ASSOCIATION DES UNIVERSITES AFRICAINES

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1 Mai 2013 ASSOCIATION DES UNIVERSITES AFRICAINES PROGRAMME DE BASE ( ) «Accélérer le Développement Humain en Afrique à travers l Enseignement Supérieur»

2 INTRODUCTION L Association des Universités Africaines (AUA) est une organisation internationale, non gouvernementale fondée à Raba, Maroc, en Novembre 1967 avec son siège actuel à Accra, Ghana. L Association recrute ses membres de toutes les cinq sous-régions d Afrique et opère en trois langues officielles, à savoir, l anglais, le français et l arabe. Au fil des ans, le nombre de membres a augmenté et est passé de 34 institutions en 1967, à 300 institutions provenant de 46 pays africains. Objectifs Les principaux objectifs de l Association sont de : Promouvoir la coopération et l échange d idées entre les institutions d enseignement supérieur d Afrique; Recueillir, classer et diffuser l information sur l enseignement supérieur et la recherche, particulièrement en Afrique ; Faciliter la coopération entre ses membres et le monde universitaire international ; Etudier, publier et faire le plaidoyer par rapport aux besoins des institutions de l enseignement supérieur africaines ; et Faciliter l échange d information et d expérience entre les membres de la communauté universitaire international, et promouvoir les bonnes pratiques. Vision La vision de l AUA est d être l avocat de l enseignement supérieur en Afrique, avec la capacité d assister ses organisations membres dans la satisfaction des besoins nationaux et continentaux. Mission La mission de l AUA est d améliorer la qualité et la pertinence de l enseignement supérieur en Afrique et de renforcer sa contribution au développement du continent à travers : L appui aux fonctions fondamentales des institutions de l enseignement (IES) ; La facilitation et la promotion de la collaboration avec et entre les Institutions d Enseignement Supérieur africaines ; et La garantie d une plateforme pour les discussions sur les questions émergentes. Plan Stratégique ( ) En 2011, l AUA a adopté son deuxième Plan Stratégique qui couvre la période Ce second Plan donne l occasion d évaluer l impact et de consolider les gains du premier Plan qui couvre la période Approuvé à la Conférence des Recteurs, Vice-chanceliers et Présidents des Universités Africaines de l AUA (COREVIP) tenue en 2003 à Maurice, le Premier Plan avait trois objectifs fondamentaux, à savoir : apporter un appui effectif aux Institutions d Enseignement Supérieur Africaines (IES) dans leurs fonctions et mandats de base (enseignement, recherche et service à leurs communautés) ; renforcer l impact de la communauté de l enseignement supérieur et ses institutions sur le dialogue politique aux niveaux national, régional et mondial ; rendre plus efficace la gestion de l AUA à travers une bonne capacité de mise en œuvre de programmes et une base de ressources stable. L orientation stratégique du Deuxième Plan Stratégique vise aussi à renforcer les capacités du Secrétariat et des institutions membres à offrir un enseignement supérieur de qualité qui réponde aux besoins de développement du continent. Il est structuré autour de trois (3) objectifs fondamentaux qui se présentent comme suit : 1. Les questions organisationnelles spécifiques à l AUA ; 2. La capacité d assister et de servir les institutions membres ; 3. La capacité de satisfaire des besoins sociétaux plus vastes. 2

3 Le deuxième Plan Stratégique a sept (7) Domaines de Résultats Prioritaires (DRP) qui sont axés sur trois (3) objectifs avec plusieurs activités devant être exécutées comme suit : Questions Organisationnelles Spécifiques à l AUA : DRP 1 : Renforcer la Capacité de Prestation de Service au Secrétariat de l AUA o Renforcer les services de communications au Secrétariat de l AUA o Améliorer la gestion financière o Renforcer la capacité de planification, conception et gestion de projets o Améliorer les systèmes de gestion et d administration o Accroitre le niveau d implication du Conseil dans la promotion des activités du Secrétariat de l AUA o Améliorer l infrastructure et les installations physiques au Secrétariat de l AUA o Renforcer la durabilité financière de l AUA DRP 2 : Nombre, Qualité et Engament des Membres de l