S AFFRANCHIR S AFFRANCHIR DE LA HONTE J O H N B R AD S HAW

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1 John Bradshaw a obtenu trois diplômes de l Université de Toronto. Psychothérapeute, théologien, conseiller en gestion et conférencier, il est l auteur de plusieurs best-sellers. Il a aussi animé diverses émissions à la télévision américaine. Du même auteur ISBN S'affranchir de la honte couverture.indd 1 JOH N B RADSHAW Graphisme de la couverture : François Daxhelet Illustration : Shutterstock/sita ram L S AFFRANCHIR DE LA HONTE S AFFRANCHIR DE LA HONTE orsqu elle est passagère, la honte peut être une source d apprentissage, un guide utile pour établir ses propres limites. Mais lorsqu elle s enracine et devient permanente, elle mène inévitablement à une coupure d avec soi. De cette rupture naissent les sentiments de vide intérieur, de vulnérabilité et d impuissance. Ce livre propose une méthode efficace pour reprogrammer vos émotions et éradiquer ce sentiment destructeur qui vous prive de votre droit d être aimé ou de simplement faire des erreurs. En vous libérant de la honte toxique, vous vous autoriserez à vivre des relations saines, à prendre des décisions éclairées et à laisser libre cours à votre créativité. Vous découvrirez alors un sentiment nouveau, empreint de paix et de confiance : celui de faire un avec vous-même et le monde qui vous entoure. J O H N B R AD S HAW 22.5mm :53 PM 100%% % 50% 25%

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3 bradshaw Table des matières Introduction Première partie : Le problème Chapitre premier Les multiples visages de la honte Chapitre deux Les origines de la honte toxique Chapitre trois Les cachettes de la honte toxique Deuxième partie : La solution Introduction Le processus d extériorisation Parabole Le prisonnier et la caverne obscure Chapitre quatre Pour en finir avec la dissimulation et l isolement Chapitre cinq Les douze étapes qui assainissent la honte toxique Chapitre six Libérez votre enfant intérieur oublié Chapitre sept Intégrez les parties de vous-même que vous avez reniées

4 Chapitre huit Aimez-vous vous-même Chapitre neuf Guérissez vos souvenirs et changez votre image de soi Chapitre dix Affrontez et changez vos voix intérieures Chapitre onze Composez avec la honte toxique dans vos relations interpersonnelles Chapitre douze Le réveil spirituel Conclusion Annexe : Note aux psychothérapeutes Lectures

5 bradshaw Introduction Et ils ne connais saient pas la hon te. GENÈSE Voi là dix ans, j ai fait une de ces dé cou ver tes choc sus cep ti bles de tout chan ger de ma niè re no ta ble. J ai iden ti fié le dé mon qui lo geait au cœur de ma vie: la hon te. En nom mant la hon te, je suis de ve nu cons - cient de l im men se pou voir destructeur qu elle avait jusque-là exer cé sur mon exis ten ce. J ai dé cou vert que tou te ma vie du rant j avais été ligoté par la hon te. Elle m im po sait sa loi com me seu le peut le fai re une ac cou tu man ce; je la dé ver sais sur ma fa mille, sur mes clients et sur mes étudiants. La hon te était ce dé mon qui agis sait à mon insu et dont je n avais jamais reconnu l existence. En prenant conscience de sa dynamique, j ai été ame né à cons ta ter qu elle fait peser sur tou te vie hu mai ne une des for ces les plus des truc trices qui soient. En la nom mant, j ai com - men cé à ga gner du pou voir sur elle. En soi, la hon te n est pas mau vai se. Il ne s agit que d une émo tion humaine normale. De fait, elle est nécessaire à quiconque aspire à être vrai ment hu main. Elle nous hu ma ni se, nous ren sei gne sur nos li mi tes, nous don ne des ba li ses, nous fai sant sa voir que nous som mes failli bles et que nous avons be soin d aide; elle nous rap pel le que nous ne som mes pas Dieu. Une sai ne hon te représente le fon de ment psycho lo - gique de l humilité et constitue une source de spiritualité. Ce que j ai dé cou vert, c est que la hon te, cette sai ne émo tion hu mai ne, peut se trans for mer en un état d es prit per ma nent et contaminer tou te 11

