Fièvre à Virus Ebola (FVE)

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Fièvre à Virus Ebola (FVE)"

Transcription

1 SAMU 89 - SAU - SMUR Auxerre Fièvre à Virus Ebola (FVE) Procédures et protocoles de prise en charge (Mise à jour 18 mai 2015) Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

2 Procédures et protocoles de prise en charge Fièvre à Virus Ebola Rédacteur : Mme le Dr DUCHE TAILLIEZ Monique responsable SAMU 89, SAU Auxerre, CESU 89. Destinataires : Mmes et Mrs les médecins urgentistes du territoire de l Yonne Mmes et Mrs les IDE des Structures d Urgences de l Yonne Mmes et Mrs les Assistants de Régulation Médicale du SAMU 89 Mmes et Mrs les ambulanciers de l Yonne Approbateurs : Mme le Dr LACOMBE médecin hygiéniste Territoire de l Yonne Mme le Dr CHANCENOTTE : médecine du travail CHA Mme FRAIR : gestion des risques CHA Mr LE THOMAS : responsable qualité CHA Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

3 Définition du cas suspect de FVE Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

4 Le cas suspect Définition InVs au 11 mai 2015 Fièvre = ou > à 38 Voyage dans les 21 jours précédents Dans les pays suivants : Sierra Leone et Guinée Conakry. Depuis le 20 octobre 2014, le Nigeria ne fait plus partie de la zone à risque. Depuis le 24 novembre 2014, la République Démocratique du Congo ne fait plus partie de la zone à risque. Depuis le 18 janvier 2015 le district de Bamako (Mali) ne fait plus partie de la zone à risque. Depuis le 9 mai 2015 le Libéria ne fait plus partie de la zone à risque. Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

5 Carte des souches du virus EBOLA Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

6 L épidémie 2014 Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

7 L épidémie 2015 Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

8 Afrique de l ouest Sortie de la zone à risque au 20/10/2014 (InVS) Sortie de la zone à risque au 9/05/2015 (InVS) Sortie de la zone à risque au 20/10/2014 (InVS) Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

9 Afrique de l Ouest Mali : district de Bamako Entré le sortie le 18 janvier 2015 Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

10 République Démocratique du Congo Sortie de la zone à risque le InVS Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

11 Définition du cas possible de FVE Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

12 Cas possible Un patient dit «cas possible» est défini comme toute personne présentant, dans un délai de 21 jours après son retour de la zone à risque*, une fièvre supérieure ou égale à 38 C et 1) Pour laquelle une exposition à risque a pu être établie dans un délai de 21 jours avant le début des symptômes ou 2) Pour laquelle il est impossible d évaluer l existence d expositions à risque (patient non interrogeable quelle qu en soit la raison, ou opposant aux questions par exemple). Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

13 Expositions à risque (Questionnaire InVS à remplir) Contact avec le sang ou un autre fluide corporel d un patient infecté, ou une personne suspectée d être infectée par le virus Ebola, à titre personnel ou professionnel Prise en charge pour une autre pathologie ou visite dans un hôpital ayant reçu des patients infectés par le virus Ebola Contact direct avec une personne présentant un syndrome hémorragique ou avec le corps d un défunt, dans la zone à risque* Manipulation ou consommation de viande issue de la chasse, crue ou peu cuite, dans la zone à risque* Travail dans un laboratoire qui détient des souches de virus Ebola ou des échantillons contenant le virus Ebola Travail dans un laboratoire qui détient des chauves-souris, des rongeurs ou des primates non humains originaires d une zone d épidémie d Ebola Contact direct avec une chauve-souris, des rongeurs, des primates non humains ou d autres animaux sauvages dans la zone à risque*, ou en provenance de la zone à risque* Rapports sexuels avec une personne ayant développé une infection à virus Ebola, dans les 10 semaines suivant le début des symptômes du cas, Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

14 Expositions à risque (Questionnaire InVS à remplir) Contact avec le sang ou un autre fluide corporel d un patient infecté, ou une personne suspectée d être infectée par le virus Ebola, à titre personnel ou professionnel Prise en charge pour une autre pathologie ou visite dans un hôpital ayant reçu des patients infectés par le virus Ebola Soins reçus d un tradi-praticien susceptible d avoir pris en charge des cas de maladie à virus Ebola Contact direct avec une personne présentant un syndrome hémorragique ou avec le corps d un défunt, dans la zone à risque* Manipulation ou consommation de viande issue de la chasse, crue ou peu cuite, dans la zone à risque* Travail dans un laboratoire qui détient des souches de virus Ebola ou des échantillons contenant le virus Ebola, Travail dans un laboratoire qui détient des chauves-souris, des rongeurs ou des primates non humains originaires d une zone d épidémie d Ebola, Contact direct avec une chauve-souris, des rongeurs, des primates non humains ou d autres animaux sauvages dans la zone à risque*, ou en provenance de la zone à risque* Rapports sexuels avec une personne guérie d une infection confirmée à virus Ebola, Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

15 Conduite à tenir pour le SAMU Centre 15 Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

16 ESR Etablissement de Santé Référent PARIS BEGIN Tel : BICHAT : Tel : NECKER E. MALADES Tel : STRASBOURG Tel : Arbre décisionnel SAMU 89 Domicile Appel SAMU 89 Centre 15 Régulation = cas suspect Confinement du patient Pas de transport Appel ARS (H24) Tel : Confirmation cas possible PARIS SAMU des ESR SAMU 75 Tel : SAMU 94 Tel : STRASBOURG Tel : NANCY Tel : Appel Etablissement de Santé de Référence (ESR) le plus proche ou zone défense Transfert direct à l ESR Transport organisé en concertation avec le SAMU de l ESR NANCY Tel : Transport médicalisé terrestre (HELICO =0) Par équipe du SAMU de l ESR si possible Sinon par équipe du SAMU 89 (ambulance VRM 4) Transport non médicalisé Par équipe départementale dédiée Appel Ambulances Auxerroises

