De la cible du médicament à la réponse de l organisme
|
|
- Liliane Lafond
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 De la cible du médicament à la réponse de l organisme
2 Plan Introduction I-Réponse cellulaire et réponse de l organisme II-Les grands mécanismes cellulaires de signalisation III-Les alternatives médicamenteuses
3 Introduction L étude du mécanisme d action des médicaments = pharmacodynamie Aspect quantitatif de la pharmacodynamie = pharmacométrie
4 Introduction La pharmacométrie, étude des: -paramètres d affinité des médicaments pour leurs cibles: KD,. -paramètres fonctionnels: paramètres de quantification de l effet des médicaments, c est à dire de la réponse de l organisme à ces xénobiotiques: DE50, CE50
5 Introduction Les paramètres pharmacodynamiques peuvent être appréciés à différents niveaux d intégration: de la cible moléculaire purifiée à l organisme entier. IN VITRO IN VIVO Récepteurs purifiés Fragments membranaires Cellules isolées Organe isolé Organisme entier Etudes de liaison spécifique Etudes fonctionnelles
6 Plan Introduction I-Réponse cellulaire et réponse de l organisme II-Les grands mécanismes cellulaires de signalisation III-Les alternatives médicamenteuses
7 I-Réponse cellulaire et réponse de l organisme La réponse cellulaire au médicament est appréciée en quantifiant: -la variation d un élément de la voie de signalisation mise en jeu (mouvement ionique, messager intracellulaire)
8 Relaxation (%) La réponse cellulaire au médicament est appréciée également en quantifiant: -la réponse fonctionnelle de cellules ou d organes isolés (réponses transcriptionnelles, métaboliques, contractiles, sécrétoires )
9 La réponse de l organisme entier: -correspond à l intégration de la réponse cellulaire au niveau du tissu puis de l organe et du système (cardiovasculaire, moteur, digestif..). Fonction de l organisme, étroitement dépendante des régulations physiologiques endogènes
10 La réponse de l organisme entier: Le cheminement du message du médicament Cible moléculaire cellule tissu organe système fonction Exemple: Cible : récepteur muscarinique de l acétylcholine cellules endothéliales et cellules musculaires lisses tissu organe: vaisseau système vasculaire fonction: relaxation
11 But de la quantification des réponses cellulaires ou de l organisme: comparaison des réponses d une même cible à plusieurs ligands Nécessité de standardiser les paramètres d étude ainsi que les conditions expérimentales: comparaison des résultats d un laboratoire à l autre
12 Paramètres fonctionnels de la réponse au médicament: -réponses quantales: DE50 -réponses graduelles DE50 ou CE50 -effets in vitro des agonistes et des antogonistes (CE50, pd2, pa2)
13 Plan Introduction I-Réponse cellulaire et réponse de l organisme II-Les grands mécanismes cellulaires de signalisation III-Les alternatives médicamenteuses
14 II-Les grands mécanismes cellulaires de signalisation Le message initié par la liaison du médicament à sa cible moléculaire correspond à une chaîne de réactions biochimiques intracellulaires dénommée voie de signalisation Cible moléculaire signalisation réponse cellulaire
15 Plan II-Les grands mécanismes cellulaires de signalisation II-1 La régulation de la transcription des gènes II-2 La phosphorylation de protéines et les messagers intracellulaires II-3 L intervention du calcium
16 II.1- La régulation de la transcription des gènes La transcription des gènes est la copie de leur ADN sous forme d ARN messager qui lui même est traduit sous forme de protéines au niveau des ribosomes. La transcription est étroitement régulée par liaison à la région promotrice des gènes d un ensemble complexe de proteines Ces protéines régulatrices= facteurs de transcription
17 Activation ou inhibition de certains facteurs de transcription sous la dépendance des médiateurs = neuromédiateurs, hormones, facteurs de croissance En se liant aux récepteurs de ces médiateurs, les médicaments sont capables de diminuer ou augmenter la synthèse de protéine(s). L effet du médicament va correspondre à l augmentation ou la diminution de cette protéine dans les cellules riches en récepteurs correspondants
18 La régulation de la transcription initiée par: - les récepteurs de la membrane plasmique - les récepteurs nucléaires des médiateurs
19 La régulation de la transcription initiée par les récepteurs de la membrane plasmique: La stimulation de ces récepteurs par les médicaments phosphorylation de facteurs de transcription localisés dans le cytosol (=activation des facteurs de transcription) migration dans le noyau régulation de la transcription activation des facteurs de transcription (FT) par stimulation des récepteurs membranaires
20 La régulation de la transcription initiée par les récepteurs nucléaires des médiateurs: Liaison des médiateurs lipophiles aux récepteurs nucléaires régulation de la transcription activation des récepteurs nucléaires (R), facteurs de transcriptions activés par liaison d un médiateur.
