numéro 7 mai / juin 2007 Démarche qualité

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1 La lettre d information la Haute Autorité nté numéro 7 mai / juin 2007 Doier (page 1 et 3 à 5) Démarche qualité: la montée en puince indicateur en nté Balie (page 2) Actualité la HAS Le point ur la certification établiement nté Terrain (page 6) Médicament Mieux precrire pour le peronne âgée Horizon (page 7) Jumelage La France et la Pologne allient leur force L eentiel ur (page 7) Recommandation profeionnelle Prendre en charge l infarctu du myocar en urgence Miion (page 8) Appel à projet Prie en charge la perte d autonomie: amplifier la recherche Démarche qualité La montée en puince indicateur en nté Pendant la rnière décennie, le indicateur meure la performance ont connu un développement n précént dan le domaine la nté. L enjeu : améliorer la qualité oin tout en augmentant la tranparence du ytème nté. Dan ce contexte, la Haute Autorité nté a mi en place un nouveau ervice dont l objectif et d intégrer indicateur dan la procédure certification établiement nté. Le point ur cette nouvelle donne. Dan la plupart pay indutrialié, étu ont montré le limite no ytème nté. En France, l enquête nationale ur le événement indéirable lié aux oin en établiement nté, menée en 2004, a montré que nou n étion ni moin bon ni meilleur que no voiin en matière lutte contre le rique lié aux oin. Parallèlement, l evince baed mecine («mécine fondée ur le preuve») a fait on chemin. Profeionnel nté et ocié vante e mobilient pour mettre en place indicateur qualité qui vont guir l amélioration leur pratique. Ajouton à cela la man accrue tranparence uger ur la qualité oin prodigué dan le établiement nté et tou le facteur ont réuni pour expliquer l émergence indicateur. 1. La définition et la typologie indicateur La mie en œuvre d un indicateur qualité a vocation à fournir une information utile à la déciion médicale et uppoe l exitence d une quetion qu il contribue à éclairer ou d un objectif à atteindre. Il exite pluieur type d indicateur: le indicateur tructure (ce qui et mi en place) : ce indicateur pettent d analyer le reource matérielle, humaine et financière néceire à la prie en charge patient. Par exemple : le nombre dipenire vaccinant le enfant contre la rougeole par rapport au nombre d habitant d une région; le indicateur proceu (ce que l on fait aux patient): ce indicateur reneignent ur le pratique profeionnelle appliquée lor différente étape prie en charge aini que ur le modali fonctionnement et coordination ecteur d activité. Par exemple, le taux couverture vaccinale contre la rougeole; le indicateur réultat (ce qui arrive aux patient) : ce indicateur pettent d analyer le effet d une intervention médicale en te d efficacité, écurité et d efficience. Il ont ouvent peu enible et néceitent un nombre important patient pour être interpré. Il faut ditinguer le réultat finaux réultat intédiaire; Lire : La uite du Doier page 3 à 5. Quetion à Edward Kelley, directeur rapport nationaux ur la nté aux État-Uni. L actualité et le rnière publication la HAS ont conultable ur

2 Édito Balie Doier Éditeur : Haute Autorité nté 2, avenue du Sta--France SAINT-DENIS- LA PLAINE CEDEX Tél. : Fax : Directeur la publication : Laurent Dego Lie Rochaix Préinte la Commiion évaluation tratégie nté DR Qu il et loin le temp où l on pouvait dire que «le patient ne urait être mi en équation»! La tatitique, l épidémiologie, la nté publique et l économie la nté ont aujourd hui fait leur entrée dan le mon la nté. De travaux cientifique pettent aini documenter l atteinte objectif aigné au ytème nté, qu il agie performance, l égalité d accè et traitement, la qualité du ervice rendu ou encore du repect la liberté choix. Pour réalier telle étu, il convient cependant dipoer d une information fine et fiable : tel et le rôle dévolu aux indicateur qui contituent le levier privilégié d une collecte continue et ytématique l information. Cet outil, néceirement protéiforme, puique pouruivant objectif meure trè diver, porte aujourd hui principalement ur l