6 S Introduction a f f r a n c h i r d e l a h o n t e l iden ti té. Or, lorsque la hon te tient lieu d iden ti té, on se croit im par fait, dé fi cient en tant qu être hu main. La honte de vient alors toxique et déshumanisante. La honte toxique s avère intolérable et exige une dissimulation cons tan te, un faux moi. En effet, à par tir du mo ment où l on croit que son vrai moi est im par fait et dé fi cient, on a be soin d adop ter un au tre moi qui n a pas ces la cu nes. Sitôt que l on s iden ti fie à un faux moi, on ces se d exister psychologiquement. Adop ter un moi fic tif équi vaut à mettre un terme à son existence d être humain authentique. Alice Miller appelle cette élaboration d un moi fictif le «meur tre de l âme». Avec un faux moi, on es saie de se mon trer soit plus qu hu main soit moins qu hu main. La hon te toxique cons ti tue la pire for me de vio len ce or di nai re qui soit. Elle dé truit, dans tous les sens du terme, la vie hu mai ne. On la re trouve d ailleurs au cœur de la plu part des ma la dies émo tion nel les. Dans son ouvrage intitulé Shame, Gers hen Kauf man écrit ceci: La hon te est l af fect qui se trou ve à l ori gi ne de plu sieurs per - turbations complexes: la dépression, l aliénation, le doute de soi, l iso le ment, la pa ra noïa et la schizo ïdie, les pro blè mes de compulsion, le clivage du moi, le perfectionnisme, le profond sentiment d infériorité, d insuffisance ou d échec, les prétendus états li mi tes de ma la dies et les troubles nar cis siques. La hon te toxique dé truit le moi au then tique à un point tel que des syndromes évidents se manifestent par des dissimulations du faux moi, chaque syndrome possédant sa propre structure caractéristique. La hon te toxique de vient le noyau des né vro ses, des trou bles ca rac té riels, de la vio len ce po li tique, des guer res et de la cri mi na li té. À ma connais san ce, c est elle qui ex plique le mieux l es cla va ge hu main sous tou tes ses for mes. Dans la Bi ble, la hon te est consi dé rée com me la cau se pre miè re et la consé quen ce de la chu te d Adam. En hé breu, «Adam» est sy no - ny me d hu ma ni té. Cela revient à dire qu il sym bo li se tous les êtres hu mains. La Bi ble lais se en ten dre qu Adam était in sa tis fait de sa 12

7 I n t r o d u c t i o n condi tion; il vou lait être da van tage que ce qu il était: il dé si rait être plus qu humain. Il ne pouvait accepter ses limites fondamentales et avait per du le sens d une sai ne hon te. La Bi ble évoque le fait qu à l ori gi ne de l es cla va ge hu main (le pé ché ori gi nel), il y a ce dé sir d être dif fé rent de ce que l on est le dé sir d être plus qu hu main. Mû par sa hon te toxique (son or gueil), Adam vou lait un faux moi, et ce faux moi de vait le condui re à sa pro pre des truc tion. Après qu Adam eut re nié son être vé ri ta ble, il est allé se ca cher. «Et le Sei gneur Dieu ap pe la Adam Où es-tu? Et Adam ré pon dit: J ai en ten du ta voix dans le jar din et j ai cou ru me ca cher» (Ge nè se 3, 9-10). Avant la chu te, l hom me et la fem me étaient nus et ils ne connais saient pas la hon te (Ge nè se 2, 25). Une fois qu ils eu rent choi si d être au tre ment que ce qu ils étaient, ils se retro uvè rent nus et honteux. La nu di té sym bo li sait leur moi au then tique. Ils se conten taient d être qui ils étaient et n avaient rien à ca cher, se mon trant par fai te - ment et rigoureusement honnêtes. Cette description métaphorique et symbolique d Adam et Ève évoque la condi tion hu mai ne. L amour et l ac cep ta tion in condi - tion nels de soi sem blent re pré sen ter la tâ che la plus dif fi ci le pour tout le gen re hu main. En re fu sant no tre «vrai moi», nous ten tons de nous créer un faux moi ou dé cla rons for fait et de ve nons moins qu hu mains, ce qui nous amè ne à vi vre dans la dis si mu la tion et le se cret, deux importantes causes de souffrance. L amour et la totale acceptation de soi constituent l ultime fondement du bon heur et de l amour d au trui. Sans eux, nous som mes condam nés à ac com plir cet te épui san te tâ che consis tant à nous créer un faux moi, puis à dé pen ser des ton nes d éner gie afin de vi vre de pei ne et de mis ère dans ce moi fic tif. C est peut-être cela que la Bi ble veut nous signifier symboliquement lorsqu elle affir me que, après la chu te, l hom me et la fem me fu rent condam nés à connaî tre la souf fran ce par le bi ais de leurs ac ti vi tés na tu rel les, la fem me en don nant la vie et l hom me en tra vaillant. 13

8 S Introduction a f f r a n c h i r d e l a h o n t e Com ment pou vons-nous nous affranchir de cet te hon te qui nous tient pri son niers? De quel côté ré si de no tre es poir? Voi là le pro pos du pré sent ou vra ge. Au fil des pa ges qui sui vent, j ai me rais par ta ger avec vous le che mi ne ment qui m a ame né à m affranchir de la hon te. Ce voya ge s est révélé l en jeu le plus im por tant de tou te ma vie. La hon te est par tout; elle s avère ru sée, puis san te et dé rou tan te. Son pou - voir réside dans son caractère obscur et secret. Dans la pre miè re par tie, j es saie rai de dé bus quer la hon te en exa mi - nant ses mul ti ples vi sa ges et en met tant au jour ses ori gi nes ain si que ses principaux déguisements. Je montrerai comment elle engendre le désespoir et débouche sur la faillite spirituelle. Dans la deuxiè me par tie, je pro po se rai les moyens qui, à ma connais san ce, sont sus cep ti bles d at té nuer la hon te toxique et de la ramener à la hon te saine. J es pè re sin cè re ment que tout lec teur pris au piè ge de la hon te toxique se ser vi ra de ce li vre afin de se li bé rer de cette dangereuse ennemie. 14

