Lors des JIB 2007, Roche a choisi
|
|
- Pierre-Louis Patel
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PLATEAUX TECHNIQUES automatisés Une vraie philosophie d organisation, concrète et évolutive À Brest, la trilogie MPL.net, Modular Pre-Analytics et a apporté une nouvelle dimension en matière d intégration et d organisation du travail dans un réseau de quatre laboratoires. Dr Pierre-André Scavinner, codirecteur de la SELARL Glgow; Brest, France. Réseau de laboratoires privés, quatre sites, 1 million de résultats par an. Lors des JIB 2007, Roche a choisi de présenter des organisations fonctionnelles de laboratoires ou de plateaux techniques dans des structures de laboratoires, mettant en œuvre l ensemble des systèmes à la disposition des biologistes pour répondre à ses besoins de traçabilité, productivité, qualité et évolutivité dans le contexte de la biologie française. À partir des gammes Modular (Pre-Analytics et «ligne sérum»), 0 (ligne sérum) et HST (hématologie et VS) ainsi que du logiciel MPL.net, Roche a su développer des solutions efficientes, en partenariat avec des biologistes, dans toute la France. Un décryptage de quelques-unes de ces expériences s avère nécessaire pour mieux comprendre les apports rationnels de ces choix d organisations. L automatisation diminue le risque d erreurs Pour le Dr Pierre-André Scavinner, codirecteur de la SELARL Glgow un groupe constitué de quatre laboratoires privés situé à Brest (29), les nouveaux systèmes représentent bien plus qu une simple automatisation du process d analyse. Un premier analyseur a été installé, en combinaison avec le système Modular Pre-Analytics (MPA), dans le laboratoire principal de la société, à la clinique de Keraudren, et un deuxième dans le laboratoire du Moulin-à-Poudre. En liaison avec tous les laboratoires de la structure implantés autour de Brest par le biais du logiciel MPL.net, la nouvelle plate-forme ainsi connectée permet de réduire au minimum les risques d erreurs. Chaque laboratoire est spécialisé dans un domaine spécifique, comme la bactériologie ou l allergie. Les prélèvements sanguins qui nécessitent d être testés dans différents laboratoires sont échantillonnés puis délivrés au site pertinent. suite page 10
2 Christophe Baillet, Atoutbio, Nancy (54) Plateau technique automatisé «ligne sérum» avec un Modular Pre-Analytics Std B connecté à deux <ce> en parallèle (prochainement, le premier <ce> en ligne évoluera en <cee>). Quel impact a eu le MPA en termes de fluidité dans votre organisation? Nous réalisons en moyenne dossiers par jour sur notre plateau technique, avec un pic d activité important entre 10 heures et 11 heures. Le MPA est équipé de deux modules de centrifugation soit 2 fois 8 racks de 5 tubes. On aurait pu penser que, sur une chaîne préanalytique, la centrifugation serait forcément un goulot d étranglement, mais, dans la réalité, il n en est rien. En effet, dans une organisation manuelle, les centrifugeuses sont souvent à l écart pour une question de confort sonore, et les phes de chargement et de déchargement ne sont p forcément idéales ; d autres tâches retardent souvent les techniciens durant ces phes de traitement. Dans une chaîne automatisée, l étape de centrifugation est optimisée, et dès l arrêt de la centrifugeuse, les tubes déjà en rack suivent le processus sans perte de temps aléatoire. C est une gestion étape par étape parfaitement calibrée et qui ne peut être obtenue que par l intégration dans une chaîne automatisée. Le délai entre le dépôt du tube sur le MPA et la sortie des résultats pour un bilan «mixte» (chimie clinique et immunoanalyse) est ainsi optimisé : de 35 à 40 minutes minimum à un maximum d une heure en c de fortes charges. En conclusion, selon notre expérience, il n y a aucune inquiétude à avoir sur ce point, bien au contraire. Dans l organisation du travail, la centrifugation intégrée et automatisée représente un plus. Dans votre organisation, tous les tubes qui arrivent sur le plateau technique sont munis de codes-barres mais ne sont p forcément déjà saisis dans le système informatique. Comment cela se pse-t-il au niveau du MPA? En effet, cela pourrait constituer un handicap si le MPA n acceptait que les tubes déjà enregistrés dans le système informatique du laboratoire. Mais un nouveau paramétrage du MPL permet de mettre tous les tubes sur le MPA, qu ils aient été saisis ou non. Tous seront centrifugés. Seuls les tubes qui n auront p été saisis sortiront en bout de chaîne, alors que les autres suivront le processus préanalytique et analytique normal. Les tubes non saisis ne représentent p plus de 8 % des tubes centrifugés, même au moment des pics d activité. Une fois saisis informatiquement, ils sont replacés au début de la chaîne et traités rapidement en sautant l étape de centrifugation, déjà effectuée. Dans notre organisation, la souplesse que le MPL confère au MPA est un facteur de fluidité important. En réduisant au minimum la durée du pré-tri manuel, nous limitons les temps de «rupture» et accélérons de fait le processus. Quels avantages voyez-vous à travailler sur des tubes secondaires pour les paramètres non techniqués sur les en ligne? En réalisant systématiquement des aliquots en godets pour les tests en ligne et des tubes secondaires, étiquetés et munis de codes-barres, sur le MPA pour les analyses «off-line», la chaîne libère très rapidement le tube primaire et le clse directement pour le sérothéquage annuel (virologie, hormonologie) ou hebdomadaire. Cette philosophie du système nous a permis d opter pour un tube unique de prélèvement (tube sec de 7 ml avec séparateur), à l exception des urgences (USIC, réanimation ), qui sont prélevées sur des tubes héparinés (à bouchon vert) et ainsi facilement reconnus. De plus, le tube primaire est immédiatement disponible, sa position est connue et tracée sur le portoir à sérothéquer La sérothèque,est automatisée avec l avantage de pouvoir à tout moment retrouver très facilement un tube via le MPL. C est un excellent outil de traçabilité. En parallèle, les tubes secondaires nécessaires pour les systèmes «off-line» n ont p d autre fonction que de permettre la réalisation d analyses complémentaires. Ils peuvent