Dr Nicole CATHELINE Pédopsychiatre Centre Hospitalier Henri LABORIT POITIERS
|
|
- Basile Pelletier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Dr Nicole CATHELINE Pédopsychiatre Centre Hospitalier Henri LABORIT POITIERS
2 La création du CRTLA en Poitou- Charentes Créé par le Dr Joël UZE en 2005 Il a d abord fonctionné autour des troubles du langage, oral et écrit Depuis début 2014, il a étendu ses missions en s intéressant aux troubles praxiques et de la coordination motrice (dotation de l ARS pour cette extension : mi-temps de neuro-psycho, mi-temps d ergothérapeute et vacation de neuro-pédiatre)) Le Dr CATHELINE a pris la suite du Dr UZE parti à la retraite en septembre 2013.
3 Les missions Compétence régionale (Académie de Poitiers) Dépister (prévention des troubles précoces du langage oral, et troubles développementaux de la coordination et troubles praxiques) Evaluer : équipe pluridisciplinaire Diagnostiquer : points forts et points faibles Proposer de prises en charge ajustées à chaque situation en collaboration avec l Education Nationale Travail en réseau avec les professionnels Suivi et évaluation thérapeutique Recherche avec la faculté de psychologie et l UMRC - CHHL
4 La composition de l équipe Petite équipe, dont tous les membres travaillent à mi-temps au CRTLA. Un médecin responsable : Dr Catheline Deux neuropsychologues (dont un mi-temps récemment engagé dans le cadre de l extension) Une psychologue clinicienne Une orthophoniste Une enseignante spécialisée (travaillant en RASED sur l autre mitemps) Ergothérapeute (nous sommes en attente de sa nomination) Une demande de vacation de neuro-pédiatre a été accordée par l ARS mais non pourvue pour l instant.
5 Le cheminement de la demande Le CRTLA ne doit recevoir que les cas les plus complexes. Il ne peut donc pas être saisi directement par les familles La plupart du temps les demandes émanent des orthophonistes ou des équipes éducatives (enfants en élémentaire) Mais pour les plus jeunes (moins de 5 ans) elles émanent des médecins : pédiatres, pédopsychiatres ou médecins généralistes.
6 Le protocole Le diagnostic d un trouble spécifique repose sur l existence de troubles persistants non ou insuffisamment améliorés par les rééducations ou aménagements sans que d autres facteurs puissent l expliquer : intelligence limitée ou trouble sensoriel (auditif et visuel) C est la raison pour laquelle afin de s assurer qu il s agit bien de troubles spécifiques plusieurs bilans sont demandés en amont : - bilan psychométrique (pour vérifier les compétences générales de l intelligence) - bilan ORL avec audiogramme - bilan ophtalmo avec bilan orthoptique - D autres documents sont également importants : un bilan récent de l orthophoniste qui le suit et un courrier du médecin scolaire.
7 Le déroulement de l expertise (1) Un rendez-vous est donné avec le médecin responsable du CRTLA ( Dr Catheline) en fonction de l ordre d arrivée des dossiers complets. Une priorité est donnée aux jeunes enfants susceptibles de présenter des dysphasies. Au terme de cette consultation (1h30 environ) si possible avec les deux parents et l enfant La situation est présentée à l équipe réunie (mardi matin). Les bilans sont étudiés et discutés. Des hypothèses sont proposées et permettent de choisir les bilans complémentaires qui permettront de donner un avis expert. Les professionnels appellent également leurs homologues pour avoir des renseignements sur l évolution récente car il y a environ 10 à 12 mois d attente
8 Le déroulement de l expertise (2) Ensuite les différents professionnels fixent les RV en fonction de leurs disponibilités. Chaque bilan se déroule sur au moins 3 séances. Au terme de la réalisation des bilans une réunion de synthèse est proposée d abord aux professionnels ayant fait appel à nous (vendredi matin) : orthophoniste, enseignants, médecin scolaire (un médecin de l académie va être détaché sur cette mission de relai auprès de ses collègues). Les aménagements sont débattus. Puis dans les jours qui suivent, les parents et l enfant sont reçus par le Dr Catheline pour leur faire part des résultats des bilans et les mettre au courant des propositions.
