ATELIER DE RESTITUTION

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2 Plan de la présentation 1. Rappel des objectifs et de la méthodologie 2. Le financement de l agriculture (la situation de référence) 3. Les axes de plaidoyer

3 1L 1. Le rappel ldes objectifs et de la méthodologie

4 Les objectifs Objectif global "Établir une situation de référence sur le financement public de l agriculture au Sénégal de 1980 à 2010" ; Permettre au CONGAD de "fonder le plaidoyer sur des propositions pertinentes t et réalistes élit adressées aux acteurs (Organisations de producteurs, Organisations s de la société civile, Parlementaires e es (Commissions développement agricole et environnement), Gouvernement, Partenaires techniques et financiers, i Institutions de financement".

5 Quatre (4) objectifs spécifiques 1 : Identifier et analyser les besoins de financement du secteur agricole de 1980 à 2010 ; 2 : Identifier les mécanismes publics et privés de financement de l agriculture et analyser leurs niveaux de contribution effective à la couverture des besoins de financement de l agriculture de 1980 à 2010 ; 3 : Etablir une situation de référence sur le financement de l agriculture au Sénégal par les allocations du budget d investissement de l Etat de 1980 à 2010 ; 4 : Identifier des axes de plaidoyer et formuler des propositions et recommandations opérationnelles réalistes permettant une augmentation des allocations du budget d investissement de l Etat à l agriculture.

6 Les résultats attendus Résultat principal "un rapport qui fera le point de manière cohérente sur les différents aspects liés aux objectifs spécifiques éifi " ; Résultat de l objectif global "Les actions de plaidoyer menées en partenariat avec les organisations paysannes faîtières, élus locaux et les Parlementaires ainsi que le dialogue pour l allocation d au moins 10% du budget d investissement de l Etat du Sénégal à l agriculture sont fondées sur un document de référence ".

7 Les résultats attendus "Établir une situation de référence sur le financement public de l agriculture au Sénégal de 1980 à 2010" ; Permettre au CONGAD de "fonder le plaidoyer sur des propositions pertinentes et réalistes adressées aux acteurs (Organisations de producteurs, Organisations de la société civile, Parlementaires (Commissions développement agricole et environnement), Gouvernement, Partenaires techniques et financiers, Institutions de financement".

8 Un processus analytique en plusieurs étapes Atteindre au moins 10% du budget d investissement l agriculture lagriculture Formuler des propos et recommandations Identifier des axes de plaidoyer Etablir une situation de référence Analyser les niveaux de contribution effective Identifier les mécanismes publics et privés de financement Identifier et analyser les sources de besoins de financement l agriculture (de 1980 à 2010)

9 AXES STRATEGIQUES METHODE ANALYSES 4. -Une situation SYNTHÈSE DES PERCEPTIONS DES ACTEURS de référence sur le financement Rapport : Synthèses et recommandations pour la campagne de plaidoyer 3. COMPRENDRE LE FINANCEMENT Enquêtes : - Analyse des pratiques - Lobby plaidoyer - Une situation de la couverture des besoins - Forces et faiblesses des mécanismes 2. CONNAÎTRE LES BESOINS ET LES MÉCANISMES DE FINANCEMENT Collecte et analyse de données documentaires - Taux de couverture - déficits 1. Entretiens avec le Comité de pilotage

10 Propositions et recommandations AXES AXES PLAIDOYER AXES Une situation de référence Situation et évolution des sources de besoins Les mécanismes et les niveaux de contributions

11 La démarche méthodologique Analyse de la documentation ; Des entretiens d approfondissement des questions pour débattre des argumentaires : La prise en compte des besoins de financement ; Les mécanismes de financement ; La couverture des besoins et l analyse des forces et faiblesses des mécanismes. La situation de référence. LES FAITS LES ANALYSES LE BUDGET Des axes de plaidoyer. LE PLAIDOYER

12 UNE DEMARCHE EN QUATRE PHASES 1. Phase préparatoire Entretiens avec le Comité de pilotage. 2. Analyse de la documentation. 3. Approfondisse ment par des enquêtes 4. Synthèse et recommandations RAPPORT AXES DE PLAIDOYER

