3.4. L offre de soins pour la mère et l'enfant. La santé observée dans les régions de France
|
|
- Marie St-Pierre
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L offre de soins pour la mère et l'enfant 3.4 Le contexte La prise en charge de la santé de la mère et de l enfant s inscrit dans une démarche, constamment renouvelée, de recherche de la sécurité au moment de la grossesse et de l accouchement, de baisse de la mortalité et de la morbidité au cours des premières années de la vie, et de lutte contre le handicap. Le plan quinquennal gouvernemental, présenté en avril 1994, a pour objectif de diminuer la mortalité infantile de 30 %, de réduire de moitié le nombre de femmes non suivies au cours de leur grossesse, de faire baisser de 20 % a mortalité périnatale et de 25 % le nombre de nouveau-nés hypotrophiques (moins de 2,5 kg). Le dispositif actuel de soins pour la mère et l'enfant s articule autour de plusieurs axes : la médecine libérale, la médecine hospitalière, la Protection maternelle et infantile et le service de promotion de la santé en faveur des élèves. Le suivi des femmes enceintes s est beaucoup amélioré, la majorité des femmes bénéficiant des sept examens prénataux obligatoires. Cependant, selon une enquête récente (enquête nationale périnatale 1995, DGS, PMI, SESI, INSERM), 1 % des femmes sont peu ou pas suivies pendant leur grossesse (moins de 4 consultations) et 11 % n ont jamais consulté l équipe de la maternité avant l accouchement. Le suivi de l enfant est assuré par des examens obligatoires au 8e jour, au 9e mois et au 24e mois. La médecine libérale est fortement impliquée dans la surveillance de la grossesse, les médecins généralistes dans la phase initiale et les gynécologues-obstétriciens pour le suivi du troisième trimestre. Selon l enquête du CREDES, en 1992, le recours au médecin libéral pour une grossesse se fait dans 45 % des cas auprès d un généraliste et dans 55 % des cas auprès d un spécialiste. Pour la prise en charge de l accouchement, des mesures récentes visent à renforcer l encadrement médical, notamment par une présence médicale permanente dans les maternités. Ces mesures conduiront à terme à la fermeture de certains des plus petits établissements. La protection maternelle et infantile (PMI) assure des consultations maternelles et/ou infantiles pour le suivi de la future mère et/ou de l enfant jusqu à 6 ans. Depuis les lois de décentralisation, les services de PMI sont sous la responsabilité des conseils généraux. La PMI a notamment en charge le suivi des enfants à l école pré-élémentaire. Le service de promotion de la santé en faveur des élèves, dépendant de l Education nationale, a pour rôle de suivre la santé de l enfant scolarisé, en mettant notamment l accent sur l éducation à la santé. Première édition
2 3.4 L offre de soins pour la mère et l enfant La santé observée dans les régions de France En 1993, il existe, en France métropolitaine, lits hospitaliers (publics et privés) de gynécologie-obstétrique, ce qui représente 2,2 lits pour 1000 femmes de 15 à 44 ans. Ce taux d'équipement varie peu d une région à l autre, se situant dans la majorité des cas entre et 2,3. Six régions ont un taux égal ou supérieur à 2,4 lits pour 1000 femmes, et c est en Corse que le taux est maximum avec 3,3 lits. Seule la région Languedoc-Roussillon se trouve juste en dessous de la barre de 2,0 lits pour 1000 femmes et trois autres régions atteignent juste ce niveau (PACA, Centre, haute- Normandie). Six régions comptent au moins 2,4 lits pour 1000 femmes Taux d'équipement en lits de gynécologie-obstétrique au Nombre de lits de gynécologie-obstétrique pour 1000 femmes de ans * moins de à 2,3 2,4 et plus 2,2 2,5 2,3 2,3 2,3 2,0 2,2 2,7 2,4 2,0 2,5 2,9 1,9 2,0 2,2 Sources : DRASS-SESI, INSEE estimations au ,3 France métropolitaine: 2,2 * Les taux sont calculés sur les femmes de ans qui constituent la tranche d âge la plus concernée par les lits de gynécologie-obstétrique, bien que ceux-ci incluent la gynécologie médicale qui concerne toutes les tranches d âge. 2
3 3.4 L offre de soins pour la mère et l enfant Dans 2 régions, la densité en gynéco-obstétriciens est faible : environ femmes par praticien Les gynécologues-obstétriciens qui assurent la prise en charge des femmes enceintes ont un exercice libéral (cabinet de ville, clinique privée) pour 73 % d entre eux. Les autres sont salariés en établissements hospitaliers publics ou privés à but non lucratif. Au 1er janvier 1994, la densité moyenne en France est de 3009 femmes (âgées de 15 à 44 ans) par gynécologie-obstétricien. Les disparités régionales sont marquées puisque deux régions, les Pays-de-la-Loire et la Haute-Normandie, sont nettement derrière les autres, avec une densité autour de 4500 femmes par gynécologue-obstétricien. A l opposé, l Alsace, PACA et l Ile-de-France se situent au-dessous de 2400 femmes par gynécologue-obstétricien. Rappelons toutefois que les gynécologues-obstétriciens recensés comme tels ne pratiquent pas tous des accouchements puisque certains d entre eux exercent uniquement dans un cabinet de ville et que d'autres consacrent leur activité à la chirurgie gynécologique. Nombre de femmes de ans par gynécologue-obstétricien au Alsace PACA Ile-de-France Languedoc-R. Bretagne Auvergne Midi-Pyrénées Poitou-Char. Aquitaine Lorraine Limousin Bse-Normandie Rhône-Alpes Champagne-A. Bourgogne Corse Picardie Centre Nord-P-d-C. Franche-Comté Hte-Normandie Pays-de-la-Loire Sources : DRASS-SESI, INSEE estimations au France métropolitaine :