AUA o Accroitre le nombre de membres de l AUA o Améliorer la qualité des membres o Accroitre l engagement des membres existants par rapport aux activités de l AUA Capacité à assister et servir les institutions membres : DRP 3 : Renforcer la capacité d exécution et de prestation des IES en Afrique o Renforcer les capacités en matière d Assurance Qualité dans les IES africaines o Accroitre le recrutement et la rétention du personnel dans les IES africaines o Renforcer les capacités en matière de TIC, de mise en réseau et de collaboration entre les IES o Renforcer la capacité de leadership et de gestion dans les IES. o Renforcer les relations université-industrie en Afrique o Accroitre l accès aux IES africaines à travers l Enseignement Ouvert et à Distance o Accroitre l internationalisation de l Enseignement Supérieur (ES) africain. DRP 4: Production, Gestion et Diffusion de Connaissances o Renforcer les capacités en matière de production et de gestion de connaissances o Accroitre l accessibilité de l information sur les connaissances produites par les IES o Accroitre l infrastructure TIC pour la gestion des connaissances o Améliorer la collecte de données normalisées dans les IES o Augmenter les études et publications pertinentes sur les IES DRP 5: Engagement des Communautés et des Etudiants au niveau des IES o Améliorer la participation des Etudiants dans l engagement communautaire au niveau des IES o Renforcer la communauté de pratiques existante (CoP) o Renforcer la collaboration entre l AUA et les associations d étudiants La capacité de satisfaire des besoins sociétaux plus vastes : KRA 6: Engagement avec les Partenaires Africains et Internationaux au Développement pour une Collaboration Améliorée o Renforcer la collaboration avec les partenaires internationaux au développement o Accroitre la collaboration avec les Associations Sous Régionales de l Enseignement Supérieur (ES) 3

4 o Renforcer les relations stratégiques avec le Ghana, le pays hôte DRP 7: Appuyer la Réponse des IES aux Défis Locaux et Régionaux o Renforcer la capacité à atteindre les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) o Accroitre la promotion de l Education au service du Développement Durable (EDD) en Afrique o Accroitre la contribution aux objectifs de l Education Pour Tous (EPT) et mettre l accent sur la Formation des Enseignants o Renforcer l appui aux programmes de gestion de conflits dans les IES Programmes de Base L AUA développe et met en œuvre un Programme d Activités de Base de quatre ans pour réaliser sa vision, sa mission, ses buts et ses objectifs. Ces programmes sont approuvés aux Conférences Générales qui se tiennent tous les quatre ans. Les cinq derniers Programmes de Base de l Association ( ; ; ; et ) ont été respectivement approuvés aux 8 e, 9 e, 10 e, 11 e, et 12 e Conférences Générales. Aperçu du Programme de Base ( ) Au cours des quatre dernières années, dans le cadre des sous-thèmes du Programme de Base ( ), l AUA a offert les programmes et services ci-dessus : Rénovation et Renforcement des Institutions d Enseignement Supérieur Africaines Leadership et Gestion au niveau de l Enseignement Supérieur Améliorer les TIC et la Recherche & les Réseaux d Enseignement Assurance Qualité et Harmonisation de l Enseignement Supérieur Africain Renforcer les Relations Universités-Industrie L Enseignement Supérieur Africain Relève les Défis liés aux Capacités Locales et Régionales Réaliser les Objectifs du Millénaire pour le Développement (Mobilisation Régionale en faveur de l Initiative pour le Renforcement des Capacités) Réaliser le Développement Durable en Afrique Les Universités Africaines Relèvent les Défis liés au VIH et SIDA Promotion de la Production, la Diffusion et l Application de Connaissances Améliorer l Accès à «Production et Expertise Académiques Africaines» (Base de Données des Thèses et Dissertations Africaines) Mobilité Universitaire Programme International de Bourses (IFP) Gouvernance de la Recherche Universitaire en Afrique de l Ouest et du Centre NOUVEAU PROGRAMME DE BASE ( ) Le nouveau Programme de Base ( ) s appuie sur les gains des programmes antérieurs et vise globalement à aider les universités africaines à répondre plus efficacement à la fois aux défis de développement - en rapide évolution - du continent où elles exercent leurs activités, et aux besoins spécifiques exprimés par la communauté de l enseignement supérieur africain. Historique L Afrique, un continent ayant un total de 54 états indépendants officiellement reconnus, présente une forte diversité géographique, culturelle, économique, linguistique et politique. Selon les estimations, le continent disposerait de 1050 institutions d enseignement supérieur (IES) accréditées 4