13 CHRONOGRAMME DES ACTIVITES PERIODE DE MISE EN ŒUVRE 2010 ACTIVITES MAI JUIN JUILLET 4 ème semaine 1 ère semaine 2 ème et 3 ème semaines 4 ème semaine 1 ère semaine 1. Phase préparatoire ENTRETIENS AVEC LE COMITÉ DE 1 Jour PILOTAGE (Lundi 31) 2. Analyse de la documentation IDENTIFICATION ET ANALYSE DE LA DOCUMENTATION 5 jours 3. Enquêtes de terrain ENQUÊTES 7 jours 4. Synthèse et recommandations

14 PERIODE DE MISE EN ŒUVRE 2010 ACTIVITES MAI JUIN JUILLET 4 ème semaine 1 ère 2 ème et 3 ème 4 ème 1 ère semaine semaines semaine semaine 1. Phase préparatoire ENTRETIENS AVEC LE COMITÉ DE PILOTAGE 1 Jour (Lundi 31) 2. Analyse de la documentation IDENTIFICATION ET ANALYSE DE LA DOCUMENTATION 5jo jours 3. Enquêtes de terrain ENQUÊTES 7 jours 4S 4. Synthèse et recommandations

15 PERIODE DE MISE EN ŒUVRE 2010 ACTIVITES MAI JUIN JUILLET 4 ème semaine 1 ère 2 ème et 3 ème 4 ème 1 ère semaine semaines semaine semaine 1. Phase préparatoire ENTRETIENS AVEC LE COMITÉ DE PILOTAGE 1 Jour (Lundi 31) 2. Analyse de la documentation IDENTIFICATION ET ANALYSE DE LA DOCUMENTATION 5jo jours 3. Enquêtes de terrain ENQUÊTES 7 jours 4S 4. Synthèse et recommandations

16 4. Synthèse et recommandations Élaboration du 1 er draft du pré rapport ; Session de pré validation du 1 er draft (activité 8); Élaboration du pré rapport (activité 9) ; Session de pré validation du pré rapport (activité 10) Atelier de restitution et partage du pré rapport (activité 11); 7 jours Rédaction du rapport final (activité 12) ; Session de restitution du rapport final au comité de pilotage (activité 13). TOTAL 20 JOURS

17 Les interviewés Organisations paysannes 1. Baba NGOM Secrétaire Général du CNCR 2. Diery GUEYE Membre du CA du CNCR, producteur horticole 3. Nadjirou SALL Secrétaire Général de la FONGS 4. Touba SECK Président - Forces Paysannes 5. Aliou DIA Conseiller - Forces Paysannes 6. Moustapha SYLLA Président Mouvement pour la Solidarité et le Développement (MSD) 7. Emmanuel SENE Banque Mondiale 8. Christophe LESUEUR Hub Rural Partenaires au développement Institutions tions publiques 9. Mame Ndiobo DIENE Conseiller Technique Ministère de l agriculture 10. Demba SOW Président de la Commission développement rural du Conseil Economique et Social 11. Babacar SEMBENE Commissaire aux Enquêtes Économiques Chef du bureau "Politiques Commerciales Agricoles" ; Rapporteur du Sous Comité Commerce des Produits Agricoles ; Direction du Commerce Extérieur/MCOM 12. Moussa THIAM Ingénieur Statisticien Economiste /Comptable National à l Agence National des Statistiques et de la Démographie (ANSD)

18 2. La situation de référence: - l engagement de Maputo, où en est le Sénégal? - l évolution l du financement de l agriculture de 1980 à 2010 ; - les enjeux et défis.

19 Le soutien de l agriculture africaine est une volonté politique affirmée à Maputo en 2003 Le PDDAA (Programme Détaillé pour le Développement de l Agriculture Africain) - Conçu dans le cadre du Nouveau partenariat pour le développement de l Afrique (NEPAD) ; - Une vision collective du continent africain, qui place l agriculture au centre de la stratégie de sécurité alimentaire et de lutte contre la pauvreté - Comporte 4 piliers : (i) Étendre les surfaces sous gestion durable des terres et les systèmes fiables de contrôle de l eau ; (ii) Renforcer l infrastructure rurale et les capacités commerciales en vue d améliorer l accès au marché ; (iii) Accroître l approvisionnement alimentaire et réduire la faim ; (iv) Recherche agricole, diffusion, adoption des technologies.