4 3.4 L offre de soins pour la mère et l enfant La santé observée dans les régions de France En 1993, en France métropolitaine, environ lits hospitaliers à destination des enfants sont installés : pédiatrie, néonatologie, réanimation, chirurgie pédiatrique... Ils relèvent pour 93 % d entre eux du secteur public. Le taux d équipement est en moyenne en France métropolitaine de 1,3 lit pour 1000 enfants de moins de 16 ans. L écart varie du simple au double pour deux régions contiguës, Poitou-Charentes (0,9) et Limousin (1,8). Mais, dans la moitié des régions, le taux est semblable, compris entre 1,1 et 1,5 lit pour 1000 enfants. Un taux d équipement supérieur à 1,7 lit pour 1000 enfants dans 6 régions Taux d'équipement en lits de pédiatrie et chirurgie pédiatrique au Nombre de lits pour 1000 enfants de moins de 16 ans moins de 1,1 1,1 à 1,5 1,6 et plus France métropolitaine : 1,3 1,1 1,7 1,0 0,9 1,1 1,7 1,2 1,0 1,4 1,7 1,5 1,0 1,3 1,7 1,8 1,3 1,2 1,0 1,1 1,2 1,6 1,2 Sources : DRASS-SESI, INSEE estimations au Le nombre d'enfants de moins de 16 ans par généraliste ou par pédiatre (libéraux et salariés confondus) met en évidence des disparités régionales importantes. Ainsi, on compte deux fois plus d enfants par généraliste dans certaines régions du Nord qu en PACA. Les écarts sont encore plus grands pour les pédiatres : trois fois plus d enfants par praticien dans les Pays-de-la-Loire qu en Ile-de-France. Une opposition Nord-Sud pour le nombre d'enfants par médecin Nombre d'enfants de moins de 16 ans par généraliste et par pédiatre au Nombre d'enfants de moins de 16 ans par généraliste 167 ou plus 137 à 166 moins de Nombre d'enfants de moins de 16 ans par pédiatre 2700 ou plus 2100 à 2699 moins de Sources : DRASS-SESI, INSEE estimations au France métropolitaine : France métropolitaine :
5 3.4 L offre de soins pour la mère et l enfant Deux fois et demie plus de femmes en Alsace qu'en Ile-de-France Les services de protection maternelle et infantile (PMI) mettent à la disposition des futures mères des consultations prénatales et une surveillance assurée à domicile, principalement par les sages-femmes. On compte en France 428 femmes enceintes et 1348 par sage-femme. Cinq régions seulement ont une couverture par les médecins supérieure à la moyenne nationale. L écart est important entre la région la mieux pourvue et la moins pourvue : 300 femmes enceintes en Ile-de-France et 800 en Alsace. En ce qui concerne les sages-femmes, les régions se répartissent à égalité de part et d autre de la moyenne nationale, mais l écart est très important entre la région la mieux couverte et celle qui l est le moins : 348 femmes enceintes par sage-femme de PMI en Corse, et, à l opposé, plus de 5500 dans les Pays-de-la-Loire. Cette région occupe une position très détachée des autres, suivie par la Franche-Comté. Par ailleurs, les positions respectives des régions ne sont pas les mêmes en ce qui concerne la couverture par les médecins et par les sages-femmes. En effet, 4 régions ont des taux supérieurs à la moyenne dans les deux cas (Ile-de-France, PACA, Picardie et Corse), 10 régions sont en-dessous de la moyenne dans les deux cas également, et les 8 autres occupent des positions divergentes. Nombre de femmes enceintes par médecin et sage-femme de PMI au Le nombre de femmes enceintes a été calculé en additionnant le nombre de naissances vivantes et le nombre d enfants mortnés. Ile-de-France PACA Midi-Pyrénées 378 Picardie Corse Bourgogne Aquitaine Nord-P-d-C Limousin Hte Normandie Languedoc-R Rhône-Alpes Bretagne Champagne- A Bse Normandie Franche-Comté 610 Lorraine Centre Pays-de-la-Loire 659 Poitou-Char Auvergne Alsace France métrop... médecin : sage-femme : Sources : Conseils généraux, DRASS-SESI, INSEE estimations au et naissances totales 5576 Nombre de femmes enceintes par sage-femme de PMI 5
6 3.4 L offre de soins pour la mère et l enfant La santé observée dans les régions de France Les consultations infantiles représentent la plus grande part de l activité de la PMI et sont assurées d une part par des médecins, et d autre part par des puéricultrices ou, à défaut, par des infirmières. En 1993, en France, on compte 2694 enfants de moins de 6 ans par médecin et 938 par puéricultrice ou infirmière. Les variations interrégionales de la couverture des enfants par les médecins de PMI sont analogues à la couverture des femmes enceintes. L écart entre la région la mieux couverte et celle qui l est le moins est important : 1739 enfants par médecin en Ile-de-France et près de 5000 en Alsace. Hormis l Ile-de-France, les régions les mieux pourvues prédominent dans la moitié sud de la France. Les variations sont moins marquées en ce qui concerne la couverture des enfants par les puéricultrices ou les infirmières de PMI. Seules deux régions (Ile-de-France et Corse) offrent une couverture supérieure à la moyenne nationale à la fois par les médecins et par les puéricultrices (ou infirmières) de PMI. En revanche, onze régions sont en dessous de cette moyenne nationale dans les deux cas. Les autres régions occupent des positions divergentes. Trois