Xavier Bertrand Ministre de la Santé et des Solidarités. Discours Sous réserve du prononcé
|
|
- Sandrine Papineau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Xavier Bertrand Ministre de la Santé et des Solidarités Discours Sous réserve du prononcé IXe journée de l Hospitalisation à domicile Fédération nationale des établissements d hospitalisation à domicile Jeudi 8 décembre 2005 Maison de la Mutualité CONTACTS PRESSE : Hélène Monard / Muriel Hoyaux : Tél
2 Monsieur le Président, cher Pierre-Jean (Cousteix), Mesdames, Messieurs, Je suis heureux d être ici parmi vous et je tiens à vous remercier pour votre accueil. L hospitalisation à domicile est devenue, grâce à vos efforts et à votre mobilisation, grâce à notre engagement, un mode de prise en charge à part entière. Son essor va être renforcé par les réformes que nous mettons en œuvre à l hôpital. Je pense en effet que l évolution de notre système de santé passe par le développement accru d alternatives à l hospitalisation, au premier rang desquels l hospitalisation à domicile. Cette HAD à la française que vous avez bâtie, par votre conviction et votre investissement, est pour moi synonyme de qualité des soins, de sécurité pour le patient, et de proximité. C est pourquoi je suis convaincu de son avenir. I/ Grâce aux réformes de l hôpital, nous disposons des moyens nécessaires pour développer encore plus l hospitalisation à domicile. A/ Je souhaite que la montée en charge de l HAD se poursuive, au-delà même de nos objectifs. Nous avions fixé un objectif de places d hospitalisation à domicile pour la fin de l année Celui-ci n est pas totalement atteint, puisque ce sont 6826 places qui ont été autorisées à ce jour. Mais le rythme de progression connu ces derniers mois, de l ordre de 400 places depuis septembre 2005, est encourageant. Pour atteindre ces objectifs avant la fin de 2006, nous devons encourager nos partenaires de l assurance maladie à soutenir la progression de l HAD. - Je sais que les délais d examen sont encore très longs, et que les comités régionaux de l organisation sanitaire et sociale (CROSS) ne disposent pas toujours de l information nécessaire sur l hospitalisation à domicile et ses avantages. - J ai donc demandé aux directeurs des ARH de se mobiliser encore davantage pour faire avancer les dossiers de création. Surtout, la montée en charge de cette alternative à l hospitalisation va être accélérée par les réformes que nous mettons en œuvre. Les freins juridiques ont été levés, dans la mesure où il ne sera bientôt plus question d autorisations de places avec la fin du taux de change [1 place en HAD contre 1 place à l hôpital] et avec la suppression de l imputation à la carte sanitaire. Les obstacles financiers ont aussi disparu, avec la mise en place de la tarification à l activité. B/ La T2A va en effet permettre de libérer des potentialités nouvelles. Vous m aviez demandé, Monsieur le Président, comme vous le rappeliez dans votre propos introductif, de porter d emblée à 100 % la tarification à l activité de l ensemble des structures d HAD. Si je l ai fait, si nous avons introduit cette mesure dans le PLFSS, c est parce que je crois à la nécessité d un développement de l HAD pour compléter l offre de soins, c est parce que je crois aux avantages de ce mode de prise en charge, et c est parce que je tenais à ce que votre engagement, celui de multiples professionnels de santé, soit soutenu et encouragé. 1
3 Suite au vote du projet de loi de financement de la sécurité sociale, l hospitalisation à domicile sera tarifée à 100% à l activité dès le 1 er mars L engagement du gouvernement a été respecté. C est une grande chance de développement de ce système de prise en charge, dans la mesure où les établissements financés jusqu à présent par dotation globale sont désormais incités à investir dans l HAD. Cette mesure s accompagne d une prise en compte du degré d invalidité du patient pris en charge pour l évaluation du tarif à appliquer. C/ La réforme de l organisation territoriale des soins favorise également l essor de l HAD. En effet, la