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1 Les bulletins de l AREC Energie d le logement en : Le point sur la précarité Taux d effort : part du revenu disponible consacrée par un ménage à ses dépenses d énergie pour un usage domestique. D cette publication, nous ne considérons que les dépenses s d le logement (chauffage, cuisson, eau chaude sanitaire, électricité spécifique). Précarité : Un ménage est considéré en situation de précarité lorsqu il éprouve d son logement des difficultés particulières à disposer de la fourniture d énergie nécessaire à la satisfaction de ses besoins élémentaires en raison notamment de l inadaptation de ses ressources et de ses conditions d habitat. Le seuil d un taux d effort supérieur à est communément retenu, et sera le seuil utilisé d cette étude. Hypothèses et méthodologie de l étude Cette étude s appuie sur les données du fichier logement du recensement de la population INSEE 2006 croisées avec : Les consommations s unitaires (source CEREN); Les indices de rigueur climatique à l échelon communal; L enquête revenus fiscaux Cette approche méthodologique statistique présente plusieurs avantages car elle s appuie sur: l exhaustivité du parc régional des logements; l ensemble des énergies de chauffage, et non pas seulement celles générant des impayés, un comportement des ménages visàvis de l énergie (température de chauffage, régulation thermique journalière, consommation d eau chaude) uniforme sur le territoire pictocharentais. Elle permet donc d inclure en précarité les ménages réduisant volontairement leur consommation afin d éviter de se retrouver en situation de tension économique. En conséquence, sont en précarité les ménages dépensant plus de de leur revenu pour satisfaire à leur besoin d énergie ainsi que ceux qui auraient dépensé plus de de leur revenu s ils n avaient pas eu un comportement restrictif ou limitatif. Chiffres clés En région, logements ( du total) sont exposés à la précarité représentant personnes, soit 19% de la population. Par ailleurs, logements représentant personnes sont «aux portes» de la précarité. Au total, logements représentant personnes sont concernés par le poids de leur facture Caractérisation des logements de 1 Energie principale de chauffage des logements en part d la population 2 Surface des logements en part d la population Chauffage urbain Gaz de ville Fioul Electricité Gaz en bouteilles Bois La région compte près de résidences principales, dont 3 en CharenteMaritime, d la Vienne, en Charente et d les DeuxSèvres. Ces logements sont en majorité (à 8) des maisons individuelles, d une superficie supérieure à la moyenne nationale, construites avant 1975 (pour 6 des logements). Si la principale énergie de chauffage est l électricité, la région se distingue par l importance du chauffage au fioul et au bois et inversement par la faiblesse du gaz de ville et du chauffage urbain. 3 3 < 25 m² de 25 à 40 m² de 40 à 70 m² de 70 à 100 m² de 100 à 150 m² > 150 m²

2 3 4 Période de construction des logements en part d la population 4 4 Nombre de personnes par logement en part d la population Avant 1949 De 1949 à 1975 De 1975 à 1981 De 1982 à 1989 De 1990 à 1998 Depuis 1999 Le parc régional de logements se distingue du parc national par l importance à la fois du parc très ancien (3 des logements pictocharentais sont des logements datant d avant 1950), souvent équipé d une installation de chauffage vétuste, mais aussi du parc récent, conséquence de l attractivité du territoire sur les deux dernière décennies ou plus 5 Part d utilisation du fioul comme énergie principale de chauffage 6 Part d utilisation du bois comme énergie principale de chauffage Les cartographies de la part d utilisation par énergie de chauffage laissent apparaître de fortes disparités : le fioul est fortement utilisé d le nord et le centre de la région tandis que le recours au bois est plus fréquent d le sud et d l est de la région. L électricité est prédominante sur les constructions post 1975, surtout sur le littoral et le gaz naturel d les milieux urbains.

3 7 Consommation d les logements de (en tep/an) Un ménage pictocharentais consomme en moyenne, d son logement, 1,6 tep (2) pour ses besoins de chauffage (principal et appoint), eau chaude sanitaire, cuisson et électricité spécifique. La moyenne des consommations s est plus élevée d le sud de la région, d certaines zones rurales ou de petites agglomérations. Inversement, la façade atlantique et l Est de la région ont une consommation moyenne plus modeste. Caractéristiques de la population de 1 Ages des habitants de en part d la population 2 Catégorie socioprofessionnelle des habitants en part d la population 16% 14% Autres personnes s activité professionnelle Retraités 12% Ouvriers Employés 8% Professions Intermédiaires 6% Cadres 4% Artis, commerçants 2% Agriculteurs < à > à 90 3 La population régionale se distingue par une forte proportion des personnes s activité professionnelle et, inversement, une sousreprésentation des professions intermédiaires et cadres. Les revenus moyens des ménages sont en conséquence moins élevés qu au niveau national.