9 Le déroulement de l expertise (3) Un compte-rendu est rédigé par le Dr Catheline et par les professionnels ayant réalisés les bilans. Ce compte-rendu est envoyé aux parents, aux psychologue scolaire, au médecin scolaire, à l orthophoniste s il y en a une. Compte-tenu du fait que nous sommes en présence de troubles du développement il n est pas rare que nous proposions de revoir l enfant un ou deux ans après, pour évaluer les ressources mises en œuvre par l enfant et ajuster de manière plus fine (par ex à l entrée au collège) les aménagements.
10 Le déroulement de l expertise (4) Parfois, l étude des bilans reçus lors de la constitution du dossier nous permet de rendre notre expertise et nous classons le dossier. Parfois les progrès de l enfant sont suffisants entre la demande faite au CRTLA et le premier RV pour que les professionnels de terrain n aient plus besoin de l expertise du CRTLA. Tous les professionnels demeurent disponibles par téléphone pour donner des conseils. Il est même possible pour l enseignante de se déplacer à l école (mais uniquement dans la Vienne)
11 Quelques chiffres (1) Le CRTLA reçoit en moyenne entre 90 et 100 nouvelles demandes. (âge 3-13 ans) La proportion filles-garçons est identique d une année sur l autre environ 30% de filles pour 70% de garçons. Les niveaux de classe les plus représentés: GS et CE2 (3 entre 11 et 13 ans) Au niveau des départements : la Vienne est surreprésentée (moyenne depuis 10 ans) : - environ 45 enfants de lavienne - environ 21 enfants des Deux-Sèvres - environ 12 enfants de Charente - environ enfants 12 de Charente-Maritime
12 Quelques chiffres (2) Environ 25 à 30 enfants (soit 27%)sont revus Environ 38 dossiers par an sont classés sans suite, c està-dire sans bilan réalisé au CRTLA. Les demandes émanent en priorité : - Neuro-psychologue : 31 Orthophoniste : 26 Psychologue : 26 Équipe enseignante : 3
13 Les avancées de la science (1) Les dernières découvertes en matière d imagerie cérébrale (tractographie) sont en faveur d une unicité des troubles d apprentissage, qui est reconnu par le DSM 5 qui vient de sortir (Juin 2013 aux USA et en cours de traduction en France)avec un mécanisme commun (mais pas identique) : une dysconnectivité (faisceau de substance blanche, véritable autoroute de l information) entre les différents zones cérébrales. Il existe une chronométrie de la maturation des zones et tout retard ou dysfonctionnement retentit en cascade sur les autres zones travaillant en synchronie
14 Les avancées de la science (2) De fait, le DSM 5 ne parle plus que de trouble d apprentissage et non plus de dyslexie ou de dyspraxie ou de dyscalculie. La terminologie se réfère désormais au primum movens ( au point de départ). Le point positif c est le découplage entre le diagnostic clinique (il ne lit pas correctement: il est dyslexique, et le diagnostic neuropsychologique), le point négatif changement radical pour l attribution des aides par les MDPH Mais autre point positif : on en va plus se préoccuper de savoir si «c est» ou «c est pas» puisque ce sont tous des troubles développementaux, mais d apprécier les défaillances et surtout les points de suppléance de manière à faire des aménagement spécifiques pour chaque enfant
15 Les nouveaux critères du DSM 5(1) A- Difficultés à apprendre et à utiliser les aptitudes académiques indiquées par la présence depuis au moins 6 mois d un des symptômes suivants malgré les interventions proposées: Lecture des mots inexacte, lente ou laborieuse. Difficulté à comprendre la signification de ce qui est lu Difficultés d orthographe ( rajout, omission ou substitution de voyelles ou de consonnes) Difficultés dans l expression écrite (erreurs de ponctuation ou multiples erreurs grammaticales, manque de clarté dans l expression des idées, écriture excessivement maladroite Difficultés à maîtriser le sens des nombres, les faits numériques,le calcul. Difficultés dans le raisonnement mathématique (résolution de problèmes).
16 Les nouveaux critères du DSM 5 (2) B- significativement au-dessous de ceux attendus pour l âge et interfère significativement avec le performances académiques ou les occupations. C- Commence durant les années d école mais peut n être manifeste que dès lors que les demandes excèdent les capacités limitées de l individu. D- Pas mieux expliquées par la déficience intellectuelle, l acuité auditive ou visuelle non corrigée, autres troubles neurologiques ou mentaux, adversité psychosociale.