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21 Le processus du PDDAA Programmes national investissement agricole (PNIA) Objectifs : - Consacrer plus de 10% du budget national à l agriculture (au bout 5 ans) ; - Atteindre 6% de taux de croissance de la productivité agricole. La mise en œuvre du PNIA Un enjeu PNIA signé à Dakar (fév. 2010) Programme régional investissemen t agricole (PRIA) Plan d action régional PRIA signé à Accra (nov. 2009) PRIA / PNIA ( ) ECOWAP PDDAA / ECOWAP (2006)

22 Les différents niveaux d engagements g institutionnels du Sénégal EAU TEXTES CADRES ial OMC (Accord sur l agriculture) Cédéao e NEPAD / PDDAA Union Africaine al : oa éao Politique agricole de l Uémoa (PAU) Politique agricole de la Cédéao (ECOWAP) Commissions Uémoa Task Force Cédéao al LOASP Instances nationales

23 alyse de l évolution du financement de l agriculture s engagements de Maputo: Où en sommes-nous? sources officielles indiquent que le Sénégal a dépassé le taux de 10%

24 alyse de l évolution du financement de l agriculture énégal fait partie de huit (8) pays qui attribuent plus de 10% de son get national à l agriculture

25 alyse de l évolution du financement de l agriculture s engagements de Maputo: Où en sommes-nous? es sources officielles indiquent que que le Sénégal a atteint le taux de croissance de 6%

26 alyse de l évolution du financement de l agriculture La situation en 2006

27 alyse de l évolution du financement de l agriculture s engagements de Maputo: Où en sommes-nous? utres sources existent disent le contraire

28 alyse de l évolution du financement de l agriculture Les engagements de Maputo: Où en sommes-nous? lyse du taux de croissance à partir des statistiques y p q officielles : La part du PIB est en baisse

29 alyse de l évolution du financement de l agriculture Les engagements de Maputo: Où en sommes-nous? alyse du taux de croissance à partir des statistiques officielles ffiill : La part tdu PIB est en baisse

30 alyse de l évolution du financement de l agriculture Les engagements de Maputo: Où en sommes-nous? se du taux de croissance à partir des statistiques officielles: Un taux de croissance de la productivité agricole inférieur à 10%

31 évolution du financement de l agriculture 4 grandes périodes Le retour du volontarisme public La relance de l agriculture La période de sevrage - Programme agricole - Encadrement - investisst

32 alyse de l évolution du financement de l agriculture La situation avant 1980 Etat finance le développement rural à travers "un programme agricole" ; système d encadrement est opérationnel : a) Les services techniques agricoles ; b) La recherche h agricole; c) Les sociétés régionales de développement rural ; d) La Banque nationale de développement du Sénégal (BNDS) ; e) L Office national coopération et d'assistance au développement (ONCAD) ;

33 alyse de l évolution du financement de l agriculture La situation avant 1980 es investissements t structurants t t es résultats très mitigés a) Les besoins des paysans plus ou moins couverts ; b) Des problèmes de gouvernance ; c) Un virage impriméi par les nouveaux dirigeants.

34 alyse de l évolution du financement de l agriculture De 1980 à 1997, la période de sevrage e retrait forcé de l Etat du financement de l agriculture ; ) Les services techniques agricoles ; ) L arrêt du programme agricole. es paysans sont tlaissés à eux-mêmes : ) Suppression de la subvention sur les intrants ; ) Suppression du capital semencier en arachide; ) L ère du service minimum ; ) Un désinvestissement tdu secteur pluvial l; ) Des résultats mitigés en zone irriguée ;

35 alyse de l évolution du financement de l agriculture De 1980 à 1997, la période de sevrage e Sénégal en quête de politiques ; a) NPA / PASA / PISA / Lettres de politique sectorielle ; b) Dévaluation du franc CFA (1994).

36 alyse de l évolution du financement de l agriculture De 1997 à 2000, le retour de l agriculture e retour du "programme agricole" : a) Le programme de relance agricole (1997) ; b) Une amélioration dans l accès au crédit et aux intrants ; c) Un programme de renforcement de capacités ; d) Une reconnaissance du rôle des Organisations paysannes par la Banque Mondiale.

