Séances de travail sur les tarifs domestiques - Propositions de l ACEF de Québec page 1

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Séances de travail sur les tarifs domestiques - Propositions de l ACEF de Québec page 1"

Transcription

1 Séances de travail sur les tarifs domestiques - Propositions de l ACEF de Québec page 1 PROPOSITIONS D ÉTUDES ET DE SCÉNARIOS DANS LE CADRE DES SÉANCES DE TRAVAIL SUR LES TARIFS DOMESTIQUES ACEF DE QUÉBEC Mai 2015

2 Séances de travail sur les tarifs domestiques - Propositions de l ACEF de Québec page 2 1. CORRÉLATION ENTRE LES HAUSSES TARIFAIRES ET LES MAUVAISES CRÉANCES Dans le document de présentation de la première séance de travail du 30 avril 2015, le Distributeur a fait un bilan de la stratégie tarifaire actuelle pour la période D ici la deuxième rencontre prévue pour juin 2015, le Distributeur s engage à analyser de nouveaux scénarios, en vue d une discussion sur les pistes à retenir pour la stratégie tarifaire du secteur domestique au prochain dossier tarifaire et à plus long terme. Dans ce cadre, nous proposons que le Distributeur étudie, à l aide des statistiques et des données qu il possède ou de tous autres moyens appropriés, la corrélation possible entre les hausses tarifaires et les mauvaises créances (nombre, amplitude, etc.). Le Distributeur pourrait également nous faire part des expériences d autres juridictions réglementaires sur ce sujet. Nous aimerions savoir en particulier si les mauvaises créances seraient un facteur à considérer dans les études des scénarios de stratégies tarifaires retenus par le Distributeur. Nous croyons que la connaissance de cet élément précis sera fort utile au groupe de travail à bien analyser les différentes stratégies tarifaires et à identifier les améliorations à privilégier dans la stratégie tarifaire pour et pour les années à venir. 2. ÉTABLISSEMENT DES SEUILS SAISONNIERS DE LA PREMIÈRE TRANCHE D ÉNERGIE (SCÉNARIOS D ÉTUDES) Justification des scénarios proposés par l ACEF de Québec Selon la structure tarifaire actuelle du tarif D, le seuil de la première tranche d énergie est établi à 30 kwh/jour. Dépassant ce seuil, le tarif passe de 5,68 /kwh à la 1 ère tranche d énergie à 8,60 /kwh en 2015 à la 2 ème tranche d énergie. Ce dernier tarif est donc de 51% 1 supérieur à celui de la 1 ère tranche d énergie. Actuellement, ce seuil s applique l été comme l hiver. Ainsi, la facture (bi-mensuelle) de la plupart des clients du Distributeur en hiver est beaucoup plus importante que celle en été, non seulement en raison du volume d énergie requise pour le chauffage des locaux, mais aussi du niveau relativement élevé du tarif de la 2 ème tranche d énergie par rapport à celui de la 1 ère tranche. Cette situation résulterait en grande partie de l application de la stratégie tarifaire du Distributeur depuis Cette dernière vise à donner un «signal de prix qui favorise une utilisation efficace de l énergie, en appliquant notamment des hausses tarifaires plus importantes sur les composantes sur lesquelles les clients peuvent agir davantage» (document de présentation d HQD, p. 34). Ainsi, la hausse annualisée de la 1 ère tranche d énergie est de 1,2%, alors que celle de la 2 ème tranche d énergie est de 3,1% pour la période On constate que cette dernière est nettement supérieure à l inflation. En appliquant des hausses importantes sur le tarif de la 2 ème tranche 1 8,60/5,68=1,51 (référence : présentation du 30 avril 2015 du Distributeur, p. 34).

3 Séances de travail sur les tarifs domestiques - Propositions de l ACEF de Québec page 3 d énergie, l écart entre le tarif de la 2ème tranche d énergie et celui de la 1 ère tranche d énergie passe de 26% en 2006 à 51% en Cette forte augmentation du tarif de la 2 ème tranche d énergie frappe directement tous les ménages qui utilisent de l électricité pour le chauffage des locaux, notamment lorsque la température hivernale est en dessous de la température «normalisée» considérée par le Distributeur pour ses études. À la séance de travail du 30 avril dernier, le Distributeur a présenté certaines données relatives à la consommation quotidienne en hiver, en été, et au niveau annuel de certains groupes de consommateurs ou de certaines tranches de consommation annuelle. Nous résumons ces données dans le tableau ci-dessous. Tableau 1 Consommation quotidienne par client par tranches de consommation (kwh/jour) (Réf.: doc. HQD, pp ) Hiver Été Année Tranches de consommation annuelle (kwh/an): < kwh/an kwh/an Locataires: kwh/an (moyenne) 31 Propriétaires - Multilogements - TAE: kwh/an (moyenne) 30 Ménages à faible revenu: kwh/an (moyenne) 39 Propriétaires - Autres que TAE: kwh/an (moyenne) Ensemble de la clientèle du Distributeur Propriétaires - Maisons, Duplex, Triplex - TAE: kwh/an (moyenne) Exploitations agricoles: kwh/an (moyenne) et plus Seuil actuel de la première tranche d'énergie (kwh/jour): Consommation moyenne quotidienne de l'ensemble de la clientèle du Distributeur (kwh/jour) Tarif de la 2ème tranche d'énergie ( /kwh) 8,6 6,33 Tarif de la 1ère tranche d'énergie ( /kwh) 5,68 5,02 Ratio 1,51 1,26 Référence: présentation du 30 avril 2015 du Distributeur, page 34.

