EIFR Solvabilité 2: besoins des assureurs. 5 octobre 2011

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1 EIFR Solvabilité 2: besoins des assureurs 5 octobre

2 2 Les contraintes des assureurs

3 Solvency 2 La charge en capital dépend: De la classe d actifs De la diversification De l absorption par la PB en assurance vie Des ratings Des maturités Des secteurs et formats d exposition De la bonne adéquation actif/passif, notamment sur le risque de taux Le modèle utilisé est soit standard, soit interne La charge en capital est une contrainte globale, en niveau absolu C est aussi un axe d optimisation de valeur relative majeur: le rendement doit être ajusté du coût du capital 3

4 La liquidité des marchés Les banques, devant mobiliser plus de capital qu auparavant sur les activités de marché, ont ré-orienté le capital vers d autres activités Leurs activités de marché se concentrent sur des domaines à risque plus faible; elles agissent plus en tant qu intermédiaire qu en tant que contrepartie La liquidité des marchés s est donc réduite, en particulier sur le marché obligataire, sur les émetteurs privés et publics, mais aussi sur les dérivés OTC même simples. Dès que les volumes à traiter sont importants, il est difficile de trouver des contreparties sans faire décaler les prix de façon significative. Quelquefois, un appel téléphonique suffit Les marchés sont donc devenus structurellement moins liquides. 4

5 Les règles comptables Deux cadres simultanés : IFRS et French GAAP Avec des traitements voire des principes différents, par exemple sur: Le provisionnement pour dépréciation La reconnaissance des ventes Le traitement des OPCVM Le traitement des plus et moins values réalisées obligataires Et des objectifs pour chaque cadre, notamment en assurance vie: IFRS: détermination du résultat consolidé, bilan S2 French GAAP: taux crédité aux assurés, bilan S1, dividende remonté à l actionnaire. Et des traitements fiscaux pouvant être différents des IFRS et du French GAAP 5

6 Les répercussions sur les asset managers 6

7 Gérer sous Solvency 2 La construction de portefeuille devient cruciale La diversification joue un rôle important La gestion sera de plus en plus active sur la partie obligataire Le rendement ajusté du risque est l indicateur de choix Lorsque l on investit via des OPCVM, il faut les transpariser pour le calcul de l exigence de capital Etre capable de simuler des choix d investissement en tenant compte des effets sur l ensemble du portefeuille. Comprendre les interactions actif-passif en assurance vie 7

8 Anticiper les volumes Environ 10% des portefeuilles à réinvestir chaque année + la collecte Peu de liquidité sur le marché (surtout obligations et dérivés OTC) Dépendance par rapport aux émissions sur les obligations Sur le secondaire, effet «un gros institutionnel appelle» Donc établir, sur les obligations et les dérivés, des plans d investissement sur toute l année et les dérouler en fonction des opportunités 8

9 Jongler avec les règles comptables Gérer les portefeuilles en fonction de budgets de plusvalues en French GAAP et en IFRS Surveiller et maintenir autant que possible les taux de rendements comptables des obligations Ne pas créer de réserve de capitalisation Gérer le risque des OPCVM pour les maintenir loin du seuil de provisionnement social Structurer chaque nouveau type d investissement pour optimiser ces contraintes Tout en tenant compte de la fiscalité 9

10 Et tout le reste S inscrire dans la gouvernance Solvency 2, produire les reportings adéquats Tout en n oubliant pas tout à fait Solvency 1 Etre capable de tout transpariser, OPCVM et autre structures Etre compatible avec l alimentation des bases de données locales et groupe Surveiller en global et en local les limites de concentration Surveiller et gérer les limites de contrepartie et toutes les opérations de collatéralisation sur les dérivés Surveiller et gérer les lignes en risque de provisionnement Bref, le choix de gestionnaires du même groupe tient du pragmatisme, beaucoup plus que du dogmatisme! 10

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