Chapitre 1 Exemple introductif Analyse économique de l obésité.
|
|
- Raphaël Labrie
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapitre 1 Exemple introductif Analyse économique de l obésité. 1
2 Pourquoi ce chapitre? Illustrer ce qu est une démarche scientifique en sciences sociales: Etape 1: Définir et mesurer un phénomène. Etape 2: Définir un cadre d analyse (comptable). Etape 3: Formuler des hypothèses. Etape 4: Dériver des implications testables des hypothèses. Etape 5: Tester la théorie, implications normatives. Les points 1& 2 sont hors du champs de 2 l économie dans cet exemple.
3 Analyse économique de l obésité. 1. Introduction. 2. Les tendances dans la prévalence de l obésité. 3. Moins de calories dépensées ou plus de calories consommées? 4. Progrès technique, division du travail et obésité. 5. Implications de la théorie. 6. Conclusion: des recommandations de politique économique? 3
4 1. Introduction. 1960, Américain(e) moyen : 168 livres (143) (1 livre = kg). 2003, Américain(e) moyen : 180 livres (155). La taille moyenne des Français a augmenté de 0,4 cm et le poids de 2,1 kg entre 1997 et En France, le tour de taille des hommes (femmes) est passé de 90,5cm à 92,9cm (79,2 à 83,7) de 1997 à
5 Augmentation du nombre de personnes obèses en France depuis 1997: 1997 : personnes 2000 : personnes 2003 : personnes 2006 : personnes 2009 : personnes. Le poids augmente continûment aux XX et XXI siècles. Mais le seuil médicalement recommandé est atteint et dépassé dans les années 80 aux EU. 5
6 Depuis les années 80, les calories dépensées sont restées constantes, Les calories consommées ont augmenté. Pourquoi alors cette augmentation des calories consommées et du poids? 6
7 Une explication économique. Un changement important: l industrialisation de la préparation des repas (division du travail). Exemple de la pomme de terre. (+30% entre 1977 et 1995) Cette théorie a des implications testables. Par ex, la consommation a + augmenté pour les produits qui ont le + bénéficié du progrès technique. 7
8 Analyse économique de l obésité. 1. Introduction. 2. Les tendances dans la prévalence de l obésité. 3. Moins de calories dépensées ou plus de calories consommées? 4. Progrès technique, division du travail et obésité. 5. Implications de la théorie. 6. Conclusion: des recommandations de politique économique? 8
9 2. Les tendances dans la prévalence de l obésité Mesure Evolution Dans le détail Comparaison internationale. 9
10 2.1. Mesure. Poids moyen des hommes aux Pays-Bas en 2006: 82,3 kg. Au Portugal: 73,8 kg. Peut-on en conclure que les hommes sont plus «gros» aux Pays-Bas? Non, car taille moyenne des hommes: aux P-B: 181,2 cm, au Portugal: 171,1 cm. Une leçon importante: il faut comparer des choses comparables. Il faut «contrôler» par la taille.(autre exemple: accidents des chauffeurs 10 de taxi)
11 Indice de Masse Corporelle = Poids (en kg) / Taille 2 (en m 2 ) Classification IMC Obésité massive >40,0 Obésité sévère 35,0 39,9 Obésité 30,0 34,9 Surpoids 25,0 29,9 Normal 18,5 24,9 Maigreur < 18,5 11
12 Il est intéressant d aller au-delà de la moyenne et de regarder la distribution des IMC. Exemple: soit une population d élèves dont la distribution des notes est Note % des élèves Moyenne = 5,67 Médiane = 5 Écart-type = 3,23 1 er quartile = 3 3 ième quartile = 8 12
13 La distribution des notes 0,25 0,2 0,15 0,1 0,
14 La distribution des notes (2) 0,25 0,2 0,15 0,1 0,
15 15
16 2.2 Évolution 16
17 17
18 2.3. Dans le détail 18
19 Commentaires: Les femmes mariées avec ou sans éducation ont le plus grossi. Le passage de «homme marié avec femme qui ne travaille pas» à «homme marié avec femme qui travaille» ne représente que 10% de l accroissement de l obésité: la participation des femmes au marché du travail n explique pas tout. L obésité est négativement corrélée avec le diplôme pour les femmes, pas pour les hommes. 19
20 20
21 (nouvelle enquête 2009) 21
22 22
23 23
24 24
25 25
26 (nouvelle enquête 2009) 26
27 27
28 2.4. Comparaison internationale 28
29 29
30 Analyse économique de l obésité. 1. Introduction. 2. Les tendances dans la prévalence de l obésité. 3. Moins de calories dépensées ou plus de calories consommées? 4. Progrès technique, division du travail et obésité. 5. Implications de la théorie. 6. Conclusion: des recommandations de politique économique? 30