4 Séances de travail sur les tarifs domestiques - Propositions de l ACEF de Québec page 4 À la 3ème ligne du tableau 1, on note la tranche de consommation annuelle « kwh» que nous appelons le groupe des «petits consommateurs d énergie». Ce groupe comprend plusieurs ménages à faible revenu, locataires, propriétaires de multi-logements, et propriétaires autres que TAE (Tout-A-l Électricité). [Les ménages à faible revenu se trouvent dans plusieurs tranches de consommation; leur consommation varie d une quantité minime à kwh/an, selon la présentation d HQD, p. 9]. À titre illustratif, un petit consommateur d énergie ayant une consommation annuelle moyenne de kwh (34 x 365 = kwh/an) consomme 54 kwh/jour en hiver et 25 kwh/jour en été (voir la 3ème ligne du tableau 1). Il en résulte que la facture d électricité des petits consommateurs est importante en hiver puisque 44% de sa consommation hivernale (24/54=44%) tombe au tarif de la deuxième tranche d énergie. Si les hausses tarifaires de la 2 ème tranche d énergie évoluaient au cours des prochaines années au dessus de l inflation comme par le passé (3,1 %/an en moyenne lors de la dernière décennie; 4,1% l an dernier) 3, la facture d électricité des petits consommateurs augmenterait certes de façon importante et affecterait sans doute leur capacité de payer d autres services essentiels. La stratégie tarifaire actuelle, avec un seuil unique de la 1 ère tranche d énergie, ne permettrait donc pas une «protection» adéquate des petits consommateurs, c est-à-dire, selon nous, des prix abordables et stables sur plusieurs années. Elle donnerait aux plusieurs ménages à faible revenu le «signal» - par le truchement du fort prix de la 2 ème tranche d énergie- de faire davantage d économie d énergie alors que leur consommation est déjà réduite au minimum dans plusieurs cas et la décision d investir dans des dispositifs et des mesures économiseurs d énergie tels l isolation des mûrs et le changement des fenêtres ne leur appartient pas (cas des locataires). Pour remédier à cette situation, nous pensons que le seuil de la 1 ère tranche d énergie devrait être relevé, par exemple à 54 kwh/jour pour la période d hiver, avec des prix modifiés en conséquence. Le tableau suivant donne un ordre de grandeur du prix de la nouvelle première tranche d énergie en se basant sur les prix de 2015 (scénario du seuil hivernal à 54 kwh/jour). Le Distributeur, en possédant les données relatives aux volumes et aux caractéristiques de consommation de différents groupes de sa clientèle domestique requises pour l étude des scénarios, pourrait certes raffiner la détermination du seuil hivernal et du prix de la nouvelle 1 ère tranche d énergie. 3 L an dernier, la hausse du prix de la 2 ème tranche d énergie est de 4,12% - voir tableau ci-dessous. Prix ( /kwh) Prix ( /kwh) Hausse 1er avril er avril premiers kwh par jour 5,57 5,68 1,97% Reste de l'énergie 8,26 8,6 4,12% Références: HQD, R , HQD-14, doc. 3, p. 4 HQD, Document de présentation, 30 avril 2015, p. 34

5 Séances de travail sur les tarifs domestiques - Propositions de l ACEF de Québec page 5 Tableau 2 Ordre de grandeur du prix de la première tranche d'énergie modifié pour le nouveau seuil hivernal (scénario à 54 kwh/jour) [2015] Nouveau seuil hivernal de la 1ère tranche d'énergie: 54 kwh/jour Prix de la 1ère tranche d'énergie actuelle 5,68 /kwh Prix de la 2ème tranche d'énergie actuelle 8,6 /kwh Coût actuel des premiers 30 kwh (30 x 5,68/100) 1,70 $ $/jour Coût actuel des 24 kwh supplémentaires (24 x 8,6/100) 2,06 $ $/jour Total 3,77 $ $/jour Prix unitaire de la nouvelle 1ère tranche (3,77$ x 100 /54) 6,98 /kwh Avec des seuils variables selon les saisons de la 1 ère tranche d énergie (par exemple 54 kwh en hiver et 30 kwh en été), la Régie pourrait donc ajuster son prix à un niveau qu elle jugera raisonnable, afin de tenir compte de la capacité de payer des ménages à faible revenu et de bon nombre de petits consommateurs domestiques. De plus, elle pourrait faire évoluer le prix de la nouvelle 1 ère tranche d énergie et indirectement la facture d électricité des petits consommateurs selon un rythme stable dans les prochaines années. En revanche, les hausses tarifaires de la 2 ème tranche d énergie pourraient être plus élevées que dans le cas d un seuil unique pour les deux saisons, accentuant ainsi le signal de prix de la nouvelle 2 ème tranche qui toucherait surtout les grands consommateurs domestiques (grandes maisons, grandes exploitations agricoles, etc.). Similairement, nous invitons le Distributeur à étudier l opportunité de baisser le seuil de la 1 ère tranche d énergie en été, à 25 kwh/jour par exemple. La réponse aux engagements no 3.1 du Distributeur (page 7) reproduite ci-dessous indique que la consommation moyenne par jour par client en été de plusieurs groupes de consommateurs domestiques est inférieure à 30 kwh/jour. Tableau 3 En particulier, la consommation quotidienne moyenne des groupes «locataires» et «MFR» pendant les 4 mois d été les plus creux n est que de 17 et 22 kwh respectivement, selon une évaluation du Distributeur en réponse à une question de la Régie (voir tableau ci-dessous, réponse du Distributeur à l engagement no 8-A, page 11).

6 Séances de travail sur les tarifs domestiques - Propositions de l ACEF de Québec page 6 Tableau 4 Finalité des scénarios proposés L implantation éventuelle des seuils différenciés par saison de la 1 ère tranche d énergie ne coûtera rien au Distributeur; par conséquent, elle n affectera pas les dividendes de l actionnaire. Elle ne fait pas référence directement à un niveau spécifique de revenu des clients du Distributeur et maintient le caractère universel de la première tranche d énergie. Elle serait un outil additionnel facilitant la protection des ménages à faible revenu et des petits consommateurs d énergie dans les années à venir. Finalement, elle permettrait un meilleur ciblage du signal de prix de la 2ème tranche d énergie pour encourager l efficacité énergétique. Nous souhaitons que le Distributeur valide ou invalide nos analyses préliminaires présentées cidessus et précise les impacts de l introduction des seuils différenciés par saison de la 1 ère tranche d énergie sur différents groupes de clients domestiques (locataires, propriétaires, MFR, exploitations agricoles, etc.) et leurs strates de consommation. Nous suggérons également que le Distributeur fasse des études de sensibilité des seuils saisonniers (par exemple les seuils hivernaux correspondant à la consommation moyenne des petits consommateurs [54 kwh/jour] ou de l ensemble des clients du Distributeur [76 kwh/jour], les seuils estivaux de 30 kwh [seuil actuel] et de 25 kwh], ainsi que des prix associés aux deux tranches d énergie.