17 CONCLUSION Il est donc de plus en plus nécessaire que les CRTLA ne se contentent pas de poser un diagnostic mais de participer finement à l analyse des difficultés et proposer des pistes d aide à partir de ce qui est performant chez l enfant. A Poitiers, c est la raison pour laquelle nous proposons de réévaluer ces enfants un ou deux ans après. Nous tenons beaucoup à cette dimension clinique au-delà du diagnostic. La CPAM autorise le remboursement des frais d essence pour se rendre à Poitiers. Il est important d informer les MDPH de ces avancées afin de mieux répondre aux besoins des enfants.
Les troubles spécifiques des apprentissages
Les troubles spécifiques des apprentissages www.apedys78-meabilis.fr En collaboration avec L. Denariaz, psychologue cognitiviste Points clefs Définitions et repérage Quelle est l origine du trouble? Vers
Plus en détailquestions/réponses sur les DYS
D Y S L E X I E, D Y S P H A S I E, D Y S P R A X I E, Les DYS, un handicap émergeant? La Dysphasie trouble du langage oral? La Dyspraxie, trouble de la coordination du geste? La Dyslexie, trouble du langage
Plus en détailTroubles «dys» de l enfant. Guide ressources pour les parents
Troubles «dys» de l enfant Guide ressources pour les parents Troubles «dys» de l enfant Guide ressources pour les parents Direction de la collection Thanh Le Luong Édition Jeanne Herr Institut national
Plus en détailTROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)
TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point
Plus en détailLes difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire»
Les difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire» Par le Dr Stéphane BURLOT Plan : Les chiffres de l échec scolaire La spirale de l echec Les points d appels des difficultés scolaires Les Origines «médicales»
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailEpilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?
Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.
Plus en détailQuels sont les indices observés chez les enfants présentant un trouble de traitement auditif?
Le trouble de traitement auditif _TTA Entendre n est pas comprendre. Détecter les sons représente la première étape d une série de mécanismes auditifs qui sont essentiels pour la compréhension de la parole
Plus en détailANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires
ANNUAIRE SANTE Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires IREPS : Instance Régionale d Education et de Promotion de la Santé Poitou-Charentes (4 antennes
Plus en détailBrochure d information destinée aux parents. Bienvenue à Clairival. Informations utiles sur la prise en soins de votre enfant
Brochure d information destinée aux parents Bienvenue à Clairival Informations utiles sur la prise en soins de votre enfant Présentation Le service de psychiatrie de l enfant et de l adolescent des Hôpitaux
Plus en détailScolarisation et adaptations pour enfants dyspraxiques au collège
Scolarisation et adaptations pour enfants dyspraxiques au collège Brigitte BRUNEL, professeur de SVT, collège Delalande (Athis Mons, 91) Bénédicte PONCHON, ergothérapeute, cabinet CABEX Essonne (Brétigny,
Plus en détailTDAH et adaptations scolaires - niveau primaire et secondaire-
Le trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) est un problème neurologique qui peut entraîner des difficultés à moduler les idées (inattention), les gestes (bougeotte physique),
Plus en détailComprendre les troubles spécifiques du langage écrit
Livret de suivi de l élève l élève l é ve... né(e) le..... /..... /..... C o n t a c t s L inspection académique de votre département IA 22 6 et 8 place du Champs de Mars - BP 2369-22023 St-Brieuc IA 29
Plus en détailOrganisation du suivi dans le cadre d un réseau
Organisation du suivi dans le cadre d un réseau Mandovi Rajguru Pédiatre Maternité Hôpital Bichat Claude Bernard Journée des pédiatres de maternité GENIF 04 Juin 2009 Introduction Constitution d un réseau
Plus en détail2013-2014. psychologie. UFR des Sciences de l Homme
2013-2014 DU LYCÉE À L UNIVERSITÉ psychologie UFR des Sciences de l Homme OBJECTIFS de la formation Vous êtes intéressé par les études de psychologie? A l Université Bordeaux Segalen, cette formation s
Plus en détailquel plan pour qui? Répondre aux besoins éducatifs PARticuliers des élèves :
Répondre aux besoins éducatifs PARticuliers des élèves : quel plan pour qui? _ Le projet d accueil individualisé (PAI) _ Le projet personnalisé de scolarisation (PPS) _ Le plan d accompagnement personnalisé
Plus en détailquel plan pour qui? Répondre aux besoins éducatifs particuliers des élèves :
Répondre aux besoins éducatifs particuliers des élèves : quel plan pour qui? _ Le projet d accueil individualisé (PAI) _ Le projet personnalisé de scolarisation (PPS) _ Le plan d accompagnement personnalisé
Plus en détailLes DYS : quel âge pour quel diagnostic?
