THEME: Evolution des principaux agrégats et indicateurs Sous thème: Principaux agrégats
|
|
- Corinne St-Louis
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 THEME: Evolution des principaux agrégats et indicateurs Sous thème: Principaux agrégats Communicateur: Fidèle BAMA Macro économiste Directeur de la Prévision et des Analyses Macroéconomiques (DPAM)
2 Plan de présentation 1- Introduction 2- Méthodologie 3- Objectifs du CSLP 4- Analyse de l évolution des principaux indicateurs etagrégats macroéconomiques 5- Conclusion
3 2- Introduction Mise en œuvre des programmes d ajustement structurel (PAS) au cours de la décennie Le résultat a été la résorption des déséquilibres fondamentaux de l économie. Toutefois, accentuation de l incidence de la pauvreté (44,5% en 1994 à 45,3% en 1998 (INSD, 1994, 1998). Aussi, la profondeur de la pauvreté ainsi que la sévérité se sont aggravées. D où l adoption et la mise en œuvre des CSLP (CSLP en 2000 et CSLP 2 en L objectif de la présente est d analyser l évolution des principaux indicateurs et agrégats macroéconomiques durant la décennie de mise en œuvre du CSLP en vue de mettre en évidence les progrès réalisés et les implications à moyen terme
4 3- Méthodologie Utilisation de l analyse descriptive (taux de croissance et graphique). Pour permettre une meilleure évaluation des performances, il est fait référence aux : objectifs fixés dans les programmes et stratégies ; indicateurs de convergence. Le choix des agrégats et indicateurs tient compte des objectifs traditionnels de la politique (taux de croissance, déficit commercial, taux d inflation). A ces trois indicateurs, sont associés un certain nombre d agrégats ou indicateurs pertinents par secteur macroéconomique
5 4- Priorités et objectifs du CSLP Les objectifs quantitatifs majeurs poursuivis par le Gouvernement au cours des années à venir avaient été déclinés ainsi que suit : accroître le produit intérieur brut par habitant d'au moins 4% par an à partir de 2004 ; ramener l incidence actuelle de la pauvreté { moins de 35% { l horizon 2015 ; accroître l'espérance de vie { au moins 60 ans { l horizon 2015.
6 5- Evolution des principaux agrégats 5.1- Secteur réel: PIB et croissance Evolution caractérisée par : une croissance forte et soutenue (5,4% en moyenne de nettement supérieure à celle de l UEMOA de 3,3%) une croissance erratique (oscillant entre 1,9% en 2000 et 8,7% en En 2010, elle est ressortie à 7,9% après 3,2% en Elle est prévue à 5,2% en 2011). Graphique 1- Evolution du PIB sur la période ,0 3000,0 2500,0 2000,0 1500,0 1000,0 500,0 3293,2 8,7% 2956,9 3051,3 7,8% 2715,2 2811,6 2573,3 7,9% 6,6% 2368,2 2266,7 2014,9 2102,6 1889,9 5,5% 5,2% 4,5% 4,4% 3,6% 3,2% 1,9% 10,0% 9,0% 8,0% 7,0% 6,0% 5,0% 4,0% 3,0% 2,0% 1,0% Cette variabilité est due à la dépendance à l égard des conditions naturelles et à la vulnérabilité à l égard des chocs exogènes (crise internationale, crise pétrolière, crise alimentaire). 0, PIB Réel Taux de croissance 0,0%
7 5.1- Secteur réel: PIB et croissance Le paradoxe burkinabé Malgré que la croissance soit restée forte et soutenue sur les dix dernières années, elle n est pas parvenue à réduire significativement la pauvreté et les inégalités. L incidence de la pauvreté reste à 43,9% (INSD, 2011). En 2003, l incidence était de 46,4%. En rappel, l objectif était de ramener l incidence de la pauvreté { moins de 35% { l horizon A cette allure, la probabilité de réaliser de cet objectif { l horizon 2015 est relativement faible.