7 Séances de travail sur les tarifs domestiques - Propositions de l ACEF de Québec page 7 3. PRISE EN COMPTE DES COÛTS ÉVITÉS À LONG TERME DANS LE CONTEXTE DE SURPLUS D ÉLECTRICITÉ PATRIMONIALE D ICI 2024 La stratégie tarifaire actuelle du Distributeur vise à tendre graduellement le prix de la 2 ème tranche d énergie vers le coût évité du chauffage de long terme en énergie (fourniture et transport, énergie seulement) [référence : document de présentation d HQD, p. 36, 2 ème colonne]. Or, le Distributeur indique que sa situation de surplus énergétique n aurait que des impacts sur le coût évité en énergie de court terme [document de présentation d HQD, p. 30]. Le Distributeur reconnait qu il aura des surplus jusqu en 2024 (document de présentation d HQD, p. 30), ce qui semble, selon nous, ne relever pas uniquement de l horizon de court terme. Nous souhaitons donc que le Distributeur : - nous explique en détail ses hypothèses ayant lui permis d en arriver à la conclusion mentionnée précédemment; - nous éclaire sur le rationnel de comparer le prix de la 2 ème d énergie au coût évité de 14,01 /kwh en alors qu il y aurait de l électricité patrimoniale en surplus à environ 3 /kwh; - et précise comment la stratégie tarifaire de la prochaine décennie devrait tenir compte, le cas échéant, de la disponibilité d électricité patrimoniale en surplus jusqu en 2024 et surtout de son coût très faible par rapport à ceux d autres sources d énergie. 4 Document de présentation du Distributeur du 30 avril 2015, page 36, colonne à l extrême droite intitulée «Constats».

CALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING

CALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING CALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING SÉLECTION DES RISQUES PRÉVISION DES DÉFAUTS SUIVI ET CONTRÔLE Pierre-Louis GONZALEZ Différents types de

Plus en détail

ETUDE DE LA SECONDE VIE DES BATTERIES DES VEHICULES ELECTRIQUES ET HYBRIDES RECHARGEABLES

ETUDE DE LA SECONDE VIE DES BATTERIES DES VEHICULES ELECTRIQUES ET HYBRIDES RECHARGEABLES ETUDE DE LA SECONDE VIE DES BATTERIES DES VEHICULES ELECTRIQUES ET HYBRIDES RECHARGEABLES Juin 2011 Étude réalisée pour le compte de l'ademe par Schwartz and Co et AJI Europe Coordination technique : Patrick

Plus en détail

1. Référence : Pièce B-4, HQD-2, document 1, page 9, tableau R-2.1.

1. Référence : Pièce B-4, HQD-2, document 1, page 9, tableau R-2.1. Page 1 de 8 DEMANDE DE RENSEIGNEMENTS N O 2 DE LA RÉGIE DE L ÉNERGIE (LA RÉGIE) RELATIVE À LA GESTION DU RISQUE DE CRÉDIT DE LA CLIENTÈLE GRANDE PUISSANCE 1. Référence : Pièce B-4, HQD-2, document 1, page

Plus en détail

Répartition des coûts du compte de pass-on par catégorie de consommateurs

Répartition des coûts du compte de pass-on par catégorie de consommateurs Répartition des coûts du compte de pass-on par catégorie de consommateurs Coûts et caractéristiques de la consommation Plan de travail 1. Retour sur le suivi de la rencontre du 17 mai 1.1 Illustration

Plus en détail

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4

Plus en détail

BOULANGERIE : NIVEAU DE MAITRISE

BOULANGERIE : NIVEAU DE MAITRISE MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION BOULANGERIE

Plus en détail

-et- -et- RAPPORT. Jacques Fontaine Consultant en énergie

-et- -et- RAPPORT. Jacques Fontaine Consultant en énergie Page i C A N A D A PROVINCE DE QUÉBEC DISTRICT DE MONTRÉAL DOSSIER R-3708-2009 RÉGIE DE L'ÉNERGIE CAUSE TARIFAIRE 2010-2011 D'HYDRO- QUÉBEC DISTRIBUTION HYDRO-QUÉBEC En sa qualité de Distributeur -et-

Plus en détail

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections

Plus en détail

Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES

Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres

Plus en détail

Option de souscription en dollars américains

Option de souscription en dollars américains Option de souscription en dollars américains Qu il s agisse de fonds d actions canadiennes, américaines ou étrangères, de fonds de titres à revenu ou de fonds équilibrés, Fonds communs Manuvie est heureuse

Plus en détail

Arrêté du XXXX. relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR :

Arrêté du XXXX. relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR : RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement Arrêté du XXXX relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR : La ministre

Plus en détail

PATISSERIE : NIVEAU DE MAITRISE

PATISSERIE : NIVEAU DE MAITRISE MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION PATISSERIE

Plus en détail

LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP

LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP 2006 1 Généralités Terminologie Les solutions pour le client Les marchés La prestation L évaluation des postes Les entreprises Durée

Plus en détail

ECONOMIE D ENERGIE DES APPAREILS ELECTROMENAGERS : POURQUOI PAYER PLUS POUR CONSOMMER MOINS? ENQUETE ET PROPOSITIONS DE L UFC-QUE CHOISIR

ECONOMIE D ENERGIE DES APPAREILS ELECTROMENAGERS : POURQUOI PAYER PLUS POUR CONSOMMER MOINS? ENQUETE ET PROPOSITIONS DE L UFC-QUE CHOISIR ECONOMIE D ENERGIE DES APPAREILS ELECTROMENAGERS : POURQUOI PAYER PLUS POUR CONSOMMER MOINS? ENQUETE ET PROPOSITIONS DE L UFC-QUE CHOISIR L enquête L UFC-Que Choisir vient de réaliser une enquête sur les

Plus en détail

DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. accompagnant le document:

DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. accompagnant le document: COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 22.4.2015 SWD(2015) 88 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT accompagnant le document: Rapport de la Commission au Parlement

Plus en détail

GDF Suez et. «la gestion des clients en difficulté»

