Sur la pointe des pieds. Le magazine mensuel consacré aux warrants et certificats Citi

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1 Numéro 73 Juin 2013 Le magazine mensuel consacré aux warrants et certificats Citi FLASH Citi : la banque la plus verte du monde selon Bloomberg Markets marchés Sur la pointe des pieds

2 Produits présentant un risque de perte en capital. Nouvelle opération frais de courtage offert Frais de courtage offerts* sur les Warrants et Turbos Citi Du 03 juin au 12 juillet avec Bourse Direct *voir conditions sur Produits présentant un risque de perte en capital. En raison de leur effet de levier à la hausse comme à la baisse les warrants peuvent connaître de fortes variations, voire perdre tout ou partie de leur valeur notamment en raison d une perte de valeur temps. Ces produits s adressent uniquement à des investisseurs avertis disposant de connaissances suffisantes des spécificités de ces produits. Les investisseurs sont invités à prendre connaissance des facteurs de risques énoncés dans le prospectus de base afin d établir si le produit correspond à leurs besoins et à leurs moyens. Les warrants émis par Citi font l objet d un Prospectus de Base visé par la BaFin ayant fait l objet d un certificat d approbation par la BaFin à destination de l AMF, et de Conditions Définitives de l Offre disponibles sur le site et sur le site Citigroup Global Markets Limited. All rights reserved. Citi and Arc Design is a trademark and service mark of Citigroup Inc., used and registered throughout the world.

3 édito Fed vs. BCE sommaire Flash Citi : la banque la plus verte du monde selon Bloomberg Markets > 04 Économie Au chevet de la zone Euro > 05 Marchés Sur la pointe des pieds > 06 Analyses Cap Gemini, Carrefour, CGG-Veritas, Pernod Ricard > 08 Tandis que la Fed a commencé à abreuver le système monétaire de liquidités, la BCE avait 17 pays à coordonner, avec chacun sa propre façon de traiter la crise. Vianne Savoli CitiFirst Gilles DACQUIN Parce qu ils anticipent une expansion économique plus rapide aux États-Unis, les marchés actions montent, et les marchés obligataires baissent. Le rendement des dividendes d actions sur l indice Standard & Poor s 500 est quasiment égal à celui des obligations du Trésor américain à 10 ans. En effet, les dividendes payés par les sociétés composant le S&P 500 ont augmenté de 9,4 % au cours des 12 derniers mois. Dans le même temps, le rendement obligataire du Trésor US a subi les rumeurs que la réserve fédérale réduirait ses achats mensuels d obligations (assouplissement quantitatif) qui s élèvent actuellement à 85 milliards de dollars. Dès lors s ouvre le débat concernant le rythme de réduction des mesures de stimulus économiques que suivrait la Fed. Le programme de rachat, connu sous le nom de QE (Quantitative easing, pour assouplissement quantitatif) et qui a débuté en 2008, a élevé les actifs détenus de la banque centrale américaine à milliards de dollars, contre moins de milliards il y a cinq ans. Un tel stimulus a aidé le S&P 500 à bondir de 144 % depuis son plus bas de mars Le président de la Fed Ben S. Bernanke et ses collègues ont du mal à s entendre sur le calendrier de réduction du programme de rachat. Comme beaucoup le pensent, une sortie prématurée mettrait à risque la reprise. La Fed a un triple objectif : combattre l inflation, qui est tombée sous les 2 % actuellement ; réduire le taux de chômage de 7,5 % à 6,5 % ; et accélérer la croissance économique avec un objectif de hausse du PIB de 2,5 % à 3 %. Il y a eu une différence d approche entre la Fed et la BCE pour faire face à la crise. Tandis que la Fed a commencé à abreuver le système monétaire de liquidités, la BCE avait 17 pays à coordonner, avec chacun sa propre façon de traiter la crise. En particulier le problème de la Grèce se manifeste par une émigration des Grecs vers l Allemagne en hausse de plus de 40 % l an dernier. Alors que la récession démarre sa sixième année et que le taux de chômage des moins de 24 ans atteint 64 %, les jeunes diplômés grecs quittent leur pays pour trouver un emploi. Cette fuite des cerveaux ne sera certainement pas un facteur favorable au rétablissement économique à long terme. Et que dire au niveau européen, où 23,5 % des jeunes sont à la recherche d un emploi? Vous avez une question? L Europe a gagné la bataille de la monnaie commune en montrant que l Euro pouvait survivre, malgré sa plus grave crise depuis sa création, et la confiance a été rétablie. Face au combat de l emploi, l Europe essaie d innover malgré les politiques d austérité et l écart croissant entre les pays du nord et ceux du sud. Il faudra cependant attendre les premiers signes d infléchissement de la courbe du chômage avant de crier victoire. N hésitez pas à contacter notre accueil Warrants & Certificats au (numéro Azur) ou au (Numéro fixe) pour joindre nos spécialistes. CitiFirst I juin 2013 I 03