8 5.1- Secteur réel: PIB et croissance Le PIB par tête s est établi en 2010 à francs CFA contre francs CFA en En moyenne, il a progressé de 2,3% sur la période contre un objectif annuel affiché d au moins 4% à partir de 2004 (confère CSLP révisé de 2004) Taux de croissance démographique: 3,1% Graphique 4- Evolution du PIB/tête du Burkina Faso de 2000 à PIB/tête taux de croissance Objectif CSLP 7,0% 6,0% 5,0% 4,0% 3,0% 2,0% 1,0% 0,0%
9 5.1- secteur réel: Inflation Une inflation contenue L inflation a été maitrisée sur la période sous revue. Exceptées les années 2001, 2005 et 2008, le niveau d inflation a été contenu dans la limite communautaire (3%). En moyenne, le taux d inflation ressort à 2,7%. Le niveau élevé en 2008 est due aux différentes crises économiques (crise alimentaire et énergétique) au cours de l année. 12,0% 10,0% 8,0% 6,0% 4,0% 2,0% 0,0% -2,0% Graphique 5- Evolution du taux d inflation sur la période 2000 à ,3% 4,9% 2,3% 2,0% -0,4% 6,4% 2,4% -0,3% 10,7% 2,6% -0,6% Taux d'inflation Norme communautaire 3%
10 5.2- Le secteur extérieur: un déficit commercial en amélioration En milliards de FCFA Le commerce extérieur du Burkina Faso est caractérisé par une balance commerciale structurellement déficitaire. Toutefois, les niveaux de déficit sont fortement variables d une année à l autre. La balance commerciale est ressorti déficitaire de 145 milliards de francs CFA en 2010, soit le niveau de déficit le plus faible atteint en dix (10) ans. Cette amélioration est expliquée par la forte augmentation des exportations induite par celles de l or (+144,6%, +260 milliards de francs CFA en valeur absolue). Graphique 6 - Evolution du déficit commercial du Burkina Faso de ,4-286,6-290,6-253,7-227,7-240,6-212,0-210,9-210,0-222,2-145, ,0-400,0-350,0-300,0-250,0-200,0-150,0-100,0-50,0 0,0 Années
11 5.2- Le secteur extérieur: Des exportations: Relativement faibles mais ayant connu une forte poussée ces deux dernières années (8,7% entre 2000 à 2008, +37% en 2009,+64,9% en 2010, +18,6% en moyenne de Les exportations restent peu diversifiées et dominées par des produits primaires { faibles valeurs ajoutées (or, coton ); Des importations: Excepté l année 2009, les importations ont constamment progressé, passant de 368,6 milliards de francs CFA en 2000 à 845,8 milliards de francs CFA, soit une progression moyenne de 10,6%. Dominées par: Biens d équipements (30,5% en moyenne, 35,3% en 2010) Biens intermédiaires (26,9% en moyenne ; 24,3% en 2010) Produits pétroliers (23,2% en moyenne, 26,1% en 2010) Produits alimentaires (11,2% en moyenne, 8,0% en 2010) Autres (8,3% en moyenne, 6,3% en 2010)
12 En % 5.2- Le secteur extérieur: critère de Malgré l amélioration de la balance commerciale, le critère de convergence associé aux échanges extérieurs «Ratio du déficit extérieur courant hors dons sur PIB nominal (en %)» n est pas respecté. convergence Graphique 10- Evolution du ratio solde extérieur courant hors dons sur le PIB nominal 0,0-2,0-4,0-6,0-8,0-10,0-12,0-14, En 2010, il ressort à 7,7% contre une norme de 5% maximum. -16,0 Années Solde extérieur courant hors dons sur PIB nominal (en %) Norme communautaire
13 En milliards de francs CFA 5.3- Le secteur finances publiques: Une forte augmentation des recettes fiscales Amélioration moyenne des recettes fiscales de l ordre de 10,9% passant de 202,9 milliards de francs CFA en 2000 à 565,9 milliards de francs CFA en Le plan stratégique de la Direction générale des impôts (DGI) prévoyait une progression annuelle de 10% des recettes L accélération observée les deux dernières années (+30,2 milliards FCFA en moyenne de , +49,9 milliards FCFA en 2009, +71,3 milliards FCFA en 2010) est à mettre au crédit de l approche Unités de recouvrement Graphique 11- Evolution des recettes fiscales de 2000 à ,0 500,0 400,0 300,0 200,0 100,0 0,0 494,6 444,7 405,2 362,3 318,3 337,3 270,4 240,9 202,9 213,2 565, Années
14 5.3- Le secteur finances publiques: Une forte augmentation des recettes fiscales L amélioration des recettes fiscales a eu comme impact une augmentation du taux de pression fiscale passant de 10,8% en 2000 à 13% en Toutefois, le taux de pression fiscale reste en deçà de la norme communautaire et des objectifs préalablement fixés dans le cadre des stratégies sectorielles. Norme UEMOA: 17% Objectif du PAST/SRFP : 15% en Objectif du plan stratégique de la DGI: 17% en ,0% 16,0% 14,0% 12,0% 10,0% 8,0% 6,0% 4,0% 2,0% 0,0% Graphique 12- Evolution du taux de pression fiscale de 2000 à ,5% 10,8% 10,3% 10,8% 11,1% 11,7% 11,4% 12,5% 12,1% 12,6% 13,0% Taux de pression fiscale Norme communautaire 17%