GDF Suez et. «la gestion des clients en difficulté» GDF Suez et la Solidarité ité «la gestion des clients en difficulté» 1 Le marché de l énergie depuis juillet 2007 Le marché de l énergie est ouvert aux particuliers depuis juillet 2007. Cela implique :

Plus en détail

Tout dossier client est affecté à un binôme leader 1 / assistante :

Tout dossier client est affecté à un binôme leader 1 / assistante : Assistance administrative et financière Intuitae vous propose de prendre en charge vos problématiques administratives, comptables et financières : collecte et classement de vos documents administratifs,

Plus en détail

Pôle Performance Industrielle Durable. Page 1 Rencontre SEE Le 20/05/2014 Lille. Innover

Pôle Performance Industrielle Durable. Page 1 Rencontre SEE Le 20/05/2014 Lille. Innover Page 1 Innover en mécanique Page 2 Rencontre Solutions Energie Entreprises Lille le 20 mai 2014 Atelier : «Audit énergétique obligatoire : quelles sont les entreprises concernées?» Eric SENECHAL-CETIM

Plus en détail

Bilan thermique et social simplifié

Bilan thermique et social simplifié Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement 34 Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 32 quai de Rouen 59 100 ROUBAIX Informations

Plus en détail

Financement de la réhabilitation des logements

Financement de la réhabilitation des logements Financement de la réhabilitation des logements Quels instruments disponibles? La gamme des outils Aides directes de l Etat et des collectivités locales Subventions nationales et locales Défiscalisation

Plus en détail

U N E N O U V E L L E P E R S P E C T I V E D E G E S T I O N D E V O T R E H Ô T E L

U N E N O U V E L L E P E R S P E C T I V E D E G E S T I O N D E V O T R E H Ô T E L La gestion intelligente de l'énergie U N E N O U V E L L E P E R S P E C T I V E D E G E S T I O N D E V O T R E H Ô T E L A m é l i o r e z l e c o n f o r t d e v o s c l i e n t s t o u t e n r é d

Plus en détail

Bilan thermique et social simplifié

Bilan thermique et social simplifié Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 72 rue de Rome 59 100 Roubaix Informations

Plus en détail

Principe d optimisation. Optimisation technico-économique. Coût. Isolation thermique. Isolation optimale

Principe d optimisation. Optimisation technico-économique. Coût. Isolation thermique. Isolation optimale Optimisation technico-économique Objectif : obtenir une certaine prestation à moindre coût Dans le domaine du bâtiment, cette optimisation peut s appliquer à trois niveaux différents : choix des composants

Plus en détail

AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre?

AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre? Réunion CCI Franche-Comté - Besançon 13 mai 2014 AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre? Paule.nusa @afnor.org Nour.diab@afnor.org

Plus en détail

ANALYSE GLOBALE DES PROGRAMMES DE LA SHQ. SQEP 18 novembre 2011

ANALYSE GLOBALE DES PROGRAMMES DE LA SHQ. SQEP 18 novembre 2011 ANALYSE GLOBALE DES PROGRAMMES DE LA SHQ SQEP 18 novembre 2011 Contexte Problématiques Objectifs Cadre conceptuel Étude comparative des programmes - Modèle matriciel de comparaison (indice ICP) - Grille

Plus en détail

Evolution de la fiscalité des carburants

Evolution de la fiscalité des carburants Evolution de la fiscalité des carburants Comité pour la fiscalité écologique 16 mai 2013 Scénarios étudiés Scénario 1 : alignement complet de la TICPE gazole sur le super (18 c /l) sur 9 ans (2 c /l/an),

Plus en détail

Tarifs de vente du gaz naturel TVA incluse au 1er avril 2015. Tarifs de vente du gaz naturel TVA incluse au 1er mars 2015

Tarifs de vente du gaz naturel TVA incluse au 1er avril 2015. Tarifs de vente du gaz naturel TVA incluse au 1er mars 2015 s de vente du gaz naturel TVA incluse au 1er avril 2015 Abonnement 66,43 EUR/an 78,33 EUR/an 226,57 EUR/an 226,57 EUR/an 1616,95 EUR/an 7332,56 EUR/an Hiver (1) Eté (1) Hiver (1) Eté (1) 1 10,06 8,24 5,51

Plus en détail

Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins

Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins études résultats et N 603 octobre 2007 Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins Une enquête a été effectuée par la DREES au deuxième trimestre 2006 auprès de personnes

Plus en détail

Commentaires sur l Entente cadre 2006 entre Hydro-Québec Distribution et Hydro-Québec Production. Témoignage de Philip Raphals.

Commentaires sur l Entente cadre 2006 entre Hydro-Québec Distribution et Hydro-Québec Production. Témoignage de Philip Raphals. Témoignage de Philip Raphals pour le RNCREQ Régie de l énergie for the RNCREQ April 18, 2007 TABLE OF CONTENTS 1 Qualifications...1 2 Mandat...2 3 Approche méthodologique...2 4 L électricité patrimoniale

Plus en détail

Les sources de revenu 1

Les sources de revenu 1 Chapitre 5 Les sources de revenu 1 par Georges Langis2 Introduction Aujourd hui, 17 % des personnes de 18 ans et plus ont 65 ans et plus. En 2030, cette proportion passera à environ 33 %. Les personnes

Plus en détail

Les salariés de l économie sociale et solidaire

Les salariés de l économie sociale et solidaire L'Économie sociale et solidaire Les salariés de l économie sociale et solidaire L'EMPLOI SALARIÉ L ESS, un employeur déterminant de l économie régionale 20 Relative précarité de l emploi dans l ESS 22

Plus en détail

THE GLOBAL PV EXPERTS. KRANNICH TRINITY

THE GLOBAL PV EXPERTS. KRANNICH TRINITY THE GLOBAL PV EXPERTS. KRANNICH TRINITY SOLUTION INTELLIGENTE POUR STOCKAGE DE L ENERGIE SOLAIRE Engagement total en faveur de l autonomie énergétique L AUTO- CONSOMMATION EST RENTABLE. En France, les

Plus en détail

Imposition des sociétés

Imposition des sociétés Imposition des sociétés Introduction L imposition des sociétés est un sujet qui revêt une grande importance pour toute personne qui s occupe de planification financière ou successorale. La mise en place

Plus en détail

Ce document synthétise les principaux aspects de DayTrader Live, le service le plus haut de gamme de DayByDay.