réforme de la planification engagée avec l ordonnance du 4 septembre 2003 a eu pour conséquences : - la suppression de la carte sanitaire, - la disparition des taux de change entre lits d hospitalisation complète et places d hospitalisation à domicile - l obligation pour les SROS de troisième génération d intégrer le développement de l hospitalisation à domicile (circulaire du 4 février 2004) Les établissements de santé peuvent désormais développer sans contrainte des lits d hospitalisation à domicile. Dans ce nouveau cadre, je souhaite qu une attention particulière soit portée à la mise en place de l hospitalisation à domicile dans les zones rurales actuellement déficitaires. Cela participe du respect de l exigence d accessibilité aux soins par tous, qui constitue l un des fondements de notre système de santé. - Pour l instant, seule une douzaine de départements n est pas couverte par l HAD, contre 22 il y a deux ans à peine. Je veux notamment souligner l effort réalisé dans les Collectivités d Outre-mer (exception : Mayotte). - Je m engage à tout mettre en œuvre pour combler les blancs de notre territoire : grâce aux SROS qui libèrent les potentialités en obligeant chaque région à évaluer ses besoins en HAD ; grâce à la mobilisation des directeurs des ARH, avec lesquels je me suis entretenu à ce sujet. Je souhaite aussi préserver le caractère généraliste de l HAD, qui permet de répondre à toute demande de prise en charge sur un territoire donné. II/ Je suis convaincu que développer l hospitalisation à domicile est dans l intérêt du patient, dans l intérêt de l assurance maladie, et dans l intérêt des professionnels de santé. A/ Pour le patient, c est un mode de prise en charge qui garantit la qualité et la sécurité, dans la proximité. C est une prise en charge de proximité. - en permettant le maintien à domicile, elle ne perturbe pas les patients, notamment les plus fragiles d entre eux comme les personnes âgées - elle laisse une grande place à la famille et aux proches, permettant au patient de se sentir mieux entouré - ces conditions participent du bien-être du patient et facilitent la réadaptation C est une prise en charge de qualité. 2
4 - c est souvent la structure la mieux adaptée pour certains types de soins, les oins d accompagnement (dépendance et fin de vie) et de réhabilitation (postchirurgical, notamment en cardiologie, dépendance respiratoire) - le suivi médical est très important, avec un médecin coordonnateur disponible 24h/24. - Tous les acteurs, médicaux, paramédicaux, sociaux, sont associés pour une prise en charge globale du patient. C est une prise en charge favorisant la sécurité du patient. - le médecin prescripteur de l HAD établit un protocole de soins à destination du médecin coordonnateur - ce protocole constitue une base du DMP du patient. Je veux souligner l avance prise en matière de suivi du parcours de soins par la FNEHAD. B/ Pour l assurance maladie, c est un mode de prise en charge plus flexible et moins coûteux. La DHOS a lancé en novembre dernier une étude précise des coûts de l HAD, en comparaison des coûts de soins de suite ou de réadaptation. Confiée à l IRDES (Institut de recherche et de documentation en économie de la santé), cette étude nous permettra, avant la fin du 1 er semestre 2006, d avoir des données précises sur les avantages de ce mode de prise en charge. L estimation couramment admise est qu une hospitalisation coûte moins cher à domicile. L explication en est simple : l HAD offre plus de souplesse et de flexibilité, c est une structure plus légère, qui ne nécessite pas d investissement immobilier. Sans compter que la réadaptation du patient est souvent plus rapide, ce qui entraîne moins de frais. Je veux aussi aborder la question des places. Aujourd hui, l ouverture d une place d HAD n est plus conditionnée à la fermeture d une place en milieu hospitalier. Cela permet le développement de ce mode de prise en charge original, qui ne correspond pas aux mêmes besoins. Cependant, il est normal que l essor de l HAD aboutisse aussi à une réorganisation de l offre