ensuite être éliminés sans se poser de questions, ce qui ne serait p le c si le tube primaire était utilisé. B i o P a r i s O u e s t Dr Fabrice Thom, Bio Paris Ouest (92) Le plateau technique automatisé est composé d un Modular Pre-Analytics Std B connecté à deux Modular Analytics un PP (chimie clinique) et un PE (ligne sérum), et d une chaîne Sysmex HST 302 (hématologie) + InterRRliner (VS). Les tests de coagulation et d immunohématologie sont aussi réalisés sur ce plateau. Vous disposez d une «ligne sérum» complète et d une «ligne sang total» sur le plateau technique. En quoi cette complémentarité est-elle un facteur d efficacité pour vous? Grâce au regroupement en «ligne» de ces deux activités majeures, nous optimisons le flux des prélèvements dans la salle technique. Le chargement des automates est centralisé pour chaque ligne. En chimie et immunologie cliniques, deux automates Modular (un PP et un PE) sont alimentés par un MPA ; nous pouvons ainsi nous affranchir de toutes les phes manuelles de centrifugation, de débouchage, d aliquotage, de rebouchage et de tri. En hématologie, la chaîne se compose de deux XE (NG/NFS), d un SP 1 000i (étaleur-colorateur) et d un InteRRliner (VS). La mise en ligne des deux XE est un gage d efficacité par rapport à l utilisation de deux XE en miroir non intégrés, car elle permet d automatiser la gestion et le dispatching des tubes sur ces deux systèmes. Ces lignes permettent de canaliser les flux de prélèvements et, grâce à l implantation géographique choisie, d acheminer les échantillons soit vers les zones de stockage, soit vers les zones de destruction, ce qui contribue à la «marche en avant» des prélèvements. Enfin, les qualités intrinsèques des chaînes et des systèmes analytiques, qui standardisent les temps de disponibilité des résultats, concourent également à l efficience du plateau technique. Comment traitez-vous l urgence avec un tel système? Différents niveaux d urgence ont été individualisés dans leur traitement. Les urgences non critiques sont traitées automatiquement sur les chaînes MPA ou HST. Quel que soit le chargement de la machine, les tubes urgents sont placés prioritairement sur un rack, ce qui optimise le temps de disponibilité du résultat. Les urgences critiques nécessitent un traitement manuel des prélèvements : en chimie : centrifugation manuelle et psage direct sur les Modular Analytics ; en hématologie : psage direct sur le XE Ces urgences critiques représentent moins de 1 % de notre activité. Leur prise en charge est optimisée grâce au temps dégagé par l automatisation de l organisation en chaîne.
3 10 Avec l organisation précédente, tout se faisait manuellement, y compris la vérification des feuilles de paillse visant à s surer que les prélèvements avaient été correctement traités et testés, tâche qui prenait une heure par jour dans chaque laboratoire. À présent, l intégralité du processus est prise en charge par la chaîne préanalytique MPA et le logiciel MPL.net, éliminant ainsi le recours à une vérification manuelle. Les systèmes de chaque laboratoire savent exactement quels prélèvements ils attendent et quels sont les dosages à effectuer. Les résultats sont ensuite centralisés pour validation et disponibles pour les laboratoires «émetteurs». Améliorer la validation et la traçabilité par une meilleure intégration Le fait de transférer des échantillons d un laboratoire à l autre renforce l importance que revêt une bonne traçabilité. Avec l ancienne organisation, les échantillons pouvaient arriver non renseignés au Écran de validation MPL.net. Avec le nouveau système, grâce auquel les résultats sont automatiquement validés, les techniciens peuvent se concentrer sur les résultats qui requièrent une plus grande attention. laboratoire, ce qui générait une situation stressante et une grande perte de temps pour le personnel, à la recherche de l échantillon manquant. «Cela ne se produit p tous les jours, mais lorsque c est le c, le nouveau système nous fait gagner beaucoup de temps», ajoute le Dr Scavinner. L automatisation présente d autres avantages. Le MPA, en surant la centrifugation, le débouchage des tubes, l aliquotage des godets pour les analyses en ligne et la création de tubes secondaires pour des analyses externes, ainsi que le rebouchage des tubes primaires et le tri, a remplacé un processus qui était entièrement manuel. De plus, le MPA alimente non seulement le pour la chimie clinique et l immunologie, mais également un système de coagulation Stago (STA- R). Il réalise aussi l échantillonnage à partir du tube primaire pour les autres analyseurs du laboratoire. Par la centralisation de toutes les données, on peut mesurer des indicateurs clés de performance, comme le délai d exécution d analyses spécifiques, et les comparer entre laboratoires, ce qui facilite l identification des «points durs» et permet d améliorer les performances. Une fois les dosages réalisés, le logiciel MPL.net prend en charge la validation biotechnique. Alors qu il fallait auparavant vérifier manuellement tous les résultats, à présent, seuls les résultats sortant des limites prédéfinies nécessitent une validation par le biologiste. L objectif du Dr Scavinner est d atteindre, par un bon paramétrage, une validation automatique de deux tiers des bilans. Avec seulement un tiers des essais à valider, les techniciens et les biologistes ont davantage de temps pour se concentrer sur les résultats qui requièrent une plus grande attention ; le nombre de c susceptibles de «pser à travers les mailles du filet» s en trouve ainsi réduit. Le système de validation complet offre un autre avantage : il permet l exploitation autonome du système en toute confiance, en accordant aux opérateurs la possibilité de se concentrer sur d autres tâches un point particulièrement important pour les gardes de nuit et de week-end, lorsque l effectif est réduit. Accréditation et évolutivité Pour une structure de laboratoires privés telle que la SELARL Glgow, l accréditation est un objectif essentiel pour obtenir l entière confiance des prescripteurs et des structures de soins. Dans ce cadre, la mise en place de cette nouvelle organisation MPA, 0 et MPL.net est un facteur