5 dont seulement 28% (300) sont membres de l AUA. Plusieurs de ces IES sont petites en termes d âge et de taille, et la plupart sont confrontés aux mêmes défis (exemple, la qualité de l enseignement offert, le financement et les infrastructures) qui exigent l intervention de l AUA, des gouvernements nationaux et des partenaires au développement pour pouvoir remplir leurs fonctions de base d enseignement et d apprentissage, de recherche et de service à la communauté. L actuelle revitalisation de l enseignement supérieur en Afrique peut suivre diverses voies en fonction de plusieurs facteurs. D une part, il y a les appréhensions liées à la libéralisation excessive et à la transformation de l éducation qui risque de passer d un bien public à un service (un produit commercialisable) en vertu des dispositions de l Accord général de l'organisation Mondiale du Commerce sur le Commerce des Services (AGCS). L hésitation à traiter l éducation de la même façon que les produits et services commercialisables est une question qui mérite un examen plus approfondi. La prolifération des IES privées en Afrique avec les défis subséquents liés à la pénurie de ressources, d infrastructures, de fonds ainsi que la dépendance excessive des professeurs à temps partiel provenant des institutions publiques, ont des implications sur la qualité des prestations des université privées et sur l efficacité du rendement des institutions publiques. Les étudiants qui n arrivent pas à s insérer dans le système et les programmes des opérateurs privés de l enseignement supérieur dans leurs pays d origine se tournent ailleurs, y compris vers des institutions étrangères, ou poursuivent une éducation qui pourrait les rendre inaptes au contexte de développement local en Afrique. En outre, l absence dans les IES, de programmes de recherche qui répondent aux besoins de développement des pays hôtes, et l absence spécifique de recherche fondamentale et appliquée dans la plupart des IES donnent lieu à des préoccupations. D autre part, les contributions des IES privées à l internationalisation de l enseignement supérieur en Afrique peuvent être considérées dans le contexte du paysage évolutif des prestations de l enseignement supérieur au niveau mondial. Le nombre croissant d universités privées en Afrique a permis d absorber le débordement du vivier de candidats entièrement qualifiés mais non retenus par les institutions publiques. Toutefois, ces IES privées offrent une gamme limitée de programmes ayant tendance à être plus axés sur le marché. Dans les systèmes nationaux ou les universités nationales sont déjà vulnérables, la libéralisation de l enseignement supérieur pourrait rendre difficile la poursuite de l éducation comme bien public et constituer une véritable menace pour la dimension sociale et économique des services d Education Pour Tous et la pose de bases solides pour le développement durable. En outre, les diplômés inaptes au monde du travail due à une mauvaise orientation professionnelle, vont probablement aggraver un problème de développement émergent le chômage des diplômés! Etant donné la résurgence de l intérêt pour l enseignement supérieur africain, il s est avéré impératif d accélérer son redressement et sa revitalisation sur l ensemble du continent, avec un accent particulier sur la prestation et l utilisation de compétence et de connaissances, avec également, la capacité d innovation et d adaptation aux conditions du monde réel. L AUA s engage à travers ses programmes, projets et activités, à jouer un rôle catalyseur dans ce processus. En quarante-six (46) ans d expérience en tant qu association continentale d enseignement supérieur, l AUA a été en mesure d amener plusieurs partenaires au développement à appuyer ses programmes et interventions qu elle exécute en trois langues, à savoir : l anglais, le français et l arabe dans une moindre mesure. Ces interventions ont été exécutées dans trois domaines prioritaires du leadership institutionnel et de renforcement des compétences et capacités de gestion ; la mobilité du personnel universitaire ; le développement des TIC pour l enseignement, l apprentissage et la recherche ; la disponibilité des ouvrages académiques africains pour une plus grande audience en Afrique et 5