21 Plan II-Les grands mécanismes cellulaires de signalisation II-1 La régulation de la transcription des gènes II-2 La phosphorylation de protéines et les messagers intracellulaires II-3 L intervention du calcium
22 II.2- La phosphorylation de protéines et les messagers intracellulaires La phosphorylation de protéines intracellulaires (sur les résidus séryls, thréonyls ou tyrosyls) est un mécanisme commun à la plupart des voies de signalisation issues de la membrane plasmique. Ce processus peut intervenir: - en première position - plus tardivement
23 -en première position: dans la signalisation des récepteurs à activité protéine kinase Cf chapitre les récepteurs membranaires des médiateurs cibles de médicament Récepteurs à activité protéine kinase protéines phosphorylées réponses cellulaires (croissance et multiplication cellulaire)
24 - plus tardivement: dans la signalisation caractérisée par l augmentation de messagers intracellulaires: - AMPc - GMPc - diacylglycérol=dag - ions calcium
25 Phosphorylation de protéines via les messagers intracellulaires AMPc, GMPc, DAG, ions calcium: -AMP cyclique: généré à partir d ATP par les adénylates cyclases (enzymes membranaires dont l activité peut être stimulée ou inhibée par liaison d agonistes aux RCPG). Stimule la protéine kinase A: PKA
26 Phosphorylation de protéines via les messagers intracellulaires AMPc, GMPc, DAG, ions calcium: - GMP cyclique: généré par les récepteurs à activité guanylate cyclase et par les guanylates cyclases cytosoliques activées par liaison du NO (cf chapitre récepteurs nucléaires des médiateurs cibles de médicaments). Active la protéine kinase G: PKG
27 Phosphorylation de protéines via les messagers intracellulaires AMPc, GMPc, DAG, ions calcium: - le diacylglycérol, DAG: généré à partir du lipide membranaire phosphatidylinositol diphosphate par la phospholipase C. Stimule la protéine kinase C: PKC - les ions calcium: lorsque leur concentration cytosolique est augmentée (cf chapitre les protéines de perméabilité membranaire cibles de médicaments), le calcium lié à la calmoduline stimule les Cam-kinases
28 Phosphorylation de protéines par les multiples protéines kinases sont responsables de réponses transcriptionnelles, métaboliques, contractiles ou sécrétrices variées Exemple de l AMPc et de la PKA: activation de la lipolyse par phosphorylation de la triglycéride lipase PKA inactive AMPc PKA active Triglycérides, diglycérides triglycéride lipase inactive triglycéride lipase active P Acides gras libres et glycérol
29 Plan II-Les grands mécanismes cellulaires de signalisation II-1 La régulation de la transcription des gènes II-2 La phosphorylation de protéines et les messagers intracellulaires II-3 L intervention du calcium
30 II.3- L intervention du calcium La concentration cytosolique des ions Ca 2+ dans la cellule au repos est très faible: 10-7 M. L augmentation du taux de calcium, jusqu à 10-5 M entraîne des réponses contractiles, sécrétoires ou métaboliques. Contrairement aux autres ions, les ions Ca 2+ ont un rôle de messager intracellulaire
31 Quand la concentration augmente (influx de calcium extracellulaire ou mobilisation des stocks de calcium du réticulum), les ions Ca 2+ se lient à de petites protéines: - la troponine C - la calmoduline - les synaptotagmines
32 -la troponine C: localisée au niveau de l appareil contractile des fibres musculaires squelettiques et cardiaques. Augmentation de Ca 2+ favorise la contraction musculaire et la force de contraction cardiaque (effet inotrope positif) Muscle strié liaison Ca - troponine C interaction actinemyosine contraction
33 - la calmoduline: analogue ubiquitaire de la troponine C. Liaison calmoduline à 4 ions calcium augmentation de l activité de certaines enzymes (Cam-kinase, kinase des chaines légères de myosine; MLCK) contraction Muscle lisse liaison Ca - calmoduline myosine phosphorylée activation MLCK contraction
