Théorie de la personnalité 24/11/03
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- Edith Picard
- il y a 7 ans
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1 Théorie de la personnalité 24/11/03 Souci dans la perspective du chap 7 de l interprétation des rêves : poursuive une réflexion sur les lieux d investissements de la libido. utilisation de la métaphore optique (physique) Physique du monde : rendre compte du monde extérieur Psychisme = série de lentilles qui tentent de représenter la réalité Psychophysiologie : labos expérimentales fin 19 e siècle : étude des temps de réaction Concept de boite noire : schéma de base à la fois propre au réflexe médullaire et propre à la psychophysiologie. Freud : interrogation sur le monde extérieur Métaphore optique : la réalité photocopie = modifications (grâce aux lentilles) La réalité intérieure peut modifier ce qu il en est de la réalité extérieure. Métaphore théâtrale : 5 scènes (5 lentilles) Topique du rapport entre réalité interne et externe Il existe 3 réalités : - physique : le monde, le objets réalité externe - biologique : réalité du vivant. Sa principale caractéristique est sa capacité «auto» : produire et se reproduire - psychique : réalité interne : c est une réalité vivante, pas matérielle. Elle possède une capacité «méta» en plus de la capacité «auto». La fonction méta permet de se regarder comme si on était l objet. Je me regarde, je peux parler de moi, je me vois, je me pense On est à la fois sujet et objet. Intersubjectivité : l autre est un objet autre que moi. L autre est un autre moi-même mais c est aussi un autre différent de moi. même/différent Question du théâtre : Le théâtre est le lieu où qqch se met en jeu, en scène. Il y a là une perspective dynamique car ça va dans le sens d une réalité psychique. Importance de représenter et de transformer. Pas de scénario pré-écrit, pré-établi. Le scénario est transformé, improvisé. 1 ère topique :identification des processus disponibles. Les scènes interagissent entre elles, elles ne sont pas indépendantes. De plus, certains processus défensifs interviennent. Certaines sont privilégiées par rapport à d autres. Fonction asymptotique : rapport entre réalité et imaginaire. L imaginaire est le lieu de production imaginaire, c est une dimension de l inconscient. Il existe une forme de permanence d activité. La seule façon de couper cette activité c est l anesthésie générale.
2 Nous sommes toujours en train de penser même inconsciemment. Cette activité de pensée est permanente, diversifiée. Un travail de réflexion se fait tout le temps dans l inconscient sans que l on ne sache. Ex : les rêves : On se rappelle de certain détails des rêves, c est ce qu on appelle le contenu manifeste. Quand on se concentre, il arrive que d autres détails réapparaissent tout à coup (attention ciblée) Scène de l inconscient : scène du refoulement. Le refoulement est un processus de défense, d auto-défense. L inconscient est le lieu qui n est pas continuellement activé par une pensée consciente. Les 5 scènes ne sont pas fermées : il y a un passage permanent de flux de la pensée fluidité Hypothèse : pouvoir utiliser le plus efficacement les différentes scènes pour traiter ce qui est à l origine.µex : angoisse suscitée par la confrontation à la réalité externe. WINNICOTT : «On n en a jamais fini avec la réalité» La réalité sera toujours génératrice d angoisses, quelque soient les expériences de la vie. L expérience de vie peut être répétitive, névrotisante. Elle n est pas garant d un bon équilibre, d une bonne utilisation du psychisme. Ex : un cul-de-jatte peut parler d un 110m haies même s il ne pourra jamais le faire. Les différentes scènes sont des scènes actives sur lesquelles on pose toujours des questionnements : - confrontation à la réalité externe - confrontation à l autre - confrontation à soi Le rapport à soi n est pas un rapport qui va de soi. Il existe un dualisme. Ex : les personnalités multiples : pas de souplesse externe de représentations de soi Ex : quand on a un mari et un amant, on doit avoir un certain dualisme au risque d un décollage de la réalité. Ex : schizophrènes : clivage 3 caractéristiques de l identité : - être même - être différent - maitenir une permanence de ce qu on est Cette 1 ère topique est une topique de la psychologie. Les différentes instances sont comme les grands chapitres d un cours de psychologie générale.(perception, mémoire, imaginaire ) Processus propres à ces différentes scènes : Hypothèse de base : la réalité interne se constitue à partir de la réalité externe. Comment la réalité interne va-t-elle traiter cette angoisse nodale quand on est confronté à la réalité externe? Comment ces différentes scènes peuvent-elles traiter cette réalité? RMQ : les scènes s influencent mutuellement Ex : lapsus : émergence de l inconscient dans le langage (trahir dans le comportement qqch qui n est pas maîtrisé par le sujet)
