Projet. P dagogique A L S H LE CARMEL PRIMAIRE
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- Arnaud Joseph
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1 Projet P dagogique A L S H LE CARMEL PRIMAIRE 1
2 Sommaire 1. Introduction et donn es fondamentales p 3 2. Pr sentation de la structure et de son quipe p 5 3. Les objectifs p dagogiques p 7 4. Le projet de fonctionnement p 10 L quipe de direction et l quipe d animation p10-11 Les r unions p12 Les rythmes des enfants et l hygi ne et l assistant sanitaire p12-13 Les relations adulte/enfant, adulte/adulte et avec les familles p13-16 La vie quotidienne et la journ e type p16-18 Les accueils, les activit s et la piscine p Les repas, le temps calme et l apr s temps calme p23-26 L infirmerie p 26 Le mat riel p dagogique p 28 Le t l phone portable, la cigarette et la pause p Les mini-camps p Moyens financier p 32 2
3 6. La formation des animateurs p 33 1.Introduction et donn es fondamentales Ville du sud est de la France, N mes est la pr fecture du d partement du Gard et le chef lieu de six cantons. Elle est situ e au carrefour tr s fr quent de l axe Italie- Espagne et de la vall e du Rh ne. Cette situation g ographique a des cons quences directes sur l volution et le d veloppement de la cit. Des infrastructures modernes comme l acc s au r seau TGV, le n ud autoroutier ou l a roport donne la ville une ouverture certaine sur la r gion et la France. L ind pendance de la facult n moise, le fort taux de cr ations d emplois, d entreprises et beaucoup d autres indices permettent depuis quelques ann es de sortir de l tau entre Montpellier et Marseille, villes d j tr s satur es. Ainsi, N mes compte aujourd hui habitants ( habitants avec N mes m tropole) et poss de un des taux migratoire les plus forts de France avec un gain de habitants entre 1999 et 2004 au lieu de 5000 habitants entre 1990 et Si l on rajoute cela l ensemble des infrastructures culturelles et sportives, un patrimoine riche de 2000 ans d histoire et une g ographie locale alliant Mer M diterran e, Garrigues et C vennes, N mes semble avoir des atouts non n gligeables qui seront prendre en compte dans les diff rentes actions mener. Cependant, d autres facteurs importants montrent certaines difficult s sociales et conomiques. Le taux de ch mage est de 14% en moyenne (10% sur l ensemble du territoire), le revenu moyen des m nages est de (21000 au plan national) et le taux d endettement est deux fois sup rieur la moyenne fran aise. Cette situation 3
4 particuli re donne une importance de fait l ensemble des actions men es en direction de l enfance jeunesse. La ville a donc d velopp un r seau de 14 accueils de loisirs pour permettre aux familles dans le besoin de trouver une solution de garde l ann e concernant les enfants g s de 3 11 ans. Depuis 2003, elle a d cid d externaliser la gestion de ces accueils et a charg l IFAC (Institut de Formation d Animation et de Conseil) de ce projet en r f rence au cahier des charges ainsi qu au projet ducatif de la ville. Ce march est sign pour six ans, ce qui est en train de changer en vue de la r forme scolaire, et donne la coordination IFAC Etablissement N mes la gestion p dagogique et financi re de l ensemble des ALSH (Accueils de Loisirs Sans H bergement) dont le Carmel Primaire fait partie. Pour acc der cet accueil, qui est aussi une cole de plein air, c'est- -dire qui scolarisent des enfants en situation de handicap, la ville mis en place 4 points de raccompagnement. En effet, les enfants dont les parents ne peuvent se d placer, ont la possibilit de prendre des bus sp cialement affr t s ce transport. Les objectifs ducatifs : D velopper l'apprentissage de la citoyennet et la valorisation du lien social. D velopper la responsabilisation et l autonomie de l'individu. L IFAC est une union nationale d association loi 1901 cr e en 1975, elle est agr e Jeunesse et Education populaire et association ducative compl mentaire de l enseignement public. La mise en place de ce projet est bas e sur des valeurs issues de l ducation populaire, des mouvements qui en ont crit l histoire, des femmes et des hommes qui ont fait avancer la vision de l enfant dans nos soci t s. 4
