Maroc Bibliométrie numéro 7
|
|
- Vivien St-Hilaire
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Maroc Bibliométrie numéro 7 année 2013 CNRST IMIST Institut Marocain de l Information Scientifique et Technique éditorial a coopération scientifique : Une opportunité pour le Maroc a collaboration scientifique internationale est une nécessité pour les Etats. En effet, de nombreuses études ont confirmé la forte relation entre le niveau de la recherche scientifique d un pays et son degré de coopération, tant au niveau national ou international. C est pour cette raison que les gouvernements tentent, aujourd hui, à la fortifier et placer leur système de recherche dans le contexte international. Actuellement, l existence de la fracture scientifique entre les pays s explique, en majeure partie, par la place qu occupe la recherche scientifique au sein de chaque Etat. Pour y remédier, les Etats doivent s imprégner des modèles qui font le succès des pays développés, à travers le canal de la coopération scientifique. Ainsi, elle demeure un outil nécessaire pour le partage des expériences, des connaissances et des stratégies de développement. Elle présente, également, un moyen pour réduire l écart scientifique entre les pays développés et ceux qui ne le sont pas. De ce fait, il est important de promouvoir la coopération scientifique et technologique et de créer un cadre général propice à l ouverture internationale. Conscient de celà, le Maroc a développé, depuis son indépendance, une politique de coopération scientifique, à travers plusieurs projets bilatéraux et multilatéraux. Plusieurs types de coopérations ont été lancés : e Centre national pour la recherche scientifique et technique (CNRST), par exemple, détient dans son actif plusieurs accords de coopération, notamment avec le CNRS et l'inserm. D autres conventions ont vu le jour avec d autres pays dans divers domaines, comme, entre autres, celle avec la DFG (Allemagne), le CSIC et AECI (Espagne), le CNRI (Italie) et la GRICES (Portugal). Néanmoins, le niveau de coopération du Maroc à l échelle international reste en-dessous des espérances, comme le montre l évolution de la part des cosignatures du Maroc avec les autres pays. Ainsi, entre 1999 et 2011, la production scientifique marocaine est assurée, en majeure partie, par la collaboration maroco-marocaine et, ensuite, par la collaboration bilatérale avec la France, l Espagne, les Etats Unis, le Canada et l Italie. Quant à la collaboration multilatérale du Maroc (avec plusieurs pays à la fois), elle est prédominée par les pays européens. Ces derniers absorbent la plus grande part de copublications. A leur tête, on trouve la France, avec 5506 cosignatures. En seconde position, vient la collaboration multilatérale avec le continent américain, dominée par les Etats-Unis et le Canada avec, respectivement, 367 et 365 cosignatures. Par ailleurs, l évolution de la collaboration multilatérale avec l Afrique, le monde arabe et le continent asiatique est, presque, identique sur toute la période a position géographique stratégique du Maroc devrait lui permettre de jouer un meilleur rôle scientifique et de constituer une plateforme régionale pour la recherche et le développement. Dans ce sens, le renforcement de la coopération Nord-Sud s avère important pour rattraper le retard scientifique dont souffre le Maroc. a coopération avec les pays arabes et africains est, également, un levier non négligeable, vu le rapprochement culturel, la proximité géographique, la complémentarité et les potentialités de collaboration inexplorées. IMIST - CNRST Angle avenue Allal Al Fassi et avenue des FAR, Hay Ryad BP : Rabat Tél.: /04 /07 Fax:
2 Méthodologie Objet Décrire et présenter l état des lieux de la coopération scientifique internationale du Maroc, avec sa caractérisation selon les 4 champs disciplinaires tels que définis au niveau de la base de données Scopus, à savoir : «Physical Sciences», «ife Sciences», «Health Sciences» et «Social Sciences». Réservoir utilisé es données utilisées ont été extraites à partir de la base de données Scopus. Elles représentent les copublications maroco-marocaines, les copublications bilatérales, entre le Maroc et certains pays, et aussi la collaboration multilatérale entre le Maroc et un groupe de pays, réalisées entre 1999 et Exercice entrepris Pour recenser les copublications marocaines, sur la période , une requête a été lancée, dans un premier temps, pour obtenir la production scientifique marocaine, avec différentes variantes d écriture de «Morocco». Par la suite, pour mesurer les copublications maroco-marocaines, il a été procédé à l élimination de tous les pays pour ne laisser que le Maroc. De la même façon, l examen de la collaboration bilatérale du Maroc est fait en excluant tous les autres pays, en ne laissant que celui qui est concerné. Enfin, le recensement de la collaboration internationale multilatérale est élaboré en éliminant tous les pays non concernés, ne gardant que le groupe de pays qui nous intéresse, comme par exemple : l Afrique, les pays arabes, les pays européens, etc. Ce numéro propose trois analyses distinctes. En premier lieu, pour déterminer le niveau de collaboration multilatérale du Maroc avec un groupe de pays, nous avons analysé la copublication à travers l indicateur «part d articles en copublication internationale», qui se calcule comme suit : Nombre de Copublications internationale du Maroc nombre totale de publications marocaines *100 En second lieu, l étude de la production purement nationale à travers l indicateur suivant : Nombre de publications maroco - marocaines nombre totale de publications marocaines Enfin, l examen de la collaboration bilatérale (1), entre le Maroc et certains pays (les plus présents), s est fait en utilisant l indicateur «part d articles en Co-publication bilatérale», qui se calcule comme suit : Nombre de Copublications du Maroc avec le pays X nombre totale de publications marocaines *100 (1) :es Collaborations bilatérale désignent, dans ce numéro, les articles scientifiques ayant 2 auteurs ou plus de deux pays, dont le Maroc 2 IMIST - Maroc Bibliométrie - N 7 - année 2013