31 3. Moins de calories dépensées ou plus de calories consommées? 3.1. Comptabilité énergétique Prise de calories Dépense de calories. 31
32 3.1. Comptabilité énergétique. En moyenne, calories une seule fois +1kg d un coup, que l on perd ensuite. On brûle des calories régulièrement pour 3 raisons 1. Métabolisme de base : α + β Poids (pour un homme de 70kg: 1800 cal). 2. Digestion : 10% des dépenses énergétiques quotidiennes. 3. Activité physique (en partie fonction du poids) Pour maintenir un poids P, il faut prendre K calories : K = α + (β+exercice) P + 0,1 K (K,P) est un état stationnaire. 32
33 La relation poids-prise de calories Poids P Calories K 33
34 À activité physique donnée, une prise de poids de 10/12 livres (5kg) correspond à +100 à +150 cal par jour. C est l équivalent d une cannette de Coca, de trois biscuits Pépito ou de 2 km de marche. Un changement assez faible dans les habitudes correspond, à l état stationnaire, à des variations de poids importantes La prise de calories 34
35 35
36 + 268 cal pour les hommes, pour les femmes: cela suffit à expliquer la prise de poids Faits remarquables: 1. Pas plus de calories par repas 2. Plus de repas par jours 3. Toute l augmentation de la prise de calories vient des «snacks» 3.2. La dépense de calories 36
37 37
38 Les dépenses de calories sont très stables Gros changements entre 1965 et 1975 (+ 40 mn de TV) Peu entre 75 et 95 (+ 20 mn de TV, mais de sommeil, + de sport, + de marche). Conclusion: l explication est du coté de la prise de calories. 38
39 39
40
41 Analyse économique de l obésité. 1. Introduction. 2. Les tendances dans la prévalence de l obésité. 3. Moins de calories dépensées ou plus de calories consommées? 4. Progrès technique, division du travail et obésité. 5. Implications de la théorie. 6. Conclusion: des recommandations de politique économique? 41
42 4. Progrès technique, division du travail et obésité Le problème et les théories proposées La croissance de l industrie alimentaire de masse 4.3. Implications du progrès technique 42
43 4.1. Le problème et les théories proposées. Théorie économique de base: les variations de prix et de revenu peuvent tout expliquer: Nous sommes + riches nous mangeons plus. La nourriture est moins chère nous mangeons plus. Ce sont effectivement des variations de prix qui expliquent le phénomène, mais de manière subtile. 43
44 En effet, augmentation du revenu et baisse de prix de marché n explique pas les choses au premier regard: Obésité et revenu sont négativement corrélés Le prix de la nourriture croît presque au même taux que le reste sur (3% moins vite) 44
45 Les approches plus «sociologiques» peinent également à expliquer le phénomène: L effet de la participation des femmes au marché du travail: «les femmes travaillent plus de repas dehors + de repas + riches» Mais On ne le voit pas dans les données (cf. supra) Les restaurants font aussi des repas basses calories 45
46 La théorie proposée explique une baisse du coût complet de la nourriture, c est-à-dire prix de la nourriture + temps de préparation Réduction du temps nécessaire pour préparer un repas repas plus fréquents prise de poids 46
47 4.2. La croissance de l industrie alimentaire de masse En 1960, la préparation d un repas pour une famille moyenne nécessite: $15 de produits. 130 mn de temps de préparation ( $20) (= 57% du coût total). En 2006, le temps a été réduit de moitié. Car une grande partie de la préparation a été industrialisée. 47
48 5 difficultés pour produire de la nourriture en un lieu et la rendre disponible dans un autre: 1. Contrôler de l atmosphère pendant la préparation. 2. Eviter les contaminations. 3. Conserver la saveur. 4. Préserver de l humidité. 5. Contrôler la température. Dans ces 5 dimensions, progrès technique rapide depuis les années
49 1. Contrôler de l atmosphère pendant la préparation: production en atmosphère modifiée 2. Eviter les contaminations: stérilisation au péroxyde d hydrogène, films plastiques extensibles 3. Conserver la saveur: conservateurs, arômes artificiels 4. Préserver de l humidité (cristaux de glace, brûlure du froid par déshydratation): emballages en polyethylène 5. Contrôler la température: étagères réfrigérées 49