5 2. Pr sentation de la structure et de son quipe L ALSH du Carmel Primaire a pour vocation d accueillir d une part, l accueil de loisirs, les mercredis et les vacances scolaires, d autre part d tre une cole de plein air fonctionnant toute l ann e scolaire. La direction de l cole est assur e par Mme Thenon, enseignante. L ALSH se situe chemin du Belv d re N mes au c ur de la nature, m lant pelouse, garrigue, terrain de cross naturel. L agr ment jeunesse et sport nous permet d accueillir 70 enfants g s de 8 11 ans pendant les mercredis et les petites vacances et 120 enfants durant les vacances d t. Il dispose aussi d un espace pique-nique am nag avec des tables. L t une piscine est mise disposition avec un surveillant de baignade. L ensemble des installations sportives est entour d espaces verts plus ou moins arbor s l arri re comme l avant du centre. A l int rieur, l accueil de loisir dispose d un bureau, d une grande salle d activit (salle polyvalente), de 3 petites salles d activit s avec dans chacune une armoire. Ces salles sont partag es avec l cole, ainsi que le r fectoire. Un ascenseur permet l acc s aux personnes handicap es. Dans le cadre d un partenariat avec l association Collectif 30, le Carmel Primaire accueille r guli rement des enfants porteurs de handicaps. Ces derniers font l objet d une attention et d un suivi particuliers (rencontre des parents et des ducateurs). L quipe d'encadrements : 5
6 Equipe de direction de l ALSH: un directeur. (+ 1 adjoint l t ) Equipe d'animation de l ALSH : 6 animateurs l ann e et 12 l t. Un surveillant de baignade. ( t ) Les horaires : L accueil de loisir est ouvert les mercredis et les vacances scolaires de 7h30 18h30 (sur le site ou sur les accueils externalis s). 3. Les objectifs p dagogiques Permettre l enfant de s panouir dans un cadre s curis et bienveillant. Favoriser le rythme et l quilibre de l enfant. D velopper la place de l enfant et sa participation dans l ALSH en travaillant sur son autonomie et sur sa responsabilisation. Il faut que l'enfant s'approprie le centre, et ce comme lieu de loisirs et d' changes. Cela sous-entend une multiplicit de moyens d'expression pour que l'enfant puisse intervenir et exposer ses choix. Il faut responsabiliser l'enfant, dans sa 6
7 vie au centre et avec les autres pour qu'il se construise son moi. Il faut l'encourager faire part de ses opinions librement et devenir autonome dans sa fa on de penser. D velopper l ouverture d esprit, la curiosit et l esprit critique afin que toutes ces qualit s soient profitables l enfant dans sa vie de tous les jours et dans sa formation de futur citoyen. L enfant est un citoyen en devenir. L acc s cette citoyennet, et toutes les responsabilit s qui y incombent, passe par l acquisition de qualit humaine et de comp tences telles que l ouverture d esprit, la curiosit, l esprit critique, le libre arbitre, la capacit argumenter, raisonner ou encore l empathie. Il est de notre responsabilit de faire en sorte que les enfants soient accompagn s dans cette d marche formative. Sans cela, notre m tier perdrait tout son sens.. D velopper la cr ativit et la d couverte d activit s artistiques, culturelles et sportives. L'enfant a encore besoin de r ver. L'accueil de loisirs est un terrain propice pour le d veloppement de son imagination et son besoin de cr ativit. L enfant entre dans une phase de d veloppement o sa cr ativit doit pouvoir s'exprimer au travers de diff rents supports. L'accueil de loisirs doit permettre l'enfant de trouver des modalit s d'exposer sa soif de cr ation et son besoin de r ver. 7
8 La p dagogie de l'expression est un des moyens qui doit tre utilis tant pendant les temps d'activit que dans les diff rents temps de la journ e. Permettre aux familles d avoir un maximum d informations ainsi qu un maximum de clart sur le fonctionnement de la structure. Il faut d velopper le dialogue et l' change avec les familles. Il faut tre un moteur, une dynamique qui va permettre aux familles de franchir le pas vers une d marche de rencontres et de participation. Notre d marche ducative ne peut se d velopper et se p renniser qu'en prenant en compte tous les acteurs ducatifs, associatifs et institutionnels. R le est fonction du directeur : Fonctions p dagogiques Elaborer et mettre en uvre un projet de direction et un projet p dagogique. Animer, organiser, coordonner, r guler et former l' quipe d'animation. Mettre en place une valuation formatrice pour l' quipe d'animations et pour ellem me. Animer le vivre ensemble. Communiquer dans et sur la structure. Informer et associer les parents. 8
9 Fonctions sanitaires Etre garant de la s curit physique, affective et morale de l enfant. Veiller la qualit de l'alimentation. S'assurer que tous les acteurs de la structure travaillent dans de bonnes conditions sanitaires. Administration, gestion, responsabilit s Gestion du mat riel et des locaux. Gestion du budget p dagogique. Gestion des relations internes. Respect et communication des r glementations en vigueur. tre garant p dagogique, et garant de la s curit des activit s propos es par les animateurs. Identifier et solliciter des partenariats. 4. Projet de fonctionnement Le Carmel Primaire, par sa capacit d accueil, n cessite un fonctionnement par petits groupes diff rents moments de la journ e afin de favoriser un projet de vie bas 9
