Infections respiratoires non tuberculeuses
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- Judith Ratté
- il y a 7 ans
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1 Infections respiratoires non tuberculeuses Pneumonies communautaires Bronchopneumonies virales Suppurations pulmonaires Infections bronchiques Pneumonies nosocomiales Pneumonies des immunodéprimés
2 Pneumonies communautaires 1 à 3 cas pour 1000 adultes par an à cas par an (France) 2-3 millions aux USA Un malade sur six est hospitalisé
3 Mortalité Malades ambulatoires: < 1% Malades hospitalisés: 14% Sujets âgés: 18% Bactériémie: 20% Long séjour: 30% Réanimation: 36%
4 Clinique TYPIQUE: - Fièvre élevée, frissons - Début brutal - Douleur thoracique - Expectoration purulente ou rouille ATYPIQUE - Température 38 - Rhinopharyngite, début progressif - Toux sèche
5 Clinique (II) En principe, pas d hémoptysie Foyer auscultatoire inconstant En principe, les signes sont unilatéraux
6 Radiographie du thorax La faire dès que l on suspecte une pneumonie Permet de différencier bronchite et pneumonie Foyer de condensation avec bronchogramme Extension? Pleurésie? Abcès?
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8 Radiographie du thorax (II) En principe, signes unilatéraux Pas de surélévation de coupole sauf pleurésie associée Attention au cancer sous jacent chez les fumeurs Attention à la tuberculose
9 Gravité Signes cliniques Troubles de conscience FC > 125 bpm FR > 30/min Température < 35 ou > 40 Pression artérielle < 90/60 ou marbrures Cyanose
10 Gravité (II) Signes Biologiques et radiologiques Leucocytes < 4000 ou > 20000/mm 3 Hb < 9g/dl Urée > 7 mmol PaO 2 < 60 mmhg ou PaCO 2 > 50 mmhg ou ph < 7.3 CIVD Atteinte multilobaire, pleurésie, abcès
11 Gravité (III) Contexte-terrain Cirrhose BPCO Immunodépression Diabète Age > 65 Insuffisance cardiaque Insuffisance rénale chronique Hospitalisation dans l année
12 Bilan à réaliser En ville Radiographie de thorax Confirme le diagnostic, recherche une complication (pleurésie, abcès, atteinte multilobaire)
13 Bilan à réaliser Malade hospitalisé Systématiquement Signes de gravité Pleurésie RxP, NFS, Iono, glycémie, Gaz du sang, ECBC, 2 HC, Agurie légionelle TP, TCA, recherche de CIVD, lactates Ponction de plèvre Troubles de conscience Ponction lombaire Ventilation artificielle Aspiration trachéale
14 Diagnostic étiologique Inutile dans les formes mineures prises en charge au domicile (sauf épidémiologie) Malade hospitalisé: hémoculture, (ECBC), ponction de plèvre, antigénurie Légionelle, antigénurie Pneumocoque
15 Diagnostic différentiel Embolie pulmonaire Facteurs de risque (antécédents, cancer, pilule ) Circonstance favorisante (chir, trauma, alitement ) Hémoptysie Signe de thrombose veineuse Radio: surélévation diaphragmatique, atélectasie, anomalies bilatérales
16 Diagnostic différentiel Tuberculose Généralement moins aiguë Terrain Sueurs nocturnes + fièvre peu élevée Altération de l état général Anomalies évocatrices sur la radiographie de thorax
17 Diagnostic différentiel Tuberculose
18 Diagnostic différentiel Tuberculose
19 Diagnostic différentiel Bronchopneumonie virale Contexte épidémiologique Rhinopharyngite Signes généraux (frisons, myalgies) Pas de signe de gravité Pas de foyer clinique (rales bronchiques) Pas de foyer radiologique
20 Diagnostic différentiel Bronchite Peu ou pas de fièvre Pas de foyer clinique Pas de signe de gravité Pas de foyer radiologique
21 Diagnostic différentiel Bronchite ou bronchopneumonie virale Pas d antibiothérapie Réévaluation clinique à 48 heures: Fièvre? Foyer? Signes de gravité? Si oui à une de ces questions: Radiographie de thorax
22 Étiologies Pneumocoque Haemophilus Influenza Mycoplasme Legionella Chlamydia Anaérobies Gram négatifs Staphylocoque
23 Relation clinique-étiologies La présentation clinique et radiologique ne permet généralement pas d identifier le germe La distinction pneumonie typique et atypique est artificielle Prédominance du pneumocoque Alcool et base droite = anaérobies Abcès = Klebsielle, Staphylocoque, anaérobies, Legionelle