17 Conduite à tenir pour le Service d Accueil des Urgences Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

18 ARS Tel : ESR Etablissement de Santé de Référence PARIS BEGIN Tel : BICHAT : Tel : NECKER E. MALADES Tel : STRASBOURG Tel : NANCY Tel : Cas suspect Arbre décisionnel SAU Information SAMU 89 Appel ARS Confirmation cas possible Transfert ESR le plus proche ou ceux de la zone défense Organisation transfert SAMU 89 + SAMU de l ESR PARIS SAMU des ESR SAMU 75 Tel : SAMU 94 Tel : STRASBOURG Tel : NANCY Tel : Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

19 Prise en charge par équipe SMUR ou SAU d un cas suspect Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

20 Prise en charge SAU Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

21 Prise en charge SAU d un cas suspect /et possible Le patient considéré comme un cas suspect est immédiatement isolé dans la pièce d examen dédiée (salle d examen détenu). Appel immédiat aux cadres du service et aux référents NRBC Le personnel affecté à sa prise en charge est limité au strict minimum. Le patient endosse un pyjama à usage unique et un masque chirurgical. Le personnel revêt la tenue de protection complète (QS : protocole habillage et déshabillage) Aucun examen biologique ne peut être réalisé sur le site d Auxerre ( Niveau 0) Aucun geste invasif ne sera pratiqué hormis urgence vitale. Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

22 Transport d un cas possible de FVE Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

23 Transport cas possible de FVE SFMU. Samu Urgences de France. Octobre 2014 Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

24 Transport d un cas possible de FVE Les cas possibles sont systématiquement transférés vers le service dédié de l ESR le plus proche ( CH de Paris ou à défaut Strasbourg ou Nancy pour l Yonne). Ce transport sanitaire s effectue après concertation entre le Samu-Centre 15 territorialement compétent et le Samu- Centre 15 de l ESR. Le transfert s effectue par une UMH (Unité Mobile Hospitalière) ou une ambulance prédéfinie selon l état du patient. (VRM4. Ambulance Auxerroise pour l Yonne) Il convient de limiter les gestes invasifs dans la prise en charge, pas de voie veineuse périphérique si l état du patient ne le justifie pas (risque d AES + risques hémorragiques majeurs du patient FVE). Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

25 Transport d un cas possible de FVE Consignes Apparenter l ensemble «patient-brancard» à un environnement contaminé. Tout contact ne se fait qu avec une tenue de protection et par un minimum de personnes. Faire le point du matériel nécessaire (disposer d urinoirs à usage unique en cas de transport long par exemple) et retirer de l ambulance tout matériel non indispensable à la mission. L équipe SMUR (Médecin et Infirmier), en tenue complète de protection (QS), n a aucun contact avec l extérieur. Elle ne touche pas les parois de l ambulance et se fait ouvrir toutes les portes. Au moins un des ambulanciers reste en tenue habituelle de travail. Il assiste l équipe (ouvre les portes, fourni le matériel, conduit le véhicule ) mais n a aucun contact avec l ensemble «patient-brancard». Eliminer déchets et tenues dans un sac DASRI doublé. Les déchets sont pris en charge par l ESR. Port de protections pour le nettoyage de la cellule et du matériel (hypochlorite de sodium à 0,5%) Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

26 Transport d un patient très symptomatique et/ou «secrétant» Patient à fort risque de contamination de l environnement. Si les délais de prise en charge le permettent, le transport de ce patient sera effectué par une équipe SMUR dédiée de l ESR, équipée de moyens de protection adaptés (housse de transport pour patients contaminés) Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

27 Documents et sites de référence Surveillance des infections à virus Ebola. Définition de cas au 11 mai Institut de Veille Sanitaire (InVS). Message d Alerte Rapide Sanitaire (MARS n 9). Ministère de la Santé. 14 novembre 2014 Annexe n 2 du MARS n 6 : liste actualisée au 25 septembre 2014 des établissements disposant de capacités opérationnelles de prise en charge Ebola. Questionnaire d évaluation d un cas suspect. InVS. 24 novembre Investigation of suspected Ebola Virus cases, November 24th 2014 Procédure de prise en charge des appels pour suspicion de Fièvre à Virus Ebola. SFMU. SAMU Urgences de France. Octobre 2014 Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

28 SAMU 89 - SAU - SMUR Auxerre Fièvre à Virus Ebola (FVE) Protection des personnes Modalités d habillage et de déshabillage Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

29 Protection des personnes Patient Isolé dans une salle d examen (salle habituellement réservée aux détenus) Port de tenue jetable Port de masque chirurgical Personnel Combinaison étanche imperméable aux liquides Sur bottes imperméables et anti dérapantes Double paire de gants nitrile à manches longues Lunettes couvrantes ou écran protecteur Masques FFP2 Personnel limité au strict nécessaire Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

30 Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015 L habillage

31 Tenue de protection complète Virus Ebola

32 Tenue de protection complète pour personnel SAU -SMUR Une combinaison (norme EN 14126) Une paire de surbottes Deux paires de gants en nitrile adaptées à la taille de l agent Un masque FFP2 Un casque ou des lunettes de protection Un pyjama à usage unique Une charlotte pour les soignants ayant les cheveux longs Un tablier à usage unique si besoin pour les soins très exposants

33 Tenue complète de protection du personnel Un casque Une paire de surbottes Deux paires de gants en nitrile Un tablier à usage Un masque FFP2 Une combinaison Une charlotte Un pyjama à usage unique

34 Contre indications à l habillage Les femmes enceintes Certaines pathologies: diabète, cardiaque, claustrophobie, hypersudation Le port de deux paires de lunettes : une pour voir de près et une pour voir de loin.