3 PERCEPTION Rapport entre sensation et perception : - sensation : représentation tout à fait périphérique, traces sensorielles - perception : en présence d un objet, face à l objet, intervention du SNC représentation perceptive Cette première instance est liée à l angoisse Situation d effroi : on est figé sur place, on est démuni face à la réalité externe. Pour en sortir, on essaye de percevoir un objet dans le monde extérieur sur lequel on projette notre angoisse. On projette la cause de cette situation. La perception permet de périphériser cette angoisse nodale. Ces scènes vont être utilisées soit : - pour localiser un objet - pour expurger l angoisse dans un comportement décharge de l angoisse dans le comportement L angoisse est alors transformée en peur. possibilité de fuite On peut fuir une peur mais pas une angoisse car on ne peut pas se fuir soi-même. Comportements phobiques : avoir peur de 1 ère fonction : représentance 2 ème fonction : affective : angoisse nodale peut être périphérisé localisation sur un objet externe possibilité de fuite La perception a donc un double fonction : - représenter le monde - traiter l angoisse La phobie a une fonction structurante. Il ne faut pas refuser que les enfants aient des objets de peur. Quand on a trop d angsoisses : névrose phobique La perception marque une limite entre interne et l externe construction d une 1 ère limite du psychisme Ex : psychotiques : angoisse d être vécu par une autre personne, difficulté de différencier interne et externe, incapacité de différencier les deux, les représentations sont prises pour des objets confusion des deux réalités Quand la limite n est pas assez constituante alors il y a une impossibilité à marquer la différence entre intérieur et extérieur. La perception est donc la scène de la représentation, c est la 1 ère démarcation entre interne et externe. L élément phobique est un garant de la délimitation. Souvent les objets phobiques sont des objets qui piquent et qui vont donc à l encontre des fonctions libidinales. Localiser sur un objet externe est en rapport avec les investissements libidinaux.
4 MEMOIRE C est l instance de stockage des perceptions. Il y stocke des représentations liées à des perceptions pour pouvoir les réinvestir quand l objet est absent. C est un souvenir de Double travail : - stockage - tout ce qui lie à la représentation de l objet mais aussi à soi La psychologie s occupe de la mémoire/non-mémoire : incapacité de mémoire, troubles normaux de mémoire : oubli et capacité à se remémorer La mémoire travaille sur le rappel. L identité se travail dans cette scène. La mémoire = devoir de mémoire = nécessité de qqch qui met en place la transmission «appeler à sa mémoire + souci de transmettre à la mémoire de l autre» La mémoire est le théâtre de la transmission Ex : faire des liens entre les histoires des autres en termes de généalogie notion de transmission, de l histoire fantasmes originaires : j appartiens à ex : familles recomposées : plusieurs lignées généalogiques se croisent. La mémoire permet de maintenir la notion de permanence. Différence entre l informatique et la mémoire humaine : - informatique : la mémoire est limitée, on peut l enlever - mémoire humaine : elle est infinie, on ne peut pas l enlever. Impossible d oublier qqch (travail du deuil, du renoncement) ex : Rainman : mémoire localisée mais phénoménale, mémoire immédiate. Quand Raymond lit le bottin téléphonique dans le film, il se rappelle de tous les noms et numéros de téléphone. Il existe une défense se la mémoire : oublier On oublie ce qu il ne faut pas et vice versa. Ex : trous de mémoire lors d un examen La mémoire et la perception jouent sur deux dimensions : - la mémoire joue dans le temps/ la perception joue dans l espace - le temps se transforme en histoire généalogie ex : secrets de famille : histoires qu on cache par honte, culpabilité RMQ : honte culpabilité Ex : quand on est le seul survivant dans un accident : on se sent coupable. Pourquoi moi?? (questionnement de sens qui implique identité et réalité) Ex : holocauste chez les juifs : dans la culture juive, il faut transmettre. La mère est considérée comme le 1 er agent de transmission. Mais quand la mère a trop honte, elle ne transmet pas. (inceste, délinquance, violence)