3 Collaboration internationale multilatérale Figure 1: Collaboration multilatérale du Maroc avec le Monde analyse de la collaboration multilatérale du Maroc, entre 1999 et 2011, montre que les pays européens réalisent la plus grande part de copublication, assurées essentiellement par la France, avec 5506 cosignatures, suivie de l Espagne, avec 1140, puis l Italie et l Allemagne, avec, respectivement, 453 et 413 copublications. Néanmoins, en termes d évolution, la collaboration multilatérale avec l Europe s est dégradée depuis l année En effet, elle a commencé en 1999 avec une part de copublication de 44,13%, soit 530 copublications. Après, une légère croissance a été remarquée jusqu à l année 2005, où cette part a atteint 44,40%. Ensuite, depuis 2005, une régression a été constatée pour atteindre une part de 27,71% en En seconde position, vient la collaboration multilatérale avec le continent américain, avec 748 copublications, dominée par les Etats Unis et le Canada qui réalisent, respectivement, 367 et 365 cosignatures. Cependant, il y a lieu de signaler un repli de la collaboration avec le continent américain depuis l année Par ailleurs, l évolution de la collaboration multilatérale avec l Afrique (2), le monde arabe et le continent asiatique est quasi stationnaire durant toute la période Enfin, il convient de relever que, malgré la proximité géographique et le rapprochement culturel, la collaboration avec l Afrique et le monde arabe est relativement très faible. Evolution de la part de la collaboration scientifique du Maroc entre 1999 et 2011 Figure 2: Evolution de la part de collaboration scientifique du Maroc avec les 5 premiers pays collaborant entre 1999 et 2011 a part de copublication scientifique du Maroc montre que, entre 1999 et 2011, l essentiel de la production scientifique marocaine est assuré par la collaboration maroco-marocaine. Vient, ensuite, la collaboration avec la France, l Espagne, les Etats Unis, le Canada et l Italie. a comparaison des parts de copublication fait ressortir les résultats suivants : (2) :Il convient de signaler qu il existe des pays africains qui sont pris en compte aussi dans les pays arabes à savoir l Algérie, la Tunisie et l Egypte. IMIST - Maroc Bibliométrie - N 7 - année
4 indicateur de la collaboration maroco-marocaine confirme une croissance, entre 1999 et 2001, passant de 45,55% à 57,14%, puis une régression jusqu à l année 2005, pour atteindre 44,55%, avant de reprendre son rythme de croissance pour atteindre 56,94% en 2011 ; Au fil des années, quand la collaboration maroco-marocaine croît, la collaboration avec la France baisse, et vice versa ; Après une période de recule, entre 1999 et 2002, la part de copublication avec la France a repris, à partir de 2003 (25,87%), son rythme de croissance jusqu à l année 2005 (29,63%), puis elle a encore baissé pour atteindre 15,21% en 2011 ; Malgré une certaine stagnation, l Espagne, le Canada, les Etats Unis et l Italie participent aussi dans la collaboration scientifique du Maroc. A signaler le cas de l Espagne qui se distingue par une évolution de la part de copublication, qui est passée de 1,67% en 1999 à 4,40% en Collaboration nationale Figure 3: Evolution de la part de la copublication marocco-marocaine Sur la période , la production maroco-marocaine présente près de 51% de la production scientifique globale, avec publications. a part de production purement nationale a réalisé une croissance, entre 1999 et 2001, passant de 45,55% à 57,14%. Ensuite, une régression a été enregistrée, entre 2001 et 2005, pour atteindre 44,55% en Une reprise, relativement faible, a été constatée après 2005, puisque cette part a atteint près de 56,94% en Collaboration internationale bilatérale Figure 4: Evolution de la part de copublication du Maroc avec la France a collaboration avec la France occupe le premier rang dans la copublication internationale du Maroc, puisque sa part a atteint, pour la période , 22,58%. En termes d évolution, la collaboration avec la France a affiché une tendance baissière sur la période , passant de 31,81% à 22,77%. Après ce net ralentissement, elle a entamé une reprise entre 2002 et 2005 pour atteindre une part de copublication de 29,63%. Enfin, la période a connu une baisse remarquable de cette part de cosignatures, passant de 23,30% en 2006 à 15,21% en IMIST - Maroc Bibliométrie - N 7 - année 2013