atteinte réultat intédiaire, plu facile à meurer (comme le nombre certification). Mai pour prendre tout on en, il doit étendre progreivement à l atteinte réultat finaux, comme l amélioration l état nté, tant au niveau individuel qu à celui la population. Le indicateur contituent dan le même temp un vecteur potentiel changement comportement, dè lor qu il pettent comparer ce qui et comparable et donc mettre au jour différence qu il convient alor légitimer ou réorber. On le voit, cette tranparence et la condition préalable d une amélioration du ytème, tant pratique profeionnel nté, que la getion reource allouée à la nté. Dè lor qu il eront bien perçu comme un outil tranparence au ervice cette amélioration continue et globale, et non comme une fin en oi, le indicateur uront recueillir l aentiment tou ceux qui œuvrent pour un ytème meilleur et incriront ce fait dan la durée Comité éditorial : Karen Candau, Étienne Caniard, Arielle Fontaine, Jérôme Lemarié, Françoi Romaneix, Chritiane Rotto. Rédaction-réalition, infographie : Agence Citizen Pre Tél. : Dépôt légal : mai 2007 Tirage : exemplaire. ISSN : Actualité la HAS La certification établiement nté La certification et un proceu continu 'incrivant dan une perpective d'amélioration panente la qualité oin délivré aux patient par le établiement nté. Le point ur la V2 bi en préparation et bilan la V1. Bientôt la V2 bi Une nouvelle verion la certification V2, dite V2 bi, era bientôt mie en œuvre. Objectif : alléger la procédure pour pettre gain productivité. Le principe central a été d affirmer que la conduite l autoévaluation relevait la eule reponbilité l établiement. Le but était aui révier le manuel certification et on gui, n remettre en caue leur architecture et leur principe contruction, en upprimant le redite, en améliorant la rédaction, et en cherchant à réduire d au moin 10 % le nombre critère. L allègement du manuel dan nouvelle verion et trè ignificatif puique, tout en gardant le même périmètre d obervation et le même exigence qualité, le nombre référence et paé 53 à 44 et le nombre critère 215 à 159. Cette implification réulte, d une part, la uppreion critère dont la non-tifaction éventuelle n était pa porteue d enjeux majeur, et, d autre part, du regroupement critère imbriqué ou redondant. La diminution du nombre référence et critère pet réduire la charge travail à chaque ta la procédure, répondant aini au ouhait établiement et expertviiteur. En outre, le gui cotation a été intégré au manuel. Ce document unique apporte plu implicité dan la lecture document. Enfin, la V2 bi prend en compte le récente évolution légilative et réglementaire concernant l évaluation pratique profeionnelle (EPP) mécin. Aini, l ampleur la dynamique mie en œuvre par le établiement oin en te d EPP et déormai évaluée par la V2 bi. Bilan la V1 Le premier cycle la certification et tiné pui fin Tou le établiement nté françai prè 3000 ont déormai reçu leur première viite certification et e ont engagé dan une démarche continue d amélioration la qualité. 12,1 % certification n recommandation 55,6 % avec recommandation 28,9 % avec réerve 3,4 % avec réerve majeure JupiterImage Démarche qualité La montée en puince indicateur en nté (uite la page 1) le réultat intédiaire: il meurent l aboutiement différente étape proceu prie en charge. Par exemple, le taux éroconverion contre la rougeole chez le enfant âgé 18 moi; le réultat finaux : il meurent le réultat obtenu, une foi le proceu prie en charge achevé. Par exemple, le taux mortalité infantile due à la rougeole. 