4 flash Citi : la banque la plus verte du monde selon Bloomberg Markets Citi considère que le développement durable et social fait partie des règles de bonne conduite de notre profession. En tant que société citoyenne du monde, nous avons conscience des opportunités et des risques posés par le développement durable. Nous analysons systématiquement l impact potentiel de nos activités et prenons des mesures concrètes pour en réduire les risques et l impact sur l environnement. Nous sommes toujours à la recherche de nouvelles opportunités d investissements durables, et de développements de produits et services ayant un impact l environnemental et social positif. Concrètement, Citi se positionne comme un des pionniers dans la rédaction et la mise en application de normes financières et industrielles liées aux défis posés par le changement climatique. En 2003, puis à nouveau en 2006, Citi a participé à la rédaction des «Principes de l Équateur», un référentiel du secteur financier pour l identification, l évaluation et la gestion du risque social et environnemental en matière de financement de projet. Quelques années plus tard Citi, JP Morgan et Morgan Stanley, ont signé les «Principes Carbone» qui visent à définir des principes pour satisfaire les besoins énergétiques des États-Unis tout en respectant des exigences strictes en termes de coûts, de fiabilité et d émission de gaz à effet de serre. En 2007, Citi s est engagé, sur une période de 10 ans, à soutenir à hauteur de 50 milliards de dollars l investissement et le financement des énergies alternatives, les technologies propres, et d autres activités de réduction des émissions de carbone. Citi sur la première marche Pour la troisième année consécutive Bloomberg établit un classement des banques les plus vertes du monde. Selon le classement effectué par le Bloomberg magazine du mois de mai 2013, Citi figure en 1 re position du top 20 des banques les plus propres du monde, devant Banco Santander et JPMorgan Chase. Ce classement, passe en revue soixante deux banques, dans vingt trois pays dont la capitalisation excède 10 milliards de dollars. Ces établissements bancaires sont évalués sur deux critères. Le premier concerne les investissements éco-responsables réalisés en 2012, il contribue à hauteur de 70 % de la note finale. Sont considérés : les énergies éoliennes, solaires, géothermiques, hydroélectriques, biomasse / biocarburants et les technologies connexes. Le second correspond aux initiatives des banques dans la réduction de leur impact sur l environnement, contribue à hauteur de 30 % de la note finale. Sont examinés la réduction des émissions atmosphériques et la consommation d eau et les gains d efficacité énergétique. Pour réaliser son classement des banques les plus vertes, Bloomberg Markets a mesuré d une part les efforts de ces établissements pour réduire leurs déchets et leur empreinte carbone ; d autre part leurs investissements réalisés dans les énergies propres. Le groupe de données ESG de Bloomberg New Energy Finance et Bloomberg, qui recueille des informations sur les questions environnementales, sociales et de gouvernance, s est appuyé sur les rapports annuels et les rapports de responsabilité sociale d entreprise, sur les sites web et autres documents publics pour établir son classement. Les équipes ont mené des recherches supplémentaires de manière indépendante (enquêtes et entretiens téléphoniques) pour obtenir des données complètes et vérifier l exactitude de leurs résultats. 04 CitiFirst I juin 2013 I