35 Modalités d habillage La mise en place de la tenue nécessite une aide : aide à l habillage mais aussi contrôle de l habillage. Un référent NRBC du service sera présent pour aider le personnel concerné (médecins, IDE, ambulanciers). Pas de bijoux( bagues, colliers, piercing ) L habillage doit être réalisé au dernier moment pour des raisons de confort. Au préalable : hydratation, collation et passage aux sanitaires. Chaussures de travail fermées et basses (plus faciles à retirer lors du déshabillage).

36 S habiller dans une pièce fermée dite «propre» à l écart du danger( salle de formation CESU aux urgences pour le SAU Auxerre). Modalités d habillage Mettre un pyjama à usage unique à la place de sa tenue de travail. 1 Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

37 Modalités d habillage Enlever ses chaussures Enfiler la combinaison jusque la taille Remettre ses chaussures de travail 2 3 Remonter la combinaison jusqu'aux genoux 4 5

38 Modalités d habillage Enfiler les surbottes Attacher les fixations des surbottes Recouvrir les surbottes par la combinaison 9

39 Modalités d habillage Mettre la première paire de gants en nitrile 10 11

40 Modalités d habillage Enfiler la combinaison Placer les élastiques des manches autour des pouces Remonter la fermeture à glissière

41 Modalités d habillage Appliquer le masque FFP2 sur le visage en positionnant bien les deux sangles, une sous l oreille et l autre par-dessus l oreille. 17 Pincer le nez pour assurer une meilleure étanchéité

42 Modalités d habillage Enfiler la deuxième paire de gants par dessus la manche de la combinaison

43 Modalités d habillage Mettre une charlotte si cheveux longs. L aide met en place la capuche L aide ferme complètement la fermeture à glissière. 27

44 Modalités d habillage L aide enlève la protection de l adhésif du plus petit rabat en premier et le colle L aide enlève la protection de l adhésif du grand rabat et le colle sur le petit rabat Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

45 Modalités d habillage L aide enlève la protection de l adhésif sous le menton et le colle La fermeture à glissière est alors invisible. 34 Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai

46 Modalités d habillage Fixation latérale L aide met le casque ou les lunettes en les ajustant à la taille du soignant Fixation frontale

47 Fin Habillage 50 40

48 Vérification finale Fixation casque ou lunettes devant puis derrière et enfin sur les côtés. Etanchéité de la tête( adhésif du menton, masque FFP2). 41 Etanchéité des adhésifs de la poitrine. Etanchéité des gants et positionnement

49 Vérification finale Intégrité de la tenue dans sa totalité. 45 Etanchéité des surbottes 46

50 Vérification finale par le réfèrent L aide remplit la check - list de la procédure complète de l habillage. L aide valide le départ du soignant sur le terrain. L aide note l heure de départ du soignant.

51 Déshabillage en binôme

52 Matériel nécessaire Un champ imperméable Une paire de ciseaux Deux sacs DASRI Un support poubelle Une solution hydro alcoolique

53 Matériel nécessaire Un champ imperméable Une paire de ciseaux Un support poubelle Deux sacs DASRI Une solution Hydro alcoolique

54 Modalités de déshabillage Technique de déshabillage rigoureuse (risque d auto contamination ++++ ). Déshabillage à l écart du patient (près de la sortie du box d examen). Se faire aider au déshabillage par une personne en tenue de protection.

55 Phase de préparation Installer le champ imperméable au sol vers la sortie Installer la paire de ciseaux sur le champ Installer la solution hydro alcoolique sur le champ 1 2 Installer un sac DASRI sur le support de la poubelle. Mettre le deuxième sac à l intérieur du premier. 3 Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai

56 Déshabillage en binôme champ imperméable sac DASRI Sortie Zone de fuite paire de ciseaux solution hydroalcoolique

57 Déshabillage en binôme Le «déshabilleur» enlève le casque ou les lunettes. 5 6 Le «déshabilleur» jette le casque ou les lunettes dans le sac DASRI. 7

58 Déshabillage en binôme Le «déshabilleur» enlève les adhésifs sous le menton puis les adhésifs de la poitrine. 8 9 La fermeture à glissière devient visible. 10

59 Déshabillage en binôme Le «déshabilleur» ouvre la fermeture à glissière en totalité. 11 Danger Le «déshabilleur» ne touche pas l intérieur 12 Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

60 Déshabillage en binôme Le «déshabilleur» écarte la combinaison pour pouvoir commencer à dégager la capuche. 13 Attention de ne pas toucher l intérieur de la combinaison. 14 Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai

61 Déshabillage en binôme Le «déshabilleur» dégage et retourne la capuche

62 Déshabillage en binôme Le «déshabilleur» descend la tenue le long du corps en la roulant vers l extérieur jusqu en bas des pieds

63 Déshabillage en binôme Les manches sont dégagées lentement une à une

64 Déshabillage en binôme Les manches sont dégagées lentement une à une

65 Déshabillage en binôme Le «déshabilleur» prend la paire de ciseaux. Il saisit la surbotte par l extérieur de la combinaison, en ne touchant qu à la partie extérieure(jaune)

66 Déshabillage en binôme Le «déshabilleur» coupe les liens de la surbotte

67 Déshabillage en binôme Le «déshabilleur» coupe la surbotte jusqu à la cheville

68 Déshabillage en binôme Le «déshabilleur» coupe la combinaison en ne tenant que l extérieur de la combinaison( partie jaune)

69 Déshabillage en binôme Le«déshabilleur» retient la tenue et la surbotte

70 Déshabillage en binôme Le déshabilleur regroupe la combinaison et la jette la dans le sac DASRI

71 Déshabillage en binôme Le «déshabillé» retire son pied en reculant d un pas dans la zone propre sans toucher la zone «contaminée»

72 Déshabillage en binôme Même manœuvre pour l autre pied

73 Déshabillage en binôme Le «déshabillé» enlève sa paire de gants : Le premier gant par l extérieur Le deuxième par l intérieur 54 Le «déshabillé» fait tomber ses gants dans les mains du «déshabilleur»