Ce document synthétise les principaux aspects de DayTrader Live, le service le plus haut de gamme de DayByDay. Bienvenue chez DayByDay, Ce document synthétise les principaux aspects de DayTrader Live, le service le plus haut de gamme de DayByDay. Il est en deux parties : - Les idées de trading : quels sont les

Plus en détail

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque

Plus en détail

TARIF A5 OPTION BASE RECTO

TARIF A5 OPTION BASE RECTO TARIF A5 OPTION BASE RECTO 1- Numéro de facture : Mention du numéro de la présente facture (nécessaire pour toute demande d'explication) et de sa date d'édition. 2- Pour tout renseignement contacter :

Plus en détail

PRÉSENTATION DE L OFFRE D ENERGIES POSIT IF

PRÉSENTATION DE L OFFRE D ENERGIES POSIT IF Société d Economie Mixte Energies POSIT IF : Promouvoir, Organiser, Soutenir et Inventer la Transition énergétique en Ile-de-France PRÉSENTATION DE L OFFRE D ENERGIES POSIT IF Ensemblier technique, financier

Plus en détail

Bilan année 1 et 2 OPAH maîtrise de l énergie 2012-2016 Syndicat Mixte Arlysère. Comité de pilotage du 02/10/2014

Bilan année 1 et 2 OPAH maîtrise de l énergie 2012-2016 Syndicat Mixte Arlysère. Comité de pilotage du 02/10/2014 Bilan année 1 et 2 OPAH maîtrise de l énergie 2012-2016 Syndicat Mixte Arlysère Comité de pilotage du 02/10/2014 423 logements doivent être améliorés durant les 4 années de l OPAH d Arlysère (objectif

Plus en détail

LES TURBOS INFINIS. Investir avec un levier adapté à votre stratégie!

LES TURBOS INFINIS. Investir avec un levier adapté à votre stratégie! LES TURBOS INFINIS Investir avec un levier adapté à votre stratégie! Produits présentant un risque de perte en capital, à destination d investisseurs avertis. Émetteur : BNP Paribas Arbitrage Issuance

Plus en détail

Consulting SEO Mis à jour en juin 2012 ETUDE MOTS CLES CEQUAMI

Consulting SEO Mis à jour en juin 2012 ETUDE MOTS CLES CEQUAMI Consulting SEO Mis à jour en juin 2012 ETUDE MOTS CLES CEQUAMI Sommaire 1. ANALYSE DES RECHERCHES... 2 2. RECOMMANDATIONS...11 2.1. ELEMENTS DETERMINANTS...11 2.2. SELECTION DE MOTS CLES...11 Page 2 sur

Plus en détail

Becca Distribution Inc

Becca Distribution Inc Becca Distribution Inc 12-31-2008-12-31-2009 Becca Distribution Inc - Becca_2008.opt Page 3 Mesures clés du rendement de l'entreprise Seuil de rentabilité Valeur cible % Rentabilité % Rentabilité = 0 Période

Plus en détail

RAPPORT EXÉCUTIF DE LA FIRME DE CONSULTANTS GARTNER

RAPPORT EXÉCUTIF DE LA FIRME DE CONSULTANTS GARTNER A Demande R-3491-2002 RAPPORT EXÉCUTIF DE LA FIRME DE CONSULTANTS GARTNER HYDRO-QUÉBEC ÉVALUATION DU PROJET SIC ET RECOMMANDATIONS, 7 AOÛT 2002 Original : 2002-09-20 HQD-2, Document 1 (En liasse) Rapport

Plus en détail

Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne

Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Dans la perspective de la première conférence franco-allemande sur l énergie qui se tiendra le 2 juillet prochain à Paris 1, il paraît

Plus en détail

EQUIPEMENTS ELECTRONIQUES : MAINTENANCE

EQUIPEMENTS ELECTRONIQUES : MAINTENANCE MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION EQUIPEMENTS

Plus en détail

L ouverture des marchés de l électricité et du gaz naturel

L ouverture des marchés de l électricité et du gaz naturel Fiche pratique /Mes démarches L ouverture des marchés de l électricité et du gaz naturel L'ouverture à la concurrence des marchés de l électricité et du gaz naturel est effective depuis le 1er juillet

Plus en détail

PROJET DE RÉHABILITATION DU 201 JARRY OUEST, MONTRÉAL

PROJET DE RÉHABILITATION DU 201 JARRY OUEST, MONTRÉAL annuel 0 PROJET DE RÉHABILITATION DU 0 JARRY OUEST, MONTRÉAL Original : 0-0- HQD-, document Page de annuel 0 Conformément à la décision D-00-0, le Distributeur dépose le suivi 0 des travaux du projet

Plus en détail

Facture annuelle p. 1/9 - Electrabel. Votre code Zoomit : 11111 Votre identifiant : (www.electrabel.be)0 00/BE ZFRBC 5 B-W2-L9

Facture annuelle p. 1/9 - Electrabel. Votre code Zoomit : 11111 Votre identifiant : (www.electrabel.be)0 00/BE ZFRBC 5 B-W2-L9 Facture annuelle p. 1/9 - Electrabel Données client 1. Numéro de client 2. Nom et adresse 3 1 Votre code Zoomit : 11111 Votre identifiant : (www.electrabel.be)0 Données facture 3. Numéro de facture 4.

Plus en détail

Boussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!

Boussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,

Plus en détail

COMMENTAIRE LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Services économiques TD

COMMENTAIRE LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Services économiques TD COMMENTAIRE Services économiques TD mai LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Faits saillants Le fait que la Banque du Canada ait récemment indiqué que les taux d intérêt pourraient

Plus en détail

INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur

INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur Université Montesquieu Bordeaux IV 1 ère année Licence AES Année universitaire 2012-2013 INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur Questions préliminaires

Plus en détail

Base de données PEGASE www.industrie.gouv.fr/energie

Base de données PEGASE www.industrie.gouv.fr/energie Liberté Égalité Fraternité RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L'ÉCONOMIE DES FINANCES ET DE L'INDUSTRIE 600 550 500 450 400 350 300 En euros constants indice base 100 en 1973 PRIX DES ÉNERGIES Prix du pétrole

Plus en détail

V- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation Prévision à l horizon 2014

V- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation Prévision à l horizon 2014 V- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation A- Les marchés du Bâtiment à l horizon 2014 1. Scénario prospectif sur le territoire de la Les prévisions à horizon 2014 reposent sur plusieurs hypothèses

Plus en détail

LACOURTE NOTE FISCALE OCTOBRE 2012

LACOURTE NOTE FISCALE OCTOBRE 2012 Le projet de Loi de finances pour 2013 présenté en Conseil des Ministres vendredi 28 septembre 2012 constitue la première pierre de l architecture de la politique fiscale du Gouvernement. Il vient bouleverser

Plus en détail

PRÉSENTS : M e Lise Lambert, LL.L., vice-présidente M. Anthony Frayne, B. Sc. (Écon.), MBA M. François Tanguay Régisseurs. Hydro-Québec Proposante

PRÉSENTS : M e Lise Lambert, LL.L., vice-présidente M. Anthony Frayne, B. Sc. (Écon.), MBA M. François Tanguay Régisseurs. Hydro-Québec Proposante D-2001-259 R-3439-2000 12 novembre 2001 PRÉSENTS : M e Lise Lambert, LL.L., vice-présidente M. Anthony Frayne, B. Sc. (Écon.), MBA M. François Tanguay Régisseurs Hydro-Québec Proposante et Liste des intervenants

Plus en détail

DELIBERATION N 2015-53 DU 20 MAI 2015 DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES INFORMATIONS NOMINATIVES PORTANT AVIS FAVORABLE A LA MISE EN ŒUVRE DE LA

DELIBERATION N 2015-53 DU 20 MAI 2015 DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES INFORMATIONS NOMINATIVES PORTANT AVIS FAVORABLE A LA MISE EN ŒUVRE DE LA DELIBERATION N 2015-53 DU 20 MAI 2015 DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES INFORMATIONS NOMINATIVES PORTANT AVIS FAVORABLE A LA MISE EN ŒUVRE DE LA MODIFICATION DU TRAITEMENT AUTOMATISE D INFORMATIONS NOMINATIVES

Plus en détail

Stratégie d assurance retraite

Stratégie d assurance retraite Stratégie d assurance retraite Département de Formation INDUSTRIELLE ALLIANCE Page 1 Table des matières : Stratégie d assurance retraite Introduction et situation actuelle page 3 Fiscalité de la police

Plus en détail

RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS

RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS 1 SITUATION DE L ÉTUDE Les données météorologiques sont des données primordiales pour le bon déroulement des calculs et pour avoir des résultats les plus proches de la réalité.

Plus en détail

TEST D'APTITUDES PHYSIQUES POUR LES TECHNIQUES AMBULANCIÈRES ( TAPTA )

TEST D'APTITUDES PHYSIQUES POUR LES TECHNIQUES AMBULANCIÈRES ( TAPTA ) TEST D'APTITUDES PHYSIQUES POUR LES TECHNIQUES AMBULANCIÈRES ( TAPTA ) PRÉAMBULE Toute personne désireuse de faire carrière en techniques ambulancières au Québec doit réussir le test d'aptitudes physiques,

Plus en détail

Etape 1 : paramétrage et choix du modèle d organisation

Etape 1 : paramétrage et choix du modèle d organisation L outil d analyse que nous vous proposons reprend toutes les étapes relatives à l'établissement d'un bulletin de paie en fonction du profil d'organisation de votre cabinet. Il doit vous permettre de mieux

Plus en détail

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les

Plus en détail

ACCESSION. Prêts ACCESSION dans le neuf (construction d une maison individuelle ou achat d un logement neuf) Prêt ACCESSION dans l ancien sans travaux

ACCESSION. Prêts ACCESSION dans le neuf (construction d une maison individuelle ou achat d un logement neuf) Prêt ACCESSION dans l ancien sans travaux FORMATION DROM 2014 ACCESSION Prêts ACCESSION dans le neuf (construction d une maison individuelle ou achat d un logement neuf) Prêt ACCESSION dans l ancien sans travaux Un projet immobilier? Oui, mais

Plus en détail

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars

Plus en détail

Où investir en 2014? Grand colloque sur la gestion des actifs des caisses de retraite

Où investir en 2014? Grand colloque sur la gestion des actifs des caisses de retraite Où investir en 2014? Grand colloque sur la gestion des actifs des caisses de retraite Optimisation de la politique de placement : vers quelles classes d actifs se tourner? Stéphan Lazure Conseiller principal

Plus en détail

TRIBUNE QUALITEL. L Observatoire des Charges

TRIBUNE QUALITEL. L Observatoire des Charges TRIBUNE QUALITEL L Observatoire des Charges Objectifs Présentation Tiers indépendant, QUALITEL, fournit un bilan factuel et des analyses objectives des résultats (ratio, positionnement, benchmark). Faire

Plus en détail

Comité réglementation et simplification du conseil national de l industrie 16 mai 2014

Comité réglementation et simplification du conseil national de l industrie 16 mai 2014 Comité réglementation et simplification du conseil national de l industrie 16 mai 2014 Transposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relatif à l obligation d audit énergétique Yann MENAGER

Plus en détail

La construction du budget communal. 25 avril 2015

La construction du budget communal. 25 avril 2015 La construction du budget communal 25 avril 2015 Le budget : un acte fondamental, très encadré Un acte de prévision et d autorisation Prévoit chaque année les recettes et dépenses de la commune Autorise

Plus en détail

Œnologie : Vins d Europe (hors France)

Œnologie : Vins d Europe (hors France) ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE - REGIME 1 DOCUMENT 8 bis DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION 1. La présente demande émane du réseau : (1) Communauté française O (1) Provincial et communal O (1) Libre

Plus en détail

Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état

Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état Le secteur du bâtiment est un des plus grands consommateurs d'énergie et émetteurs de gaz à effet de serre. C'est donc sur ce secteur que s'est

Plus en détail

«Regroupement de crédits : halte aux idées reçues» C O N F E R E N C E D E P R E S S E, 1 7 d é c e m b r e 2 0 1 3

«Regroupement de crédits : halte aux idées reçues» C O N F E R E N C E D E P R E S S E, 1 7 d é c e m b r e 2 0 1 3 «Regroupement de crédits : halte aux idées reçues» C O N F E R E N C E D E P R E S S E, 1 7 d é c e m b r e 2 0 1 3 INTRODUCTION : RAPPELS SUR LE REGROUPEMENT DE CREDITS 1 LE REGROUPEMENT DE CRÉDITS, QUAND?