34 - les synaptotagmines: petites protéines localisées dans les extrémités des neurones Assurent la sécrétion de neuromédiateurs par exocytose Augmentation de calcium consécutive à l ouverture de canaux calciques sous l influence de l influx nerveux Neurones liaison Ca - synaptotagmines neuromédiateurs exocytose de
35 Plan Introduction I-Réponse cellulaire et réponse de l organisme II-Les grands mécanismes cellulaires de signalisation III-Les alternatives médicamenteuses
36 III-Les alternatives médicamenteuses L alternative médicamenteuse (possibilité de remplacer un médicament par un autre) se pose à deux stades: -lors de la conception -lors de la prescription
37 Lors de la conception: pour l industrie pharmaceutique, proposition de médicaments de cible originale en alternative aux médicaments conventionnels pour obtenir une réponse thérapeutique semblable
38 Lors de la prescription : Choix d une cible offrant le meilleur rapport bénéfice/risque parmi les différentes cibles offrant une réponse thérapeutique semblable Le choix peut s exercer entre: -un médicament princeps et ses génériques -un médicament chef de file et ses successeurs de structure proche -des médicaments initiant des réponses semblables en se liant à des cibles distinctes (exemples des alternatives médicamenteuses suivantes)
39 Plan Introduction I-Réponse cellulaire et réponse de l organisme II-Les grands mécanismes cellulaires de signalisation III-Les alternatives médicamenteuses Exemple du système rénine angiotensine aldostérone
40 La système rénine angiotensine aldostérone - Système impliqué dans de nombreuses régulations (pression artérielle +++) -3 composants: Rénine angiotensine enzyme de conversion de l angiotensine (ACE ou ECA)
41 Angiotensinogène 452 AA Rénine Enzyme de conversion de l angiotensine (ECA) Angiotensine I Angiotensine II 10 AA 8 AA SRA: un précurseur, 2 enzymes, 1 effecteur
42 Rénine :Enzyme d origine rénale. Scinde l angiotensinogène en angiotensine I angiotensine : 2 formes I et II. Angiotensine I peptide inactif. Angiotensine II induit l effet biologique enzyme de conversion de l angiotensine (ACE): permet la transformation angiotensine I en angiotensine II
43
44 L Angiotensinogène: Précurseur des angiotensines (pro-hormone) Synthèse majoritairement hépatique Production dans d autres organes : faible à l état basal mais stimulable en conditions pathologiques (cerveau, cœur, vaisseaux, reins)
45
46 La rénine: Synthèse par les cellules à rénine de l appareil juxta glomérulaire (Rein) Stockage dans des granules Diffusion dans tous les tissus Localisation extrarénale : Foie, surrénale, rate, ovaire, œil, cellules chorioniques (prorénine)
47
48 L angiotensine I : Décapeptide inactif Produit par action de la rénine sur l angiotensinogène Production et métabolisme locaux
49
50 Enzyme de Conversion de l angiotensine: Synthèse principalement par l endothélium vasculaire (+ épithéliums du tubule rénal, intestin ) Nombreux substrats: Bradykinine, enképhaline 3 formes: Membranaire: Endothélium, CMLv, epithélium, rein, cerveau, Circulante : Sécrétée par l endothélium vasculaire et les macrophages Testiculaire
51
52 L angiotensine II: Produit par action de l ECA sur l angiotensine I Deux récepteurs connus AT1 et AT2 Localisation AT 1 AT 2 CML 100% 0% Hépatocyte 100% 0% Corticosurrénale 80% 20% Médullosurrénale 10% 90% SNC 10% 90% Effets vasculaires de l angiotensine II= vasoconstricteur
53 Organisation fonctionnelle du vaisseau Endothélium =Transducteur Interface sang/paroi vasculaire. Capte des informations au niveau du sang et les traduit en réponse physiologique Cellules musculaires lisses= Effecteur Permet de faire varier le diamètre du vaisseau