9 bradshaw Première partie Le problème

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11 bradshaw Chapitre premier Les multiples visages de la honte La hon te est un sentiment dif fi ci le à cer ner car il s éla bo re très tôt au dé but de no tre vie, avant même que nous puis sions re cou rir au lan - ga ge. Ce sentiment est sim ple ment hu mai n et nor ma l, mais il peut dégénérer en une véritable maladie de l âme que j appelle la «honte toxique». Je distingue effectivement deux types de honte: celle, bien fai san te, qui nour rit ce qu il y a de vi vant en nous et cel le, toxique, qui le dé truit. Sous sa for me toxique, la hon te don ne lieu à une atro ce im pres sion d être bru ta le ment mis à nu, à une pro fon de scission intérieure qui se manifeste par le sentiment d être coupé de soi-même et des au tres. Elle contraint la per son ne vi vant sous son em pri se à se re nier elle-même puis à dis si mu ler ce désaveu sous dif fé - rents faux-sem blants. Étant don né que la dis si mu la tion et les fauxsemblants constituent son terrain de prédilection, la honte toxique, avec son côté som bre et ca ché, se ré vè le des plus in sai sis sa bles lors - qu on ten te de l exa mi ner de plus près. Par conséquent, puisque la hon te toxique se ter re et se pré sen te sous différents déguisements, on doit la traquer en apprenant à reconnaître 17

12 Chapitre S a f f r a n c h i r premier d e l a h o n t e ses multiples visages et les comportements trompeurs auxquels elle donne lieu. La honte : une émotion humaine normale J ai ré cem ment été frappé par la franchise et l honnêteté de Broad - way Joe Na math qui, au cours d une entrevue, ad met tait en tou te sin - cé ri té, avec une poin te de dé cep tion dans la voix, qu il n ar ri vait pas à se tailler une pla ce de re por ter spor tif au sein de l im por tant ré seau de télé vi sion qui l avait en ga gé. Il ex pri mait une sai ne hon te et sem blait tout à fait cons cient de ce que, en dé pit de ses nom breu ses ré a li sa tions, il avait bel et bien des li mi tes. La honte en tant que per mis sion d être hu main Lors qu elle est sai ne, la hon te nous fait pren dre cons cien ce de ce que, en tant qu êtres hu mains, nous som mes, par es sence, li mi tés. Aucun d en tre nous ne jouit et ne jouira jamais de pou voirs illi mi tés, même si cer tains gou rous mo der nes vou draient bien nous amener à croi re le contrai re en nous donnant de vains es poirs. Ce sont eux, en l oc cur - rence, qui s enrichissent grâce à leurs programmes censés offrir de tels pouvoirs, pas nous. Ils nous at tei gnent di rec te ment dans no tre faux moi et no tre hon te toxique. En réalité, nous, les hu mains, avons des li mi tes, et com me ces li mi tes font par tie de no tre es sen ce, nous nous retro uvons aux prises avec de graves problèmes quand nous n acceptons pas ce fait indéniable. La hon te nor ma le nous ren sei gne sur nos li mi tes. Com me tou tes les émo tions, il s agit d une éner gie en mou ve ment qui nous pous se à satisfaire nos besoins fondamentaux, notamment le besoin de donner une struc ture à no tre vie. Pour com bler ce be soin, nous éta blis sons les fron tiè res qui donnent forme à notre existence et à l in té rieur des quel les nous sommes à même de vivre en toute sécurité. Ces frontières et cette forme nous rassurent et nous permettent d utiliser notre énergie avec un maxi mum d ef fi cacité. En revanche, lorsque nous n avons pas de fron tiè res, nous mé con naissons nos li mi tes et nous nous trouvons 18

