Sujets Agés : Spécificités?
|
|
- Clémence Martineau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Qu est-ce que la fragilité du sujet Agé? ESPERANCE de VIE - HISTORIQUE Pr Novella J-L CHU Reims Qu y a-t-il de spécial chez les personnes âgées? (Rubenstein 2001) Sujets Agés : Spécificités? Diminution des réserves physiologiques Interaction fréquentes et multiples entres maladies chroniques Les atypies de présentation des maladies L espérance de vie plus courte Les causes variés à la perte d autonomie fonctionnelle Les causes multiples de douleurs et d inconfort Des particularités de la pharmacologie Une communication souvent plus lente, une histoire plus longue Jeunes Agés Sujets Agés : Spécificités? Changer notre vision du vieillissement (Kirkwood, Cell 2005) Jeunes Fit Frail To sick Agés Le vieillissement est un processus biologiquement déterminé (nous sommes programmé pour mourir) avec une limite inhérente de l espérance de vie Nous sommes programmé pour survivre non pour vieillir ni mourir Le vieillissement est un déclin fonctionnel irréversible Le vieillissement est un processus qui par nature est malléable Le vieillissement est une phase de la vie marqué par un déclin fonctionnel Il existe un continuum entre jeunesse et vieillesse
2 II - La perte d autonomie DEFICIENCE Au niveau de l organe INCAPACITE Limitation de la fonction Au niveau de la fonction HANDICAP Restriction des activités Au niveau de l individu Séquence de Wood SCHEMA DE WOOD OMS, 2001 Problème de Santé (trouble/maladie) Fonction et structure (Déficience) Activités (limitation) Participation (restriction) Facteurs Environnementaux Facteurs personnels Le Vieillissement Plusieurs types de vieillissement Vieillissement «Optimal» Performances aux tests identiques / sujets jeunes Vieillissement «Réussi» Durée de vie > à l espérance de vie moyenne Bonne adaptation aux modifications liées à l âge Bonne qualité de vie Le Vieillissement Plusieurs types de vieillissement Vieillissement «Usuel» : des capacités fonctionnelles Vieillissement «Pathologique» avec maladies et handicaps
3 Le VIEILLISSEMENT : un phénomène HETEROGENE Performances/Aptitudes Facteurs génétiques Facteurs environnementaux alimentation optimal usuel Concept (1) La fragilité est un état de susceptibilité à l agression qui explique que pour un évènement de santé identique et malgré une prise en charge identique i et un état de santé apparent identique i (ou suffisamment proche) les individus auront des devenirs très différents. pathologique Age Concept (2) Concept Les éléments clefs: Un état continu (et pas seulement dichotomique) Qui n est pas la conséquence de l altération fonctionnelle d un seul organe Repérable cliniquement, i et correspondant à une réalité clinique Exprimant une diminution des réserves de façon «anormales» rendant la personne vulnérable aux événements «stressants» Excluant des personnes ayant déjà vécu l évènement «cassant» donc +- séparés du handicap Avec des manifestations possibles multiples Rockwood, Hogan, Mc Knight. Drugs and Ageing 2000; 17: Pourquoi y-a-t-il une nécessité de décrire la fragilité: Pour expliquer le devenir des patients Pour adapter les traitements Mais SURTOUT: Pour développer des politiques de prévention du handicap Pour faire de la recherche chez les personnes âgées Pour développer la Gériatrie Le concept de fragilité En bonne santé Démarche d évaluation Selon sexe, style de vie, statut médicoéconomique, comorbidités,vie affective, troubles sensoriels ou cognitifs Adapté de JP Michel 2003 Détection Évolution vers la fragilité Fragile Prévention Mode de vie, mobilité, nutrition, Réhabilitation Déclin fonctionnel Totalement Handicapé FRAGILITE multisystémique réserves physiologiques. Multifactorialité interaction sénescence, non-utilisation, maladies chroniques, facteurs biologiques, psychosociaux et environnementaux. Altération interaction homme / environnement Susceptibilité / décompensations en cascade et à la dépendance. Caractère évolutif, instable, Potentiellement réversible.