5 INCONSCIENT = complément au manque de mémoire lié à l imaginaire. On imagine, on invente quand on ne souvient pas. L imaginaire : Sa fonction est différente de celle de la mémoire. C est qqch qui ne s appuie pas sur des perceptions réelles. C est une notion en complément de la mémoire. 1 ère fonction : rapport à l imaginaire, à la virtualité, construire des images virtuelles. LACAN : le sujet barré : sujet virtuel qui n existe par réellement On a des représentations inconscientes de nous-mêmes qui n ont pas de rapport avec la réalité. Entre les 5 scènes il doit y avoir une unité. Une personnalité équilibrée utilise l ensemble de ces scènes pour en construire une unité. Image idéalisée : image virtuelle : aucun contact avec la réalité Nous possédons tous cette instance. Est-ce qu les inconscients communiquent? Oui, inconsciemment. Certaines choses sont difficiles à représenter alors on les imagine. Ex : la mort Etats de conscience modifiés : inconscient, préconscient, conscient C est une autre façon d appeler les instances. En modifiant nos états de conscience, les instances vont réagir autrement différente. activation 1 er élément de l Ics : imaginaire associé au virtuel (construction de représentations non associées à la réalité) ex : dans le test de l arbre : on demande au sujet de dessiner un arbre. On lui donne une autre feuille et lui redemande de dessiner un arbre. On lui donne une 3 e feuille et lui demande de dessiner un arbre imaginaire. dessiner un arbre virtuel fait référence au préconscient langage. Il existe un mot dans le Pcs qui fait référence à une représentation dans la mémoire, qui fait référence à une perception, qui fait référence à un objet. 2 ème élément de l Ics : refoulement. Représentations liées à des affects perturbants. Lorsqu elles sont réinvesties, elles rappellent les affects refoulement L inconscient est le lieu où se retrouvent isolées les représentations gênantes (car elles sont liées à des expériences perturbantes ou construites comme étant des scénario perturbants) Ex : Œdipe, castration L inconscient est le lieu du refoulement des représentations. Il est impossible de refouler des affects, des pulsions. On peut seulement refouler les représentations qu on en a.
6 L inconscient est le lieu des imagos, des généralisations. On y parle avec des majuscules, au sens universel. La difficulté des représentations refoulées de l Ics est de retrouver la liaison avec l affect. L inconscient est un lieu peu accessible au sens d une capacité de penser, c est le lieu de l imaginaire. Ex : demander à des enfants : Comment fait-on des enfants? construction de représentations imaginaires La seule traduction de l inconscient est le rêve. Ex : associations libres : dire ce qu on veut perte des barrières, des défenses. Le psychologue doit avoir une attention flottante. Il traduit l apparition de trouées de l inconscient (lapsus )Ces trouées trouvent des ancrages, et sont porteurs d un sens virtuel. L inconscient a toujours des ancrages dans la réalité, ils sont des signifiants. PRECONSCIENT C est l instance du langage. C est la scène où les différentes formes de langage vont traiter l angoisse. Le langage représente. Un mot correspond à une chose mais n est pas cette chose. Accéder au langage : les mots = signifiants qui représentent un signifié = symbolique renvoyant à une réalité. 3 structure importantes dans le langage : - sémantique : signification des mots, ce qui va traduire la représentation d une chose. On peut traiter des angoisses, des affects grâce aux mots. Il existe de mots générateurs d angoisse. Certains mots ne peuvent être dits, ils sont interdits, refoulés. - Syntaxique : capacité d articuler. Importance de la mise en place de scénarios fantasmatiques mettre des liens entre les éléments (ex : raconter des histoires aux enfants : ça permet de mettre en place des liens entre des représentations) - Pragmatique : le langage performatif. Le langage n a de sens que s il est attribué à quelqu un. Le langage est le travail qui va permettre de trouver les scénarios ics refoulés. Processus de pensée primaire : basé sur le langage métaphorique langage associatif Processus de pensée secondaire : traduction, construction de représentations Ex : les formules mathématiques : difficulté du sujet à aller vers ces dimensions
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