Plus en détail

Applicable à partir de l année d assurance 2014 Assurance récolte Apiculture Section 13,2 - Admissibilité

Applicable à partir de l année d assurance 2014 Assurance récolte Apiculture Section 13,2 - Admissibilité Section 13,2 - Admissibilité Page 1 Les normes générales à toutes les protections d assurance concernant l application des normes d admissibilité se retrouvent à la procédure générale. Cependant, les normes

Plus en détail

CONVENTION DE L OFFRE e.lcl A LA CARTE

CONVENTION DE L OFFRE e.lcl A LA CARTE Loi informatique et Libertés du 06/01/1978 modifiée et secret professionnel : Je reconnais avoir été informé(e) que le Crédit Lyonnais pourra utiliser les coordonnées électroniques (adresse e-mail, n de

Plus en détail

COMPTABILITÉ DE GESTION

COMPTABILITÉ DE GESTION COMPTABILITÉ DE GESTION Direction du développement des entreprises Préparé par Jacques Villeneuve c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications : septembre 1997 Réédité par la Direction

Plus en détail

LE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007.

LE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. Edition 2008 LE PASS-TRAVAUX Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. A la demande de l ANPEEC, MV2 Conseil a réalisé, en 2007,

Plus en détail

Numéros commençant par 080 et 081

Numéros commençant par 080 et 081 Numéros commençant par 080 et 081 Consultation publique sur le projet de décision relatif aux numéros du plan national de numérotation commençant par 080 et 081 (17 juillet 2009 30 septembre 2009) Les

Plus en détail

STAGE : TECHNICIEN EN INFORMATIQUE

STAGE : TECHNICIEN EN INFORMATIQUE MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION STAGE

Plus en détail

ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en

ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE RESEAU DE CHALEUR DE L ECO- QUARTIER «CAP AZUR» A ROQUEBRUNE-CAP-MARTIN : Un réseau de chaleur innovant,

Plus en détail

Concours d entrée en Economie, printemps 2010. Test des connaissances en Technique Quantitative de Gestion

Concours d entrée en Economie, printemps 2010. Test des connaissances en Technique Quantitative de Gestion Concours d entrée en Economie, printemps 2010 Nom: Prénom: Test des connaissances en Technique Quantitative de Gestion Points Obtenus Points Maximum Exercice 1 27 Exercice 2 15 Exercice 3 10 Exercice 4

Plus en détail

PRIX DE VENTE À L EXPORTATION GESTION ET STRATÉGIES

PRIX DE VENTE À L EXPORTATION GESTION ET STRATÉGIES PRIX DE VENTE À L EXPORTATION GESTION ET STRATÉGIES Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Jacques Villeneuve, c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications

Plus en détail

Exigences de collecte de données financières sur l assurance automobile. Pièce jointe au Bulletin GISA 2012-06

Exigences de collecte de données financières sur l assurance automobile. Pièce jointe au Bulletin GISA 2012-06 Exigences de collecte de données financières sur l assurance automobile Pièce jointe au Bulletin GISA 2012-06 Le 26 octobre 2012 1. Introduction... 1 2. Sociétés déclarantes... 1 3. Données de référence...

Plus en détail

DOSSIER SOLUTION Amélioration de la planification de la capacité à l aide de la gestion des performances applicatives

DOSSIER SOLUTION Amélioration de la planification de la capacité à l aide de la gestion des performances applicatives DOSSIER SOLUTION Amélioration de la planification de la capacité à l aide de la gestion des performances applicatives Comment assurer une expérience utilisateur exceptionnelle pour les applications métier

Plus en détail

APPEL À PROJETS POUR LA MISE EN PLACE DE PROGRAMMES D INFORMATION, DE FORMATION ET D INNOVATION EN FAVEUR DE LA MAÎTRISE DE LA DEMANDE ÉNERGÉTIQUE

APPEL À PROJETS POUR LA MISE EN PLACE DE PROGRAMMES D INFORMATION, DE FORMATION ET D INNOVATION EN FAVEUR DE LA MAÎTRISE DE LA DEMANDE ÉNERGÉTIQUE APPEL À PROJETS POUR LA MISE EN PLACE DE PROGRAMMES D INFORMATION, DE FORMATION ET D INNOVATION EN FAVEUR DE LA MAÎTRISE DE LA DEMANDE ÉNERGÉTIQUE PRÉVUS À L'ARTICLE L. 221-7 DU CODE DE L'ÉNERGIE 1/10

Plus en détail

Le présent contrat prendra effet à la date de la signature entre les deux (02) parties pour une durée de (01) an renouvelable.

Le présent contrat prendra effet à la date de la signature entre les deux (02) parties pour une durée de (01) an renouvelable. Article 1 : Objet du contrat La société EVENT S PRESTATIONS s engage à assurer dans les conditions définies ci-après, les opérations de maintenance à savoir l entretien du matériel informatique référencé

Plus en détail

Le pour et le contre de la libéralisation du gaz et de l'électricité à Bruxelles Perspectives futures (2 ème partie)

Le pour et le contre de la libéralisation du gaz et de l'électricité à Bruxelles Perspectives futures (2 ème partie) Question de point de vue Rue de Gembloux, 48-5002 Saint-Servais Tél : 081/73.40.86 - Fax : 081/74.28.33 secretariat@equipespopulaires.be Cette analyse est téléchargeable sur : www.equipespopulaires.be

Plus en détail

Direction des Études et Synthèses Économiques Département des Comptes Nationaux Division des Comptes Trimestriels

Direction des Études et Synthèses Économiques Département des Comptes Nationaux Division des Comptes Trimestriels Etab=MK3, Timbre=G430, TimbreDansAdresse=Vrai, Version=W2000/Charte7, VersionTravail=W2000/Charte7 Direction des Études et Synthèses Économiques Département des Comptes Nationaux Division des Comptes Trimestriels

Plus en détail

Investir en vue d'obtenir un revenu d'actions sur les marchés d aujourd hui Juin 2014

Investir en vue d'obtenir un revenu d'actions sur les marchés d aujourd hui Juin 2014 Investir en vue d'obtenir un revenu d'actions sur les marchés d aujourd hui Juin 2014 Animatrice : Jennifer McClelland, CFA Vice-présidente et première gestionnaire de portefeuille, Actions canadiennes

Plus en détail

SOLUTIONS DE FINANCEMENT. À chaque projet son financement!

