DEROULEMENT DU SECOND COLLOQUE ORGANISE PAR SABIN SUR LE FINANCEMENT DURABLE DE LA VACCINATION (SIF) DAKAR, SENEGAL 5-6 AOUT, 2013

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1 DEROULEMENT DU SECOND COLLOQUE ORGANISE PAR SABIN SUR LE FINANCEMENT DURABLE DE LA VACCINATION (SIF) DAKAR, SENEGAL 5-6 AOUT, 2013

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3 Remerciements Le financement du Programme SIF est assuré par de généreuses subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates et l'alliance GAVI. Le Programme SIF est conseillé par un groupe de partenaires dont les membres comprennent l'organisation mondiale de la Santé, l'unicef, l'alliance GAVI, la Banque mondiale et la Fondation Bill & Melinda Gates. Le Sabin Vaccine Institute remercie le Bureau de l'unicef pour l'afrique occidentale et centrale d avoir soutenu la participation de plusieurs délégués et pour la participation active de leurs représentants au colloque. Plusieurs personnes ont apporté un soutien logistique et médiatique, y compris Alexa Bednarz (Fondation Bill & Melinda Gates), Caitlin Garlow (Sabin) et Brian Shaw (Sabin). L'interprétation simultanée a été fournie par Vidya Diaite and Associates. Les photographies ont été créées par Clément Tardiff. Le colloque n'aurait pas été possible sans le soutien précieux du Ministère de la Sante et des Affaires Sociales et le Ministère de l'intérieur du gouvernement de Sénégal. Ce rapport a été préparé par l'équipe SIF de Sabin: Khongorzul Dari, Ciro de Quadros, Devendra Gnawali, Clifford Kamara, Diana Kizza Mugenzi, Hélène Mambu-Ma-Disu, Jonas Mbwangue, Mike McQuestion Alice Nader et Mariya Savchuk. Washington, DC USA 20 Septembre 2013

4 Résumé Les 5-6 Août 2013, 59 délégués de 17 pays, se sont réunis à Dakar, au Sénégal pour le deuxième Colloque de Sabin sur le financement durable de la vaccination (SIF). Ils représentaient les ministères des finances, les ministères de la santé, e les autres ministères gouvernementaux concernés par le financement de la vaccination ainsi que les parlements. Ils ont été rejoints par 35 homologues des organismes partenaires de vaccination mondiales - l'oms, l'unicef, l'alliance GAVI, la Fondation Bill & Melinda Gates et Sabin Vaccine Institute. Les participants ont passé deux jours en petits groupes et des séances plénières, à examiner les budgets de leurs pays, la législation et les stratégies de plaidoyer dédiés à la vaccination. Le point fort fut une séance d'affiches où les délégués ont évalué les innovations en matière de financement de la vaccination de chaque pays. Chaque délégation nationale a rédigé des points d'action qui les aideront à parvenir à un financement durable de la vaccination en L'analyse des résultats de l'examen par les pairs et des points d'action nationaux montre que la plupart des pays du Programme SIF ont fait d'importants progrès depuis le premier colloque, qui a eu lieu à Addis-Abeba en Mars Un résumé des travaux du colloque et des résultats suit. Première Journée Au cours du premier panel sur le financement et les budgets de vaccination, les délégués de neuf pays ont partagé leurs idées sur la façon dont leur pays financent les programmes de vaccination et comment les efforts de plaidoyer ont été efficaces dans ce domaine. Ils ont rapporté une hausse générale des budgets nationaux de vaccination. Ils ont décrit les aspects de leurs processus budgétaires, en mettant l'accent sur les rôles respectifs des ministères, les parlements et les entités gouvernementales infranationales. Ils ont décrit des innovations telles que la budgétisation axée sur les résultats, les fonds nationaux de vaccination et «sin taxes» pour financer la vaccination. Le financement futur était un sujet de préoccupation, en particulier parmi les délégués des pays en voie de «sortir» de l admissibilité à la subvention de GAVI avant même qu'ils aient réussi à introduire les nouveaux vaccins (contre le pneumocoque et le rota virus).

5 Outre le financement et la budgétisation, la législation est le deuxième objet de travaux du programme SIF. Au cours du deuxième panel sur la législation, les délégués de 9 pays ont souligné que la préparation de la législation sur la vaccination oblige les ministères et les parlements à se réunir, quelque chose rarement ou jamais fait dans de nombreux pays. Elle oblige les institutions de re-conceptualiser les problèmes complexes tels que la meilleure façon de fiscaliser les investissements gouvernementaux sous-nationaux en matière de santé et de vaccination et la façon d'harmoniser les lois fédérales et sousnationales sur la santé. Certains pays ont déjà des mécanismes de contrôle des finances publiques mis en place qui peuvent facilement couvrir de nouvelles lignes budgétaires de vaccination et opérations de fonds. Les cas montrent que le processus législatif est généralement long et ardu et est souvent interrompu par les événements primordiaux. L'accès aux lois d'autres pays et les échanges entre pairs, notamment par le biais d'ateliers de révision de la législation organisés par Sabin, ont contribué à ce que certains des délégués puissent avancer leurs processus. Les panélistes ont identifié une série de thèmes spécifiques et des meilleures pratiques: Presque tous les pays ont organisé des forums parlementaires et publics (briefings) pour expliquer les avantages d'investir dans la vaccination. Ces événements de sensibilisation facilitent la votation des projets de lois sur la vaccination une fois qu ils sont soumis au Parlement. Les panélistes ont estimé que l'établissement d'un réseau de parlementaires partageant les mêmes idées dans chaque pays est essentiel pour concentrer le dialogue avec le gouvernement et pour garantir la continuité intra-parlementaire sur les questions liées à la vaccination. Un forum parlementaire compense le roulement élevé de délégués et fournit un soutien logistique et administratif nécessaire à l'élaboration et à la mise en œuvre de la législation sur la vaccination. Tous les pays représentés sont en train d'élaborer des lois de vaccination ou de mettre à jour celles qui existent déjà. Dans la plupart de cas, les lois autonomes sont en cours de rédaction. Cela a été un processus lent. Dans certains cas, les panélistes ont convenu, le temps peut être économisé si la législation sur la vaccination peut être clouée sur les lois existantes. Les panélistes ont convenu que «sin taxes» peuvent être utilisés pour générer des revenus destinés à la vaccination et à la santé en général. Ils ont estimé qu'il devrait y avoir un effort concerté d'imposer au moins les cigarettes et l'alcool, deux produits qui nuisent à la santé de la population. Le financement de la vaccination, doit être inclus dans la catégorie des dépenses budgétaires de l état contraignantes et obligatoires (statutaires). 3 Sabin Vaccine Institute

6 Un certain nombre de pays travaillent sur des projets de loi qui, entre autres, établissent des fonds nationaux de vaccination. Les questions ont été soulevées sur: comment le fonds sera géré? Quelles mesures peuvent être prises pour assurer une gestion saine et efficace? Les questions demeurent sans objet, car aucun fonds n'a encore été mis en œuvre. Après les panels, les délégués ont participé à une séance d'affiches durant laquelle les pays ont évalué des pratiques de financement de la vaccination nouvelles ou prévues dans chacun des pays. Chaque affiche a suivi un format standard, qui comprend des graphiques des tendances de financement de la vaccination, les points d'action de plaidoyer qui ont été établis par les délégués au précédent Colloque d Addis, et des points de balle décrivant les avances dans le financement ou les innovations législatives. Les délégués et leurs homologues du Programme SIF ont préparé les affiches ensemble avant le Colloque. Quarante-quatre délégués de tous les dix-sept pays ont participé à la session d affiches. Chaque évaluateur a été assigné trois pays à évaluer au hasard. Les évaluations par les pairs ont eu lieu en deux tours consécutifs de 45 minutes, chaque fois avec la moitié des pairs évaluant l'autre moitié. Utilisant un guide d'évaluation standard, les évaluateurs ont examiné les affiches et ont demandé aux présentateurs de décrire les pratiques innovantes de leurs gouvernements et parlements qui sont en train d être développées ou ont déjà été développées, pour rapprocher leurs pays de l'objectif de financement durable de la vaccination. Les résultats fournissent une description de certaines nouvelles pratiques que les pays sont en train de développer pour financer plus pleinement, et pour finalement posséder, leurs programmes nationaux de vaccination. Les plus souvent les évaluateurs ont classé les nouvelles pratiques comme liés au budget (26%), au financement (10%), au plaidoyer (6%), à la législation (3%) ou une combinaison des quatre domaines (54%). Soixante-cinq pour cent des pratiques se passent au niveau national, 18% au niveau infranational et 4% au niveau international. Elles semblent se développer de façon progressive, à ce stade, quelques-unes sont entièrement institutionnalisées. Les évaluations subjectives ont montré que les évaluateurs avaient tendance à être d'accord sur quatre points: la manière dont les pratiques ont été conceptualisés dans les pays; quelles pratiques mènent à une plus grande appropriation par les pays, quelles pratiques sont les plus susceptibles de réussir et quelles pratiques pourraient réussir dans

7 leur propre pays. Chacun des quatre semble puiser dans une dimension distincte de la construction de l'innovation. Les innovations bien conceptualisées, par exemple, ne sont pas nécessairement celles qui conduisent à l'appropriation nationale, ils ne sont pas susceptibles d être transférées à un autre pays. Que le pays soit relativement riche ou relativement pauvre, les évaluateurs ont décidé, qu il peut innover pour améliorer le financement sur la vaccination. Pour terminer la première journée, les participants ont été divisés en six petits groupes pour réfléchir sur ce qu'ils avaient partagé et à analyser les problèmes de financement de la vaccination spécifiques. Trois groupes ont porté sur les finances / budget et les thèmes de surveillance tandis que les trois autres groupes ont regardé les thèmes législatifs. Une technique de groupe nominal a été utilisée. Chaque participant a signalé un problème ou un défi qu'il ou elle juge important pour le financement sur la vaccination. Les facilitateurs ont énumérés ceux ci. Dans la discussion qui a suivi, le nombre de problèmes a été réduit à quelques-uns et les participants ont réfléchi aux solutions possibles pour chacun. Les problèmes choisis et les solutions proposées sont présentés ci-dessous. Les trois groupes financiers / budgétaires ont déploré l'absence de données sur les dépenses à partir de laquelle il serait possible d'estimer les budgets avant coût réel et. (Les solutions proposées: Réaliser des études de coûts, analyser les coûts du programme) Un deuxième problème était un manque général de connaissances en budgétisation et de gestion financière de la part des équipes du PEV. (Solution proposée: Renforcer les capacités de gestion financière à travers la formation et l'affectation de personnel qualifié pour les équipes du PEV). Il ya un manque général de transparence budgétaire: l'information financière et budgétaire n'est pas partagée à l'intérieur ou à travers les institutions publiques. Les participants ont convenu que le financement du programme est fortement tributaire des financements extérieurs (Les solutions proposées: identifier de nouvelles sources de recettes intérieures, améliorer la collecte des impôts, adopter une loi pour s'assurer que le financement sur la vaccination est cantonné) Les ministères des Finances n'aident pas assez pour trouver de nouvelles sources de financement (Solution proposée: approcher et engager les ministères des finances) Les coûts des vaccins sont élevés et sont en augmentation (Les solutions proposées: arrangements d'achats groupés, une étude indépendante sur les marchés de vaccins) Les décaissements budgétaires pour la vaccination sont souvent retardés (Solution proposée: établir un fonds de réserve) 5 Sabin Vaccine Institute