5 économie Au chevet de la zone Euro L économie de la zone euro reste faible, et le PIB a diminué pendant six trimestres consécutifs. Les perspectives de croissance restent médiocres, et nous nous attendons à ce que la zone euro continue à sous-performer par rapport aux prévisions officielles et aux consensus en 2014 et Néanmoins, nous sommes devenus un peu moins sombres sur la croissance de la zone euro pour l année prochaine, et nous relevons notre prévision de croissance pour 2014, de -0,3 % le mois dernier à 0 % ce mois-ci (tout en révisant à la baisse nos prévisions 2013 de -0,6 % à -0,7 %). Cette mise à jour reflète deux facteurs principaux. Tout d abord, la tendance à laisser se creuser le déficit dans un climat de faiblesse économique et de faibles taux de rendement des emprunts d État. En revanche les vents contraires liés à la fiscalité dans les économies faibles de la zone euro devraient être moins sévères que ce qui semblait probable il y a encore quelques mois. Le FMI a revu à la baisse ses prévisions d impact du resserrement budgétaire structurel en Italie, Espagne, Portugal, Grèce et Irlande en 2013 à 1,2% du PIB contre 1,8% du PIB dans ses prévisions de la fin de l année Deuxièmement, nous n incluons plus une sortie de la Grèce jusqu au début de 2014 dans notre scénario de base. Nous croyons toutefois toujours qu il y a un risque assez élevé de «Grexit» dans les prochaines années. Malgré cela, la zone euro reste confrontée à d importants obstacles liés à la pression fiscale, à la faible disponibilité du crédit et au niveau de dettes privées élevé dans de nombreux pays des économies périphériques. Notre prévision implique que le PIB réel ne regagnera pas avant 2017 le niveau atteint au premier trimestre 2008 au moment de la pré-récession. Au niveau européen, nous prévoyons que la BCE réduira à nouveau avant la fin de l année le taux principal de refinancement, mais cela ne devrait avoir que peu d effets supplémentaires étant donné le niveau déjà faible des taux au jour le jour. Nous ne pensons pas que la BCE mettra en œuvre des mesures monétaires de plus grande portée (par exemple un taux de dépôt négatif, ou un assouplissent quantitatif), sauf en cas de risque de déflation imminent ou si l euro s apprécie nettement. Différents schémas d assouplissement de crédit sont en cours de revue, peut-être de concert avec la BEI. Mais nous craignons que ces politiques se révèlent décevantes. Pour être vraiment efficace, un programme d assouplissement du crédit se doit de fournir non seulement un financement relativement peu cher aux «Nous n incluons plus une sortie de la Grèce jusqu au début de 2014.» banques, mais nécessite aussi un organisme financier qui accepte un risque de crédit élevé. Les pays de la périphérie eux-mêmes n ont pas la capacité financière de le faire, et les pays créanciers le refusent (naturellement) ou ne permettent pas aux institutions européennes de l accepter sur une grande échelle. Au fil du temps, la faiblesse économique persistante et la tolérance à court terme d un dérapage du déficit impliquent que les pays de la périphérie vont continuer à faire face à des ratios dette / PIB en hausse. Nous prévoyons que les marchés financiers obligent l Italie et l Espagne à entrer dans une certaine forme de programme ESM et accéder à la facilité OMT à un moment donné. À plus long terme, nous pensons qu il ya des risques importants de restructuration des dettes souveraines et / ou des banques dans un certain nombre de pays de la zone euro, ce qui pourrait inclure les obligations privées. Guillaume Menuet Senior Euro-zone Economist CitiFirst I juin 2013 I 05

6 marchés Sur la pointe des pieds Les banques centrales sont incontestablement à l origine des hausses et records récents. La FED va-t-elle continuer sa politique intensive d achats d actifs? CeLA n est plus certain, et le retour aux seules réalités économiques peut dès lors être rude. Le mois dernier, nous nous interrogions sur la capacité du CAC 40 à aller au-delà des 3850 points, niveau de la mi-mars rejoint en quelques séances après un mois d avril où le noir était broyé sans espoir d en réchapper. Les opérateurs découvraient un monde nouveau, celui où les banques centrales s occupaient de tout : des taux directeurs faibles voire inexistants pourquoi pas négatifs, des liquidités à faire pâlir de jalousie les cornes d abondance les plus généreuses et des interventions systématiques pour acheter tout ce qui se présente. Les vendeurs médusés prenaient conscience parfois dans la douleur qu il n est pas