de soins à l hôpital. III/ Ces avantages expliquent notre volonté partagée d aller plus loin, en avançant sur deux axes, d une part la continuité des soins, et d autre part la promotion d une culture d hospitalisation à domicile française. A/ Face à de nouveaux enjeux de santé, notre système de santé doit proposer une palette étendue de modes de prise en charge. La prise en charge de la dépendance constitue l un des horizons marquants de notre système de santé. Je suis convaincu du rôle de proximité que peut jouer l HAD dans ce domaine. Pour cela, nous devons veiller, et je sais, Monsieur le Président, que c est là votre souhait, à ce que l HAD s inscrive dans une démarche de continuité des soins et de prise en charge graduée et décloisonnée. De fait, l hospitalisation à domicile renforce les relations entre l hôpital et la ville et permet de décloisonner les différents secteurs qui composent notre système de santé que ce soit le social, le médico-social ou le sanitaire. Cette meilleure coopération doit aller de pair avec une meilleure définition de leurs champs de compétences : 3
5 - c est pourquoi un groupe de travail a été chargé de clarifier les champs d intervention respectifs de l hospitalisation à domicile et des services de soins infirmiers à domicile. B/ Pour que la prise en charge à domicile s intègre totalement dans notre système de soins, nous devons promouvoir ensemble la mise en place d une culture de l'hospitalisation à domicile. Celle-ci se définit tout simplement par la confiance que tous les acteurs de santé et les patients doivent avoir dans ce mode de prise en charge. - Les praticiens hospitaliers, les médecins libéraux ainsi que dans certains cas les malades hésitent encore à avoir recours à ce type de structure. - Pourtant, ce manque de confiance paraît infondé, d autant plus que les obstacles institutionnels ont été levés. Comme je le rappelais, l hospitalisation à domicile permet une prise en charge globalisée et personnalisée, dans le respect des exigences de qualité des soins et de sécurité du patient. - Le manque de connaissance de cette alternative à l hospitalisation cumulée à une conception d'un système de santé orientée sur des structures fixes sont les obstacles auxquels nous devons faire face aujourd hui ensemble. - Je suis certain que le travail que nous menons pour mieux définir ce que vous appelez, Monsieur le Président, l HAD à la française, y contribuera. &&& Je suis persuadé que l hospitalisation à domicile rentrera pleinement dans les pratiques des acteurs de santé, et, grâce notamment aux réformes que nous avons engagées, continuera à se développer. C est là l intérêt de tous, au vu de la qualité, de la sécurité et de la proximité que ce mode de prise en charge apporte au patient. Comme vous le savez, mon entier soutien vous est acquis, et vous pouvez compter sur l appui du ministère, en particulier sur celui de la DHOS, pour apporter des solutions aux difficultés que vous rencontreriez. Je me félicite de la façon dont nous travaillons ensemble, et je veux vous redire que je suis persuadé que les efforts constants que nous déployons en faveur de l HAD ont un sens, tant pour le patient que pour l assurance maladie. Je tiens à vous renouveler mes remerciements pour l investissement qui est le vôtre chaque jour au service des patients. 4
Intervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire
1 Intervention de Marisol TOURAINE Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Maison de Santé Pluridisciplinaire Magny-en-Vexin Vendredi 20 février 2015 Seul le prononcé fait
Plus en détail1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!
Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure
Plus en détail«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»
39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailVotre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française
Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Prévenir - Soigner - Accompagner Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires Qui est la Mutualité Française?