74 Déshabillage en binôme Le «déshabilleur» met de la solution hydroalcoolique sur une main du «déshabillé» 59 60

75 Phase de déshabillage Le «déshabilleur» met de la solution hydroalcoolique sur une main du «déshabillé» 59 60

76 Déshabillage en binôme Le «déshabillé» enlève sa cagoule ou la charlotte en l attrapant par l arrière. Le «déshabillé» fait tomber sa cagoule dans les mains du déshabilleur. 61 Le «déshabilleur» jette la cagoule dans le sac de déchets DASRI

77 Déshabillage en binôme Le «déshabillé» enlève son masque FFP2 en l attrapant par l arrière. Le «déshabillé» fait tomber le masque FFP2 dans les mains du «déshabilleur». 65 Le «déshabilleur jette le maque FFP2 dans le sac déchets DASRI

78 Déshabillage en binôme Le «déshabilleur» met de la solution hydro alcoolique dans la main du «déshabillé». 68 Le «déshabillé» se frictionne en respectant les sept temps. Le «déshabilleur» jette la solution hydro alcoolioque dans le sac déchets DASRI. 69 Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai

79 Déshabillage en binôme Le «déshabilleur» reste seul dans la salle «contaminée». Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai 2015

80 Déshabillage seul

81 Matériel nécessaire Un champ imperméable Une paire de ciseaux Deux sacs «déchets»jaune DASRI Un support poubelle Une solution hydroalcoolique Un miroir

82 Un champ imperméable Déshabillage seul Une paire de ciseaux Deux sacs DASRI Un support poubelle Un miroir Une solution hydroalcoolique

83 Phase de préparation Se mettre sur le champ imperméable. Installer la paire de ciseaux sur le champ. Installer la solution hydroalcoolique sur le champ. Installer un sac DASRI sur le support de la poubelle Mettre le deuxième sac à l intérieur du premier. Installer le miroir.

84 Déshabillage seul Miroir Sac DASRI sortie Zone de fuite Zone contaminée Solution hydroalcoolique Paire de ciseaux

85 Déshabillage seul Délimiter une zone propre dite de fuite et se mettre dos à la zone de fuite. Zone de fuite 1 Zone contaminée Se déshabiller face à un miroir diminue le risque d auto contamination. 2

86 Déshabillage seul Enlever les lunettes ou le casque de protection 3 Jeter les lunettes ou le casque dans le sac DASRI. 4

87 Déshabillage seul Enlever les adhésifs sous menton 5 Enlever les adhésifs du grand rabat Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai

88 Déshabillage seul Enlever les adhésifs du petit rabat Bien écarter les deux rabats 7 8 La fermeture devient visible et peut être saisie Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai

89 Déshabillage seul Ouvrir la fermeture à glissière en totalité. Puis écarter la combinaison en la tenant par l extérieur Danger ++++ ne pas toucher l intérieur, «le blanc» 12 13

90 Déshabillage seul Enlever la capuche par retournement en ne touchant que l extérieur Bien enrouler la capuche en arrière et par l extérieur jusqu aux épaules

91 Déshabillage seul Ecarter la tenue par l extérieur en ne touchant que le côté jaune Dégager une épaule lentement une par une

92 Déshabillage seul Dégager les bras un par un La première paire de gants s enlève en même temps que le bras

93 Déshabillage seul Dégager le deuxième bras en touchant l intérieur avec son deuxième gant»propre» La première paire de gant s enlève en même temps que le bras. Commencer à descendre la tenue en la roulant par l intérieur 27 28

94 Déshabillage seul Descendre la tenue en la roulant jusqu aux chevilles. 29 Les surbottes deviennent visibles. 30

95 Déshabillage seul Découper les liens des surbottes et les surbottes jusqu à la cheville

96 Déshabillage seul 36 Découper le bas de la tenue pour faciliter le dégagement des pieds Dr Duche Tailliez M. SAMU 89 - SAU Auxerre. Mai

97 Déshabillage seul Rouler la tenue et la jeter dans le sac DASRI. Retirer un pied puis le poser dans la zone dite propre. 41 Sortie Zone de fuite Zone contaminée 44 45

98 Déshabillage seul Sortie Zone de fuite Retirer le deuxième pied et le poser dans la zone Zone contaminée 46 Zone contaminée 47 dite propre. Zone contaminée 48 49

99 Déshabillage seul Enlever sa cagoule ou sa charlotte en l attrapant par l arrière et la jeter dans le sac déchets DASRI. Hygiène des mains par friction avec la solution hydro alcoolique. Zone contaminée Rouler le champ et le jeter dans le sac déchets DASRI. 53

100 Déshabillage seul Enlever sa paire de gants en ôtant le premier par l extérieur puis le second par l intérieur Jeter les gants dans le sac DASRI. Hygiène des mains par friction avec l solution hydro alcoolique

101 Déshabillage seul 59 Enlever son masque FFP2 en l attrapant par l arrière et le jeter dans le sac de déchets DASRI. 60 Hygiène des mains par friction avec la solution hydro alcoolique. Suivi de mesures de décontamination du matériel et de l environnement. 61

102 Dr Duche Tailliez Monique SAMU 89 SAU Auxerre. CESU 89

EBOLA - épidémie 2014 - Transport en ambulance d'un cas suspect

EBOLA - épidémie 2014 - Transport en ambulance d'un cas suspect Virus Ebola Transmission : de personne à personne lors de contact avec liquides biologiques du malade (sang, excréments, vomissures, urine, salive, sperme). Incubation : de quatre à dix jours, au max 21

Plus en détail

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau

Plus en détail

INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence

INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence Centre Hospitalier Universitaire Groupe Hospitalo-Universitaire Carémeau Place du Professeur R. Debré - 30009 Nîmes cedex 9-04 66 68 68 68 www.chu-nimes.fr INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des

Plus en détail

Gestion de la crise sanitaire grippe A

Gestion de la crise sanitaire grippe A Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe

Plus en détail

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service

Plus en détail

BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents

BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation

Plus en détail

JORF n 0060 du 12 mars 2009. Texte n 18

JORF n 0060 du 12 mars 2009. Texte n 18 Le 16 mars 2009 JORF n 0060 du 12 mars 2009 Texte n 18 ARRETE Arrêté du 10 février 2009 fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectés aux transports sanitaires

Plus en détail

Bio nettoyage au bloc opératoire

Bio nettoyage au bloc opératoire Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence

Plus en détail

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France? 53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)

Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola

Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente

Plus en détail

Protection EPI, Equipements individuels

Protection EPI, Equipements individuels Protection EPI, Equipements individuels SECURITE ANTI CHUTE Réf: 12150 Longe polyamide 12 mm Longueur 1,50 m Réf: 15020 Cordage polyamide 15 mm Longueur 20 m Réf: 15030 Cordage polyamide 15 mm Longueur

Plus en détail

évaluation des risques professionnels

évaluation des risques professionnels évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire

Plus en détail

ORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE

ORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE Ministère de la Santé et des Solidarités Direction de l Hospitalisation et de l Organisation des Soins ORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE > FICHES DE RECOMMANDATIONS 1 re édition

Plus en détail

STOP à la Transmission des microorganismes!

STOP à la Transmission des microorganismes! STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions

Plus en détail

LA PERTE DE CONSCIENCE

LA PERTE DE CONSCIENCE CES QUELQUES NOTIONS PEUVENT SAUVER DES VIES. PENSEZ Y SV D URGENCES Pompiers et service médical urgent : 100 Police : 101 L'HEMORRAGIE Comment reconnaître une hémorragie? Le sang s'écoule abondamment

Plus en détail

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière

Plus en détail

Plan de veille et de préparation à la riposte contre la Maladie à Virus Ebola

Plan de veille et de préparation à la riposte contre la Maladie à Virus Ebola ا ـ ا Royaume du Maroc وزارة ا Ministère de la Santé Plan de veille et de préparation à la riposte contre la Maladie à Virus Ebola Version 2, Octobre 2014 SOMMAIRE Introduction I. Connaissances actuelles

Plus en détail

APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.

APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations. PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration

Plus en détail

Vivre avec une prothèse de hanche: mode d emploi. Information destinée aux patients

Vivre avec une prothèse de hanche: mode d emploi. Information destinée aux patients Information destinée aux patients Vivre avec une prothèse de hanche: mode d emploi Service de chirurgie orthopédique et traumatologie de l appareil moteur Sommaire Introduction... 3 Préparation musculaire...

Plus en détail

Fédération de Recherche en Imagerie multimodalité (FRIM) Inserm Universités Paris Diderot & Paris Nord CNRS AP-HP

Fédération de Recherche en Imagerie multimodalité (FRIM) Inserm Universités Paris Diderot & Paris Nord CNRS AP-HP Fédération de Recherche en Imagerie multimodalité (FRIM) Inserm Universités Paris Diderot & Paris Nord CNRS AP-HP Directeur Dominique Le Guludec Tomographie d'emission MonoPhotonique (TEMP) Convention

Plus en détail

Procédures Utilisation des laboratoires L2

Procédures Utilisation des laboratoires L2 N PROCEDURES Personnes page concernées I PROCEDURES D UTILISATION I-1 Entrée/sortie du personnel Utilisateurs 2 I-2 Utilisation d un PSM de type II Utilisateurs 3 I-3 Elimination des déchets solides Biologiques

Plus en détail

C. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.

C. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM

Plus en détail

FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL

FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL LE GOUVERNEMENT DU GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG Direction de la Santé FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL Un plan d hygiène permet de garantir la propreté du personnel et éviter toutes contaminations

Plus en détail

Ce document est destiné à vous permettre de découvrir l offre de formation du Centre d enseignement des soins d urgence du Bas-Rhin (CESU 67).

Ce document est destiné à vous permettre de découvrir l offre de formation du Centre d enseignement des soins d urgence du Bas-Rhin (CESU 67). Cher Client, Ce document est destiné à vous permettre de découvrir l offre de formation du Centre d enseignement des soins d urgence du Bas-Rhin (CESU 67). Rattaché au pôle d anesthésie réanimations chirurgicales

Plus en détail

LIVRET DE CONSIGNES DE SÉCURITÉ. Agents réalisant la collecte des déchets

LIVRET DE CONSIGNES DE SÉCURITÉ. Agents réalisant la collecte des déchets LIVRET DE CONSIGNES DE SÉCURITÉ Agents réalisant la collecte des déchets Sommaire 1- Enjeux et objectifs de ce livret... 3 2- Au départ (Avant la collecte)... 4 2.1 Les équipements de protection individuelle

Plus en détail

Coordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme

Coordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme Coordination de la Gestion des risques Bilan - Programme La démarche Mise en place en 2007 Regroupe l ensemble des Vigilances Sanitaire. Associe le programme CLIN Associe les risques liés aux vigilances

Plus en détail

4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES

4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES PROTOCOLE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES TRANSPORTS SANITAIRES ET DE LEURS MATERIELS Selon les protocoles du CLIN, du SMUR 54 et du Groupe Synapse (69) Pour assurer une efficacité optimale du nettoyage

Plus en détail

Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP

Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP 1- Sécurité civile et police administrative L activité opérationnelle des sapeurs pompiers s exercent dans le cadre de la police administrative. La police administrative

Plus en détail

Vivre avec une prothèse du genou. Conseils pratiques

Vivre avec une prothèse du genou. Conseils pratiques Vivre avec une prothèse du genou Conseils pratiques Introduction Pourquoi cette brochure? Avant la pose de votre prothèse de genou, vous avez bénéficié d un cours. L objectif de ce document est de résumer

Plus en détail

Plans de secours NOMBREUSES VICTIMES

Plans de secours NOMBREUSES VICTIMES Plans de secours NOMBREUSES VICTIMES Dispositions générales ORSEC Dr M.NAHON SAMU75 02/2013 Crises sanitaires, Accidents catastrophiques à effets limités (ACEL), Catastrophes Majeures 2 Crises sanitaires,

Plus en détail

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3 Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.