10 sur la concertation et la participation active de chacun de ses membres (enfants et animateurs). Ce travail en petits groupes des moments cruciaux de la journ e (respect du rythme de l enfant), permet de cr er par la suite des changes intergroupes porteurs, au travers de diff rentes activit s (jeux, grands jeux, journ es th me, spectacles, etc.). Ce fonctionnement permet aussi l enfant d tre r ellement acteur de sa journ e et non un enfant qui subit le rythme des adultes. L quipe de direction Elle est compos e d un directeur (BAFD). Le directeur a en charge le suivi p dagogique et administratif (relev de pr sences, suivi caf, gestion financi re, dossiers animateurs et enfants, d claration DDJS). Il doit recruter son quipe en accord avec la coordination. Il assure le suivi des stagiaires et l valuation de chaque animateur. Il accompagne les animateurs dans l laboration de leurs projets, de leurs animations, de journ es exceptionnelles. Il confirme et organise les sorties. Il participe l animation du centre afin de cr er une dynamique entre les enfants et les animateurs. Il s occupe du suivi sanitaire des enfants et de l infirmerie. De mani re g n rale, lors des jours d ouverture, le directeur se rend disponible tout moment pour r pondre une attente, un besoin, ou d bloquer une situation. Il est le garant du bon fonctionnement global de la structure. L quipe d animation : L quipe d animation est compos e de 6 animateurs. 10
11 Elle est attentive au bien- tre physique, affectif et moral des enfants. Elle d veloppe un relationnel bienveillant avec les familles. Elle respecte la loi en vigueur du pays, la convention internationale des droits de l homme et celle des enfants (tout comme la direction). Elle a un comportement responsable, professionnel et respectueux face aux enfants (attitude p dagogique, tenue vestimentaire, ponctualit, langage, portable, cigarette ). Elle doit pr voir, organiser, mener, et ranger les activit s. Elle est donc garante d une vie quotidienne r ussie. Elle est garante de la bonne utilisation et conservation du mat riel. Elle a un r le tr s important lors des accueils du matin et du soir, sur l ALSH ou sur les accueils ext rieurs. Elle propose des activit s vari es en fonction des int r ts, des besoins, des capacit s, du rythme des enfants et bien s r des objectifs p dagogiques. Elle permet aux enfants de s exprimer, de quelque mani re que ce soit. Elle est vigilante quant l' tat de la structure et de ses locaux. Elle porte une attention particuli re aux enfants porteurs de handicaps et leur int gration dans le groupe. Les r unions : Les r unions sont le lieu pour exposer et actualiser le projet p dagogique. C est aussi un moment de r gulation et d expression pour chacun. Chaque r union fera l objet d un bilan de la p riode coul e et permettra de se projeter dans la p riode venir. Elles ont aussi pour but de travailler la coh sion de l quipe. Hygi ne : 11
12 Il est important que les enfants arrivent et repartent propres de l ALSH. Ils doivent de plus pouvoir s hydrater tr s r guli rement. Il faudra prendre soin de se laver les mains, le visage avant de changer d activit (passage de l activit au repas, ou retour d une activit salissante). Nous seront garants au maximum des effets personnels des enfants et nous favoriserons pour chaque enfant la conservation de ses affaires par le biais de moments formels dans la journ e o les enfants pourront v rifier s ils leurs manquent des habits ou autres. Ces moments doivent favoriser et d velopper l autonomie des enfants. Il est important de laisser l acc s libre aux toilettes tout moment de la journ e. Cependant, la mise en place de temps d hygi ne collectif permettra aux animateurs d valuer les gestes de chaque enfant. Il est noter que les toilettes au rez-dechauss e et ceux l ext rieur sont r serv s aux enfants. Les adultes utilisent des toilettes qui leurs sont r serv es l tage. La relation adulte / enfant : Les r gles de vie Toute vie en collectivit implique le respect par tous de certaines r gles. Ces r gles prennent en compte la l gislation en vigueur et les r gles de s curit et sont un pr alable la vie en collectivit, sans conflits ni rapports de force ; elles permettent de responsabiliser les enfants et assurent la s curit physique, morale et affective de ces derniers. Il est n cessaire que les enfants soient inform s de ce qui est autoris, de ce qui ne l est pas et des raisons de ces interdictions. Afin que les enfants comprennent et assimilent bien ces r gles, il est utile de les associer l laboration de ce r glement. De plus il est bien vident que ces r gles de vie sont les m mes pour tout le monde et que 12