2. Le indicateur développé en France Le indicateur développé en France ont été conçu eentiellement dan le cadre du programme recherche Compaqh (Coordination pour la meure la performance et l amélioration la qualité hopitalière) qui a démarré en 2003 (voir «Focu»). Son objectif et définir et teter indicateur qualité oin afin pouvoir le généralier au ein établiement nté. Trente-ept indicateur ont déjà été expérimen et la généralition certain d entre eux à l enemble établiement a débuté. La HAS et le minitère la Santé ont décidé collaborer afin développer le indicateur façon cohérente. Le minitère et intéreé en particulier aux indicateur lutte contre le infection noocomiale, te par Compaqh, en le redéfinint pour pouvoir comparer et claer le établiement. Le minitre la Santé et en effet engagé en début d année 2003 ur la tranparence établiement nté et a créé un tableau bord infection noocomiale. Ce tableau bord comprendra à te cinq indicateur et doit être diponible en Pour l intant, le indicateur Icalin, ICSHAet Survio ont diponible (voir encadré). De on côté, la HAS intéree aux indicateur pour le introduire dan la certification établiement nté et enrichir cette procédure. Le ervice Indicateur performance pour l amélioration la qualité hopitalière (Ipaqh) a été mi en place dan cette optique en 2006, au ein la direction l Accréditation et la Certification la HAS. Il et dirigé par Frédéric Bouquet. «Le recueil indicateur era réalié par étape, explique le Dr Valérie Salomon, chef projet au ein du ervice Ipaqh. D ore et déjà, une expérimentation et initiée avec le centre hopitalier univeritaire (CHU) et le centre lutte contre le cancer (CLCC), qui ont eu à recueillir une dizaine d indicateur qualité au cour du 1 er emetre 2007, cette expérimentation vant être progreivement étendue à d autre catégorie d établiement avant paer à une phae généralition. Le nombre d indicateur augmentera progreivement pour couvrir un champ plu en plu large l activité établiement.» D ici à 2009, le indicateur étudié concerneront notamment le thème uivant: la tenue du doier du patient; la traçabilité l évaluation la douleur; le délai d envoi courrier fin d hopitalition; la traçabilité du dépitage trouble nutritionnel; la tenue du doier anethéique; le repect recommandation bonne pratique ur la prie en charge l infarctu du myocar aprè phae aiguë. 3. Le indicateur dan la procédure certification Concrètement, que peuvent apporter le indicateur à la procédure certification? La implification la procédure. Le indicateur développé pour l intant le ont ur egment prie en charge (tenue doier patient, évaluation la douleur ou lutte contre le infection noocomiale, par exemple). Mai il eront plu nombreux d ici à 2009, date la mie en place la troiième verion la Platine, une mine d information ur le établiement Doier Le ite Platine et la plate-forme d information ur le établiement nté mie en place ur Internet par le minitère la Santé. Il préente donnée ur le établiement nté public et privé itué en France métropolitaine, qui ont une activité court éjour en mécine, en chirurgie ou en obtétrique. Platine propoe élément qualitatif comme Icalin (indicateur compoite activi lutte contre le infection noocomiale). Icalin pet au patient contater dan quelle meure on établiement et impliqué dan la lutte contre ce maladie. Le quatre autre indicateur du tableau bord lutte contre le infection noocomiale eront bientôt diponible. Il agit l ICSHA (indicateur volume produit hydro-alcoolique conommé), Survio (indicateur réalition d une urveillance infection du ite opératoire), Sarm (Staphylococcu aureu réitant à la méticilline dan le prélèvement à viée diagnotique en 2005 et 2006 pour 1000 journée d hopitalition) et enfin l indicateur antibiotique. Platine era enuite enrichi nouveaux indicateur au fur et à meure leur généralition au ein établiement nté. Il préente par ailleur le réultat la certification établiement nté menée par la HAS. Il recene également le élément quantitatif diponible ur chaque établiement, comme la préence d un ervice d imagerie à réonance magnétique, la poibilité d effectuer une chimiothérapie, le nombre d accouchement par an L internaute accè facilement à la fiche l établiement nté par e coordonnée géographique (département ou région). Lettre HAS numéro 07 page 2 Lettre HAS numéro 07 page 3