possible de lutter contre une banque centrale. Il s en suivit une kyrielle de séances systématiquement positives ou presque au point que certains en venaient à nier l existence même de marchés. La caricature voudrait qu acheteurs et vendeurs aient disparus, seule la FED procéderait désormais à des emplettes. Tout au juste a-t-on le droit de l imiter. Le CAC 40 se débarrassa allègrement du seuil symbolique des 4000 points pour rejoindre une «vielle résistance», celle des 4020 points qui précéda le coup de semonce de l été En abandonnant aux banques centrales toute volonté d efficience, les marchés n ont-ils pas découvert ce pied d argile qui menace tout colosse? Certainement mais à peine la question posée, l utilité d une réponse n est plus à considérer puisque les banques centrales, du moins certaines d entre elles, mettent en cause l intemporalité de leurs politiques dites accommodantes. Colosse à plus d un titre, la Banque Centrale américaine pourrait se retirer sur la pointe des pieds, fière de ses interventions puisque l économie se redresse mais consciente que les meilleurs remèdes, rarement sans dangereux effets secondaires sont ceux qui ne perdurent pas au risque d affaiblir encore plus le malade. Il se dit qu il faut vendre en mai et partir des marchés. La FED a tétanisé les vendeurs en mai privant le dicton de son aura. Si elle se retire en juin, y-aura-t-il mai en juin? Autrement écrit, faut-il prendre ses bénéfices en juin puisqu il n était pas loisible de le faire en mai? Des données économiques mitigées La seconde saison des résultats de l année s est terminée de manière plutôt satisfaisante dans la mesure où aucune mauvaise surprise n est venue troubler la quiétude haussière, mère de tant records et dont jouissent les indices américains depuis le début de l année. Pourtant, à y regarder de près, les perspectives se veulent prudentes et l euphorie n est pas de mise chez les grands dirigeants qui craignent une faiblesse persistante de l Europe ou encore un essoufflement de la croissance chinoise. Il est établi que les valorisations historiques ne sont pas encore totalement retrouvées ; il n en demeure pas moins que la liste des vraies opportunités, celle des valeurs en «retard», s amenuise et emprunte au chagrin sa peau famélique. La macroéconomie serait plus réjouissante avec une situation de l emploi qui s améliore indiscutablement aux États-Unis. Le taux de chômage n est néanmoins pas encore celui qui rassurerait la FED. Les contraintes budgétaires automatiques pourraient même ralentir la reprise et si les grands blocages au 06 CitiFirst I juin 2013 I

7 CAC 40 PH PB Dernier Résistance 4020 Support 3870 Support MAI EN JUIN? Le CAC 40 a profité du mois de mai pour établir un record annuel et tenter un débordement de la résistance des points. Cette dernière est prégnante et peut contenir les ardeurs pour le mois à venir. Support /05 Support x April May June Parlement ne sont plus médiatiquement exploités, ils demeurent, au point que le FMI se préoccupe d un désendettement trop rapide. En toute logique, l intégration de ces éléments contradictoires aurait dû susciter quelques craintes et porter atteinte à un consensus haussier beaucoup trop unanime. Il n en fut rien puisque le marché américain a gagné globalement 17 % depuis le début de l année. Un contexte graphique désormais incertain Le mois dernier, nous évoquions une situation graphique assez inédite, celle du S&P 500 qui s apprêtait à affronter une figure dite de triple sommet sur 1575 points. L enjeu n était pas moins qu un record historique à aller chercher mais surtout à créer. Le débordement d une résistance génère une impulsion haussière et plus les échecs sont nombreux sous celle-ci plus la réussite du passage est saluée. Les opérateurs de tous les continents guettaient donc l instant magique, la pulvérisation des 1575 points. Celle-ci eut lieu avec la volonté affichée de la FED de soutenir l économie par rachats d actifs en quantités jamais conçues. Dans le même temps, la BCE baissait son taux directeur et le Japon faisait chuter délibérément sa monnaie sans qu aucun membre du G20 n y trouve à redire. Les vendeurs pouvaient bien chercher, aucun prétexte ne paraissait suffisamment sérieux pour une intervention à succès de leur camp. C est ainsi que le S&P 500 s est offert un nouvelle