50 + diffusion du four à micro ondes: 8% des ménages américains en 78, 83% en 99 On assiste ainsi à une industrialisation de la nourriture: En 1972, 44% du coût de la nourriture va aux fermiers En 1997, 23%... 50
51 4.3. Implications du progrès technique. La préparation d un repas nécessite de payer des coûts fixes et des coûts variables. Exemple des frites: Coût variable: peler, couper. Coût fixe: faire frire La préparation industrielle de la nourriture permet: de partager les coûts fixes entre un grand nombre d agents, De réduire les coûts variables grâce aux rendements d échelles (mécanisation) 51
52 Analyse économique de l obésité. 1. Introduction. 2. Les tendances dans la prévalence de l obésité. 3. Moins de calories dépensées ou plus de calories consommées? 4. Progrès technique, division du travail et obésité. 5. Implications de la théorie. 6. Conclusion: des recommandations de politique économique? 52
53 5. Implications de la théorie. Cette théorie a des implications logiques que nous pouvons confronter aux données: 5.1. Diversité/fréquence 5.2. Progrès technique et consommation 5.3. Prévalence chez les hommes et les femmes 5.4. Implications internationales 53
54 5.1. Diversité/fréquence. La baisse du coût de la préparation des repas on consomme plus souvent des produits plus diversifiés. C est ce que l on a observé dans l évolution des habitudes alimentaires (augmentation du nombre de repas. 54
55 5.2. Progrès technique et consommation. La croissance de la consommation se fait surtout dans les produits qui ont connu un progrès technique important. Confirmé par le graphique suivant: plus le produit est brut, moins il peut être affecté par le progrès technique, moins la croissance de sa consommation sera élevée (œuf versus céréales) 55
56 56
57 5.3. Prévalence chez les hommes et les femmes. Les individus qui ont le plus bénéficié des effets du progrès technique et de l industrialisation sont ceux qui ont pris le plus de poids Rien n a vraiment changé pour les hommes célibataires (qui ne cuisinait pas avant) En revanche, gros changement pour les femmes elles ont plus grossi. 57
58 5.4. Implications internationales. Une moindre diffusion du progrès technique une moindre prévalence de l obésité aujourd hui. Pays % de ménages équipés de micro-ondes en 2003 Prévalence de l obésité des adultes en 2005 Etats-Unis 85% 30.6% Grande-Bretagne 66% 22.4% Italie 14% 8.6% 58
59 Les Français et les Italiens cuisinent 19 mn de plus par jour que les américains ou les anglais. Le tableau suivant montre que les mesures de contrôle des marchés alimentaires sont associées avec une plus faible prévalence. 59
60 60
61 Analyse économique de l obésité. 1. Introduction. 2. Les tendances dans la prévalence de l obésité. 3. Moins de calories dépensées ou plus de calories consommées? 4. Progrès technique, division du travail et obésité. 5. Implications de la théorie. 6. Conclusion: des recommandations de politique économique? 61
62 6. Conclusion: des recommandations de politique économique? Explication du phénomène: Il est moins coûteux en temps de préparer un repas on en fait plus les individus augmentent leur IMC. (c est une analyse positive) Ceci peut très bien être le résultat d un comportement standard d homo oeconomicus. Il n est pas besoin de règlementer? (à la différence de l obésité des enfants) (c est une analyse normative) Pas réellement de problèmes d externalités (à la différence du tabac). 62
63 Mais la prise de nourriture n est peut être pas toujours rationnelle: On fait des efforts pour maigrir (salle de sport) et l on continue à trop manger Problème de self-control : le plaisir immédiat domine un coût futur mal évalué Dans ce cas, un progrès technique sans accompagnement peut être une mauvaise chose. Outil à la disposition de l Etat: Outil économique: taxe sur le sucre. Outil non éco: informer. 63
Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015
Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Logements neufs / logements d occasion 7 700 logements d occasion vendus en 2013 dans l aire urbaine
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailQui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.
Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes
Plus en détailAPS résumé partie III
1 APS résumé partie III Les outils d évaluation de l activité physique Le but est de quantifier/ évaluer les activités physiques habituelles (non-structurées).on a plusieurs méthodes : - Indirectes (subjectives)
Plus en détailGRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne
LA RESTAURATION SCOLAIRE GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014 Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LES OBJECTIFS Apporter aux enfants une alimentation de Qualité pour répondre à leurs
Plus en détailPouvoir d achat - 124. Revenu mensuel en Autriche. Tableau: Revenu mensuel en Autriche Valide au 31 mars 2009
Revenu mensuel en Autriche ans d expérience, a) célibataire et b) marié et père de 2 enfants c) et d) sans revenir chaque jour à la maison et preste 5 heures supplémentaires Tableau: Revenu mensuel en
Plus en détailOBESITE ET EPS. Cf www.sante.fr.(programme national, nutrition santé, courbe de corpulence)
OBESITE ET EPS DEFINITION L obésité se définit comme un excès de poids pouvant retentir sur la santé. La mesure générale acceptée de l obésité est l Indice de Masse Corporelle (IMC : poids en kg / taille
Plus en détailà moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq
e élevé Risque faible Risq à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq L e s I n d i c e s F u n d a t a é Risque Les Indices de faible risque
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailInformations produits. Massepain
Informations produits Massepain BASE RÉGLEMENTAIRE POUR LES PRODUITS ALIMENTAIRES (principes pour les graines oléagineuses) : «La pâte d amandes brute est une masse fabriquée à partir d amandes mondées.
Plus en détailLe calcul du barème d impôt à Genève
Le calcul du barème d impôt à Genève Plan : 1. Historique Passage d un système en escalier à une formule mathématique 2. Principe de l imposition Progressivité, impôt marginal / moyen ; barème couple/marié
Plus en détailLe mouvement vitalité! Un pas vers la forme! Sport-Santé. Acti March
Le mouvement vitalité! Un pas vers la forme! Sport-Santé Acti March Une Fédération pour votre forme Moyen de déplacement à la portée de tous, quel que soit son âge, la marche est une forme d activité physique
Plus en détailProgressons vers l internet de demain
Progreon ver l internet de demain COMPRENDRE LA NOTION DE DÉBIT La plupart de opérateur ADSL communiquent ur le débit de leur offre : "512 Kb/", "1 Méga", "2 Méga", "8 Méga". À quoi ce chiffre correpondent-il?
Plus en détailDéveloppement d une application pilote
Développement d une application pilote Nutri-TIC Flora Massanella Principes Cette seconde phase vise à mettre en pratique les conclusions obtenues lors de la phase A. L application web Nutri- TIC a donc
Plus en détaillire les Étiquettes et trouver les sucres cachés
lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés Objectif : Sensibiliser les élèves à ce qui se trouve dans leur nourriture et les aider à se méfi er des sucres cachés. Matériel Feuille à imprimer : Chaîne
Plus en détailQui fait quoi sur internet?
Ans Note d éducation permanente de l ASBL Fondation Travail-Université (FTU) N 2015 8, avril 2015 www.ftu.be/ep Qui fait quoi sur internet? Analyse des inégalités sociales dans l utilisation d internet
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailMise à jour des paramètres relatifs à l estimation des Besoins énergétiques minimums
MÉTHODOLOGIE DE LA FAO POUR MESURER LA PRÉVALENCE DE LA SOUS- ALIMENTATION Mise à jour des paramètres relatifs à l estimation des Besoins énergétiques minimums Division des Statistiques de la FAO Rome,
Plus en détailPrésentation des animations Aux Goûts du Jour
Présentation des animations Aux Goûts du Jour AUX GOÛTS DU JOUR est une association nationale d éducation alimentaire. Objectifs * Aider les enfants et les adultes à retrouver le plaisir de Bien manger.
Plus en détail40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère.