4 FRAGILITE : approche médicale classique Le syndrome clinique (Fried & Walston (1999): Syndrome clinique VIEILLISSEMENT Polypathologies chroniques Syndromes Gériatriques Chutes Confusion Déshydratation Polymédication Incontinence... Causes sous-jacentes La maladie Le vieillissement et la perte de réserve physiologique Symptômes Perte de poids Faiblesse Épuisement Dénutrition Inactivité Signes Involution musculaire Ostéopénie Pertes d équilibre Déconditionnement Démarche lente Risques Perte d efficacité à faire face aux stresseurs Conséquences de la vulnérabilité Chutes Blessures Maladies aiguës Hospitalisation Handicap Dépendance Institutionnalisation Mort FRAGILITE : approche fonctionnelle La fragilité Autonomie Pathologie Aiguë FRAGILE autonomie Événement 1 Événement 2 Événement 3 F r a g i l i t é Seuil de dépendance Événement 4 Temps âge FRAGILITE : Concept Dynamique multisystémique des réserves physiologiques Stress Pathologie bénigne capacités d adaptation capacités à faire face Incapacité Modèle de la Fragilité (Selon Buchner 1992) Age biologique État chronique : Park, diabète Habitudes: sédentarité, OH, tabac... Réduction des réserves physiologiques FRAGILITE Neurologique Musculosquelettique Nutritionnel Intégration sociale +/- rénal, hépatique... Facteurs précipitants Pathologie aiguë (Cancer, TRT..) Iatrogénie Crise (sociale, environnementale) Incapacité
5 Explication physiologique de la vulnérabilité (Fried & Walston (1999): Nombre journalier de décès (constatés par les Hôpitaux de l'ap-hp et les pompiers de Paris) et températures minimales et maximales Dérèglement neuroendocrinien Involution musculaire Immunoscénescence une surmortalité cumulée proche de décès Les décès ont principalement frappé les 75 ans et + Le nombre de décès en excès s est réparti ainsi Hôpital (43 %), domicile (33 %), maisons de retraite (13 %) clinique privée (4 %) autres (17 %). Source INVS PREVENTION FRAGILE Des personnes âgées fragiles? A haut risque de décompensation : En particulier si dénutrition, chutes, alitement, incontinence, dépression, démences, infections «too healthy» «too sick» Sont vulnérables ; Doivent bénéficier d une priorité de soin, d une orientation privilégiée ; Constituent des cibles de prévention. Le nombre de maladies selon l âge En moyenne, chaque personne âgée déclare 7,6 maladies un jour donné : 6,8 pour les hommes 8,1 pour les femmes La progression avec l âge très rapide chez les adultes, se ralentit chez les octogénaires
6 A âge égal, l état de santé s améliore Évolution de la répartition de la population de 60 ans et plus de la région parisienne selon le niveau d incapacité entre et Niveau d'incapacité Pas de gêne (0) 1,60% 0,90% Gêne infime (2) 10,30% 6,20% Très peu gêné (5) 7,20% 17,90% Gêné mais vie normale (10) 33,00% 43,60% Activité restreinte (30) 24,70% 20,70% Activité très ralentie (50) 13,40% 7,90% Pas ou peu d'autonomie (90) 6,70% 1,90% Grabataire, alitement (95) 3,10% 0,90% INVALIDITE MOYENNE 26,95 18,1 Source : A. & A. MIZRAHI, C.R.E.D.E.S. Fragilité Socio-Economique Le niveau économique et/ou social influence la santé et donc le vieillissement. Facteurs de fragilité sociale ou familiale l disposer de revenus bas, avoir un faible niveau d instruction, ne pas avoir une couverture médicale suffisante, être veuf, divorcé, A. MIZRAHI Différences d espérance de vie Espérance de vie et revenu pour les femmes en 1965 et Catégorie socio-professionnelle Espé rance de vie à 60 ans Ingénieurs 22.3 Contremaitres 21.2 Artisans 20.1 Petits commerçants 19.3 Manœuvres 17.1 cy at birth (years) Life expectanc Real GDP pc (I$97) Based on: United Nations Population Division estimates; Penn World Tables. FRAGILITÉ ÉCONOMIQUE Fragilité économique Relation degré de dépendance niveau de ressources 15 % ménage > 75ans revenu minimum vieillesse 540 / personne seule 968 / couple avec avancée en âge Retraite des hommes 1,7 fois > femmes 50% femmes retraite < 825 (4350F) Drees n 108 mars 2001
