Evoltion de l'effectif de la population totale (Zone OSS-Afrique)

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1 Conceptualisation et mise en œuvre des outils de gestion durable des terres et de suivi-évaluation de la mise en œuvre des programmes d action de lutte contre la désertification au circum-sahara La désertification, les changements climatiques et la perte de la biodiversité représentent des problématiques graves pour les régions arides et semi-arides sèches de l Afrique et notamment dans les pays Circum-Sahariens. Cette zone d action de l OSS, caractérisée par une flore diversifiée et originale, connait depuis les années 1960, des épisodes de sècheresse et de dégradation des terres qui ont profondément affecté les écosystèmes présents engendrant la désertification et rendant ainsi ceux-ci de plus en plus vulnérables. Cette fragilité est accentuée par la pression anthropique résultant de la forte croissance démographique ainsi que l intensification et l extension des systèmes de production agropastoraux dans cette région où le développement économique repose essentiellement sur les ressources naturelles. En effet, la conjugaison de ces deux facteurs, climatiques et anthropiques, a causé la dégradation du couvert végétal, du sol et des ressources en eau, compromettant la capacité des écosystèmes à répondre aux besoins des populations qui y vivent Evoltion de l'effectif de la population totale (Zone OSS-Afrique) Année 1950 Année2000 Année Evolution de l'effectif de la population rurale (zone OSS-Afrique) Année 1950 Année2000 Année 2010 Zone OSS Afrique entière Zone OSS Afrique entiére Afin de faire face aux fléaux induisant la dégradation des terres et d atténuer leurs impacts, les conventions post Rio s accordent sur la nécessité de disposer d une bonne infrastructure informationnelle sur la dynamique des processus écologiques, agroécologiques et socio-économiques. Elles accordent une importance particulière au volet production et diffusion de l information et recommandent la mise en place de mécanismes de production, d échange et de circulation d informations à des niveaux différents. Le fossé qui existe entre le monde développé et celui en développement en matière d information et d accès à des données fiables, cohérentes et normalisées n a fait que s approfondir, entravant ainsi la capacité des pays de prendre, en connaissance de cause, des décisions sur l environnement et le développement. La CCD s est particulièrement distinguée par l importance qu elle accorde au renforcement des outils de suivi-évaluation des programmes d action de lutte contre la désertification au niveau des pays parties afin de relater les avancées enregistrées mais surtout de tirer les leçons des expériences passées en vu d améliorer la planification et la réalisation des actions futures (articles 10.2, 16 et 22 de la CCD et article 9 de l annexe Afrique). En effet, l une des innovations apportées par la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification est l exigence de suivre régulièrement l évolution de la désertification et des

2 programmes, projets et actions développés pour y faire face. Ce suivi devrait faciliter les prises de décision sur les investissements et l identification des corrections et des améliorations à apporter aux actions mises en œuvre pour en augmenter l efficience et l efficacité. De ce fait les programmes d action nationaux prévus par la convention et élaborés par les pays doivent être impérativement dotés d un système de suivi-évaluation et de dispositifs d observation à long terme. Malheureusement, différentes analyses et investigations ont souligné la persistance de multiples contraintes entravant l élaboration d informations fiables, pertinentes et actualisées. Cette situation est aggravée par l absence de mécanismes institutionnels efficaces et inclusifs qui permettraient aux pays touchés de mettre en place des systèmes nationaux de surveillance opérationnels. Face à ce constat et en réponse aux besoins de ses pays membres, l OSS s attèle depuis deux décennies à développer des approches innovantes en matière i) de surveillance environnementale (notamment grâce aux programmes ROSELT Réseau d Observatoires de Surveillance Ecologique à Long Terme et DNSE Dispositif National de Surveillance Environnementale ), ii) de suivi-évaluation des impacts des programmes d action environnementaux (la CCD et la CCC en particulier), et iii) de systèmes d alerte précoce à la sécheresse (application à l Afrique du Nord), etc. La note annexée synthétise l effort de l OSS dans ce sens. L OSS a fait de la surveillance environnementale le fer de lance de ses initiatives et activités et le socle sur lequel se construisent toutes les stratégies et programmes de gestion durable des terres. En conformité avec cette vision, l organisation, avec l appui de ces partenaires, a conçu, développé et mis en œuvre le réseau ROSELT. Ce dernier est le premier réseau régional africain d institutions en collaboration Sud-Sud-Nord pour le partage des compétences et des connaissances.