Les DYS : quel âge pour quel diagnostic? Dr Alain POUHET ~ Médecine Physique et Réadaptation ~ Avril 2010 En situation de difficulté scolaire, affirmer une DYS peut être largement anticipé sans attendre
Plus en détailA PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES
IED PARIS 8 A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES La procédure d équivalence permet de dispenser les étudiants de certains enseignements dans la mesure où ils peuvent justifier de l acquisition
Plus en détailÉvaluation neuropsychologique et difficultés d apprentissage: déroulement et impact sur l enfant
Évaluation neuropsychologique et difficultés d apprentissage: déroulement et impact sur l enfant Charles Leclerc, Ph.D., C.Psych. Membre du CPO Membre de l OPQ Neuropsychologue 20 février 2013 Objectifs
Plus en détailDoit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?
Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec
Plus en détailENSEIGNEMENTS - JOURNEES COLLOQUES D.U et D.I.U
ENSEIGNEMENTS - JOURNEES COLLOQUES D.U et D.I.U Pr. Philippe DUVERGER CHU ANGERS SEMINAIRE CLINIQUE - Psychanalyse avec les enfants 2 ème et 4 ème jeudi de chaque mois de septembre 2007 à juin 2008 Etudes
Plus en détaild infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en
DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de
Plus en détailVoyage d étude aux Pays-Bas du 31 mai au 10 juin 2010
Voyage d étude aux Pays-Bas du 31 mai au 10 juin 2010 Isabelle Lieveloo, IA-IPR Lettres, Académie de Montpellier Introduction Ce voyage d étude qui s est déroulé du 31 mai au 10 juin m a permis de rencontrer
Plus en détailDéficit du langage écrit et oral. Troubles associés possibles Les aides à apporter
Déficit du langage écrit et oral LES «DYS» Troubles associés possibles Les aides à apporter 1 Remerciements Ce diaporama a été réalisé grâce à l implication et au soutien des associations partenaires des
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailLe s t r o u b l e s d u
Le s t r o u b l e s d u spectre de l,autisme l,évaluation clinique Lignes directrices du Collège des médecins du Québec et de l Ordre des psychologues du Québec janvier 2012 L illustration de la couverture
Plus en détailLES TROUBLES DU GRAPHISME LA RÉÉDUCATION: QUAND ET COMMENT PASSER PAR L ORDINATEUR?
LES TROUBLES DU GRAPHISME LA RÉÉDUCATION: QUAND ET COMMENT PASSER PAR L ORDINATEUR? BUJWID Alexandra Ergothérapeute SMPRE CRTLA CHU RENNES Octobre 2012 L écriture est un geste complexe L écriture est une
Plus en détailGuide. pratique. Prendre en compte la réalité de l illettrisme dans les pratiques professionnelles des Cap Emploi
Guide pratique Prendre en compte la réalité de l illettrisme dans les pratiques professionnelles des Cap Emploi 8 % des Franciliens de 20 à 59 ans sont reconnus handicapés. 30 000 handicapés franciliens
Plus en détailPARAMEDICAL. Métiers et formations. Centre d information et d orientation de NOUMEA
PARAMEDICAL Métiers et formations Centre d information et d orientation de NOUMEA Santé et paramédical Soins médicaux médecin, chirurgien dentaire, pharmacien, sage-femme Soins paramédicaux infirmier,
Plus en détailL Étudiant en Psychologie
L Étudiant en Psychologie Peu de débouchés, trop de candidats : la psychologie est l une des filières universitaires les plus embouteillées! Les études se déroulent généralement à l université, mais il
Plus en détailMÉMOIRE PORTANT SUR LE PROJET DE LOI N O 50 :
Loi modifiant le Code des professions et d autres dispositions législatives dans le domaine de la santé mentale et des relations humaines Mémoire présenté à la Commission des institutions Mars 2008 La
Plus en détailSCOLARISER LES ÉLÈVES À HAUT POTENTIEL
académie Dijon MINISTÈRE DE L ÉDUCATION NATIONALE MINISTÈRE DE L ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE SCOLARISER LES ÉLÈVES À HAUT POTENTIEL AIDE AU REPÉRAGE DE L ÉLÈVE À HAUT POTENTIEL PRÉAMBULE
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailFiche : lectures obligatoires
Fiche : lectures obligatoires Les lectures obligatoires pour le cours de français peuvent devenir un vrai calvaire pour les enfants qui ont des troubles d apprentissage. Et ce pour plusieurs raisons :
Plus en détailProgramme détaillé Analyse des actions de prévention précoce en PMI
Programme détaillé Analyse des actions de prévention précoce en PMI La formation continue du Centre d Ouverture Psychologique Et Sociale (Copes) s adresse à tous les acteurs du champ médical, psychologique,
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailLes cahiers de L ADAPT