13 L e s m u l t i p l e s v i s a g e s d e l a h o n t e facilement plon gés dans la plus grande confu sion. Dés orien tés, nous gas pillons beau coup d éner gie, bref, nous perdons le nord. Nous développons des problèmes d accoutumance parce que nous ne savons ni à quel moment nous ar rê ter ni com ment dire «non». La hon te nor ma le nous main tient en contact avec la ré ali té, car elle nous rappelle que nous sommes essentiellement limités. La honte normale constitue la frontière métaphysique fondamentale de tous les êtres humains. C est cet te éner gie émo tion nel le qui nous si gna le que nous ne som mes pas Dieu: elle nous fait pren dre cons cien ce du fait que nous avons commis des erreurs, que nous en commettrons d autres encore et que nous avons be soin d aide. Autrement dit, elle nous don ne la per - mis sion d être hu mains. La hon te nor ma le fait par tie intégrante de nos for ces in té rieu res. Elle nous fait pren dre cons cien ce de nos li mi tes et, par consé quent, nous aide à mieux ca na li ser no tre éner gie. Elle nous don ne, en fait, une meilleu re em pri se sur no tre vie, puisque la connais san ce de nos li mi tes nous évi te de nous achar ner à pour sui vre des buts ir réa li sa bles ou de nous en tê ter à vouloir chan ger ce que nous ne pou vons pas chan ger. La honte normale nous permet d intégrer notre énergie au lieu de la disperser. La hon te et le dé ve lop pe ment de l en fant Se lon Erik Erik son, le sen ti ment de hon te ap pa raît chez l en fant au cours du deuxiè me sta de de son dé ve lop pe ment psycho so cial. Du rant le pre mier sta de, il a be soin de je ter les ba ses d un sen ti ment de confian ce fon da men ta le, ce lui-ci de vant s avé rer plus fort que son sentiment de méfiance. En examinant de plus près les caractéristiques de ce premier sta de de l évo lu tion de l en fant, nous pour rons mieux com pren dre ensuite ce qu est la hon te nor ma le. Dès le dé but de sa vie, l en fant a be soin de sen tir qu il peut fai re confian ce au mon de ex té rieur au quel ses pa rents bio lo giques ou leurs sub sti tuts lui don nent ac cès. Il doit sen tir qu une per son ne fia ble est là pour sa tis fai re ses be soins de fa çon hu mai ne et pré vi si ble. Pour peu que ses pa rents se mon trent pré vi si bles, af fec tueux et qu ils re flè tent 19

14 Chapitre S a f f r a n c h i r premier d e l a h o n t e tous ses com por te ments, l en fant acquerra un sentiment de confian ce fon da men ta le. Dans ce cli mat de sé cu ri té et de confian ce, il com - men cera à tis ser des liens inter per son nels qui se transformeront ensuite en un «pont» de mutualité. Cette réciprocité sera plus tard d une importance décisive dans l éclosion de son sentiment du moi, puisque l en fant est un «nous» avant de de ve nir un «je». Finalement, lors de cet te pre miè re éta pe de sa vie, l enfant ne peut ac cé der à la connais san ce de lui-même qu en étant re flé té par ses pa - rents et, afin de croî tre, il a be soin que s éta blis se un pont re la tion nel en tre lui et ses pa rents. Le pont interpersonnel La relation entre l enfant et le parent évolue graduellement vers un in té rêt ré ci proque à me su re que s éta blit en tre eux un cli mat de confian ce. En fait, la confiance de l en fant se dé ve lop pe au fur et à me su re que croît en lui le sentiment que cet te mu tua li té est pré vi si ble et fia ble. Corrélativement, un lien émo tion nel se tis se et c est en prenant appui sur cette alliance que l enfant peut explorer le monde extérieur et prendre le risque de s y aventurer. Cet attachement, qui se transforme progressivement en un pont inter per son nel en tre l en fant et le pa rent, cons ti tue le fon de ment de la crois san ce et de la com pré hen sion mu tuel le. Par la suite, le pont inter per son nel se trou ve renforcé par certaines expériences que l enfant vit et dont il dépend. L Autre, la toute première personne qui s occupe de l enfant, devient si gni fi ca tif en ce sens que l amour, le res pect et les soins qu il lui don ne sont vraiment importants. L enfant se permet d être vulnérable puisqu il s aban don ne à son be soin de l Au tre. Une fois que la confian ce fon da men ta le s est éta blie, l en fant est capa ble de res sen tir de la hon te, une honte qui peut être sai ne ou toxique. L émergence de la honte normale Vers l âge de quin ze mois, l en fant com men ce à dé ve lop per sa mus cu la ture et c est alors qu il doit trou ver un jus te équi li bre en tre ses 20

15 L e s m u l t i p l e s v i s a g e s d e l a h o n t e capacités à «retenir» et à «laisser aller». Son développement musculaire lui per met de trouver l équi li bre dont il a be soin pour se te nir de bout et mar cher, ce qui sti mu le son dé sir d ex plo rer et de s aven tu rer. Mais pour pouvoir concrétiser ce désir, il doit pas ser au sta de de la séparation d avec ses parents. De fait, Erik son sou tient que, sur le plan psycho so cial, la tâ che in hé ren te à ce sta de de dé ve lop pe ment consis te à dé cou vrir l équi - li bre en tre l auto no mie et la hon te ou le dou te. On ap pel le sou vent ce sta de (qui débute vers l âge de quinze mois et prend fin vers l âge de trois ans) «les an nées dif fi ci les», par ce que l en fant se met à ex plo rer en tou chant, en goû tant et en met tant à l épreu ve tout ce qui l en tou re. L en fant de deux ans se ré vè le obs ti né et ne veut en fai re qu à sa tête (mais tou jours au su et au vu de ses pa rents). Lors qu il es suie un échec (à peu près tou tes les trois mi nu tes), il pique une co lè re noi re. Au cours de ce sta de, l en fant a be soin de s ap pro prier les cho ses afin de les tes ter au moyen d une ré pé ti tion in ten tion nel le. Confronté à un monde flambant neuf, il répète certaines expériences, ma ni fes tant ain si son be soin d as si mi ler tout ce qu il voit, en tend et goûte. Les be soins de l en fant L en fant a avant tout be soin d un pa rent fer me mais com pré - hen sif qui soit à même de sa tis fai re ses pro pres be soins avec son conjoint. Ce pa rent la mère, en l oc cur ren ce doit avoir ré so lu les problèmes inhérents à ses toutes premières relations et faire preuve d un bon sens de l auto res pon sa bi li té. Lorsque ces condi tions sont ré uni es, le parent peut sa tis fai re les be soins de l en fant et être dis po - ni ble pour lui. En ce qui a trait à la hon te sai ne et aux au tres émo tions, l en fant a be soin d être correctement modelé. Il a besoin que ses pro tec teurs lui consacrent du temps et lui prêtent at ten tion. Par-des sus tout, il a besoin qu ils établissent pour lui des li mi tes clai res. Ce contrô le ex té - rieur doit être fer me mais ras su rant. Parallèlement, l en fant a be soin de sen tir que le pont inter per son nel ne risque pas d être dé truit par sa 21