54 Angiotensinogène Rénine Angiotensine I Enzyme de conversion de l angiotensine (ECA) Angiotensine II Ang II AT1 Endothélium ETA PLC Ca ET-1 AT1 Contraction Ang II Muscle lisse Dans les vaisseaux, angiotensine II se fixe sur les récepteurs AT1 vasoconstriction= augmentation de la pression artérielle
55 Les effets physiologiques de l angiotensine II: Vaisseaux: vasoconstriction Cœur: inotrope positif Système nerveux central: augmente commande sympatique Rein: stimule la sécrétion d aldostérone, augmente la réabsorption du Na et eau
56 Effets biologiques de l angiotensine II: Se lie à ses récepteurs membranaires vasculaires avec un effet vasoconstricteur Se lie à ses récepteurs surrénaliens pour stimuler la sécrétion d aldostérone= hormone antidiurétique Effet vasoconstriteur et effet antidiurétique concourent à l augmentation de la PA: HTA
57 Les molécules thérapeutiques de ce système: Les ligands d intérêt thérapeutique des cibles pharmacologiques de ce système à visée principalement antihypertensive sont: - Les inhibiteurs de l enzyme de conversion de l angiotensine : IEC: pril ou prilate - Les antagonistes des récepteurs de l angiotensine II: ARA II: sartan - Les inhibiteurs de la rénine: kiren
58 Les inhibiteurs de l enzyme de conversion de l angiotensine : IEC: pril ou prilate Ils inhibent la conversion de l angiotensine I en angiotensine II. Ils inhibent donc les effets liés à la synthèse d angiotensine II - IEC
59 Les inhibiteurs de l enzyme de conversion de l angiotensine : IEC: pril ou prilate Ils inhibent la contraction vasculaire et inhibent la production d aldostérone Ils augmentent les concentrations de bradykinine en inhibant la dégradation de la bradykinine - IEC - -
60 Inhibiteurs de l enzyme de conversion : responsables de la baisse de l Ang II et de l accumulation de Bradykinine (Captopril, Enalapril, Perindopril, Lisinopril) Indications HTA, Insuffisance cardiaque Angiotensine I Angiotensine II - Enzyme de conversion de l angiotensine (ACE) - - Bradykinine Peptides inactifs
61 Les antagonistes des récepteurs de l angiotensine II: ARA II: sartan Antagonistes des récepteurs AT1 (situés au niveau vasculaire et corticosurrénale) Même effet que les IEC au niveau vasculaire et production d aldostérone mais pas d effet sur la bradykinine: moins d effets secondaires: toux ARA II - Récepteurs AT1 - -
62 Angiotensine I Enzyme de conversion de l angiotensine (ACE) Bradykinine Angiotensine II - Récepteur AT1 Peptides inactifs Antagonistes des Récepteurs AT1 : (Losartan, Valsartan) Indications HTA, Insuffisance cardiaque
63 Les inhibiteurs de la rénine: kiren 1 seul: aliskirène Bloque la transformation angiotensinogène en angiotensine I aliskirène -
64 Pour le choix des antihypertenseurs, choix entre: Les molécules thérapeutiques de ce système: - Les IEC - Les ARA II - Les inhibiteurs de la rénine Mais aussi: - Les antagonistes de l aldostérone - Les diurétiques -Les inhibiteurs calciques - Les bétabloquants - Les alphabloquants - Les dérivés nitrés - Les antihypertenseurs d action centrale
65 Les antagonistes de l aldostérone: Cf chapitre récepteurs nucléaires des médiateurs cibles de médicaments: la spironolactone Les diurétiques: Ils se lient aux transporteurs ioniques assurant la réabsorption au niveau des nephrons: le furosémide Les inhibiteurs calciques: Ils bloquent les canaux calciques des CML s opposant à la vasoconstriction: la nifédipine
66 Les bétabloquants: Antagonistes des récepteurs béta adrénergiques: le propranolol Les alphabloquants: Antagoniste des récepteurs alpha 1 adrénergiques: la prazosine Les dérivés nitrés: Donneurs de NO: vasodilatation Les antihypertenseurs d action centrale
67 Conclusions Nombreux médicaments à disposition permettant de traiter la même pathologie. Choix thérapeutique en fonction des pathologies associées, des antécédents du patient Choix d une cible thérapeutique offrant le meilleur rapport bénéfice/risque
La filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailNEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE
NEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE D r Eric OUHAYOUN Service de Médecine Nucléaire - P r J.P. Esquerré CHU Purpan Toulouse - France Néphrogramme isotopique Principe :
Plus en détailTUTORAT UE 6 2014-2015 Initiation à la connaissance du médicament CORRECTION d annales Semaine du
TUTORAT UE 6 2014-2015 Initiation à la connaissance du médicament CORRECTION d annales Semaine du Concours PACES 2013-2014 Semaine du 27/04/2015 QCM n 1 : B, D, E A. Faux. Le monde animal et minéral a
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailDossier d information sur les bêtabloquants
Dossier d information sur les bêtabloquants Septembre 2014 I. Rappel sur les récepteurs bêta-adrénergiques Il y a actuellement 3 sortes de récepteurs bêta-adrénergiques connus: - Les récepteurs 1 qui sont
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailD o s s i e r. d u C N H I M. SARTANS : antagonistes de l angiotensine II. Revue d évaluation sur le médicament SOMMAIRE. Évaluation thérapeutique
D o s s i e r d u C N H I M Revue d évaluation sur le médicament Publication bimestrielle 1999, XX, 4 SOMMAIRE Évaluation thérapeutique SARTANS : antagonistes de l angiotensine II 1999, XX, 4 Centre National
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 7 janvier 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 7 janvier 2009 ZANEXTRA 20 mg/10 mg, comprimés pelliculés B/30, code CIP : 385 967.4 B/90, code CIP : 387 392.9 Laboratoires BOUCHARA RECORDATI Enalapril/Lercanidipine
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détailAnti-Inflammatoires Non stéroïdiens
Pharmacologie Clinique des Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Effets indésirables Aude FERRAN Plan Toxicité digestive Ulcères» Physiopathologie : effets locaux et systémiques» Cas du cheval Augmentation
Plus en détailLa pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle
UEMPSfO - Physiologie Chapitre 4 : La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle Professeur Christophe RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailDisponible en ligne sur www.sciencedirect.com. journal homepage: http://france.elsevier.com/direct/reaurg/
Réanimation (2008) 17, 101 110 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com journal homepage: http://france.elsevier.com/direct/reaurg/ NOTE PHYSIOLOGIQUE Physiopathologie de l hyporéactivité vasculaire
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLes cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailConception de Médicament
Conception de Médicament Approche classique HTS Chimie combinatoire Rational Drug Design Ligand based (QSAR) Structure based (ligand et ou macromolec.) 3DQSAR Docking Virtual screening Needle in a Haystack
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE
ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailLES OMEGA 3 OU LES ACIDES GRAS ESSENTIELS D ORIGINE MARINE
LES OMEGA 3 OU LES ACIDES GRAS ESSENTIELS D ORIGINE MARINE Pourquoi les Oméga 3 : Les huiles de poisson riches en EPA et DHA constituent les principaux apports en acides gras poly-insaturés de la famille
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailLe traitement de l'insuffisance cardiaque chez le chien
Folia veterinaria Le traitement de l'insuffisance cardiaque chez le chien Les principaux traitements à instaurer chez le chien insuffisant cardiaque sont passés en revue en insistant sur les critères de
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détail16 Les Anti-hypertenseurs
16 Les Anti-hypertenseurs 1 L hypertension Elle concerne 10 à 15% de la population française, l HTA est un facteur de risque pour les AVC et l insuffisance cardiaque. Elle est caractérisée par une augmentation
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailLe stress oxydant provoqué par l'exercice : une fatalité?
