Depuis septembre 2002, l IREV anime un groupe de travail autour du «développement social de territoire».
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- Matthieu Savard
- il y a 7 ans
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1 Depuis septembre 2002, l IREV anime un groupe de travail autour du «développement social de territoire». Les participants sont issus : - Du département du Pas de Calais, - Du département du Nord, - De la Caisse d Allocations Familiale de Valenciennes. - Du GIP - DSU de Maubeuge Val de Sambre, - Et des deux réseaux associatifs : Colline et la Fédération des centres sociaux. Les 1ères réflexions de ce groupe de travail ont été accompagnées et formalisées par Jean-Bernard Dumortier du COPAS. Elles ont abouties au texte de cadrage cidessous. Ce texte a été la base de l organisation d un Jeudi de la Ville le 12 décembre Les travaux se sont poursuivis par l élaboration d un programme d action régional qui se décline autour de trois types d actions complémentaires : - Les actions de qualifications permettant de concerner un nombre important d acteurs locaux, sous la forme de journées régionales - Des actions d accompagnement de démarches locales qui concerneront un nombre plus restreint de sites, les séminaires locaux inter sites - Des temps de consolidation sous la forme des ateliers régionaux qui permettront de produire des outils et des modes d interpellation des institutions. Les séminaires inter sites ont débutés fin février. Bruno Carlon du cabinet Civito anime le séminaire du Nord qui concerne les sites de Fourmies, Grande-Synthe, Maubeuge, Valenciennes et Wattrelos. Jean Bernard Dumortier anime le séminaire Pas de Calais qui touche les sites d Arras, Béthune, Boulogne et le Calaisis. Le séminaire Bassin Minier est en cours de construction. IREV Développement social de territoire - 25 mai p 1 sur 6
2 Pour une démarche de développement social territorial 1. Définitions préalables Le projet de développement social territorial est une manière d entrer dans une démarche globale de développement sur un territoire donné. Cette démarche vise à transformer durablement les quartiers, villes, agglomérations, sur la base de projets définis, avec ce que cela comporte d exigence en termes d approche globale et de participation des acteurs concernés. Elle rompt avec l approche (trop) classique de développement urbain, dans lequel le social est en quelque sorte réduit à un «accompagnement» en aval des populations fragilisées par un renouvellement urbanistique. Pour autant, il ne s agit pas simplement par un simple effet de balancier de privilégier la mise en cohérence des dispositifs d intervention sociale sur un territoire 1 sans les interroger quant à leur contribution au développement local. Elle tente également de rompre avec l empilement de dispositifs contractuels qui régissent les différents aspects d une politique de la ville : contrat de ville, contrat temps libre, contrat éducatif local, contrat enfance, plan local d insertion, etc. Cette multiplicité a montré ses limites, et sortir de cette empilement générateur de technocratie et d incohérence est un enjeu fort pour les différents acteurs. Entrer dans une démarche de «projet social de territoire» vise à transformer les pratiques professionnelles et institutionnelles des différents opérateurs pour mieux les ajuster aux modes de vie de la population locale. Pour les rendre plus pertinentes en termes de facteurs de développement, Pour mieux les articuler entre elles. Pour les intégrer dans une stratégie de développement. 1 Il s agirait là d une logique de «schéma d intervention sociale» territorialisé, organisant la mise en cohérence des interventions sociales de l ensemble des institutions qui en ont la charge sur un territoire. Ce serait le «projet d intervention sociale sur le territoire» IREV Développement social de territoire - 25 mai 2004 p 2 / 6
3 2. Les enjeux Le transfert d expériences de développement local s est toujours heurté à de très grosses difficultés, voire à des impasses, dès lors que le vecteur de transfert était cherché du côté de la méthodologie, ou de la «boîte à outils». Au-delà de quelques outils plus ou moins consensuels, tels que le diagnostic partagé, il faut bien se rendre à l évidence : les facteurs locaux (endogènes) sont tellement puissants dans la définition de stratégies, qu ils occultent les éléments méthodologiques qu il serait possible de mettre en commun. Si l on veut éviter de faire du PST un nouveau dispositif technocratique générant sa propre méthodologie et ses propres règles, avec le double risque de rajouter une strate de plus à la complication