5 a collaboration scientifique du Maroc dans les 4 champs disciplinaires Pays Pysical Sciences ife Sciences Health Sciences Social Sciences Maroc 50,04% 48,54% 86,16% 65,27% France 36,21% 35,73% 11,31% 19,76% Espagne 6,36% 8,68% 0,93% 3,14% Canada 2,76% 1,86% 0,38% 5,24% Etats-Unis 2,07% 2,91% 0,83% 5,09% Italie 2,55% 2,28% 0,40% 1,50% Tableau 1: Parts de copublications avec le Maroc dans les 4 champs disciplinaires de Scopus analyse de la collaboration nationale et celle faite avec les 5 pays les plus collaborant montre que, sur la période , la collaboration maroco-marocaine prédomine dans les 4 champs disciplinaires. Elle détient 86,16% de la part de copublication en «Health Sciences», 65,27% en «Social Sciences», 50,04% en «Physical Sciences» et 48,54% en «ife Sciences». a collaboration avec la France vient en seconde position, avec une part presque identique en «Physical Sciences» et en «ife Sciences» (36,21% et 35,73%). Tandis que cette part avoisine 19,76% en «Social Sciences» et 11,31% en «Health Sciences». a cosignature avec l Espagne, le Canada, les Etats-Unis et l Italie se caractérise par une faiblesse, par rapport à la collaboration faite avec la France, dans tous les champs disciplinaires notamment en «Health Sciences» où la part de copublication ne dépasse guère le 1%. Figure 9: a collaboration scientifique du Maroc en "Physical Sciences" entre 1999 et 2011 Durant la période , la production scientifique du Maroc en «Physical Science» est tirée, essentiellement, par la copublication maroco-marocaine et la collaboration avec la France. Cette dernière occupe le premier rang dans 4 sous champs disciplinaires : En «Chemistry» avec 969 copublications, en «Materials Science» avec 951 copublications, en «Earth and Planetary Sciences» avec 356 copublications et en «Chemical Engineering» avec 323 copublications. Par ailleurs, la copublication avec l Espagne se distingue par une domination des sous champs «Chemistry», «Engineering» et «Physics and Astronomy», avec respectivement 217, 131 et 118 cosignatures. A son tour, la collaboration internationale avec le Canada se fait plus en «Engineering», avec 108 cosignatures, contrairement à l Italie où la collaboration est plus marquée en «Physics and Astronomy» avec 115 copublications. Enfin, la collaboration scientifique avec les Etats Unis reste faible dans ce champ disciplinaire. IMIST - Maroc Bibliométrie - N 7 - année
6 Figure 10: a collaboration scientifique du Maroc en "ife Sciences" entre 1999 et 2011 En examinant les sous champs disciplinaires du «ife Sciences» sur la période , c est la collaboration maroco-marocaine et la collaboration bilatérale avec la France qui occupent le premier rang dans ce champ. Il y a lieu de signaler que la collaboration avec la France occupe la première place dans les deux sous disciplines : «Biochemistry, Genetics and Molecular Biology» et «Pharmacology, Toxicology and Pharmaceutics», avec respectivement 504 et 220 cosignatures. Par ailleurs, l Espagne collabore, essentiellement, en «Agricultural and Biological Sciences» et en «Biochemistry, Genetics and Molecular Biology», avec respectivement 176 et 126 cosignatures. Tandis que la collaboration internationale du Maroc avec les autres pays dans les sous champs disciplinaires du «ife Sciences» reste faible. Figure 11: a collaboration scientifique du Maroc en "Health Sciences" entre 1999 et 2011 examen des sous champs disciplinaires du «Health Sciences» révèle l existence une prédominance de la production purement nationale dans le sous champ «Medecine», avec 4927 copublication, suivie de la copublication internationale avec la France dans le même sous champ, avec 607 cosignatures. Par ailleurs, la coproduction dans les sous champs «Nursing», «Veterinary», «Dentistry» et «Health professions» affiche une très faible cosignature internationale, affectée notamment par la faiblesse générale de la production nationale dans ces sous champs disciplinaires. 6 IMIST - Maroc Bibliométrie - N 7 - année 2013
7 Figure 12: a collaboration scientifique du Maroc en "Social Sciences" entre 1999 et 2011 Pour sa part, le champ disciplinaire «Social Sciences» affiche une prédominance de la collaboration maroco-marocaine dans tous les sous champs disciplinaires, notamment dans le sous champ «Social Sciences» et en «Decision Sciences», avec respectivement 220 et 122 publications, et dans une moindre mesure en «Arts and Humanities», avec 74 publications. Par ailleurs, la copublication internationale avec la France enregistre une cosignature élevée, relativement aux autres pays, en «Social Sciences» et en «Decision Sciences», avec respectivement 58 et 37 copublications. Tandis que la collaboration scientifique internationale avec l Espagne, le Canada, les Etats-Unis et l Italie affiche une faiblesse frappante dans tous les sous champs du «Social Sciences». Figure 13: a collaboration scientifique du Maroc en "Physical Sciences" entre 1999 et 2011 analyse de l évolution de la copublication en «Physcial Sciences», entre 1999 et 2011, montre que la production purement nationale suit, presque, la même tendance d évolution que la production marocaine générale dans ce champ. Dans une moindre mesure, la cosignature avec la France a réalisé une croissance stable pendant toute la période Par contre, l évolution de la collaboration avec l Espagne, le Canada, les Etats Unis et l Italie s est caractérisée par une faiblesse chronique, et ce malgré une tentative de croissance depuis 2005, pour atteindre 93 copublication en IMIST - Maroc Bibliométrie - N 7 - année