3 Conception d un indicateur pratique clinique : l exemple Compaqh Huit objectif prioritaire décliné en 43 indicateur ont été défini avec le profeionnel collaborant au programme recherche Compaqh. L un ce objectif a pour thème : repecter le bonne pratique clinique. Edward Kelley Directeur rapport nationaux ur la nté aux État-Uni (Director, US National Healthcare Report) Dan quel pay l OCDE le indicateur ont-il particulièrement utilié en nté? Certain pay, comme la France et la Finlan, ont ciblé leur effort ur la meure du niveau nté leur population et la mie en place d indicateur nté publique (epérance vie, pathologie le plu fréquente ). D autre, comme le État-Uni, le Pay-Ba et l Italie, ont plu avancé dan la mie en place d indicateur relatif à la qualité oin (pretation, qualité hôpitaux ). Enfin, certain pay ont développé à la foi indicateur nté publique et qualité, comme la Gran-Bretagne, la Suè et le Canada. Actuellement, 32 pay participent au programme HCQI (Health Care Quality Indicator Project). C et le plu grand projet l OCDE, en nombre pay participant. La Commiion européenne participe au financement ce programme pour le pay européen qui ne font pa partie l OCDE. Toute la difficulté ce programme et répondre imultanément à troi quetion : quel indicateur préentent un intérêt cientifique? Quel indicateur font l objet d un conenu? Et enfin, pour quel indicateur dipoe-t-on donnée comparable dan tou le pay? Pouvez-vou nou donner exemple concret d indicateur développé aux État-Uni et leur objectif? Le État-Uni ont hitoriquement le pay où la recherche ur la écurité patient et la plu avancée, puique le travaux ont commencé il y a dix an. Ici, le donnée ur la écurité patient ne ont pa acceible au grand public, moin pour raion politique que pour raion logitique, en raion difficul rencontrée dan le recueil et l ajutement donnée entre le hôpitaux. Mai, la Joint Commiion for the Accreditation of Healthcare Organization1 publie rapport hopitalier ur un certain nombre d objectif nationaux relatif à la écurité patient. En revanche, le indicateur portant ur le pathologie repiratoire ont maintenant diponible ur Internet pour tou le hôpitaux. Imaginon que mon père ait une maladie cardiaque avancée et doive trouver un hôpital pour être opéré. Sur le ite on iit le co potal et, pour le hôpitaux qui e trouvent dan un périmètre 25 mile, on a accè aux indicateur relatif aux pathologie cardiaque. On peut aini comparer le indicateur ux hôpitaux, d abord entre eux, pui avec la moyenne l État et enfin avec la moyenne nationale. Medicare, l un régime américain écurité ociale, a aui mi en place un ytème recueil d indicateur pour le centre dialye et pour le oin à domicile. En définitive, le donnée ont aez diponible dan le domaine d activité qui relèvent la compétence et du financement Medicare. Au ein l Agence pour la recherche et la qualité, nou publion ce même indicateur pour chaque État et au niveau national. Comment expliquez-vou l émergence précoce d indicateur aux État-Uni? Ici, beaucoup d organition privée ont trè active dan le domaine du recueil d indicateur, par exemple en ce qui concerne l accréditation hopitalière. Depui longtemp, ce ocié rédigent rapport et rennt publique leur tatitique ur Internet. Le fait d avoir beaucoup d organition privée active dan le ecteur la nté a placé le recueil d indicateur en nté au rang priori l agenda public. Dan un en, cela nou a beaucoup aidé. 1. Commiion contrôle organition nté. Lettre HAS numéro 07 page 4 ion rat re dé liè Fépita ho e tèr é ni nt Mi la e tèr é ni nt Mi la a té So ant v é t é iétte c Sovan Focu ue Compaqh, le laboratoire recherche ur le indicateur ère it nté Minla 6 L indicateur et validé Cette econ campagne tet menée dan le établiement et plu centrée ur le quali métrologique l indicateur (reproductibilité, pertinence). À la fin cette econ campagne, i le élément preuve recueilli pettent d émettre une recommandation en faveur généralition, l indicateur et à nouveau oumi aux ocié vante pour validation. ciénte o S va Cli niq ue re la Minitè a certification. Le indicateur contitueront une bae dialogue entre le établiement et le expert-viiteur. À la clef, un uivi rapproché établiement et une meilleure efficacité la procédure certification. Une tranparence accrue. La publication indicateur chaque