Plus en détailP atients S anté T erritoires
H ôpital P atients S anté T erritoires L exercice regroupé dans les services de santé Une action coordonnée des professionnels en faveur des patients De plus en plus de professionnels de santé ont depuis
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailRÉPUBLIQUE FRANÇAISE. MINISTÈRE DE l'emploi ET DE LA SOLIDARITE. Paris, le
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE l'emploi ET DE LA SOLIDARITE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Sous-direction des professions paramédicales Et des personnels hospitaliers
Plus en détailHonorables invités, Mesdames et Messieurs,
Discours du Gouverneur de la Banque Centrale des Comores à l occasion de la cérémonie officielle de lancement de la nouvelle pièce de 250 FC Palais du Peuple, le 02 janvier 2014 - Excellence Monsieur le
Plus en détailContact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL,
Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL, nathalie.perpinial@fehap.fr, 06 74 72 73 78 SOMMAIRE Pourquoi la FEHAP intervientelle
Plus en détailLE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1
LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»
Plus en détailMaison ou un Pôle de santé
Les 4 points clés pour créer une Maison ou un Pôle de santé pluri-professionnel De nouveaux modes d exercice coordonné et regroupé : L exercice médical dans les villes et dans les campagnes est aujourd
Plus en détail26 et 27 mai 2015. Discours de clôture de la Présidente du Conseil Général
26 et 27 mai 2015 Discours de clôture de la Présidente du Conseil Général Mesdames, Messieurs, Lors de mes propos introductifs à ces débats, je vous ai dit que le développement social, comme le développement
Plus en détailDiscours à la communauté d affaires française Montréal, 6 février 2014 Résidence du Consul général
Discours à la communauté d affaires française Montréal, 6 février 2014 Résidence du Consul général Version du 30-01 08h30 Monsieur l Ambassadeur, Monsieur le Consul général, Madame la Conseillère, Chers
Plus en détailIndicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé
Programme «Maladie» 47 Indicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé Sous-indicateur n 13-1 : Évolution des effectifs (en équivalent temps plein) de
Plus en détailsociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)
Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailAide à l installation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires en zones médicalement sous équipées
Pôle Culture, Sport, Santé, Associations Secteur Santé Aide à l installation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires en zones médicalement sous équipées Nom du demandeur: Intitulé du projet : Contact
Plus en détailSecrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles
République Islamique de Mauritanie Honneur Fraternité - Justice Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles Communication de Madame la Secrétaire d Etat Fatimetou Mint
Plus en détailTERRITOIRES ET SANTE
TERRITOIRES ET SANTE UNE REPONSE A L EVOLUTION DE LA DEMOGRAPHIE DES PROFESSIONNELS DE SANTE ET A L AMELIORATION DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE : LES MAISONS DE SANTE PLURIDISCIPLINAIRES GUIDE DE MISE
Plus en détaild intervention prioritaires de l Etat et les modalités de cette intervention.
DSAS/Avant-projet du 28.02.2014 Loi du... sur les seniors (LSen) Le Grand Conseil du canton de Fribourg Vu la Constitution du canton de Fribourg du 16 mai 2004 (Cst. cant.), notamment ses articles 35 et
Plus en détailCahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier
DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit
Plus en détailSeul le prononcé fait foi. Monsieur le Président de la Mutualité française, cher Etienne CANIARD,
1 Intervention de Marisol Touraine Ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes Congrès de la Mutualité Française Nantes Jeudi 11 juin 2015 Monsieur le Président de la Mutualité
Plus en détailRéférentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010
Référentiel métier de Directeur(trice) des soins Ce référentiel intègre à la fois le métier Directeur(trice) des soins en établissement et celui de Directeur(trice) des soins en institut de formation paramédicale.