3 Depuis 1994 l OSS ne cesse de renforcer le réseau ROSELT et de l adapter aux besoins des pays de la région dans un contexte en perpétuel changement. Bien que ce réseau ne soit pas le seul réseau de surveillance environnementale dans le monde, il demeure néanmoins une expérience unique au niveau de la région Circum-Saharienne. Le ROSELT/OSS est formé d un ensemble d observatoires, labellisés sur la base de critères scientifiques, dans les pays Circum-sahariens au niveau desquels sont réalisées des collectes et exploitations des données de terrain et de la télédétection sur l état des ressources et les conditions de vie des populations. Le succès d une telle opération d envergure répose sur l appropriation et l engagement des institutions africaines à assurer la durabilité de ce réseau. Ainsi, l Algérie, le Burkina Faso, l Egypte, le Kenya, le Mali, le Maroc, le Niger, le Sénégal et la Tunisie font partie des partenaires de l OSS fortement impliqués pour le développement de ce réseau. Le réseau applique des méthodes consensuelles et harmonisées de collecte et traitement de l information environnementale (biophysique et socio-économique) qui permettent d élaborer des produits communs comparables dans le temps (diachronique) ou dans l espace (synchronique). Le Programme ROSELT/OSS constitue une contribution à la compréhension des phénomènes environnementaux visant essentiellement l amélioration des connaissances sur les mécanismes, les causes et les conséquences de la dégradation des sols. Cette contribution de taille représente une condition sine qua none pour l identification ou le développement de stratégies, d approches et de méthodes permettant de faire face aux processus de dégradation, voir même de réhabiliter des terres dégradées. Tenant compte des spécificités de la région d une part, et de l importance de passer à une phase opérationnelle de production de l information utile, d autre part, un effort particulier a été déployé en vue de définir un kit minimum de données, à collecter au moindre coût, permettant de préparer la spatialisation des données, leur extrapolation possible à des zones plus vastes et leur intégration dans des modèles d'utilisation de l'espace et des ressources.

4 Le réseau ROSELT/OSS a fourni un cadre général structuré pour une meilleure compréhension des relations entre la dégradation des terres, les pratiques anthropiques et les changements climatiques, notamment à travers son mandat d harmonisation des approches et des méthodologies à une échelle régionale, permettant ainsi d envisager des comparaisons à différentes échelles entre les observatoires locaux de différentes régions écologiques, pour une meilleure compréhension de la dynamique de la dégradation des terres et la diversité paysagère en zones arides. Ces efforts se reflètent à travers les produits ROSELT/OSS qui se présentent sous la forme de Documents Scientifiques et de cahiers techniques accessibles à l adresse suivante : / Rubrique Ressources. L expérience du ROSELT, en matière de surveillance au niveau local, est de ce point de vue très enrichissante au regard des acquis importants de ce programme qui sont essentiellement de deux ordres : méthodologique, relatif au développement de dispositifs standardisés pour la collecte des données sur les écosystèmes concernés. Des documents méthodologiques de base ont été élaborés et édités pour servir de guides et de références dans toutes les phases de la mise en place du réseau d observatoires ; institutionnel, portant sur l instauration de dispositifs nationaux reconnus comme fournisseurs de données de base fiables sur l évolution des ressources naturelles au niveau local. En outre, ROSELT/OSS a œuvré pour le renforcement des capacités des institutions nationales en charge de la coordination des activités des observatoires du réseau. Les modules de formation développés, les ateliers et sessions de renforcement des capacités organisés ont intéressé les cadres et techniciens des partenaires impliqués dans la gestion des ressources naturelles et la lutte contre la désertification en particulier. Le réseau ROSELT a aussi intégré les aspects socio-économiques de la surveillance environnementale, mettant ainsi en application une approche holistique tenant compte des interactions entre l homme et son environnement telle que prônée par la convention. L esprit de cette approche se retrouve dans le Système d Information sur l Environnement au niveau Local (SIEL), outil de modélisation développé dans le cadre de ROSELT par l OSS et ses partenaires (l Institut de Recherche pour le Développement France et l Institut des Régions Arides de Médenine Tunisie). Cet outil permet le développement de scenarii en partant de différentes hypothèses sur l évolution de paramètres biophysiques et socioéconomiques.