«Consommer moins en consommant mieux» 40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère. Maîtriser notre consommation en électricité, c est nous engager à adopter des gestes
Plus en détailECONOMIE D ENERGIE DES APPAREILS ELECTROMENAGERS : POURQUOI PAYER PLUS POUR CONSOMMER MOINS? ENQUETE ET PROPOSITIONS DE L UFC-QUE CHOISIR
ECONOMIE D ENERGIE DES APPAREILS ELECTROMENAGERS : POURQUOI PAYER PLUS POUR CONSOMMER MOINS? ENQUETE ET PROPOSITIONS DE L UFC-QUE CHOISIR L enquête L UFC-Que Choisir vient de réaliser une enquête sur les
Plus en détailCharte PNNS Groupe CASINO Résultats
Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Calendrier En 2008, Casino a signé Les une engagements charte d engagements de la charte de progrès PNNS ont nutritionnel été appréhendés du PNNS. Elle comprenait 10
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailCompte bancaire ou assurance vie? 5. Amortissement direct ou indirect?
92 LE GUIDE FINANCIER DU PROPRIÉTAIRE Compte bancaire ou assurance vie? La décision de prendre un compte bancaire dépendra du profil du client et de ses besoins. Par exemple, si l emprunteur est célibataire
Plus en détailCHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ
CHAPITRE : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ..Introduction.2. Le point de départ de l analyse micro-économique du consommateur.3. La fonction de demande individuelle.4. Effets
Plus en détailConsommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle. Information sur le sodium alimentaire. www.reductionsodium.ca
Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle Information sur le sodium alimentaire www.reductionsodium.ca Contact Jocelyne Bellerive, MA Coordonnatrice/Éducatrice Programme réduction
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailChapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne
hapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne I : La fonction de consommation keynésienne II : Validations et limites de la fonction de consommation keynésienne III : Le choix de consommation
Plus en détailL équilibre alimentaire.
L équilibre alimentaire. Une bonne nutrition est un incontestable facteur de bonne santé. Dans la médecine traditionnelle chinoise, certains aliments bien utilisés servent de remèdes pour prévenir et traiter
Plus en détailL'Obésité : une épidémie?
Communiqué de presse 5 mars 2014 L'Obésité : une épidémie? Résultats de l'étude MGEN «Habitudes de vie et surpoids» 3 Français sur 4 se jugent en bonne santé, 1 sur 2 est en surpoids, 16% sont obèses 2/3
Plus en détailAnalyse des mesures anthropométriques et de la composition corporelle des cégépiens et des cégépiennes
Analyse des mesures anthropométriques et de la composition corporelle des cégépiens et des cégépiennes (PA2002-006) Rapport synthèse 2 Points saillants Luc Chiasson Enseignant-chercheur Cégep de Lévis-Lauzon
Plus en détailRéseau Diabhainaut Programme Osean Enfant Document d Information pour les Parents
Obésité Sévère de l Enfant et de l Adulte en Nord/Pas-de-Calais Réseau Diabhainaut Programme Osean Enfant Document d Information pour les Parents Les services de médecine scolaire ou votre médecin traitant
Plus en détailOBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE
Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.
Plus en détailObésité chez l enfant Epidémie, Causes, Prévention. PD Dr. Jardena Puder Service de l endocrinologie, diabétologie et métabolisme, CHUV
Obésité chez l enfant Epidémie, Causes, Prévention PD Dr. Jardena Puder Service de l endocrinologie, diabétologie et métabolisme, CHUV Menu du jour Épidémie de l obésité chez l enfant Epidémiologie Facteurs
Plus en détailLa diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française
La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française Étude réalisée par le Centre de Recherche pour l'étude et l'observation des Conditions de Vie (CREDOC) pour
Plus en détailLa diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française
La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française Étude réalisée par le Centre de Recherche pour l'étude et l'observation des Conditions de Vie (CREDOC) pour
Plus en détailMonitoring des données relatives au poids effectué par les services médicaux scolaires des villes de Bâle, Berne et Zurich
Promotion Santé Suisse Editorial Feuille d information 1 Les données de poids de plus de 13 000 enfants et adolescents dans les villes suisses de, et ont été collectées pour l année scolaire 2012/2013
Plus en détailLa fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008
La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008 Ce document se veut une analyse succincte des indicateurs se rapportant à