8 Les dépenses ne sont pas répertoriés, analysés (Les solutions proposées: mettre en place le suivi du budget (suivi des ressources) et les procédures d'établissement de rapports, analyser les dépenses dans le cadre des évaluations du rendement (y compris les niveaux sous-nationaux), l'amélioration des systèmes de gestion d'information) Il n'y a pas assez de coordination, de transparence et de responsabilisation des institutions publiques (les solutions proposées: étendre les comités de coordination interagences (CCI) pour inclure plus d'institutions nationales; publier les recettes fiscales et les lier aux dépenses de vaccination, effectuer des audits internes et externes en temps opportun) Les trois groupes législatifs ont identifié 24 problèmes qui affectent l'action législative pour le financement durable de la vaccination. Parmi eux: Les trois groupes ont estimé que le problème à la racine est que l'engagement politique pour la vaccination universelle est insuffisant. La disponibilité du financement externe pour la vaccination retarde l action législative (crée la dépendance de l'etat). (Solutions proposées: plaidoyer fondé sur des preuves visant à la fois les fonctionnaires gouvernementaux de haut rang et les députés, des campagnes d'information pour augmenter la demande, créent une pression politique pour la vaccination, des visites sur le terrain par les principaux décideurs) Le processus législatif qui est complexe et lourd, lui-même crée un obstacle important. Dans la législation, il existe une tension entre la spécificité (plus difficile à passer, plus efficace) et la généralité (plus facile à passer, moins efficace). Dans certains pays, les gouvernements et les parlements ont peu ou pas d'expérience préalable dans l élaboration de la législation ensemble. Les deux parties n'ont pas les ressources nécessaires pour légiférer correctement. (Solutions proposées: Insérer la vaccination dans les lois de santé existants lorsque ceci est possible par rapport à l'écriture d'un projet de loi sur la vaccination autoportant, organiser des séances d'information ponctuels où des représentants du gouvernement et les députés se réunissent pour discuter de la législation; organiser plus de renforcement des capacités des parlements et la formation pour les députés; continuer des échanges de pairs au niveau international) Les responsables gouvernementaux et les parlementaires ne connaissent pas suffisamment les faits sur la vaccination et le financement de la vaccination pour prendre des mesures. Les cas d'investissement pour la vaccination ne sont pas faits. (Solution proposée: fournir des rapports réguliers sur le programme de vaccination aux décideurs clés couvrant à la fois les indicateurs financiers et techniques de vaccination).

9 Deuxième Journée La deuxième journée a commencé avec les rapports des six petits groupes, qui ont généré une séance vive des questions et réponses. Un panel composé des homologues des agences partenaires a suivi, mettant l'accent sur le Plan d'action mondial pour les vaccins (GVAP) et comment les pays peuvent tirer parti des innovations présentées le premier jour pour répondre aux objectifs stratégiques sélectionnés de GVAP. Dans cette deuxième séance de questions et réponses, les délégués ont souligné l'importance de travailler ensemble pour atteindre les objectifs de GVAP. Ils ont souligné la nécessité pour chaque pays de déterminer ses propres priorités en matière de vaccination et pour les partenaires extérieurs à déplacer leurs pratiques afin de soutenir pleinement l'appropriation nationale. D'autres questions liées au GVAP qui ont été abordés: la nécessité d'une plus grande certitude sur les prix des nouveaux vaccins, la relation entre les différents rapports actuellement produits par les pays (JRF, rapport annuel GAVI, les comptes nationaux de santé) et comment ils vont contribuer au processus annuel de reportage pour le GVAP, et la nécessité d'un transfert de technologie plus rapide en Afrique en particulier pour la production de vaccins. Les 17 délégations de pays ont passé la plupart de l'après-midi de la deuxième journée de travail en petits groupes. Chaque groupe a élaboré un ensemble de points d'action à court et moyen terme, que les délégués s'efforceront de mettre en œuvre pour atteindre l'objectif SIF. Les délégués se sont ensuite réunis de nouveau et ont présenté leurs plans en séance plénière. Treize sur les dix-sept pays étaient représentés à la fois dans les deux colloques, celui d Addis et celui de Dakar. Cinq thèmes communs émergent en analysant les deux ensembles de points d'action pour les treize pays. Les plus fréquents dans les deux groupes sont la législation et des activités de plaidoyer. Le financement suit et est suivi à son tour par la direction financière et les changements organisationnels au sein du PEV. Cinq des treize pays (Liberia, Madagascar, le Népal, la RDC et le Sri Lanka) ont formulé les points d'action sur le financement dans les deux colloques. La comparaison montre 7 Sabin Vaccine Institute

10 que les pays restent le plus fortement engagés dans leur travail législatif et à développer leurs propres capacités de plaidoyer. Pour l'avenir, six pays (Cameroun, Madagascar, Mali, Népal, Sénégal, Vietnam) ont élaboré des points d'action à Dakar, relatives à la mise en œuvre du GVAP. Leurs points d'action nationaux achevés, les délégués ont discuté et finalement adopté, la Déclaration de Dakar. Elaborée par un comité de délégués ad hoc, la Déclaration prend en compte les principales questions abordées tout au long du colloque. Elle fixe des objectifs pour l augmentation du financement, le développement des pratiques budgétaires et de gestion des programmes de vaccination et demande que plus d échanges sud-sud de ces pratiques prennent lieu. La déclaration exhorte les pays à mettre le GVAP pleinement en œuvre. Les délégations ont choisis un délégué chacun pour signer la déclaration. Le colloque s est terminé avec un post-test et les mos de clôture de la part des homologues des agences de vaccination mondiales et le Directeur Général du Ministère de la Santé et des Affaires Sociales du Sénégal.

11 Contents Premiere Journee... Error! Bookmark not defined. Deuxieme Journee... 7 Objectifs de la Reunion... Error! Bookmark not defined. Ordre du Jour... Error! Bookmark not defined. Participants Deroulement... Error! Bookmark not defined. Premiere Journee Sondage du Public... Error! Bookmark not defined. 1.2 Remarques Preliminaires Les Discussions des Panels Session des Affiches Petits Groupes Deuxieme Journee... Error! Bookmark not defined. 2.1 Les Partnaires sur le Plan d action mondial pour les vaccins Points d Action des pays Declaration de Dakar Les Finalistes du mini-cours du SIF Ceremonie de cloture Evaluations Liste de Participants:... Error! Bookmark not defined. Tous les Annexes se trouvent sur la page web de SIF: - Annexe A Ordre du Jour - Annexe B Liste de Participants - Annexe C- Comparaison de reponses de pre et post-test - Annex D Peer Evaluations of Country Posters - Annex E Thematic group reports - Annex F Country action points - Annex G Declaration of Dakar 9 Sabin Vaccine Institute

12 Objectifs de la Réunion Réunir des parlementaires et leurs homologues gouvernementaux clés de 17 pays pour partager et évaluer les expériences et les meilleures pratiques pour le financement durable de la vaccination. Permettre aux délégués de faire une revue des pairs de leurs travaux dans les domaines du financement, de budgétisation, de plaidoyer et de la législation en utilisant une méthodologie standard. Permettre aux délégations nationales d élaborer de nouveaux points d'action de plaidoyer qui mèneront à un financement durable de la vaccination en Ciro de Quadros qui s adresse aux participants pendant la cérémonie d ouverture du Colloque. " Nous sommes à un moment crucial dans l'histoire, où nous avons la possibilité de créer des changements comme jamais auparavant.

13 Ordre du Jour L'ordre du jour du colloque est présenté dans l'annexe A. Les Participants Le colloque a réuni 94 participants, dont 59 étaient des délégués des pays et 35 étaient des homologues des agences mondiales de vaccination. Parmi les délégués des pays, 25 représentaient des ministères de la santé, 12 représentaient ceux des finances, de l'économie et du budget, et 20 étaient des parlementaires. Les participants étaient bien versés dans les questions de vaccination. Soixante- treize pour cent des participants avaient personnellement participé à soit une campagne de poliomyélite soit à une contre la rougeole. Soixante-dix huit pour cent avaient travaillé sur certaines étapes de cycles budgétaires de leur programme national de vaccination. Soixante-quatre pour cent avaient participés à un événement précédent organisé par le Programme SIF de Sabin. La liste des participants est présentée dans l'annexe B. Déroulement Première Journée 1.1 Sondages du Public Le colloque a débuté par un pré-test dans lequel le public a été interrogé sur une série d'éléments liés à la vaccination et au financement de la vaccination. Les participants ont relativement bien répondus sur une série d'éléments de connaissances relatives à la vaccination, les institutions publiques et les concepts des finances publiques. La majorité était familière avec l'objectif Millénaire pour le Développement n 4 (réduire la mortalité infantile de deux tiers). Soixante-quinze pour cent savaient que le coût pour vacciner complètement un enfant sera bientôt d environ 60 US$. Des proportions égales de participants comprenaient le terme capacité d'absorption et étaient familiers avec Les Dépenses Publiques et le cadre de la Responsabilité 11 Sabin Vaccine Institute

14 Financière (PEFA) de la Banque Mondiale. Plus de 90 % ont correctement identifié les trois fonctions de base du parlement (surveillance, représentation, législation). Plusieurs éléments comportementaux ont également été mesurés. Leurs réponses pré-et post teste ont tendance à varier. Dans le post-test, les participants étaient plus susceptibles d'être d'accord ou fortement d'accord que les gouvernements ne devraient introduire un nouveau vaccin que s'il a été démontré d être rentable. Quatre-vingt-cinq pour cent étaient fortement d'accord que tout programme public, y compris la vaccination, doit être démontré d être efficace et géré de manière efficace. En comparaison, 63% se sentaient ainsi au pré-test. La confiance des participants dans les programmes a évidemment augmenté. Dans le pré-test, seulement 7% des participants avaient estimé que les gouvernements à faible revenu seraient en mesure de financer entièrement ou presque entièrement leurs programmes de vaccination de routine dans un délai de cinq ans. Dans le post-test, cette proportion est passée à 20%. Dans le pré-test, seulement 27% pensaient que l'éradication de la poliomyélite sera atteinte dans les 3-5 prochaines années; dans le post-test, la proportion a augmenté à 40%. Les résultats des pré- et post-tests sont comparés dans l'annexe C.

15 1.2 Les discours d ouverture Le programme a été ouvert avec les commentaires des homologues des institutions partenaires officiellement engagés dans le programme SIF. Représentant de l'organisation Mondiale de la Santé, le Dr Oladapo Walker, Coordinateur de l Equipe Inter-pays d Appui de l OMS/AFRO pour l'afrique de l Ouest (OMS/AFRO/IST/AO), a présenté les objectifs stratégiques de la vaccination adoptés par les pays de la Région Afrique pour , en insistant sur la nécessité d'augmenter la couverture vaccinale et l'éradication de la poliomyélite. La vaccination est l'une des interventions les plus rentables en matière de santé publique, a-t-il ajouté, et ceci fournit une autre justification pour les pays à continuer à investir dans leurs programmes de vaccination. L OMS partage la vision du programme SIF qu en fin de compte, les pays puissent autofinancer leurs programmes de vaccination, a commenté le Dr Walker. Les pays vont sortir d'ici avec un paquet de 13 Sabin Vaccine Institute

16 meilleures pratiques d où ils pourraient se ressourcer pendant qu ils travaillent vers le financement durable de la vaccination. Mr. Santiago Cornejo, Directeur du Financement de la Vaccination à l'alliance GAVI, a reconnu les progrès réalisés par les pays depuis le Premier Colloque SIF (tenu en mars 2011, à Addis-Abeba). Il a noté que GAVI appuie l'engagement du programme SIF dans trois pays. Une deuxième subvention pour ajouter quatre autres pays est en cours, a-t-il ajouté. Crée en 2000, GAVI est dédié à sauver de jeunes vies en apportant de nouveaux vaccins et des vaccins sous-utilisés dans tous les pays. Pour l'avenir, il y aura des vaccins plus puissants, mais ceux-ci seront encore plus coûteux. En se basant sur l'expérience latino-américaine, où les pays financent aujourd'hui plus de 95% de leurs besoins en matière de vaccination, Mr Cornejo a défié les pays africains et asiatiques représentés à faire de même. Mme Molly Abbruzzese, Cadre dans l unité en charge de l accès aux Vaccins à la Fondation Bill & Melinda Gates, a noté le soutien continu de sa Fondation pour le Programme SIF de Sabin. La première subvention de SIF a été décernée en Une deuxième subvention servira à financer le programme jusqu'en La Fondation est impressionnée par le travail innovateur que les pays SIF font sur le financement de la vaccination, a commenté Madame Abbruzzese. Assurer un financement durable de la vaccination, a-t-elle ajouté, permettra également d'aider les pays à atteindre l'objectif du Millénaire pour le développement N 4 (réduire la mortalité infantile de deux tiers) et l'objectif Stratégique N 1 du Plan Mondial de la Vaccination (tous les pays s'engagent à la vaccination comme une priorité). Mr. Thomas O'Connell, Spécialiste Principal de la Santé, de l'economie et des Finances, de l'unicef, New York, a décrit comment l'unicef travaille en tandem avec les gouvernements pour s'assurer que les vaccins atteignent chaque enfant. Cet impératif correspond à l Objectif stratégique N 3 de GVAP: Les avantages de la vaccination sont équitablement étendus à tous les peuples. Un aspect de ce travail est de faire le suivi les ressources nécessaires pour identifier les goulots d'étranglement qui se produisent souvent à des niveaux sous-nationaux. L UNICEF et SIF sont de plus en plus en collaboration avec les pays dans ce domaine, a noté Mr. O'Connell.