impulsion haussière pour décrocher un record historique à 1687 points. Depuis, il est revenu sous 1670 points, siège d une résistance en formation. Dans le même temps, le CAC 40 happé par ce souffle puissant rejoignait une résistance à 4020 points, niveau plus revu depuis juillet La volatilité est désormais de retour avec une communauté d opérateurs qui des deux cotés de l Atlantique s ingénient à définir la moitié du liquide contenu dans le verre, plein ou vide comme il se doit. Des banques centrales contraintes à la manœuvre Si la FED se résout à restreindre sa politique d achats, les vendeurs vont pouvoir retrouver incontestablement une identité, un temps confisquée. Pour autant, il ne leur sera pas facile d agir si la banque centrale lie son retrait à une nette amélioration de l économie. Les acheteurs ne pourraient en effet que se réjouir de cette dernière. Il y a surtout lieu de croire que la FED diminuera la taille de ses engagements si elle l estime opportun, mais que rien ne l empêchera au nom de cette même opportunité de revenir à la charge en renouant avec sa politique ultra accommodante si l économie donne de nouveau des signes de faiblesse avec pour conséquence une détérioration de l emploi. Les marchés ne seront donc pas orphelins de sitôt et le vrai baromètre des vendeurs se lira sur les taux car toute tension leur sera mécaniquement profitable. En Europe, la BCE devra également rassurer les opérateurs non «En abandonnant aux banques centrales toute volonté d efficience, les marchés n ont-ils pas découvert ce pied d argile qui menace tout colosse?» par une nouvelle baisse des taux mais par l administration de la preuve que ses interventions favorisent le crédit aux entreprises. Dans l immédiat, force est de constater qu il y a rétention des liquidités par les banques et que l économie européenne n en profite pas à en juger par le marasme qui sévit. Au Japon, la lutte contre la déflation menée avec énergie et détermination a fait flamber l indice nippon mais la moindre déception provoque de véritables ondes de choc. La Banque Centrale doit donc prouver qu elle maîtrise la situation et que ses interventions sont réellement efficaces. La nervosité de la devise, le Yen, reflète bien la densité des doutes. Le mois de juin peut donc ressembler à un traditionnel mois de mai, celui de la tentation des prises de bénéfices et d un besoin naturel, celui de souffler. La FED laissera-t-elle le loisir aux saisons de s exprimer ou continuera-t-elle sa domination, impératrice des marchés? Sur la pointe des pieds, elle s éclipsera mais pas loin se tiendra. Le CAC 40 pourrait dès lors se contenter de fluctuer plus ou moins nerveusement entre 3870 et 4020 points. CitiFirst I juin 2013 I 07

8 analyses graphiques Capgemini Dynamique haussière maintenue Le titre reste supporté par de nombreux éléments techniques. L ANALYSE >>> Au regard de plusieurs éléments graphiques, le titre Capgemini présente de belles perspectives de hausse. Ainsi, le 2 mai, le titre a entrepris une phase de rebond qui lui a permis de s affranchir d une ligne de tendance baissière en place depuis le 20 mars. Ce rebond s est poursuivi avant une courte phase de consolidation stoppée par la présence du support à 37,6 euros. Par ailleurs, les cours sont soutenus par la moyenne mobile 20 jours ascendante. En outre, la croissance des volumes depuis le début du mois met en exergue le retour de la pression positive. Enfin, l indicateur de tension RSI évolue en territoire haussier et ne se trouve pas en zone de sur-achat. En somme, tant que 36,8 euros reste support (seuil pivot), la tendance moyen terme est haussière avec 42,5 et 45 euros comme objectifs. Seule la cassure de 36,8 euros permettrait d inverser la dynamique. Un retour vers 34,9 euros en extension serait alors envisagé. Capgemini L orientation du RSI plaide pour une nouvelle phase de progression /05/12 24/08/12 RSI 24/11/12 24/02/13 24/05/ ,5 36,8 34,9 Carrefour Le biais reste haussier Le titre reste inscrit au sein d une tendance positive. L analyse >>> La tendance haussière de moyen terme sur le titre Carrefour a été récemment relancée par la validation d une figure de continuation haussière en drapeau qui lui a permis de dépasser le point haut du 8 mars dernier à 23 euros. Après une phase d accélération suite à ce mouvement, le titre