8 Figure 14: a collaboration scientifique du Maroc en "ife Sciences" entre 1999 et 2011 examen de l évolution de la collaboration nationale et bilatérale en «ife Sciences», sur la période , montre que la cosignature nationale et celle avec la France suivent, presque, la même rythme d évolution, malgré quelques fluctuations enregistrées sur des périodes séparées. Par ailleurs, la collaboration avec la France a été marquée par une évolution instable. Par contre, sauf pour l Espagne qui a réalisé, depuis 2001, une croissance sensible et relativement stable, la cosignature bilatérale avec les autres pays enregistre une faiblesse chronique. Figure 15: a collaboration scientifique du Maroc en "Health Sciences" entre 1999 et 2011 a production purement nationale et la production marocaine globale en «Health Sciences» suivent le même rythme d évolution sur toute la période Ceci révèle une certaine tradition des chercheurs marocains dans ce champ. Par ailleurs, une sensible croissance a été réalisée par la France, sur toute la période étudiée, faisant exception par rapport aux autres pays dans ce champ disciplinaire. Directeur de publication : Mohammed Essadaoui Rédacteur en chef : Hicham Boutracheh Equipe de Rédaction : Hicham Boutracheh Noureddine Anfaoui Nassima Akariou Rachid Ayssi Conception & mise en page: Samah Aouinate N de dépôt légal : 2010 PE 0103 ISSN : Figure 16: a collaboration scientifique du Maroc en "Social Sciences" entre 1999 et 2011 Comme pour le «Health Sciences», la production marocaine globale en «Social Sciences» et celle purement nationale suivent la même tendance d évolution. a cosignature avec la France est caractérisée par des fluctuations, tantôt positives tantôt négatives. En outre, la collaboration bilatérale avec l Espagne, le Canada, les Etats Unis et l Italie est, encore une fois, faible dans ce champ disciplinaire sur toute la période étudiée. 8 IMIST - Maroc Bibliométrie - N 7 - année 2013
éditorial n 3 Mai 2011 Article Trimestriel Programme d Urgence : pour une meilleure évaluation de l Université marocaine
Article Trimestriel n 3 Mai 2011 CNRST IMIST Institut Marocain de l Information Scientifique et Technique éditorial Programme d Urgence : pour une meilleure évaluation de l Université marocaine Afin d
Plus en détailInvestissement étranger à la Bourse de Casablanca
Investissement étranger à la Bourse de Casablanca Juin 2014 Page 1 898 SYNTHESE En 2013, le nombre des investisseurs étrangers en actions cotées à la Bourse de Casablanca a enregistré une hausse ; il est
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailGECA GLOBAL CONSULTING suarl 76, Avenue Habib Bourghiba App. A1-1 2080 Ariana - TUNISIA MF: 1260762R/A/M/000
GECA GLOBAL CONSULTING suarl 76, Avenue Habib Bourghiba App. A1-1 2080 Ariana - TUNISIA MF: 1260762R/A/M/000 GECA Global Consulting est une société de consultation internationale, constituée à Tunis. Cette
Plus en détailROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES
ROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES www.oc.gov.ma 2007 La reproduction des informations contenues dans la présente publication est autorisée sous réserve d en mentionner expressément la source. 1 TABLE
Plus en détailEGALITÉ ENTRE LES FEMMES
ÉGALITÉ CHERCHEUSE FEMME ENSEIGNEMENT HOMME ÉTUDIANTE RECHERCHE EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES Chiffres clés de la parité dans l enseignement supérieur et la recherche ÉGALITÉ entre les FEMMES
Plus en détailContrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT
Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT CONTEXTE GÉNÉRAL L amélioration de la compétitivité logistique des flux import-export, en termes de développement
Plus en détailService de la Gestion des Archives et de la Documentation. Direction des Ressources Humaines, des Moyens Généraux et des Systémes d information
Service de la Gestion des Archives et de la Documentation Direction des Ressources Humaines, des Moyens Généraux et des Systémes d information minestere de l habitat, de l urbanisme et de l amenagement
Plus en détailNOTE D INFORMATION n 01 Janvier 2014
DIRECTION DE L ÉVALUATION, DE LA PROSPECTIVE, ET DE LA PERFORMANCE DEPP NOTE D INFORMATION n 1 Janvier 214 La dépense par élève ou étudiant pour un parcours dans l enseignement scolaire ou supérieur en
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailINVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD
INVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD Programme des Nations Unies pour le développement LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD Les élections
Plus en détailLa publication, au second
Les entreprises industrielles françaises de plus en plus impliquées dans les NTIC Malgré l adoption accélérée des différents outils des nouvelles technologies de l information et de la communication (NTIC)
Plus en détail2012-2016 4+4 4+4 2012-2016. Stratégie du Pôle Social. Stratégie du Pôle Social
2012-2016 Stratégie du Pôle Social 4+4 4+4 Stratégie du Pôle Social 2012-2016 »YɪàL G Ö dg á«é«jgî SG 4+4 2012-2016 Introduction Notre pays entre dans une nouvelle phase de construction d un projet national
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailPrincipaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)
55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailÉléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011
1 Nos performances environnementales, sociales et sociétales en 2011 Éléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011 Sur les données environnementales publiées dans le présent rapport, il
Plus en détailinstruments de paiement échangés à travers les circuits bancaires
instruments de paiement échangés à travers les circuits bancaires Statistiques arrêtées à fin 2013 SOMMAIRE PRÉAMBULE 5 Partie I : Evolution des paiements de masse 6 I. Echanges EN INTERbancaire 7 1.