Plus en détail

FICHE D AVERTISSEMENT ET PRECAUTIONS D EMPLOI

FICHE D AVERTISSEMENT ET PRECAUTIONS D EMPLOI Date : 21/05/2014 FICHE D AVERTISSEMENT ET PRECAUTIONS D EMPLOI Produits impliqués : Table de Verticalisation Top Niveau Réf TF1-2860 / TF1-2861 Tables fabriquées en 2012 (2860 10 12 01 et 2860 10 12 02)

Plus en détail

Conseils aux voyageurs

Conseils aux voyageurs Conseils aux voyageurs Informations issues du site du Ministère des Affaires Etrangères en France : http://www.diplomatie.gouv.fr/ Entrée / Séjour : Un visa d entrée est nécessaire pour les ressortissants

Plus en détail

Conducteurs et passagers: à chacun ses responsabilités

Conducteurs et passagers: à chacun ses responsabilités Conducteurs et passagers: à chacun ses responsabilités La sécurité du passager dépend pour une grande part du conducteur, mais il a aussi sa part de responsabilité. Des règles spécifiques en fonction du

Plus en détail

Procédure de tri et traitement des déchets Pro 032

Procédure de tri et traitement des déchets Pro 032 Service de Sécurité Ferme de la Mouline Tél. 021 692 2570 / Fax 021 692 2575 Procédure Procédure de tri et traitement des déchets Pro 032 Contenu 1. Objet... 1 2. Domaine d application... 1 3. Abréviations...

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Procédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics)

Procédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics) Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) Relatif au projet de : Déploiement du logiciel DMU Net au sein du service des urgences et mise en place d un EAI (Enterprise Application Integration)

Plus en détail

Information au patient

Information au patient Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même

Plus en détail

Simulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1

Simulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1 C E N T R E H O S P I T A L I E R U N I V E R S I T A I R E D ' A N G E R S Simulation en santé Outil de gestion des risques 1 La Simulation : définition 2 Le terme «simulation en santé» correspond à l

Plus en détail

INTERET ET LIMITES DU TIIH DANS LES TRANSPORTS INTER HOSPITALIERS. Marc FOURNIER SAMU13- APHM

INTERET ET LIMITES DU TIIH DANS LES TRANSPORTS INTER HOSPITALIERS. Marc FOURNIER SAMU13- APHM INTERET ET LIMITES DU TIIH DANS LES TRANSPORTS INTER HOSPITALIERS Marc FOURNIER SAMU13- APHM LES MOYENS DE TRANSPORT INTER HOSPITALIER Ambulance simple : 2 ADE, véhicule catégorie C type A ambulance conçue

Plus en détail

PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE

PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium

Plus en détail

CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES. Transports sanitaires

CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES. Transports sanitaires Marché de service CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES Transports sanitaires - Etablissement contractant : CENTRE HOSPITALIER 858 rue des Drs. Devillers 02120 GUISE 03.23.51.55.55 03.23.51.55.35 Procédure

Plus en détail

Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012

Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Conclusions provisoires rapport du HCSP juillet 2011 Valeur prédictive positive des

Plus en détail

Document unique d évaluation des risques professionnels

Document unique d évaluation des risques professionnels Document unique d évaluation des risques professionnels La loi n 91-1414 du 31 décembre 1991 (article L.230-2 du Code du travail), demande au chef d établissement de prendre toutes les mesures nécessaires

Plus en détail

BRICOLAGE. Les précautions à prendre

BRICOLAGE. Les précautions à prendre BRICOLAGE Les précautions à prendre Chaque année, près de 300 000 personnes arrivent aux Urgences à la suite d un accident de bricolage et/ou de jardinage. Respecter quelques règles simples de prévention

Plus en détail

ww.sanitairesocial sanitairesocial-lo lorrain Ambulancier

ww.sanitairesocial sanitairesocial-lo lorrain Ambulancier www. ww.sanitairesocial sanitairesocial-lo lorrain rraine.fr Ambulancier Définition L ambulancier est un auxiliaire sanitaire pleinement intégré dans la chaîne des soins. En urgence ou sur rendez-vous

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES

MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Conduite à tenir pour la prise en charge des personnes présentant un syndrome ou une suspicion de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)

Plus en détail

1 Organiser et gérer. son poste de travail

1 Organiser et gérer. son poste de travail 1 Organiser et gérer son poste de travail r é f é r e n t i e l Modes de contamination (contamination initiale) Hygiène du personnel Prévention des risques professionnels Situation Dès son arrivée dans

Plus en détail

Test d immunofluorescence (IF)

Test d immunofluorescence (IF) Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION

Plus en détail

Serrer les fesses du bébé contre votre corps avec le côté de votre avant-bras (celui du petit doigt)

Serrer les fesses du bébé contre votre corps avec le côté de votre avant-bras (celui du petit doigt) Effectuer la mise au sein Serrer les fesses du bébé contre votre corps avec le côté de votre avant-bras (celui du petit doigt) - Ceci vous permettra de l'amener au sein en pointant le mamelon vers son

Plus en détail

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6

Plus en détail

OSIRIS GRIPPE A H1N1

OSIRIS GRIPPE A H1N1 REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE État-major opérationnel OSIRIS OSIRIS INFORMATION ÉTAT-MAJOR OPÉRATIONNEL POLICE Genève, le 13 mai 2009 Rapport mensuel Avis de précaution Message urgent GRIPPE A H1N1 Recommandations

Plus en détail

La régulation des transports sanitaires par les SAMU

La régulation des transports sanitaires par les SAMU La régulation des transports sanitaires par les SAMU DHOS SDO Bureau O1 1 L organisation des transports sanitaires urgents : une mission permanente Principe : Les transports sanitaires sont une mission

Plus en détail

Service Privé d ambulances 2010

Service Privé d ambulances 2010 FICHE TECHNIQUE Intitulé du métier ou de l activité : Service Privé d ambulances Codification NAA : 85.16 Codification ONS : 85.17 Codification Agriculture : / Codification Artisanat : / Codification CNRC

Plus en détail

BOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes

BOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes 1. ENTRETIEN À L OUVERTURE D UNE SALLE D OPÉRATION NON UTILISÉE AU DELÀ DE 24 H Nettoyer les surfaces (table d opération, table d instruments, éclairage opératoire, appareil d anesthésie), avec un chiffon

Plus en détail

La version électronique fait foi

La version électronique fait foi Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.