consolide au sein d un fanion. De son côté, l indicateur de tension RSI se maintient au-dessus de sa ligne de signal sans être en territoire de sur-achat. La hausse des volumes durant la récente phase de progression confirme la pression acheteuse du moment. Enfin, le titre reste soutenu par sa moyenne mobile à 50 jours, positivement orientée. En conclusion, tant que 22,45 euros reste support, Carrefour vise une hausse vers 26 euros (à court terme) puis 27,5 euros (à moyen terme) en extension. Seul l enfoncement de 22,45 euros permettrait d invalider ce scénario optimiste. Une baisse additionnelle vers 20,22 euros voire 19,3 euros serait alors envisagée. Carrefour La moyenne mobile à 50 jours continue de soutenir les cours /08/12 24/11/12 RSI 24/02/13 22,45 20,22 24/05/13 27, ,3 08 CitiFirst I juin 2013 I

9 Réalisées le 27 mai 2013 par. Grâce à l analyse graphique, il est possible de faire ressortir des données fondamentales, mais également des tendances de marché. Ce mois-ci, retrouvez dans First les analyses Cap Gemini, Carrefour, CGG-Veritas, Pernod Ricard. CGG-Veritas Renversement haussier Vers 23,95 euros. L ANALYSE >>> Le titre CGG-Veritas a engagé une reprise technique significative au regard de plusieurs éléments graphiques. Ainsi, la valeur a récemment dépassé un ancien seuil de résistance situé à 18,85 euros qui fait désormais office de support (depuis le 7 mai 2013). Par ailleurs, les moyennes mobiles à 20 et 50 séances ont effectué un croisement acheteur et se retournent toutes deux à la hausse, la première jouant un rôle de soutien. Enfin, en ce qui concerne l indicateur de vitesse RSI, ce dernier, après s être affranchi d une oblique descendante, évolue au-dessus de sa zone de neutralité et n est plus suracheté. En conclusion, tant que 17 euros reste un niveau de support (base du gap de cassure haussier du 3 mai dernier), CGG-Veritas vise un retour vers 22,40 euros (à court terme) voire 23,95 euros (à moyen terme) en extension. Seule la cassure de 17 euros permettrait d invalider ce scénario optimiste. Une baisse additionnelle vers 15,30 voire 14,10 euros serait alors envisagée. CGG-Veritas Reprise technique en cours /09/12 24/11/12 RSI 24/01/13 24/03/13 23,95 22, ,30 14,10 24/05/13 Pernod Ricard Fin de consolidation Vers 110 euros. Pernod Ricard Vers de nouveaux plus hauts historiques. L ANALYSE >>> D un point de vue graphique, le titre Pernod-Ricard semble avoir achevé son mouvement de consolidation engagé le 18 mars dernier. Ainsi, plusieurs éléments techniques plaident pour une reprise de la tendance haussière. Tout d abord, la valeur est soutenue par un retracement de Fibonacci significatif (50 % à 91,70 euros calculé entre le creux de mi-novembre 2012 et le sommet de l année 2013). De plus, l indicateur de vitesse RSI bénéficie désormais d une oblique ascendante et évolue au-dessus de sa zone de neutralité (supérieur à 50 %) sans, pour autant, avoir atteint son territoire de surachat (inférieur à 70 %). En somme, tant que 91 euros reste support (creux d avril dernier), la tendance moyen terme reste haussière avec 101 (sommet de cette année) et 110 (projection) euros comme objectifs. Seule la cassure de 91 euros permettrait d inverser la dynamique. Un retour vers 86,50 voire 82,30 euros en extension serait alors envisagé /04/12 23/07/12 RSI 23/10/12 179,5 173,9 169,2 23/01/13 22/04/ CitiFirst I juin 2013 I 09

10 agenda juin 2013 FIRST statistiques économiques :50 FR Indice des directeurs d'achat 16:00 US Dépenses de construction 16:00 US ISM manufacturier 23:00 US Ventes totales de véhicules 23:00 US Ventes intérieures de véhicules :30 US Balance commerciale :00 US MBA Demandes de prêts hypothécaires 14:15 US Variation de l'emploi ADP 14:30 US Productivité non-agricole 14:30 US Coûts de main d'œuvre horaires 16:00 US Commandes des entreprises 16:00 US ISM non-manufacturier :30 US Inscriptions au chômage 14:30 US Demandeurs d'emplois 15:45 US Confort des consommateurs Bloomberg :45 FR Balance commerciale 08:45 FR Balance Budgétaire 14:30 US Main d'œuvre non-agricole 14:30 US Main d'œuvre manufacturière 14:30 US Taux de chômage 14:30 US Revenus horaires moyens par an 21:00 US Crédit à la consommation :45 FR Production Industrielle 08:45 FR Production Industrielle anualisée :00 US Stocks des grossistes :30 FR Emplois non-agricoles 08:45 FR Comptes