évident de traçabilité et de garantie du respect des procédures. En cela, elle simplifie le travail nécessaire à l obtention et au renouvellement de ces accréditations. En s appuyant sur ce trio fonctionnel, les laboratoires sont à présent en mesure d absorber une croissance future sans avoir à renforcer leurs effectifs. Outre l augmentation d activité des laboratoires actuels de la SELARL, il est possible d envisager sereinement l intégration rapide et simple de nouveaux laboratoires au réseau au moyen de l ajout d un poste MPL.net utilisant les règles existantes. Dans ce contexte, le niveau avancé d automatisation du LABM représente un bénéfice très tangible en termes de développement. Il démontre l orientation et l implication du laboratoire pour le service. Avec plus de quatre mille laboratoires dans toute la France, c est un pect primordial si l on souhaite rester compétitif. Contact Roche Diagnostics : regis.buchaille@roche.com
4 11 Marie-Paule Bounaud, PH responsable de la RCP (réception centralisée des prélèvements) et chef du projet d automatisation Roche, et Michel Sorel, directeur référent des laboratoires ; CHU de Poitiers (86). Au CHU de Poitiers, la chaîne robotique Roche est composée d une chaîne Modular Pre-Analytics (MPA) couplée à deux chaînes analytiques Modular PPEE et Modular PPE. La chaîne préanalytique est configurée comme suit : un module «entrée des tubes», avec accueil de tous les tubes (sec, héparine-lithium, EDTA, citrate) ; un module «tri» (PSS), situé juste après le module d entrée, dont le rôle est de trier tous les tubes qui ne nécessitent p de traitement préanalytique (cytologie, HbA1c, folates intra-érythrocytaires, plaquettes sur citrate, biologie moléculaire ) ; deux modules «centrifugation», avec un seul process pour les deux : 10 min g (3 500 tr/min) 15 C ; process satisfaisant pour l ensemble des disciplines, y compris la coagulation de «routine» ; capacité de 240 tubes par heure sur chaque centrifugeuse (soit 480 tubes par heure) ; un module «débouchage» ; un module «aliquoteur» : une ligne d aliquotage «off-line» (aliquots en tubes), deux lignes d aliquotage «on-line», une ligne de biochimie et une ligne d immunoanalyse (aliquots en godets) ; un module «étiquetage» : étiquetage des aliquots «off-line» ; un module «rebouchage» ; deux modules «tri et archivage» (FSS) ; un module «sortie». Pour l hématologie, une chaîne HST-302 couplée à un InteRRliner automatise les numérations-formules, l étalement et la coloration des lames et la vitesse de sédimentation. termes de productivité du plateau technique automatisé. L automatisation de l étape de centrifugation a évité une rupture de charge en matière de flux liée à une intervention humaine. Le temps d attente entre la saisie de la prescription et la préanalyse est réduit au minimum quel que soit le moment de la journée, puisque les tubes sont chargés en continu sur l automate de préanalyse. Notre capacité à saisir des prescriptions dans le SIL pour les tubes à centrifuger est inférieure à la capacité de centrifugation des deux modules de centrifugation présents dans la chaîne. Aujourd hui, comment utilisez-vous le MPA? Le MPA reçoit et trie tous les tubes à destination de tous les laboratoires : cytologie, biochimie, toxicologie, pharmacocinétique ; immunoanalyse ; protéines et allergies ; immunologie ; sérologie infectieuse, etc. Grâce au PSS, il n y a p de pré-tri manuel des tubes lors de l enregistrement. Le MPA réalise les différentes tâches préanalytiques : centrifugation, aliquotage, étiquetage, rebouchage et tri des aliquots «off-line». Le MPA nous permet aussi d archiver les tubes primaires à partir desquels ont été réalisés les aliquots «on-line». Et en ce qui concerne l hématologie? Dans l avenir, nous espérons réaliser l automatisation complète de la ligne EDTA (grâce au système Expert Line) et de la ligne hémoste. Le but est ici de poursuivre l optimisation des flux et de la traçabilité des échantillons, de la saisie de la prescription au rendu de résultat, et ce quel que soit le secteur analytique. Dans les chaînes préanalytiques, la centrifugation est une étape souvent perçue comme limitante pour la productivité du plateau technique automatisé. Qu en est-il à Poitiers, notamment lors des pics d activité? Au total, 94 paramètres sont consolidés sur la chaîne, et la majorité d entre eux sont installés en «miroir». Les paramètres consolidés concernent les secteurs suivants : biochimie (45), immunoanalyse (25), toxicologie (21) et pharmacocinétique (3). Notre pic d activité se situe entre 9 heures et 10 heures. Nous accueillons de à tubes par jour sur la chaîne préanalytique. Depuis juin 2006, le pic est lissé du fait de l acheminement des prélèvements par pneumatique. De janvier à juin 2006, alors que le réseau pneumatique n était p encore fonctionnel, nous n avons rencontré aucune difficulté liée aux modules «centrifugation». Il existe en effet un système d optimisation du chargement des centrifugeuses au niveau du PSS. Dans notre expérience, les modules «centrifugation» ne constituent p une étape limitante en Où en êtes-vous par rapport à la prescription connectée? Quelles seront les prochaines étapes? La prescription connectée est le prochain grand «chantier» inscrit à notre projet d établissement En effet, la saisie informatique, par les prescripteurs eux-mêmes, des demandes d analyses accompagnées des renseignements nécessaires à leur exécution va considérablement améliorer le circuit demande-résultat. On peut escompter en particulier : une diminution du nombre d erreurs de saisie en évitant les transcriptions multiples ; une diminution du nombre de non-conformités par déficit de renseignements cliniques ; une plus grande rapidité de la prise en charge de l examen avec un acquittement à l arrivée des tubes directement sur le MPA ; un dépistage précoce et automatique des demandes redondantes ; une sistance à la prescription à la source (nature des tubes, nombre de tubes minimisé) ; une plus grande traçabilité du prélèvement au rendu de résultat. Notre projet d automatisation, maillon d une grande chaîne d événements, ne sera réellement abouti qu à la mise en place de la prescription connectée.