4 3 Revenu annuel moyen des ménages par commune La répartition géographique des revenus en région dévoile un contraste saisissant entre les zones situées autour des agglomérations bénéficiant d un niveau de revenu disponible élevé et les zones plus rurales, comme le centre et le sud de la région au revenu disponible modeste. Des ménages fortement exposés à la précarité La précarité d le logement résulte de la combinaison de trois facteurs principaux : la faiblesse des revenus du ménage, la mauvaise qualité thermique du logement et le coût de l énergie. Afin d identifier les ménages pictocharentais en situation de précarité, la consommation théorique de chaque logement et la dépense inhérente à ce poste sont rapportées au niveau moyen des revenus disponibles du ménage. Ce revenu disponible est calculé pour chaque catégorie socioprofessionnelle et pour chaque type d activité des individus à l aide des données de l enquête INSEE «Revenus Fiscaux 2004» rapportées aux départements grâce à un ratio entre le revenu d le département et le revenu moyen national, (calcul à partir des données du fichier DADS). On estime ainsi que logements correspondant à personnes sont exposés à la précarité, ce qui correspond à du parc régional de résidences principales. Ce taux est nettement supérieur à la moyenne nationale de 13% estimée par l Anah. 1 Répartition des logements selon leur taux d effort et le niveau de revenu de ses occupants entre 0 et 15 k /an entre 15 et 25 k /an entre 25 et 35 k /an 35 et 50 k /an plus de 50 k /an Taux d'effort entre 0 et 7% entre 7 et entre 10 et entre 20 et 3 plus de 3 Les logements exposés à la précarité sont ceux dont le taux d effort est supérieur à. Le graphique cidessus traduit la corrélation entre le revenu disponible et le taux d effort. Ainsi, la très grande majorité des ménages exposés à la précarité a un revenu disponible inférieur à Inversement, aucun ménage de plus de n y est exposé.

5 2 Logements exposés à la précarité 3 Logements exposés à la précarité par énergie de chauffage par période de construction et et part relative (3) part relative (3) 33% Chauffage urbain 31% 13% Gaz de ville Fioul Electricité Gaz en bouteilles 34% Bois % Avant % De 1949 à 1975 De 1975 à % De 1982 à % 11% De 1990 à 1998 Les logements en situation de précarité sont le plus souvent chauffés au fioul ou au bois, énergies que l on retrouve d les habitats ruraux et anciens. Depuis Répartition des communes exposées à la précarité Les communes les plus exposées à la précarité sont essentiellement des communes rurales localisées d le centre et le sud de la région. Ces territoires sont caractérisés par des logements se chauffant principalement au bois bûche ou au fioul (d le centre de la région). Ils sont également caractérisés par une forte consommation, du fait des caractéristiques de leur logement (surface, ancienneté).

6 Logements exposés à la précarité par surface et part relative (3) 6 1% 23% 28% 47% de 25 à 40 m² de 40 à 70 m² de 70 à 100 m² de 100 à 150 m² 150 m² ou plus Logements exposés à la précarité par nombre d occupants et part relative (3) ou plus Les logements de surface moyenne (70 à 100 m²) sont les plus nombreux à être en précarité même si ce sont les logements de plus de 150 m² qui sont les plus exposés. La situation familiale est également un facteur clé : près de la moitié des personnes vivant seules sont en précarité % 19% 9% 16% 7 Occupants exposés à la précarité par tranche d âge Nombre d'occupants < à > à 90 Outre leur vétusté, les logements en situation de précarité sont des logements caractérisés par l inadaptation entre le type d habitat et leurs occupants. Un profil type se dégage : des personnes âgées, aux revenus ou rentes modestes, vivant seules, d des maisons individuelles rurales dont elles sont propriétaires, chauffées au fioul ou au bois et habitant une surface importante par rapport au nombre d occupants. 8 Catégorie socioprofessionnelle des personnes vivant d des logements exposés à la précarité Agriculteurs Artis, Cadres Professions Employés Ouvriers Retraités Autres personnes Commerçants Intermédiaires s activité professionnelle Actifs Chômeurs Retraités Etudiants Moins de 14 Femmes ou hommes au foyer Autres Inactifs Les logements exposés à la précarité sont majoritairement habités par des personnes retraitées ou s activité professionnelle. D les autres catégories socioprofessionnelles, on constate une part significative des actifs, traduisant la faiblesse du revenu disponible et l impossibilité d assumer la charge du logement.

