projet éducatif dans le cas d une politique jeunesse. Les professionnels regrettent le manque de prise en compte des réalités de terrain pour répondre aux procédures administratives. 4. BIJ, PIJ et réseau information jeunesse : Sur 38 villes recensées, 29 ont un Point Information Jeunesse (PIJ), une seule ville à un BIJ (Maisons- Alfort). D autres sont rattachés à un PIJ d une ville dans le cadre d un contrat d agglomération ou d un partenariat de proximité. Une seule ville n a plus de label PIJ : Saint Maur. Rare sont les villes qui ont un local PIJ qui ne soit pas rattaché au service Jeunesse ou en dehors des locaux jeunesse. Plusieurs villes sont dans la perspective de créer un PIJ (Vincennes, Choisy le Roi, Cachan, Rungis) suivant les objectifs et orientations politique jeunesse. La majeure partie du public jeune accueilli dans les PIJ est de 18 à 25 ans. Certaines communes accueillent une tranche d âge plus jeune 12, 14, 15 à 25 ans mais aussi jusqu à 29 ans, car beaucoup de PIJ sont au sein d une structure jeunesse. Dans le cadre du réseau PIJ, on trouve toujours les mêmes partenaires : Mission-ville, pôle Emploi, Bassin d emploi, Etablissements scolaires, Clubs de prévention ou PJJ, Associations de la ville, Cadrij, CIDJ, DDJSVA mais peu d Entreprises sauf RATP.

8 Au niveau des actions info-jeune : logement, emploi, aide à la formation professionnelle (stage, entreprise ), aide au projet individuel ou collectif (séjours, actions sportives, engagement associatif, actions humanitaires, musique ), et puis action Cyber recherche internet. Au niveau de la qualification des animateurs info-jeune, tous ont eu une formation CIDJ, avec des qualifications diverses telles que BAFA, BAFD, BPJEPS, BEATEP ou cursus universitaire (Science de l éducation, diplôme carrière sociale, BTS Tourisme ), de plus en plus les PIJ font appel à des intervenants avec une spécificité multimédia, artistique (musique, studio d enregistrement ) ou culturelle car beaucoup gèrent aussi des ateliers musique, photos, vidéo, studio d enregistrement, création CD ou danse, Rapp, Slam En ce qui concerne les horaires des PIJ, généralement du lundi au vendredi de 9H00 à 18H30 voir 19H Les structures du Val de Marne : A partir des données de la télé-déclaration, la DDJS a recensé les différentes formes de structures qui accueillent les jeunes. 117 structures ont été déclarées pour un total de plus de 3000 jeunes fréquentant les lieux. (Les 38 villes consultées représentent 108 de ces structures). 78 de ces structures sont gérées directement par les municipalités, pour plus de 2200 jeunes auxquelles il convient de rajouter la régie d exploitation et offices municipaux. Au trois quart, les services de loisirs pour les jeunes sont gérés par les Mairies. Les autres structures sont des MPT, centres socioculturels, centres sociaux et diverses associations locales. Les structures gérées par les municipalités peuvent prendre différentes nominations : club adolescents (ou 11/15 ans), service municipal de la jeunesse, espace jeunes, centre sportif, PRIJ, antenne jeunesse, pôle jeunesse, cap jeunes, ludothèque, etc. II) Analyse des besoins et attentes des chefs de service jeunesse des communes du Val de Marne I. CONTRAINTES, ATTENTES ET BESOINS Listing des problématiques liées à la fonction des chefs de service jeunesse Manques Manque de structures spécifiques pour la jeunesse (PIJ ), Manque d information et de formation pour les missions d organisation ou de réorganisation d un service jeunesse, Manque de transversalité entre les villes et les services de l Etat agissant auprès de la jeunesse, Manque de communication avec les institutionnels, Manque de prise en compte des besoins et attentes des jeunes par les élus, Manque de cohérence entre la CAF et la DDJS dans les déclarations d effectifs (présences journée enfants/jeunes), Manque de formation à l évaluation, Manque de formation-continue spécifiques à la jeunesse, Manque de moyens humains, Manque d outils et de données sur les pratiques éducatives (Fiches recherche actions) Difficultés