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS Ordonnance n o 2010-18 du 7 janvier 2010 portant création d une agence nationale chargée de la sécurité sanitaire de l
Plus en détailUN NOUVEAU MODÈLE ÉCONOMIQUE. pour développer et pérenniser les centres de santé
UN NOUVEAU MODÈLE ÉCONOMIQUE pour développer et pérenniser les centres de santé LES SOINS DE PREMIERS RECOURS CARACTÉRISTIQUES ET RÔLE DES CENTRES DE SANTÉ Les différentes formes d exercice médical regroupé
Plus en détail2.1 - Améliorer l offre de soins sur le Pays
Module 2 : Services à la population 2.1 - Améliorer l offre de soins sur le Pays réservée : 400 000 OBJECTIFS STRATÉGIQUES - Développer les solidarités locales et l'accessibilité de tous aux services (Axe
Plus en détailMINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE
MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE Direction générale de l offre de soins Sous-direction de la régulation Bureau R4 Dossier suivi par Denise Bauer Tél. : 01 40 56 52 78 Mel. : denise.bauer@sante.gouv.fr
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ. Organisation
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ _ Direction générale de l offre de soins _ Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de soins _ Bureau des coopérations et contractualisations
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailCHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)
CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag
Plus en détailPandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu
Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière
Plus en détailDiscours de Marylise LEBRANCHU. Echanges avec les étudiants du master collectivités locales de. l Université de Corse, à Corte en Haute-Corse
Discours de Marylise LEBRANCHU Echanges avec les étudiants du master collectivités locales de l Université de Corse, à Corte en Haute-Corse Jeudi 17 octobre 2013 Je suis heureuse de pouvoir commencer,
Plus en détailSDRSIS Systèmes d information en santé
SDRSIS Systèmes d information en santé SCHÉMA DIRECTEUR RÉGIONAL DES SYSTÈMES D INFORMATION EN SANTÉ SDRSIS Systèmes d information en santé Introduction...4 La démarche...5 Le contexte des Systèmes d
Plus en détailAvis relatif au projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014
Paris, le 12 juin 2014 Avis relatif au projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014 Délibération n CONS. 13 12 juin 2014 Projet de loi de financement rectificative de la
Plus en détailLa Mutualité. Française. Rhône. dans le. Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire
La Mutualité Française Rhône dans le Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire Des valeurs qui font la différence Edito La Mutualité Française Responsabilité CHACUN
Plus en détailForum Paris Europlace. Intervention de Michel SAPIN, ministre des Finances et des Comptes publics. Pavillon d Armenonville. Mercredi 9 juillet 2014
MICHEL SAPIN MINISTRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Forum Paris Europlace Intervention de Michel SAPIN, ministre des Finances et des Comptes publics Pavillon d Armenonville Mercredi 9 juillet 2014
Plus en détail«seul le prononcé fait foi»
«seul le prononcé fait foi» Discours à l occasion de la réunion du Pacte de Responsabilité et de Solidarité Lundi 26 mai 2014 Lesparre-Médoc Mesdames et Messieurs les Parlementaires Mesdames et Messieurs
Plus en détailRéforme du Code des assurances :
Réforme du Code des assurances : orienter l épargne des Français vers les entreprises Pierre Moscovici, ministre de l économie et des finances «Une des priorités de mon action est de réconcilier l épargne
Plus en détailM. Jean-Yves Le Drian, Ministre de la défense. Discours pour les vingt ans du lancement du satellite Hélios IA
MINISTÈRE DE LA DÉFENSE M. Jean-Yves Le Drian, Ministre de la défense Discours pour les vingt ans du lancement du satellite Hélios IA A Toulouse, le 9 juillet 2015 Seul le prononcé fait foi Page 1 sur
Plus en détailDernière mise à jour le 11/09/15 1
Libellé de l UE Libellé de l EC CM Résumés Intervenants SEMESTRE 3 UE 1 : Les politiques publiques sociales (6c) Politiques sociales (3c) Evaluation des politiques publiques des secteurs 18 h Par ce cours,
Plus en détailEOVI MANAGER À CHACUN SA PARTITION À CHACUN SES SOLUTIONS
EOVI MANAGER À CHACUN SA PARTITION À CHACUN SES SOLUTIONS SANTÉ PRÉVOYANCE ÉPARGNE RETRAITE la qui renouvelle la mutuelle Dirigeants et salariés de petites structures... Vous êtes déjà nombreux à nous
Plus en détail«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»
DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de