17 Dr. Ciro de Quadros, Vice-président Exécutif de Sabin Vaccine Institute, a remercié le pays hôte, le Sénégal, pour son hospitalité et a rendu hommage au Ministre Sénégalais de la Santé et de la Prévoyance sociale, Son Excellence le Professeur Awa Marie Coll Seck, pour le rôle de leadership important qu'elle continue à jouer dans la santé mondiale. Beaucoup de choses se sont passées dans le domaine de vaccination dans le monde depuis le premier Colloque de Sabin à Addis, a-t-il observé. En deux courtes années, des progrès ont été réalisés contre la polio. La communauté mondiale s est réunie pour dresser la Décennie des Vaccins et a donné naissance au Plan d'action Mondial pour les Vaccins. Les pays dépensent plus sur la vaccination. Le plaidoyer est devenu une fonction essentielle des programmes de vaccination. Nous sommes à un moment historique exceptionnel, a fait remarquer le Dr de Quadros, lorsque des représentants de plusieurs institutions publiques (Ministères de la Santé, Ministères des Finances, Parlements) de 17 pays peuvent se réunir avec des partenaires afin de discuter et d'analyser, non seulement la performance technique mais aussi financière de leurs programmes de vaccination. Le travail qui sera bientôt présenté sur le financement et la législation de la vaccination est une indication de plus grandes choses à venir. Dr de Quadros a exhorté tous les pays à continuer d'appliquer le GVAP et de prendre à cœur l'un de ses principes directeurs: «l'appropriation nationale». La plus forte expression de l'appropriation nationale, a-t-il ajouté, est de parvenir à un financement durable des programmes nationaux de vaccination, c'est-à-dire d'augmenter les budgets de vaccination et de devenir indépendant du financement des partenaires externes. Au cours des trois prochaines années, Sabin s'attend à voir au moins six pays sortir du Programme SIF. Nous pouvons déjà voir au-delà de SIF, a déclaré Dr de Quadros. Il a défié les pays représentés à ce colloque à assumer le rôle de leadership dans le GVAP. Le Dr. Pape Amadou Diack, Directeur Général de la Santé au Ministère de la Santé et des Affaires Sociales du Sénégal, a remercié Sabin et souhaité la bienvenue aux délégations des pays au nom du Ministre, le professeur Awa Marie Coll. Le Sénégal considère la question du financement de la vaccination comme une priorité, a-t-il dit. Le pays va augmenter ses investissements sur la vaccination quand il va introduire le vaccin anti-pneumocoque plus tard en Le Dr Diack a rappelé que la vaccination est l'un des outils universels de lutte contre les maladies mortelles, grâce à laquelle la variole a été, et 15 Sabin Vaccine Institute

18 la polio sera bientôt, éradiquée. La vaccination est une intervention très rentable, a-t-il ajouté, qui peut aider les pays à atteindre leurs objectifs de développement du Millénaire, en particulier l'omd 4. Le Dr Diack a rappelé que le premier Colloque SIF, qui a eu lieu en 2011 à Addis-Abeba, a établi le cadre pour aider les pays à surmonter les difficultés et à augmenter le financement disponible pour la vaccination. Le financement durable de la vaccination est également parmi les objectifs stratégiques du GVAP (Plan d'action Mondial pour les Vaccins). Accomplir cela nécessite la collaboration active de tous les acteurs, en particulier les parlementaires, a-t-il souligné. Sur ce, le Directeur General à la santé a déclaré le Deuxième Colloque SIF ouvert et a formulé ses vœux pour une réunion productive. Dr. Papa Amadou Diack, Directeur General, Ministère de la Sante et des Affaires Sociales, Sénégal, qui s adresse aux participants a la cérémonie d ouverture du Colloque.

19 1.3 Les Panels Le colloque a débuté avec des discussions des panels sur le financement / budgétisation et de la législation pour la vaccination. Tous les 17 pays participants ont été représentés sur un des panels Le Financement et la budgétisation de la vaccination (Modérateur: Jonas MBWANGUE) Les membres du panel comprenaient: le Cameroun (Mr. Djoulde Maina, Ministère de la Santé), la RDC (M. Jules Baganda, Ministère du Budget), l'indonésie (Dr. Nova Riyanti Yusuf, Parlement), le Kenya (Dr. Dominic Mutie, Ministère de la Santé), la Mongolie (Dr. Delger Munkhbat, Ministère de la Santé), la République du Congo/Brazzaville (Honorable Pascal Leyinda, Parlement), la Sierra Leone (Dr. Mohamed Sartie Kenneh, Ministère de la Santé et de l'assainissement), le Sri Lanka (L'honorable (Dr.) Ramesh Pathirana, Parlement) et le Vietnam (Dr. Duong Thi Hong, Ministère de la Santé). L'objectif de ce débat était l'action du gouvernement sur le financement de la vaccination. Le groupe a commencé par une question d'introduction: Est-ce que le budget national de vaccination a augmenté dans votre pays? République du Congo/Brazzaville Il ya eu une légère augmentation du budget de la vaccination. La vaccination reste l'une des priorités nationales de développement. Une loi sur la vaccination a été élaborée afin 17 Sabin Vaccine Institute

20 de sécuriser les fonds alloués au financement de la vaccination, en particulier compte tenu du départ imminent de GAVI. Les communautés locales sont étroitement impliquées dans le financement de la vaccination. Les élus locaux participent à des activités de vaccination de routine et des campagnes de vaccination de masse. Le secteur privé est également en augmentation dans sa participation en raison des leurs politiques de responsabilité sociale des entreprises. Cameroun À la suite des efforts de plaidoyer soutenus, en grande partie avec le soutien de Sabin, une «culture axée sur les résultats» a émergé autour du programme de vaccination. La contribution du gouvernement au budget de la vaccination a presque doublé depuis De nouvelles sources de revenus pour le programme sont à l'étude. Il ya eu des réformes institutionnelles et législatives. La budgétisation basée sur la performance a été introduite et appliquée au programme de vaccination. Une décision a été prise par le gouvernement pour créer un Fonds pour la santé avec un guichet séparé pour la vaccination. Toutefois, le principal problème reste le décaissement irrégulier et insuffisant du budget de la vaccination. Sri Lanka L'appropriation nationale de la vaccination est évidente au Sri Lanka. Le gouvernement finance tous les vaccins du pays, à l'exception du vaccin pentavalent, qui est cofinancé par le GAVI. Le budget de la vaccination a doublé depuis 2005 et devrait encore doubler avec l'introduction de nouveaux vaccins. Le gouvernement a mis en place une ligne budgétaire pour les vaccins. Les modalités de participation du secteur privé sont en cours d'élaboration. Kenya Le pays a une très forte commission parlementaire de la santé et une société civile dynamique qui s'intéresse à la vaccination. Ces facteurs facilitent l'élaboration du budget de la vaccination et son approbation par le Ministère des Finances. Un groupe de plaidoyer pour la vaccination est en train d'émerger à l'assemblée nationale. Les groupes de défense apparaissent également au niveau des comtés. Ces groupes décentralisés veilleront à ce que le budget alloué à la vaccination soit utilisé exclusivement à cette fin.

21 Le Kenya n'a pas eu de problèmes avec le décaissement du budget, toutefois, le montant des fonds alloués pour le programme de vaccination est insuffisant. Le ministère de la Santé étudie des approches de suivi des ressources de la vaccination. Vietnam Le pays a adopté une loi sur la lutte contre les Maladies Evitables, qui prévoit la vaccination obligatoire et gratuite. La vaccination est une priorité nationale. Le gouvernement s'est engagé à financer intégralement le PEV. Il ya eu une augmentation de 30% du budget du PEV , mais le budget est resté statique en Ce budget augmentera à nouveau l'an prochain, en partie pour répondre aux engagements de cofinancement de GAVI. Les gouvernements provinciaux contribuent également au financement de la vaccination. Le gouvernement élabore actuellement de nouvelles approches de suivi des ressources pour le programme de vaccination. Mongolie Le PEV du pays a montré des résultats impressionnants depuis En 2011, le pays a introduit le dernier nouveau vaccin avec le financement du gouvernement et le cofinancement de GAVI. Depuis 19 Sabin Vaccine Institute

22 1923, le pays dispose d'un cadre juridique favorisant la vaccination. Selon la loi, la vaccination est obligatoire pour tous les enfants, avec des sanctions imposées à toute la famille dissidente. Liés à la loi de 1923 sont 11 documents réglementaires ayant trait au financement de la vaccination. Un fonds national de vaccination fournit un financement cantonné à la vaccination. RDC Il ya un groupe parlementaire pour la vaccination. La vaccination est l'une des activités prioritaires du Plan National de Développement Sanitaire (PNDS), qui a établi une relation étroite entre le financement du système de santé et les fonds alloués à la vaccination. Avant le colloque d Addis, les fonds de vaccination ont été mêlés dans la même ligne budgétaire avec d'autres produits pharmaceutiques et médicaux. Deux ans plus tard, le ministère du Budget a créé des lignes budgétaires distinctes pour les vaccins et les campagnes de vaccination. Pour l'instant, la priorité est de sécuriser les fonds de vaccination et de s'assurer qu'ils sont consacrés à des activités de vaccination. C'est ce que le groupe parlementaire pour la vaccination s'efforce d'atteindre à travers son rôle de surveillance active. Une nouvelle loi de réforme des finances publiques intègre budgétisation/gestion axée sur les résultats pour tous les programmes gouvernementaux. Le pays fait des efforts pour acheter l'ensemble de ses vaccins traditionnels avec des fonds nationaux. Il ya encore la question de savoir comment faire en sorte que les gouvernements provinciaux engagent également des fonds pour la vaccination dans leurs budgets, notamment pour payer le transport des vaccins vers les sites de vaccination. De nouvelles approches pour le suivi des ressources décentralisées sont en discussion. Sierra Leone Avec le soutien de Sabin et de l'oms, le Parlement a été emmené à s impliquer de plus en plus dans le processus budgétaire de vaccination. Cela a conduit le gouvernement à augmenter le financement pour le programme de vaccination. Les activités de sensibilisation sont menées au niveau national, de comté et de district. Ce travail implique différents acteurs. La sensibilisation sur le financement de la vaccination augmente et les comités locaux pour la vaccination sont en cours de création. Le défi majeur au niveau du district est de savoir comment faire le suivi des dépenses de vaccination. Certaines améliorations de la chaîne du froid ont été financées avec les ressources locales.