fois plus d'enfants en Alsace qu'en Ile-de-France Pour calculer les effectifs des médecins de PMI, on additionne ceux qui travaillent à temps complet, à temps partiel (équivalents temps plein) et les vacataires. Pour les vacataires, seules les heures de vacations sont connues. Les "équivalents temps plein vacataires" sont obtenus en divisant les heures de vacation par 1716 (heures de travail annuel estimées). Enfants de moins de 6 ans par médecin et par puéricultrice ou infirmière de PMI au Ile-de-France PACA Midi-Pyrénées Corse Picardie Bourgogne Aquitaine Languedoc-R. Nord-P-d-C. Limousin Rhône-Alpes Hte-Normandie Bretagne Champagne- A. Bse-Normandie Franche-Comté Lorraine Centre Pays-de-la-Loire Poitou-Char. Auvergne Alsace Nombre d enfants de moins de 6 ans par puéricultrice ou infirmière de PMI Sources : DRASS-SESI, INSEE estimations au et naissances vivantes 1993 France métrop.... puéricultrice ou infirmière : médecin :
7 3.4 L offre de soins pour la mère et l enfant Moins de médecins scolaires dans le Nord-Ouest Le service de promotion de la santé en faveur des élèves emploie en 1995, en équivalent temps-plein, 1760 médecins (y compris les vacataires) et 5070 infirmières. Ces effectifs assuraient, à la rentrée de 1995, des taux d'encadrement de 7170 élèves par médecin et 2490 élèves par infirmière. Le taux d'encadrement pour les médecins s'étend de élèves par médecin en Bretagne, région la moins bien pourvue, à 6190 en Champagne-Ardenne, région la mieux pourvue. Ce sont les régions du quart nord-ouest (Bretagne, Pays-de-la-Loire, Basse-Normandie) qui ont les taux les plus faibles. La répartition régionale du taux d'encadrement par les infirmières n'est pas superposable : sur 8 régions moins bien pourvues que la moyenne nationale pour les infirmières, 5 sont mieux pourvues en médecins. Les moyens en personnel de la santé scolaire sont cependant notoirement insuffisants dans toutes les académies pour assurer l'ensemble de ses missions : les visites obligatoires, l'éducation sanitaire, les examens à la demande (notamment pour inadaptation scolaire), et l'hygiène du milieu. Nombre d élèves par médecin et par infirmière de santé scolaire à la rentrée 1995 Champagne-Ardenne Corse Ile-de-France Alsace Nord-Pas-de-Calais PACA Picardie Haute-Normandie Limousin Languedoc-Roussillon Auvergne Poitou-Charentes Midi-Pyrénées Rhône-Alpes Bourgogne Aquitaine Franche-Comté Lorraine Centre Pays-de-la-Loire Basse-Normandie Bretagne Infirmières 6480 Médecins Source : Ministère de l éducation nationale France métrop.... infirmière : médecin :
8 3.4 L offre de soins pour la mère et l enfant La santé observée dans les régions de France En 1991, les départements d outre-mer comptent en moyenne 2,9 lits hospitaliers, publics ou privés, de gynécologie-obstétrique pour 1000 femmes en âge de procréer (15-44 ans). Ceci est sensiblement supérieur à la moyenne métropolitaine. Mais cette situation, apparemment favorable, s explique par une plus forte fécondité dans les DOM, qui génère donc des besoins en structures plus conséquents, en particulier en Guyane qui a un indice synthétique de fécondité élevé. En 1990, le nombre de femmes en âge de procréer par gynécologue-obstétricien dans les DOM est, en moyenne, de 30 % plus élevé qu en métropole. Ceci traduit une faible densité médicale spécialisée, et donc une inadéquation de l offre aux besoins, notamment à la Réunion et en Guyane. La situation outre-mer Taux d équipement en lits de gynécologie-obstétrique dans les DOM en 1991 nombre de lits pour 1000 femmes de ans Guyane 3,7 Guadeloupe 3,0 Réunion 2,5 Martinique 2,4 Métropole 2,3 Sources : SESI, INSEE Nombre de femmes de ans par gynécologue-obstétricien dans les DOM en 1990 Réunion 5390 Guyane 4569 Guadeloupe 4329 Martinique 3484 Métropole : 3214 Sources : SESI, INSEE En 1991, il existe dans les DOM 826 lits de pédiatrie. Le taux d équipement en Guyane et en Martinique est supérieur au taux de métropole (1,4 en 1990 et 1,3 en 1993). Dans les DOM, on compte deux fois plus d enfants par généraliste et 2,5 fois plus par pédiatre qu en métropole. La Guyane est le département où l écart par rapport à la moyenne métropolitaine est le plus accentué. Taux d équipement en lits de pédiatrie dans les DOM en 1991 nombre de lits pour 1000 enfants de moins de 15 ans Guyane 2,4 Martinique 2,3 Guadeloupe 2,2 Réunion 1,4 Métropole 1,4 Sources : SESI, INSEE Nombre d enfants de moins de 15 ans par généraliste et par pédiatre dans les DOM en 1990 généraliste pédiatre Guyane Guadeloupe Réunion Martinique Métropole Sources : SESI, INSEE 8
9 3.4 L offre de soins pour la mère et l enfant La surveillance des femmes enceintes par les services de protection maternelle et infantile (PMI) est organisée de façon assez homogène dans les DOM. Ainsi, cette surveillance est faite plus souvent par les sages-femmes et moins par les médecins. L activité principale de la PMI est constituée par les consultations infantiles réalisées par des médecins, des infirmières et des puéricultrices. A la Réunion, le nombre d enfants par puéricultrice de PMI est très élevé (12 fois plus important qu en métropole). S agissant du nombre d enfants par médecin, il est deux fois moins important en Guyane qu en métropole et oscille autour de la moyenne nationale dans les autres DOM. Nombre de femmes enceintes par médecin et sage-femme de PMI dans les DOM* Martinique Guadeloupe Réunion Guyane Métropole Nombre de femmes enceintes par sage-femme de PMI * Les données portent sur 1993 pour la métropole et la Réunion, 1990 pour la Guyane, la Guadeloupe et la Martinique Sources : Cons. généraux, SESI, INSEE Guadeloupe Nombre d enfants de moins de 6 ans par médecin et puéricultrice** de PMI dans les DOM* Guyane Martinique Réunion Métropole * Les données portent sur 1993 pour la métropole et la Réunion, 1990 pour la Guyane, la Guadeloupe et la Martinique ** les infirmières ne sont pas prises en compte Nombre d enfants de moins de 6 ans par puéricultrice de PMI Sources : Cons. généraux, SESI, INSEE 9
BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI
BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de
Plus en détailETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00
ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA
Plus en détailLe Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE
Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue
Plus en détailEvolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS
Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux
Plus en détailISF et intermédiation : Collecte 2009
ISF et intermédiation : Collecte 2009 juillet 2009 1 Contexte et méthodologie Contexte: L AFIC et l AFG ont conduit une enquête pour suivre l impact des mesures dites «ISF PME», et en particulier, pour
Plus en détailLa preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013
La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité
Plus en détailBilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie
Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février
Plus en détail21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5
21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent
Plus en détailBovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4
Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux vivre votre argent 27 janvier 2012 Pour ce palmarès 2012, la CLCV et Mieux vivre votre argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février
Plus en détailLES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2
LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations
Plus en détailListe des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013
12/07/2013 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33
Plus en détailInformatisation des données transfusionnelles
Informatisation des données transfusionnelles Dr Marie-France Angelini Tibert Coordonnateure régionale d hémovigilance Réunion - Mayotte Objectifs Optimiser et sécuriser les circuits Optimiser et sécuriser
Plus en détailListe des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015
02/09/2015 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33
Plus en détailLa Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 -
La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région - Juillet 2010 - Votre besoin en Capital Vous êtes dirigeant (ou futur dirigeant) d entreprise et vous souhaitez : Créer ou
Plus en détailLES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013
LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 Étude réalisée pour Imagerie Santé Avenir 2013 CEMKA-E VAL 43,
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE
TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Pour ce palmarès 2015, 140 banques de métropole et d outre-mer ont été passées à la loupe. Les tarifs analysés? Ceux en
Plus en détailBienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre
Bienvenue à Loire-Centre Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Présentation Le Groupe BPCE 2 Un groupe puissant et solide Les groupes Banque Populaire et Caisse d Epargne se sont unis pour créer
Plus en détailQuelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013
Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Sommaire Le Top 15.... 3 Les évolutions récentes... 7 Evolution du PNB... 12 Les résultats
Plus en détailORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur. La santé au travail. les régions de France
Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur La santé au travail dans les régions de France Collection
Plus en détailObservatoire de l Eolien
Observatoire de l Eolien Analyse du marché et des emplois éoliens en France Colloque France Energie Eolienne 2 octobre 2014 Editorial France Energie Eolienne, porte-parole de l éolien, regroupe les professionnels
Plus en détail9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs
DONNÉES AU 31/12/2006 SOURCE INSEE-CLAP 1 - DÉCEMBRE 2008 Panorama de l'économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Ce document est la première publication réalisée par l Observatoire national de l
Plus en détailLes enjeux du quotidien
Les enjeux du quotidien LES FRANCAIS ET LES JEUX D ARGENT EN LIGNE Sondage réalisé pour : La Presse quotidienne Nationale, Régionale, Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale ATTENTION EMBARGO
Plus en détailLes prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards
Plus en détail3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT
3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 - L offre d hébergement Définitions Dans ce chapitre sont présentés les parcs d hébergement marchand et non marchand qui constituent l offre touristique française. Le