16 Chapitre S a f f r a n c h i r premier d e l a h o n t e nou vel le im pul sion qui le pous se à n en fai re qu à sa tête, c est-à-dire son récent désir d autonomie. Dans Enfance et société, Erikson précise: La fer me té doit le pro té ger contre l anarchie potentielle de son sens discriminatoire qui n est pas encore exercé, contre son in ca pa ci té à re te nir ou lais ser al ler à bon escient. Quand l en fant peut se sen tir pro té gé à l in té rieur des li mi tes éta - blies par des pa rents com pa tis sants, quand il peut ex plo rer, ex pé ri - men ter et se met tre en co lè re sans crain dre que ces der niers ne lui re ti rent leur amour le pont inter per son nel, il lui est alors pos si ble d éprou ver de temps à autre une sai ne hon te. Cette honte peut prendre la forme d un em bar ras pas sa ger à la suite d une er reur ou celle de la ti mi dité et de la ré ser ve en pré sen ce d étran gers, par exemple. Par ailleurs, elle se révèle nécessaire, voire primordiale, car elle contri bue à main te nir l équi li bre de l en fant en lui fixant les li mi tes de son auto no mie nou vel le ment ac qui se. En fait, la honte sai ne nous aver tit que nous ne som mes pas om ni po tents. Je me rap pel le ce jour où, alors que je m ap pro chais de l es tra de pour don ner une confé ren ce sur «le dé sir de dé pas se ment in hé rent à la nature humaine», quelqu un m a discrètement fait remarquer que ma braguette était ouverte. Ma rougeur et mon embarras momentanés té moi gnaient de mon sen ti ment de hon te sa lu tai re qui me conseillait de ne pas m em por ter. Pas cal a dit ceci: «L hom me n est ni ange ni bête, et le mal heur veut que qui veut fai re l ange fait la bête.» Tho mas d Aquin, quant à lui, sou te nait que l hom me est un être spi ri tuel qui, pour accéder à la spi ri tua li té, a be soin d un corps. Ces deux auteurs ex pri maient la même idée que le phi lo so phe Geor ge San taya na: «Il est né ces sai re de de ve nir une bête si l on doit jamais être un es prit.» Nous avons be soin de cet te fron tiè re qu est no tre fi ni tu de: elle nous rap pel le que nous som mes hu mains et non di vins. 22

17 L e s m u l t i p l e s v i s a g e s d e l a h o n t e La honte et ses rapports avec l em bar ras et la rou geur Confron tés à une si tua tion em bar ras san te que ce soit en raison d une maladresse physique, d une sensibilité particulière face à une certaine personne ou d une entorse à l étiquette, nous som mes pris au dépourvu, mis à nu sans y avoir été pré pa rés. La pré sen ce des au tres nous semble alors insupportable et nous rougissons sous l effet d une honte normale. La rougeur, en tant que manifestation du sentiment d être dé voi lé de ma niè re inattendue, mon tre bien la na ture im pré - visible et involontaire de la honte. «On révèle alors involontairement ses sen ti ments; on se met à nu», dit à ce su jet He len Lynd dans On Sha me And The Search For Iden ti ty. La rou geur est à la fois une ma ni fes ta tion et une image de nos li mi tes hu mai nes. Sous son ef fet, nous éprou vons le désir de nous «ca cher le vi sa ge», de «sau ver la face» ou de «ren trer sous ter re». Grâce à elle, nous savons que nous avons commis une erreur. À quoi nous ser vi rait la fa cul té de rou gir si l er reur n était pas fon ciè re ment humaine? Cette manifestation d une saine honte maintient notre contact avec la ré ali té en nous rap pe lant que nous som mes des hu mains es sen tiel le ment li mi tés. Elle nous si gna le qu il ne faut pas nous lais ser emporter par notre désir d exceller. La hon te et ses rapports avec la ti mi di té La timidité est une frontière naturelle qui nous empêche de nous ré vé ler à un étran ger, ce qui nous évite dans une certaine mesure d être bles sés par au trui. Pour la plu part d en tre nous, la per spec ti ve d abor der un étran ger se ré vè le in ti mi dan te. Lors de la rencontre, nous avons une cons cien ce ai guë de nous-mê mes, nous bé gayons ou nous nous ex pri mons de fa çon gau che et mal adroi te, ce qui peut aug - menter notre embarras. Cette forme de timidité tra duit une hon te normale, une sorte de répugnance à se mettre à nu. Par dé fi ni tion, l étran ger, c est quel qu un de non familier: il n ap - par tient pas à no tre fa mille et in car ne la me na ce de l in connu. Or, la ti mi di té que nous éprou vons en sa pré sen ce nous dic te la pru den ce; 23