Plus en détail

Protection du personnel

Protection du personnel PROTOCOLE POUR L EVACUATION DES EXCRETAS PAR LES ENTREPRISES DE VIDANGE/NETTOYAGE ET LES ONG s (Version 1.0, 23 décembre 2010) Sommaire I. Objectifs du protocole II. Protection du personnel III. Aspects

Plus en détail

Pro. EPN- Education Nationale Initiation grand public ACR et DAE Page - 1 -

Pro. EPN- Education Nationale Initiation grand public ACR et DAE Page - 1 - Pro EPN- Education Nationale Initiation grand public ACR et DAE Page - 1 - SOMMAIRE Page de garde page : 1 Sommaire page : 2 Fiche pratique page : 3 Programme page : 4 Progression pédagogique pages : 6

Plus en détail

La hernie discale Votre dos au jour le jour...

La hernie discale Votre dos au jour le jour... La hernie discale Votre dos au jour le jour... Votre dos est fragile. Ce document va vous aider à le préserver au jour le jour. Si vous venez de vous faire opérer, certaines activités vous sont déconseillées

Plus en détail

HAS / Service Qualité de l Information Médicale / Février 2007 1

HAS / Service Qualité de l Information Médicale / Février 2007 1 Référentiel d évaluation des centres de santé HAS / Service Qualité de l Information Médicale / Février 2007 1 Sommaire Introduction p. 3 et 4 Référentiel d évaluation p. 5 à 8 Référentiel d évaluation

Plus en détail

AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON

AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS

Plus en détail

Rapport d hygiène pour le département du service d ambulance

Rapport d hygiène pour le département du service d ambulance Rapport d hygiène pour le département du service d ambulance Dans le cadre des exigences de qualité posées, l on aimerait savoir dans quelle mesure le nettoyage et la désinfection des ambulances suffisent

Plus en détail

Restauration collective. quelques aspects réglementaires

Restauration collective. quelques aspects réglementaires Restauration collective quelques aspects réglementaires JL Fumery Marseille, 17 mai 2005 1 La restauration collective n est pas vraiment un concept nouveau de la préhistoire au moyen-âge quelles que soient

Plus en détail

VILLE D ASNIERES SUR SEINE PLAN DE CONTINUITE DE L ACTIVITE DES SERVICES MUNICIPAUX - PANDEMIE GRIPPALE

VILLE D ASNIERES SUR SEINE PLAN DE CONTINUITE DE L ACTIVITE DES SERVICES MUNICIPAUX - PANDEMIE GRIPPALE VILLE D ASNIERES SUR SEINE PLAN DE CONTINUITE DE L ACTIVITE DES SERVICES MUNICIPAUX - PANDEMIE GRIPPALE A. EQUIPE PANDEMIE... 1 B. ORGANIGRAMME DEGRADE... 2 C. GESTION DES SERVICES DELEGUES... 4 D. FORMATION

Plus en détail

Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard

Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard Guide Romand pour la prévention des infections liées aux soins 1 Préambule Ce document est destiné à tous les professionnels travaillant dans les structures

Plus en détail

GL5 GLS5. Lève-personnes mobiles

GL5 GLS5. Lève-personnes mobiles GL5 GLS5 Lève-personnes mobiles Lève-personnes mobile GL5 Les lève-personnes mobiles GL5 sont les alternatives au sol des appareils de levage fixés au plafond de la gamme de produits Guldmann. Depuis plus

Plus en détail

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure

Plus en détail

levenok.com Identification du lot sur le document four ni par le demandeur

levenok.com Identification du lot sur le document four ni par le demandeur levenok.com Architectes D.P.L.G. RAPPORT DE MISSION DE REPERAGE des matériaux et produits contenant de l'amiante pour l'établissement du constat établi à l'occasion de la vente d'un immeuble bâti REFERENCES

Plus en détail

PUNAISES DE LIT. prévention et intervention

PUNAISES DE LIT. prévention et intervention PUNAISES DE LIT prévention et intervention À quoi ressemble la punaise de lit? La punaise de lit, aussi appelée punaise, est un insecte brunâtre visible à l œil nu qui mesure de 4 à 7 millimètres. Elle

Plus en détail

Le Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales

Le Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales Le Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales Le Kin-AP est une évaluation qui se déroule à travers un parcours comprenant différentes stations qui simulent les tâches que le technicien ambulancier-paramédic

Plus en détail

Consignes de sécurité et d utilisation. Portes sectionnelles

Consignes de sécurité et d utilisation. Portes sectionnelles Consignes de sécurité et d utilisation Portes sectionnelles Table des matières Table des matières Page Consignes générales... 1 Mises en garde et consignes de sécurité... 2 Contrôle / Entretien... 2 Attention

Plus en détail

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON 20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)

Plus en détail

Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône

Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Santé travail Maladies chroniques et traumatismes Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Étude du syndrome du canal carpien opéré 2008-2009 Septembre 2011 F. Sillam 1,

Plus en détail

3.3. Techniques d installation. 3.3 Installation à bord du VSL. Quand Installation du patient à bord du Véhicule Sanitaire Léger.