6 ailleurs ; des bourses d études supérieures et de petites subventions en appui aux thèses postuniversitaires ; le renforcement des relations université-industrie ; l appui aux IES africaines pour aider les pays hôtes à réaliser les objectifs du millénaire pour le développement. L analyse AFOM de l AUA révèle une gamme de forces, faiblesses, opportunités et menaces, ainsi que des attentes. Ces attentes incluent un meilleur service aux IES africaines ; une gestion efficace et efficiente ; une contribution effective au développement. Celles-ci ont servi de base à l élaboration du deuxième Plan Stratégique de l AUA duquel provient le présent Programme de Base avec le thème, les sous-thèmes et activités suivants : Thème du Programme de Base ( ) Accélérer le Développement Humain en Afrique à travers l Enseignement Supérieur Sous-themes du Programme de Base Les activités prévues au titre de la période seront basées sur quatre sous-thèmes développés autour du thème principal, des Objectifs de l AUA, et des Domaines de Résultats Prioritaires (DRP) du deuxième Plan Stratégique de l AUA. Un cinquième sous-thème complémentaire est ajouté aux questions émergentes. Les activités prévues se présentent comme suit : Sous-Thème 1: Renforcement de la Capacité de Prestation des IES en Afrique (conforme à l Objectif de l AUA : Etudier, publier et faire le plaidoyer des besoins éducationnels et connexes des institutions de l enseignement supérieur africaines) o Renforcer la capacité de Leadership et de Gestion dans les IES africaines. o Améliorer la capacité en Infrastructure TIC pour la Gestion des Connaissances o Renforcer l Assurance Qualité dans les IES africaines o Promouvoir le Centre d Excellence Africain Sous-Thème 2: Promouvoir la Production et la Gestion de Connaissances (conforme à l Objectif de l AUA : Faciliter l échange d information entre les membres de la communauté universitaire et promouvoir les bonnes pratiques) o Améliorer la Gouvernance de la Recherche dans les IES africaines o Appui de la Recherche Pertinente pour les Politiques o Faciliter la Mobilité du Personnel Universitaire (Jumelage des IES Africaines) o Promotions des Bourses d Etudes Doctorales pour le Perfectionnement du Personnel des IES africaines o Accroitre l Accès aux Ouvrages Universitaires Africaines Sous-Thème 3 : Promouvoir la Pertinence Socio-Economique des Universités Africaines (conforme à l Objectif de l AUA : Recueillir, classer et diffuser l information sur l enseignement supérieur et la recherche, particulièrement en Afrique) o Renforcer les Relations Université-Industrie o Perfectionner le Diplômé Employable Africain o Promouvoir la Santé Humaine : Prise en Charge du VIH et autres Infections Sexuellement Transmissibles (IST) dans les IES et leurs communautés en Afrique o Promouvoir le Développement Durable en Afrique o Universités Africaines : Vivier pour la Paix et l Edification de la Paix 6

7 Sous-Thème 4 : Mise en Réseau, Alliances Stratégiques et Questions de Financement (conforme a l Objectif de l AUA : Faciliter la coopération entre ses membres et le monde universitaire international) o Collaboration parmi les IES africaines et entre l AUA et les Associations Sous régionales des IES africaines o Relations entre la Diaspora et les Anciens Etudiants Sous-Thème 5 : Questions Spéciales et Opportunités Emergentes Ce sous-thème recevra les nouvelles initiatives qui n ont pu être subsumées dans les quatre sousthèmes ci-dessus. Programmes et Projets en Cours Le Projet polyvalent de Renforcement de Capacités pour la Revitalisation de l Enseignement Supérieur en Afrique (CADRE) de l AUA, appuyé financièrement par la Fondation Africaine pour le Renforcement de Capacités (ACBF), fait partie des programmes en cours d exécution dans le cadre du présent nouveau Programme de Base. D autres projets et activités dont l exécution a démarré dans le cadre