9 Difficulté de toucher le public jeune de ZEP ou voir favorisé, Difficulté de mettre en place un partenariat avec l EN sur des projets communs (IA/Ets scolaires/ville, Difficulté de fidéliser des animateurs permanents, Difficulté des équipes d animation à se remettre en question sur ses pratiques éducatives, Difficulté des élus à définir et rendre lisible des orientations éducatives et politiques, Difficulté d accompagner le jeune dans son projet final (logement, emploi ), Difficulté de partager des locaux avec les services de la ville, Difficulté de recruter des animateurs, Questionnement Comment informer les élus sur le travail difficile du chef de service jeunesse (cohérence éducative, rapport avec les élus )?, Comment interpeller les financeurs sur des aides aux actions innovantes correspondant à la demande sociale avec un cadre législatif sécuritaire? Comment mettre des outils d évaluation en termes d actions? Comment créer une dynamique autour du service public? Comment avoir des informations sur les divers financements (projet jeune à l échelle européenne Comment répondre aux besoins des bénévoles (dédommagement)? Comment convaincre les politiques et institutionnels du bien fondé des actions en faveur de la jeunesse- soutien des élus? Comment recruter des personnes qualifiées sur un profil et missions correspondant à une demande locale? Comment faire reconnaitre et valoriser le métier d animateur jeunesse (Salaire, image, public )? Relations avec les institutionnels Missions administratives trop lourdes (CAF, DDJS, Ville ), Avis consultatif des institutionnels (DDJS, CAF, Conseil Général), Procédures administratives trop contraignantes, Problèmes liées à la formation des équipes éducatives Problème de requalification des agents, Des formations non-adaptées aux besoins d un service jeunesse (BPJEPS, BAFD), L implication différente entre formés et non-formés (investissement et motivation de l animateur), Des formations diplômant es répondant plus aux demandes spécifiques d un service jeunesse Inadéquation entre la formation initiale et les missions de l animateur de quartier, Il faut associer les institutionnels dans les formations, Pérennisation des projets et actions, Ouverture des pratiques culturelles, Un regard restrictif des animes face aux activités et actions éducatifs, Investigation et motivation des animes vieillissants, Absence de mixité dans les équipes éducatives et jeunes, Listing des attentes et besoins des chefs de service jeunesse

10 Besoins Besoin de réseau et partenariat avec les chefs de service, acteurs socio-éducatifs et animateurs de service jeunesse, Besoin d un réseau d échanges sur les pratiques éducatives, mis en place de recherches d actions, rencontres thématiques, Besoin de formation-continue pour les cadres territoriaux, Besoin de clarifier les actions, de les évaluer d après un diagnostic sur le nouveau public jeune, Besoin d échanges et d actions inter-agglomération, Besoin d échanges sur les problématiques de gestion du personnel et sur les pratiques éducatives, Besoin d'un observatoire jeunesse sur la ville, Besoin d avoir une assistance juridique, Besoin d avoir un regard sur la politique globale de la jeunesse en Ile de France, Besoin de rencontrer les organismes de formation Besoin d ajuster les formations avec des contenus adaptés aux besoins du terrain, mais aussi avec des intervenants professionnels socio-éducatifs et institutionnels, Besoin de plan de formation, d auto-formation en interne, Attentes Attente de formation continue spécifique à la demande locale, Attente de pouvoir rencontrer les institutionnels et les financeurs (dispositifs, subventions, appel à projets, législation Attente d un accompagnement de la DDJS sur le plan pédagogique, P.P, projet, financement, législation, dispositifs > visite conseil, II. ANALYSE a) Première analyse Cinq pistes de réflexions sont déjà visibles à partir des réponses des interviewés La formation : formation initiale, professionnelle et formation continue Le métier d animateur jeunesse : reconnaissance et valorisation Les institutionnels : rencontres, soutien, procédures Réseau et partenariat : communication, information, recherche actions, outils Les élus : relation, information et communication Nous nous apercevons que les contraintes, les besoins et les attentes sont à peu près les mêmes dans les villes de plus de habitants (formation, rapports avec les institutionnels, échanges des pratiques éducatives, ), tandis que sur les territoires de moins de habitants (Ablon sur Seine et le plateau Briard), ils sont plutôt de l ordre de la création de lieux d accueils, d échanges d actions interagglomération, avec la mise en place de véritables orientations politiques jeunesse par leurs élus. Une demande commune semble être unanime à toutes les villes : un besoin de se mettre en réseau de professionnels socio-éducatifs pour agir d une façon cohérente, mais aussi afin de pouvoir échanger sur les pratiques éducatives entre chefs de service jeunesse. b) Deuxième analyse