Plus en détailL histoire de l assurance en Algérie
POINT DE VUE POINT OF VIEW Assurances et gestion des risques, vol. 81(3-4), octobre-décembre 2013, 285-290 Insurance and Risk Management, vol. 81(3-4), October-December 2013, 285-290 L histoire de l assurance
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailLa révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations
La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations par Robert Fluri et Robert Müller, Direction de la statistique, Banque nationale suisse, Zurich BNS 42
Plus en détailP opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP
P opulation Photo : Philippe Desmazes/AFP Près de 40 % des immigrés résidant en métropole vivent en Ile-de-France en 1999. Environ 15 % de la population francilienne est immigrée, c est une proportion
Plus en détailPrésentation pour Salon international des innovations financières Paris 04 Mars 2010
Présentation pour Salon international des innovations financières Paris 04 Mars 2010 Présentation du Groupe Attijariwafa Bank Couverture géographique de plus en plus large Attijariwafa bank, banque née
Plus en détailFocus de la Lettre de veille du CNCE Période du 15 au 30 avril 2014
Conseil National du Commerce Extérieur Focus de la Lettre de veille du CNCE Période du 15 au 30 avril 2014 Pays couverts par cette lettre de veille Anticiper Partager Agir L Afrique, une nouvelle trajectoire
Plus en détailCadre juridique de la Protection des Données à caractère Personnel
Cadre juridique de la Protection des Données à caractère Personnel Souad El Kohen-Sbata Membre de la CNDP de développement -CGEM- Cadre Juridique de la protection des données personnelles au Maroc: Plan
Plus en détailETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE
NOTE INTERNE DIRECTION DE L INTERNATIONAL ET DE L UNIVERSITE POLE AFRIQUE ET MEDITERRANEE DECEMBRE 2014 ETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE Bpifrance accompagne le développement des entreprises
Plus en détailDéfi Transition énergétique : ressources, société, environnement ENRS Projet Exploratoire PALEOSTOCK
Des traitements thermiques de matériaux lithiques du paléolithique destinés à faciliter leur taille, aux prétraitements adaptés à leur usage en stockage thermique haute température. Contexte «Stockage»
Plus en détailAppels à Investissement:
Africa Label Group S.A Faire mieux. Donner plus. Appels à Investissement: ALG Academy (E-learning): $ 150,000 ImaginAfrica (Solutions TIC): $ 50, 000 Investir dans un groupe en pleine expansion. Des secteurs
Plus en détailAtlas économique de Paris 2013 du greffe du tribunal de commerce de Paris
Atlas économique de Paris 213 du greffe du tribunal de commerce de Paris Sommaire INTRODUCTION... 3 PARTIE 1 PARIS DANS SA GLOBALITÉ... 4 GÉOGRAPHIE DES ENTREPRISES PARISIENNES... 5 DENSITÉ DES ENTREPRISES
Plus en détailRécapitulatif: Du 04 au 15 Mai 2015. Rapport 2014 de l ECSDA. Développements du CSD du Ghana. Rapport de l OICV sur la fraude d investissement.
Du 04 au 15 Mai 2015 Récapitulatif: Rapport 2014 de l ECSDA. Développements du CSD du Ghana. Rapport de l OICV sur la fraude d investissement. Report du lancement de la plateforme T2S. Agrément de 10 CCP
Plus en détailDivision Technologies d Information et de Communication, Centre National pour la Recherche Scientifique et Technique (CNRST)
Maroc Division Technologies d Information et de Communication, Centre National pour la Recherche Scientifique et Technique (CNRST) Développement et renforcement de la grille de calcul marocaine «MaGrid»
Plus en détailNATIONS UNIES COMMISSION ECONOMIQUE POUR L AFRIQUE Bureau pour l Afrique du Nord/ Centre Africain pour le Genre et le Développement
Distr.: Limitée CEA-AN/RABAT/GENDER/Inf. Décembre 2005 Original: FRANÇAIS NATIONS UNIES COMMISSION ECONOMIQUE POUR L AFRIQUE Bureau pour l Afrique du Nord/ Centre Africain pour le Genre et le Développement
Plus en détailSecteur des Technologies de l Information et de la Communication (TIC) PLAN D ACTION
Secteur des Technologies de l Information et de la Communication (TIC) PLAN D ACTION Atelier TIC et Emploi en Mauritanie Centre de Formation et d Echange à Distance (CFED) de Nouakchott 28 avril 2014 Mohamed
Plus en détailAnalyse des Gaps techniques et juridiques. relatifs aux échanges électroniques
UNECA Analyse des Gaps techniques et juridiques relatifs aux échanges électroniques entre les douanes de deux pays (C2C Transit) Lotfi AYADI Noureddine SELLAMI Décembre 2014 Plan Résumé Méthodologie Cadre
Plus en détailProgramme CNRS-ERC- IREMAM- CERI. When Authoritarianism Fails in the Arab World (WAFAW) APPEL A CANDIDATURES
Programme CNRS-ERC- IREMAM- CERI When Authoritarianism Fails in the Arab World (WAFAW) APPEL A CANDIDATURES Chercheurs doctorants et post-doctorants en sciences politiques/relations internationales/économie
Plus en détailHightech Payment Systems en bref
Hightech Payment Systems en bref Mission Fourniture de solutions de paiement électronique multi-canal Quelques Chiffres +100 collaborateurs dont 85 Ingénieurs et Consultants +50 sites installés et 150
Plus en détailLA MIGRATION DES FEMMES ET LES TRANSFERTS DE FONDS : CAS DU CAP VERT, DE LA CÔTE D IVOIRE, DU MAROC ET DU SENEGAL
LA MIGRATION DES FEMMES ET LES TRANSFERTS DE FONDS : CAS DU CAP VERT, DE LA CÔTE D IVOIRE, DU MAROC ET DU SENEGAL 1. INTRODUCTION Depuis la nuit des temps, les peuples ont immigré d un espace vers un autre.