ambiante et d aboutir aux mêmes impasses, il est nécessaire de changer radicalement l angle d approche. L enjeu principal devient alors le suivant : Plutôt que de décliner une nouvelle mouture de la «méthodologie de projet» de développement local, à laquelle les acteurs sont en général rodés, au moins sur le plan théorique, il devient urgent de poser la question des stratégies de développement en d autres termes. C est dans cet esprit que l on propose 4 «entrées» susceptibles d éclairer la démarche PST, et permettant de se doter d une visée commune, et de donner sens à des dispositifs éclatés. La démarche de «projet social de territoire» peut alors devenir fédératrice de tout un ensemble d expériences plus ou moins élaborées, et servir de cadre permettant la mise en perspective d interventions diversifiées. Sans chercher à niveler les contenus de ces démarches (qui, par définition, sont différentes selon les territoires), il s agit de se doter d une visée commune et de grilles de lectures partagées. 3. Quels sont les fondements d une approche de développement social Les hypothèses de départ sont celles-ci : un projet de développement sur un territoire donné doit partir d une compréhension anthropologique de ce qui «fait société» sur ce territoire. Autrement dit, les données culturelles, historiques, économiques, urbanistiques, les modes de vie des habitants et leur relation au territoire sont des paramètres qui conditionnent la pertinence des actions menées. Une connaissance fine de ces aspects est indispensable pour mener des actions pertinentes. Un projet de développement doit s appuyer sur les ressources locales (ressources primaires, au sens de la sociabilité existante, ressources secondaires, au sens des structures sociales, économiques, etc. existantes.). À noter que cette approche (par les IREV Développement social de territoire - 25 mai 2004 p 3 / 6
4 ressources plutôt que par les manques) interpelle l ensemble des acteurs concernés, des élus aux travailleurs sociaux, car ces territoires sont souvent stigmatisés par leurs manques plutôt que par leurs ressources. Un projet social de territoire nécessite une ambition commune, une anticipation de ce que peut / doit devenir ce territoire. Cette ambition commune est d ordre de la volonté politique, bien qu elle ne soit pas réservée aux élus. Cette ambition affirmée est l étape nécessaire pour que se dégagent alors des stratégies, qui elles-mêmes se déclinent en interventions concrètes. Un projet social de territoire ne peut se construire qu en impliquant le maximum d acteurs, et ce dans le respect des métiers de chacun des acteurs et de chacune des institutions concernées. En effet, un projet collectif de développement va souvent nécessiter que les pratiques de chacun se déplacent, se transforment, par l élaboration de nouvelles coopérations. Ces transformations, ces déplacements, ne seront supportables qu à partir du moment où le métier de chacun sera reconnu, valorisé, et vécu par tous sur le mode de la ressource mobilisable. 4. Les quatre entrées possibles 4.1 Se doter d une ambition commune L implication des institutions et des habitants dans l élaboration d un projet de développement a pour but de se doter d une ambition commune pour (et sur) un territoire donné. La formalisation de cette ambition a pour fonction de se projeter dans un avenir à moyen terme, et d éviter que le PST ne soit qu un catalogue de dispositifs à coordonner, sans visée à moyen terme. Autrement dit le projet est nécessairement projection dans l avenir, anticipation, ambition commune, partage d une volonté politique portée par l ensemble des acteurs. Cette ambition commune repose sur une compréhension partagée de ce qui «fait société», des ressources sur lesquelles s appuyer, ou des ressources mobilisables. À côté d autres acteurs, tels que les élus, les habitants, les techniciens et les urbanistes, la participation des travailleurs sociaux est particulièrement utile et complexe, en raison de l émiettement des dispositifs, et de la prégnance d institutions «poids lourds». Leur «vision» du territoire devrait être plus systématiquement sollicitée, que ce soit sur le plan professionnel ou institutionnel. La construction d une ambition commune passe donc nécessairement par Une compréhension dynamique du territoire en vue d agir C est en effet la capacité des acteurs de terrain à «faire remonter» les différentes visions du territoire qui permettra d ancrer et de consolider une ambition partagée. Autrement dit, la construction d une volonté et d une ambition collective, portée politiquement, s appuie nécessairement sur la confrontation d analyses et de «ressentis» des acteurs de terrain. IREV Développement social de territoire - 25 mai 2004 p 4 / 6