Plus en détailLa mobilité. Au service des Outre-mer
La mobilité Au service des Outre-mer L Agence de l Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) est une agence d Etat au service des originaires et résidents des collectivités d outre-mer. LADOM a pour mission première
Plus en détailENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires
ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES
Plus en détailSITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON
ACO S S STA T SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON N - JANVIER 5 Le 1er juillet 3, une réduction unique des cotisations patronales de Sécurité sociale
Plus en détailRéseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE
L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE [Mise à jour : 10 mai 2014] 1 L équipe Siège UBIFRANCE Paris Michel Bauza Chef de Département UBIFRANCE siège, Paris Téléphone fixe 01 40 73 35
Plus en détailEdition février 2015. CEGEDIM CD, droits réservés : GDR_201502
1 Edition février 215 Chaque mois, CEGEDIM CD propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé (fiabilisation & enrichissement), pour vous
Plus en détailENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité
Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2013 Version définitive Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47
Plus en détailMutualité Fonction Publique 62 Rue Jeanne d Arc 75640 PARIS Cedex 13
62 Rue Jeanne d Arc 75640 PARIS Cedex 13 DIRECTION DE LA SANTE Département Relations avec les Professionnels de Santé Dossier suivi par : Monique LEFRANCOIS Réf. : 19/2005/ML/MPD Paris, le 22 décembre
Plus en détailListe des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil
Liste des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil Cette liste n est pas exhaustive. Le classement est effectué par ordre alphabétique de région (Alsace,
Plus en détailSECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL
SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL Etat du tissu associatif et bilan de l emploi du secteur non lucratif en 2013 En bref Le Centre de ressources DLA (CRDLA) du champ social, médico-social et santé poursuit son
Plus en détailla création d entreprise en nord-pas de calais
Nord-Pas de Calais N 184 SEPTEMBRE 2014 la création d entreprise en nord-pas de calais Près de 24 000 créations d entreprise en 2013 en Nord-Pas de Calais En 2013, les créations ont légèrement baissé en
Plus en détailForm. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie
Form tion Magazine Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie spécial emploi Région Haute-Normandie Édito P 3 P 4 P 6 P 7 P 8 P 10 P 11 Engagé dans
Plus en détailLe marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel
Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel Le nouveau paradigme de l IT IDC Visit us at IDC.com and follow us on Twitter: @IDC 2 L arrivée de nouvelles technologies insuffle
Plus en détailBaromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010
Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Opportunités de croissance ou créations d entreprise, plus de 44 000 commerces ou industries
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 30 janvier 2009 Des packages plus chers que les services à la carte dans plus de 50 % des banques, des prix globalement à la baisse
Plus en détailPolitique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens
au 1er Juin 2015 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale
Plus en détailau 1er novembre 2013
au 1er novembre 2013 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale
Plus en détailDéveloppement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle,
Des secteurs professionnels et des territoires investis sur les conditions de travail et la qualité de vie au travail L Serge DELTOR Directeur de l ARACT LR Délégué régional de l ANACT Aider les secteurs
Plus en détailRésultats du sondage
Résultats du sondage L agence française du programme européen «Jeunesse en action» (PEJA), dans le cadre de ses petits déjeuners «Prêt à l emploi!», a diffusé un questionnaire exclusif, réalisé en ligne
Plus en détailChaque mois, IMS Health propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé
Chaque mois, IMS Health propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé (fiabilisation & enrichissement), pour vous accompagner dans la compréhension
Plus en détailREGION HAUTE-NORMANDIE
Évaluation des effets d une fusion de la Région Haute-Normandie et de la Région Basse-Normandie REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la région Haute-Normandie et de la région Basse-Normandie
Plus en détailPlus de 600 associations 30 000 membres adultes 1100 jeunes, 1500 scolaires
Plus de 600 associations 30 000 membres adultes 1100 jeunes, 1500 scolaires I / Ile de France Gaphil II / Nord-Pas de Calais IIA / Picardie III/ Champagne Ardenne IV / Lorraine VI / Alsace Belfort VII
Plus en détailAssurances de biens et de responsabilité. Etude Mars 2014
Assurances de biens et de responsabilité Etude Mars 2014 Tempêtes, grêle et neige : Résultats de l année 2012 Ce document est la propriété exclusive de la FFSA et du GEMA et est protégé par le droit d'auteur.