15 5.3- Le secteur finances publiques: Des efforts de stabilisation des dépenses courantes Les dépenses courantes ont atteint 530,1 milliards de francs CFA en 2010 (progression de 10,6% en moyenne). Dépenses de fonctionnement: Baisse de 5,6% entre 2008 et Cette baisse traduit les efforts entrepris par le Gouvernement en vue de maîtriser ces dépenses. Il s agit notamment de la réduction du train de vie de l Etat qui a consisté en : l application de la réglementation portant utilisation des véhicules de l Etat, l introduction des puces dans les commandes de carburant; { la mise en place d un comité de suivi des consommations d eau, d électricité et de téléphone de l administration publique; La standardisation des véhicules de l Etat (en cours)
16 En % 5.3- Le secteur finances publiques: Des efforts de stabilisation des dépenses courantes Dépenses de personnel: Ratio masse salariale sur recettes fiscales qui s était dégradé jusqu en 2007 s est nettement amélioré sur le reste de la période passant de 39% en 2007 à 35,9% en Le niveau atteint en 2010 reste encore supérieur à la norme communautaire de 0,9%. Graphique 14- Evolution du ratio masse salariale corrigée sur recettes fiscales 40,0 39,0 38,0 37,0 36,0 35,0 34,0 33,0 32,0 31,0 30, Années Ratio de la masse salariale corrigée des dons budgétaires et des ressources PPTE sur les recettes fiscales (en %) Norme communautaire
17 5.3- Le secteur finances publiques: Une accélération des dépenses d investissements sur ressources propres Les dépenses en capital ont progressé en moyenne de 11% passant de 235,8 milliards de francs CFA en 2000 à 597,3 milliards de francs CFA en Progression expliquée par les d investissements financées sur ressources (+24,4% passant de 53,4 milliards FCFA à 389,6 milliards FCFA). Dépenses d investissements financées sur ressources extérieures (+3,9%) Le ratio «investissements publics financés sur ressources propres corrigé sur recettes fiscales est nettement au dessus de la norme communautaire de 20% au minimum. Il a atteint en 2010 un taux de 47,5%. Cette situation montre un grand effort du gouvernement dans le financement des investissements : moteur de la croissance.
18 5.3- Le secteur finances publiques: Vers le respect du critère clé de la convergence En % Ce ratio a connu une amélioration sensible depuis 2008 passant de - 2,1% à -1,3% puis à -0,6% (La norme est >> 0) Cette performance est liée principalement à une bonne mobilisation des ressources fiscales et à la relative maîtrise des dépenses courantes. Graphique 17- Evolution du ratio solde budgétaire de base en pourcentage du PIB Années Solde budgétaire de base hors PPTE et dons budgétaires/pib nominal (en %) Norme communautaire
19 En milliards de CFA 5.3- Le secteur finances publiques: un encours de la dette en expansion En 2006, l encours de la dette avait baissé de 45,9% (-583,6 milliards de francs CFA) passant de 1 270,7% à 687 milliards de francs CFA. Cette baisse est due à l initiative d allègement de la dette multilatérale (IADM). Sur la période , l encours a progressé en moyenne de 13,9%, atteignant le niveau de 1 154,4 milliards de francs CFA en Toutefois, le taux d endettement (30% en moyenne) reste inférieur à la norme communautaire (70% maximum Graphique 18- Evolution de l encours de la dette publique 1 400, , ,0 800,0 600,0 400,0 200,0 0, , , , , ,4 959, Dette publique Années Dette publique extérieure
20 Le secteur monétaire: En milliards de francs CFA une hausse continue du crédit Sur la période , le crédit intérieur a progressé en moyenne de 14% passant de 297,06 milliards FCFA à 787,3 milliards de francs CFA en Graphique 20- Evolution du crédit intérieur et de ses composantes , , , , , ,0 Années Crédits intérieurs Position nette du gouvernement Crédits à l'économie
21 En milliards de FCFA Le secteur monétaire: La bonne tenue des avoirs extérieurs nets Sur la période , les AEN ont progressé en moyenne de 22,8% Graphique 21- Evolution des avoirs extérieurs nets de 2000 à Années
22 Conclusion Dans l ensemble, l économie s est bien comportée. Tous les agrégats et indicateurs de performances se sont améliorés au fil des années. La croissance est resté soutenue (5,4% en moyenne) malgré son caractère instable. Le taux d inflation a été contenue dans la norme communautaire. Le déficit commercial s est progressivement amélioré. Les dépenses courantes ont été stabilisées au profit des investissements. Les recettes fiscales ont connu une progression remarquable. Bonne tendance est observée au niveau des critères de convergence notamment le critère clé. Du côté monétaire, le crédit à l économie et les avoirs extérieurs nets ont des niveaux appréciables.