13 l quipe p dagogique, dans son int gralit, doit tre coh rente par rapport ces r gles et leur application. L autorit Avoir de l autorit n est ni un don naturel r serv quelques heureux privil gi s, ni une attitude sens unique visant imposer cette autorit (attention ne pas tomber dans l autoritarisme!). C est un comportement de tous les instants qui am ne les enfants reconna tre l autorit d autrui en le respectant pour ce qu il lui apporte. La sanction Ce terme, souvent mal utilis, d signe un signe de reconnaissance de l adulte envers un acte ou une parole de l enfant. Ces signes de reconnaissance peuvent tre soit n gatifs (r action face un acte que l on juge n gatif), soit positifs (r action face un acte que l on juge positif). Ils peuvent prendre diff rentes formes comme une approbation ou une d sapprobation, l expression d un sentiment (joie, tristesse, col re, plaisir...), un contact physique (sourire, c lin, bisou...) ou encore un dialogue. Cependant il faudra faire attention ce que cela ne devienne pas syst matique ; il faut que cela reste sinc re (attention la r action hypocrite ou au chantage affectif!). En cas de non respect des r gles de vie, il est n cessaire de faire prendre conscience l enfant de la port e de son acte, en lui faisant r parer le dommage qu il a caus plut t qu emp cher que l acte ne se reproduise par une peur de la sanction ou par une peur 13
14 de l adulte. On vitera les punitions excessives sans rapport avec l acte et les abus de pouvoir (priver de dessert, de sortie, copier des phrases idiotes ). On essaiera plut t de trouver des solutions adapt es aux probl mes de l enfant. Cependant des sanctions graves pourront tre envisag es si l int grit physique, affective et morale des enfants est mise en danger. Il est n cessaire de mettre en place une hi rarchie des sanctions et des discussions face un probl me : 1. Tout d abord, une discussion entre le ou les enfants concern s et l animateur. 2. Puis entre les enfants concern s et les animateurs du groupe. 3. Enfin une discussion entre les enfants, l animateur et le directeur. Les animateurs devront tre en capacit de valoriser la bonne volution du groupe et les comportements positifs en favorisant l expression des enfants sur leur ressenti de chaque journ e et en montrant la satisfaction de vivre et groupe. donner de la vie au La relation adulte / adulte : Il est important de bien communiquer au sein d une quipe. Chaque animateur pourra proposer ses id es et donner son avis ; n anmoins, tous les protagonistes devront se comporter en adultes responsables afin d viter tout risque de conflits plus ou moins s v res devant les enfants. Si conflit il y a, les animateurs devront changer sur leur diff rent mais l cart des enfants En effet, ceci est indispensable la reconnaissance de l autorit de l adulte par les enfants! 14
15 Des r unions peuvent tre organis es, si n cessaire, l cart des enfants ; c est ce moment pr cis que le diff rent pourra tre r gl en pr sence des int ress s et de l quipe de direction. La relation avec les familles : Les parents doivent pouvoir s informer sur les activit s propos es sur le centre. Les plannings de chaque groupe seront affich s sur l ensemble des accueils du Carmel Primaire et transmis la coordination afin que le planning soit mis sur le site de l IFAC. Les animateurs doivent tre disponibles pour r pondre toutes les questions des familles. Ils ne doivent pas h siter faire conna tre les activit s du centre et inviteront les parents contacter la direction pour des questions plus pr cises. L quipe doit avoir une attitude rassurante et bienveillante envers les familles. Si un animateur rencontre un probl me sur un point d accueil, il devra contacter imm diatement la direction afin qu elle puisse trouver les solutions n cessaires la r solution du probl me. On demandera aux parents de veiller ce que les enfants n apportent pas d objets personnels (ballons, cartes, consoles). L quipe ne sera pas tenue responsable si un objet est cass ou dispara t. La vie quotidienne : Il s agit d une priorit quant sa mise en place. Au d but de chaque p riode ou s jour, les r gles de vie quotidienne devront tre d finies avec pr cision, discut es et expliqu es aux enfants. Il est important pour l animateur de pouvoir d finir le pourquoi de l interdit afin de permettre une assimilation plus rapide et plus efficace chez l enfant. Exploiter au maximum les 15