7 Évolution des taux de pauvreté de 1970 à 1997 (en %) LES CAPACITÉS SOCIALES Elles permettent au sujet : Maîtriser et utiliser l environnement dans lequel il vit; Modifier cet environnement pour l adapter à ses besoins. Cette dimension est propre à chaque individu : 2 individus dans un même environnement n ont pas la même maîtrise de cet environnement, chacun l exploite à sa manière. Source : La pauvreté monétaire des ménages de 1970 à 1997, INSEE Première, N 761, mars 2001 RELATIONS SOCIALES Les Facteurs Sociaux / Fragilité La plupart des changements sont le résultat de l évolution de vie due au vieillissement retraite, éloignement des proches, etc. Changements qualitatifs et quantitatifs du réseau social : les personnes âgées préfèrent le contact avec leurs proches abandon des contacts peu investis préférence pour les contacts riches et affectifs Confinement au domicile et absence de visite Absence d aidant naturel / admission en urgence Absence de visite des enfants durant l hospitalisation Faible niveau scolaire et bas revenus Épuisement des aidants Devenir de 199 sujets > 75 ans admis en Urgence Institutionnalisation Risque : OR Intervalle confiance Admission le week-end 28,6 [1,6-49,6] Personne non accompagnée 30,8 [2,5-38] Pas de visite des enfants 22,3 [1,7-29,9] Troubles cognitifs 13,6 [1,1-22,7] Dépendance 1,4 NS Aspects sociologiques L'isolement des personnes âgées Six millions de personnes vivent seules en France 10 % de la population personnes âgées ++ veuvage + femmes + Risque plus symptomatologie sévère / personnes avec soutien adéquat et régulier. d institutionnalisation plus précoce Kariger et coll, Rev Epidem Santé Pub 1996,44,47-56
8 Les femmes plus vulnérables? Souvent seules (veuvage) ou alors s occupent de leur conjoint malade ; Généralement des revenus limités ; Retraite des hommes 1,7 17fois >femmes 50 % femmes retraite < 825 (4 350 F) Statut matrimonial (RP99) Mode de vie et conditions de logement sont largement influencés par les ressources financières Fragilité Cognitive et niveau d étude Niveau d études atteint (60 ans+) Données d incidence démence dans PAQUID (/1000/an) Risque OR Sans études 2.33 Primaire 1.31 Secondaire 0.87 Universitaire 0.57 L association entre démence et niveau d études n est pas retrouvée dans toutes les populations École primaire : 63,4 % Collège, CAP, BEP : 21,6 % 1ère, 2nd, Terminale : 9,4 % Études supérieures : 5,5 % Inégalités et offre de soins Bien-être moral déclaré selon l âge et le sexe Source : Enquête «Comportements vis-à-vis de la santé», partie variable de l enquête permanente sur les conditions de vie de mai 2001, Insee
9 FRAGILITE : facteurs de risque Age ( > 85 ans ++) Dénutrition poids MNA, Albuminémie Troubles cognitifs Démence >> Confusion Stratégie «dépistage» MMS, TCH, 5 mots, IADL. FRAGILITE : facteurs de risque Autonomie fonctionnelle ADL, IADL Sarcopénie Absence d activité physique Sédentarité, Confinement au domicile Dépression Hamilton, mini GDS... Polymédication : > 3 médicaments (risque iatrogène) FRAGILITE : facteurs de risque Déficit sensoriel Chutes à répétition Support social Isolement social, Dispersion familiale Absence de réfèrent Problèmes économiques Conséquences de la fragilité Taux de présence en hospitalisation selon l âge Augmentation de la demande de soins Souffrance des soignants Fardeau des aidants Sur utilisation médicamenteuse Ré hospitalisations % ,21 0,31 0, an 2 à 15 ans 16 à 39 ans 0,91 40 à 64 ans 2,15 65 à 79 ans 5,02 + de 80 ans AGE Source : CREDES,