18 Chapitre S a f f r a n c h i r premier d e l a h o n t e elle nous met en gar de contre le risque d être bles sés ou mis à nu. On peut donc af fir mer que cet te fron tiè re pro tè ge no tre moi le plus pro fond. Cependant, la timidité peut devenir un sérieux problème lorsqu elle plonge ses racines dans la honte toxique. La hon te en tant que be soin so cial fon da men tal Le vieux pro ver be se lon le quel «Un hom me seul n est pas un hom me» met en évi den ce no tre be soin fon da men tal de vi vre en so - ciété, d en tretenir des relations avec nos sem bla bles. Nul d entre nous ne peut se pas ser des au tres, de leur aide; nul n est as sez fort pour ne pas éprouver le besoin d amour, d in ti mi té et de dia lo gue avec au trui. À la nais san ce, un lien sym bio tique nous rat ta che à no tre mère. Nous som mes un «nous» avant d être un «je». Cet te re la tion ori - ginelle revêt une extrême importance. Après avoir passé une année et de mie à éta blir un lien de confian ce mu tuel le, nous com men çons à nous tour ner vers le mon de ex té rieur afin de met tre no tre auto no - mie à l épreu ve et, à ce mo ment-là, nous avons be soin de la hon te pour de meu rer cons cients de nos li mi tes. Durant notre enfance, la hon te et le dou te nous per met tent de contrebalancer notre autonomie nouvellement acquise. Nous avons en sui te be soin de nos pa rents pen dant une au tre di - zaine d an nées avant d être prêts à nous dé ta cher du foyer. Nous ne pou - vons satisfaire nos besoins sans dépendre de nos principaux protecteurs. La hon te nor ma le est là pour nous rap pe ler que nous avons be soin d aide, que nous ne pou vons pas nous ti rer d af fai re tout seuls. Au cun être hu main ne le peut. Même quand plus tard nous parvenons à jouir d une grande autonomie, d une large indépendance, nous avons encore des besoins à satisfaire: aimer, croître, pren dre soin de quel qu un et lui être indispensable. La honte continue alors d agir com me un si gnal sa - lu tai re en nous rap pe lant que nous avons be soin d aide, d amour et de relations affectueuses avec les autres. Si nous ne re ce vions pas les si gnaux sa lu tai res de la hon te, nous n aurions pas conscience de nos besoins fondamentaux. 24

19 L e s m u l t i p l e s v i s a g e s d e l a h o n t e La honte en tant que sour ce de créa ti vi té et d ap pren tis sa ge J ai un jour eu l oc ca sion de par ti ci per à un ate lier ani mé par Ri chard Band ler, l un des créa teurs de la pro gram ma tion neuro lin - guis tique (PNL), et je n ai jamais oublié l une des facettes de cet te très profitable expérience. M. Bandler nous avait demandé de nous rap pe ler un mo ment de no tre vie où nous étions convain cus d avoir rai son. Après quelques se con des de ré flexion, je me suis sou ve nu d un in ci dent avec ma fem me. Selon la consi gne de l ani ma teur, nous devions nous remémorer le souvenir choisi, le découper en séquences, puis nous le pro je ter men ta le ment com me s il s agis sait d un film. Il nous fal lait en sui te fai re dé fi ler le film à re bours avant de le re cons ti tuer dans le dés or dre: met tre la sé quen ce du mi lieu au dé but, cel le de la fin au milieu, etc. Finalement, nous devions nous remémorer à nouveau tou te l ex pé rien ce com me nous l avions fait au dé but, mais en prê tant cet te fois une gran de at ten tion aux dé tails et à no tre sen ti ment d avoir rai son. Dès que j ai revécu mentalement l expérience en question, je me suis ren du comp te qu elle ne vé hi cu lait déjà plus au tant d in ten si té émotionnelle qu à l origine. De fait, il m a été pratiquement impossible de retro uver son in ten si té pre miè re. Par le bi ais de cet exer ci ce, M. Bandler voulait nous sensibiliser à l une des techniques de «res truc - turation de notre carte du monde personnelle» appelée «travail de submodalité». Cependant, ce n était pas cela qui m apparaissait com me le plus im por tant, mais plu tôt ce que M. Band ler avait dit au sujet de la créativité, que je considère comme la plus précieuse de nos ressources. Ri chard Band ler avait sou te nu que le sen ti ment d avoir rai son constituait l un des principaux obstacles à la créativité. Lorsque nous som mes sûrs de quelque cho se, avait-il ex pli qué, nous met tons fin à notre recherche de nouvelles informations. Car avoir raison, c est être cer tain, et être certain, c est cesser d être curieux. Or, la cu rio si té et l émerveillement se révèlent essentiels à tout apprentissage (Platon af fir mait même que l émer veille ment est à l origine de la phi lo so phie). 25