Les cahiers de L ADAPT #169-1 er semestre 2012-5 Dyspraxie : du diagnostic à l emploi L ADAPT - Association pour l insertion sociale et professionnelle des personnes handicapées L ADAPT en chiffres 12
Plus en détailCENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE
CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE 12 rue aux raisins - 62600 BERCK SUR MER 03.21.89.44.01 - Fax : 03.21.89.44.82 Le mot d
Plus en détailANAMNÈSE - 1 - Création : Dre Josée Douaire, psychologue
ANAMNÈSE - 1 - (N.B. : le carnet de santé de votre enfant peut vous être utile pour remplir ce questionnaire) Nom de la personne qui complète ce questionnaire : Informations générales Nom de l enfant :
Plus en détailLes différents troubles d apprentissage
Les troubles d apprentissage chez l enfant Les différents troubles d apprentissage Les troubles d apprentissage scolaire concernent les troubles de langage oral et écrit, les troubles du calcul et les
Plus en détailIMC Val de Murigny. Centre de Rééducation Motrice pour Infirmes Moteurs Cérébraux. C.R.M-I.M.C. Val de Murigny 51100 REIMS
CRM-IMC IMC Val de Murigny Centre de Rééducation Motrice pour Infirmes Moteurs Cérébraux C.R.M-I.M.C. Val de Murigny 42, Boulevard Edmond Michelet 51100 REIMS Tél. 03 26 36 08 08 Fax 03 26 49 91 21 crm51direction@wanadoo.fr
Plus en détailACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES
OBSERVATOIRE REGIONAL DE LA SANTE Poitou-Charentes ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES Enquête auprès des établissements de Poitou-Charentes Etude commanditée
Plus en détailAvertissement. La pagination du fichier PDF est ainsi demeurée en tous points conforme à celle de l original.
Avertissement Pour faciliter la consultation à l écran, les pages blanches du document imprimé (qui correspond à la page 4) ont été retirées de la version PDF. On ne s inquiétera donc pas de leur absence
Plus en détailLe bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détailAssociation Suisse romande de Parents d Enfants et d adultes concernés par le trouble du Déficit d Attention / Hyperactivité
accompagner Association Suisse romande de Parents d Enfants et d adultes concernés par le trouble du Déficit d Attention / Hyperactivité préface table des matières 1 / Définition P. 4 2 / Manifestations
Plus en détailEducation Thérapeutique (ETP)
Education Thérapeutique (ETP) Enfant diabétique type I Marie Caron Infirmière puéricultrice référente en éducation thérapeutique Maryse Tamburro Cadre puéricultrice Centre initiateur de pompes à insuline
Plus en détailUnité de formation professionnelle du Ceras
Unité de formation professionnelle du Ceras 15 novembre 2013 : Journée romande de la commission latine d intégration professionnelle (CLIP) Cette présentation, susceptible d être d distribuée e aux personnes
Plus en détailBilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes
ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193
Plus en détailASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL
ASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL Directeur: Chef de Service Éducatif Assistante de Direction Accueil - Secrétariat
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DU NOURRISSON ET JEUNE ENFANT 0-6 ANS
LE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DU NOURRISSON ET JEUNE ENFANT 0-6 ANS DE QUELS MOYENS DISPOSE-T-ON? EXAMEN CLINIQUE + QUESTIONS des grandes étapes du développement de l'enfant dans les domaines de : Acquisition
Plus en détailDép. 75 «Enfant présent»
Dép. 75 «Enfant présent» PRESENTATION DE L ACTION Intitulé, ancienneté et lieu d implantation Créée en 1987, l association Enfant Présent, dispositif multi-accueil à caractère préventif, dispose de plusieurs
Plus en détailStratégies favorisant ma réussite au cégep
Source de l image :daphneestmagnifique.blogspot.ca Stratégies favorisant ma réussite au cégep par Services adaptés du Cégep de Sainte-Foy Table des matières UN GUIDE POUR TOI!... 2 STRATÉGIES DE GESTION
Plus en détailSOINS ET ACCOMPAGNEMENTS. Professionnels de la psychiatrie. www.psycom.org
SOINS ET ACCOMPAGNEMENTS Professionnels de la psychiatrie www.psycom.org Professionnels de la psychiatrie SOMMAIRE Organisation des soins psychiatriques Professionnels de la psychiatrie Psychiatre et pédopsychiatre
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailNOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2
NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /
Plus en détailParent d un enfant particulier : Où être accueilli, écouté, informé?