16 possibilit s de d corer et de personnaliser sa salle m me si on sait qu elles sont limit es. Cela permet aux enfants de s approprier leur lieu de vie et facilite le rangement en autonomie (respect de sa salle et du mat riel). Exclure le fait que l on puisse faire un temps agit dans sa salle pendant une heure avec plus de 15 enfants : cela entra ne souvent une fatigue et une nervosit g n rale, due principalement au bruit, et entra ne une d gradation acc l r e de la salle (trou dans les murs, traces de pieds ). Ces temps l doivent absolument tre encadr et anim. Note : Une vie quotidienne qui fonctionne est une des garanties de la bonne coh sion du groupe et de la r ussite de la journ e. Elle doit tre un moment propice l ducation des enfants pour une vie sociale harmonieuse. A ce niveau, le r le d animateur est primordial. Il devra veiller entre autre : - Au respect mutuel (envers les autres enfants, les encadrants, le service technique, etc...). - A l hygi ne de vie (toilettes, alimentation, etc. ). - A la responsabilisation (rangement de ce que j utilise ). - A l autonomie de l enfant. - Au partage. La journ e type : 7h30-9h00 : accueil sur l ALSH et sur les points d accueils ext rieurs. 8h45-9h00: arriv e des bus, appel de chaque point par l quipe de direction et calcul de l effectif. Les enfants rejoignent le groupe avec leurs animateurs d accueil, et mettent en 16
17 place le d but de la journ e (appel, discussion sur la journ e, chants, jeux et prises en main). 10h00-12h15 : temps d'activit. 12h30-13h15 : temps de repas. 13h20-14h15 : temps calme et apr s temps calme. 14h20-15h45 : prises en main et temps d'activit. 16h00-16h30 : go ter et forum de discussion ventuel. 16h30-17h00 : rangement des salles puis regroupement et r partition des enfants entre les diff rents bus et l accueil direct, d part des bus. 17h00-18h30 : accueil sur l ALSH, retour et accueil des familles sur les points d accueils ext rieurs. Les accueils : Le directeur ou l un des animateurs d accueil se trouve l entr e de l accueil avec les listes d effectifs, ils accueillent les familles et les points d accueils ext rieurs avec l aide des animateurs de point de raccompagnement. L accueil est un moment important de la journ e. Le matin on prend connaissance des enfants. Nous devons pouvoir rassurer les enfants et les parents tout en pr sentant le centre, le programme et les animateurs. Le soir, l accueil permet de se retrouver avec les parents et d changer sur la journ e pass e. L accueil sur le Carmel Primaire Le matin, un animateur arrive avec un membre de l quipe de direction 7h30 pour pr parer leur mat riel et accueillir les premiers enfants. 17
18 L accueil se d roule dans la salle polyvalente de l accueil de loisirs ou l ext rieur s il fait bon. A leur arriv e, les enfants rejoignent les animateurs sur les diff rents espaces. L autre animateur ainsi qu une surveillante de baignade, faisant l accueil chez nous, arrivent 8h00 et 8h30. L quipe d animation doit ici se rendre disponible et tourner sur les diff rents jeux engag s par les enfants (c est un temps d animation part enti re), tout en r pondant aux attentes des familles. Le matin, l accueil se termine 9h00 quand les bus arrivent sur le centre. Vers 8h45, les animateurs de l accueil direct rangent avec les enfants. Ensuite la journ e type se d roule. Aux alentours de 16h45, la fin du go ter, l animateur de chaque groupe qui reste sur l ALSH prend en charge les enfants qui restent sur l accueil direct et les dirigent vers les espaces de jeux ext rieurs ou int rieur pour organiser les activit s sur le m me principe que le matin. Les points d accueils ext rieurs Ils sont au nombre de quatre ( cinq l t )et se r partissent sur l ensemble de la ville. Deux bus r cup rent les enfants entre 8h30 et 8h45 le matin, et les ram nent le soir entre 17h20 et 17h45. Ces points se trouvent soit sur des ALSH de la ville (Henri Wallon, Mont du Plan), soit sur des coles primaires (Paul Marcelin et Le Mas Roman l t ) soit sur un centre social (Emile Jourdan). Dans chacun d eux, une salle avec au minimum une table, des chaises, et un meuble de rangement avec du mat riel pour l accueil (feuilles, feutres, jeux de soci t ) sont mis disposition. Les animateurs ont un r le important pendant cet accueil, ils ont une d l gation de responsabilit du fait de la pr sence non constante de la direction. Ils doivent ainsi r cup rer un maximum d information sur chaque enfant pr sent (fiche d inscription, fiche 18
19 de renseignement, fiche sanitaire, assurance extrascolaire) et donner un maximum d informations aux parents. De plus, ils doivent assurer l actualisation du tableau d information (plannings, date d inscription, infos diverses). A l arriv e dans l ALSH, l animateur du point de raccompagnement devra se pr senter avec ses enfants devant le directeur afin de faire l appel. Le soir, les animateurs des points d accueil ext rieur se positionnent afin de r partir et d accueillir les enfants des autres groupes. En cas de pluie, les points de raccompagnement se repartissent l tage et dans la salle polyvalent au RDC avec un fonctionnement sp cifique. A 17 H00 apr s avoir appel, compt et recompt chaque enfant, les bus repartent vers les points d accueil ext rieur. Les activit s : On doit encourager les animations et les actions engag es comme les lections de d l gu es, l ducation aux m dia, sensibiliser les enfants sur leur citoyennet, les encourager proposer leurs propres activit s ou envies Ne pas oublier de valoriser ses activit s (expos ) Ne pas penser que si une animation ou une activit nous plait elle va forc ment plaire aux enfants. Ne pas faire passer son plaisir avant celui des enfants. Attention, on a tendance tre trop ambitieux lorsque l on pr pare un spectacle ou toute autre repr sentation. On surestime alors les capacit s des enfants et notre 19