23 Conclusion Malgré ces performances, les résultats sont deçà des attentes et des principaux objectifs fixés. Le taux de croissance du PIB par tête s est limité à 2,3% en moyenne contre un taux désiré de 4% minimum par an. Le déficit commercial demeure encore important Le taux de pression fiscal est ressorti à 13% en 2010 pour une norme communautaire de 17%. Pour les à venir, les efforts devront être portés vers : L amélioration de la productivité dans le secteur agricole; la transformation des produits locaux pour leur donner plus de valeur ajoutée, la diversification des sources d exportation (accent sur les produits à forte valeur ajoutée), l amélioration des ressources publiques en vue de mieux accompagner
24 Conclusion En vue soutenir durablement la croissance, le Gouvernement a adopté la Stratégie de Croissance Accélérée et de Développement Durable (SCADD). Objectif global de la SCADD : «réaliser une croissance économique forte, soutenue et de qualité, génératrice d'effets multiplicateurs sur le niveau d'amélioration des revenus, la qualité de vie de la population et soucieuse du respect du principe de développement durable». Sans négliger les secteurs sociaux, un accent particulier sera mis sur l accélération de la croissance à travers: (i) la promotion des pôles de croissance, (ii) le développement des filières porteuses, la promotion des niches et des grappes d entreprises, (iii) la promotion d une croissance pro-pauvres pour lutter efficacement contre la pauvreté.
25
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailLe FMI et son rôle en Afrique
Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle
Plus en détailFINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC
FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience
Plus en détailPerspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010
Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailLes questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont
CHAPITRE 1 LES FACTEURS STRUCTURELS DE LA HAUSSE DE L ENDETTEMENT PUBLIC DANS LES PAYS AVANCÉS Les questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont revenues au cœur
Plus en détailREGLEMENT N 07/2006/CM/UEMOA PORTANT ADOPTION DES MODALITES DE CALCUL DU SOLDE BUDGETAIRE DE BASE CORRIGE DES RESSOURCES PPTE ET DES DONS BUDGETAIRES
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------------- LE CONSEIL DES MINISTRES REGLEMENT N 07/2006/CM/UEMOA PORTANT ADOPTION DES MODALITES DE CALCUL DU SOLDE BUDGETAIRE DE BASE CORRIGE
Plus en détailANNULATION DE LA DETTE EXTÉRIEURE POUR LES PAYS TOUCHÉS PAR LA MALADIE À VIRUS EBOLA
ANNULATION DE LA DETTE EXTÉRIEURE POUR LES PAYS TOUCHÉS PAR LA MALADIE À VIRUS EBOLA Janvier 2015 Annulation de la dette extérieure pour les pays touchés par la maladie à virus Ébola ANNULATION DE LA
Plus en détailLe Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté
18 ans après le référendum de 1995 Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté présenté par Marcel Leblanc, économiste pour le comité de travail sur la souveraineté
Plus en détailRecommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 13.5.2015 COM(2015) 265 final Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 et portant avis du Conseil
Plus en détailPoint de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du premier semestre 2014 en zone CEMAC
Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du premier semestre 2014 en zone CEMAC Commission de la CEMAC Département des Politiques Economique, Monétaire et Financière Direction des
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée Basé sur les notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables) Elle fait
Plus en détailL équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance
IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailLes mécanismes de transmission de la politique monétaire
Chapitre 5 Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Introduction (1/3) Dans le chapitre 4, on a étudié les aspects tactiques de la politique monétaire Comment la BC utilise les instruments
Plus en détailPERSPECTIVES ECONOMIQUES DES ETATS DE L'UNION ECONOMIQUE ET MONÉTAIRE OUEST AFRICAINE EN 2010
PERSPECTIVES ECONOMIQUES DES ETATS DE L'UNION ECONOMIQUE ET MONÉTAIRE OUEST AFRICAINE EN 2010 VULNERABILITE DES COMPTES COURANTS DANS LE CONTEXTE DE LA CRISE FINANCIERE INTERNATIONALE TABLE DES MATIERES
Plus en détailTable des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...
Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.3 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)
Plus en détailAPPEL A COMMUNICATIONS
APPEL A COMMUNICATIONS Colloque régional UEMOA-CRDI sur Intégration régionale et stratégies régionales de réduction de la pauvreté 8-10 décembre 2009, Ouagadougou, Burkina Faso Délai de soumission de résumé
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détailINITIATIVE RENFORCÉE EN FAVEUR DES PAYS PAUVRES TRÈS ENDETTÉS - DOCUMENT DU POINT D ACHÈVEMENT ET INITIATIVE D ALLÈGEMENT DE LA DETTE MULTILATÉRALE
Mai 2015 TCHAD Rapport du FMI No. 15/124 INITIATIVE RENFORCÉE EN FAVEUR DES PAYS PAUVRES TRÈS ENDETTÉS - DOCUMENT DU POINT D ACHÈVEMENT ET INITIATIVE D ALLÈGEMENT DE LA DETTE MULTILATÉRALE Dans le contexte
Plus en détailImpact of slower economic growth in major trading partners on the Congolese economy
MPRA Munich Personal RePEc Archive Impact of slower economic growth in major trading partners on the Congolese economy Jean Blaise Nlemfu Mukoko Departement d économie, Université de kinshasa, Groupe de
Plus en détailBurkina Faso Profil pays EPT 2014
Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine
Plus en détailRevue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013
Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013 Daniel Denis kpmg.ca L environnement externe ÉCONOMIE CONSOMMATEUR TECHNOLOGIE DÉMOGRAPHIE Secteur de l assurance
Plus en détailLa comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements
La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements Identité fondamentale: Y= C + I + G + EX - IM Y: PIB (Produit Intérieur Brut) C: Consommation I: Investissement G: Dépenses
Plus en détailLSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg
LSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg Szabolcs Deák 1 - Lionel Fontagné 2 - Marco Maffezzoli 3 - Massimiliano Marcellino 4 Introduction Les modèles dynamiques stochastiques d équilibre
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailApproches macroéconomique et fiscale. Introduction à la première partie... 14
TABLE DES MATIERES Préface... 5 Avant- propos... 9 Partie 1 Approches macroéconomique et fiscale Introduction à la première partie... 14 CHAPITRE 1 La politique budgétaire est- elle encore efficace pour
Plus en détailLES NOUVEAUX INDICATEURS STATISTIQUES DU FMI
LES NOUVEAUX INDICAEURS SAISIQUES DU FI À la fin de 1994 et au début de l année 1995, la répétition et la sévérité des désordres sur les marchés de capitaux, et récemment la crise financière du exique
Plus en détailANALYSE DE LA VIABILITE ET DES DETERMINANTS DU DEFICIT COURANT DES PAYS DE L'UEMOA
ANALYSE DE LA VIABILITE ET DES DETERMINANTS DU DEFICIT COURANT DES PAYS DE L'UEMOA Siège - Avenue Abdoulaye FADIGA BP : 3108 - DAKAR (Sénégal) Tél. : +221 33 839 05 00 Télécopie : +221 33 823 93 35 Site
Plus en détailConsommation et investissement : une étude économétrique
Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions financières Consommation et investissement : une étude économétrique Décembre 1996 Document de travail n 14 Consommation et Investissement : Une
Plus en détailAUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS
AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS Le 4 février 2015 Jean-Pierre COBLENTZ Adel KARMOUS STRATORIAL FINANCES www.stratorial-finances.fr Tour GAMMA A 193 rue de Bercy
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailCameroun : les enjeux de la croissance. Macroéconomie & Développement. Introduction. Novembre 2012 / N o 6
Novembre 212 / N o 6 Macroéconomie & Développement Introduction Au début des années 197, sous l effet d une croissance spectaculaire du secteur pétrolier, le Cameroun a enregistré un décollage économique
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailAutomne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC
Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 Le point sur la situation économique et financière du québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte désigne
Plus en détailL accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation?
L accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation? Edouard VIDON Direction des Analyses macroéconomiques et de la Prévision Service des Études macroéconomiques et
Plus en détailDEVOIR N 1 économie générale
PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le
Plus en détailPoint de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du second semestre 2013 en zone CEMAC
Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du second semestre 2013 en zone CEMAC Commission de la CEMAC Département des Politiques Economique, Monétaire et Financière Direction des
Plus en détailLa finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012
La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012 Sommaire I - Le rôle prépondérant des marchés financiers I.1 - Financiarisation de l'économie mondiale I.2 Lien avec l'entreprise
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailPrésenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget
Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.2 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)
Plus en détailTable des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1
Tableau de bord des indicateurs macro-économiques mai 2015 Table des matières Présentation générale Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Comptes et agrégats de la nation.... 2 Valeur ajoutée réelle
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ RAPPORT SEMESTRIEL D'EXECUTION DE LA SURVEILLANCE MULTILATERALE
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ RAPPORT SEMESTRIEL D'EXECUTION DE LA SURVEILLANCE MULTILATERALE Juin 2014 1 TABLE DES MATIERES Résumé... 5 INTRODUCTION...
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailQuel est le "bon" système de Bretton-Woods?
aoűt 9 - N 359 Quel est le "bon" système de Bretton-Woods? Le Système Monétaire International de Bretton-Woods "normal" est un système où le pays dont la monnaie s'affaiblit doit passer à une politique
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailCouverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)
Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour
Plus en détailLes politiques de réduction du coût salarial en Belgique
Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération
Plus en détailRéunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire
Réunions publiques janvier 2013 Présentation du Débat d Orientation Budgétaire 7 février 2011 LE CONTEXTE Une économie mondiale très ralentie En zone Euro : des incertitudes autour de la crise de la dette
Plus en détailLes Politiques macro-économiques
Politique Financière Politique Monétaire Politique Fiscale Les Politiques macro-économiques Politique Budgétaire Politique de Crédit Politique Commerciale Politique d Investissement Jocelerme PRIVERT POLITIQUE
Plus en détailCote d Ivoire: Progrès et Défis de l après-crise
19 AVRIL 2012 SON EXCELLENCE MONSIEUR CHARLES KOFFI DIBY, MINISTRE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Cote d Ivoire: Progrès et Défis de l après-crise Séminaire «Marchés de la Prochaine Génération», JP Morgan
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailFINANCEMENT DE LA STRATEGIE LIEE AU VIH: L EXEMPLE DU REGIME OBLIGATOIRE D ASSURANCE MALADIE AU GABON. Par la Direction Générale de la CNAMGS
FINANCEMENT DE LA STRATEGIE LIEE AU VIH: L EXEMPLE DU REGIME OBLIGATOIRE D ASSURANCE MALADIE AU GABON Par la Direction Générale de la CNAMGS Introduction Dans le souci d améliorer l accès aux soins de
Plus en détailUn modèle MAcroDYNamique des économies des pays membres de l UEMOA : MADYN. par. Nicolas Ponty Administrateur de l INSEE Economiste principal au PNUD
Document de travail DT/118/2005 Un modèle MAcroDYNamique des économies des pays membres de l UEMOA : MADYN par Nicolas Ponty Administrateur de l INSEE Economiste principal au PNUD Avenue Léon Duguit -
Plus en détailComparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne
Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Dans la perspective de la première conférence franco-allemande sur l énergie qui se tiendra le 2 juillet prochain à Paris 1, il paraît
Plus en détailLE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?
LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre
Plus en détailLes critères d identification des pays les moins avancés
Les critères d identification des pays les moins avancés Vue d ensemble Ce document reprend les éléments présentés sur le site du Comité des politiques de développement http://www.un.org/en/development/desa/policy/cdp/ldc/ldc_criteria.shtml
Plus en détailCHAPITRE 4 : DETERMINANTS DU CHANGE ET SMI
CHAPITRE 4 : DETERMINANTS DU CHANGE ET SMI Monnaie et Finance Internationales David Guerreiro david.guerreiro@univ-paris8.fr Année 2014-2015 Université Paris 8 Table des matières 1 Les déterminants du
Plus en détailATELIER COMMERCE, INVESTISSEMENT ET DEVELOPPEMENT AU SENEGAL
République du Sénégal Ministère de l Economie et des Finances 1 ATELIER COMMERCE, INVESTISSEMENT ET DEVELOPPEMENT AU SENEGAL Nature des interactions entre le commerce international et les IDE (complémentarité
Plus en détailAPPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES
4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION
Plus en détailAudit financier & budgétaire de la Ville de Clamart
Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart Ville de Clamart PARTENAIRES Finances Locales Avril 2015 Ville de Clamart 1 Présentation de PARTENAIRES Finances Locales PARTENAIRES Finances Locales
Plus en détailINTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général --------
INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général -------- Colloque UEMOA-CRDI, du 08-10 Décembre 2009, Ouagadougou Samuel T. KABORE; Dieudonné OUEDRAOGO,
Plus en détailLes économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique
Les économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique Ce bref portrait statistique porte sur l Afrique de l Ouest, région qui regroupe ici les quinze pays membres de la CEDEAO (Communauté Economique
Plus en détailLE FONDS MONETAIRE INTERNATIONAL
LE FONDS MONETAIRE INTERNATIONAL BIBLIOGRAPHIE Lenain P., 2002, Le FMI, Repères, La découverte. (code LEA 332.15 LEN) SITE INTERNET : www.imf.org I LE FMI, INSTITUTION CENTRALE DU NOUVEL ORDRE MONETAIRE
Plus en détailPolitiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006
Politiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006 Ekkehard Ernst OCDE Ekkehard Ernst 1 Introduction et résumé du cours Objectifs Connaître et apprendre les concepts modernes d analyse monétaire
Plus en détailLe SMI. Chapitre 1. 1.1 Les origines historiques du SMI actuel. 1.1.1 Avant la première Guerre mondiale : l étalon or
Chapitre 1 Le SMI 1.1 Les origines historiques du SMI actuel 1.1.1 Avant la première Guerre mondiale : l étalon or L étalon change-or (Conférence de Gênes - 1922) Caractéristiques : Chaque monnaie nationale
Plus en détailAnalyse et exploitation des données du rapport. du PNUD sur le développement humain
Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions financières Analyse et exploitation des données du rapport du PNUD sur le développement humain Novembre 1995 Document de travail n 02 Analyse et
Plus en détailTendances sur le plan de l'épargne et du prêt net dans les comptes nationaux
N o 13-604-MIF au catalogue N o 049 ISSN: 1707-1844 ISBN: 0-662-70787-7 Document de recherche Comptes des revenus et dépenses série technique Tendances sur le plan de l'épargne et du prêt net dans les
Plus en détailDans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude
localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective
Plus en détailVers un système monétaire international multipolaire? Agnès Bénassy-Quéré Jécos, Lyon, 10 novembre 2011
Vers un système monétaire international multipolaire? Agnès Bénassy-Quéré Jécos, Lyon, 10 novembre 2011 Que reproche-t-on au SMI? Des déséquilibres importants et durables des balances de paiements Discipline
Plus en détail6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux
6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux En 2013, on prévoit que les dépenses de santé des gouvernements provinciaux et territoriaux atteindront 138,3
Plus en détailGROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT CAMEROUN : DOCUMENT D APPROBATION PPTE POINT D ACHÈVEMENT AU TITRE DE L INITIATIVE PPTE RENFORCÉE
GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT CAMEROUN : DOCUMENT D APPROBATION PPTE POINT D ACHÈVEMENT AU TITRE DE L INITIATIVE PPTE RENFORCÉE Juillet 2006 TABLE DES MATIÈRES Page Sigles et abréviations
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détail3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques
3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques Le calcul du PIB (1) PIB : Résultat final de l activité de production des unités productrices résidentes 3 façons de le mesurer : Par la production Par
Plus en détailECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011
BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats
Plus en détailAfrique subsaharienne
Études économiques et financières Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne Retour à une croissance forte? AVR 10 F O N D S M O N É T A I R E I N T E R N A T I O N A L Études économiques
Plus en détailIMPACT DE LA CRISE FINANCIÈRE ET ÉCONOMIQUE MONDIALE SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS
IMPACT DE LA CRISE FINANCIÈRE ET ÉCONOMIQUE MONDIALE SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS 2009 Bureau du Haut-Représentant pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits
Plus en détailExposé 1: Les aspects théoriques des relations monétaires internationales
Guide à l attention de l enseignant Jour 5: Les relations monétaires internationales H. Michelsen Université d'hohenheim Cette journée d étude a pour but de raviver les connaissances de base sur les relations
Plus en détailVers quel système monétaire international?