du Programme de Base , incluent : le Renforcement de la Gouvernance et de la Gestion de la Recherche en Afrique de l Ouest et du Centre financé par le Centre de Recherche pour le Développement International (CRDI) du Canada ; Renforcement des relations avec les intervenants du secteur de l'enseignement supérieur en Afrique (SHESRA) en référence aux relations université-industrie financé par l Agence Canadienne pour le Développement International (ACDI) ; le Programme de Bourses Internationales financé par la Fondation Ford ; Réseaux de la Recherche et de l'education financé par la Carnegie Corporation de New York, CRDI, ACBF et la Fondation Ford ; Réaction des Universités Africaines au VIH et SIDA financé par l Agence Suédoise pour le Développement International (ASDI) ; et l Initiative de Mobilisation de la Capacité Régionale (MRCI) financé par le Département Britannique pour le Développement International (DFID) pour appuyer les IES africaines dans leurs efforts à aider les pays hôtes à réaliser les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) à travers la recherche appliquée et axée sur les politiques. Le financement à long terme de plusieurs de ces projet a soit pris ou prendra fin en décembre Par conséquent, le présent Programme de Base vise à solliciter le financement et l appui institutionnel auprès des partenaires au développement en vue d assurer que les activités correspondant au Programme de Base soient entièrement financées. Nous présentons ci-dessous, une description détaillée des diverses activités devant être exécutées. Sous-Thème 1 : Renforcer la Capacité de Prestation des IES o Renforcer la Capacité de Leadership et de Gestion des IES Africaines. o Améliorer l Infrastructure TIC et la Capacité de Gestion de Connaissances o Améliorer l Assurance Qualité dans les IES Africaines o Promouvoir le Centre d Excellence Africain Les trois premiers sous-titres sont des activités qui ont été mis en œuvre dans le cadre du Programme de Base précèdent, et qui se poursuivent compte tenu de leur pertinence pour l enseignement supérieur en Afrique. 7

8 Renforcer la Capacité de Leadership et de Gestion dans les IES Africaines Ce programme est compose de trois composantes distinctes, à savoir : Développement du Leadership (LEDEV) ; Perfectionnement en Gestion (MADEV) ; et Apprentissage Cognitive pour les Leaders et Cadres Dirigeants d IES. Les composantes LEDEV et MADEV de l AUA sont des programmes phares de renforcement des capacités des leaders et cadres dirigeants de l enseignement supérieur africain. Au cours des quatre dernières années, le financement de ce programme a été essentiellement couvert par la Fondation Africaine pour le Renforcement de Capacités (ACBF) au titre de la Phase I du Projet de Renforcement de Capacités pour la Revitalisation de l Enseignement Supérieur en Afrique de l AUA (CADRE) qui couvre la période Dans le cadre de la Phase I, les activités ont été axées sur le développement du leadership et en gestion à travers une série d ateliers sur l apprentissage cognitif. Un examen externe à mi-parcours du CADRE a fortement recommandé que l AUA continue d organiser régulièrement le LEDEV et le MADEV étant donné que les deux séries d ateliers sont très pertinents, utiles et populaires. Compte tenu de l intérêt des bailleurs de fonds par rapport à l essence de la bonne gouvernance et du leadership effectif au niveau des IES comme principaux ingrédients de la revitalisation de l enseignement supérieur en Afrique, l AUA s est engagé à continuer le renforcement de capacités des leaders de l enseignement supérieur à travers les séries de LDEV et MADEV. Jusqu à présent, les engagements reçus de l ACBF pour le financement partiel et les propositions adressées à la Carnegie Corporation pour le financement de l Initiative Africaine de Développement du Leadership Universitaire Avancé (SALDI), ainsi qu Education for Development (HED), une institution publique américaine pour le financement du projet de Développement du Leadership de l Enseignement Supérieur en Afrique Subsaharienne (SAHEL) sont en attente de réponse. La Série d Ateliers sur le Développement du Leadership (LEDEV) Le leadership efficace est synonyme de changement. «Sans leadership, il n y a pas d engagement vis-à-vis du changement, et il