Parent d un enfant particulier : Où être accueilli, écouté, informé? Guide pratique pour l accueil d un enfant en situation de handicap DIRECTION GéNéRALE ADJOINTE de l ACTION SOCIALE ET DE LA SOLIDARITé
Plus en détailLes enfants autistes ont besoin d apprendre comme les autres
LJ Corporate. Crédits photo : Fotolia - J.B. Mariou - D.R. Nos associations militent pour un accompagnement éducatif et comportemental précoce des personnes autistes, afin de les aider à progresser et
Plus en détailJ e commencerai par vous donner une définition de
Les troubles du graphisme Les troubles du graphisme et de l écriture chez l enfant dyspraxique CLAIRE LE LOSTEC* Claire Le Lostec travaille comme ergothérapeute dans un service de soins à domicile de L
Plus en détailSVNP / ASNP STATUTS. Art. 3 Moyens En outre, l ASNP doit : 3.1 regrouper les psychologues qui exercent la neuropsychologie en Suisse ;
SVNP / STATUTS Art. 1 Généralités 1.1 Sous le nom d «Association Suisse des Neuropsychologues» (ci-après ) est constituée une association au sens des articles 60 et s. du Code civil suisse. 1.2 L association
Plus en détailMASTER 2 SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES Mention Psychologie. Spécialité : Recherches en psychologie
S3 Spécialité : Recherches en psychologie UE OBLIGATOIRES UE 1 : Epistémologie et méthodes de recherche en psychologie Ce séminaire aborde plusieurs aspects de la recherche en psychologie. Il présente
Plus en détailJournée de conférences plénières le mardi 17 mars, 9h 17h, Centre Pablo Neruda, Nîmes Journée forum / ateliers le vendredi 20 mars, 9h - 17h, Centre
Journée de conférences plénières le mardi 17 mars, 9h 17h, Centre Pablo Neruda, Nîmes Journée forum / ateliers le vendredi 20 mars, 9h - 17h, Centre Pablo Neruda, Nîmes Des actions en parallèle tout au
Plus en détailMichel Habib, neurologue Bulletin MGEN «Valeurs mutualistes» n 253 - janvier 2008
Les DYS une présentation. D r A l a i n P O U H E T ~ M é d e c i n e P h y s i q u e e t R é a d a p t a t i o n. Dans le domaine scolaire les vocables en "DYSquelquechose" (dyslexie, dysgraphie, dysorthographie,
Plus en détailSpécial Praxies. Le nouveau TVneurones est enfin arrivé! Les métiers. NOUVEAUX JEUX de stimulation cognitive, orientés praxies.
Enfants Adolescents AdultesPersonnesÂgéesPlasticité NeuronalePathologiesMaintienCognitif MémoireAttentionLangage FonctionsExécutivesVisuoSpatial Les métiers Spécial Praxies Le nouveau est enfin arrivé!