10 Le Risque de recours au généraliste est différent selon l âge de l individu PA «FRAGILE»: Evolution des remboursements de consultations et visites avec l'âge du patient F F F 800 F 600 F 400 F 200 F 0 F et + Source : O. BUSSON, Urcam, Pays-de-la-Loire, 2000 GRILLE DES RISQUES Par rapport à la tranche d âge des ans, risque de recours au généraliste par tranche d âge : 0-20 ans ans + de 60 ans 0,8 1 2 Durée d hospitalisation plus longue fragiles : 24.8 jours indépendants : 12.9 jours sévères : 20.7 jours Taux de réhospitalisation plus Winograd 1991 Taux d institutionnalisation OR = 9 Taux de mortalité à 5 ans OR = 3 Rockwood 1999 Critères de fragilité ans et plus 2. AVC, maladie chronique et invalidante 3. Confusion, dépression 4. Démence 5. Trouble de la mobilité, dépendance / activités de la vie quotidienne 6. Chute dans les trois mois 7. Alitement prolongé 8. Escarres 9. Malnutrition, perte de poids ou d appétit 10. Poly-médication 11. Déficits sensoriels (vision, audition) 12. Problème socioéconomiques et familiaux 13. Utilisation de contentions 14. Incontinence 15. Pas d hospitalisation programmée dans les trois mois Winograd CH, GERTY MB et coll " Targeting the hospitalized elderly for geriatric consultation J Am Geriatric Soc 1983 ; 36 ; Winograd JAGS 1991 (39) Score ISAR Identification of Senior At Risk SURVIE 87% Indépendant (n=218) 85% Chirurgie (n= 148) 67% Médecine (n= 124) 55% Frail (n=60) 41% Oncologie (n=16) 26% Severely Impaired (n=10) Avant cette admission aviez-vous besoin d aide au domicile? Depuis le début de symptômes avez-vous eu besoin de plus d aide daide à la maison? Avez-vous été hospitalisé un jour ou plus ces six derniers mois? Avez-vous des problèmes de vue? Avez-vous des problèmes de mémoire? Prenez-vous plus de 3 médicaments par jour?
11 Score ISAR - interprétation Si plus de deux réponses positives, le patient est à risque d évènement indésirable : déclin fonctionnel Réadmission En cas de retour à domicile Les définitions basées sur des règles Ferrucci, et al, JAGS 2004 Caractéristiques cliniques - Fried 5 critères Perte de poids involontaire au cours de la dernière année (-4,5 kg/an) Vitesse de marche lente (dans les 20% de la gaussienne pour marcher 15 m) Faible force de préhension ( dans les 20% sur la main dominante) Faiblesse/Epuisement (positif) Activités physiques réduites (sur le calcul des dépenses calorique) Trois états facilement repérables: non fragile (pas de critères) pré-fragile ou intermédiaire (1 à 2 critères) fragile (3 ou plus) Fried, L et al, J Genrontol 2004 Prévalence de la Fragilité selon Classe Age : CHStudy Adapté de Fried LP et Al : J Gerontol 2001
12 Les définitions basées sur le jugement Tendance simplificatrice Exclusion ou Fragmentation de la fragilité cognitive, sociale et/ou psychologique : on parle de «physical frailty» On tend à expliquer l essentiel de la fragilité par la sarcopénie. Au final: «la sarcopenie c est la fragilité» Gill: la fragilité se définit par une vitesse de marche diminuée (plus de 10 secondes au test de marche sur 3m) Rockwood, K. et al. CMAJ 2005;173: Fragilité : Rockwood Lancet : Normal 1 : Incontinence 2 : Un sur: Difficulté marche Altération cognitive Alteration 1 ADL +- incontinence 3 : un ou plus Difficulté marche Démence Aide nécessaire au moins 2 ADL Facteurs précipitants d un état à l autre Maladies Démence / Delirium Dépendance Médicaments, alcool et drogues Dysphagie Troubles des sens (cécité, surdité) Dépression, manque de soutien social Pauvreté Évaluation gériatrique standardisée LES OUTILS D ANALYSE DE LA FRAGILITE : L EVALUATION GERIATRIQUE STANDARDISEE Rubenstein 1984, Goldberg 1997 Stuck et al 1996 Méta-analyse Mortalité : -14% Réhospitalisation : - 12% Autonomie : + 72% Bénéfices: Précision diagnostic Orientation sujet âgé Autonomie Fonctions cognitives médicaments hospitalisation coût mortalité
