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1 ADOPTER UNE POSTURE QUI FAVORISE L ESPOIR Par Françoise Roy, M. Éd., consultante en prévention suicide et en développement de compétences pour l Association québécoise de prévention du suicide (AQPS) Association québécoise de prévention du suicide, 2014

2 OBJECTIFS DE LA CONFÉRENCE 1. Identifier les attitudes favorables dans l intervention auprès des personnes suicidaires. 2. Situer concrètement comment des éléments inspirés de l Approche orientée vers les solutions peuvent être utilisés dans l intervention auprès de la personne suicidaire. 3. Situer l apport sur les hommes. 2

3 SITUER CONCRÈTEMENT COMMENT DES ÉLÉMENTS INSPIRÉS DE L AOS SONT UTILISÉS DANS L INTERVENTION AUPRÈS DE LA PERSONNE SUICIDAIRE 3

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5 CADRE THÉORIQUE DU PROBLÈME «Je ne vaux rien» «Ça ne changera jamais» «Personne ne peut m aider» Près de 80 % des décès Vision que la situation actuelle est permanente! Ce n est pas le passé ni le présent qui sont remis en question, mais le futur! 5

6 UNE POSTURE D INTERVENTION S intéresser à la raison de vivre et au futur qui vaut la peine plutôt qu à l origine du problème : La personne est plus grande que son problème; Aider à voir que l état actuel n est pas permanent, même quand c est une condition qui ne peut pas changer! Identifier et augmenter les comportements qui ont déjà marché / apprendre de nouveaux comportements : Croire que la personne a des forces, des compétences et des ressources; Aider la personne à les identifier et les augmenter (plus facile que d apprendre un nouveau comportement). 6

7 UNE POSTURE D INTERVENTION (SUITE) Construire ensemble des solutions plutôt qu offrir des conseils pour résoudre les problèmes : Accepter que les objectifs de la personne soient plus importants que notre interprétation de la situation. Viser de petits changements à court terme et non la résolution du problème. Un petit changement peut amener de grands changements. Axer sur ce qui est réalisable et ce qui peut être changé. Les 3 règles de l AOS : Si ça fonctionne, ne le corrigez pas. Faites davantage de ce qui marche. Si ça ne marche pas, ne le faites plus et faites quelque chose de différent. 7

8 EXIGENCES DE LA MASCULINITÉ VS EXIGENCES DE LA THÉRAPIE TRADITIONNELLE (BROOKS, 1998, CITÉ DANS DULAC, 2009) Exigences de la masculinité Maintenir le contrôle Montrer sa force Être stoïque Être dans l action Sauver la face Doit réussir Éviter le féminin en soi Consulter en crise Exigences de la thérapie traditionnelle Renoncer au contrôle Montrer ses faiblesses Exprimer ses émotions Parler de soi Admettre son ignorance Consulter = échec Consulter dans un environnement féminin Liste d attente 8

9 EXIGENCES DE LA MASCULINITÉ VS APPROCHE ORIENTÉE VERS LES SOLUTIONS Exigences de la masculinité Maintenir le contrôle Montrer sa force Être stoïque Exigences de l Approche orientée vers les solutions Le client décide du but, il n a pas besoin de parler de ses échecs. On lui demande de parler de ses forces dans le détail, il n a pas besoin de parler de ses faiblesses pour aller mieux. L expression des émotions n est pas un passage obligé pour aller mieux. Être dans l action On le met en action dès la première rencontre, pas besoin de parler de ses problèmes en detail. Sauver la face Tiré de Lavoie, 2014 S il n a pas réussi à faire quelque chose, on prend la responsabilité. C est nous qui avons sous-estimé le niveau de difficulté. 9

10 EXIGENCES DE LA MASCULINITÉ VS APPROCHE ORIENTÉE SOLUTION (SUITE) Exigences de la masculinité Doit réussir Exigences de l Approche orientée vers les solutions Plus facile de réussir si on lui demande de répéter quelque chose qu il a déjà bien fait plutôt que d apprendre un nouveau comportement. Éviter le féminin en soi Tous les mots plus féminins peuvent être enlevés. On parle de destination, de chemin pour s y rendre, de pas à faire pour avancer, d échelle pour savoir où il est rendu. Consulter en crise Pas besoin de s engager dans une démarche. On vise le petit changement rapide qui va en amener d autres. Tiré de Lavoie,

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12 Aborder brièvement et rapidement la préoccupation qui a amené la personne à consulter. Adopter un vocabulaire permettant à la personne de voir qu il y a autre chose que ses difficultés («À quels moments est-ce un peu moins difficile, plus tolérable?»). Explorer les stratégies utilisées par la personne jusqu ici, ses réussites, ses compétences. 12

13 ET TRAVAILLER L AMBIVALENCE ET LE REPOSITIONNEMENT Refléter l ambivalence Valider la souffrance tout en soulignant l existence de raisons de vivre. Aider à voir que l'état actuel n'est pas permanent À quel moment il y a Utiliser les questions d échelle, car elles induisent qu un autre état a déjà existé ou existera! Identifier des exceptions Aider à se remémorer les moments «moins difficiles». Identifier dans les moments difficiles les solutions qui avaient fonctionné. Trouver un futur qui vaut la peine Rechercher un lieu possible qui permet de tolérer la souffrance actuelle. Prendre le temps de décrire avec beaucoup de détails ce futur, sans toutefois décrire le chemin pour s y rendre. Faire grandir la partie qui veut vivre Encourager la personne à nous parler de ses raisons de vivre/des moments où elle se sent en vie. Souligner les forces, les ressources Se montrer sincèrement impressionné des progrès, des réussites. Tiré de : Bazinet, J., F. Roy et B. Lavoie (2011). Intervenir auprès de la personne suicidaire à l aide de bonnes pratiques : Guide du formateur, 2 e éd., Québec, Association québécoise de prévention du suicide, 104 p. 13

14 Raviver les raisons de vivre Faire ou refaire activité(s) Fixer son attention sur des moments d exception (ce qui va mieux ou moins mal) Être plus conscient de ses habiletés et forces Se protéger de ce qui met en danger Mobiliser un proche pour briser l isolement Reprendre ou poursuivre une démarche Diminuer un comportement qui maintient en danger Et non mettre l accent sur tout ce que la personne aura à faire pour régler son problème!!! 14

15 CONCLUSION Questions Commentaires 15

16 POUR PLUS D INFORMATIONS Françoise Roy, M. Éd Consultante en prévention du suicide et développement des compétences, notamment pour l Association québécoise de prévention suicide (AQPS) Agente de planification à la Direction santé mentale au CSSS de Laval Chargée de cours à l Université du Québec en Outaouais Superviseure clinique : CSSS de St-Jérôme, Centre de Crise La Maison sous les arbres, Suicide Action Montréal et CPS Le Faubourg Cellulaire: Courriel : consultationsfranco@hotmail.com Julie Lane, Ph. D., M.A. Conseillère-cadre par intérim à la direction générale Gestionnaire de l équipe «Transfert des connaissances» Gestionnaire responsable de l Observatoire québécois des réseaux locaux de services Centre de santé et de services sociaux - Institut universitaire de gériatrie de Sherbrooke Professeure associée à la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l Université de Sherbrooke 375, rue Argyll Sherbrooke, Québec, J1J 3H5 Téléphone : poste Cellulaire : Courriel : jlane.csss-iugs@ssss.gouv.qc.ca ou julie.lane@usherbrooke.ca 16

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