11 L analyse ci-dessous a pour objectif de préciser les pistes de réflexion, afin de poser le cadre de chaque problématique. La formation : Aujourd hui la réglementation sur les accueils de loisirs impose le BAFA et le BAFD, voire le BPJPS dans certaines conditions. Pour les professionnels, ces formations ne correspondent pas au profil et mission de l animateur travaillant en milieu ouvert. Les contenus ne tiennent pas suffisamment compte des contextes socioprofessionnels et des spécificités de terrain, par rapport à la demande locale. Pour bien des structures, le BAFA et le BAFD constituent les seules formations pour travailler en milieu ouvert. Pourtant 50 % du temps de travail de l animateur correspond à du contact avec le public, et 50% au montage d actions : créer du réseau et du partenariat, informer et communiquer, répondre aux démarches des dispositifs et participer aux diverses réunions. Le réel besoin de partager avec les institutionnels et les organismes de formation se fait sentir. Les chefs de service soulignent le manque d une formation à la hauteur des besoins, d une formation cohérente, ambitieuse, connue et reconnue sur le plan technique et pédagogique. Il existe une demande forte pour que les contenus des formations soient échangés et partagés avec les expériences professionnelles des acteurs de terrain, dans une dynamique collective. Derrière l adaptation aux besoins spécifiques de la jeunesse se profile la question de la reconnaissance les savoirs faire vis à vis du grand public, des institutionnels et des élus. Le métier d animateur jeunesse Plusieurs questions ont été soulevées autour de cette thématique : - La remise en question des pratiques éducatives et pédagogiques des animateurs (prise de recul) : les professionnels le relient, soit parce à un problème de formation, soit à un manque de motivation et d investigation d animateurs vieillissants. Cela se traduit de différentes façons : o La difficulté des animateurs à être des accompagnateurs aux projets de jeunes (action éducative), face à la faciliter de monter des activités de consommation. o Le manque d échanges de pratiques éducatives entre animateurs jeunesse (échanges des expériences-fiches actions, outils d évaluation ). o Un sentiment d incompétence et d échec de la part des animateurs face aux difficultés rencontrées qui peut être un facteur de démotivation o le manque de communication entre animateurs, etc. - L embauche difficile d animateurs ayant l âge et le profil adéquat par rapport aux missions (rapports entre profil, missions et fonctions), ainsi que la difficulté d avoir des équipes mixtes : embauche d animatrices sur les structures de quartier. - La reconnaissance et la valorisation du métier d animateur de quartier. o Le niveau de salaire (SMIC) qui n est pas la hauteur du service, o Les horaires sont difficiles (le samedi, les soirées, lors d événementiels..) quand on a une famille, o Le travail éducatif réalisé sur le terrain est peu valorisé par les élus, qui sont plutôt en attente d un médiateur de paix sociale dans les quartiers (l image du "grand frère" n estelle pas encore trop souvent collée aux animateurs de structures de quartier?). o Les services jeunesse ont une mauvaise image, celui d un lieu mal fréquenté, et cela n est guère motivant pour les animateurs dans leurs projets,