23 Indonésie La vaccination est une priorité dans les plans des OMD à moyen et à court terme du pays. Les budgets fédéraux de la santé sont généralement suffisants. En 2012, le pays a dépensé environ US $ par enfant sur la vaccination par rapport à 1.50 $ en Le principal défi est la décentralisation. La loi sur la décentralisation prévoit que chaque district contribue 2% de son budget pour les activités de santé. Il n'existe aucun mécanisme pour assurer que ces budgets sont suffisants et bien exécutés et que, en leur sein, la vaccination dispose de ressources suffisantes. Le gouvernement central joue un rôle de surveillance technique. L'approvisionnement en vaccins est effectué par le gouvernement central. La stratégie principale de financement durable est un programme de couverture maladie universelle, qui met l'accent sur la prévention et comprend la vaccination. Il sera lancé en Résumé Les membres du panel (panélistes) ont échangés des idées sur la façon dont les pays financent les programmes et comment les efforts de plaidoyer ont été efficaces dans ce domaine. Ils ont rapporté une hausse générale des budgets nationaux de vaccination. Ils ont décrit les aspects de leurs processus budgétaires, en mettant l'accent sur les rôles respectifs des ministères, les parlements et les entités gouvernementales infranationales. Ils ont décrit des innovations telles que la budgétisation axée sur les résultats, les fonds nationaux de vaccination et «sin taxes» pour financer la vaccination. Le financement futur était un sujet de préoccupation, en particulier parmi les délégués des pays en voie de «sortir» de l admissibilité à la subvention de GAVI avant même qu'ils aient réussi à 21 Sabin Vaccine Institute

24 introduire les nouveaux vaccins (contre le pneumocoque et le rota virus). Après une vivante session des questions et réponses, les experts ont identifié deux grands thèmes: Les gouvernements doivent travailler plus sur le financement des programmes de santé préventifs et pas simplement curatifs; Les gouvernements doivent mettre en place des mécanismes de suivi efficace des dépenses (suivi des ressources) visant à assurer un financement durable de la vaccination Législation sur la Vaccination (Modérateur: Helene MAMBU-MA-DISU) Les panélistes (membres du panel) étaient: Le Cambodge (L'honorable Ouk Damry, délégué), RD Congo (L'honorable Grégoire Lusenge, délégué), le Libéria (L'honorable William Dakel, délégué), Madagascar (Dr. Aro Tafohasina, délégué), le Mali (L'honorable Fanta Mantchini, délégué), le Népal (M. Prasad Acharya Komal, Ministère de la Santé), le Nigeria (L'honorable Adebenga Sefiu Kaka), le Sénégal (L'honorable Alfa Balde, délégué), l'ouganda (L'honorable Oleru Huda, délégué). Au cours de cet échange, les panélistes ont souligné une série de questions relatives à la législation de la vaccination dans une perspective parlementaire. Tant le travail législatif et les dispositions des lois en instance ont été décrits. Cambodge L'Assemblée Nationale est à la tête d'un projet législatif qui, nous l'espérons, va aboutir à une nouvelle loi sur la vaccination adoptée en Les travaux ont été retardés par les élections nationales au début de cette année. Il a été difficile d impliquer tous les ministères concernés dans le projet. Des

25 ressources parlementaires insuffisants pour la préparation et le traitement de la législation est un second facteur limitant. Madagascar Après que les délégués aient participés à un atelier législatif organisé par Sabin l'année dernière, ils ont proposés une nouvelle loi nationale sur la vaccination. La pièce maîtresse de la loi est la création d'un fonds national de vaccination. Le projet de loi est en discussion au sein du ministère de la Santé. Les dispositions fiscales sont encore à définir. Le projet a été retardé par les élections nationales imminentes. RDC Un projet de loi nationale sur la vaccination a été préparé et est prêt à être présenté au Parlement. Le projet de loi contient des dispositions explicites sur les revenus. La vaccination sera financée par un large fonds de santé financé par une nouvelle taxe de téléphonie mobile et les redevances minières. Les lignes de crédit seront étendues aux provinces pour financer les activités de vaccination locales. Cette dernière disposition nécessite chacun des onze parlements provinciaux à adopter une législation à l'appui. Liberia Un échange entre les députés et leurs pairs de l'ouganda l'an dernier a aidé à galvaniser l'intérêt pour le Congrès à prendre des mesures législatives sur la vaccination. Un projet de loi de vaccination est en circulation. Depuis quelques années, les députés ont préconisé par le Ministre de la Santé pour les augmentations du budget national de vaccination proposée. 23 Sabin Vaccine Institute

26 Les députés ont également demandés un poste dans le budget de la santé pour la vaccination, qui sera visible à eux comme ils supervisent l'exécution du budget de la santé. Mali Un réseau parlementaire sur la vaccination a été formé et a été en train de monter un soutien au sein de l'assemblée Nationale pour une nouvelle loi sur la vaccination. L'Assemblée a approuvé le projet. Les députés travaillent avec le ministre de la Santé pour définir les dispositions financières du projet de loi. Compte tenu de l'initiative parlementaire, il est attendu que le Ministère de la Santé puisse prochainement émettre un décret concernant le financement de la vaccination. Népal Un comité d'experts a conseillé le Ministère de la Santé sur un projet de loi national de vaccination proposée. S'appuyant sur les lois en vigueur au Costa Rica, en Mongolie et ailleurs, un groupe de travail de ce comité a élaboré des dispositions du projet de loi. La principale innovation est un nouveau fonds de vaccination public-privé. Les dons privés au fonds seront jumelés par le gouvernement. Le Ministère des Finances a approuvé le fonds et a augmenté le budget national de la vaccination de 7%. On prévoit que le projet de loi soit voté peu de temps après qu un nouveau parlement sera élu en Novembre Nigeria Il existe un soutien de haut niveau pour la vaccination au Nigeria. Le gouvernement a augmenté son budget de vaccination fédéral de N2.5milliard (15,5 million de $ US) en 2011 à N6milliard (37,3 million de $ US) en Le Gouvernement

27 et le Parlement ont donné leur aval à une modification de la Constitution qui garantit la vaccination (et d'autres services de santé de base) comme un droit de la citoyenneté. Vingt des 36 Etats ont ratifié l'amendement. Sénégal Le pays augmente ses investissements dans la santé. Le budget fédéral de la santé est passé de CFA80milliard (162million de $ US) en 2009 à CFA100milliard (203 million de $ US) en Un projet de loi sur la vaccination a été élaboré et est en circulation. Il prévoit le financement de la vaccination affecté provenant de plusieurs sources de revenus (allocations régulières, «sin taxes» sur l'alcool et le tabac, une nouvelle taxe sur la téléphonie mobile). Le projet de loi prévoit également l implication du secteur privé et des collectivités locales dans le financement de la vaccination. Ouganda Un réseau parlementaire pour la vaccination a été créé en Travaillant en étroite collaboration avec les homologues gouvernementaux, des parlementaires ont rédigés et présentés au parlement, un projet de loi sur la vaccination. La société civile et les gouvernements locaux ont été largement engagés dans la rédaction du projet de loi. Le président a exprimé son soutien à l'effort concerté de s'approprier le programme de vaccination du pays. Résumé La séance de questions et réponses à la suite de ce panel a suscité un certain nombre de points. La plupart des pays, a observé un délégué, augmentent leur financement de la 25 Sabin Vaccine Institute

28 vaccination en dépit de leur manque de lois en matière de vaccination à jour. D'autres délégués ont soulignés que la préparation de la législation de vaccination oblige les ministères et les parlements à se réunir, quelque chose rarement ou jamais fait dans de nombreux pays. Elle oblige les institutions à reconceptualiser les problèmes complexes tels que la meilleure façon de fiscaliser les investissements des administrations infranationales en matière de santé et de vaccination et la façon d'harmoniser les lois fédérales et infranationales de santé. Certains pays ont déjà des mécanismes de contrôle des finances publiques mises en place qui peuvent facilement couvrir de nouveaux postes de vaccination et des opérations de fonds. Les cas montrent que le processus législatif est généralement long et ardu et est souvent interrompu par les événements primordiaux. L'accès aux lois d'autres pays et les échanges entre pairs, notamment par le biais d'ateliers de révision de la législation organisés par Sabin, ont contribué à ce que certains délégués puissent changer dans leurs processus. Les panélistes ont identifié une série de thèmes spécifiques et des meilleures pratiques. Ils sont décrits ci-dessous. Les forums/briefings sur la vaccination Presque tous les pays ont organisé des forums/briefing parlementaires et publics pour expliquer les avantages d'investir dans la vaccination. Ces événements de sensibilisation facilitent grandement les votes à venir sur les projets de lois de vaccination dès qu'ils sont soumis au Parlement. La consultation du public par le biais des forums s'est également avérée être une étape importante dans le processus législatif. Réseaux parlementaires Les panélistes ont estimé que l'établissement d'un réseau de parlementaires partageant les mêmes idées dans chaque pays est essentiel pour se concentrer sur le

29 dialogue avec le gouvernement et d'assurer la continuité intra- parlementaire sur les questions liées à la vaccination. Un réseau parlementaire compense pour le renouvellement croissant des députés et fournit un soutien logistique et administratif nécessaire à l'élaboration et à la mise en œuvre de la législation sur la vaccination. Les lois évoluent plus rapidement dans les pays avec de tels réseaux parlementaires. Au Mali, 68 des 147 députés appartiennent au réseau de vaccination parlementaire de ce pays. Actuellement, le réseau de l'ouganda compte 180 députés. But de lois sur la vaccination Tous les pays représentés sont en train d'élaborer des lois sur la vaccination. Dans la plupart des cas, les lois spécifiques à la vaccination sont en cours d'élaboration. Cela a été un processus lent. Dans certains cas, les panélistes ont convenu, le temps peut être sauvé si la législation de la vaccination peut être insérée dans les lois existantes. Dans certains pays, les seules lois de santé qui existent traitent uniquement le contrôle des maladies épidémiques. Les députés de ces pays peuvent faire valoir que la vaccination est un outil pour lutter contre les épidémies. Un autre angle est nécessaire pour les lois plus complexes qui cherchent à instituer des fonds nationaux de vaccination. Dans de tels cas, des dispositions sont nécessaires pour assurer que des produits de fonds sont affectés à l'achat de vaccins et aux activités de vaccination. Les sources de revenus Les panélistes ont convenu que «des taxes sales» peuvent être utilisées pour générer des revenus destinés à la vaccination et à la santé en général. Ils ont estimé qu'il devrait y avoir un effort concerté de taxer au moins les cigarettes et l'alcool- deux produits qui nuisent à la santé de la population. Le financement de la vaccination, ont estimé les experts, devrait être inclus dans la catégorie des dépenses budgétaires contraignantes et obligatoires (statutaires) des Etats. Les fonds nationaux de vaccination Un certain nombre de pays travaillent sur une loi qui va, entre autres, créer des fonds nationaux de vaccination. En supposant que la loi soit adoptée, a demandé un délégué, comment le fonds sera-t-il géré? Quelles mesures peuvent être prises pour assurer une gestion saine et efficace? Les questions demeurent sans objet, car aucun fonds n'a encore été mis en œuvre. 27 Sabin Vaccine Institute