24 Pneumocoque résistant Augmentation croissante: 36% des souches en 1995, origine chromosomique Sensible Intermédiaire Résistant Pénicilline < 0.06 mg/l mg/l > 2 mg/l Amoxicilline < 2 mg/l 4 mg/l > 8 mg/l Si CMI > 8 mg/l: amoxicilline: 6g/24h FDR: Immunodépression, bétalactamine < 3 mois, pneumonie dans l année, hospitalisation récente, signes de gravité
25 Legionellose Déclaration en France :2000 : 610 (1/ hab) Sous estimation par déclaration inconstante et difficultés ou absence de diagnostic Probablement 2000 cas par an 2% à 15% des pneumonies communautaires hospitalisées 80% communautaires, 20% nosocomiales Létalité : 21% (40% pour les nosocomiales)
26 Legionellose Facteurs favorisants Adulte Insuffisance rénale chronique Immunodépresion : greffe, neutropénie, chimiothérapie, stéroides Cancer Insuffisance respiratoire chronique obstructive Tabac Sexe masculin Alcool
27 Legionellose Facteurs favorisants (II) Hospitalisation : 20% Hôtel, camping : 9% Voyage : 5% Autres : (maison de retraite, travail) : 15% Tour aéroréfrigérante < 500m
28 Toux sèche Frissons Température élevée + Myalgies ++ Céphalées ++ Confusion + Diarrhée ++ Infiltrat dense + Excavation possible Hyponatrémie + Cytolyse + Legionellose Manifestations cliniques, biologiques et radiologiques
29 Legionellose versus autres pneumonies Hommes Alcool Maladie sous jacente IRCO Diarrhée CPK
30 Legionellose Diagnostic La clinique ne permet pas de distinguer la maladie du légionnaire des autres pneumonies bactériennes Jugement d experts Scores : Se : 78% ; Sp : 65%
31 Legionellose Diagnostic Antigénurie Immunofluorescence sur sécrétions bronchiques Culture des sécrétions bronchiques (milieu spécifique) Sérologie
32 Mycoplasme Par épidémies Sujet jeune Rarement grave Rhinopharyngite, tableau viral Images peu denses Anémie hémolytique Sensible aux macrolides et aux fluoroquinolones
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34 Chlamydia Pneumoniae Sujet jeune Rarement grave Rhinopharyngite, tableau viral, sibilants Images peu denses Sensible aux macrolides et aux fluoroquinolones
35 Fièvre Q Coxiella Burnetii Réservoir: ovins, bovins, chats, porcs, chiens, chevaux Fièvre, frissons, céphalées, toux sèche inconstante Souvent peu sévère Diagnostic sérologique Traitement : cyclines, macrolides, rifampicine
36 Pneumonies «atypiques» Mycoplasme, chlamydia, fièvre Q Souvent peu sévères Tableaux pas toujours évidents, difficile en pratique de les distinguer des pneumonies à Pneumocoque Diagnostic sérologique (utile si doute diagnostique et symptômes persistants) Traitement : cyclines, macrolides, rifampicine
37 Étiologie et terrain Sujet jeune: Pneumocoque, Mycoplasme, virus Sujet de plus de 60 ans: Pneumocoque, Virus, Haemophilus Pneumonie grave: Pneumocoque, légionelle, gram négatifs Troubles de déglutition: anaérobies, gram négatifs BPCO: Pneumocoque, Haemophilus, légionelle
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47 Traitement Lieu de prise en charge Domicile: pas de signe de gravité mais tenir compte du terrain Hôpital: signe de gravité ou contexte empêchant le tt per os (vomissements, observance douteuse, exclusion sociale)
48 Traitement Critères d hospitalisation Clinique Troubles de conscience FC > 125/min FR > 30/min Température < 35 C ou > 40 C Pression artérielle < 90/60 mm Hg ou marbrures Cyanose Suspicion de tuberculose Biologie et radiographie Leucocytes < 4000 ou > /mm 3 Hb < 9 g/dl Urée > 7 mmol/l ou créat > 160 µmol/l PaO 2 < 60 mmhg ou PaCO 2 > 50 mmhg ou ph < 7,3 CIVD Atteinte multilobaire, pleurésie, abcès Contexte Vomissements Exclusion sociale Dépendance Observance incertaine Ethylisme Echec d une antibiothérapie préalable A prendre en compte Cirrhose BPCO Immunodépression Diabète Age > 65 ans Insuffisance cardiaque Insuffisance rénale Hospitalisation dans l année
49 Traitement Critères d hospitalisation en réanimation Syndrome septique défini par : PaO2 < 60 mmhg ou hyperlactatémie ou oligurie < 20 ml/h ou nécessité de dialyse ou confusion ou trouble de la vigilance Etat de choc défini par : PAS < 90 mmhg ou PAD < 60 mmhg ou marbrures ou utilisation de drogues vasoactives ou d un remplissage vasculaire Insuffisance respiratoire aiguë définie par : Epuisement respiratoire, tirage, ventilation mécanique