7 Les ménages aux portes de la précarité Les tensions sur les marchés s risquent d engendrer à court ou à moyen terme une augmentation des tarifs de l énergie. Le prix des combustibles est certes très volatile, comme l a montré l évolution du prix du baril sur les dernières années, mais la tendance est haussière à long terme. Le prix du gaz a déjà connu une augmentation de en 2010 et sera probablement relevé prochainement. Il est fort probable que l électricité française, aujourd hui la moins chère d Europe, suive une évolution comparable. Quelles seront, alors, les conséquences de ces augmentations du prix de l énergie sur les ménages de la région? Cette partie de l étude caractérise les logements vulnérables à une augmentation du prix de l énergie. Les logements en situation de vulnérabilité sont les logements qui ne sont pas aujourd hui en situation de précarité mais qui le deviendraient suite à une augmentation du prix de l énergie. Logements en vulnérabilité Logements en précarité Méthodologie et hypothèses retenues La méthodologie consiste à déterminer la hausse du prix de chacune des énergies afin de calculer, à consommation, composition des ménages et revenus constants, le nouveau taux d effort. On détermine alors quels sont les nouveaux ménages qui consacrent plus de de leur revenu disponible à l énergie d le logement. Les hypothèses d évolution des coûts s sont les suivantes : Le prix du fioul domestique est celui qu a connu la France en 2008, lorsque le baril valait 140$. Pour tous les autres combustibles, nous avons retenu une augmentation de du prix du kwh par rapport aux tarifs en vigueur au 1 er septembre Pour l électricité, nous avons retenu l hypothèse d une hausse des tarifs de. L électricité française étant la moins chère d Europe, il est vraisemblable que les tarifs soient prochainement orientés à la hausse. Pour le bois, nous avons retenu l hypothèse d une hausse des tarifs de, d le sillage de l augmentation de l ensemble des tarifs s. 1 Logements en vulnérabilité selon Revenus des ménages en vulnérabilité l énergie de chauffage et part relative (3) % Chauffage urbain 7% 8% Gaz de ville Fioul Electricité Gaz en bouteilles Bois La hausse modérée des coûts de l énergie retenue d notre corps d hypothèse entrainerait néanmoins le basculement de logements vulnérables vers la précarité. Ces logements représentent personnes, sur une population différente de la population actuellement en précarité, puisque davantage orientée vers des profils familiaux et des catégories socioprofessionnelles moyennes aux revenus parfois conséquents entre 0 et 15 k /an entre 15 et 25 k /an entre 25 et 35 k /an entre 35 et 50 k /an

8 3 Part des logements aux portes de la précarité La carte de la part des ménages aux portes de la précarité illustre les communes dont les ménages vont être les plus impactés par une hausse des tarifs de l énergie, générant de «nouveaux précaires». La répartition des ménages en situation de vulnérabilité est relativement uniforme sur le territoire régional et montre, par rapprochement de la carte sur la précarité, une sensibilité des communes rurales mais à proximité des petites agglomérations (Saintes, Parthenay, Thouars, etc.). On distingue également que les ménages du nord Deux Sèvres, moins frappé par la précarité, sont cependant plus nombreux aux portes de la précarité. Les ménages en difficulté Avec les hypothèses considérées plus haut, logements sont en difficulté (soit 33% des logements de Poitou Charentes). Ces ménages consomment principalement du fioul (énergie fortement sujette à des augmentations de prix), du gaz et du bois. Les catégories socioprofessionnelles les plus touchées sont les retraités, dont le nombre de logements vulnérables face à une rapide augmentation du prix de l énergie s élève à plus de 1 (soit personnes) ainsi que les personnes s activité professionnelle. Mais la vulnérabilité touche aussi les autres catégories socioprofessionnelles. La sensibilité à la hausse des tarifs de l énergie est importante alors que l élasticité de la consommation est faible. Les ménages doivent par ailleurs conjuguer cette équation délicate avec la facture liée à la mobilité, qu elle soit familiale ou, plus contraignante, liée aux déplacements domiciletravail. Là aussi, les tensions s sur les marchés pétroliers ne peuvent que contribuer à alourdir chaque année davantage le «stress» des ménages. (1) Anah : Agence Nationale de l Habitat (2) tep : tonnes équivalent pétrole (3) Part relative : rapport de la catégorie concernée au total des logements régionaux Agence Régionale d Evaluation environnement et Climat 6 rue de l Ancienne Comédie BP POITIERS Cedex Tél : Pour en savoir plus : oreges@arecpc.com

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