Plus en détail«ENFANTS ET INTERNET» BAROMETRE 2011 de l opération nationale de sensibilisation :
avec le soutien de «ENFANTS ET INTERNET» BAROMETRE nationale de sensibilisation : Génération Numérique Fiche technique Le cinquième baromètre et a été réalisé par Calysto dans le cadre de sensibilisation
Plus en détailNouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes
Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Pages 4 à 48 barèmes 4 à 48 donnes Condensé en une page: Page 2 barèmes 4 à 32 ( nombre pair de donnes ) Page 3 Tous les autres barèmes ( PV de
Plus en détailQuelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation
1 Septembre 2014 Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation Grand-Charmont est une commune de 5200 habitants qui compte 57 % de logements sociaux. Les revenus
Plus en détailLogiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Plus en détailSÉCHAGE L ÉLECTROMÉNAGER CE QU IL FAUT SAVOIR
Suivez le guide! CE QU IL FAUT SAVOIR Votre facture d éléctricité n est pas votre facture de chauffage! Voici comment se répartit votre facture d éléctricité Attention plus vous consommez plus votre facture
Plus en détailBilan thermique et social simplifié
Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement 34 Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 32 quai de Rouen 59 100 ROUBAIX Informations
Plus en détailDéfinitions. Définitions sur le logement
Définitions sur le logement Logement Un logement est défini par son utilisation : c est un local séparé et indépendant utilisé pour l habitation. Il doit être séparé d autres locaux par des murs ou cloisons
Plus en détailANALYSE QUALITATIVE RESTREINTE
Uniquement disponible sur le site web du CELV: http//www.ecml.at Document de référence 3: ANALYSE QUALITATIVE RESTREINTE Objet et méthode: Nous avons voulu comprendre au-delà des réponses au questionnaire
Plus en détailGénérateur Photovoltaïque K-Sol
Générateur Photovoltaïque K-Sol 2013 Le K-Sol est un générateur électrique solaire. Vous n avez pas besoin de monter les panneaux sur votre toit, juste à les installer sur un support livré avec le groupe.
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailBilan thermique et social simplifié
Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 72 rue de Rome 59 100 Roubaix Informations
Plus en détailLes graisses dans l alimentation infantile
FAMIPED Familias, Pediatras y Adolescentes en la Red. Mejores padres, mejores hijos. Les graisses dans l alimentation infantile Autor/es: Ana Martínez Rubio. Pediatra de Atención Primaria. Centro de Salud
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION
ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et
Plus en détailB.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales. Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché
B.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché Première partie : Analyse du marché à partir des annexes 1
Plus en détailPEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?
PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailMesure de la dépense énergétique
Mesure de la dépense énergétique Bioénergétique L énergie existe sous différentes formes : calorifique, mécanique, électrique, chimique, rayonnante, nucléaire. La bioénergétique est la branche de la biologie
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailChapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème
Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
FOURNITURE ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE DESTINES AU SERVICE DE LA RESTAURATION SCOLAIRE DE LA COMMUNE DE SEMBLANÇAY N MARCHE : CANT.2009 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Personne
Plus en détailPARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale
Indicateur n 9 : Consommation de soins par habitant Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Le nombre moyen de consultations médicales par habitant
Plus en détailOBJECTIFS : FÉDÉRER UNE COMMUNAUTÉ DE CONSOM ACTEURS VI. EXTRAITS DES RETOMBEES PRESSE DE L OPERATION 2014
SOMMAIRE I. ACAVU : MISSIONS ET AVANTAGES II. III. JEUX ET ANIMATIONS AU PROGRAMME OBJECTIFS : FÉDÉRER UNE COMMUNAUTÉ DE CONSOM ACTEURS IV. LE KIT DU PARTICIPANT! V. LE KIT DE l ANNONCEUR! VI. EXTRAITS
Plus en détailEtude statistique des données fournies par la CCIJP
Etude statistique des données fournies par la CCIJP Sommaire Introduction : Stagnation du nombre de cartes accordées en 2012... 4 1. Dans quels secteurs d activité les journalistes encartés travaillent-ils?
Plus en détailFiche technique n 1 : le logement construction des boxes.
Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation
Plus en détailRésultats techniques de la mortalité au Canada
Résultats techniques de la mortalité au Canada Présentation à l assemblée annuelle de l ICA à Vancouver 29 juin 2010 1 Présentation Espérance de vie Amélioration de la longévité Comparaisons internationales
Plus en détailCAHIER SPÉCIAL www.contrelediabete.fr Nathalie Ferron
CAHIER SPÉCIAL 2 e Semaine nationale de prévention du diabète Se prémunir contre le diabète Du 3 au 9 juin 2013 aura lieu partout en France la seconde Semaine nationale de prévention du diabète organisée
Plus en détailFonctions de deux variables. Mai 2011
Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs
Plus en détailArmoires de réfrigération et de congélation Inventus / GN 2/1 profonde
Inventus / GN 2/1 profonde 1.1 Armoire de réfrigération et de congélation Inventus (Propan, R290) Armoire de réfrigération et de congélation respectueuse de l environnement et efficace sur le plan énergétique,
Plus en détailPolissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées
Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi Les solutions envisagées Laurent PINARD Responsable Technique Laboratoire des Matériaux Avancés - Lyon 1 Plan de l exposé Introduction Virgo, les
Plus en détailla comparaison des ampoules
description la comparaison des ampoules 6 e année, Sciences et technologie Source : Adapté de TDSB, Heat in the Environment Au cours de cette activité d apprentissage, les élèves exploreront leur utilisation
Plus en détailRAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS
RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS 1 SITUATION DE L ÉTUDE Les données météorologiques sont des données primordiales pour le bon déroulement des calculs et pour avoir des résultats les plus proches de la réalité.
Plus en détailLe Régime Alimentaire. LR Health & Beauty Systems
Le Régime Alimentaire LR Health & Beauty Systems Les accessoires Le mètre La balance LR géniale LR a créé pour vous un mètre qui calcule votre indice de masse corporelle (IMC) achetez le ref Ruban BMI
Plus en détailMARS 2012. rapport d analyse. étude de la situation nutritionnelle des enfants vus par Médecins du Monde à Mayotte
rapport d analyse MARS 2012 rapport d analyse étude de la situation nutritionnelle des enfants vus par Médecins du Monde à Mayotte introduction w La malnutrition se définit par des apports inférieurs ou
Plus en détailEnquête sur la santé des résidents des foyers Adoma de Saint-Quentin-en-Yvelines
Direction de l action sociale, de l habitat et de la santé publique 12 ème congrès national des ORS Territoires et Santé des populations 9 et 10 novembre 2010 Enquête sur la santé des résidents des foyers
Plus en détailEntre mal-être et bien être : comment vont les étudiants. Premiers résultats. Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE
Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants Premiers résultats Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE Objectifs de l enqul enquête Mieux identifier la souffrance psychique
Plus en détailÉtude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014
n 26 mai 2014 Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 Sommaire 1.INTRODUCTION 4 2.LE MARCHÉ DE L ASSURANCE VIE INDIVIDUELLE 6 2.1.La bancassurance
Plus en détailL Indice Environnemental
L Indice Environnemental Historique et position face à l hypothèse de Porter Corinne MERCADIE Responsable Environnement & Emballages 1ere expérience de collecte et de mesure environnementale 2008 à 2010
Plus en détailÉCONOMIES D ÉNERGIE, ÉNERGIES RENOUVELABLES ET PRATIQUES ÉCOLOGIQUES
ÉCONOMIES D ÉNERGIE, ÉNERGIES RENOUVELABLES ET PRATIQUES ÉCOLOGIQUES Comment réduire ma facture énergétique et en même temps mon impact sur l environnement. Sommaire 1 COMBIEN CONSOMMONS NOUS CHACUN?...2
Plus en détailDébat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse»
Débat participatif La vie chère «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Ségolène ROYAL Les enjeux de notre débat : Réconcilier les Français
Plus en détailFactsheet Qu est-ce que le yogourt?