5 Application SIEL à l Observatoire de Menzel Habib Tunisie La pertinence du concept de surveillance écologique et des produits élaborés par le réseau a convaincu bon nombre de pays impliqués dans le réseau de la nécessité de renforcer le développement de la surveillance environnementale aux échelles nationales. En effet, ROSELT/OSS est intégré dans les PAN/LCD de nombreux pays (Algérie, Egypte, Kenya, Mali, Maroc, Niger, Tunisie). Les méthodologies ROSELT/OSS y sont adaptées et répliquées dans le cadre de la mise en œuvre de dispositifs nationaux de surveillance environnementale (DNSE) qui s appuient sur et intègrent les observatoires du réseau régional ROSELT/OSS. En effet, fort des acquis du ROSELT, l OSS a lancé un processus visant à appuyer la mise en place des DNSE au niveau de ses pays membres. Les activités ont déjà démarré au niveau de cinq pays (Mali, Maroc, Niger, Sénégal et la Tunisie). L objectif est de mettre en place des systèmes de surveillance environnementale pérennes, parfaitement intégrés (aux plans technique et institutionnels) dans les systèmes nationaux de production et de gestion de l information. Tout en mettant l accent sur la collecte d information pour le suivi-évaluation des programmes d action nationaux de lutte contre la désertification (PAN/LCD) et la circulation de l information entre les partenaires impliqués, ces systèmes constituent

6 également un préalable à la synergie des conventions post Rio. Le Niger, à titre d exemple dispose actuellement d un dispositif national de surveillance environnementale composé de neuf observatoires locaux (ROSELT/Niger). L appropriation des outils de surveillance développés dans le cadre de ROSELT et les avancées enregistrées par ce pays ont débouché sur la création du Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale (CNSEE), principal pourvoyeur de données sur l état des terres au sens large et des sols en particulier et de son évolution. Cette grande expérience de l OSS, acquise en collaboration avec ses pays et organisations sous-régionales membres et ses partenaires au développement (particulièrement la France, l Allemagne, l Italie, la Suisse, le Canada et le Fonds Français pour l Environnement Mondial FFEM ), a en outre été d un apport considérable pour la réflexion sur la définition et l identification des indicateurs de mise en œuvre de l UNCCD, ainsi que des indicateurs d impact des actions de lutte contre la désertification. Cela a abouti à une conceptualisation qui prend en compte les dimensions biophysique et socio-économique du suivi-évaluation des programmes d action de lutte contre la désertification. L OSS s est employé à capitaliser l expérience acquise dans le domaine des indicateurs au niveau mondial et africain afin de proposer à la communauté internationale et aux pays africains, en particulier, un système adapté de suivi-évaluation des programmes d action nationaux de la CCD. Dès 1995, Le Comité International de Négociation de la Convention de lutte contre la Désertification (CIND) a pris l initiative dans ce domaine en proposant à l OSS de mettre en place un groupe de travail sur les indicateurs ; plusieurs institutions internationales (UNESCO, Club du Sahel, Secrétariat de la CCD ) et des organisations sous régionales

7 africaines (CILSS, UMA, IGAD) et quelques pays africains et le Brésil ont pris part à cette initiative. Les travaux de l OSS et du CILSS dans ce groupe ont permis d établir une grille d indicateurs de suivi du processus de mise en œuvre de la CCD, partagée par plusieurs partenaires avant d être officiellement adoptée par la première Conférence des Parties tenue à Rome en Cette grille d indicateurs a bénéficié des expériences de certains pays avancés dans le processus comme le Mali puis testée au Niger et au Burkina Faso avant d être élargie aux autres pays et régions du monde. La grille des indicateurs du processus est un document évolutif permettant d apprécier les critères de qualité de la préparation et de la mise en œuvre des PAN conformément aux engagements pris par les Etats signataires de la Convention. Cette grille a permis de faciliter l analyse comparative des rapports nationaux régulièrement présentés aux instances de la CCD et de mesurer les progrès réalisés au niveau global. En réponse à l appel de la Conférence des Parties qui a invité les pays et les organisations compétentes à tester les indicateurs du processus et à poursuivre la réflexion sur les indicateurs d impact des PAN puis à mettre en place des systèmes de suivi-évaluation, l OSS, le CILSS et l UMA, en collaboration avec leurs partenaires, ont organisé plusieurs ateliers : à Eschborn en 1998, à Dakar lors de la deuxième Conférence des Parties en 1998, à Paris en 1999 et à Recife à la troisième Conférence des Parties afin de capitaliser les acquis en matière d indicateurs d impact et de lancer un projet régional sur la méthodologie d élaboration des indicateurs d impact des PAN et de mise en place des systèmes nationaux de suivi-évaluation. L effort de réflexion de ce groupe régional s est ensuite porté sur la scène internationale pour un échange d expérience avec les autres régions du monde, ainsi un atelier international a été organisé à Ouagadougou en 2001, regroupant les pays africains et d autres d Amérique latine, d Asie et d Europe ; cet atelier a constitué un point fort de la coopération internationale qui a permis de proposer le concept de suivi-évaluation qui fut adopté (décision 11/COP5). Après l acceptation du concept par la communauté internationale au niveau de la 5 e Conférence des Parties tenue à Genève en octobre 2003, l OSS avec quelques-uns de ses pays membres les plus avancés dans la mise en œuvre de leur PAN/LCD s est engagé dans une phase test de définition et de mise en place de ces dispositifs de suivi-évaluation (Maroc, Niger et Tunisie). L OSS a été directement associé aux efforts engagés par le Secrétariat de la convention et ses partenaires (le PNUE, en particulier) pour l utilisation du système PRAIS dans le cadre du 4 ème cycle de rapportage à la CoP. De part ses acquis, l organisation a été assuré le rôle de centre de référence pour les pays de l Afrique du Nord et a contribué à l évaluation du processus mené à l échelle internationale. Le rôle de l OSS en appui au développement des outils préconisés par la CCD se poursuit à travers sa contribution aux débats organisé par le Secrétariat et les réflexions menées pour l identification et le test des indicateurs d impact. Dans ce cadre, et à titre d exemple, la présentation de l OSS sur ses acquis en matière de suivi-évaluation a fait partie des présentations introductives de la réunion organisée par le Secrétariat à Bonn en décembre L OSS a œuvré pour la diffusion des acquis de ces différentes initiatives et actions au profit de leur valorisation dans le cadre des stratégies et programmes de lutte contre la dégradation des sols dans sa zone d action et au niveau