Plus en détailETUDES DEPF. Performances et compétitivité des exportations des filières phares du secteur agroalimentaire marocain.
ETUDES DEPF 1 Performances et compétitivité des exportations des filières phares du secteur agroalimentaire marocain Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions Financières Performances et
Plus en détailQUI SONT LES IMMIGRÉS?
QUI SONT LES IMMIGRÉS? Près de 15 immigrés en Alsace en 1999 Étrangers, immigrés : deux notions différentes Les notions d immigré et d étranger ne sont pas équivalentes. Les définitions qu en donne le
Plus en détailAttijariwafa bank : un Groupe au service d une Afrique qui avance
Attijariwafa bank : un Groupe au service d une Afrique qui avance En bref : Président Directeur Général: Mohamed EL KETTANI Siège Social : 2. Bd Moulay Youssef - BP: 11141 20000 Casablanca - Maroc Capital:
Plus en détail(en millions d euros) 2013-2014 2014-2015 Ventes 247,1 222,9 Marge brute (55,7) (30,8) En pourcentage du chiffre d affaires -22,5 % -13,8 %
RESULTATS ANNUELS 2014-2015 Chiffre d affaires 2014-2015 consolidé : 222,9 millions d euros Perte opérationnelle courante 2014-2015 : 125,9 millions d euros Poursuite du recentrage stratégique sur le cœur
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS. Texte n DGI 2011/25 NOTE COMMUNE N 16/2011
BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS DIFFUSION GENERALE N 2011/26/06 0.1.0.0.1.2. Documents Administratifs (IMPOTS) Texte n DGI 2011/25 NOTE COMMUNE N 16/2011 O B J E T : Commentaire des dispositions
Plus en détailLa coopération universitaire Union Européenne Maghreb dans le cadre des programmes d éducation Tempus et Erasmus Mundus
La coopération universitaire Union Européenne Maghreb dans le cadre des programmes d éducation Tempus et Erasmus Mundus Séminaire inaugural AUF Bureau Maghreb, Rabat, 25 26 juin 2012 Philippe Ruffio, Agence
Plus en détailE-Commerce en Afrique du Nord
ECommerce en Afrique du Nord Etat des lieux et recommandations Mustapha Mezghani Consultant Rabat 46 avril 26 1 Plan Echanges commerciaux entre les pays d Afrique du Nord Comment les TICs peuvent dynamiser
Plus en détailEnvironment and more GTZ Conference Funding and Financing Issues Casablanca, May 18th, 2010 Dr. Joachim Richter
Environment and more GTZ Conference Funding and Financing Issues Casablanca, May 18th, 2010 Dr. Joachim Richter 28.04.2010 0 Profile de l entreprise Project Finance International Entreprise de conseil
Plus en détailDécryptage des pouvoirs économiques et politiques du continent africain à travers 5 titres de référence
BROCHURE TARIFAIRE 2015 AFRICA Africa Intelligence Décryptage des pouvoirs économiques et politiques du continent africain à travers 5 titres de référence L abonnement à Africa Intelligence comprend l
Plus en détailConvention d adhésion à la fédération d identités marocaine pour l éducation et la recherche (EduIDM)
Convention d adhésion à la fédération d identités marocaine pour l éducation et la recherche (EduIDM) Entre: Le Centre National pour la Recherche Scientifique et Technique (CNRST), établissement public
Plus en détailQuel est le temps de travail des enseignants?
Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans
Plus en détailQuelle stratégie d Intelligence économique pour le dessein africain du Maroc? ASMEX DAYS, Casablanca, 24 mars 2015
Quelle stratégie d Intelligence économique pour le dessein africain du Maroc? ASMEX DAYS, Casablanca, 24 mars 2015 Les atouts clairement identifiés de Maroc SA Un quadriptyque comme socle de souveraineté
Plus en détailL année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier.