3.3. Techniques d installation. 3.3 Installation à bord du VSL. Quand Installation du patient à bord du Véhicule Sanitaire Léger. L auxiliaire ambulancier 3e édition 3.3. Techniques d installation 3.3 Installation à bord du VSL Installation du patient à bord du Véhicule Sanitaire Léger. A Malgré que le transport en VSL soit destiné

Plus en détail

Ablation de sutures. Module soins infirmiers

Ablation de sutures. Module soins infirmiers Ablation de sutures Module soins infirmiers Equipe enseignante de l IFSI du Centre Hospitalier de ROUBAIX Diaporama réalisé par : Stéphane Dubus, Formateur I. Définition Il s agit d ôter les sutures cutanées

Plus en détail

INTRO. Toute l équipe Turbo Bike Concept

INTRO. Toute l équipe Turbo Bike Concept INTRO Conscient de l essor des deux-roues et du boom d un nouveau mode de vie dans le paysage urbain, TURBOCAR lance Turbo Bike Concept : une gamme courte et dynamique réunissant l essentiel des accessoires

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

DUPONT PERSONAL PROTECTION. Catalogue produits

DUPONT PERSONAL PROTECTION. Catalogue produits DUPONT PERSONAL PROTECTION Catalogue produits Solutions de Protection Chimique TABLE DES MATIÈRES I. Introduction Pour vous : le nouveau catalogue produits de DuPont Personal Protection Vêtements DuPont

Plus en détail

GUIDE POUR PREPARER LES SEANCES DE NATATION

GUIDE POUR PREPARER LES SEANCES DE NATATION GUIDE POUR PREPARER LES SEANCES DE NATATION Equipe départementale EPS de Tarn et Garonne 1 Ce dossier pédagogique relatif à la natation à l'école primaire (du cycle 1 au cycle3 ) a pour objectifs: - de

Plus en détail

LES MASSAGES POUR BÉBÉ

LES MASSAGES POUR BÉBÉ LES MASSAGES POUR BÉBÉ La philosophie et les engagements du LABORATOIRE HÉVÉA Des produits 100% naturels élaborés exclusivement à partir de plantes en provenance des cinq continents et récoltées dans le

Plus en détail

«CLIENT» CHANTIER DESIGNATION LOT : PPSPS CEMLOC SERVICES Version 2 Page 1 sur 10

«CLIENT» CHANTIER DESIGNATION LOT : PPSPS CEMLOC SERVICES Version 2 Page 1 sur 10 CEMLOC Services 4 Avenue des Roses Zac des petits Carreaux 94380 - Bonneuil sur Marne Téléphone : 09 67 46 51 09 - Fax : 01 43 99 51 09 www.cemloc-services.fr «CLIENT» CHANTIER DESIGNATION LOT : PPSPS

Plus en détail

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel? L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.

Plus en détail

BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA

BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA INSTRUCTIONS À L ATTENTION DE L ANIMATEUR La boite à images pour la prévention de la FHVE (La Fièvre Ebola est une maladie épidémique, contagieuse

Plus en détail

ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES

ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES 1 ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES A. NETTOYAGE COURANT Il est effectué: en dernier lieu, Idéalement ½ heure minimum après la réfection du lit. en

Plus en détail

URGENCES. Conférence sur la nouvelle téléphonie et l informatique au sein du Centre de réception et de régulation des appels.

URGENCES. Conférence sur la nouvelle téléphonie et l informatique au sein du Centre de réception et de régulation des appels. Chapitre 113 Conférence sur la nouvelle téléphonie et l informatique au sein du Centre de réception et de régulation des appels I. MONSEUR, N. LUBINSKI, V. DUPONT, Dr SICOT, C. MINNE, Dr GOLDSTEIN 1 re

Plus en détail

RECOMMANDATIONS OFFICIELLES - DEFIBRILLATEURS AUTOMATISES EXTERNES

RECOMMANDATIONS OFFICIELLES - DEFIBRILLATEURS AUTOMATISES EXTERNES RECOMMANDATIONS OFFICIELLES - DEFIBRILLATEURS AUTOMATISES EXTERNES SOMMAIRE : Définitions DAE / DSA / DEA. Les accessoires recommandés. Notion de système d information pour les secours spécialisés. Les

Plus en détail

PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc

PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc CONGRES UCL DE MEDECINE GENERALE 1 juin 2013 PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc Philippe Mahaudens, PhD Faculté des sciences de la motricité UCL Service de Médecine Physique et Réadaptation, Saint-Luc

Plus en détail

La prise en charge. de votre affection de longue durée

La prise en charge. de votre affection de longue durée La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin

Plus en détail

SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES

SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES

Plus en détail

PREMIERS SECOURS EN ÉQUIPE DE NIVEAU 1

PREMIERS SECOURS EN ÉQUIPE DE NIVEAU 1 TECHNIQUE 9.1 MISE EN ŒUVRE D UN DAE 1. Justification La survie des personnes en arrêt cardio-respiratoire par fonctionnement anarchique du cœur est amélioré si une défibrillation est réalisée précocement.

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Formation obligatoire d adaptation à l emploi

Formation obligatoire d adaptation à l emploi Cycle de formation Praxis Conforme à l arrêté du 16 juillet 2009 Formation obligatoire d adaptation à l emploi Agent de service mortuaire Madame, Monsieur, Depuis l arrêté du 16 juillet 2009 relatif à

Plus en détail

Guide d aide à l organisation de l offre de soins en situations sanitaires exceptionnelles

Guide d aide à l organisation de l offre de soins en situations sanitaires exceptionnelles Guide d aide à l organisation de l offre de soins en situations sanitaires exceptionnelles 2014 Page 1 sur 47 Page 2 sur 47 SOMMAIRE I. Présentation du Guide... 5 II. Principes de l organisation de l offre

Plus en détail