établiement dan le différente thématique donnera une meilleure liibilité à la qualité oin délivré. Ce era un autre pa ver la valorition et la tranparence la certification. À ce jour, le rapport ont en ligne ur le ite la HAS et le réultat ont également acceible ur le ite «Platine» du minitère la Santé (voir encadré) pui le début cette année. L amélioration pratique via la comparaion. L enjeu et pettre aux établiement e ituer le un par rapport aux autre. Le expérience montrent que le fait même meurer repréente ouvent un premier pa ver l amélioration la qualité. Cli niq l indicateur ont tetée Le donnée obtenue à la uite la campagne faibilité ont dicutée et débattue avec le profeionnel nté; le outil recueil ont enuite actualié. À cette étape, l'objectif et d'étudier i l'établiement et capable recueillir le donnée néceire à la contruction l'indicateur (faibilité). 5 Le quali et actualié ère it nté Minla n mandatio Recom S la HA 4 L indicateur Un cahier charge et réalié pour chaque indicateur, décrivant e mo contruction (taille d échantillon, population référence...). Il appuie chaque foi que poible ur le recommandation pratique profeionnelle validée par la HAS, le ocié vante ou ur d autre forme référentiel. n tio cia e o alad Aem d 2 L indicateur et conçu 3 L indicateur et teté DR 1 L indicateur et électionné nté 7 L indicateur peut être généralié Le outil produit pour la contruction et le recueil l'indicateur aini validé ont adreé aux autori tutelle qui e coordonnent pour décir modali généralition. Une plu gran implication mécin dan la procédure d accréditation pratique à rique, en introduint, à te, indicateur repect recommandation bonne pratique clinique. 4. Le limite indicateur On le voit, le indicateur peuvent avoir un effet incitatif ur l amélioration pratique profeionnelle, mai il préentent aui limite elon la façon dont il vont être préen aux profeionnel et dont le réultat vont être interpré. Le rique erait que le profeionnel nté ne intéreent qu à ce que meurent le indicateur et non à ce qui le ou-tend. On imagine, par exemple, un établiement nté qui travaillerait ur la bonne tenue du doier patient n chercher à améliorer la conception ce doier. De même, la diffuion indicateur auprè du grand public et trè enible, elle peut aboutir à une «faue tranparence» en valorint tel apect la prie en charge et en faint l impae ur tel autre, tout aui important. Elle peut conduire aui à une forme «démoralition» profeionnel nté, ou à dérive, comme la élection patient pour améliorer le performance l établiement. D où l utilité e baer ur indicateur bonne qualité, robute, tel qu il ont été conçu et expérimen par exemple par le programme recherche Compaqh. D où l importance également maîtrier et d accompagner la diffuion indicateur. Une recommandation et d ailleur en cour d élaboration à la HAS pour définir le bonne pratique diffuion indicateur performance. Lettre HAS numéro 07 page 5 Fabrice Mathé Quetion à Lancé en 2003, le projet Compaqh (Coordination pour la meure la performance et l amélioration la qualité hopitalière) et un projet recherche outenu par le minitère la Santé et la Haute Autorité nté. Le maître d œuvre en et l titut national la nté et la recherche médicale (centre recherche en mécine, cience, nté et ociété, unité mixte CNRS). L objectif et mettre à la dipoition la HAS et du minitère la Santé indicateur généralible à tou le établiement. Concrètement, 36 établiement public et privé participent à ce projet. Quarante-troi indicateur qualité hopitalière ont déjà été défini en collaboration avec le ocié vante pui 2003 ; 37 ont déjà été te. Par exemple, le indicateur relatif aux infection noocomiale ou le indicateur iu doier patient (tenue du doier, conformité du délai d envoi courrier en fin d hopitalition, traçabilité la douleur ). Le programme et reconduit juqu en 2009 afin teter nouveaux indicateur généralible à tou le établiement. Par ailleur, l effort recherche va intenifier pour étudier l efficacité mo d utilition indicateur (pilotage au ein établiement, claement, financement la qualité).