est peu probable de changer la culture institutionnelle, de créer un sentiment d urgence, ou de mobiliser les principaux interlocuteurs intéressés» (Association des Universités du Commonwealth). Le rôle du Vice-Chancelier et autres leaders institutionnels est d apporter l orientation stratégique et le leadership à l Université, d assurer et de renforcer la croissance de la base financière de l Université, et de garantir une vision cohérente au niveau de toutes les parties constituantes de l Université. La capacité d envisager et de nourrir l acceptation ; de penser stratégiquement dans le contexte d un environnement intellectuel diversifié ; de maintenir la réussite, d attirer et de retenir un corps professoral de talent exceptionnel font partie des qualités essentielles d un leader institutionnel efficace et accompli. Les Vice-Chanceliers/Recteurs d aujourd hui doivent faire face à des problèmes spécifiquement africains comme la mauvaise gouvernance et l instabilité politique ; la contrainte de faire plus avec moins dans un contexte de restrictions budgétaires ; le remplacement du corps professoral chevronné vieillissant ; et la constante demande d apporter des solutions qui satisfassent les besoins sociétaux. Ils doivent aussi faire face aux gigantesques défis mondiaux comme l impact de la révolution TIC ; un système d enseignement supérieur dérégulé et diversifié ; la Déclaration d Arusha, le processus de Bologne et leur impact sur la complexe réforme LMD (Licence, Maitrise et Doctorat) en cours dans les pays francophones ; et la récession économique et l effondrement financier internationaux pour ne citer que quelques-uns. 8

9 Pouvoir faire à ces divers défis et transformer les universités et autres institutions d enseignement supérieur africaines en institutions véritablement fortes et réputées, exige un leadership institutionnel qui soit novateur et bien équipé avec les compétences essentielles de leadership. Ce sont des questions que tentent de résoudre les séries d ateliers LEDEV, une ramification des anciennes séries d Atelier de Gestion Avancée organisées de 1993 à Dans le cadre du projet CADRE-AUA I, des ateliers LEDEV ont été organisés une fois l an dans chacune des quatre régions d Afrique Subsaharienne. Les quatre ateliers ont rassemblé plus de 130 participants et se sont tenu dans l ordre suivant : Windhoek, Namibie (2007); Kigali, Rwanda (2008); Dakar, Sénégal (2009) et Mombasa, Kenya (2010). Ces ateliers ont été facilitées par des personnes ressources recrutées en Afrique et ailleurs, et des expériences en techniques andragogiques et pédagogiques 1. Les quatre cohortes de participants comprenaient des Recteurs, Vice-Chanceliers, Pro-Vice-Chanceliers et Vice-Présidents nouvellement nommés, des membres de Conseils de Gouverneurs et des universitaires de haut niveau. Compte tenu des 300 IES membres actives et l éventuelle admission de 30 nouveaux membres par an, un roulement de 10 à 15 pour cent de membres cadres dirigeants supérieurs d institution est attendu chaque année. Ceci représente un nombre de participants admissibles devant bénéficier de la formation aux compétences de leadership de l AUA. En effet, voici à continuation les activités prévues et les résultats escomptés pour les quatre prochaines années et destinés à étendre la couverture du programme. Activités Prévues 1. Organiser deux années de formation bilingues pour les leaders des IES d Afrique 2. Organiser cinq ateliers intrauniversitaires de formation au leadership dans ces mêmes universités 3. Initier et développer une Boite d Outils de l AUA sur les bonnes pratiques et le leadership institutionnel Résultats Escomptés Sensibilisation accrue sur les questions de leadership et l échange d expériences entre cadres dirigeants d universités pour ainsi renforcer leurs capacités d innovation en matière de leadership La mise en réseau entre leaders universitaires sur l ensemble du continent est améliorée Leadership motivant, adapté, efficace et innovant dans les IES africaines Meilleure planification stratégique et définition améliorée d orientations par les leaders d institutions d enseignement supérieur. Série d Ateliers sur le Perfectionnement en Gestion Le perfectionnement en gestion est partie intégrante du Programme de Leadership et Gestion de l Enseignement Supérieur de l AUA Management qui a pris effet après un examen du programme des Cadres Dirigeants d Universités (SUMA). La série d ateliers MADEV répond à la formation en gestion développement de compétences en gestion et renforcement des systèmes, processus et procédures devant améliorer la qualité de la prestation de service des cadres moyens (Vice-Recteurs 1 L Andragogie se réfère aux stratégies de d enseignement axées sur les apprenants adultes et développées à leur intention. La Pédagogie se réfère a l art, la science et la fonction d enseignement ainsi qu aux méthodes d instruction. 9