12 Pour les chefs de service, la valorisation du métier d animateur de service jeunesse est vraiment un souci, car l image d un lieu "mal fréquenté" reste encore bien ancrée. Comment valoriser le métier d animateur jeunesse? Est-ce un problème de communication, d information sur le travail éducatif et pédagogique de l animateur ou un problème de reconnaissance du métier par la mise en place de diplômes professionnels? Plusieurs solutions ont été évoquées : par exemple, la mise en valeur des actions de jeunes vers les élus et les parents, une réflexion sur le métier d animateur comme acteur de liens sociaux dans la ville (réseaux, partenariat, parentalité), etc. Les institutionnels Les chefs de service ont exprimé le besoin de pouvoir rencontrer les institutionnels agissant dans le domaine de la jeunesse, tant en termes d accompagnement, que de soutien pédagogique et réglementaire (législation). Ils ont aussi évoqué la difficulté, pour eux, de s adapter à certaines procédures administratives (déclaration, demande subvention ). Leurs demandes sont assez diversifiées. Ils souhaiteraient : - Une législation et une procédure plus souple pour le fonctionnement des structures «jeunesse» - Des financements plus ciblés pour des actions innovantes correspondantes à la demande sociale et locale. - Un soutien des institutionnels auprès des élus pour les convaincre du bien fondé des actions menées par les services. Ils ont aussi souligné le manque de transversalité entre les villes et les institutionnels au sujet de l information et de la communication, celle ci ne redescend pas forcément jusqu à eux. Enfin, ils émettent le souhait de rencontrer plus souvent les institutionnels pour avoir un avis consultatif sur leurs actions, mises en œuvre dans le cadre des projets éducatifs locaux (outils d évaluation, indicateurs ). Leur souci est de pérenniser les projets et actions, en suivant les orientations éducatives de la ville. Réseau et partenariat La création de réseaux et de partenariats est une priorité des acteurs éducatifs. L échange des pratiques éducatives devient incontournable face aux réalités, besoins et attentes des jeunes sur un territoire. Les acteurs socio-éducatifs se retrouvent souvent en difficulté devant des situations que d autres ont déjà connues, analysées, voire résolues dans certains cas. Que ce soit avec les animateurs, directeurs, chefs de service, élus, ou institutionnels, ils ont besoin de partager des informations et des outils afin d agir sur les diverses problématiques auxquelles ils sont confrontées, en termes d éducation ou de citoyenneté. Quelques pistes de réflexions ont été émises par les interviewés : Mettre en commun des fiches actions, réfléchir ensemble sur des pratiques éducatives, avoir un support organique, une coordination d action, banque de données, partage d outils, rencontre entre acteurs de terrain, développer les échanges avec les services villes et partenaires sur des actions communes, partager des actions entre comité d agglomérations, développer des commissions jeunesse au niveau des villes avec les partenaires locaux, des projets partagés Une des difficultés rencontrées par la plupart des villes est de mettre en place un partenariat avec l EN sur des projets communs (IA/Ets scolaires/ville)

13 Quels sont les moyens mis à disposition des acteurs pour la mise en place d un réseau de partenaires? Quels sont les moyens mis en œuvre par le professionnel pour une dynamique locale de partenariat? Quelle dynamique locale pour un projet partagé? Quel partenaire pour rendre possible le projet de jeune? La construction d un réseau de partenaires reste indispensable pour l accompagnement du jeune dans son projet, dans le cadre d une politique éducative globale. Les élus Le recensement des attentes et besoins des chefs de service jeunesse a fait remonter des problèmes relationnels entre les élus et les responsables de service, mais aussi un problème de communication sur les orientations éducatives et politiques. Les responsables attendent des élus une politique éducative claire et lisible, avec des objectifs clairement définis. Ils souhaitent avoir leur soutien et leur validation, lors de leurs prises de décision : un soutien, mais aussi une reconnaissance de leur travail, et de celui des animateurs, dans le cadre des projets et des actions. Ils ont évoqué le besoin de rencontrer les élus plus souvent, pour une plus grande cohérence éducative quand il s agit de mettre les moyens financiers, humains et partenariaux. Ceci leur apparaît souhaitable, afin que les actions engagées soient les plus adaptées possibles aux besoins et attentes des jeunes (Recrutement, organisation ou réorganisation du service, locaux, formation, projets de jeune, événement ) Un quatrième problème est de l ordre de la communication : Comment valoriser les actions auprès des élus? Comment convaincre les politiques de la ville et institutionnels du bien fondé des actions en faveur de la jeunesse? Comment inciter les élus à prendre en compte les objectifs, les actions, à les évaluer à partir d un diagnostic, en concertation avec les acteurs de terrain? Comment traduire un discours politique, souvent très général, en intentions éducatives permettant la mise en place d objectifs opérationnels, pour des initiatives locales? Se donner les moyens pour une meilleure compréhension du public jeune : l idée d un observatoire «jeunesse» a été plusieurs fois évoquée, sous diverses formes.

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