4 Terrain Horizon Terrain Precrire chez le ujet âgé Au total, exemplaire la brochure «Precrire chez le ujet âgé Évaluation et amélioration pratique» ont été envoyé par la HAS début 2007 à l'enemble mécin généralite, aux préint Commiion médicale d établiement (CME) et aux autre établiement oin. Ce document ynthétie la démarche à uivre pour optimier la precription médicamenteue chez le ujet âgé (PMSA) et rappelle la palette d outil acceible pui le ite : mémo, fiche patient, référentiel d évaluation Phanie Médicament Mieux precrire pour le peronne âgée En 2005, la Haute Autorité nté a bâti un programme pour optimier la precription médicamenteue chez le ujet âgé (PMSA) qui incrit dan le cadre l évaluation pratique profeionnelle (EPP). Objectif : propoer au mécin outil pour mieux precrire et limiter aini le rique iatrogénique (lié aux médicament). Gro plan ur ux expérience terrain. Habituelle et ouvent légitime chez le peronne âgée polypathologique, la polymédication implique pour le precripteur gérer au mieux le rique iatrogénique qui et alor majoré. La iatrogénie erait reponble prè 20 % hopitalition chez le octogénaire 1 Face à cet enjeu nté publique, la HAS a élaboré, avec le profeionnel, un programme à géométrie variable utilible «clé en main» ou elon leur beoin. Il adree aux mécin traitant, aux pécialite precripteur occaionnel et aux mécin hopitalier. 100 patient audi à l hôpital Le ervice oin uite et réadaptation (SSR) l hôpital Vaugirard, à Pari, qui et pécialié en gériatrie, ouhaitait évaluer e pratique en matière PMSA. Dan le cadre thèe mécine générale, Nicola Le Caruyer a réalié une étu ur ce ujet. Le principe : le doier médicaux 100 patient hopitalié dan ce ervice en 2005 ont été paé au crible la trentaine critère bonne pratique préen dan le programme la HAS pour le precripteur hopitalier et portant ur le doier médical du patient, le compte rendu et l ordonnance ortie. À partir on analye, le Dr Le Caruyer propoe pluieur pite d amélioration pratique qui pourraient paer par imple configuration informatique: indiquer ytématiquement le poid du patient et la valeur la clairance la créatinine (élément néceire pour adapter au mieux la doe médicament), inclure duplicata ordonnance ortie dan le doier médical, precrire en dénomination commune internationale (DCI) ce qui évite redondance traitement ur le ordonnance informatiée Diminuer le réhopitalition Pour le peronne âgée, l optimition oin à la ortie l hôpital peut éviter réhopitalition qui entraînent une perte d autonomie. Le programme hopitalier recherche clinique Omage 2 e penche ur ce ujet. Invetigateur principal cet ei clinique randomié, le Pr Sylvie Legrain et par ailleur chargée projet à la HAS ur le médicament chez le ujet âgé. L objectif et d évaluer, dan quatre ervice gériatrie la région pariienne, l impact, aprè la ortie l hôpital, d une optimition traitement médicamenteux pour le rendre conforme aux préconition du programme PMSA la HAS. Il agit là d une déclinaion originale ce programme, à la foi intégrée à la pratique médicale et upport recherche clinique pour évaluer l efficacité la démarche. Un programme d éducation thérapeutique aini que action coordination avec le acteur nté hor hôpital ont également prévu. Au total, 800 patient 70 an ou plu, hopitalié en urgence, eront inclu dan ce programme. Celui-ci meurera i cette action diminue ou non ignificativement le nombre ujet réhopitalié dan le ix moi uivant leur ortie l hôpital. La démarche étend peu à peu Troi organime récemment agréé pour l EPP vont à leur tour mettre en œuvre programme d amélioration la PMSA : le Collège haute étu en mécine générale, l titut recherche en mécine générale et le Collège profeionnel gériatre françai. 