5 L ExpertLine c est quoi? C est mesurer, étaler, colorer (idem HST) 12 + Trier, archiver (TS-500) NOUVEAU Test reflex (ReturnLine) NOUVEAU Intégration complète des tâches analytiques et post-analytiques Sysmex HST Expert Line : solutions pour l intégration préanalytique Trieur TS-500 et ReturnLine complètede destubes tubes EDTA x 125 tubes dans Quinze ans 2 d expérience autour 2 portoirs mobiles pour du conceptarchivage de chaîne robotisée HST ont permis d intégrer Zone repse progressivement les différents Zonela pourpaillse VS et HbA1cd héprocessus de matologie (réalisation des NF, Zone pour autres tests (jusqu à 10) étalement, VS). Avec l HST Expert vides pour vers Line, c est Zone unede racks évolution transfert ou repse la prise en charge complète de l organisation de la ligne «sang total» au même titre que les solutions Modular EVO et 6 000, qui prennent en charge la «ligne sérum». ReturnLine D une cadence variant de 300 à 450 NF/h, la chaîne HST de Sysmex prend en charge la numération-formule, les réticulocytes, l étalement et la coloration, et optimise les processus en une seule station de validation tout en intégrant son propre backup. TS-500 La numération-formule ne représente p la totalité des analyses effectuées sur EDTA. D autres analyses sont effectuées sur ce type de tubes. La dernière évolution robotique, la chaîne Sysmex Expert Line, permet de prendre en charge l ensemble des tubes violets du laboratoire quelle que soit leur S P -1000i XE destination : numération-formule, VS, HbA1c, biologie moléculaire, etc. De plus, l HST Expert Line prend en charge les phes de tri, de repse et d archivage des tubes. Cela permet de créer une véritable plate-forme analytique «sang total» aux côtés de la plateforme «ligne sérum» (figure 1). L Expert Line est constituée d une chaîne HST, d un module de tri-archivage TS 500 et d une ligne de retour permettant d automatiser les tests complémentaires nécessaires (figure 2). Avec l Expert Line, l ensemble des tubes EDTA est chargé sans distinction sur des racks à dix positions. Les analyses d hématologie (NF, RET, étalement et coloration) ne nécessitant aucune phe de centrifugation, de débouchage ou d aliquotage, la disponibilité des tubes EDTA au niveau du trieur-archiveur TS 500 est de l ordre de douze minutes. Le TS 500 décharge alors l ensemble des tubes et effectue un tri en fonction des processus restant à réaliser. Les tubes ne nécessitant plus aucune analyse sont archivés sur des portoirs à 125 positions. Les tubes destinés à l HbA1c, à la VS et à la biologie moléculaire sont triés et stockés dans une zone spécifique du TS 500. Enfin, les tubes requérant une analyse complémentaire sont rechargés sur un rack et envoyés vers la ligne de retour. XE L ExpertLine peut s inscrire dans une démarche d automatisation totale Figure 1 Ligne de retour Contact Roche Diagnostics : laurent.viel@roche.com MODULAR PRE-ANALYTICS EVO L optimisation de vos processus Le nouveau MPA EVO (MODULAR PRE-ANALYTICS EVO) socie les caractéristiques et les bénéfices prouvés de MPA avec de nouvelles connexions et plus de fonctionnalités. Tous les systèmes MPA actuellement installés peuvent être mis à niveau et bénéficier de ces nouveautés. MPA EVO Modèle C avec 0 Centrifugation, débouchage et connexion à des 0 Fonctionne par convoyage des tubes primaires > 0 <ce e> 0 <c dèle MPA EVO C Mo MPA EVO Modèle B avec la série 0 et STA R Evolution Centrifugation, débouchage, aliquotage en ligne et pour cibles externes, étiquetage tubes secondaires avec code à barres personnalisé, tri/archivage et connexion aux 0 S P -1000i Connexion au STA R Evolution ce> 0 <c ee 00 <c > R on STA luti Evo s 60 XE ba IP U IP U co eb O dèl A EVO MP XE Mo Solution automatisant toutes les tâches pré- et post-analytiques comprenant aussi la production d aliquots en tubes secondaires avec code à barres pour analyses non connectées, ou externalisées. Préparation des racks de ré-analyse Archivage Tri pour les analyses spécialisées HbA1C, VS, Biomol, immunophénotypage, etc. de frottis et coloration des Num/NF/ RET/NRBC des Num/NF/ RET/NRBC Chargement des échatillons par racks de 10 Les XE-2100 sont back-up l'un de l'autre : aucune rupture de production R O C H E D I A G N O STI C S B I O N 77 - N OV E M B R E Figure 2 EV alytics) Pre-An odular ons d excellence MPA (M soluti ion de rat L intég Une documentation complète sur les solutions proposées par la gamme Modular PreAnalytics EVO est disponible sur simple demande à l adresse florence.bony@roche.com
TECHNOLOGIE APPLIQUÉE. Expérience. KEYWORDS Lab automation, consolidation, integration, clinical chemistry, immunoassay
Ronan TALEC*, Daniel BOUIGE** Expérience d automation et de consolidation en biochimie et immunoanalyse au Groupe Hospitalier du Havre Expérience RÉSUMÉ En 2003, le Groupe Hospitalier du Havre a lancé
Plus en détailBIOLOGIE CLINIQUE ACTUALITES ET PERSPECTIVES D AVENIR
BIOLOGIE CLINIQUE ACTUALITES ET PERSPECTIVES D AVENIR Ph. Biol. Jean Darimont Pharmalouvain mars 2011 BIOLOGIE CLINIQUE 1. Technique 2. Organisation 3. Economique La Biologie Clinique est impliquée dans
Plus en détailSECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR
SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR II-0 INDEX SECTION II Pages Section relative au préleveur Heures d ouvertures des laboratoires pour clients externes Requête régionale II-2 II-2 II-3 Informations requises
Plus en détailSommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013
La base documentaire a été complètement révisée pour être en conformité avec cette version 2012 de l ISO 15189. La cartographie des différents processus du LBM a également été modifiée (suppression du
Plus en détailDURÉE PUBLIC CONCERNÉ PRÉ-REQUIS. OUTIL PÉDAGOGIQUE FORMATEUR(S) PRIX Consultant CQS
43 A-011 2 demi-journées / 7 heures Utilisateur :Tout personnel de la structure qui sera Obligatoire : Aucun pré-requis n est nécessaire. amené à utiliser le logiciel au quotidien. Facultatif : Avoir des
Plus en détailMise en œuvre de l accréditation dans un laboratoire de biologie médicale privé
Mise en œuvre de l accréditation dans un laboratoire de biologie médicale privé SELARL ANALYS / SELARL ANALYS-I Une démarche d accréditation multisites Journée du 29 Juin 2010 Thierry Avellan tavellan@free.fr
Plus en détailLa version électronique fait foi
Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.