20 Chapitre S a f f r a n c h i r premier d e l a h o n t e Par conséquent, nous ces sons de cher cher et d ap pren dre sitôt que nous possédons la certitude absolue d avoir raison. La honte saine, la conscience de nos limites fondamentales, nous em pê che de nous croi re om nis cients. Elle nous nour rit car elle nous pousse à rechercher de nouvelles informations et à apprendre de nouvelles choses. La honte en tant que sour ce de spi ri tua li té Dans son livre intitulé The Far ther Rea ches Of Hu man Na ture, Abra ham Mas low, le pion nier de la psychologie de la troi siè me for ce, a écrit ceci: La vie spi ri tuel le [ ] fait par tie de l es sen ce hu mai ne. C est une caractéristique qui définit la nature humaine [ ] sans laquelle la nature humaine ne serait pas entièrement la nature humaine. Mais qu est-ce que la spi ri tua li té? Je crois qu elle concerne no tre mode de vie et, que la vie se dé ploie et s ac croît sans ces se. Si bien que la spi ri tua li té peut se dé fi nir en ter mes d ex pan sion et de crois - san ce. Elle concer ne l amour, la vé ri té, la bon té, la beau té, la gé né ro - si té et la com pas sion; elle a quelque cho se à voir avec l in té gri té et la plé ni tu de. Elle représente notre besoin le plus fon da men tal, celui qui nous pous se à nous dé pas ser et à nous re lier à l ul ti me sour ce de ré ali té qu on appelle communément «Dieu». La honte sai ne cons ti tue le noyau de la spi ri tua li té. En nous rap pe - lant nos li mi tes in contour na bles, elle nous fait sa voir que nous ne som mes pas Dieu. Elle nous in dique la voie à sui vre pour en ri chir le sens de no tre vie, elle nous fait sen tir qu il y a quelque cho se ou quel - qu un de plus grand que nous. La honte sai ne cons ti tue le fon de ment psychologique de l humilité. 26

21 L e s m u l t i p l e s v i s a g e s d e l a h o n t e La honte toxique Dans Le che min le moins fré quen té, Scott Peck mon tre com ment les gens souf frant de né vro se ou de trou bles du ca rac tè re souf frent également d un trouble de la responsabilité: Les uns as su ment trop de res pon sa bi li tés; les au tres pas as sez. Lors qu ils sont en dés ac cord avec le mon de, les pre miers se croient cou pa bles, les se conds sont per sua dés que c est le mon de qui a tort. Nous avons tous des traits de personnalité légèrement semblables à ceux des per son nes souf frant de né vro se ou de trou bles du ca rac - tère. Le plus grand problème de notre existence consiste à déterminer et à clarifier nos responsabilités. Pour pouvoir vraiment consacrer no tre vie à l hon nê te té, à l amour et à la dis ci pli ne, nous de vons être prêts à nous en ga ger vis-à-vis de la ré ali té, en ga ge ment qui, se lon Peck, re po se sur «le dé sir et la ca pa ci té de souf frir une conti nuel le remise en question». Cette réévaluation permanente exige que nous entretenions une bonne relation avec nous-mêmes. Les êtres qui ne sont pas foncièrement humiliés jouissent effectivement de ce type de re la tion. Par contre, ceux qui sont ron gés par la hon te se révèlent de véritables ennemis pour eux-mêmes. La honte toxique, ce sentiment qui pa ra ly se, est à l ori gi ne des syn dro mes aus si bien névrotiques que caractériels. Les syn dro mes de la hon te né vro tique Quel le est la na ture de cet te hon te qui vous pa ra ly se? Par quel processus s est-elle in stal lée dans vo tre vie et qu est-il ad ve nu de votre hon te nor ma le au cours de ce pro ces sus? La hon te toxique, cette honte paralysante, se tra duit par le sen ti - ment en va his sant que l on est un être hu main médiocre et anor mal. Elle ne se dé fi nit plus du tout com me une émo tion ayant pour 27