1. Elle erait reponble plu 10 % hopitalition chez le peronne plu 65 an. 2. Omage : optimition médicament ur le ujet âgé. Jumelage La France et la Pologne allient leur force En octobre rnier, un vate projet jumelage entre la France et la Pologne a été lancé dan le cadre la tranpoition la directive européenne 89/105/CEE du 21 décembre Cette directive concerne la tranparence meure régint la fixation prix médicament à uge humain et leur incluion dan le champ d application ytème nationaux d aurance maladie. Objectif du projet: renforcer le capaci adminitrative du ytème nté polonai et tructurer le mécanime d ai à la déciion pour le rembourement produit nté. Acteur: côté France, divere intance publique dont le minitère la Santé et Solidari (direction la Sécurité ociale) et la Haute Autorité nté (HAS), Recommandation profeionnelle Prendre en charge l'infarctu du myocar en urgence Une conférence conenu et tenue le 23 novembre 2006, à Pari, ur la prie en charge patient atteint d infarctu du myocar à la phae aiguë avant leur arrivée dan un ervice cardiologie, à l initiative du Samu France, la Société francophone mécine d urgence et la Société françaie cardiologie, avec le partenariat méthodologique et le concour financier la Haute Autorité nté. Se concluion ont été rendue publique par la HAS. En ca yndrome coronarien aigu ST+ 1, intifié par igne clinique et électrocardiographique, il et démontré aujourd hui que la reperfuion coronaire en urgence pet d améliorer ignificativement le pronotic patient, quel que oit le moyen thérapeutique choii. Cette reperfuion coronaire peut être réaliée par angioplatie coronarienne 2 ou par fibrinolye 3. L angioplatie coronarienne et la technique la plu ûre et la plu efficace, puiqu elle pet reperfuer l artère coronaire occlue dan prè 90 % ca contre eulement 60 % pour la fibrinolye. La réalition la fibrinolye et plu imple. Elle peut effectuer partout ur le territoire, en hor d un établiement nté. Son efficacité et optimale au cour troi première heure qui uivent le début ymptôme. En revanche, le rique d hémorragie intracérébrale et incontournable et non négligeable (entre 0,5 et 1 %, augmentant avec l âge) malgré le repect trict contre-indication. Aprè fibrinolye, le patient doit ytématiquement être dirigé ver un ervice cardiologie dipont d une lle coronarographie diagnotique et interventionnelle, compte tenu du taux non-répone d environ 40 %. En effet, en ca d échec la fibrinolye, une angioplatie uvetage et recommandée. Precrire l appel au 15 Phanie côté Pologne, le minitère la Santé et la toute récente Agence d évaluation technologie nté (AOTM), créée en Le projet articule autour ux componte. L une traite apect légilatif et intitutionnel, l autre formation à l évaluation technologie nté 1. Ce formation ont tinée aux peronne en charge d élaborer (le doer) le rapport d évaluation pour l AOTM ou bien le analyer pour prendre déciion nté (le uer). «La Haute Autorité nté implique en priorité ur cette problématique formation, explique Caroline Labor, chef projet au ervice évaluation médicament la HAS. Nou avon déjà évalué le formation diponible en Pologne aini que le niveau connaince doer et uer». De là, le différent expert en miion ur place ont élaboré un programme formation. Lancé au moi mai, il e tinera en décembre 2007 Un temp record pour mener à bien la quinzaine eion formation auprè plu 300 peronne. Avec, pour intervenant, expert diver pay européen et intitution dont la HAS. L enjeu? Bien ûr, mener à bien un vate programme formation international mai aui créer un réeau informel entre agence. 1. Sur la bae la mécine fondée ur le preuve (evince baed-mecine). Concernant la filière oin, le jury recomman, pour tout patient ayant une douleur thoracique évocatrice d infarctu du myocar, «precrire le 15», c et-à-dire privilégier en toute circontance l appel au Samu. Afin que l appel au «Centre 15» vienne la règle, campagne d éducation ont néceire pour le grand public et le profeionnel nté. Le mécin régulateur du Samu doit en effet coordonner la prie en charge du patient avant on admiion à l hôpital : c et lui qui déclenche l envoi l équipe médicale auprè du patient, organie on orientation et uit on acheminement ver une lle coronarographie diagnotique et interventionnelle. 1. Syndrome coronarien aigu avec u-décalage du egment ST à l électrocardiogramme. 2. Angioplatie : technique dilatation d une artère (coronaire dan ce ca particulier) grâce à une on à ballonnet. 3. Fibrinolye : traitement médicamenteux vint à dioudre un caillot obtruant une artère (coronaire dan ce ca particulier). En voir plu : le texte recommandation et diponible ur Horizon L eentiel ur Lettre HAS numéro 07 page 6 Lettre HAS numéro 07 page 7