Colloque International de la Banque de France Paris, le 4 mars 2011 Jacques de Larosière Vers quel système monétaire international? J axerai mes propos sur trois thèmes : 1. Quelles ont été - historiquement
Plus en détailÉtude : Épargne nationale au Canada et aux États-Unis, 1926 à 2011 Diffusé à 8 h 30, heure de l'est dans Le Quotidien, le jeudi 26 juin 2014
Étude : Épargne nationale au Canada et aux États-Unis, 1926 à 11 Diffusé à 8 h 3, heure de l'est dans Le Quotidien, le jeudi 26 juin 14 Le taux d'épargne s'entend du rapport entre l'épargne brute et le
Plus en détailL'économie libanaise et le système bancaire libanais: Faits et chiffres
La croissance économique L'économie libanaise et le système bancaire libanais: Faits et chiffres 1- Le Liban a connu une croissance économique exceptionnelle et solide à partir de 2007 jusqu'en 2010, le
Plus en détailChapitre 4 Un besoin de financement du système de retraite qui s établirait à 4 points de PIB en 2040, à réglementation inchangée
Chapitre 4 Un besoin de financement du système de retraite qui s établirait à 4 points de PIB en 2040, à réglementation inchangée Le Conseil d orientation des retraites s est doté d outils de projection
Plus en détailUNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL
UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL LES POLITIQUES DE LA BANQUE MONDIALE DANS LE DOMAINE DE L ÉDUCATION ET LE DROIT DE L ENFANT À L ENSEIGNEMENT PRIMAIRE : VERS LA RÉALISATION OU LA VIOLATION DE CE DROIT DANS
Plus en détailLes finances de la sécurité sociale
Les finances de la sécurité sociale B. Eugène T. Stragier K. Van Cauter L. Van Meensel () Introduction L une des fonctions principales des pouvoirs publics consiste à protéger la population d un certain
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 26.2.2015 SWD(2015) 29 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION Rapport 2015 pour la France contenant un bilan approfondi sur la prévention et la correction
Plus en détailTchad : Programme de référence : Lettre d intention, Mémorandum de politique économique et financière, et Protocole d accord technique
Fonds monétaire international Tchad : Programme de référence : Lettre d intention, Mémorandum de politique économique et financière, et Protocole d accord technique Le 22 juin 2009 On trouvera ci-après
Plus en détailCrises financières et de la dette
Institut pour le Développement des Capacités / AFRITAC de l Ouest / COFEB Cours régional sur la Gestion macroéconomique et les questions de dette Dakar, Sénégal du 4 au 15 novembre 2013 S-2 Crises financières
Plus en détailAnnexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif
Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses
Plus en détailUNION ÉCONOMIQUE ET MONÉTAIRE OUEST-AFRICAINE
UNION ÉCONOMIQUE ET MONÉTAIRE OUEST-AFRICAINE 6 mars 5 QUESTIONS PRINCIPALES Approuvé par le Département Afrique Préparé par : Karim Barhoumi, Larry Cui, Christian Josz, John Hooley, Alexei Kireyev, Monique
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailTABLE DES MATIERES. iii
RAPPORT DU COMITE DE POLITIQUE MONETAIRE N 1/2014 ii TABLE DES MATIERES LISTE DES ACRONYMES... iv RESUME ANALYTIQUE... v 1. ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE INTERNATIONAL... 1 1.1. Croissance du PIB mondial...
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION. Évaluation du programme national de réforme et du programme de stabilité 2013 de la FRANCE
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 29.5.2013 SWD(2013) 360 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION Évaluation du programme national de réforme et du programme de stabilité 2013 de la FRANCE
Plus en détail