Qualité des eaux d une baie fortement anthropisée : la baie de Hann (Dakar, Sénégal)

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1 Qualité des eaux d une baie fortement anthropisée : la baie de Hann (Dakar, Sénégal) Robert ARFI Directeur de Recherche à l IRD

2 Baie de Hann : le constat Le plan d eau qui borde à l Est Dakar et la péninsule du Cap Vert est fortement pollué par les rejets urbains et par les développements saisonniers de macrophytes. Ces nuisances visuelles et olfactives dégradent l image de la ville et la qualité de vie des riverains et des usagers. Les conséquences sanitaires et économiques de cette dégradation freinent le développement des activités tournées vers la mer.

3 Baie de Hann : les questions Quelles sont les causes des processus observés? Quels sont les acteurs de ces phénomènes? Quelles sont les conséquences de ces pollutions? Peut-on envisager des solutions?

4 Les causes Les processus que nous voyons se reproduire chaque année ont une double origine : naturelle parce que ces processus sont liés à la climatologie régionale et la topographie locale. artificielle parce que ces processus sont amplifiés par des activités domestiques et industrielles développées sans contrôles ni contraintes.

5 Causes naturelles Climatologie régionale Topographie locale Conséquences

6 Climatologie régionale Ce phénomène est favorisé par la météorologie : alternance des Alizés et de la Mousson sous l effet du déplacement du Front Inter Tropical (FIT). décembre - mai H juillet - octobre H FIT L H FIT L H

7 Conséquences du climat (1) Cette alternance de régime climatique influence la circulation océanique générale dans la région du Cap Vert. Hiver : Courant des Canaries : eaux littorales, froides et riches. Courant des Canaries Été : Contre-courant Équatorial : eaux océaniques, chaudes et pauvres. Contre-courant Équatorial

8 Conséquences du climat (2) Ce régime climatique a pour conséquence le remplacement des vents dominants du Nord (décembre à mai) par des vents de Sud (juillet à octobre). Vent du Nord + orientation Nord Sud de la côte Cette configuration provoque la chasse des eaux de la côte (chaudes et pauvres) vers le large et donc une remontée en surface d eaux profondes (froides et riches). Ce phénomène porte le nom d upwelling et concerne ici le littoral du Maroc au Sénégal.

9 Conséquences du climat (3) La situation d upwelling apporte à la côte des eaux froides et enrichies en éléments nutritifs (azote et phosphore). Mais comme tout phénomène météorologique, cette remontée d eau profonde présente une grande variabilité spatiale et surtout temporelle : Les vents (et donc l upwelling) «respirent», des périodes de relaxation succédant à des vents forts. La variabilité interannuelle est très forte.

10 Topographie locale (1) La topographie au SE de la péninsule du Cap Vert joue un rôle déterminant dans le processus qui nous préoccupe. -5 m -10 m Cellule baie de Hann Branche du CCE Isolement d une cellule : la veine de courant longe les isobathes et se retrouve déviée vers l Ouest ou le Sud par le Cap Manuel

11 Topographie locale (2) L anse de Bel Air et la digue du BIMA forment un obstacle à l écoulement de la veine de courant et favorisent l isolement de la bande côtière.

12 Causes naturelles Climatologie régionale Topographie locale Décembre - Mai Alizés du NE Upwelling Eaux «canariennes» Isolement d une cellule à la côte Juillet - Octobre Vent du S Eaux «guinéennes» Accumulation d eau à la côte Conséquences Eaux froides et riches Eaux chaudes et pauvres

13 Causes artificielles Aménagements Absence de traitement des eaux rejetées Conséquences

14 Aménagements La péninsule du Cap Vert concentre l essentiel des infrastructures industrielles du Sénégal. Nombre d entre elles sont installées le long de la baie de Hann où aboutissent leurs rejets. Dakar, ses banlieues et les villes voisines drainent une part croissante de la population du Sénégal. Les eaux usées ne sont ni collectées ni traitées (à l exception de celles aboutissant à la station de Cambérène).

15 Traitement des eaux usées Les aménagements industriels sont vieillissants et leurs rejets sont rarement traités : les eaux usées des industries chimiques, agro-industrielles, des usines ou des ateliers aboutissent dans le milieu terrestre ou marin. Les populations ne sont pas raccordées à un réseau d assainissement (Cambérène fonctionne, 3 autres stations sont inopérantes). Les collecteurs d eaux pluviales, non entretenus, servent de dépôt d ordures : lors des orages, les chasses déversent de grandes quantités de déchets en mer. Il y a un réel problème d assainissement à Dakar

16 Conséquences de l anthropisation Polluants Matières organiques Rejets industriels Importants et diversifiés Riches Rejets domestiques Problèmes bactériologiques Très riches (N et P) Conséquences Accumulation (sédiment, matière vivante) Enrichissement du milieu en nutriments

17 Acteurs naturels (1) Les végétaux qui se développent sur les fonds sableux de la baie de Hann (des Ulves, pour l essentiel) sont des algues vertes proliférantes, produisant des «marées vertes» lorsque les conditions leur sont favorables. Leur développement est contrôlé par la lumière et par la température. Ces algues peuvent se développer une fois arrachées du substrat (recherche d un optimum lumineux). Accumulées à la côte, elles sèchent et meurent, libérant d énormes quantités de matière organique mais aussi les produits qu elles accumulent (polluants, métaux ).

18 Acteurs naturels (2) Pour se développer, les ulves ont besoin de lumière et d éléments nutritifs. L azote (en particulier les nitrates) est limitant. Un surplus d azote initialise leur prolifération. Seule une carence en azote induit leur déclin. Cette carence est retardée par les apports nutritifs liés aux rejets. La turbulence liée aux vents favorise leur arrachement ; entraînées par les courants, elles s accumulent à la côte où elles se dégradent.

19 Acteurs naturels (3) Pour se développer, les ulves ont aussi besoin d une géographie propice au confinement de la biomasse : zone fermée : lagune ou étang salé (les exemples du lac de Tunis ou de l étang de Berre sont caractéristiques). zone ouverte en cas de confinement dynamique par la marée ou les courants. C est le cas de la baie de Hann, où la topographie des fonds et la courantologie locale favorisent le piégeage de la biomasse végétale et son alimentation en nutriments par l upwelling et les rejets côtiers.

20 «Allé en voiture après dîner au lieu dit Bel Air, endroit empesté par les goémons pourris...» Michel Leiris (L Afrique fantôme, 1934) Mission ethnographique Dakar Djibouti,

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