5 Miion Appel à projet Prie en charge la perte d autonomie : amplifier la recherche Miion La HAS et 'aociée à la Caie nationale olidarité pour l autonomie (CNSA) pour lancer un appel à projet recherche intitulé «Évaluation et amélioration la prie en charge globale peronne en perte d'autonomie». Cet appel à projet entend dynamier la recherche ur le ytème nté qui rete trop embryonnaire en France. Recherche: ver un renforcement du partenariat Rattachée à la direction l Évaluation tratégie nté la HAS, la miion Étu et Recherche et au ervice miion l intitution, qui fon e avi et recommandation ur la cience. Elle implique auprè ervice métier en le aidant à lancer appel d offre ur le quetion qu il ont intifiée et en mettant à leur dipoition le réultat recherche financée par la HAS. La HAS oriente plu en plu ver le lancement d appel à projet en partenariat avec d autre intitution. Cette approche mutualiée pet développer ynergie ur quetion commune. Actuellement, la HAS cofinance ux projet avec l titut recherche en nté publique (Irep) dont elle aure également le uivi. Un programme recherche avec la Direction l hopitalition et l organition oin (Dho) du minitère la Santé a également été lancé fin 2006: le Programme recherche en qualité hopitalière (Preqho). En 2007, la HAS ouhaite renforcer cette tratégie partenariat avec d autre promoteur recherche. En témoigne l appel à projet lancé par la HAS avec la Caie nationale olidarité pour l autonomie (CNSA). La notion «perte d autonomie» applique aux peronne en ituation handicap, mai aui aux peronne âgée dépendante. Le une et le autre néceitent une prie en charge tenant compte leur environnement (nté, ocial et familial). Avec, à la clé, une approche globale oin qui leur ont prodigué aini qu une meilleure articulation ecteur nitaire et médico-ociaux. Pour le Dr Philippe Michel, directeur l Évaluation tratégie nté à la HAS, cet appel à projet entend explorer l apect pratique cette prie en charge, mai aui e componte plu fondamentale. «Cet appel à projet vrait faire émerger rencontre entre chercheur et acteur terrain. C et aini que l on obtiendra le olution le plu pertinente.» Au-là, la HAS cherche à dynamier la recherche ur l organition et la performance du ytème nté, encore embryonnaire en France. Un enjeu d autant plu ambitieux qu il et multidiciplinaire et concerne nombreux acteur : clinicien, mécin nté publique, chercheur en cience humaine et ociale, anthropologue, acteur établiement nté et ocio-médicaux Autant dicipline à aocier pour aborr le vate domaine du handicap. Cet appel à projet recherche et centré autour troi thématique. La première et concrée à l «Amélioration l accè aux oin primaire et préventif peronne en perte d autonomie». En caue notamment pour expliquer le dipari obervée : l abence formation profeionnel nté aux beoin pécifique du handicap, l inacceibilité phyique tructure, etc. Cet apect l appel à projet et complémentaire d un travail d élaboration recommandation en cour à la HAS. La uxième thématique porte ur l «Évaluation la qualité la prie en charge au ein différente tructure» et explore le différent mo coordination et d accompagnement peronne en perte d autonomie. Enfin, le rnier thème, intitulé «Amélioration l orientation peronne en perte d autonomie pour une prie en charge adaptée», abor le condition d hopitalition, d admiion aux urgence, en maion retraite L objectif et ici interroger ur la meilleure manière gérer le pério crie ou encore ur le repect du libre choix peronne, afin faire propoition d amélioration du ytème prie en charge. Cet appel à projet recherche et complémentaire celui lancé actuellement par l titut recherche en nté publique (Irep) l 1. Concrètement, toute le équipe candidate eront électionnée d ici à novembre prochain ur la qualité cientifique leur projet, qui era préalablement oumi à expertie externe, nationale, internationale. Chaque projet adopté era ubventionné ur une durée maximale ux an. Cette initiative, commune à la HAS et à la CNSA, incrit dan le contexte la loi du 11 février 2005 mie en place dan le cadre du plan «Handicap». Une loi qui poe le principe fondamentaux l égalité droit et chance peronne handicapée 1. Il porte notamment ur la qualité vie la peronne handicapée et e détinant, ur l évaluation prie en charge et politique publique, ur le acteur profeionnel et non-profeionnel, ur le apect ocio-économique du handicap et enfin, ur le traitement ocial du handicap. Lettre HAS numéro 07 page 8

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