30 1.4 Session des Affiches Méthodes Des affiches ont été utilisées pour présenter et évaluer les pratiques innovatrices de financement de la vaccination de chaque pays. Chaque affiche a suivi un format standard, qui comprend des graphiques sur les tendances de financement de la vaccination, les points d'action de plaidoyer qui avaient été établis par les délégués au précédent colloque d Addis et des points saillants décrivant l'innovation en vedette. Les délégués et leurs homologues du Programme SIF ont préparés les affiches ensemble avant le Colloque. Quarante-quatre délégués de tous les dix-sept pays ont participé à la session d affiches. Chaque évaluateur a été assigné au hasard trois pays à évaluer. Les évaluations par les pairs ont eu lieu en deux tours consécutifs de 45 minutes, chacun avec les pairs de la moitié des pays évaluant l'autre moitié. En utilisant un guide d'évaluation standard, les évaluateurs ont examiné les affiches et ont demandé aux présentateurs de décrire les pratiques innovantes que leurs gouvernements et parlements développent ou ont développé, pour rapprocher leurs pays de l'objectif de financement durable de la vaccination. De nouvelles pratiques ont été classées en

31 termes de secteur fonctionnel (finances, budget, législation, plaidoyer), le mécanisme de développement (de haut en bas, de bas en haut, troisième partie), la durée (moins d'un an, 1-2 ans, 3 ans ou plus), le niveau (international, national, infranational), les institutions concernées (gouvernement, parlement, organisations non gouvernementales) et le niveau actuel de développement (on en parle, en train d'être essayé, s'institutionnalisant, entièrement institutionnalisé). Les évaluateurs ont également évalué une série de dix éléments subjectifs marqués par Likert, allant de s'ils pensaient que la nouvelle pratique était bien conceptualisée à savoir si la pratique réussirait dans le propre pays de l'évaluateur. Pour conclure l'évaluation, les évaluateurs notaient les recommandations pour les présentateurs. Un total de 110 formulaires d'évaluation standard ont été remplis. Les données ont été saisies dans Stata et analysées par le personnel du Programme SIF. Les résultats sont résumés ci-dessous. Les résultats détaillés pour chaque pays sont présentés à l'annexe D. Résultats infranational et 4% au niveau international. Les évaluateurs ont le plus souvent classés les nouvelles pratiques comme liées au budget (26%), aux finances (10%), au plaidoyer (6%), à la législation (3%) ou à une combinaison des quatre domaines (54%). Soixante-quinze pour cent des pratiques se passaient au niveau national, 18% au niveau Les pratiques ont tendance à provenir en mode de haut vers le bas (78%) avec 14% émergeant du bas vers le haut et 4% venant des organisations ou des institutions extérieures. Quatre-vingt pour cent des innovations ont impliqué plus d'une institution 29 Sabin Vaccine Institute

32 publique. Comme prévu, les ministères de la santé ont été les plus fréquemment impliqués (83 %), suivis par les parlements (59%) et les ministères des finances (28%). Parmi les institutions non gouvernementales, les organismes de services communautaires, tels que les Rotary clubs, ont participé à 30% (34/ 110) des innovations. Le secteur de l'entreprise privée était actif dans 12% des innovations avec la société civile et d'autres groupes représentant 25%. Soixante- trois pour cent des pratiques (69/110) ont commencé dans les 1-2 dernières années, le reste à partir de 3 ou plus d années. Les évaluateurs ont déterminé que 16% des nouvelles pratiques (17/110) étaient déjà entièrement institutionnalisées, c'est à dire qu'ils ne sont plus des innovations, mais maintenant font partie de la routine. La plupart (53%) des innovations, cependant, ont été classés comme en voie de s'institutionnaliser. Par ailleurs, 17% (19/110) étaient considérés comme en phase d'essai tandis que 8 % étaient encore en discussion avec aucune action pour l'instant. Les dix éléments subjectifs de l échelle de Likert sont décrits dans le tableau 1. Les évaluateurs ont donné à chaque élément un score de 1-5, 1 étant «Aucune chance", 2 "peu probable", 3 "Incertain", 4 "probable" et 5 "Presque certain". Le coefficient d'objectivité est une préoccupation pour les données comme celles-ci. Différents nombres d'évaluateurs ont évalués chaque cas. Plutôt que de s'entendre sur les concepts sous-jacents, les évaluateurs avaient plutôt des différences dans leur façon d évaluer l'innovation d'un pays donné. Ils peuvent avoir eu des interactions différentes avec le même informateur. Les barrières linguistiques, les styles de présentation et ainsi de suite sont d'autres sources d'erreur dans les évaluations. Les corrélations intra-classe mesurent comment d une façon similaire (fiable) les évaluateurs ont évalué chaque élément pour chaque pays. Les CCIA sont relativement faibles, allant de 0,56 (de chances de réussir) à 0,26 (durable). Tableau 1. Les éléménts de Likert sur les Innovations Institutionnelles pour le financement durable de la Vaccination, La session avec affiches de Sabin, du 5 août 2013, Dakar, Sénégal (n=44 évalauteurs Elément Description de l élément Obs. Moyen Std Dev. Min Max Corrélation Intervalle de Intra-classe (rho) confiance à 95% Concept Approche Le mixage des Inst. L innovation est bien conceptualisée. La solution proposée cadre avec le problème ou l opportunité qu il adresse Une autre approche pouvait être plus à même de résoudre le problème/améliorer la durabilité de la vaccination Le mixage correct des institutions est ou était impliqué dans le développement de l innovation Il y a ou il y avait de la résistance à cette innovation Cette innovation est ou était faite sans engager des nouveaux coûts 106 3,93 0, ,43*** (0,211. 0,637) (0,11) 105 3,15 1, ,39*** (0,174. 0,613) (0,11) 104 4,12 0, ,41*** (0,11) (0,192. 0,626) Résistance 102 2,75 1, ,47*** (0,11) (0,260. 0,681) Pas de coûts 104 3,33 0, ,34*** (0,12) (0,107. 0,566) Durabilité Cette innovation va aider le pays à atteindre 100 3,89 0, ,26**

33 plus rapidement le financement durable de la vaccination Institution_ nation Cette innovation va à coup sur être institutionnalisée à l échelle nationale Appropriation En cas de réussite, cette innovation augmenter l appropriation par le pays du programme de vaccination Chances de réussite En prenant en compte tous les facteurs, quelles sont les chances que innovation soit institutionnalisée Vos propres chances Cette innovation aurait assez de chances de de réussite réussir dans votre propre pays (0,12) (0,021. 0,506) 104 4,14 0, ,43*** (0,11) (0,220. 0,648) 10-4,30 0, ,44*** (0,11) (0,228. 0,649) 106 4,02 0, ,56*** (0,09) (0,380. 0,745) 98 4,02 0, ,48*** (0,11) (0,266. 0,691) Tableau 2. Les pays classés (plus faible au plus élevé) en terme de moyenne d innovation 1, Colloque de Sabin, Dakar, Sénégal, 5 août 2013 Concept Propre Chances Propre chances Moyenne d innovation Rang Pays Moyen Rang Pays Moyen Rang Pays Moyen Rang Pays Moyen Rang Pays Moyen 1Rep. Du Congo 0,16 2,5 Madagascar 0,50 2,5 Sénégal 0,50 4 Népal 0,60 5 Libéria 0,70 6 Nigeria 0,75 7 Ouganda 0,80 9,5 Indonésie 1,00 9,5 Vietnam 1,00 9,5 Mongolie 1,00 9,5 Cambodge 1,00 12 Kenya 1,12 13 Caméroun 1,16 14 Sierra Léone 1,25 15 RDC 1,28 16 Mali 1,33 17 Sri Lanka 1,40 1 Népal 0,60 2 Sénégal 0,75 3 Libéria 0,80 5 Ouganda 1,00 5 Indonésie 1,00 5 Nigeria 1,00 8 Mongolie 1,33 8 Rép. Congo 1,33 8 Mali 1,33 10 RDC 1,35 11 Vietnam 1,43 12,5 Madagascar 1,50 12,5 Sierra Léone 1,50 14 Cambodge 1,57 15 Kenya 1,62 16 Caméroun 1,66 17 Sri Lanka 2,00 1 Mali 0,33 2 Indonésie 0,66 3 Cambodge 0,71 4 Sierra Léone 0,75 5 Népal 0,80 6 RDC 0,86 9 Sénégal 1,00 9 Mongolie 1,00 9 Rep. Congo 1,00 9 Nigéria 1,00 9 Vietnam 1,00 12 Libéria 1,10 13 Madagascar 1,17 14 Ouganda 1,20 15 Kenya 1,25 16 Caméroun 1,33 17 Sri Lanka 1,80 1 Népal 0,40 2,5 Mali 0,66 2,5Indonésie 0,66 4 Vietnam 0,71 5 Libéria 0,88 9,5 RDC 1,00 9,5 Nigeria 1,00 9,5 Sierra Léone 1,00 9,5 Madagascar 1,00 9,5 Ouganda 1,00 9,5 Mongolie 1,00 9,5 Caméroun 1,00 9,5 Cambodge 1,00 14 Rep. Congo 1,17 15 Kenya 1,43 16 Sri Lanka 1,60 17 Sénégal 1,75 1Népal -0,63 2 Indonésie -0,33 3 Libéria -0,29 4 Mali -0,24 5 Rep. Congo -0,21 6 Nigeria -0,19 7 Sénégal -0,1 8 Vietnam -0,08 9 Madagascar -0,06 10 Uganda -0,03 11 Sierra Léone 0,03 12 RDC 0,04 13 Mongolie 0,08 14 Caméroun 0,25 15 Cambodge 0,32 16 Kenya 0,38 17 Sri Lanka 0,77 La moyenne d innovation représente la moyenne des évaluations des pairs évaluateurs sur des affiches des pays ; les valeurs vont de -2 à 2 Pour faciliter la construction de l'indice, chaque élément a été redimensionné dans l'intervalle (-2,2). Les six éléments avec les plus hauts CCI ont ensuite été utilisés pour faire un indice d'innovation. L'analyse factorielle a révélé que quatre articles ont le meilleur indice: le concept, le propriétaire, et probablement les chances propres (alpha = 0,73). L'ensemble des données est ensuite effondré, générant des valeurs moyennes de l'indice et les quatre points d'indice pour chaque pays (n = 17). Les moyens des pays ont ensuite été classés du plus bas au plus élevé. Le rang de 1 indique le pays le moins innovant, le rang de 17 indique le pays jugé le plus innovant. Les rangs et les scores des quatre points de Likert, et de l'indice moyen, sont présentés dans le Tableau 2. Il ya des différences considérables entre les quatre éléments. La République du Congo et le Mali, par exemple, ont été classés plus bas et le deuxième plus haut sur l'élément de concept, mais leurs rangs sont presque renversés sur le propre objet probable. Seuls cinq pays sont classés de manière cohérente dans la moitié inférieure ou supérieure des distributions pour les quatre éléments (Népal, Indonésie, Kenya, 31 Sabin Vaccine Institute

34 Cameroun, Sri Lanka). Les évaluateurs ont jugés que le Sri Lanka soit le pays le plus innovant dans son ensemble. Dans la figure 1, les rangs de l'indice de l'esprit d'innovation sont tracés contre les rangs revenu national brut des pays en Les Pays dans les quadrants supérieurs ont les scores les plus élevés de l'esprit d'innovation, les pays dans les quadrants de droite ont eu les RNB les plus élevés en Le modèle montre que l'innovation ne dépend pas du RNB. Fig. 1. Innovativeness vs GNI ranks, Dakar Colloquium DRC Liberia Sierra Leone Uganda Madagascar Nepal Mali Kenya Cambodia Senegal Nigeria Cameroon Vietnam Mongolia Rep Congo Sri Lanka Indonesia GNI rank