Plus en détailAboutissement d un long processus de maturation
Les agences régionales de santé : missions et organisation Mises en place le 1 er avril 2010, les agences régionales de santé ont décloisonné les différents secteurs de la santé (hôpital, prévention, ambulatoire,
Plus en détailDIRECTION GENERALE DE LA COHESION SOCIALE
DIRECTION GENERALE DE LA COHESION SOCIALE RAPPORT RELATIF AUX AGREMENTS DES CONVENTIONS ET ACCORDS APPLICABLES AUX SALARIES DES ETABLISSEMENTS SOCIAUX ET MEDICO-SOCIAUX PRIVES A BUT NON LUCRATIF POUR 2010
Plus en détailADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification
Plus en détailIntérêts de l outil PAACO
12 février 2014 Colloque TIC Santé Intérêts de l outil PAACO Association «Gaves et Bidouze» - Plateforme de coordination CLIC, Réseau Gérontologique, MAIA L outil PAACO Objectifs : pourquoi cet outil dans
Plus en détail...... en quelques mots 1
... en quelques mots 1 Un nouveau Projet d'entreprise pourquoi faire? Le Projet d'entreprise 2006-2009 a porté l ambition de faire de l Assurance Maladie un assureur solidaire en santé reconnu en tant
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailUN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE
UN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE 5 objectifs, 20 recommandations, 45 mesures pour atténuer l impact du choc démographique gériatrique sur le fonctionnement des hôpitaux dans les 15 ans à venir Rapport rédigé
Plus en détailLe fonds d amorçage 2013-2014 et 2014-2015
Lundi Mardi Mercredi Jeudi Le fonds d amorçage 2013-2014 et 2014-2015 ADDITIF AU GUIDE PRATIQUE SUR LES NOUVEAUX RYTHMES À L ÉCOLE PRIMAIRE Vendredi GUIDE PRATIQUE LES NOUVEAUX RYTHMES À L ÉCOLE PRIMAIRE
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS PROTECTION SOCIALE
PROTECTION SOCIALE ASSURANCE MALADIE, MATERNITÉ, DÉCÈS MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative
Ministère de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Sous-direction qualité et fonctionnement des établissements de santé
Plus en détailDECRET N 2014-288. fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère.
MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE ------------- DECRET N 2014-288 fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère. LE PREMIER MINISTRE, CHEF
Plus en détailParis mardi 28 février 2012
VALERIE PECRESSE MINISTRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS ET DE LA REFORME DE L ETAT PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT www.budget.gouv.fr Discours de Valérie PECRESSE, ministre du Budget, des Comptes publics
Plus en détailJe m adresse à vous comme socialiste, comme parlementaire et comme Président du Conseil général de la Seine-Saint-Denis.
Audition Commission sur la réforme territoriale Intervention de M. Claude Bartolone Jeudi 15 janvier 2009 Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres de la Commission, Mesdames et Messieurs,
Plus en détail(Cotonou, le 18 Juillet 2013)
République du Bénin ************** Ministère de l Enseignement Secondaire, de la Formation Technique et Professionnelle, de la Reconversion et de l Insertion des Jeunes (MESFTPRIJ) **************** Ministère
Plus en détailles télésoins à domicile
Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans
Plus en détailMASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ
MASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ Résumé de la formation Type de diplôme : MASTER 2 Domaine ministériel : Santé Présentation Les parcours du Master Management du social et de la santé s'efforcent
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailSADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)
SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation
Plus en détailAssemblée publique annuelle 2011 3 novembre 2011 Trois-Rivières, QC. allocutions de
1 Assemblée publique annuelle 2011 3 novembre 2011 Trois-Rivières, QC allocutions de Bryan P. Davies Président du conseil d administration Société d assurance-dépôts du Canada et Michèle Bourque Présidente
Plus en détailStratégie de déploiement
Messageries Sécurisées de Santé (MSSanté) Mars 2014 Page 1 La présente note vise à éclairer la démarche de mise en place d un système de messageries sécurisées de santé en concertation avec l ensemble
Plus en détailPrésenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget
Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%
Plus en détailDISCOURS INTRODUCTIF
Délégation Générale Cabinet DISCOURS INTRODUCTIF Congrès de l Echelle Nationale des Coûts Bordeaux 7 novembre 2013 Thématique : T2A, ENCC et coopérations : quelles interactions? Madame l ajointe au Maire,