Le stress oxydant provoqué par l'exercice : une fatalité? L e métabolisme aérobie est un moyen très efficace de produire de l'énergie en oxydant la matière organique, mais l'utilisation d'oxygène entraîne
Plus en détailLes nouveaux triptans dans la migraine
Les nouveaux triptans dans la migraine J.M. Senard*, N. Fabre** P O I N T S F O R T S P O I N T S F O R T S Comme le sumatriptan, ce sont des agonistes sérotoninergiques 5HT1B/D ayant une action périphérique
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailSuivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants
Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants M.M. Samama, M-H. Horellou, C. Flaujac, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F. Depasse Biomnis - Ivry sur Seine TFPI TFPI
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailL ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN
L ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN TABLE DES MATIÈRES Présentation 1 L alcool, différent des autres aliments 2 Différent au moment de l absorption 3 Différent au moment de l élimination 4 Différent dans les conséquences
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailAnnales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)
Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailUniversité Louis Pasteur Strasbourg I Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE. En vue de l obtention du grade de
Université Louis Pasteur Strasbourg I Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE En vue de l obtention du grade de Docteur de l Université Louis Pasteur de Strasbourg Discipline : Aspects
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailNOTICE : INFORMATIONS DESTINÉES A L UTILISATEUR. Firazyr 30 mg solution injectable en seringue pré-remplie Icatibant
B. NOTICE 1 NOTICE : INFORMATIONS DESTINÉES A L UTILISATEUR Firazyr 30 mg solution injectable en seringue pré-remplie Icatibant Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant d utiliser
Plus en détailPartie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés
Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître
Plus en détailSystème cardiovasculaire - CV CV111 CV110. aliskirène Rasilez
aliskirène Rasilez CV111 Pour le traitement de l hypertension artérielle, en association avec au moins un agent antihypertenseur, si échec thérapeutique, intolérance ou contre-indication à un agent de
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailCommentaires sur les Épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre
Commentaires sur les Épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre Épreuve Écrite de Biologie A... 2 Épreuve Écrite de Biologie B... 8 Épreuve Orale de Biologie... 16 Annexe 1 : liste des sujets proposés
Plus en détailLa reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006
La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et
Plus en détail«Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.»
«Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.» Boire peu pour boire longtemps. Marcel Aymé Le vin est dans notre pays synonyme de plaisir (gastronomique) ou de déchéance (alcoolique). Le débat
Plus en détailFormavie 2010. 2 Différentes versions du format PDB...3. 3 Les champs dans les fichiers PDB...4. 4 Le champ «ATOM»...5. 6 Limites du format PDB...