35 Discussion L'exercice d'évaluation de l'affiche a été motivé par le changement organisationnel et théories de l'innovation institutionnelle. Les formats d'affiches et formats de révision ont été utilisés. Les résultats fournissent une description de certaines des nouvelles pratiques que les pays développent vers un financement complet, pour finalement s approprier, leurs programmes nationaux de vaccination. La plupart des innovations se produisent à l'échelle nationale. Ils semblent se développer de façon progressive; à ce stade, quelques-uns sont entièrement institutionnalisés. Les évaluations subjectives ont montré que les évaluateurs avaient tendance à s accorder plus sur quatre points: la manière dont les pratiques ont été conceptualisées dans les pays; des pratiques qui mènent à une plus grande appropriation par les pays, quelles pratiques sont les plus susceptibles de réussir et, quelles pratiques pourraient réussir dans leur propre pays. Chacun des quatre semble puiser une dimension distincte de la construction de l'innovation. Les innovations bien conceptualisées, par exemple, ne sont pas nécessairement celles qui conduisent à l'appropriation nationale, ni ne sont susceptibles d être transférables à d'autres pays (tableau 2). Les évaluateurs ont décidés qu un pays peut innover pour améliorer le financement de la vaccination, qu il soit relativement riche ou relativement pauvre. Ce résultat est le bienvenu. 33 Sabin Vaccine Institute

36 Il ya un certain nombre de limitations importantes dans cette analyse. Les affiches et des guides d'évaluation n'ont pas été testés d avance. Des concepts importants ont probablement été omis. Les présentateurs n'ont pas nécessairement été personnellement impliqués dans les pratiques qu'ils ont présentées. Dans plusieurs cas, la langue a limité la compréhension. Les évaluateurs ont noté qu'il n'y avait pas le présentateur pour l'un des pays. Les évaluations de ce pays sont entièrement basées sur le contenu de l'affiche. En outre, les délégués n'étaient pas suffisamment orientés vers les méthodes utilisées. Certains évaluateurs ont clairement mal compris certains des concepts qu'ils mesuraient. Pas tous les évaluateurs ont achevé toutes les trois évaluations qui leur été assignées. Le temps imparti pour l'examen était insuffisant. Enfin, il peut y avoir eu biais d'auto-sélection. Les 44 pairs d évaluateurs étaient peut-être un sous-échantillon non aléatoire des 70 délégués participant au colloque. 1.5 Petits groupes Pour terminer la Première Journée, les participants ont été divisés en six petits groupes pour réfléchir sur ce qu'ils avaient partagé, et analyser les problèmes spécifiques de financement de la vaccination. Trois groupes ont portés sur les finances/budget et les thèmes de surveillance tandis que les trois autres groupes se sont penchés sur les thèmes législatifs. Une technique de groupe nominale a été utilisée. Chaque participant a signalé un problème ou un défi qu'il ou elle a considéré comme important pour le financement de la vaccination. Les animateurs les ont repris. Dans la discussion qui a suivi, le nombre de problèmes a été réduit à quelques-uns et les participants ont réfléchi sur les solutions possibles pour chacun. Les participants de chaque groupe ont élu les rapporteurs pour présenter leurs résultats à la deuxième Journée.

37 Les résultats sont résumés ci-dessous. L Annexe E énumère textuellement les problèmes et les solutions proposées par les six groupes. Budget et finances Les trois groupes de budget/finance ont identifiés et analysés dix problèmes spécifiques affectant le financement et la budgétisation de la vaccination. Deux groupes ont traité les problèmes relatifs à la formulation du budget comment les budgets de vaccination sont réellement préparés. Les participants ont déploré l'absence de données sur les couts et les dépenses à partir desquelles estimer les budgets à réaliser. (Solutions proposées: Réaliser des études de coûts, analyser les coûts du programme) Les équipes de PEV, certains ont estimé, manquent de compétences budgétaires suffisantes. (Solution proposée: Renforcer les capacités de gestion financière à travers la formation et l'affectation de personnel qualifié dans les équipes du PEV). Il ya un manque général de transparence: l'information financière et budgétaire n'est pas partagée à l'intérieur ou à travers les institutions publiques. Les budgets sont formulés indépendamment des documents de politique, les cadres de dépenses à moyen terme (Solution proposée: ministères de la santé organisent le processus d'arbitrage interne.) À cela s'ajoute un manque d'implication des ministères des finances dans la préparation des budgets de vaccination. (Solution proposée: Développer le processus pour y inclure davantage de parties prenantes) Les montants budgétaires approuvés sont souvent beaucoup moins que les montants demandés. 35 Sabin Vaccine Institute

38 Les trois groupes ont pris en compte des problèmes de mobilisation des ressources. Les participants ont convenu que le financement du programme est très dépendant des financements extérieurs (Solutions proposées: identifier de nouvelles sources de recettes intérieures, améliorer la collecte des impôts, édicter les lois sur le financement durable de la vaccination) Il ya peu ou pas de financement du secteur privé national pour la vaccination (Solution proposée: approcher, engager le secteur privé) Les ministères des Finances ne nous aident pas à trouver de nouvelles sources de financement (Solution proposée: approcher, impliquer les ministères des finances) Le coût des vaccins sont élevés et en augmentation (Solutions proposées: arrangements d'achats groupés, une étude indépendante sur les marchés de vaccins) De même, les trois groupes ont analysé les problèmes liés à l exécution du budget de la vaccination. La moitié des problèmes est tombé dans ce domaine. Le décaissement des budgets alloués à la vaccination est souvent très lent (Solution proposée: établir un fonds de réserve) Les fonds alloués à vaccinations sont parfois affectés ailleurs Les dépenses ne sont pas répertoriées/collectées, ni analysées (Solutions proposées: mettre en place le suivi du budget (suivi des ressources) et les procédures d'établissement de rapports, analyser les dépenses dans le cadre des évaluations du rendement (y compris les niveaux sous-nationaux), l'amélioration des systèmes de gestion d'information) Il n'y a pas assez de coordination, de transparence et de responsabilisation des institutions publiques (Solutions proposées: élargir les comités de coordination interagences (CCIA) pour inclure plus d institutions nationales, publier les recettes fiscales et les lier aux dépenses de vaccination, effectuer des audits internes et externes en temps opportun) Législation Au total, les trois groupes législatifs ont identifiés 24 problèmes qui affectent l'action législative pour le financement durable de la vaccination.

39 Les trois groupes ont estimé qu un engagement politique insuffisant à la vaccination universelle est un problème à la racine. La disponibilité du financement externe de vaccination retarde l action législative (la dépendance de l'etat). (Solutions proposées: plaidoyer basé sur des preuves ciblant à la fois les fonctionnaires et les députés du gouvernement, des campagnes d'information publiques pour stimuler la demande, créer une pression politique pour la vaccination, visites sur le terrain par les décideurs clés) L'instabilité politique et la faiblesse des économies sont des obstacles vivaces. Deux groupes ont identifié le processus législatif complexe, lourd lui-même comme un obstacle important. À la législation, il existe une tension entre la spécificité (plus difficile à passer, plus efficace) et la généralité (plus facile à passer, moins efficace). Dans certains pays, les gouvernements et les parlements ont peu ou pas d'expérience préalable pouvant créer une législation ensemble. Les deux parties n'ont pas les ressources nécessaires pour légiférer correctement. (Solutions proposées: Insérer la vaccination dans les lois de santé existantes lorsque cela est possible contre la rédaction d'un projet de loi sur la vaccination autonome, organiser des séances occasionnelles où des représentants du gouvernement et les députés se réunissent pour discuter de la législation, organiser davantage le renforcement des capacités des parlements et de la formation pour les parlementaires, poursuivre les échanges internationaux par des pairs) Les responsables gouvernementaux et les parlementaires ne connaissent pas suffisamment les faits sur la vaccination et le financement de la vaccination pour prendre des mesures. Les cas d'investissement pour la vaccination ne sont pas faits. (Solution proposée: fournir des rapports réguliers sur le programme de vaccination pour les décideurs clés couvrant à la fois les indicateurs financiers et techniques de la vaccination) Deuxième Journée 2.1 Les partenaires sur le Plan Acton Mondial pour les Vaccins Après les présentations des rapporteurs de petits groupes du Premier Jour, la deuxième journée s'est poursuivie avec un panel de représentants des partenaires externes (OMS, UNICEF, Fondation Bill & Melinda Gates, GAVI Alliance, Sabin). Le thème de la table ronde 37 Sabin Vaccine Institute

40 était «l effet de levier des innovations des pays SIF le Plan d'action mondial pour les vaccins." Représentant du Siège de l'oms, le Dr. Miloud Kaddar a exposé les origines, les objectifs et la structure du GVAP. En mai 2012, l'assemblée mondiale de la Santé a adopté la résolution A65/22, approuvant officiellement le Plan d'action Mondial de la Décennie des Vaccins. Le GVAP énonce une série de principes directeurs et les objectifs stratégiques à travers lesquels 94 pays vont réaliser le défi lancé par Bill Gates lors du Sommet de Davos de 2011 pour amener les vaccins vitaux à chaque ménage en 2020 (Organisation mondiale de la Santé 2012). Le GVAP est un produit d'un intense, long processus d une année de consultation et de planification qui a impliqué plus de personnes aux niveaux mondial, régional et national. Outre l'accélération des progrès technologiques et possibilité de sauver des vies, la mise en œuvre du GVAP apportera un certain nombre de changements structurels importants qui influent sur la façon dont les programmes de vaccination sont financés, gérés et livrés. En 2020, les investissements des pays en matière de vaccination vont augmenter et leur dépendance à l'égard des financements extérieurs diminueront. Les stratégies de prestation de financement durable seront institutionnalisées. L'équité dans l'accès à la vaccination sera atteinte; chaque ménage sera atteint et comprendra la valeur de la vaccination. La législation de la vaccination sera mise à jour ou créée. Les nouveaux groupes d'intervenants seront engagés dans toutes les facettes des programmes. En signant la résolution WHA65/22, les ministres de la Santé ont convenu de rendre compte de leurs progrès chaque année, à compter de Les pays représentés au colloque de Dakar sont idéalement positionnés pour conduire le GVAP, a commenté Kaddar.