Plus en détailManuel qualité du laboratoire
Laboratoire de biologie médicale des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg Pôle de biologie 1 place de l Hôpital BP 426 67091 Strasbourg Cedex Manuel qualité du laboratoire Version 04 Rédaction : Cellule
Plus en détailMODULAR ANALYTICS EVO Un univers de Fiabilité, de Puissance et de Flexibilité
MODULAR ANALYTICS EVO Un univers de Fiabilité, de Puissance et de Flexibilité Roche Diagnostics 2, avenue du Vercors - BP 59 38242 MEYLAN Cedex Tél. : +33 (0)4 76 76 30 00 Fax : +33 (0)4 76 76 30 01 www.rochediagnostics.fr
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailMANUEL ASSURANCE QUALITE MANUEL QUALITE CENTRE DE BIOLOGIE DU LANGUEDOC
MANUEL ASSURANCE QUALITE Ref : MAQ-COMM-TOUS-001-14 Version : 14 Applicable le : 09-01-2015 MANUEL QUALITE CENTRE DE BIOLOGIE DU LANGUEDOC BEGUIER E. - CALIEZ T. - FONTES C. -JEANE. KERDRANVAT H. - LE
Plus en détailCQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle
CQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle Guide de repérage des compétences du candidat Candidat Nom :... Prénom :........ Entreprise :... Le document original est conservé par l entreprise
Plus en détailTableau pour la conservation et le transport des spécimens à l externe
1. OBJECTIF : Ce document comprend un tableau indiquant les informations nécessaires la conservation des spécimens, à l externe. Il comprend aussi un tableau indiquant les informations nécessaires pour
Plus en détailLa biologie médicale en France : présent et avenir. Académie Nationale de Pharmacie Mercredi 4 Février 2015
La biologie médicale en France : présent et avenir Académie Nationale de Pharmacie Mercredi 4 Février 2015 Les fondamentaux de la biologie médicale en France Une discipline jeune, apparue dans les années
Plus en détailEMC DATA DOMAIN HYPERMAX
EMC DATA DOMAIN HYPERMAX Optimisation du stockage de protection EMC AVANTAGES CLÉS Déduplication évolutive et ultrarapide Jusqu à 58,7 To/h de débit Réduit de 10 à 30 fois le stockage de sauvegarde, et
Plus en détailLa métrologie au laboratoire. vigitemp 10. centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart
La métrologie au laboratoire vigitemp 10 centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart La métrologie au laboratoire vigitemp 10 Base de données Utilisateur Principe général
Plus en détailPrélèvement/préparation p des échantillons et analyse des reliquats d azote
Prélèvement/préparation p des échantillons et analyse des reliquats d azote Matthias CARRIERE Plan de l intervention Introduction : I. méthodes et outils de prélèvement. 11. Les normes d échantillonnage
Plus en détailRéorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban
Réorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban Cahier des charges du Logiciel Médico Technique Rédigé en collaboration avec Cahier des charges du Logiciel Médico Technique La procédure d
Plus en détailApplication cobas IT 1000 Gestion des données de Point-of-Care
Application cobas IT 1000 Gestion des données de Point-of-Care Solutions informatiques pour diagnostic de Point-of-Care Aperçu de la gamme de Roche Logiciel cobas IT 1000 cobas IT 1000 est une solution
Plus en détailLE SYSTÈME GOODS-TO-PERSON ADAPTÉ À LA LOGISTIQUE DE DÉTAIL : MODULAIRE, FLEXIBLE ET ÉVOLUTIF AUTOMATISATION DE LA PRÉPARATION DE COMMANDES
LE SYSTÈME GOODS-TO-PERSON ADAPTÉ À LA LOGISTIQUE DE DÉTAIL : MODULAIRE, FLEXIBLE ET ÉVOLUTIF AUTOMATISATION DE LA PRÉPARATION POURQUOI CHOISIR SAVOYE... + de 30 ans de savoir-faire au service de la logistique
Plus en détailLE SYSTÈME GOODS-TO-PERSON ADAPTÉ À LA LOGISTIQUE DE DÉTAIL : MODULAIRE, FLEXIBLE ET ÉVOLUTIF AUTOMATISATION DE LA PRÉPARATION DE COMMANDES
LE SYSTÈME GOODS-TO-PERSON ADAPTÉ À LA LOGISTIQUE DE DÉTAIL : MODULAIRE, FLEXIBLE ET ÉVOLUTIF AUTOMATISATION DE LA PRÉPARATION POURQUOI CHOISIR LA DIVISION SAVOYE... + de 30 ans de savoir-faire au service
Plus en détailDémarche de traçabilité globale
Démarche de traçabilité globale Dr Chi-Dung TA* Responsable Qualité, Danone Vitapole chi-dung.ta@danone.com La traçabilité existe depuis un certain nombre d'années dans les entreprises à des niveaux plus
Plus en détailDes solutions pour une biologie médicale en pleine évolution
Novembre 2013 - N 90 DOSSIER : SOLUTIONS D'ORGANISATION Des solutions pour une biologie médicale en pleine évolution DOSSIER : BIOMARQUEURS Le marqueur HE4 peut-il améliorer la prise en charge du cancer
Plus en détailGrâce aux étiquettes RFID Inotec et à solution UBI Cloud Track&Trace, SITA peut tracer à chaque instant les déchets à risque COMMUNIQUÉ DE PRESSE
la Grâce aux étiquettes RFID Inotec et à solution UBI Cloud Track&Trace, SITA peut tracer à chaque instant les déchets à risque COMMUNIQUÉ DE PRESSE Filiale du Groupe Suez Environnement et Leader en France,
Plus en détailcofi 1 fiduciaire-internet (présaisie) Testez Cofi 1 sur www.internet-treuhaender.ch
cofi 1 (présaisie) Le profil Cofi 1 (présaisie) s adresse aux petites et moyennes entreprises ayant confié leur comptabilité à un collaborateur qui procède de manière autonome à la comptabilisation des
Plus en détailRéférences : norme ISO 15189 et documents COFRAC applicables au laboratoire. Laboratoire Benezech Delhoume
MANUEL D ASSURANCE LABORATOIRE Références : norme ISO 15189 et documents COFRAC applicables au laboratoire Laboratoire Benezech Delhoume 1 rue Père Colombier 81000 ALBI Tel : 05 63 77 78 90 Fax : 05 63
Plus en détailManuel Qualité Département des Laboratoires Cliniques
Manuel Qualité Département des Laboratoires Cliniques Confidentiel Le document sans cachet «copie contrôlée» est non-contrôlé Page 1 de 54 Rév. Spécification de la révision Date d implémentation 8 9 10
Plus en détailSTACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis
3.2 : S initier à l organisation, la mise en œuvre et l utilisation d un système d information Chapitre 3 : Systèmes d information Systèmes d information hospitaliers (S.I.H.) STACCINI Pascal UFR Médecine
Plus en détailGuide de Mobilisation. de cellules souches pour mon. Autogreffe AVEC LE SOUTIEN DE. Carnet d informations et de suivi pour le patient et sa famille