13 Objectifs de l EGS Améliorer la précision diagnostic Optimiser le traitement médical Améliorer le devenir médical Améliorer l autonomie fonctionnelle et la qualité de vie Optimiser le lieu de vie Améliorer la pertinence de l utilisation des services Conduite à tenir En bonne santé Fragile Totalement handicapé Selon Wieland et Rubenstein Aging Clin Exp 1992 Système de surveillance classique Solidarité de voisinage, Aide au maintien à domicile Évaluation multifocale Surveillance pluridisciplinaire chronique En forme Malade Soin de prévention type santé communautaire particulièrement si : hospitalisation Consultation gériatrique UGA Hop. de Jour d évaluation Service de soins de suite Soins en EHPAD, en USLD, Soin gradué à domicile, Soins palliatifs Opérationnalisation La fragilité se définit par rapport à un type de devenir Chutes Déclin cognitif Perte d autonomie Entrée en institution Mortalité, etc Par rapport à la population de référence Institutionnalisée ou pas Dans un horizon temporel Fragilité pendant l hospitalisation Fragilité à un an ou deux ans, etc Il ne peut pas y avoir de définition opérationnelle unique de la fragilité Les personnes âgées en 2005 Les personnes âgées en bonne santé Environ % Les personnes âgées très dépendantes Environ 5 % Les personnes âgées «fragiles» 10 à 15 % Risque+++ de devenir dépendantes Le concept de fragilité Vieillissement et fragilité Regroupe les facteurs de mauvais pronostic face à une agression au terme d études très diverses In fine il a une relation Probablement ténue avec le processus de vieillissement Très forte avec les maladies liées à l avancée en âge et leurs conséquences (incapacité, effets secondaires des médicaments) Très forte avec des facteurs socio-économiques Très forte avec la qualité des soins délivrés
14 «Ne demandez jamais à une personne âgée comment elle va s il vous reste autre chose à faire le même jour.» Joe Restivo humoriste américain
Assurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailLe service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie. Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux
Le service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux Plan Vulnérabilité et fragilité de la personne âgée Filière de
Plus en détailPrévention du déclin fonctionnel en EHPAD : rôle du massokinésithérapeute. Dr K.Sudres février 2015
Prévention du déclin fonctionnel en EHPAD : rôle du massokinésithérapeute Dr K.Sudres février 2015 Les résident d EHPAD sont majoritairement dépendants : aide complète pour l habillage (52.9%) et pour
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLa télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain. Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL)
La télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Angers FHF 13 septembre 2012 Ce qui a changé dans l exercice
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailIMMED Monitoring vidéo porté
IMMED Monitoring vidéo porté L indexation vidéo au service du soin des personnes Projet financé par PEPS S2TI CNRS et des bourses BQR de l Université Bordeaux 1 1 Contexte Maladies et dépendances liées
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailÉvaluation et Gériatrie
Évaluation et Gériatrie D Somme Service de gériatrie HEGP www.hegp-geriatrie.fr Nous n avons rien trouvé chez vous, nous allons donc vous traiter pour le syndrome du déficit de symptômes Evaluer? Que signifie
Plus en détailLes technologies de l information, support de la réorganisation territoriale
Les technologies de l information, support de la réorganisation territoriale Pierre Simon Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) De quoi parlons-nous? Le cadre de la santénumérique
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailL aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009
L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détailLe décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.
Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailLES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES
Enquête complémentaire mentaire de mars 2009 LES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES présentée par Michel MOUILLART Professeur d Economie à l Université de Paris X - Nanterre - Mercredi 22 juillet 2009 -
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailDémence et fin de vie chez la personne âgée
Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailRéunion de travail: Table Ronde 10h45-12h15
Réunion de travail: Table Ronde 10h45-12h15 10h45-10h50: Introduction de Madame La Ministre, Michèle Delaunay 10h50-11h05: Présentation générale du Gérontopôle (Pr B Vellas) 11h05-11h10: Présentation du
Plus en détailEVALUATION GERONTOLOGIQUE STANDARDISEE
UNIVERSITE DE LA MEDITERRANEE FACULTE DE MEDECINE DE MARSEILLE EVALUATION GERONTOLOGIQUE STANDARDISEE INTERET ET APPLICATIONS DANS L APPROCHE GLOBALE DE LA PRISE EN CHARGE DES PERSONNES AGEES. APPORT DE
Plus en détailMaltraitance Technophobie Technophilie Technopénie Pr Robert Moulias Commission Age Droits Liberté Fédération 39 77 contre la Maltraitance (ex ALMA
Maltraitance Technophobie Technophilie Technopénie Pr Robert Moulias Commission Age Droits Liberté Fédération 39 77 contre la Maltraitance (ex ALMA et HABEO) 1 RAPPEL Vieillesse ne signifie pas : - DEPENDANCE
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailTIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire
TIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire Telecom Bretagne, Institut Telecom M@rsouin, CREM Myriam.legoff@telecom-bretagne.eu
Plus en détailConstruction de bases biométriques pour l assurance dépendance. SCOR inform - Novembre 2012
Construction de bases biométriques pour l assurance dépendance SCOR inform - Novembre 2012 Construction de bases biométriques pour l assurance dépendance Auteur Laure de Montesquieu Responsable Centre
Plus en détailUnité mobile de télémédecine au service de l urgence et du soin chronique M-V. Moreno, P. Chauvet, O. Ly
Unité mobile de télémédecine au service de l urgence et du soin chronique M-V. Moreno, P. Chauvet, O. Ly INTELLIGENT HEALTH & PREVENTIVE MEDICINE INTERNATIONAL SYMPOSIUM Tanger, Juin 2014 M-V. Moreno,
Plus en détailAssurance-maladie complémentaire (LCA)
CC (Conditions complémentaires) Visana Assurances SA Valable dès 2014 Assurance-maladie complémentaire (LCA) Traitements ambulatoires Sommaire Page 3 3 4 6 Assurance complémentaire des frais de guérison
Plus en détailA - Nomenclature des préjudices de la victime directe
ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant
Plus en détailAgenda. Prevalence estimates in France PAQUID 23/11/14. Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014. Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER
23/11/14 Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014 Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER Agenda La Banque Nationale Alzheimer Exemples d application Quelles potentialités pour la BNA? (à quelles conditions?)
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailCharte nutritionnelle
Charte nutritionnelle NOTRE MISSION : CONSTRUIRE ET PRESERVER LE CAPITAL SANTE L équilibre alimentaire est un enjeu majeur de santé publique. De ce contexte, Nutrisens s engage à maintenir et à renforcer
Plus en détailLIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER
LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER Le secteur de la Recherche scientifique et de la biotechnologie connaît un fort dynamisme, attesté par
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailVertiges et étourdissements :
: comment être à la hauteur? Anthony Zeitouni, MD, FRCSC Présenté à la 71 e édition du Programme scientifique de l Association des médecins de langue française du Canada. Est-ce bien des vertiges? Il n
Plus en détailPRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN
PRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN 1 1 L ACTION SOCIALE NOS VALEURS SOLIDARITÉ Valeur centrale, elle s exprime par la mise en œuvre d interventions au profit de tous ses clients : entreprises,
Plus en détailEtablissements de prise en charge des seniors
Etablissements de prise en charge des seniors Claudine Fabre I. Introduction Qui est vieux? Dans le langage courant, le terme de personnes âgées sousentend un individu retraité ou > 65 ans Sous cette étiquette
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailwww.assuranceintel.ca
AUGMENTEZ VOS VENTES ET GAGNEZ DU TEMPS GRÂCE À DE L INFORMATION AU BOUT DE VOS DOIGTS AssuranceINTEL : Un outil essentiel dans un marché en constante évolution CARACTÉRISTIQUES DES PRODUITS DISPONIBLES
Plus en détailObjectifs et Modalités. Présentation : Dr M. Hours, INRETS
Objectifs et Modalités Présentation : Dr M. Hours, INRETS Objectifs du projet Identifier les facteurs pronostiques de handicap et/ou de mauvaise réinsertion des victimes d accidents de la circulation Sous-
Plus en détailCentre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP
Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» EDS CHS MSP MSP «La Traversée» Anémones 1 - Anémones 2-45 lits 30 lits Chênes - 45 lits Dont - Circuits de soins internés 25 lits - Circuit de
Plus en détailHospital Anxiety and Depression Scale (HADS)
dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailCOMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE
COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE DESCRIPTION DU MÉTIER Le masseur-kinésithérapeute ou «kiné» dans le langage courant, effectue sur prescription médicale des actes de gymnastique médicale, de massage, de
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE LE HANDICAP
MIEUX COMPRENDRE LE HANDICAP CONTEXTE Selon la loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées «Art. L. 114. - Constitue un
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailClassifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.
Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer
Plus en détailEvaluation gériatrique standardisée. Dr Karim GALLOUJ Service de médecine gériatrique Pôle de gérontologie CH Dron Tourcoing
Evaluation gériatrique standardisée Dr Karim GALLOUJ Service de médecine gériatrique Pôle de gérontologie CH Dron Tourcoing DESC,Capacité de gérontologie Lille, le 18 décembre 2014 EGS ou Comprehensive
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailwww.assuranceintel.ca
UNE VEILLE CONCURRENTIELLE EN QUELQUES CLICS! AssuranceINTEL : un outil essentiel dans un marché en constante évolution CARACTÉRISTIQUES DES PRODUITS DISPONIBLES DANS LES TABLEAUX COMPARATIFS Abonnements
Plus en détailPopulation active et pauvreté en région Centre
Population active et pauvreté en région Centre Conseil Economique et Social Régional du Centre Janvier 2010 Partie I. Périmètre de l étude quatre ménages touchant le SMIC ou le RSA Nombre potentiel de
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailPrécarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne
O B S E R V A T O I R E R E G I O N A L D E L A S A N T E D E M I D I - P Y R E N E E S Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne Novembre 2007 SYSTEME
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailPrésentation 2007. pour. Observatoire Vieillissement et Société
Présentation 2007 pour Observatoire Vieillissement et Société Stéphane Tremblay Directeur de Territoire Région de l Est Qu est-ce que Lifeline? Argus? Philips? Lifeline est un service de télésurveillance
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailLa fragilité est-elle inéluctable avec l avance en âge?
Vulnérabilité et vieillissement : comment les prévenir, les retarder ou les maîtriser? Vulnerability and aging: can they be prevented, delayed or controlled? 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailBURN OUT DES PROFESSIONNELS DE SANTE. Et Hygiène? Dr JC Perréand-Centre Hospitalier Valence
BURN OUT DES PROFESSIONNELS DE SANTE Et Hygiène? De quoi parle-t-on? Burn.Out. ou syndrome d épuisement professionnel : «maladie caractérisée par un ensemble de signes, de symptômes et de modifications
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailMention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité
Mention : STAPS Sport, Prévention, Santé, Bien-être Objectifs de la spécialité L'objectif de la spécialité «Sport, Prévention, Santé, Bien être» est de doter les étudiants de compétences scientifiques,
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?
Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012
Plus en détailCohorte Observatoire Musculosquelettique (COMETT) Pénibilité et Vieillissement
TITRE DU CONSORTIUM : Cohorte Observatoire Musculosquelettique (COMETT) Pénibilité et Vieillissement RESPONSABLES : Alexis Descatha, UMS 011, Villejuif ; Yves Roquelaure, LEEST, Angers ; Bradley Evanoff,
Plus en détailSYNTHÈSE. En 2012, la province Sud compte 16 700 personnes. Le maintien à domicile : solution privilégiée des personnes âgées
SYNTHÈSE BP 823-98845 Nouméa Nouvelle-Calédonie (687) 27 54 81 isee@isee.nc www.isee.nc Directeur de la publication Alexandre Gautier Conception et réalisation Département publications Synthèse N 3 Édition
Plus en détailCarlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu
Carlo Diederich Directeur Santé&Spa Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Mondorf Healthcare at work Nouveau service destiné aux entreprises en collaboration avec les Services de Médecine du Travail
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détail> Présentation du programme... 3. > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4
2 SOMMAIRE > Présentation du programme... 3 > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4 > L Équilibre, où en êtes-vous? : Prévenir les chutes et apprendre à se relever
Plus en détailQuelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation
1 Septembre 2014 Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation Grand-Charmont est une commune de 5200 habitants qui compte 57 % de logements sociaux. Les revenus
Plus en détailPrésentation: Aline Mendes
Présentation: Aline Mendes Définition et aspects épidémiologiques; Parcours d un aidant et survenue du fardeau; Modalités d intervention; Institutionnalisation; L aidant professionnel; Réseau à Genève.