Plus en détailPanorama. de l économie sociale et solidaire
Panorama de l économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Réalisée par l Observatoire National de l Economie Sociale et Solidaire, cette nouvelle édition du «Panorama de l économie sociale en France
Plus en détail"La santé des étudiants en 2009"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2009" 6ème Enquête Nationale Communiqué de presse. p 2 L USEM et les mutuelles étudiantes régionales.......... p 4 Présentation de l enquête santé... p 5 Méthodologie
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE
Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des
Plus en détailMICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL
ÉDUCATION FORMATION UDGET INSERTION ORMATION MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 EDUCATION INSERTION SOCIAL MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE Florence RAINEIX Directrice générale de la Fédération
Plus en détailCette nouvelle édition du Lien «spécial
Décembre 9 Editorial éditorial Editorial Editorial SPECIAL STATISTIQUES Evolution du nombre d'étudiants et de stagiaires à l'iufm de BOURGOGNE SITUATION 7 novembre 9 Evolution du nombre Effectifs d'étudiants
Plus en détailProtocole concernant l organisation des élections des délégués territoriaux au sein d Harmonie Mutuelle prévues au cours du 1er trimestre 2013
Protocole concernant l organisation des élections des délégués territoriaux au sein d Harmonie Mutuelle prévues au cours du 1er trimestre 2013 Harmonie Mutuelle, mutuelle soumise aux dispositions du livre
Plus en détailLA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/
LA RÉPARTITION DES DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de rachat de crédits
Plus en détailLA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/
LA RÉPARTITION S EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de serrurerie en France métropolitaine et en
Plus en détailRapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires
Rapport d activité 2014 Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires EN En 2014 3 668 emplois créés ou consolidés 907 projets accompagnés et 20,9 M mobilisés en Jean Jacques Martin Président
Plus en détailN 13 S É N A T. 30 octobre 2014 PROJET DE LOI
N 13 S É N A T SESSION ORDINAIRE DE 2014-2015 30 octobre 2014 PROJET DE LOI relatif à la délimitation des régions, aux élections régionales et départementales et modifiant le calendrier électoral. (procédure
Plus en détailProtection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004
Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et
Plus en détaill EmPloi CAdrE : une répartition très inégale sur le territoire
l EmPloi CAdrE : une répartition très inégale sur le territoire Les études de L emploi cadre n 2015-32 mars 2015 Cadres du privé et zones d emploi : une forte concentration. Les places fortes de l emploi
Plus en détailENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité
Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com
Plus en détailLe Service Central du Traitement de la Dépense. Intervenant l mentions légales.