37 alyse de l évolution du financement de l agriculture 1997 à 2000, le retour de l agriculture dispositif de financement à la production agricole (CNCAS) : a) Un renforcement de la performance des groupements; b) Une série d engagements des différents partenaires ; c) Un triplement des niveaux moyens de financement: (de 4 à 12 milliards de francs FCFA en moyenne par an).

38 alyse de l évolution du financement de l agriculture 1997 à 2000, le retour de l agriculture d) Des écarts entre les demandes de financement et les réalisations (Les autorisations de crédit représentent 66% en moyenne de la demande contre des réalisations de 56%). es écarts entre demandes et réalisations de financement à la CNCAS

39 alyse de l évolution du financement de l agriculture De 1997 à 2000, le retour de l agriculture e) Un système plus performant ; - environ millions FCFA par an soit ; -quinze milliardssurles l cinq ans ; - 59 milliards pour les crédits à la production ; - environ 70 milliards sur les crédits à la commercialisation. f) Un système à améliorer : - la mise en place des fonds de garantie professionnels. n système bancaire encore défaillant : a) Une défiance du système bancaire ; b) Une articulation entre SFD et banques spécialisées du secteur primaire ;

40 alyse de l évolution du financement de l agriculture e 2000 à 2010, le retour du volontarisme public n régime "libéral et interventionniste" ; ) Développer l agriculture d entreprise pour la substituer à l agriculture paysanne familiale ; ) Un interventionnisme l agriculture; dans le financement de ) Une série de programmes spéciaux ; ) La Grande offensive agricole pour la nourriture et l abondance (GOANA) ; ) La volonté de mettre en place une banque verte ou banque rurale. es résultats peu probants : ) Des investissements publics à portée limitée ;

41 alyse de l évolution du financement de l agriculture De 2000 à 2010, le retour du volontarisme public Des soutiens importants pour la campagne ,7 milliards de FCFA (subvention du prix au producteur d arachide à hauteur de 40 f/kg / tonnes collectées) ) ; - 5,22 milliards de FCFA (subvention pour la constitution d un capital de tonnes de semences) ; - 8,276 milliards de FCFA (subvention de l engrais et des produits phytosanitaires py à travers une contribution de l ordre de 50% à 70% sur le prix de cession aux producteurs) ; - 2,8 milliards de FCFA (semences des programmes spéciaux) - 13,3 milliards de FCFA (matériels d irrigation-riz) millions de FCFA (dotation du fonds de bonification des

42 alyse de l évolution du financement de l agriculture DES RESULTATS TOUJOURS MITIGES Croissance du PIB,

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44 alyse de l évolution du financement de l agriculture DES RESULTATS TOUJOURS MITIGES e taux de croissance e taux de croissance du secteur,,q qui est de 2,5% ar an entre 1960 et 2003, reste inférieur à celui u PIB Source : Gaye 2005

45 alyse de l évolution du financement de l agriculture DES RESULTATS TOUJOURS MITIGES on comparée des superficies et des productions de céréales ( )

46 alyse de l évolution du financement de l agriculture DES RESULTATS TOUJOURS MITIGES olution des importations de céréales au Sénégal, 1997 à 2008 (FCFA) Evolution des importations de céréales au Sénégal, de 1997 à 2008 (FCFA)

47 alyse de l évolution du financement de l agriculture DES RESULTATS TOUJOURS MITIGES Evolution des exportations agricoles et importations alimentaires du Sénégal, de 1999 à 2008 (FCFA) Exportations agricoles Importations alimentaires Années

48 alyse de l évolution du financement de l agriculture DES RESULTATS TOUJOURS MITIGES Les indicateurs macro-économiques de 2001 à 2003

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54 alyse de l évolution du financement de l agriculture Le taux de 10% est dépassé mais! is résultats clés de l étude :. L objectif de 10% du budget alloué à l agriculture conformément tà la déclaration de Maputo est dépassé é : - la part des dépenses agricoles effectives sur Dépenses effectives totales se situe à 16,2% - de l agriculture dans le budget global inscrite dans la loi des Finances monte à 16,4%.. La réponse de l'offre face à l'augmentation des prix agricoles et/ou céréaliers ne va pas toujours dans le sens d'un accroissement de la production agricole et/ou céréalière ;