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Une nouvelle activité vient de voir le jour. «Le BTP Gériatrique»
DOSSIER DE PRESSE Une nouvelle activité vient de voir le jour «Le BTP Gériatrique» Adapt 06 est une société de travaux tout corps d état, spécialisée dans l adaptation des logements pour les personnes
Plus en détailCapteurs pour la santé et l autonomie. Nouvelles approches technologiques. pour le suivi sur les lieux de vie
Capteurs pour la santé et l autonomie Nouvelles approches technologiques pour le suivi sur les lieux de vie Santé : nécessité de nouvelles approches Le nouveau contexte créé par les technologies de l information
Plus en détailEthique, don d organe et Agence de la Biomédecine
Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine Patrick Niaudet Président du Conseil d Orientation de l ABM Servie de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Necker-Enfants Malades, Paris Mon intervention ne
Plus en détailPièces à joindre RENTREE 2015-2016. Qui peut bénéficier de la bourse de lycée?
INFORMATIONS PRATIQUES A DESTINATION DES FAMILLES Ouverture de la campagne de bourse de lycée RENTREE 2015-2016 Pièces à joindre Qui peut bénéficier de la bourse de lycée? Où peut- on retirer un formulaire
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailLe vieillissement porteur d innovation
D O S S I E R D E P R E S S E Le vieillissement porteur d innovation Vendredi 3 décembre 2010 INSTITUT OCEANOGRAPHIQUE 195, rue Saint-Jacques 75005 Paris Contact Presse : Marion Menut 01 57 63 25 14 SOMMAIRE
Plus en détailPLANS COLLECTIFS D ASSURANCES
ASSOCIATION QUÉBÉCOISE DES DIRECTEURS ET DIRECTRICES D ÉTABLISSEMENT D ENSEIGNEMENT RETRAITÉS PLANS COLLECTIFS D ASSURANCES ASSURANCE-MALADIE-MÉDICAMENTS et VOYAGE (obligatoire) 1 er janvier 2006 au 31
Plus en détailN.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4
Profil démographique 1 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4 Groupe d âge 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Sexe Niveau de scolarité Homme 48,0 40,5 47,8 52,3
Plus en détailBurn out des professionnels de santé. Quels facteurs? Comment le mesurer? Quelles conséquences?
Burn out des professionnels de santé Quels facteurs? Comment le mesurer? Quelles conséquences? Docteur Jean-Claude PERREAND Centre Hospitalier de Valence De quoi parle t-on? Burn out, ou syndrome d épuisement
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLa protection sociale en France
18 La protection sociale en France FONCTIONNEMENT La protection sociale peut fonctionner selon trois logiques. LA LOGIQUE D ASSURANCE SOCIALE La logique d assurance sociale a pour objectif de prémunir
Plus en détailACCESSIBILITÉ INNOVATION DÉVELOPPEMENT
ACCESSIBILITÉ INNOVATION DÉVELOPPEMENT L art de cultiver des savoirs, des expériences, des compétences et des talents www.chuq.qc.ca/fr/info_plus/formations_en_ligne DES ACTIVITÉS DE FORMATION EN LIGNE
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailEvaluation gériatrique standardisée
Evaluation gériatrique standardisée Dr Karim GALLOUJ Service de médecine gériatrique Pôle de gérontologie CH Dron Tourcoing Capacité de gérontologie Lille, le 7 décembre 2012 EGS ou Comprehensive Geriatric
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détail«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»
DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de
Plus en détailMÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC
MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC Québec, le 21 février 2000 2. PRÉAMBULE La Fédération des médecins
Plus en détailDirection générale de l offre de soin
Apport de la télémédecine en matière de coopération territoriale 1. Une nouvelle organisation de l offre sanitaire pour mieux répondre aux besoins des populations 2. Comment organiser des activités de
Plus en détail