20 IFAC ville de Nîmes animation devient très vite un cours scolaire car la grande majorité des enfants sont dépassés par ce que l on propose. Ne cherchons pas à nous faire briller au travers des enfants. On construit les plannings en fonction des objectifs que l on se sera fixés dans l équipe (en fonction des besoins et des attentes des enfants). Attention cela nécessite une bonne connaissance du développement de l enfant, de ses capacités et ses besoins en fonction de son âge. Donc on ne construit pas le planning en fonction des premiers désirs des enfants. Ne pas oublier qu un des objectifs du projet pédagogique est de développer la curiosité et l ouverture d esprit des enfants afin que cela leur soit profitable hors de l ALSH. Cela demande donc évidemment que les animateurs aient ces qualités là ou soient capable de les impulser. 20
21 P dagogie et s curit sont li es : si la pr paration de la journ e est anticip e et r fl chie alors on vitera 90% des conflits et autres tensions. La s curit physique, morale et affective des enfants s en suivra forc ment. Avant de commencer toute activit, chaque groupe devra faire l appel des enfants, donner cette liste la direction et en conserver un double. Favoriser la convivialit est indispensable au bon d but d une journ e. On privil giera la mise en place d un temps chant ou d un fond musical ou toute proposition de jeu visant impulser une dynamique dans le groupe. Ensuite, apr s avoir pr sent la journ e et form les groupes, les enfants partent en activit s. Ces activit s sont issue de la pr paration et la proposition d un planning par les animateurs d un groupe et s articule autour de proposition d activit s ponctuelles ou s inscrivant dans le cadre d un projet issu d un animateur ou des enfants. Ainsi, les animateurs ont la charge de planifier et d organiser les activit s d animation dans le cadre du projet p dagogique. Ces activit s demandent beaucoup d anticipation et de pr paration. Une animation pr vue au dernier moment et non r fl chie est une animation g n ralement loup e. La motivation des enfants est d autant plus facile transmettre que l activit sera bien pr par e. Les animateurs font preuve de communication entre eux pour la mise en place de projets d animations ou de grands jeux (Cabaret, Grand Casino, journ es th matiques, etc. ). 21
22 Le Carmel Primaire offre un cadre original pour les enfants. Les activit s d animations doivent prendre en compte cet aspect. Les animateurs pratiquant leurs activit s l int rieur (en cas de pluie) prennent en compte un temps de rangement qui est aussi un temps de responsabilisation de l enfant. Le rangement des salles dans lesquelles se d roulent les activit s est syst matiquement r alis (mat riel p dagogique ramen dans les armoires, peinture ou autres mati res salissantes nettoy es ). Pour chaque sortie, les animateurs se munissent de toutes les fiches sanitaires des enfants et du mat riel n cessaire (pharmacie, mat riel p dagogique, ) Ils connaissent chaque particularit sanitaire des enfants concern s (allergies, traitement, P.A.I.,) par le biais de l assistant sanitaire. La piscine ( t ): Un fonctionnement sera tabli (sous forme de planning) en coop ration avec le surveillant de baignade du Carmel Primaire pour que chaque enfant puisse se baigner tous les jours. Les repas : Le d jeuner Les repas sont pr par s en cuisine centrale par la soci t SODEXO. Ils sont livr s le matin sur la structure et sont r chauff par l quipe de cuisini res de l ALSH. Avant 10h, l effectif global du centre est donn au chef d quipe de la cuisine qui r ajuste les repas en fonction du nombre d enfants. Le r fectoire est une salle compos e de 8 tables adapt es au primaires et 6 tables maternelles. C est un service traditionnel avec plats sur la table. Les enfant se servent et 22