50 Traitement Traitement symptomatique: si besoin Oxygène Traitement du choc Antalgiques Prévention thromboembolique
51 Antibiothérapie Uniquement si pneumonie, Ne pas traiter les bronchites Sujet jeune sans signe de gravité Amoxicilline ou macrolide (azythromycine) Pneumonie grave Amoxicilline-acide clavulanique ou céphalosporine et macrolide ou quinolone
52 Antibiothérapie Pneumonie d inhalation: amoxicilline-acide clavulanique BPCO: amoxicilline-acide clavulanique et macrolide ou fluoroquinolone Sujet âgé ou comorbidité: amoxicilline-acide clavulanique et macrolide ou fluoroquinolone Abcès: amoxicilline-acide clavulanique
53 Antibiothérapie En fonction de l ECBC ECBC interprétable :< 10 cellules épithéliales et > 25 leucos par champ ECBC négatif ou ininterprétable Cocci gram + Bacilles gram - Autres Augmentin* 1g x 3 IV + Erythrocine** : 1g x 3 IV Clamoxyl*, *** 1g x 3 IV Claforan : 1g x 3 IV Augmentin *1g x 3 IVD *: si allergie: Claforan, **si greffe: Oflocet, ***si FDR Pneumocoque R: 2g x 3
54 Antibiothérapie Durée du traitement: 8-10 jours Mycoplasme-Chlamydia: 14 jours Légionellose: 21 jours Abcès: 21 jours
55 Traitements associés Traitement d une sinusite Éradication des foyers dentaires Traitement d une pleurésie associée: simple ponction évacuatrice (liquide translucide sans germe) drainage si: pus, culture ou direct positif, polynucléaires altérés et récidive après ponction
56 Réévaluation à 48 heures Fièvre? Disparition des signes de gravité? Contrôle radiologique: - Régression? - Extension? - Excavation? - Pleurésie?
57 Fièvre persistante (48h de traitement) Traitement pris? (effets secondaires) Résistance? Pleurésie? Abcès? Autre foyer Éruption, allergie aux antibiotiques? Est-ce bien une pneumonie?
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61 Fièvre persistante (48h de traitement) Interrogatoire Examen clinique Radiographie du thorax Plèvre Prélèvement
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64 Abcès du poumon
65 Abcès du poumon Sujet fragilisé, éthylisme Mauvais état dentaire Fièvre pas forcément élevée Vomique haleine fétide
66 Abcès du poumon Bactéries: staphylocoque, Klebsielle, anaérobies, légionelle Traitement prolongé Antibiothérapie anti anaérobie Drainage?? Abcès multiples: endocardite droite
67 Pneumonie nosocomiale Acquise après au moins 48 heures d hospitalisation Facteur de risque majeur: ventilation artificielle invasive (intubation, trachéotomie) Autres facteurs de risque: chirurgie ORL ou thoracique et immunodépression
68 Pneumonie nosocomiale Germes multiples Germes résistants Colonisation des voies aériennes
69 Pneumonie nosocomiale Nécessité d un examen microbiologique pour - Confirmer le diagnostic - Isoler le(s) germe(s) - Évaluer la sensibilité aux antibiotiques
70 Pneumonie nosocomiale Technique de référence: brosse bronchique protégée - Réalisée sous fibroscopie - Avec culture quantitative du prélèvement - Seuil de positivité: 10 3 Unité Formant Colonie /ml
71 Pneumonie nosocomiale Autres techniques - Lavage alvéolaire; permet un examen direct, seuil 10 4 UFC/ml - Aspiration bronchique, seuil 10 6 UFC/ml
72 Pneumonie nosocomiale Traitement - Immédiatement après le prélèvement - Adapté à la flore connue du malade et au tt antibiotique antérieur ou à l écologie du service ou à l examen direct - Association d antibiotiques adaptés au caractère nosocomial
73 Immunodéprimés Peuvent faire des pneumonies bactériennes avec les germes usuels Peuvent également développer des pneumonies virales inhabituelles (CMV, herpès) parasitaires (pneumocystis, toxoplasme) fungiques (aspergillus)
74 Immunodéprimés Les germes en cause varient avec l immunodépression La clinique et la radio varient avec le germe infiltrats nodules pneumonies interstitielles diffuses
75 Immunodéprimés Le plus souvent: nécessité d un diagnostic précis Fibroscopie avec lavage alvéolaire Biopsies (transbronchiques, sous scanner, chirurgicale) Sérologies. Prise en charge spécialisée
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