22 Chapitre S a f f r a n c h i r premier d e l a h o n t e fonc tion de nous rap pe ler nos li mi tes: elle de vient plu tôt un état d es prit per ma nent, une iden ti té en soi. Sous son em pri se, on se sen t totalement dénué de qualités, faible, inepte. La honte toxique consiste en une rup ture du moi avec lui-même. Cette rupture est comme une hémorragie interne. Au cœur de la hon te toxique, il y a la peur de se ré vé ler à soi-même. La per son ne pé trie de hon te se gar de ra de dé voi ler son moi pro fond aux au tres, mais, de manière plus significative encore, elle se gardera aussi de se révéler à elle-même. Si la hon te toxique s avè re aus si in sup por ta ble, c est qu elle met dou lou reu se ment à nu l échec pré su mé du moi par rap port au moi. Le moi de vient l ob jet de son pro pre mé pris, un ob jet au quel on ne peut se fier et, en tant que tel, le su jet se per çoit com me un être in di gne de confian ce. La hon te toxique est ainsi vécue comme un tour ment in té - rieur, une ma la die de l âme. À par tir du mo ment où l on est un ob jet peu fia ble, on est for cé de vi vre en de hors de soi. La hon te toxique est donc paradoxale et autogénératrice. On peut avoir hon te d éprou ver de la hon te. En gé né ra l, on ad met qu on res sent de la cul pa bi li té, de la pei ne ou de la peur bien avant d ad met tre que l on a hon te. La hon te toxique don ne le sen ti ment d être iso lé et seul dans tous les sens de ces deux ter mes. Un sen ti ment d absence et de vide intérieur hante toujours la personne foncièrement humiliée. Jus qu à pré sent, on a très peu étu dié la hon te toxique, que l on confond ai sé ment avec la cul pa bi li té. Freud nous en a beau coup ap pris sur l anxiété et la culpabilité, mais il a presque complètement négligé la honte. Dans un ré cent ar ti cle du New York Ti mes intitulé «Shame Steps Out of Hi ding and into Shar per Fo cus», Da niel Go le man écri vait ceci: Les psycho lo gues, conve nant qu ils en sont dé pi tés et un peu embarrassés, concentrent tardivement leur attention sur la 28

23 L e s m u l t i p l e s v i s a g e s d e l a h o n t e hon te, une émo tion puis san te et très ré pan due qui, on ne sait trop com ment, a échap pé jus qu ici à l exa men scien ti fique rigoureux. L intériorisation : quand la honte envahit toute l identité Tou te émo tion peut être in té rio ri sée et, dans ce cas, perdre sa fonc tion d ori gi ne pour se trans for mer en un type de ca rac tè re. Nous connais sons pro ba ble ment tous une «soupe au lait», une «face de carême» ou un «bonnet de nuit». Ces trois termes dénoncent le fait qu une émotion (colère ou tristesse) est de ve nue le fon de ment de la per son na li té, a pris la pla ce de l iden ti té. Ces trois types de per son nes n éprou vent pas de la co lè re ou de la mé lan co lie, elles sont la colère ou la mélancolie. L in té rio ri sa tion de la honte sous-tend au moins trois pro ces sus: L identification à des mo dè les peu fia bles et pé tris de hon te; L assujettissement de tous les sen ti ments, be soins et pul sions à la honte, par sui te du trau ma tis me subi lors d un aban don; L inter con nexion des sou ve nirs gra vés dans la mé moi re et la création de «col la ges de hon te». L in té rio ri sa tion se fait gra duel le ment, avec le temps, et tout être hu main doit en com bat tre cer tains as pects. Elle a lieu lorsque les trois processus se répètent fréquemment et régulièrement. L identification à des modèles pétris de honte L identification est un processus normal qui répond au constant be soin de sé cu ri té ressenti par l être humain. En fait, le sen ti ment d ap par te nir à quelque cho se de plus grand que soi pro cu re la sé cu ri té et la pro tec tion d une ré ali té plus vas te. Le be soin de s iden ti fier à quel qu un, de sen tir que l on fait par tie de quelque cho se, que l on ap par tient à un lieu, comp te au nom bre de 29

24 John Bradshaw a obtenu trois diplômes de l Université de Toronto. Psychothérapeute, théologien, conseiller en gestion et conférencier, il est l auteur de plusieurs best-sellers. Il a aussi animé diverses émissions à la télévision américaine. Du même auteur ISBN S'affranchir de la honte couverture.indd 1 JOH N B RADSHAW Graphisme de la couverture : François Daxhelet Illustration : Shutterstock/sita ram L S AFFRANCHIR DE LA HONTE S AFFRANCHIR DE LA HONTE orsqu elle est passagère, la honte peut être une source d apprentissage, un guide utile pour établir ses propres limites. Mais lorsqu elle s enracine et devient permanente, elle mène inévitablement à une coupure d avec soi. De cette rupture naissent les sentiments de vide intérieur, de vulnérabilité et d impuissance. Ce livre propose une méthode efficace pour reprogrammer vos émotions et éradiquer ce sentiment destructeur qui vous prive de votre droit d être aimé ou de simplement faire des erreurs. En vous libérant de la honte toxique, vous vous autoriserez à vivre des relations saines, à prendre des décisions éclairées et à laisser libre cours à votre créativité. Vous découvrirez alors un sentiment nouveau, empreint de paix et de confiance : celui de faire un avec vous-même et le monde qui vous entoure. J O H N B R AD S HAW 22.5mm :53 PM 100%% % 50% 25%

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