41 2.2.2 Le Représentant de l'unicef/ny, Mr. Thomas O'Connell a partagé plusieurs innovations du terrain que les pays ont élaborées avec l'unicef pour renforcer la mise en œuvre du programme de vaccination. D'intérêt particulier sont de nouvelles approches et des technologies qui accroissent l'équité de la vaccination, l'un des objectifs stratégiques du GVAP. Dans certains pays, par exemple, les responsables au niveau du district et provincial utilisent des smart phones pour suivre les livraisons de vaccins, éviter les ruptures de stock, envoyer et recevoir des rapports et le contrôle de leurs budgets de fonctionnement. En Gambie, la chaîne du froid du PEV est exploitée par une entreprise privée avec de bons résultats. Au Tchad, une société privée gère l élimination des objets tranchants et des déchets du PEV. Ceux-ci et d'autres cas similaires ont révélé quelques nouvelles bonnes pratiques. On a beaucoup appris au sujet de ces nouveaux partenariats public-privé. Des mécanismes législatifs doivent être établis pour permettre aux ministères de la santé à signer des contrats et maintenir des partenariats avec le secteur privé. Revenant à un thème relevé plus tôt, O'Connell a décrit comment l'unicef s'emploie activement à développer de nouvelles modalités de suivi des ressources pour les utilisateurs sous-nationaux (district sanitaire). O'Connell a récemment inventorié plus d'une douzaine de projets de suivi des ressources proposées ou en cours dans le monde entier. Le suivi des ressources est un domaine où les innovations telles que celles présentées hier contribueront grandement à GVAP S'exprimant au nom de la Fondation Bill & Melinda Gates, Mme Molly Abbruzzese a décrit comment GVAP stimule l'innovation afin d'améliorer la performance des programmes nationaux de vaccination. Grâce aux SIF et une foule d'autres programmes, la Fondation investit massivement dans GVAP. Elle a félicité les délégués pour leurs présentations au Premier Jour et les a exhortés à continuer à développer des innovations qui sécuriseront les buts et objectifs GVAP. 39 Sabin Vaccine Institute

42 2.2.4 Aussi l'une des agences du Conseil de Leadership de GVAP, GAVI Alliance voit l'effort comme un véhicule pour accélérer l'introduction de vaccins nouveaux et sousutilisés. Le GVAP exige que les pays optimisent leurs programmes de vaccination et qu'ils rendent compte annuellement sur ce qu'ils investissent dans la vaccination, a commenté M. Santiago Cornejo. GAVI continuera son octroi de subventions pour les vaccins et pour le renforcement du programme de vaccination, cependant, les pays finiront par décider combien de vies seront sauvées. Il dépendra des investissements qu'ils font dans leurs programmes et leur engagement à atteindre les buts et objectifs GVAP. Représentant Sabin, le Dr Ciro de Quadros a résumé la discussion et a exhorté les pays à s'éloigner de l actuel paradigme paternaliste à l'un de l appropriation par les pays. Ce colloque est un moment décisif dans ce changement de paradigme, a t-il ajouté. Sabin ne ménage aucun effort pour soutenir le GVAP. Mais le GVAP est simplement un véhicule. Les pays concernés en sont les pilotes. Un vif échange d'opinions a suivi dans la session des questions et réponses. Les délégués ont souligné l'importance de travailler ensemble pour atteindre les objectifs GVAP. Ils ont souligné la nécessité pour chaque pays de déterminer ses propres priorités en matière de vaccination et pour les partenaires extérieurs à réorienter leurs pratiques afin de soutenir pleinement l'appropriation nationale. D'autres questions liées au GVAP ont été abordées, entre autres: la nécessité d'une plus grande certitude sur le prix des nouveaux vaccins, la relation entre les différents rapports actuellement produits par les pays (JRF, le rapport annuel de GAVI, les comptes nationaux de la santé) et comment ils vont contribuer au processus de rapports annuel de GVAP, et la nécessité d'un transfert de technologie plus rapide en Afrique en particulier pour la production de vaccins. Les parlementaires ont exprimé leur désir de continuer à agir collectivement pour atteindre les objectifs du SIF. Ils ont demandé plus d'outils pour analyser et défendre les budgets de vaccination. Plusieurs délégués ont souligné l'importance cruciale d'impliquer de plus en plus les communautés dans tous les aspects de la vaccination à travers les organisations de la société civile et leurs représentants élus. Le financement doit provenir de ressources collectives et non individuelles (par exemple, le fédéral, les états/provinces,

43 les budgets locaux, les fonds d'assurance et d'autres sources publiques). En outre, ce financement doit être durable. Avec une volonté politique soutenue, il sera possible d'atteindre l'objectif de l'indépendance vaccinale. 2.3 Points d action nationaux Les 17 délégations de pays ont passé la plupart de l'après-midi de travail en petits groupes pour développer des points d'action à court et à moyen terme qu ils vont suivre afin de réaliser leurs projets SIF et, finalement, atteindre l'objectif SIF. Les délégués se sont ensuite réunis de nouveau et ont présenté leurs plans en séance plénière. Les points d'action sont énumérés à l'annexe F, ainsi que les points d'action antérieurs générés pendant le Colloque d Addis-Abeba de Treize des dix-sept pays étaient représentés dans les deux événements. Les délégués d Addis ont généré un total de 46 points d'action. Parmi ceux-ci, 48% (22/46) ont été réalisés, 43% (22/46) ont été partiellement accompli et 4% (2/46) n'ont pas été mis en œuvre. Les délégués de Dakar, en comparaison, ont généré 78 points d'action. Parmi ceux-ci, les treize pays représentés à Addis ont généré 41 points. En analysant les deux ensembles de points d'action pour les treize pays, cinq thèmes communs émergent. Les plus fréquents dans les deux groupes sont la législation (thème 1) et les activités de plaidoyer (thème 2). Financement (thème 3), suivi par la gestion financière (Thème 4) et les changements organisationnels au sein du PEV (Thème 5). Cinq des treize pays (Liberia, Madagascar, le Népal, la RDC et le Sri Lanka) ont formulé les points d'action sur les finances (Thème 3) dans les deux colloques. La comparaison montre que les pays restent les plus fortement engagés dans leur travail législatif et à développer leurs propres capacités de plaidoyer. 41 Sabin Vaccine Institute

44 Pensant à l'avenir, six pays (Cameroun, Madagascar, Mali, Népal, Sénégal, Vietnam) ont rédigé des points d'action relatifs à GVAP à Dakar. 2.4 Déclaration de Dakar Les points d'action nationaux achevés, les délégués ont discuté et ont finalement adopté, la Déclaration de Dakar (Annexe G). Rédigée par un comité ad hoc, la Déclaration rend compte des principales questions abordées tout au long du colloque. Elle fixe des objectifs pour le développement de plus de meilleures pratiques dans les domaines de financement, de budgétisation et de gestion des programmes de vaccination, et demande plus d échanges sud-sud de ces pratiques. La raison est de mettre pleinement en œuvre le GVAP. Les délégations ont chacune choisi un délégué pour signer la Déclaration. 2.5 Les Finalistes du mini-cours du SIF En préparation de ce colloque, les délégués ont été invités à prendre un mini-cours SIF en ligne, qui propose des lectures choisies en anglais et en français. Les noms des quatre délégués qui ont réussi le questionnaire de ce mini-cours de SIF ont été lus: -Olalekan Olugbenga Olubajo, NPHCDA, Nigeria -John B. Sumo, membre du Parlement, le Libéria - Raphael Nunga Matadi, ministère de la Santé, de la RDC - Aguissa Mohamane MAIGA, Ministère de la Santé, Mali

45 En rentrant chez eux, tous les participants ont été encouragés à prendre le mini-cours de SIF à leurs loisirs. Le cours est disponible en anglais et en français ici: Tous ceux qui passent le test recevront une attestation de réussite. 2.6 Cérémonie de clôture Les remarques finales ont été prononcées par le Dr. Pape Amadou Diack, Directeur Général, Ministère de la Santé et des Affaires sociales du Sénégal, et le Dr. Ciro de Quadros. Le Dr Diack a félicité les participants pour leur travail acharné et l'enthousiasme évident. Le Sénégal est heureux de faire partie de ce mouvement, a t-il dit. Le pays va certainement faire sa part pour assurer un financement durable du programme et attend avec impatience les futures interactions avec d'autres pays engagés dans ce travail important. Ciro de Quadros a résumé ces deux journées, les décrivant comme une expression sans précédent de l'engagement collectif des pays de l appropriation et l'optimisation de leurs programmes nationaux de vaccination. 3 Evaluations Soixante- trois participants ont rempli un formulaire standard d'évaluation du colloque. De ce nombre, 51 (81%) étaient les délégués des pays, 10 (16%) ont représentés des partenaires mondiaux sur la vaccination et 2 (3%) ont représentés d autres institutions. Le colloque a reçu des commentaires généralement positifs. Quatre-vingt deux pour cent (54/59) ont estimé que l'ordre du jour était apte pour la tâche d'évaluation par les pairs de leur travail national SIF. Quatre-vingt quatre pour cent ont estimé que la durée de deux jours est le temps nécessaire pour compléter l'ordre du jour. Plus de 90 % ont trouvé chacune des discussions en panel de la première journée (Finances/Budget, législation) instructives. 43 Sabin Vaccine Institute

46 Quarante-huit pour cent (29/50) des délégués ont estimé que le temps imparti pour examiner les affiches était suffisant. Seulement 22% (2/9) des homologues partenaires de l'agence partagent ce point de vue. Par rapport aux séances en petits groupes du premier jour, 95% (56 /59) étaient d'accord ou fortement d'accord que les goulots d'étranglement et les problèmes affectant le financement de la vaccination ont été identifiés et des solutions à ces problèmes proposées dans leurs groupes. Une proportion égale a estimée que les groupes leur ont donné l'occasion de réfléchir et de partager des idées avec leurs pairs. Interrogé pour savoir s ils ont appris quelque chose de nouveau sur les innovations institutionnelles pour le financement de la vaccination, 95% (58/ 61) ont répondu par l'affirmative. Le panel des partenaires sur GVAP au deuxième jour a été jugé instructif par 93% (55/59) des participants. Parlant de leurs points d'action de pays, 94% (46/49) des délégués ont estimé que l'exercice a réussi en fixant des objectifs utiles pour les deux prochaines années. Tous, sauf un participant, ont dit qu'ils conseilleraient à leurs collègues à participer au prochain Colloque SIF de Sabin. Evaluant les autres points, 75% (36/48) des délégués étaient d'accord ou fortement d'accord que leurs pays sont en bonne voie pour atteindre des objectifs stratégiques GVAP à l'horizon En revanche, seulement 33% (3/9) de partenaires ont senti que c'était vrai. La différence était statistiquement significative (figure E1). Interrogés pour savoir si leurs pays vont atteindre l'objectif SIF d'ici 2015, 59% (30 /51) des délégués étaient d'accord ou fortement d'accord qu'ils le feraient (fig. E2).

47 Asked whether their countries would achieve the SIF objective by 2015, 59% (30/51) of delegates agreed or strongly agreed that they would (Fig. E2). 45 Sabin Vaccine Institute

48 Annexe A: Agenda du Colloque sur le Financement Durable de la Vaccination (SIF) II 5-6 aout 2013 Première Journée lundi, 5 aout 2013 Heure Thème Présentateurs 7:00-8:00 Enregistrement Dr. Pape Amadou DIACK, Directeur General de la Sante, Ministère de la Sante et de l action sociale, Sénégal Lieu Salle B/C12 8:00-8:30 Mot de bienvenue et cérémonie d ouverture Dr. Ciro de Quadros, Sabin Vaccine Institut, USA Salle B/C12 Dr. Oladapo Walker, Coordinateur, Équipe d'appui inter-pays, Afrique de l'ouest (OMS / AFRO) 8:30 8:45 Vote des participants / pré-test Mike McQuestion (Sabin) Salle B/C12 8:45 9:15 Vue d'ensemble des résultats du programme Sabin Salle B/C12

49 SIF à ce jour et examen des points d'action des pays du Premier Colloque SIF qui a eu lieu en Mars :15 10:00 Panel sur le financement / budgétisation pour la vaccination: Quelles innovations sont en cours pour suivre les dépenses, atteindre les points de repère du Plan d action mondial pour les vaccins et d'assurer l'augmentation des budgets nationaux de vaccination? Etudes de cas et meilleures pratiques Délégués des pays SIF M Djoulde Maina, Cameroun Hon. Pascal Leyinda,Congo/Brazzaville Hon (Dr) Ramesh Pathirana, Sri Lanka M Jules Baganda, RD Congo Dr Nova Hon. (Dr.) Nova Riyanti Yusuf, Indonésie Dr Dominic Mutie, Kenya Dr Delger Munkhbat, Mongolie Dr Sartie Mohamed Kenneh, Sierra Leone Dr Duong Thi Hong, Vietnam Salle B/C12 10:00-10:15 Discussion Salle B/C12 10:15-10:45 Pause Café 10:45-11:30 Panel sur la législation pour la vaccination: Comment les gouvernements et la législature collaborent pour assurer un financement durable de la vaccination? Etudes de cas et meilleures pratiques Délégués des pays SIF Hon Ouk Damry, Cambodge Hon Grégoire Lusenge, RD Congo Hon William Dakel, Liberia Dr Aro Tafohasina, Madagascar Hon Fanta Mantchini, Mali M Komal Prasad Acharya, Népal Hon. Adebenga Sefiu Kaka, Salle B/C12