Plus en détailOrganisation des enseignements au semestre 7
Organisation des enseignements au semestre 7 UE1 : Pratiques pédagogiques différenciées et adaptées aux besoins éducatifs particuliers (responsable : J. Divry) Transmettre des connaissances et des références
Plus en détailenfants avec autisme ou autres troubles envahissants du développement
Scolarisation des enfants avec autisme ou autres troubles envahissants du développement 1 L opinion des parents 2010 Observatoire Centre régional d études et de ressources pour Scolarisation des enfants
Plus en détailGuide pour la scolarisation des enfants et adolescents handicapés
Guide pour la scolarisation des enfants et adolescents handicapés Avant-propos Une nouvelle loi, de nouveaux principes La loi du 11 février 2005 relative à l égalité des droits et des chances, la participation
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE LA SANTE
AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE
Plus en détailDemande d A.E.E.H. (Allocation d Education Enfant Handicapé)
Demande d A.E.E.H. (Allocation d Education Enfant Handicapé) Ce document est conçu uniquement pour vous aider à remplir le formulaire de demande, mais il ne peut pas être utilisé à sa place. Téléchargez
Plus en détailTrouble Déficit de l Attention / Hyperactivité et interventions thérapeutiques
Trouble Déficit de l Attention / Hyperactivité et interventions thérapeutiques Colloque 1 Sommaire OUVERTURE DE LA JOURNÉE Accueil Christine GETIN Introduction Christophe GENOLINI Aspects cliniques du
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailDangers potentiels d Internet et des jeux en ligne
Le Conseil fédéral Dangers potentiels d Internet et des jeux en ligne Rapport du Conseil fédéral en réponse aux postulats Forster-Vannini (09.3521) du 9.6.2009 et Schmid-Federer (09.3579) du 10.6.2009
Plus en détailJustice Équité Respect Impartialité Transparence Rapport du Protecteur du citoyen
Justice Équité Respect Impartialité Transparence Rapport du Protecteur du citoyen L accès, la continuité et la complémentarité des services pour les jeunes (0-18 ans) présentant une déficience intellectuelle
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE Un Bébé - un Livre
keskidi Keskili? 25 route du Sacré Cœur 97420 Le Port 06.92.95.34.24 keskidikeskili@gmail.com Keskidi Keskili? : Orthophonie et Prévention à La Réunion DOSSIER DE PRESSE Un Bébé - un Livre NOVEMBRE 2013
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailPACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation
PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation Centre Hospitalier d Argenteuil (95) F. Lémann, PH-coordonnateur de la gestion des risques associés aux soins Co-facilitateur
Plus en détailSANTE ECOLE ENSEIGNANTS
SANTE ECOLE ENSEIGNANTS Formation des directeurs 13 mai 2014 Nadine Colin, déléguée MGEN SANTE ECOLE ENSEIGNANTS 1. La MGEN, acteur de santé? 2. Eléments de réflexion et de débats 3. Dispositifs et outils
Plus en détailCentre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP
Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» EDS CHS MSP MSP «La Traversée» Anémones 1 - Anémones 2-45 lits 30 lits Chênes - 45 lits Dont - Circuits de soins internés 25 lits - Circuit de
Plus en détailDocument d aide au suivi scolaire
Document d aide au suivi scolaire Ecoles Famille Le lien Enfant D une école à l autre «Enfants du voyage et de familles non sédentaires» Nom :... Prénom(s) :... Date de naissance :... Ce document garde
Plus en détailSERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES. Livret d Accueil - 1 -
SERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES Livret d Accueil - 1 - Sommaire Contrat de soins p 3 Contrat de séjour d occupation de l appartement Règlement intérieur d occupation de l appartement p 6 Fiche sociale
Plus en détailProjet de loi n o 21 (2009, chapitre 28)
PREMIÈRE SESSION TRENTE-NEUVIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 21 (2009, chapitre 28) Loi modifiant le Code des professions et d autres dispositions législatives dans le domaine de la santé mentale et
Plus en détailLanguedoc - Roussillon