Plus en détailIntervention de Marisol Touraine. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
1 Intervention de Marisol Touraine Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Conseil d administration du régime social des indépendants Jeudi 25 juin 2015 Monsieur le Ministre,
Plus en détailPrévention et gestion des risques hospitaliers et politique nationale
Prévention et gestion des risques hospitaliers et politique nationale La hiérarchisation des risques, une aide à la décision 2 ème congrès de l Afgris 16 et 17 octobre 2003 Direction de l Hospitalisation
Plus en détailMEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE
MEMORANDUM MEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE Novembre 2013 1. CONTEXTE DU MEMORANDUM Le Sénégal, à l image des pays de la
Plus en détailPosition de l ADI sur le projet de loi Pinel relatif à l artisanat, au commerce et aux très petites entreprises
Position de l ADI sur le projet de loi Pinel relatif à l artisanat, au commerce et aux très petites entreprises A l occasion de l examen du projet de loi Pinel sur l artisanat, le commerce et les très
Plus en détailL assurance soins de santé en Belgique : une introduction. Thomas Rousseau 12 juin 2014
L assurance soins de santé en Belgique : une introduction Thomas Rousseau 12 juin 2014 Introduction L assurance maladie obligatoire L assurance soins de santé L assurance indemnités (maladie, accident,
Plus en détailCours de Santé Publique octobre 2008
Cours de Santé Publique octobre 2008 Professeur Hélène Sancho Garnier Dr Kéla Djoufelkit EPIDAURE 1. Principes d une démarche d assurance qualité et évaluation des pratiques professionnelles. 2. Organisation
Plus en détailCONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions
PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE Service de presse Paris, le 11 décembre 2014 CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP Relevé des conclusions A l occasion de la Conférence nationale du handicap du 11 décembre 2014,
Plus en détailDISCOURS de Sylvia PINEL. VIème congrès de l Union des syndicats de l immobilier (UNIS)
Cabinet de la Ministre du Logement, de l Egalité des territoires et de la Ruralité Paris, le jeudi 9 octobre 2014 Seul le prononcé fait foi DISCOURS de Sylvia PINEL VIème congrès de l Union des syndicats
Plus en détailLépine Providence DOSSIER DE PRESSE
Lépine Providence L E S E N S D E L A V I E DOSSIER DE PRESSE Réunir & innover au service des personnes âgées Depuis 2010, la Ville de Versailles est titulaire du label Bien vieillir. Véritable récompense
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE NOUVELLES GARANTIES PRÉVOYANCE
DOSSIER DE PRESSE NOUVELLES GARANTIES PRÉVOYANCE Protection ACCIDENT Protection HOSPI Capital ÉQUIPEMENT HANDICAP / DÉPENDANCE Contact presse : Stéphanie ARREGROS Responsable Communication Tél. : 01 64
Plus en détailCirculaire relative à la négociation dans la fonction publique NOR : BCRF1109888C
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l Etat Circulaire relative à la négociation dans la fonction publique NOR : BCRF1109888C Le 22
Plus en détailCOLLOQUE ARY BORDES. Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant. Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011
COLLOQUE ARY BORDES Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011 Faculté des sciences infirmières Faculté des sciences infirmières
Plus en détailLe point sur la couverture du risque maladie au Niger
REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA LUTTE CONTRE LES ENDEMIES Le point sur la couverture du risque maladie au Niger I PLACE ACTUELLE DE L ASSURANCE MALADIE 1. Recensement des dispositions
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE 10 mai 2011. 5 mutuelles créent le groupe Istya, premier groupe mutualiste français de protection sociale complémentaire
5 mutuelles créent le groupe Istya, premier groupe mutualiste français de protection sociale complémentaire Le 6 mai 2011, le groupe MGEN, le groupe MNH, la MNT, la MGET et la MAEE se sont réunis en assemblée
Plus en détailPARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale
Indicateur n 9 : Consommation de soins par habitant Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Le nombre moyen de consultations médicales par habitant
Plus en détailET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012
DIRECTION DES AFFAIRES INSTITUTIONNELLES ET DE LA STRATEGIE Note de Synthèse CAMPAGNE TARIFAIRE 2012 : ENVELOPPE MIGAC Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 Diffusion: Vos contacts
Plus en détailCe guide se veut évolutif et dynamique. Actualisé mensuellement, il recueillera les appels à projets qui Il est votre outil et notre lien.