courants 08:45 FR Indice des prix à la consommation (hors tabac) 13:00 US MBA Demandes de prêts hypothécaires 20:00 US Rapport Budget mensuel :30 US Indice des prix à l'importation 14:30 US Inscriptions au chômage 14:30 US Demandeurs d'emplois 15:45 US Confort des consommateurs Bloomberg 16:00 US Stocks des entreprises :30 US Indice des prix à la production (hors Alim. & Energie) 14:30 US Balance des comptes courants 15:15 US Production Industrielle 15:15 US Capacité d'utilisation 15:55 US Indice de confiance de l'université du Michigan :30 US Indice "Empire State" 16:00 US Indice NAHB du marché immobilier :30 US Indice des prix à la consommation 14:30 US Mises en chantier 14:30 US Permis de construire :00 US MBA Demandes de prêts hypothécaires 20:00 US Décision FOMC sur les taux d'intérêt :30 US Inscriptions au chômage 14:30 US Demandeurs d'emplois 15:45 US Confort des consommateurs Bloomberg 16:00 US Indice de la Fed de Philadelphie 16:00 US Reventes de logements 16:00 US Vente d'immobilier ancien 16:00 US Indicateurs directeurs :45 FR Salaires 09:00 FR Indice des directeurs d'achat :45 FR Perspectives de production des chefs d'entreprises 08:45 FR Indice des perspectives de production 14:30 US Commandes de biens durables 14:30 US Commandes de biens durables (hors transport.) 15:00 US S&P/CaseShiller Indice 15:00 US Indice des prix immobiliers 16:00 US Indice Manufacturier de la FED de Richmond 16:00 US Indice de confiance des consommateurs 16:00 US Ventes de logements neufs :45 FR PIB 13:00 US MBA Demandes de prêts hypothécaires 14:30 US PIB 14:30 US Consommation des ménages 18:00 FR Demandeurs d'emplois :45 FR Indice de confiance des consommateurs 14:30 US Revenus des ménages 14:30 US Demandeurs d'emplois 15:45 US Confort des consommateurs Bloomberg 16:00 US Ventes de logement en cours :45 FR Indice des prix à la production 08:45 FR Dépenses des ménages 15:45 US Indice des directeurs d'achat 15:55 US Indice de confiance de l'université du Michigan (Liste non exhaustive et donnée à titre indicatif uniquement) FIRST les résultats financiers Adobe Systems Inc Résultat 2 e trimestre Oracle Corp Résultat 4 e trimestre Research In Motion Ltd Résultat 1 er trimestre 2014 (Liste non exhaustive et donnée à titre indicatif uniquement) 10 CitiFirst I juin 2013 I

11 Chaque mois, surveillez la publication des statistiques économiques qui influencent les marchés, et les résultats financiers des principales entreprises françaises. FIRST contact FIRST avertissement Accueil Warrants & Certificats Audiotel Warrants & Certificats (Numéro Azur) (Numéro fixe) (Numéro Vert) Numéro Vert Belgique Internet warrants.france@citi.com Reuters <ISIN>.PA <Mnémonique>.PA Bloomberg Adresse Imprimeur certifié imprim vert. Impression avec encres végétales sur papier issu de sources responsables Pour plus d infos : Warrants : <Mnémonique> FP Equity Go Turbos : <Mnémonique> FP Corp Go CitiFirst Warrants & Certificates Citi 1-5 rue Paul Cézanne Paris First 73 Le mensuel FIRST est édité par Citigroup Global Markets Deutschland AG, Reuterweg 16, Francfort-sur-le-Main, Allemagne. Rédaction : Alban Soubigou, Vianne Savoli, Gabriel Sicouri. Dépôt légal à la parution. Conception-réalisation : ANaKA. Crédits photos : shutterstock. Citigroup rappelle que les Warrants et Certificats sont des produits complexes qui ne bénéficient d aucune garantie en capital. En raison de leur nature optionnelle, les Warrants et Certificats peuvent connaître de grandes variations, voire perdre tout ou partie de leur valeur avant ou à leur échéance. Le recours aux conseils de l intermédiaire financier habituel ou de tout autre conseiller professionnel de l investisseur avant tout investissement ainsi que la vérification de l adéquation des Warrants et des Certificats avec la stratégie, le profil des risques choisis et l importance du portefeuille d actifs financiers détenus par l investisseur peuvent s avérer nécessaires pour des personnes non averties des spécificités des Warrants et des Certificats. Les données contenues dans ce document ne sont fournies qu à titre indicatif et ne constituent pas de la part de Citi une incitation à vendre ou à acheter. Citi ne pourrait en aucun cas être tenu responsable pour toute erreur typographique pouvant figurer dans ce document. Tous les Warrants et Certificats Citi sont émis