Master Métiers de l enseignement, de l éducation et de la formation 1 er degré MEEF Concours préparés : Concours de recrutement des professeurs des écoles (CRPE) Lieu : Carcassonne - Mende - Montpellier
Plus en détailQUESTIONNAIRE SUR LE TROUBLE DE L ACQUISITION DE LA COORDINATION (QTAC) Martini, R et Wilson, BN
QUESTIONNAIRE SUR LE TROUBLE DE L ACQUISITION DE LA COORDINATION (QTAC) Martini, R et Wilson, BN Developmental Coordination Disorder Questionnaire-French Canadian (DCDQ-FC) (basé sur le DCDQ 07) www.dcdq.ca
Plus en détailL école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences
L école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences Animation pédagogique Mise en œuvre du LPC 87 Un principe majeur! L école maternelle n est pas un palier du socle commun de connaissances
Plus en détailL agénésie isolée du corps calleux
L agénésie isolée du corps calleux Agénésie calleuse Dysgénésie du corps calleux La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus
Plus en détailPERMETTRE OU FACILITER LA SCOLARITE DE L'ENFANT DYSPRAXIQUE
PERMETTRE OU FACILITER LA SCOLARITE DE L'ENFANT DYSPRAXIQUE DOCTEUR MICHELE MAZEAU - QU'EST-CE QU'UN ENFANT DYSPRAXIQUE? - QUELQUES PRECISIONS MEDICALES - QUESTIONS / REPONSES - LES DIFFICULTES SCOLAIRES
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailLogiciels ou outils pouvant aider des élèves atteints de dyslexie, dysorthographie,
Logiciels ou outils pouvant aider des élèves atteints de dyslexie, dysorthographie, Philippe TRIVAUDEY Enseignant itinérant spécialisé TFM 2012-2013 1 Sommaire Introduction page 3 Préambule page 4 Présentation
Plus en détailQ.I. POUR QUI? POURQUOI?
Q.I. POUR QUI? POURQUOI? Huguette HOSTYN, Attachée au Département de Psychologie de l Hôpital NECKER Diplômée en Psychopathologie de l Université Paris X La Celle Saint-Cloud RESUME 1 Définition de l intelligence,
Plus en détailTablette numérique & troubles de l apprentissage
Tablette numérique & troubles de l apprentissage Quels intérêts pour l enfant dyspraxique? Peddy CALIARI Maître de conférences Sciences de l éducation Laboratoire CRILLASH 1 Bonjour à tous, L objet de
Plus en détailACCOMPAGNEMENT INSERTION PROFESSIONNELLE ORIENTATION REMISE À NIVEAU SENSIBILISATION RÉENTRAINEMENT AU TRAVAIL FORMATION INGÉNIERIE PÉDAGOGIQUE
Depuis 1978, 35 ans d accompagnement professionnel et d engagement durable auprès des personnes en situation de handicap ACCOMPAGNEMENT INSERTION PROFESSIONNELLE ORIENTATION RECONVERSION O PROFESSIONNELLE
Plus en détailPRENDRE SOIN DE CEUX QUI VIVENT LOIN
PRENDRE SOIN DE CEUX QUI VIVENT LOIN Dossier de presse www.eutelmed.com Mai 2014 Contact presse : Chrystel Chaudot Directrice associée chrystel.chaudot@eutelmed.com +33 6 64 11 22 18 1 SOMMAIRE Eutelmed,
Plus en détailEnseigner les Lettres avec les TICE http://lettres.ac-dijon.fr
Académie de Dijon Enseigner les Lettres avec les TICE http://lettres.ac-dijon.fr TraAM travaux académiques mutualisés, un accompagnement au développement des usages des TIC Créer un forum d écriture avec
Plus en détailCharte des Maîtres de Stage des Universités (MSU), en médecine générale
1 Charte des Maîtres de Stage des Universités (MSU), en médecine générale Préambule L objectif du stage de deuxième cycle en médecine générale est d appréhender les grands principes et les spécificités
Plus en détailRPS QVT. risques psychosociaux / QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL. l expertise obea
RPS QVT risques psychosociaux / QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL l expertise obea RPS QVT l expertise obea Spécialiste des projets de transformations RH et Managériaux, Obea travaille à vos côtés autour des différentes
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailLES TROUBLES D APPRENTISSAGE
LES TROUBLES D APPRENTISSAGE Guide pour les enseignants Emmanuelle Pelletier, psychologue scolaire Carole Léger, enseignante ressource Mars 2004 École Marguerite-Bourgeoys, Caraquet Table des matières
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailInventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE)
Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE) Ce questionnaire vous aidera à juger si vous devez consulter un clinicien pour votre dépression, si
Plus en détail