Formavie 2010 Les fichiers PDB Les fichiers PDB contiennent les informations qui vont permettre à des logiciels de visualisation moléculaire (ex : RasTop ou Jmol) d afficher les molécules. Un fichier au
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailTHÈSE présentée par :
UNIVERSITÉ DE STRASBOURG ÉCOLE DOCTORALE des Sciences de la Vie et de la Santé IREBS UMR 7242 Équipe RCPG, douleur et inflammation THÈSE présentée par : Christel LOGEZ soutenue le : 27 novembre 2013 pour
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2. Docteur R.POTIER
ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2 Docteur R.POTIER DEFINITION DU DIABETE soit : Syndrome polyuro-polydipsique + amaigrissement + 1 glycémie > 2g/L 2 glycémies à jeun > 1,26g/l 1 glycémie
Plus en détailINTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE
INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs
Plus en détailModélisation pharmacocinétique-pharmacodynamique et techniques de simulation appliquées à l évaluation de stratégies thérapeutiques en infectiologie
Modélisation pharmacocinétique-pharmacodynamique et techniques de simulation appliquées à l évaluation de stratégies thérapeutiques en infectiologie Laurent Bourguignon To cite this version: Laurent Bourguignon.
Plus en détailHémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010
Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailrésumés des communications / Sciences fondamentales
SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 3e RÉUNION SCIENTIFIQUE ANNUELLE PROGRAMME 05 résumés des communications / Sciences fondamentales INFLAMMATION ET STRESS OXYDANT DANS LA CALCIFICATION VASCULAIRE
Plus en détailLes anti-inflammatoires non stéro. Les antalgiques non opiacés.
Les anti-inflammatoires non stéro roïdiens et stéro roïdiens. Les antalgiques non opiacés. (bases pharmacologiques) DCEM1 Pr.. Laurent Monassier Pharmacologie DCEMI Ce que nous allons voir 1 ère partie:
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?
Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailToxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup
A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailTravaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015
Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne
Plus en détailBiochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst
Biochimie I Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1 Daniel Abegg Sarah Bayat Alexandra Belfanti Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Laboratoire
Plus en détailLe traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir?
Le traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir? Le diabète de type 2 est une maladie chronique et progressive dont l incidence va en augmentant. Il n existe pas de traitement
Plus en détailLES ANTIMIGRAINEUX. Médicaments de la crise et médicaments de fond
LES ANTIMIGRAINEUX Migraine : maladie qui peut être handicapante selon fréquence, durée, intensité des crises, signes d accompagnement (digestifs), retentissement sur la vie quotidienne, professionnelle,
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailMÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC
MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC Québec, le 21 février 2000 2. PRÉAMBULE La Fédération des médecins
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailSysmex Educational Enhancement & Development
Sysmex Educational Enhancement & Development Bulletin d information SEED-Afrique No 6 Le rôle du test D-dimères dans le diagnostic clinique. Introduction à la coagulation L objectif de ce bulletin est
Plus en détailLes marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives
Les marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives Michèle d Herbomez DIU de Chirurgie Endocrinienne Lille 2009 Bilan biologique participe au Diagnostic Pronostic Suivi Trois types de marqueurs:
Plus en détailEvaluation des médicaments antihypertenseurs et place dans la stratégie thérapeutique
NOTE DE CADRAGE Evaluation des médicaments antihypertenseurs et place dans la stratégie thérapeutique Direction de l Evaluation Médicale economique et de santé Publique Service Evaluation du Médicament
Plus en détailORIGINE ET DIFFERENTS TYPES DE RYTHMES BIOLOGIQUES. Carine Bécamel carine.becamel@igf.cnrs.fr 04 67 14 29 83
ORIGINE ET DIFFERENTS TYPES DE RYTHMES BIOLOGIQUES Carine Bécamel carine.becamel@igf.cnrs.fr 04 67 14 29 83 INTRODUCTION Rythmes biologiques: définition Tout être vivant (humain, animal, végétal) est soumis
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailMédicaments à visée cardiovasculaire et grossesse. Dr Capucine Coulon Praticien hospitalier Maternité Jeanne de Flandre CHRU Lille
Médicaments à visée cardiovasculaire et grossesse Dr Capucine Coulon Praticien hospitalier Maternité Jeanne de Flandre CHRU Lille PRE TEST Quels sont les classes de médicaments contre-indiqués pendant
Plus en détail