55 alyse de l évolution du financement de l agriculture Des besoins toujours en quête de satisfaction es ressources à mobiliser. Une volonté de constituer un fonds national de développement rural ;. A la recherche de milliards de francs CFA pour le PNIA;. La nécessaire prise en compte du genre ;. Un pessimisme dans l allocation des ressources à l agriculture (les facteurs endogènes et exogènes ne permettent pas d'avancer vers cet objectif de 10%) ;

56 alyse de l évolution du financement de l agriculture s besoins toujours en quête de satisfaction n PNIA centré sur l augmentation de la production. 71% du budget global alloué à l agriculture dont 70% pour la subvention des intrants agricoles ;. Le PNIA est perçu plus constitués par une compilation des projets existants dans le secteur; Des problèmes de lisibilité et de cohérence. Des problèmes de lisibilité et de cohérence globale.

57 3. Les axes de plaidoyer Des défis à relever ansition démographique et la création d emplois. Créer des emplois en milieu rural ;. Accroître la productivité de l agriculture ;. Remettre à la production le maximum de gens qui en ont été exclus. a maîtrise de l eau ; n système financier adapté aux réalités locales ; vestir pour la maîtrise du triangle de la production ; a concertation ; stir dans les infrastructures rurales et les services publics; vestir là où se trouvent les pauvres ;

58 Les axes plaidoyer : nvestir plus et mieux ns l agriculture l ; romouvoir un logue inclusif sur enjeux.

59 3. Les axes de plaidoyer vestir plus et mieux dans l agriculture Investir plus de ressources : Créer des emplois en milieu rural ; Accroître la productivité de l agriculture ; Remettre dans les circuits de production le maximum de gens qui en ont été exclus ; Investir dans les infrastructures rurales et les services publics. Mieux investir ; Investir pour la maîtrise du triangle "production-transformation, i commercialisation Investir de manière efficiente! ; La concertation. Pour réduire la pauvreté ;

60 3. Les axes de plaidoyer Promouvoir un dialogue inclusif Partir des défis stratégiques démographie, eau, infrastructures rurales, etc.) ; Quelles ressources mobiliser? des ressources publics internes (budget national) et une aide publique au développement à articuler aux défis stratégiques identifiés ; La concertation. Quelle démarche suivre? Une opérationnalisation efficace des deux points précédents point d achoppement sur plusieurs décennies d investissements et constitue dans le contexte actuel une source de discussion relativement aux contre-performances dans le secteur agricole articulation des trois axes : un enjeu défi majeur qui

61 3. Les axes de plaidoyer Quelques axes pour un débat Des moyens au service d une vision; Majorité d une population rurale ("pas de nourriture sans agriculteurs") équité / problème d orientation); Le secteur agricole: un levier (lien avec le PIB) / les Exploitations familiales investissent! Pas d efficience! / Des niveaux de performances liés aux ressources! La concertation "Ku laté dou dioum!" / "Ték ko ci loxo gni ko meun" /: "tout ce qui se fait sans moi se fait contre moi!"/ dialogue politique!); Les importations ; La maîtrise de la production (foncier, eau, matériel agricole / productivité-compétitivité-pauvreté); La valorisation de la production (stockage, transformation, régulation des marchés) ); L environnement socio-économique (désenclavement, services sociaux de base santé, éducation).

62 3. Les axes de plaidoyer Quelques axes pour un débat L agriculture a le vent en poupe! Investissements massifs et productifs (industrie agro alimentaire; effets d entraînement massif) ; Plus d investissements que de fonctionnement / plus d efficacité ité ; Un cadre institutionnel (CSOASP LOASP / Ministère du développement rural) ; Une démarche claire, méthodologie juste et pertinente. Mieux investir / mieux piloter!

63 Les mécanismes ROIS AXES POUR UN PLAIDOYER STRATÉGIQUE Débattre sur les ressources à mobiliser AXES Débattre sur la démarche AXES à utiliser PLAIDOYER Débattre sur AXES les enjeux et défis stratégiques Une situation de référence

64 rtir de la situation de référence 1. Débattre sur les enjeux et défis stratégiques 2. Débattre sur les ressources à mobiliser 3. Débattre sur la démarche à utiliser

65 Investir c est bien! Bien investir c est mieux! Ah oui, la ibliographie! MERCI DE VOTRE ATTENTION

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