Le Service Central du Traitement de la Dépense Intervenant l mentions légales. Sommaire L e S e r v i c e C e n t r a l d e Tr a i t e m e n t d e l a D é p e n s e : c o n t e x t e e t o b j e c t i
Plus en détailMédiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance
Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Septembre 2010 1 SOMMAIRE 1. Présentation de la Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la soustraitance
Plus en détailIdentification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14
3. ACCES RACCORDEMENT D Identification : -NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 Version Date Nature de la modification Annule et remplace V.1.0 17/10/2013 Version initiale -NOI-RAC-02E V.2.7
Plus en détail1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE
1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 2 1985 / 2009 : 25 ans de concours du crédit-bail au financement de l d entreprise* 1.Introduction : le crédit-bail,
Plus en détailrapport de l observatoire des TArifs bancaires
2013 rapport de l observatoire des TArifs bancaires 2013 rapport de l observatoire des tarifs bancaires Préambule La loi de régulation bancaire et financière du 22 octobre 2010 a confié au Comité consultatif
Plus en détailLE MARCHÉ DENTAIRE EN FRANCE 4 à 5
SOMMAIRE LE MARCHÉ DENTAIRE EN FRANCE 4 à 5 - Démographie de la profession dentaire 4 - Répartition Hommes/Femmes 4 - Répartition géographique 5 - Un marché sensible à la conjoncture 5 LES DENTISTES ET
Plus en détailDépendance et rayonnement. des établissements franciliens
ILE -DE- FRANCE études études Mai 2006 Dépendance et rayonnement des établissements franciliens Document réalisé dans le cadre du Schéma Directeur Régional de l'ile-de-france Julie Roy Insee Ile-de-France
Plus en détailLes bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003
La Lettre de la DRASS N 2006-03-L Avril 2006 Les bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003 Au 31 décembre 2003, 40 000 rhônalpins sont affi liés à l assurance maladie par le dispositif
Plus en détailAUDIT FRANCE LES FRANCAS FEDERATION NATIONALE LAIQUE DE STRUCTURES ET D ACTIVITES EDUCATIVES, SOCIALES ET CULTURELLES
AUDIT FRANCE LES FRANCAS FEDERATION NATIONALE LAIQUE DE STRUCTURES ET D ACTIVITES EDUCATIVES, SOCIALES ET CULTURELLES Association reconnue d utilité publique Siège social : 10/14 rue Tolain 75020 PARIS
Plus en détailRapport final version définitive. 12 Février 2013 Elise PICON Dr Nadine SANNINO Béatrice MINET- Anne-Cécile HENOCQ Romain SEIGNEUR
DGCS EVALUATION DU DISPOSITIF LITS HALTES SOINS SANTE (LHSS) Rapport final version définitive 12 Février 2013 Elise PICON Dr Nadine SANNINO Béatrice MINET- Anne-Cécile HENOCQ Romain SEIGNEUR DGCS-1788-EVALUATION
Plus en détailPLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE
Royaume du Maroc Ministère de la Santé PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Fin du Compte à rebours 2015 Avec l appui de Contexte En souscrivant aux
Plus en détailACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux. Rapport d étude 3
ACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux Rapport d étude 3 LES DIFFERENTES UTILISATIONS DU CHEVAL DE TRAIT DANS LES COMMUNES FRANÇAISES Le cheval apparait aujourd hui comme
Plus en détaildocument de travail L offre d accueil collectif des enfants de moins de trois ans en 2011 SÉRIE STATISTIQUES N 184 AOÛT 2013
Direction de la recherche, des études, de l évaluation et des statistiques DREES document de travail SÉRIE STATISTIQUES N 184 AOÛT 2013 L offre d accueil collectif des enfants de moins de trois ans en
Plus en détailDossier de Premier Contact. Recherche Financement Business Booster
Dossier de Premier Contact Recherche Financement Business Booster Document non-contractuel Avril 2012 1 Pourquoi rechercher du financement? 2 En auto-financement depuis 2008 Entreprendre librement, l auto-financement
Plus en détailREGLEMENT CHALLENGE LEGRAND VDI Février 2014
REGLEMENT CHALLENGE LEGRAND VDI Février 2014 Article 1. ORGANISATEUR La société LEGRAND SNC, au capital social de 6 200 000, immatriculée au RCS de LIMOGES, sous le numéro 389 290 586, dont le siège social
Plus en détail«PROJET PRIORITAIRE DE L OUEST GUYANAIS : LA CONSTRUCTION D UN D HÔPITAL A SAINT LAURENT DU MARONI»
Présentation : Réunion de présentation aux élus de Guyane - 11 juin 2011 «PROJET PRIORITAIRE DE L OUEST GUYANAIS : LA CONSTRUCTION D UN D NOUVEL HÔPITAL A SAINT LAURENT DU M. F-L BERTHOU, Directeur MARONI»
Plus en détailDOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr
COORDONNEES DE VOTRE SOCIETE DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr Dossier d'adhésion à compléter et à retourner à : SAS La Bourse des Déménagements - 23-25 rue
Plus en détailLa VAE à travers les régions. (information conseil et validation) Année 2012. études. Etude logo Proposition 4 bis
La VAE à travers les régions (information conseil et validation) Année 2012 études Etude logo Proposition 4 bis Décembre 2014 Sommaire NOTICE DE LECTURE p. 3 INFORMATION CONSEIL EN VAE Points relais conseil
Plus en détailcafé, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise
DOSSIER DE CANDIDATURE franchise 1. DEMANDEUR PHOTO ÉTAT CIVIL Nom Prénom Date de naissance Lieu de naissance / / Adresse Code postal Téléphone fixe Fax Ville tél portable: E-mail Situation familiale :
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE DE LA CLCV
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE DE LA CLCV L année 2005 sera-t-elle l année des grands changements dans les relations banques - clients? Les établissements bancaires veulent en convaincre les
Plus en détailAQUITAINE. Suivi de la Demande touristique 2010 1 ~
SUIVI DE LA DEMANDE TOURISTIQUE AQUITAINE ANNEE 2010 Note dee conjoncture TNS SOFRES-CRTA Suivi de la Demande touristique 2010 CRTAA DIRECCTE Aquitaine TNS T SOFRES 1 ~ SOMMAIRE AVERTISSEMENT METHODOLOGIQUE...