Factsheet Qu est-ce que le yogourt? Description du produit: Le yogourt est un produit laitier acidulé de consistance plus ou moins épaisse. Le yogourt est fabriqué grâce à la fermentation du lait par les
Plus en détailCarlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu
Carlo Diederich Directeur Santé&Spa Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Mondorf Healthcare at work Nouveau service destiné aux entreprises en collaboration avec les Services de Médecine du Travail
Plus en détailUNITÉ 5. Écris les noms des parties du corps indiquées dans les dessins. Bon Courage! Vol. 2
Écris les noms des parties du corps indiquées dans les dessins. Dans le bureau du docteur Lanquette Secrétaire: Secrétaire: Je voudrais un rendez-vous pour voir le docteur, s il vous plait. Vous avez une
Plus en détailAuriol : le service public de la Restauration scolaire
Auriol : le service public de la Restauration scolaire Au titre de nos valeurs communes, nous avons voulu décliner l offre de restauration en mettant l accent au plus près des enfants. Plus de 80% des
Plus en détailRepenser notre façon d aborder les problèmes de poids : s inspirer d un nouveau paradigme. Fannie Dagenais, Dt.P., M.Sc.
Repenser notre façon d aborder les problèmes de poids : s inspirer d un nouveau paradigme Fannie Dagenais, Dt.P., M.Sc. Un problème de santé publique inquiétant Au Québec: 73 % des femmes veulent maigrir
Plus en détailL impact du vieillissement sur la structure de consommation des séniors : assurance IARD, santé et SAP entre 1979-2030(P)
L impact du vieillissement sur la structure de consommation des séniors : assurance IARD, santé et SAP entre 1979-2030(P) Auteurs : Hélène Xuan, Déléguée générale de la Chaire Transitions Démographiques,
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailNOS 4 ATOUTS POUR UN SERVICE CAFÉ D EXCEPTION
NOS 4 ATOUTS POUR UN SERVICE CAFÉ D EXCEPTION Vous êtes à la recherche d un service café professionnel et complet? Vous êtes à la bonne adresse! En plus de produits de qualité supérieure, nous vous offrons
Plus en détailLa finance, facteur d inégalités
La finance, facteur d inégalités Olivier GODECHOT Cette étude montre que, contrairement aux idées reçues, les PDG et des superstars du sport ou du divertissement ne sont pas les premiers responsables de
Plus en détailUnité mobile de télémédecine au service de l urgence et du soin chronique M-V. Moreno, P. Chauvet, O. Ly
Unité mobile de télémédecine au service de l urgence et du soin chronique M-V. Moreno, P. Chauvet, O. Ly INTELLIGENT HEALTH & PREVENTIVE MEDICINE INTERNATIONAL SYMPOSIUM Tanger, Juin 2014 M-V. Moreno,
Plus en détailPropension moyenne et marginale
Propension moyenne et marginale Les ménages utilisent leur revenu soit pour consommer (tout de suite), soit pour épargner (et consommer plus tard). On appelle propension moyenne à consommer (PMC) la part
Plus en détailEau chaude sanitaire
4 rue du maréchal FOCH, 68 460 LUTTERBACH 03 89 50 06 20 ou eie68@alteralsace.org La lettre d information d Alter Alsace Energies dans le cadre du défi des familles éco-engagées : N 8 Janvier 2013 Eau
Plus en détailLes français et les jeunes conducteurs
DOSSIER DE PRESSE Paris, 4 mai 2015 www.jeune-conducteur-assur.com Les français et les jeunes conducteurs Révélation de l étude Jeune Conducteur Assur / Ifop Enquête menée auprès d un échantillon de 1000
Plus en détailMairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440. Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES
Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440 Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Maître d ouvrage
Plus en détailLes critères d identification des pays les moins avancés
Les critères d identification des pays les moins avancés Vue d ensemble Ce document reprend les éléments présentés sur le site du Comité des politiques de développement http://www.un.org/en/development/desa/policy/cdp/ldc/ldc_criteria.shtml
Plus en détailLA TRADITION ET L'EXPÉRIENCE ITALIENNES.
LA TRADITION ET L'EXPÉRIENCE ITALIENNES. Un coup d œil suffit pour reconnaître un bon café: la crème doit être de couleur noisette, être dense afin de laisser descendre lentement le sucre, et conserver
Plus en détailDIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS
DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre
Plus en détailBrock. Rapport supérieur
Simplification du processus de demande d aide financière dans les établissementss : Étude de cas à l Université Brock Rapport préparé par Higher Education Strategy Associates et Canadian Education Project
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailFiche de lecture du projet de fin d étude
GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE Fiche de lecture du projet de fin d étude Analyse du phénomène de condensation sur l aluminium Par Marine SIRE Tuteurs : J.C. SICK Manager du Kawneer Innovation Center &
Plus en détail