5 4.2 Faire évoluer les systèmes institutionnels et managériaux La plupart des projets menés se heurtent à des modes d organisation et de management inadaptés dans les différentes institutions concernées. Les institutions intervenant sur le champ du social sont en général bâties sur un modèle bureaucratique et administratif, qui stérilise le dynamisme des acteurs. Cette difficulté est à la fois intra et inter-institutionnelle. Intra-institutionnelle, car la participation à un projet de développement met souvent en difficulté l acteur de terrain confronté à un cadre hiérarchique et rigide d intervention et au flou des délégations dont il bénéficie (ou pas). Intrer-institutionnelle, car les optiques des différentes institutions, leurs champs de compétence, leurs modes d organisation, sont trop souvent vécus sur un mode opaque, voire concurrentiel. La mise en place d un projet commun et de stratégies communes suppose donc un véritable travail auprès des institutions et des organisations concernées par le développement du territoire. En effet, il apparaît clairement que le travail inter-institutionnel se heurte d abord à un manque de lisibilité des stratégies internes aux institutions, pour les agents euxmêmes. Un travail sur les délégations, sur la lisibilité interne des organisations, sur les marges de manœuvre dont disposent les agents de terrain est donc nécessaire. 4.3 Reconnaître, valoriser et faire évoluer les métiers et les fonctions. L évolution du mode d intervention des différents acteurs est souvent incontournable pour passer d une culture du dispositif à une logique de projet. Ces changements interrogent concrètement les métiers des uns et des autres, dans toutes les organisations concernées. Ces changements ne pourront être conduits avec le maximum de chance de réussite que si chacun des métiers est repéré, partagé, reconnu et valorisé. On ne peut bâtir un projet «contre» les acteurs concernés 2 Les changements ne portent pas tant sur les pratiques individuelles que sur l utilisation des dispositifs de toute nature. Trop souvent, on est en face d une «culture du dispositif» qui tient lieu de stratégie et de politique sur un territoire donné, et ce quel que soit le champ considéré, social, urbanistique, économique, etc. Il y aura donc lieu de réévaluer la pertinence des dispositifs actionnés au regard de l efficacité en termes de développement. L élaboration d un projet de territoire, parce qu il est de nature globale, doit donc permettre à la fois de mieux articuler entre elles ces interventions, et d en relire la pertinence au service d une stratégie de développement. Cette élaboration doit également permettre que chacun des métiers puisse s enraciner dans une logique de développement 2 Cette proposition générale s applique de manière centrale à l intervention sociale sur un territoire. On ne peut en effet sous-estimer la difficulté à inscrire l action sociale autrement qu en «réparation» des difficultés occasionnées par un environnement social, urbanistique, culturel et économique défavorable. La grande majorité des dispositifs à disposition d un intervenant social est clairement tournée vers cet objectif de réparation, et la culture de base est plutôt celle d un service à rendre à la population que d un projet à partager avec elle. IREV Développement social de territoire - 25 mai 2004 p 5 / 6
6 4.4 Proposer un pilotage spécifique Le pilotage doit être à la fois politique et technique. Sur le plan politique, le rôle des élus dans l élaboration d un PST et dans sa conduite doit être clarifié. L appréhension des enjeux du territoire doit permettre d intégrer la compréhension que peuvent avoir les élus de la population dont ils sont les mandataires, dans une approche globale (cf. point 1). En tout état de cause, l ambition commune pour un territoire doit être portée par les élus, mais elle en se limite pas à l ambition des élus. Sur le plan technique, le pilotage doit permettre de se doter d outils d observation et d évaluation partagés, et d harmoniser les «contrats» et procédures en tout genre. L imbrication des différents niveaux décisionnels (communes, agglomérations, cantons, département, état) nécessite là encore que soient définis les échelons pertinents de pilotage des actions menées. Autrement dit, il s agit de co-construire avec tous les partenaires un / des projet(s) qui trouvent à des moments donnés un portage stratégique, politique et technique IREV Développement social de territoire - 25 mai 2004 p 6 / 6
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