Guide de Mobilisation de cellules souches pour mon Autogreffe Carnet d informations et de suivi Carnets pour d informations le patient et sa et famille de suivi pour le patient et sa famille AVEC LE SOUTIEN
Plus en détailQualité. Sécurité Alimentaire
Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en
Plus en détailPROFIL DE POSTE PRATICIEN ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES
ETABLISSEMENT CENTRE HOSPITALIER PUBLIC DU COTENTIN (CHPC) CHERBOURG (50) Deuxième établissement hospitalier de Basse-Normandie. SPECIALITE RECHERCHEE Anatomie et cytologie pathologiques (ACP). COMPETENCES
Plus en détail«La rapidité ne doit pas primer sur la qualité»
Interview avec le Prof. Dr Fernando Schmitt «La rapidité ne doit pas primer sur la qualité» Prof. Dr Fernando Schmitt Anatomopathologiste En septembre 2014, le Prof. Fernando Schmitt a rejoint le Laboratoire
Plus en détailL Edition Pilotée XL
L Edition Pilotée XL Piloter son activité, une nécessité Processus décisionnel: «Exploiter les données de l entreprise dans le but de faciliter la prise de décision» Etre informé en permanence sur l état
Plus en détailScan X Lecture Automatique de Documents
Scan X Lecture Automatique de Documents 2 bis rue de Rochefort - 23000 GUÉRET -FRANCE Tél : 05 55 52 76 00 Fax : 05 55 52 30 40 e-mail : 3si@3si.fr S.A. au capital de 63 000 Membre de la S.F.I.L. (Société
Plus en détailEMC DATA DOMAIN OPERATING SYSTEM
EMC DATA DOMAIN OPERATING SYSTEM Au service du stockage de protection EMC AVANTAGES CLÉS Déduplication évolutive ultrarapide Jusqu à 31 To/h de débit Réduction des besoins en stockage de sauvegarde de
Plus en détailGESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck
GESTION DE STOCK July 2009 Hilde De Boeck Table des matières Introduction Organisation du stock centrale 1. Gestionnaire de stock 2. Stockage: - Les Conditions - Rangement des produits 3. Les outils de
Plus en détailASA-Advanced Solutions Accelerator. Solution pour la gestion des données des laboratoires et des plateformes de service
ASA-Advanced Solutions Accelerator Partenaire informatique des Laboratoires de Recherche 100lims Solution pour la gestion des données des laboratoires et des plateformes de service Parce que vous cherchez
Plus en détailMedi test. Laboratoires d analyses médicales. Manuel Qualité. www.meditest.ch
Système Qualité Management Manuel qualité ID 1096 4.01-4.02 Organisation et management / Manuel et programme qualité Responsable : Cristina Cellerai Version 2 du 12/03/2014 Medi test Laboratoires d analyses
Plus en détailCHROMATOGRAPHE BTEX GC 5000 BTX
FICHE PRODUIT - Le a été spécialement développé pour la surveillance en continu des polluants organiques dans l air ambiant dans la gamme C4-C12. L instrument se caractérise par son design compact et sa
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Sang, plasma, plaquettes... Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors de son accouchement à reprendre des forces,
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailI- L ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG ÎLE-DE- FRANCE, ACTEUR MAJEUR DE SANTÉ PUBLIQUE
I- L ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG ÎLE-DE- FRANCE, ACTEUR MAJEUR DE SANTÉ PUBLIQUE L Établissement Français du Sang, est l unique opérateur civil de la transfusion sanguine en France. Sa mission première
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détail1. Facteurs pré-analytiques importants en pathologie clinique vétérinaire
1. Facteurs pré-analytiques importants en pathologie clinique vétérinaire 1.1. Généralités concernant l hématologie, l endocrinologie, la biochimie et la sérologie 1.1.1. Collecte, manipulation et transport
Plus en détailLABO EXPRESS - 6, avenue Charles de Gaulle - 78150 Le Chesnay 451 372 361 00027 RCS Versailles SARL au capital de 20 000 Tél. 01.39.43.78.78 / Fax.
LABO EXPRESS - 6, avenue Charles de Gaulle - 78150 Le Chesnay 451 372 361 00027 RCS Versailles SARL au capital de 20 000 Tél. 01.39.43.78.78 / Fax. 01.39.43.78.79 www.laboexpress.fr SOMMAIRE I. PRESENTATION
Plus en détailTournage en fichiers numériques
Pour une organisation plus sure et plus efficace du tournage au montage Version du 5 Mars 2011 Voici nos recommandations pour travailler avec des fichiers numériques, suite à la réflexion menée par nos
Plus en détailtraçabilité en milieu médical
traçabilité en milieu médical SOLUTIONS - EFFICACITÉ - SÉCURITÉ la traçabilité, pourquoi? Améliorer la sécurité du patient et la qualité des soins Améliorer la qualité des soins de santé est un enjeu majeur
Plus en détailSolutions hautes performances pour le gardiennage et la surveillance
Solutions hautes performances pour le gardiennage et la surveillance Le gardiennage sera toujours nécessaire Depuis la nuit des temps, l homme surveille et protège son bien. Dans l Antiquité, seules des
Plus en détailTECHNOLOGIES EXPERTISES RECHERCHES ANALYTIQUES EN ENVIRONNEMENT. SyPACV2. Système de prélèvement automatique compact - 2 ème génération
TECHNOLOGIES EXPERTISES RECHERCHES ANALYTIQUES EN ENVIRONNEMENT Ingénierie SyPACV2 Système de prélèvement automatique compact - 2 ème génération 2012 SOMMAIRE 1. Le service Ingénierie 2. Qu est-ce que
Plus en détailHôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle
Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan
Plus en détailH.I.T. 2010. Siemens, des réponses pour la vie. Press Presse Press Presse. Dossier de presse. Secteur Healthcare
Press Presse Press Presse Secteur Healthcare Dossier de presse Comment peut-on mettre à disposition d une population toujours plus nombreuse et dont la moyenne d âge augmente, des systèmes de soins accessibles
Plus en détailDocumentation du système de management de la qualité
Documentation du système de management de la qualité ISO/IEC 17025:2005 ISO/TR 10013:2001 Formation Assurance Qualité LNCM, Rabat 27-29 Novembre 2007 Marta Miquel, EDQM-CoE 1 ISO/TR 10013:2001 Lignes directrices
Plus en détailURGENCES. Conférence sur la nouvelle téléphonie et l informatique au sein du Centre de réception et de régulation des appels.