23 servent leurs camarades tour de r le. Le menu comporte 5 l ments, une entr e, un plat, un accompagnement, un laitage et un dessert. Il y a un seul service primaire, tous les enfants mangent ensemble 12h30. Il faut veillez ce que les enfants passent aux toilettes et au lavage de mains. Le repas doit tre un moment de convivialit. Un adulte sera plac par table en privil giant les tables des plus petits pour les assister si besoin. La participation de l animateur est active et permet un change avec les enfants (activit s de la journ e, lancement de rumeurs pour les futurs grands jeux, r le p dagogique, etc. ). C est galement un moment important de la vie quotidienne o l animateur pourra d celer un ventuel probl me chez l enfant. Chaque adulte table veille faire respecter certaines r gles de groupe qui devront tre appliqu es d s les premiers repas. L adulte en est le r f rent et doit donc les respecter lui-m me : - Inciter la propret des tables (aider les plus petits nettoyer ) - Limiter le niveau sonore. Les animateurs doivent se concerter pour mettre au point des m thodes intergroupes. Eviter les interpellations inter- table souvent cause de tumultes. - Respecter le personnel de service en invitant les enfants aux r gles usuelles de politesse. - Inciter les enfants go ter tout ce qui leur est propos (dans la limite des r gimes alimentaires sp cifiques ). Tous les plats sont bien pr sent s afin de susciter l envie et l alimentation est quilibr e... Il est vident que l animateur aura un r le d exemple pour les enfants - Limiter les d placements ceux n cessaires tels qu aller chercher de l eau ou du pain. 23
24 Note : Ces r gles de base doivent tre appliqu es pour la bonne coh sion du groupe, et pour que le service technique puisse faire correctement son travail. Attention : Il est absolument interdit de p n trer en cuisine par mesures de s curit et d hygi ne. Ceci, bien entendu, est valable tant pour les enfants que pour les adultes Le gouter Apr s le temps d activit de l apr s-midi 16h00 en cantine s il fait froid ou mauvais temps. Sinon le gouter se prend l ext rieur. Un forum d enfant pourra avoir lieu au moment du gouter afin que chaque enfant puisse proposer des activit s et en discuter avec ses camarades. Les animateurs pourront alors ajouter les activit s choisies par les enfants dans les cases du planning pr vues cet effet. Attention : le forum n est en aucun cas un d fouloir pour les enfants ou les adultes. Cela doit tre un moment agr able d changes et de discussions sur les moments partag s ou autre. Ce n est pas un lieu pour r gler ses comptes. Chaque groupe peut y donner la forme que bon lui semble. Le temps calme : Comme son nom l indique, il s agit d un moment propice au repos et la r cup ration. Certains auront besoin de faire la sieste, d autres pr f reront rester veill s. Pour le respect mutuel, il est important de maintenir le calme. Les animateurs pr sents sur le terrain proposent des activit s calmes (jeux de cartes, histoires, lecture, criture, etc. ) pour ceux qui ne voudraient pas faire de sieste. En 24
25 aucun cas, pendant ce moment, les postes radio hurlent, les portes claques, les cris fusent Ceci demande l encore une bonne coordination entre animateurs pour couvrir l o sont les besoins. L apr s temps calme : C est un prolongement du temps calme o les enfants qui souhaitent se d penser avec des jeux de ballons, de frisbee ou autre le peuvent. Ceux qui souhaitent prolonger le temps calme jusqu 14h15 le peuvent galement. Ce temps peut ventuellement rassembler deux groupes (en fonction de la taille des groupes). L infirmerie : Elle est situ e dans le bureau de la direction et est destin e aux soins et autres petits soucis. Les enfants ne se trouvant pas bien, ayant envie de discuter une personne neutre ou ayant tout simplement envie de se reposer en raison de gros tat de fatigue pourront venir s y reposer. L animateur aura pris connaissance de l tat de l enfant avant de l inciter rejoindre l infirmerie. il en fera part ensuite la direction. Les enfants pourront alors expliquer leur tracas ce dernier qui prendra le temps de les couter et de prodiguer les soins n cessaires. En aucun cas cette personne n est un m decin ; seul des soins l gers tels que d sinfecter une plaie superficielle, soigner un coup de soleil ou encore soigner des l vres gerc es pourront tre effectu s. Dans le cas o l enfant aurait besoin d un suivi m dical, il existe tout ce qu il faut en mati re de sant dans un p rim tre relativement proche (docteur, pharmacie, 25