L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier. Sommaire Synthèse 1 Arrivées hôtelières par pays 2 Nuitées
Plus en détailLe coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011
Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Un article de la loi de financement de la sécurité sociale 2010 aligne le coût de ce rachat
Plus en détailEcoles Supérieures de Technologie (EST) Les EST. Les EST sont des établissements supérieurs public. Diplôme préparé : D.U.T
Ecoles Supérieures de Technologie (EST) Les EST sont des établissements supérieurs public Ministère de Tutelle : Ministère de l'éducation Nationale de l'enseignement Supérieur de la Formation des Cadres
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailDirection Générale des Impôts. Taxe d'habitation et Taxe de Services Communaux
Direction Générale des Impôts Taxe d'habitation et Taxe de Services Communaux Edition 2010 Direction Générale des Impôts Service de la Communication Rue Haj Ahmed Cherkaoui, Agdal, Rabat Tél. : 212 (0)
Plus en détailDélais de paiement : Le grand écart
Délais de paiement : Le grand écart Conférence de Presse, Paris, le 28 juin 2012 Ludovic Subran, Chef Economiste Arnaud Roger, Directeur des Indemnisations Maxime Lemerle, Responsable des Etudes Macroéconomiques
Plus en détailEtudier à l'etranger. www.votreguide.ma. Informations. Enseignement ETATS UNIS
Etudier à l'etranger ETATS UNIS Informations Langue officielle: Anglais Capitale: Washington Population: 304.367.000 (2008) Superficie: 9.629.090 km2 Monnaie: USD Indicatif téléphonique: +1 Domaine internet:.us
Plus en détailCharte du tourisme durable
Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme
Plus en détailLe financement de l économie Jézabel Couppey- Soubeyran PSE Université Paris 1. Journée PAF, académie de Versailles
Le financement de l économie Jézabel Couppey- Soubeyran PSE Université Paris 1 Journée PAF, académie de Versailles Plan de la présenta-on 1. Financement : no
Plus en détailHONG KONG 香 港 GUANGZHOU 广 州 SHANGHAI 上 海 BUREAUX D ASIE
HONG KONG 香 港 GUANGZHOU 广 州 SHANGHAI 上 海 BUREAUX D ASIE LPA UNE PRESENCE FORTE EN CHINE Shanghai Francfort PARIS Guangzhou Hong Kong AlgER CASABLANCA Créé il y a 25 ans, Lefèvre Pelletier & associés (LPA)
Plus en détailFIN-INTER-01 LE CONTEXTE
FIN-INTER-01 LE CONTEXTE Public concerné : Etudiants niveau Bac + 2. Durée indicative : 2 heures Objectifs : Positionner le domaine de la finance internationale dans son contexte. Pré requis : Néant. Modalités
Plus en détailL esprit de vérité vous guidera vers la vérité tout entière. (Jn 16, 13)
1 L esprit de vérité vous guidera vers la vérité tout entière. (Jn 16, 13) When the Spirit of truth comes he will lead you to the complete truth. (John 16:13) Faculté Pontificale de Théologie Institut
Plus en détailOBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE
Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.
Plus en détailSOMMAIre. Un salon réussi à 100%... 4. Signature de la convention entre. Appréciation générale du Solaire Expo Maroc 2015... 7
SOMMAIre Un salon réussi à 100... 4 Signature de la convention entre ADEREE et l ADM... 6 Appréciation générale du Solaire Expo Maroc 2015... 7 STATistiques des exposants... 9 temoignages des exposants...
Plus en détailDOSSIER INSTITUTIONNEL
DOSSIER INSTITUTIONNEL 1 TABLE DES MATIERE EITIA CONSULTING : NOTE SUR LES MOYENS HUMAINS ET TECHNIQUES 3 1. Domaines d intervention... 4 2. EITIA Consulting à l international... 4 3. Organigramme d EITIA
Plus en détailLes facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012. 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux
Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux 1 Les facteurs de compétitivit titivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle
Plus en détailSEMINAIRE REGIONAL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE LOCALE 13-17 Octobre 2008 a Saly Portudal - Senegal L initiative d Apprentissage Mutuel entre Pairs
SEMINAIRE REGIONAL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE LOCALE 13-17 Octobre 2008 a Saly Portudal - Senegal L initiative d Apprentissage Mutuel entre Pairs By Omar Ousman Jobe Analyste en Politique et Budget Pro-Poor
Plus en détailIntroduction... 3 1/ En quoi consiste une veille commerciale?... 4 2/ Quel est son rôle?... 5 3/ Quels sont les bénéfices au niveau de l organisation
Introduction... 3 1/ En quoi consiste une veille commerciale?... 4 2/ Quel est son rôle?... 5 3/ Quels sont les bénéfices au niveau de l organisation commerciale?... 6 A. Le temps... 6 B. La productivité...
Plus en détailPOLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement
Plus en détailLes banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse
Communiqué presse Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 19 juin 2014 Les banques suisses 2013 Résultats s enquêtes la Banque nationale suisse
Plus en détailJean-Noël Ferrié. Si l on suit les thuriféraires de la monarchie, tout aurait changé ; si l on suit ses
LA MONARCHIE MAROCAINE SOUS MOHAMMED VI CHANGEMENT ET CONTINUITE Jean-Noël Ferrié Si l on suit les thuriféraires de la monarchie, tout aurait changé ; si l on suit ses contempteurs, tout aurait presque
Plus en détail414.132.3 Ordonnance sur la formation menant au bachelor et au master de l Ecole polytechnique fédérale de Lausanne
Ordonnance sur la formation menant au bachelor et au master de l Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (Ordonnance sur la formation à l EPFL) du 14 juin 2004 (Etat le 1 er septembre 2009) La Direction
Plus en détailL AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE
L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE L Aide publique au développement (APD) désigne les dépenses publiques au bénéfice des pays en développement dont le but essentiel est de favoriser le développement économique
Plus en détailDe nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements
COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n spécial Février 2015 De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Le SOeS diffuse
Plus en détail1 - Salaires nets tous secteurs confondus
N 627 Résultats l enquête annuelle sur les s auprès s entreprises - Mai 2011 - L enquête annuelle sur les s auprès s entreprises, réalisée par voie postale par l ONS a donné les résultats présentés ci-ssous.