Chapitre 113 Conférence sur la nouvelle téléphonie et l informatique au sein du Centre de réception et de régulation des appels I. MONSEUR, N. LUBINSKI, V. DUPONT, Dr SICOT, C. MINNE, Dr GOLDSTEIN 1 re
Plus en détailBRZ GED : Il n'y a pas que sur vos chantiers que nous vous ferons gagner en productivité!
BRZ GED : Il n'y a pas que sur vos chantiers que nous vous ferons gagner en productivité! Introduction Les avantages d une GED : 1. Sécurise les données de votre entreprise : La GED devient la mémoire
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailNous avons augmenté de manière significative notre productivité avec le même effectif
Nous avons augmenté de manière significative notre productivité avec le même effectif SMART Automation, optimiser la productivité SMART Automation, optimiser la productivité Introduction Depuis plus de
Plus en détailOUVERTURE ET MISE EN PLACE
OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite
Plus en détailITIL V3. Transition des services : Principes et politiques
ITIL V3 Transition des services : Principes et politiques Création : janvier 2008 Mise à jour : août 2009 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a été réalisé
Plus en détailVMWare Infrastructure 3
Ingénieurs 2000 Filière Informatique et réseaux Université de Marne-la-Vallée VMWare Infrastructure 3 Exposé système et nouvelles technologies réseau. Christophe KELLER Sommaire Sommaire... 2 Introduction...
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailCRM PERFORMANCE CONTACT
CRM PERFORMANCE CONTACT PREMIUM 3ème génération Un concentré de haute technologie pour augmenter de 30 % vos rendez-vous Le Vinci, 2 place Alexandre Farnèse 84000 Avignon Tél : + 33 (0)4 90 13 15 88 Télécopie
Plus en détailCIMAIL SOLUTION: EASYFOLDER SAE
01100011 01101001 01101101 01100001 01101001 01 CIMAIL SOLUTION: EASYFOLDER SAE IRISLINK le 15 Février 2012 01100011 01101001 01101101 01100001 01101001 01101100 Un monde d informations en toute confiance
Plus en détailBiologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr
Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs
Plus en détailDossier de Presse SYLOB
Dossier de Presse SYLOB 1 Table des matières 1 - SYLOB en Bref 3 2 L équipe dirigeante 5 3 Stratégie et positionnement 6 4 Une gamme de solutions ERP pour les PME industrielles 8 5 Les ERP SYLOB en mode
Plus en détailRéplication de données de classe entreprise pour environnements distribués et reprise sur sinistre
Réplication de données de classe entreprise pour environnements distribués et reprise sur sinistre La tendance actuelle vers une conception distribuée de l entreprise, avec des agences, des centres de
Plus en détailCatalogue Formation 2015
Catalogue Formation 2015 Because you care about CONSUMERS HEALTH HACCP Expertise, votre partenaire en sécurité des aliments Présentation du catalogue Pourquoi faire de la formation? Formation préventive
Plus en détailAcquisition. d une centrale de surveillance des températures CAHIER DES CHARGES. Maître de l'ouvrage :
Acquisition d une centrale de surveillance des températures CAHIER DES CHARGES Maître de l'ouvrage : INSTITUT NATIONAL DE LA RECHERCHE AGRONOMIQUE Etablissement public à caractère Scientifique et Technologique
Plus en détailSystème d Information Hospitalier L expérience du Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS)
Séminaire SIM 07 FMP de Fès, le 02 juin 2007 Système d Information Hospitalier L expérience du Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS) Auteurs : Mme Drissia ELACHEJAI Ingénieur en chef Centre Hospitalier Ibn
Plus en détailCRM pour le Service clients et l Assistance technique
CRM pour le Service clients et l Assistance technique La satisfaction Maximizer. Inciter la fidélisation de la clientèle. Servir la clientèle efficacement est l élément clé d une croissance d affaires
Plus en détailFICHE PRODUIT COREYE CACHE Architecture technique En bref Plateforme Clients Web Coreye Cache applicative Références Principe de fonctionnement
COREYE CACHE Solution d absorption de charge pour une disponibilité et une performance optimales des applications Web En bref Architecture technique La plateforme Coreye Cache délivre la majeure partie
Plus en détailAnnexe 4 Bonnes pratiques de fabrication des produits pharmaceutiques : Principes généraux 1
Annexe 4 Bonnes pratiques de fabrication des produits pharmaceutiques : Principes généraux 1 Note d introduction Généralités Glossaire Gestion de la qualité dans l industrie pharmaceutique : principes
Plus en détailPour une maîtrise totale de la reprise d activité : bonnes pratiques de continuité d activité et de virtualisation L I V R E B L A N C
Pour une maîtrise totale de la reprise d activité : bonnes pratiques de continuité d activité et de virtualisation L I V R E B L A N C Pour une maiîtrise totale de la reprise d activité: bonnes pratiques
Plus en détailIntranet de l Administration Tunisienne
Intranet de l Administration l Tunisienne Séminaire sur la création des services gouvernementaux en réseau en ligne Tanger Janvier 2008 AGENDA Contexte du projet et problématique Consistance du projet
Plus en détaile-commerce+ e-commerce+ LE CHOIX DU MULTICANAL Hydraligne, le succès pour ce spécialiste de la parapharmacie en ligne!
e-commerce+ Magazine d information d Octave N 10 - Spécial parapharmacie, médical et cosmétologie - Avril 2014 e-commerce+ LETTRE D INFORMATION D OCTAVE.BIZ MICHEL PERRINET - PDG d'octave " Comme le Laboratoire
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailCharte de la Banque ADN et de Cellules de Généthon
Sommaire 1. PREAMBULE... 2 2. DEFINITIONS... 2 3. CADRE LEGAL... 3 4. ORGANISATION DE LA BACG... 4 5. PRESTATIONS DE LA BACG... 5 6. MODALITES DE CONTRIBUTION ET D UTILISATION DES SERVICES... 5 7. REGLES
Plus en détaille personnel sur les avantages d un tel système était également crucial à la réussite du projet.