26 clinique ). Bien entendu, si l enfant n cessite des soins plus pouss s l quipe de direction se chargera d en informer imm diatement la famille concern e. De plus, avant chaque sortie, l animateur devra obligatoirement se rendre l infirmerie afin d y r cup rer une trousse pharmacie compl te (attention ne pas s y rendre la derni re minute car c est dans ces moments pr cis qu un oubli arrive vite) pr par e minutieusement par le direction. Si un soin est prodigu aupr s d un enfant, l animateur devra noter sur un carnet, pr vu cet effet, le nom de l enfant, la blessure constat e, l heure du soin, la nature du soin et son nom. Au retour de cette trousse, l animateur prendra soin de pr ciser quels sont les soins administr s et avec quels produits, ainsi que le ou les enfants concern s La direction pourra alors, une fois les informations prises, v rifier si n cessaire la blessure de l enfant et ensuite compl ter le cahier de l infirmerie r serv cet effet. Attention : afin de ne pas surcharger l infirmerie, les animateurs devront faire la part des choses et bien discerner le vrai du faux ; en effet, certains enfants tombent souvent malades lorsqu une activit ne leur plait pas, soit par manque d envie sur l instant, soit par non connaissance de l activit ou tout simplement pour faire comme le copain ou la copine!!! Le mat riel p dagogique : Du mat riel p dagogique est mis disposition pour la pr paration des activit s. Ce mat riel est rang au niveau de la r gie. Seul les encadrants peuvent aller prendre du mat riel dans cette r gie. Les enfants ne doivent pas y avoir acc s. 26
27 Tout le mat riel doit tre syst matiquement rang dans la r gie la fin des activit s. L quipe d animation est donc la seule garante du bon fonctionnement de cette r gie. Si les animateurs s aper oivent d un manque de mat riel pour pr parer leur activit, ils devront en informer la direction. Attention : Toute demande tardive risque de ne pas pouvoir tre satisfaite. Le t l phone portable : Il a t sp cifi aux parents qu ils ne pourront pas joindre leurs enfants par t l phone sur l accueil de loisir. Bien entendu, nous nous engageons de notre cot les contacter si des probl mes sont rencontr s. Si des enfants sont trouv s en possession de t l phone portable, ils seront r cup r s et pos s dans le bureau de la direction jusqu ce qu il soit restitu aux parents ou aux enfants. De plus, en ce qui concerne l quipe d animation, le t l phone portable est un outil de travail afin de pr venir en cas d informations importantes ou de probl mes ventuels, et doit donc tre exclusivement r serv cet effet lors des heures de travail. La cigarette : Les animateurs fumeurs veilleront fumer en discr tion. Ceci sous entend qu il est interdit de fumer pendant les temps d activit s, et les temps pendant lesquels les animateurs sont avec les enfants. Les animateurs fumeurs pourront prendre une pause cigarette condition que celle-ci ne s ternise pas et/ou qu elle n intervienne pas toutes les heures, et bien entendu que cela ne p nalise pas le travail de l quipe (communication). De plus, depuis le d cret interdisant totalement de fumer dans les lieux usage collectif, et afin de respecter l application de ce d cret, nous vous demandons de ne pas fumer sur vos lieux de 27
28 travail. Nous vous pr cisons galement que dans les tablissements accueillant des enfants, cette interdiction s tend aussi aux espaces non couverts comme par exemple les cours d coles... La pause : Selon la convention collective nationale de l animation, chaque acteur de l ALSH a droit 45 minutes de pause journali re. Afin de ne pas perturber le d roulement de la journ e (dynamique de groupe, ) et de respecter le rythme de l enfant, les pauses seront prises hors temps d activit et devront se limiter au nombre de trois. Chacun g re son temps de pause comme bon lui semble en prenant garde de choisir le moment opportun pour se d tacher du groupe. Les pauses s arr tent 16h40, heure de regroupement g n ral qui n cessite l attention de tous les animateurs. Ne pas n gliger la dynamique que l on impulse dans le groupe. Cette dynamique ne peut pas tre p renne si on multiplie les pauses dans la journ e. Ne pas privil gier son rythme et son confort au d pend de celui des enfants. 28
29 5. Moyens financiers Le budget par enfant et par jour s l ve 2,70. Il est utilis pour l achat du mat riel, pour financer les sorties. 6. La formation des animateurs stagiaires Les stages pratiques BAFA Chaque animateur stagiaire BAFA rencontrera au moins une fois par semaine le directeur afin de faire le point sur la validation de son stage pratique. Cette validation portera sur la pr paration et le d roulement du s jour. La d cision sera prise par l quipe de direction et s appuiera sur les points suivants : - Sa capacit organiser et g rer les diff rents moments de la vie des enfants. - Sa capacit participer au travail d quipe. - Sa capacit assurer la s curit affective et physique des enfants. - Sa capacit g rer son rythme de vie. Il est utile de rappeler qu un animateur en formation BAFA a les m mes responsabilit s et effectue le m me travail qu un animateur dipl m. Les stagiaires BAPAAT et BPJEPS Selon ses dipl mes, un animateur, un adjoint ou le directeur peut tre le tuteur d un stagiaire suivant une formation de professionnalisation. 29
30 30
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