Plus en détailco-développent LE 1 ER INSTITUT EURO-MÉDITERRANÉEN DE TECHNOLOGIE L INSA EURO-MÉDITERRANÉE
co-développent LE 1 ER INSTITUT EURO-MÉDITERRANÉEN DE TECHNOLOGIE L INSA EURO-MÉDITERRANÉE Fès Maroc Bienvenido Bienvenue Willkommen Benvenuto Bem-vindo Welcome MINISTÈRE DE L ÉDUCATION NATIONALE, DE L
Plus en détailEstimations des résultats consolidés du premier semestre clos le 31 mars 2014 Évaluation de l option de vente Áreas
C O M M U N I Q U É D E P R E S S E Paris, le 9 mai 2014 Estimations des résultats consolidés du premier semestre clos le 31 mars 2014 Évaluation de l option de vente Áreas 1. Estimations des résultats
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailDEMANDE D IMMATRICULATION D UN TRAVAILLEUR notice explicative
o N 50560#02 L'ASSURANCE MALADIE notice explicative Qui doit établir cette déclaration? En application des articles L 312-1, R 312-4, R 312-5, R 312-6 du Code de la Sécurité Sociale, L est tenu de dé clarer
Plus en détailLES NON-ALIGNÉS D HIER À AUJOURD HUI
ÉDITORIAL LES NON-ALIGNÉS D HIER À AUJOURD HUI MICHEL ROGALSKI Privé de la présence de Fidel Castro pour cause de maladie, le XIV e Sommet des Non-alignés s est tenu en septembre 2006 à La Havane. L usage
Plus en détailPourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux
7 avril Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux La crise de 9 a eu des conséquences néfastes pour
Plus en détailBurkina Faso Profil pays EPT 2014
Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine
Plus en détailI. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE
I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailINVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.
INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES
Plus en détailSecrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles
République Islamique de Mauritanie Honneur Fraternité - Justice Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles Communication de Madame la Secrétaire d Etat Fatimetou Mint
Plus en détailL affacturage en Afrique : Opportunités et défis
L affacturage en Afrique : Opportunités et défis Par B.O. Oramah Vice président (développement commercial et financement de projet d'entreprise) Banque Africaine d'import-export Présenté au séminaire 2014
Plus en détailestion de la dette Nouveau programme u CR I ARCHIV 97821 pt. 2 pro jets DRMS Formation relative aux Deuxieme partie
La estion de la dette Nouveau programme u CR I Deuxieme partie Formation relative aux pro jets DRMS GO"" RD 1 Centre de recherches pour le d6veloppement international Ottawa, Canada ARCHIV 97821 pt. 2
Plus en détailBANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011
البنك المركزي التونسي BANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012 DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012 SOMMAIRE Pages Introduction... 5 Endettement extérieur
Plus en détailCDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France
CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France Communiqué de presse Paris, le 20 novembre 2012 CDC Entreprises, filiale de la Caisse des Dépôts, gère dans
Plus en détail544190-TEMPUS-1-2013-1-MA-TEMPUS-SMGR
Projet Tempus Go-Univ 544190-TEMPUS-1-2013-1-MA-TEMPUS-SMGR Renforcement de la GOuvernance dans les UNIVersités marocaines à travers la mise en œuvre du Code Marocain de bonnes pratiques de gouvernance
Plus en détailUNIVERSITÉ MOHAMMED V- AGDAL
PROJET TEMPUS GO-UNIV 544190-TEMPUS-1-2013-1-MA-TEMPUS-SMGR RENFORCEMENT DE LA GOUVERNANCE DANS LES UNIVERSITÉS MAROCAINES À TRAVERS LA MISE EN ŒUVRE DU CODE MAROCAIN DE BONNES PRATIQUES DE GOUVERNANCE
Plus en détailComment régler vos dépenses à l étranger?
007 www.lesclesdelabanque.com Le site d informations pratiques sur la banque et l argent Comment régler vos dépenses à l étranger? LES MINI-GUIDES BANCAIRES FBF - 18 rue La Fayette - 75009 Paris cles@fbf.fr
Plus en détailLes Français ais et à la consommation
Les Français ais et le crédit à la consommation Introduction Crédit Agricole Consumer Finance, acteur majeur du crédit à la consommation en Europe, publie un sondage réalisé par Opinionway sur les Français
Plus en détailSociété de conseil en intégration Oracle E Business Suite.
Société de conseil en intégration Oracle E Business Suite. Qui sommes nous Fondé en 2001, Alcyon SI est une société de conseil spécialisée dans l intégration et l expertise autour d E Business Suite. Alcyon
Plus en détailEn Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures
En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Chiffre d affaires du 3 ème trimestre et des 9 premiers mois 2013 16 octobre 2013 Croissance organique des 9 premiers mois : +5,5% Tendances solides dans l ensemble du Groupe Impact
Plus en détailOffres de Bourses Etudiants IAV Hassan II
2011-2012 Offres de Bourses Etudiants IAV Hassan II Cette brochure regroupe les principales bourses et Prix pour les étudiants de niveaux master, doctorat, etc. 1 Au niveau international Bilatéral SOMMAIRE
Plus en détailLe modèle de croissance marocain : opportunités et vulnérabilités
Juin 214 / N o 14 Macroéconomie & développement Introduction Depuis la crise financière internationale de 28, les pays de la région du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord (Middle East and North Africa,
Plus en détailPrésentation. L AFEM regroupe à ce jour près de 300 membres. Elle est constituée de femmes qui dirigent des sociétés morales: SA, SARL, SNC.
AFEM: Association des femmes chefs d entreprise du Maroc, est une association indépendante créée le 28 septembre 2000 afin d offrir aux femmes Chefs d entreprises un cadre leur permettant de: : - contribuer
Plus en détail