Mesdames et Messieurs, Le P total) afin de relever le défi de la compétitivité et de faire émerger un nouveau modèle de croissance, en finançant des projets innovants et exemplaires, rigoureusement sélectionnés.
Plus en détailLa protection sociale obligatoire et complémentaire au cœur de notre bataille!
La protection sociale obligatoire et complémentaire au cœur de notre bataille! La protection sociale est un terme générique qui recouvre, la Sécurité Sociale (régime général obligatoire solidaire, géré
Plus en détailLOI N 2006-01 portant Code des Postes
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi LOI N 2006-01 portant Code des Postes EXPOSE DES MOTIFS Le secteur postal connaît actuellement des mutations liées notamment aux avancées technologiques,
Plus en détail2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé
Atelier n 11 Monter un parcours de soins sur une approche territoriale ciblée 2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Françoise ELLIEN,
Plus en détailAméliorer la coordination des soins : comment faire évoluer les réseaux de santé?
Guide méthodologique Améliorer la coordination des soins : comment faire évoluer les réseaux de santé? Octobre 2012 Direction générale de l offre de soins Sommaire Synthèse... 2 Introduction... 3 Partie
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détailGarth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie)
Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie) Commentaire du film d introduction de l intervention de Garth Larcen et son fils Max, entrepreneur aux U.S.A. Garth Larcen
Plus en détail3. Un crédit à la consommation responsable
3. Un crédit à la consommation responsable Comité consultatif du secteur financier Rapport 2009-2010 49 Au cours de l exercice 2009-2010, le CCSF a suivi de près l évolution du texte de loi sur la réforme
Plus en détailProjet de loi n o 20
Loi édictant la Loi favorisant l accès aux services de médecine de famille et de médecine spécialisée et modifiant diverses dispositions législatives en matière de procréation assistée Mémoire présenté
Plus en détailEOVI ENTREPRENEUR Des solutions pour ne plus jouer
EOVI ENTREPRENEUR Des solutions pour ne plus jouer en SOLO SANTÉ PRÉVOYANCE ÉPARGNE RETRAITE dépendance la qui renouvelle la mutuelle ARTISANS, COMMerçANTS, professions LIBÉRAles, INDÉPENDANTS... Vous
Plus en détailL'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer
Inspection générale des affaires sociales RM2014-090R Inspection générale de l administration N 14-122/14-077/01 L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer SYNTHESE Établie par Michel
Plus en détailLes équivalences entre diplômes sanitaires et sociaux
Les équivalences entre diplômes sanitaires et sociaux BEP Accompagnement, Soins et Services à la Personne (ASSP) BEP Carrières sanitaires et sociales BEPA Services aux personnes CAP Assistant technique
Plus en détailRéception de Montréal Secteur des valeurs mobilières. Discours d ouverture
Réception de Montréal Secteur des valeurs mobilières Discours d ouverture Andrew J. Kriegler Président et chef de la direction Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières 25
Plus en détailC est la rentrée! n 4. Toujours plus d infos sur http://www.cfecgc-santesocial.fr
C est la rentrée! n 4 Toujours plus d infos sur http://www.cfecgc-santesocial.fr 1- Le Mag Santé-Social - 4ème trimestre 2014 L édito Lors du QUE VIVE LE DIALOGUE SOCIAL Dans son discours à l Assemblée
Plus en détailLes différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire
Les différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire E.H.P.A.D E.H.P.A.D (Etablissement d hébergement pour personnes agées dépendantes) Un
Plus en détail