Plus en détailF.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000
F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000 PARIS, le 11 Avril 2000 PROCES VERBAL REUNION AFFAIRES GENERALES DU 24 MARS 2000 Présents : MM. SIMON, MERIC, VILLEROT, MARLIOT, Mmes
Plus en détailLE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE. www.imogroup.com FINANCEMENT GESTION PROMOTION VENTE LOCATION ACHAT
RÉSEAU NATIONAL D'AGENCES IMMOBILIÈRES INDÉPENDANTES ACHAT VENTE GESTION LOCATION PROMOTION FINANCEMENT LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE N É O, L ' A G E N T I M M O B I L I E R D E F A M I L
Plus en détailL Agence MD vous présente
L Agence MD vous présente 4 Millions d emails BtoB disponibles Focus sur les professions libérales Mise à jour de septembre 2014 1 La Meg@baseB2B 4 Millions d emails de décideurs disponibles L Agence MD
Plus en détailPRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN
PRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN Commission Animation territoriale CNIG 28/01/2014 Marie-Louise ZAMBON IGN (chef du service des programmes à la direction des programmes civils
Plus en détailSOMMAIRE. I - Synthèse de l'activité 2014... 2. II - Secteur "Logement" métropole... 4
SOMMAIRE I - Synthèse de l'activité 2014... 2 II - Secteur "Logement" métropole... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS + EXISTANTS... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS... 9 ACTIVITE LOGEMENTS EXISTANTS... 13 ACTIVITE
Plus en détailq u estions santé d économie de la analyse Repères Les primes des contrats individuels des couvertures complémentaires en 1998
Bulletin d information en économie de la santée q u estions d économie de la santé analyse Repères Depuis plusieurs années, l IRDES étudie le marché de la couverture complémentaire et a élaboré, en 1998,
Plus en détailPortrait statistique des entreprises et des salariés
Portrait statistique des entreprises et des salariés Commerce de détail de l Habillement et des articles textiles Comité Paritaire de Pilotage de l Observatoire Portrait statistique des entreprises et
Plus en détailIntroduction de la couverture maladie universelle (CMU) en France
Conférence internationale de recherche en sécurité sociale an 2000 Helsinki, 25-27 septembre 2000 La sécurité sociale dans le village global Introduction de la couverture maladie universelle (CMU) en France
Plus en détailRAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE
Page 1 RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Page 2 Page 3 RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Sommaire Sommaire... 3 Edito... 4 Champ d application et d observation... 6 Établissements..14 Effectifs...
Plus en détailLe Cnam, 200 ans d expérience
Devenez ingénieur Le Cnam, 200 ans d expérience Fondé en 1794 sur proposition de l abbé Henri Grégoire, le Conservatoire national des arts et métiers est un établissement public à caractère scientifique,
Plus en détailPour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer
Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Ce document est issu d une concertation entre la Fédération Nationale des Sociétés d
Plus en détailDe nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements
COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n spécial Février 2015 De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Le SOeS diffuse
Plus en détail1ER RÉSEAU NATIONAL D ENTREPRISES INDÉPENDANTES 170 TPE, PME ET GRANDES ENTREPRISES - PLUS DE 3500 SITES PARTOUT EN FRANCE ET OUTRE-MER.
TROMBINOSCOPE REPRÉSENTATIONS SNES 2013-2015 www.e-snes.org 1ER RÉSEAU NATIONAL D ENTREPRISES INDÉPENDANTES 170 TPE, PME ET GRANDES ENTREPRISES - PLUS DE 3500 SITES PARTOUT EN FRANCE ET OUTRE-MER. 1ÈRE
Plus en détailProgramme de développement. Comité national de suivi du développement des soins palliatifs et de l accompagnement du 18 septembre 2012
Programme de développement des soins palliatifs (2008-2012) Comité national de suivi du développement des soins palliatifs et de l accompagnement du 18 septembre 2012 Axe 1: Poursuivre le développement
Plus en détailRèglement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale»
Règlement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale» Article 1 : Organisateur du concours L association France Energie Eolienne, située au 12 rue Vivienne, 75002 Paris, SIRET n 432 446
Plus en détail