SOLUTIONS DE FINANCEMENT. À chaque projet son financement! À chaque projet son financement! NOS SOLUTIONS POUR FINANCER VOS PROJETS Les solutions de financement de Groupama Banque sont conçues pour répondre à vos attentes. S S ADAPTÉS À VOS BESOINS Quel que soit

Plus en détail

GUIDE DE L UTILISATEUR. SERVICE EN LIGNE DE PRISE DE RENDEZ-VOUS Page 1 LIV_PRJ_RDL_DEV914_APP_ENLIGNE_GUIDE_UTILISATEUR_1,1_2013-03-14.docx/.

GUIDE DE L UTILISATEUR. SERVICE EN LIGNE DE PRISE DE RENDEZ-VOUS Page 1 LIV_PRJ_RDL_DEV914_APP_ENLIGNE_GUIDE_UTILISATEUR_1,1_2013-03-14.docx/. SERVICE EN LIGNE DE PRISE DE RENDEZ-VOUS GUIDE DE L UTILISATEUR SERVICE EN LIGNE DE PRISE DE RENDEZ-VOUS Page 1 Table des matières 1 Termes techniques, icônes et boutons... 4 1.1 Termes techniques... 4

Plus en détail

Conclusions de l après-midi énergétique du 10 décembre 02

Conclusions de l après-midi énergétique du 10 décembre 02 Conclusions de l après-midi énergétique du 10 décembre 02 Maîtriser les consommations résidentielles d électricité. Quelles obligations de Service Public pour les fournisseurs? Quelles missions pour les

Plus en détail

ERDF et la Transition Energétique. CESE Nice le 23 avril 2014

ERDF et la Transition Energétique. CESE Nice le 23 avril 2014 ERDF et la Transition Energétique CESE Nice le 23 avril 2014 1. ERDF et la distribution d électricité en France 2. La transition énergétique 3. ERDF dans la transition énergétique 4. En synthèse 1 ERDF

Plus en détail

ACN Energie en partenariat avec Direct Energie Présentation marché et produits

ACN Energie en partenariat avec Direct Energie Présentation marché et produits ACN Energie en partenariat avec Direct Energie Présentation marché et produits 1 Sommaire 1. Direct Energie en quelques mots 2. Aperçu du marché 3. L'essentiel sur l'électricité et le gaz 4. Electricité

Plus en détail

DEUXIÈME ÉTUDE D'IMPACT QUANTITATIVE SUR LE RISQUE DE MARCHÉ SOMMAIRE DES RÉSULTATS

DEUXIÈME ÉTUDE D'IMPACT QUANTITATIVE SUR LE RISQUE DE MARCHÉ SOMMAIRE DES RÉSULTATS Deuxième étude d impact quantitative sur le risque de marché Sommaire des résultats Comité mixte BSIF, AMF et Assuris Janvier 2011 DEUXIÈME ÉTUDE D'IMPACT QUANTITATIVE SUR LE RISQUE DE MARCHÉ SOMMAIRE

Plus en détail

la comparaison des ampoules

la comparaison des ampoules description la comparaison des ampoules 6 e année, Sciences et technologie Source : Adapté de TDSB, Heat in the Environment Au cours de cette activité d apprentissage, les élèves exploreront leur utilisation

Plus en détail

agility made possible

agility made possible DOSSIER SOLUTION Amélioration de la planification de la capacité à l aide de la gestion des performances applicatives Comment assurer une expérience utilisateur exceptionnelle pour les applications métier

Plus en détail

Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016.

Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. FINANCER MON PROJET Crédit d'impôt développement durable Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. Mais attention, il ne s'applique pas dans les mêmes conditions et au même

Plus en détail

CRÉATION MODIFICATION

CRÉATION MODIFICATION FACTURATION CRÉATION/MODIFICATION CRÉATION Ajouter une facture Compléter le détail de la facture Imprimer la facture Ajouter un sous-total Arrondir le total de la facture Fermer une facture 7 Créer une

Plus en détail

LE RÉSULTAT DU CERTIFICAT PEB Pour le résidentiel

LE RÉSULTAT DU CERTIFICAT PEB Pour le résidentiel LE RÉSULTAT DU CERTIFICAT PEB Pour le résidentiel 1. A QUOI CORRESPOND LA LETTRE (A,B G) SUR MON CERTIFICAT PEB? La lettre correspond à une consommation théorique qui se base sur les caractéristiques propres

Plus en détail

Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart

Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart Ville de Clamart PARTENAIRES Finances Locales Avril 2015 Ville de Clamart 1 Présentation de PARTENAIRES Finances Locales PARTENAIRES Finances Locales

Plus en détail

SOLAIRE BALLERUP LA VILLE CONTEXTE. (Danemark) Ballerup

SOLAIRE BALLERUP LA VILLE CONTEXTE. (Danemark) Ballerup SOLAIRE BALLERUP (Danemark) Utiliser l énergie solaire thermique avec un système de stockage de chaleur classique à accumulation et à régulation sur une longue période est une des alternatives les plus

Plus en détail

DEFI «MISE EN VEILLE»

DEFI «MISE EN VEILLE» DEFI «MISE EN VEILLE» La consommation de nuit et de week end dépasse souvent 25% de la facture électrique de l école Quel gaspillage énergétique, écologique et financier! Le défi à relever est de découvrir

Plus en détail

Les jeudis du patrimoine

Les jeudis du patrimoine Les jeudis du patrimoine Quelles solutions pouvez-vous envisager pour réduire votre impôt sur le revenu? Le 29 novembre 2012 19h30 07/12/2012 1 Présentation des héros du jour Couple : Sophie et Marc, 2

Plus en détail