Success Story Grâce à la solution OpenScape Contact Center d Unify, le CHU de Liège a réduit le temps d attente de 80% des appels de prise de rendezvous des patients à moins de 30 secondes. Le Centre Hospitalier
Plus en détailLES BONNES PRATIQUES TRANSFUSIONNELLES
Les Bonnes Pratiques Transfusionnelles République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de la Santé, de la Population et de la Reforme Hospitalière Agence Nationale du Sang LES BONNES PRATIQUES
Plus en détailInteGraal MODE. cousu main
InteGraal MODE progiciels ET SERVICES cousu main pour l INDUSTRIE ET LE COMMERCE DE la FILIÈRE mode InteGraal MODE L erp métier cousu Main pour l industrie et le commerce de la MODE Pour répondre à vos
Plus en détailZone de commentaires. Convention EFS / ES ( document à joindre) II, Les systèmes d'information OUI NON NC Zone de commentaires. Zone de commentaires
5. ENSEMBLE DES PIECES CONSTITUANT LE DOSSIER A FOURNIR A L'AGENCE REGIONALE DE L'HOSPITALISATION POUR UNE DEMANDE D AUTORISATION DE FONCTIONNEMENT D UN DEPÔT DE SANG DANS UN ETABLISSEMENT DE SANTE I.
Plus en détailEnergies solaires et éoliennes
Energies solaires et éoliennes Les solutions d assemblage et d étanchéité Des solutions colles et mastics adaptées à vos besoins Sommaire Modules photovoltaïques 4-8 Collecteurs 9 Concentrateurs solaires
Plus en détailSecteur Protégé d Hématologie
INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de
Plus en détailChaîne de production des médicaments
Chaîne de production des médicaments GPAO : Aspects légaux et pharmaceutiques 2 Principe de base Une préparation n est entreprise que si la pharmacie possède les moyens appropriés pour la réaliser et la
Plus en détailSystèmes de distribution robotique des médicaments d ordonnance
Systèmes de distribution robotique des médicaments d ordonnance Vos patients comptent sur vous, à titre de pharmacien, pour les conseiller en matière de médicaments. Le manque de temps peut compromettre
Plus en détailREFERENTIEL DU CQPM. TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 OBJECTIF PROFESSIONNEL DU CQPM
COMMISION PARITAIRE NATIONALE DE L EMPLOI DE LE METALLURGIE Qualification : Catégorie : B Dernière modification : 10/04/2008 REFERENTIEL DU CQPM TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 I OBJECTIF
Plus en détailI partie : diagnostic et proposition de solutions
Session 2011 BTS assistant de manager Cas Arméria: barème et corrigé Remarque: la 1 ère partie doit être cohérente avec les éléments déterminants du contexte décrit dans cet encadré, qui n est pas attendu
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailBonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire
1 2 3 4 Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire Partie 1 Chapitre 3: Locaux et matériel 5 6 7 8 9 10 11 12 13 PRINCIPE Les locaux et le matériel doivent être situés,
Plus en détailwww.etablissement-francais-du-sang.fr E.R.A. Echanges des Résultats d Analyses
www.etablissement-francais-du-sang.fr E.R.A. Echanges des Résultats d Analyses E.R.A. L EFS, les Etablissements de Santé et les laboratoires effectuant des analyses d I.H. pour des patients susceptibles
Plus en détailAméliorer la Performance des Fournisseurs
Les Solutions SQA de Solumina L Assurance Qualité Fournisseur Figure 1 Influence sur les affaires de nos clients actuels. Réduire des Stocks lors des Inspections Le Système de Contrôle Qualité Fournisseurs
Plus en détailCONVENTION ASSURANCE QUALITÉ (QAA) FONCTION NÉGOCIANT
1. Préambule 1.1 Généralités La présente convention d assurance qualité (QAA) définit les exigences posées aux fournisseurs REHAU en matière d assurance qualité. La QAA REHAU constitue des règles destinées
Plus en détailDécoupage fonctionnel
Découpage fonctionnel Avec, assurez en toute sérénité la gestion de votre paie tout en répondant aux obligations légales. Pour aller encore plus loin, cette solution vous guide dans vos prises de décisions
Plus en détailRévision partielle de l ordonnance du 14 février 2007 sur l analyse génétique humaine (OAGH ; RS 810.122.1) Rapport explicatif
Révision partielle de l ordonnance du 14 février 2007 sur l analyse génétique humaine (OAGH ; RS 810.122.1) Rapport explicatif Projet pour l audition, novembre 2009 1 Introduction La loi sur l analyse
Plus en détailRésolvez vos problèmes d énergie dédiée à l informatique
Résolvez vos problèmes d énergie dédiée à l informatique GRÂCE À UNE SOLUTION ENERGY SMART DE DELL Surmonter les défis énergétiques des datacenters Les responsables informatiques ont un problème urgent
Plus en détailLE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN
LE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN Chaîne de production, exigences réglementaires et accès aux vaccins International Federation of Pharmaceutical Manufacturers & Associations LE CHEMINEMENT COMPLEXE D
Plus en détailLogiciel de capture et de gestion des flux de documents MOINS DE PAPIER, PLUS D EFFICACITÉ. VOUS POUVEZ COMPTER SUR NOUS
Logiciel de capture et de gestion des flux de documents MOINS DE PAPIER, PLUS D EFFICACITÉ. VOUS POUVEZ COMPTER SUR NOUS un FLUX DE TRAVAIL AUTOMATIQUEMENT AMÉLIORÉ. C est un fait, même si votre bureau
Plus en détail3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux
3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central
Plus en détail