50 11:30-11:45 Discussion 11:45-12:45 Première partie des évaluations par les pairs: session affiches 12:45-14:00 Déjeuner Nigeria Hon Alfa Balde, Sénégal Hon Oleru Huda, Ouganda Groupe A (9 pays SIF présentent leurs posters) Salle B/C12 14:00-15:00 Deuxième Partie des évaluations par les pairs: Session affiches Groupe B (8 pays SIF présentent leurs posters) 15:00-15:30 Pause Café 15:30-17:00 Travail en groupe: les défis et les goulets d étranglement (3 groupes sur la finance, 3 groupes sur la législation) Travaux en petits groupes Salles: B02; B08; C02; C08 18:00 20:00 Réception Cocktail Deuxième Journée mardi, 6 aout, 2013 Heure Thème Présentateurs 8:30-8:45 Les rapports de la première journée Ciro de Quadros Lieu Salle B/C12

51 8:45-9:45 Panel des participants des petits groupes: Qu'est-ce qui fonctionne, qu est-ce qui est encore nécessaire pour parvenir à un financement durable de la vaccination? Plénière Salle B/C12 9:45-10:15 Discussion en plénière; session Questions/Réponses Salle B/C12 10:15-10:30 10:30-11:30 11:30-12:00 12:00-13:30 Pause Café Panel d experts extérieurs Thème : Comment tirer parti des innovations de pays SIF pour le Plan d'action mondial pour les vaccins Discussion en plénière; session Questions/Réponses Travaux de groupes pour les pays: Points d'action et perspectives d'avenir Miloud Kaddar (WHO) Thomas O Connell (UNICEF) Santiago Cornejo (GAVI) Molly Abbruzzese (BMGF) Ciro de Quadros (Sabin) Small groups Salle B/C12 Salle B/C12 Salles: B02; B08; C02; C08 13:30-14:30 Déjeuner 14:30-15:45 Les pays présentent leurs points d'action Plénière Salle B/C12 15:45-16:00 Pause Café 16:00-16:30 Discussion en plénière; session Salle B/C12

52 Questions/Réponses 16:30-17:00 Vote des participants/post-test Mike McQuestion (Sabin) Dr. Pape Amadou DIACK, Directeur General de la Sante, Ministère de la Sante et de l action sociale, Sénégal Salle B/C12 Dr. Ciro de Quadros, Sabin Vaccine Institute, USA Dr. Oladapo Walker, Coordinateur, Équipe d'appui inter-pays, Afrique de l'ouest (OMS/ AFRO) 17:00-17:30 Résumé et remarques finales Mr. Thomas O Connell, Spécialiste Principal sur la Sante, Economie et Finances, UNICEF Salle B/C12 Mr. Santiago Cornejo, Directeur du Financement pour la Vaccination, Alliance GAVI Ms. Molly Abbruzzese, Agente de programme pour la Sante globale et l administration de vaccins, Fondation Bill & Melinda Gates

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54 Annexe B: Liste de Participants Pays Titre Nom du Participant Institution Adresse Ministère de Mr. Ngwen Ngangue l Economie, de la Planification et du Développement ngwenn@yahoo.fr Régional Cameroun Ms. Marie Yvonne Facksseu Ministère of Finance facmy@yahoo.fr Mr. Maina Djoulde Emmanuel Ministère de la Sante mainadjoulde@yahoo.fr Hon. Norbert Amougou Mezang Assemblée Nationale amougoumezang2003@yahoo.fr Mr. Sidibe Mahamadou Ministère des Finances, du Budget et de l Economie m_sidibe86@yahoo.fr Mali Mr. Aguissa Mohamane Maiga Ministère de la Sante aguissamaiga01@gmail.com; amagaml@yahoo.fr Hon. Fanta Mantchini Diarra Assemblée Nationale fantandiarra2006@yahoo.fr Dr. Nouhoun Kone Ministère de la Sante nkone63@yahoo.fr République Démocrati Mr. Benjamin Bantulugi Feruzi Ministère de la Sante benferuzi@gmail.com que du Congo Dr. Audry Wa Kamba Mulumba Ministère de la Sante audrywakamba@yahoo.fr

55 Mr. Mr. Hon. Jules Kanki Baganda Raphael Matadi Nunga Grégoire Kakule Lusenge Ministère du Budget Direction des Etudes et de la Planification du Ministère de la Santé Publique Assemblée Nationale Hon. Grégoire Kiro Assemblée Nationale Hon. Célestin Bondomiso Assemblée Nationale m Congo- Brazzaville Hon. Pascal Alain Leyinda Assemblée Nationale Aro Tafohasina Madagasca r Hon. Dr. Herinalinjaka Rajoelina Louis Marius Rakotomanga Assemblée Nationale herinalinjaka@gmail.com Ministère de la Sante rakotomariuslouis@gmail.com Ministère des Mr. Sam Morris Aruna Finances & du Développement samaruna2003@yahoo.com Economique Sierra Comité Leone Hon. Veronica Sesay parlementaire sur la sesayveronica@gmail.com Sante, Sierra Leone Dr. Sartie Mohamed Kenneh Ministère de la Sante et de l assainissement sartie69@yahoo.co.uk; sartiekenneh@gmail.com Liberia Mr. Hon. John Barclay Sumo William Varney Dakel Ministère de la Sante et les affaires sociales Chambre des députés jsumo001@luthersem.edu wvdakel@yahoo.com Hon. Johnson Toe Chambre des jhnsnchea@gmail.com

56 Chea députés Dr. Olalekan Olugbenga Olubajo Agence Nationale sur le Développement de la Sante Primaire Nigeria Dr. Emmanuel Adebayo Abanida Agence Nationale sur le Développement de la Sante Primaire Dr. Ado Jimada Gana Muhammad Agence Nationale sur le Développement de la Sante Primaire Hon. Adegbenga Sefiu Kaka Comité du Senat sur la Sante Mr. Kedar Prasad Paneru Ministère des Finances Népal Mr. Komal Prasad Acharya Ministère de la Sante Mr. Giri Raj Subedi Ministère de la Sante Ms. Bola Kan Ministère de l Economie et des Finances bkan@otatreas.us; kan_bola@yahoo.com Dr. Morn Chheng Ministère de la Sante chheng_morn@yahoo.com Cambodge Assemblée Nationale, Hon. Damry Ouk Commission de la damryouk@gmail.com Législation et de la Justice Mr. Visal Uy Assemblée Nationale du Cambodge uyvisal7@gmail.com Sri Lanka Dr. Paba Palihawadana Ministère de la Sante paba@health.gov.lk

57 Ramesh Hon. Chaminda Bentota Parlement de Sri Lanka m Pathirana Dr. Robert Mayanja Ministère de la Sante Parlement de a Uganda Hon. Huda Oleru République de holeru@parliament.go.ug l Ouganda Mr. Ishmael Mweru Magona Ministère of Finance ishmael.magona@finance.go. ug Dr. Dominic Mbullah Mutie Ministère de la Sante dmutie_dvi@dfh.or.ke Hon. David Eseli Easel Simiyu Assemblée Nationale du Kenya eselidoc@yahoo.com Kenya Ms. Esther Sharon Wagithi Ministère des Finances sharon.wanyeki@gmail.com; swayeki@treasury.go.ke Mr. David Githanga Association Pédiatrique du Kenya davidgithanga@gmail.com; david@githanga.org Mr. Munkhbat Delger Ministère de la Sante munkhbat@moh.mn; poj_mm@yahoo.com Mongolie Hon. Bayanselenge Tsagaan Zangad Parlement de la Mongolie bujinb@gmail.com Mr. Enkhbold Amjaa Ministère des Taxes azzaya.l@mta.mn; enxhbold777@yahoo.com Mr. Nguyen Van Quyet Ministère des Finances nguyenquyetgg@gmail.com Vietnam Dr. Duong Thi Hong Institut National de l Hygiène et de l Epidémiologie hong_epi@yahoo.com Soepriyatno Indonésie Hon. Sardjono Parlement soepriyatno1@yahoo.com Askani

58 Sénégal KANCO- Kenya ASADI- Kenya NITAG- Nigeria GAVI Fondation Bill & Melinda Gates Hon. Nova Riyanti Parlement Yusuf Ms. Tini Suryanti Ministère de la Suhadi Sante Dr. Theresia Ministère de la Sandra Diah Sante Ratih Mr. Agence Nationale du (BAPPENAS) Pungkas Développement Bahjuri Ali Planification Dr. Ministère de la Ndiaye Sante et l action Mamadou sociale mamamorph@yahoo.fr Ms. Ministère de Ndeye Maye l Economie et des Diouf Finances mayediouf@hotmail.com Hon. Alfa Balde Assemblée Nationale alfamere@yahoo.fr Dr. Oumy Seck Ministère de la Sante docoumise@yahoo.fr Dr. Amy Lo Ndiaye Ministère de la Sante mmendiaye_2005@yahoo.fr Mr. Jack Ndegwa KANCO-Kenya jndegwa@kanco.org Dr Christian Acemah ASADI-Kenya cacemah@nas.edu Dr. Mobolaji Odubanjo NITAG-Nigeria dodubanjo@nas.org.ng Mr. Santiago GAVI-Genève (Siège Cornejo principal) scornejo@gavialliance.org Ms. Molly BMGF-Seattle (Siège molly.abbruzzese@gatesfound Abbruzzese principal) ation.org Ms. Alexa Bednarz BMGF-Seattle (Siège alexa.bednarz@gatesfoundati principal) on.org

59 Mr. Gene Bartley BMGF-Kenya Dr. Miloud Kaddar WHO-Geneva (Siège principal) Mr. Alexis Satoulou WHO-IST-WCA Dr. Oladapo Walker WHO-IST-WCA Organisati on Mondiale de Sante (OMS) Ms. Masembe Vuo Yolande WHO-RDC Mr. Terry Hart OMS-Sénégal Dr. Farba Lamine Sall OMS-Sénégal Dr. Aliou Diallo OMS-Sénégal Dr. Alimata Jeanne Diarra-Nama OMS-Sénégal Ms. Asmaniar Saleh WHO-Indonésie Mr. Alexis Satoulou WHO-IST-WCA Dr. Oladapo Walker WHO-IST-WCA Mr. Thomas O'Connell UNICEF-New York (Siège principal) Dr. Abderrahmane BA UNICEF-RDC Dr. Djariatou Sow Sall UNICEF-Sénégal UNICEF Dr. Jerome Pfaffmann UNICEF-Sénégal Dr. Bibata Pare UNICEF-Sénégal Dr. Caroline Damour UNICEF-Sénégal Dr. Guido Borghese UNICEF-Sénégal

60 Dr. Ciro de Quadros SABIN-Washington (Siège principal) Dr. Mike McQuestion SABIN- Washington (Siège principal) Ms. Mariya Savchuk SABIN- Washington (Siège principal) Ms. Alice Abou Nader SABIN- Washington (Siège principal) Mr. Brian Christopher Shaw SABIN- Washington (Siège principal) Sabin Ms. Caitlin Garlow SABIN- Washington (Siège principal) Vaccine Institute Dr. Devendra Gnawali SABIN-Népal, Cambodge, Sri Lanka Dr. Khongorzul Dari SABIN-Mongolie, Indonésie, Vietnam Dr. Helene Mambu- Ma-Disu SABIN-RDC, Congo, Madagascar SABIN- Sierra Dr. Clifford Kamara Leone, Liberia, Nigeria Ms. Diana Kizza SABIN-Ouganda, Kenya Mr. Jonas Mbwangue SABIN-Cameroun, Mali, Sénégal Arnold & Porter LLC Mr. James Joseph PORTER Washington DC, USA

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