par Citigroup Global Markets Deutschland AG et font l objet d un Prospectus de Base visé par la BaFin (régulateur financier allemand), ayant fait l objet d un certificat d approbation par la BaFin à destination de l AMF et de la CBFA, et si nécessaire, d une (de) Note(s) Complémentaire(s) également visée(s) par la BaFin ainsi que des Conditions Définitives de l Offre. Le Prospectus de Base des Turbos est disponible sur simple demande auprès de Citi ainsi que sur et sur le site Internet de l AMF Les Conditions Définitives de l Offre sont disponibles sur le site et sur le site Internet de l AMF Seuls les documents d'émission visés par la BaFin font foi. L attention du public est attirée sur la partie «facteurs de risques» du Prospectus. Les instruments financiers, objets du présent document, ne bénéficient pas de garantie de capital et sont sujets à un effet de levier. Les commentaires de Jürgen Michels ne constituent ni la production ni la diffusion de recommandations d investissement, mais représentent une vue personnelle au sens de l article R du Code Monétaire et Financier. Il ne s agit pas d'une analyse financière, mais ils peuvent contenir des extraits de l analyse financière publiée par Citigroup. À propos de l article de Bertrand Richard, les investisseurs s engagent à ne pas copier, ni diffuser, ni transmettre, ni reproduire partiellement ou en totalité les informations rédigées par Bertrand Richard. Les commentaires sont formulés par Bertrand Richard et n ont aucune valeur contractuelle et ne constituent en aucun cas une offre de vente ou une sollicitation d achat d instruments financiers émis ou négociés par Citigroup. Citigroup n accepte aucune responsabilité quant au contenu des informations développées par Bertrand Richard. Les commentaires et projections concernant les marchés, publiés par Bertrand Richard, ne représentent pas les estimations, prévisions ou vues de Citigroup et ne peuvent engager la responsabilité de Citigroup. À propos des analyses rédigées par CHART S, les investisseurs s engagent à ne pas copier, ni diffuser, ni transmettre, ni reproduire partiellement ou en totalité les informations rédigées par CHART S. Les commentaires sont formulés par CHART S et n ont aucune valeur contractuelle et ne constituent en aucun cas une offre de vente ou une sollicitation d achat d instruments financiers émis ou négociés par Citigroup. Citigroup n accepte aucune responsabilité quant au contenu des informations développées par CHART S. Les commentaires et projections concernant les marchés, publiés par CHART S, ne représentent pas les estimations, prévisions ou vues de Citigroup et ne peuvent engager la responsabilité de Citigroup. CitiFirst I juin 2013 I 11

12 Audiotel : Accueil Warrants : N Fixe Le Levier du Jour Tous les matins, avant l ouverture, l analyse technique intraday du CAC 40 par Bertrand Richard. Nouvelles émissions Afin de rester toujours informé de l actualité des produits Citi, recevez les alertes Nouvelles Émissions par . Numéro 73 Juin 2013 À Ne Pas Manquer Demain Chaque jour, la rédaction de Investir.fr se mobilise pour vous apporter la liste des valeurs à suivre et des chiffres à attendre lors de la prochaine session de Bourse. Le magazine mensuel consacré aux warrants et certificats Citi FLASH Citi : la banque la plus verte du monde selon Bloomberg Markets marchés Sur la pointe des pieds fırst Le magazine mensuel gratuit de Citi. Chaque mois, l actualité des Warrants, des Turbos et des marchés. TENDANCE FUTURE En milieu de matinée, l analyse technique sur le Future CAC en base horaire. BROCHURE TURBOS ET WARRANTS Indispensables avant tout investissement sur les produits à effet de levier, nos brochures exposent en quelques pages le fonctionnement et les risques inhérents à ces produits dérivés. Je souhaite recevoir gratuitement par courrier : Le Guide Warrants Le Guide Turbos Le magazine mensuel FIRST Je souhaite recevoir gratuitement par Le Levier du Jour : analyse graphique quotidienne du CAC 40 tendance Future : analyse technique du Future CAC en matinée À ne pas manquer demain : l agenda économique et financier Coupon à retourner : CitiFirst Warrants & Certificates, Citi, 1-5 rue Paul Cézanne, Paris Prénom Nom Adresse Code Postal Ville (Pour les abonnements par )

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