8 international. Un ouvrage sur le suivi-évaluation a été réalisé et édité en deux langues (Fr et Ang, accessibles à l adresse suivante : / Rubrique Ressources) et des événements parallèles axés sur les outils d observation et de surveillance de l état de dégradation ou de réhabilitation des terres ont été organisés en marge des CRIC et CoP de la convention. Fort de sa maitrise des différents aspects et enjeux en rapport avec la dégradation des terres, l OSS a été impliqué à la plupart des initiatives et programmes en la matière. Dans le cadre de WOCAT, l OSS a joué un rôle central dans la phase de lancement de ce programme avec l Université de Berne à travers la réalisation de 150 études de cas répartis en Afrique du Nord, de l Ouest et de l Est. Membre du comité scientifique du projet LADA, l OSS a participé à la validation des méthodologies développées et des produits élaborés. Il a en particulier appuyé ses pays membres impliqués dans ce projet dans la réalisation des activités (Sénégal et Tunisie). L OSS a pu donner un contenu cohérent et réaliste au concept Grande Muraille Verte en faisant de l initiative un programme fédérateur pour des projets et actions de développement intégré. La note développée par l organisation constitue désormais un document de référence dans ce cadre. Le document est accessible sur le site web de l OSS à l adresse suivante : Pour répondre à un besoin exprimé par le Secrétariat général de l Union du Maghreb Arabe, l OSS s est investi dans le développement de méthodes et d outils d alerte précoce à la sécheresse, l une des principales causes de la dégradation des terres au circum-sahara. Des indicateurs de suivi ont été développés et des analyses spatiales ont permis l identification des zones vulnérables. Les bulletins d alerte précoce conçus par l OSS et ses partenaires nationaux ont pour objectif de fournir aux décideurs et acteurs concernés des éléments de base pour entreprendre des mesures proactives pour réduire l impact de la sécheresse sur les ressources et les populations.

9 Au Mali, la cartographie exhaustive de l occupation du sol au 1/ et la mise en place d un système d information sur la gestion durable des terres et de l eau que l OSS met en œuvre actuellement, constitue des exemples concrets des produits que génère les actions de l OSS en appui aux stratégies de développement au niveau de ses pays membres. Finalement, et pour les décideurs du niveau régional, l OSS a réalisé et édité en début 2012 une carte de sensibilité à la désertification sur l ensemble de sa zone d action (accessible à l adresse suivante : La méthodologie adoptée est celle développée dans le cadre du programme MEDALLUS et les facteurs pris en compte couvrent les volets végétation, sol et climat. Un tel produit servira de support cartographique de base pour la mise en œuvre d initiatives régionale de gestion durable des terres.

10 Loin de constituer un inventaire exhaustif des programmes et projets menés par l OSS en faveur de la gestion durable des terres, le présent document donne un aperçu sur la nature de l œuvre de l organisation en la matière. Développement d outils de surveillance pour la production de support d aide à la décision, réflexions stratégiques sur les approches de réhabilitation des territoires et des écosystèmes et renforcement des capacités des pays du circum-sahara sont les portes d entré de l organisation pour la concrétisation des initiatives et stratégies de lutte contre la dégradation des sols dans sa zone d action, et dans le monde d une manière générale.

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