10 à l enseignement et à la recherche, Doyens de Collèges, Ecoles et de Facultés, Chefs de Département et leurs Adjoints) dans les institutions d enseignement supérieur d Afrique. Le leadership efficace va de pair avec la gestion institutionnelle efficace et efficiente. Il s avère par conséquent impératif de d exposer les Vice-Recteurs à l Enseignement et à la Recherche, les Doyens, les Directeurs, Agents des Finances, les Registraires, les Chefs de Départements a la formation en gestion ; ces individus jouent un rôle d appui et d assistance très important par rapport au Vice-Chancelier/Recteur, et doivent être continuellement formés aux compétences et outils modernes de gestion. Ceci continue d être au cœur de la série MADEV qui a jusqu à présent conduit avec succès trois ateliers de formation dans trois régions d activités de l ABCF (Afrique de l Est, de l Ouest et Australe) sur fonds de la Fondation. Dans chaque cas, la formation a fait l objet de sous-traitance à des prestataires de services africains spécialisés en la matière, à savoir, Ghana Institute of Management and Public Administration (GIMPA), Mzumbe University de Tanzanie (ex Institute for Development Management IDM) et University of Botswana School of Business. Au total, 14 modules de formation sur divers aspects de la gestion de l enseignement supérieur dans le contexte africain ont été développé et utilises dans tous les trois ateliers qui ont attiré 108 participants. Depuis leur formation, deux anciens participants des ateliers MADEV ont été nommés Vice-Chanceliers dans des universités publiques du Ghana l un d eux est la première femme Vice-chancelier du pays 2. Un autre participant a été nommé Vice- Chancelier Adjoint 3 immédiatement après la formation. 2 Professeur Nana Jane Opoku-Agyemang a été nommée première femme Vice-Chancelier de l Université de Cape-Coast après avoir participé a MADEV I tenu à GIMPA en mars Elle a ensuite été promue Ministre de l Education du Ghana et est actuellement un membre du Conseil des Gouverneurs de l AUA. Professeur William Elis a été nommé Vice-Chancelier de l Université des Sciences et Technologies Kwame Nkrumah, Kumasi, Ghana, après avoir participé à l atelier MADEV II tenu à l Université Mzumbe de Tanzanie. 3 Prof. Joseph Kisekka a été nommé Vice-Chancelier de l Université des Martyrs en Ouganda après avoir participé à l atelier MADEV II tenu à l Université Mzumbe de Tanzanie en mars

11 Les activités prévues et les résultats escomptés pour les quatre prochaines années se présentent comme suit : Activités Prévues 1. Organiser par rotation régionale, 2 ateliers MADEV de dix jours dans chaque région d Afrique Subsaharienne pour environ 60 participant par atelier et par an 2. Développer et mettre à jour le programme d enseignement du MADEV et les 14 modules de formation existants en vue de prendre en compte les questions nouvelles et émergentes de l enseignement supérieur en Afrique et ailleurs 3. Développer une boite à outils pour servir de ressource pour le développement post-formation et l apprentissage continu Résultats Escomptés Capacités de gestion efficaces et efficientes et meilleure prestation de services dans les institutions d enseignement supérieur d Afrique Collaboration et mise en réseau accrues entre cadres moyens sur l ensemble du continent Approches adaptées et efficaces aux défis des institutions d enseignement supérieur Les bonnes pratiques en matière de gestion institutionnelles sont adoptées par les institutions d enseignement supérieur. Apprentissage Cognitif pour les Leaders et Gestionnaires d IES En vue d accroitre les connaissances acquises à la fois dans les ateliers de formation MADEV et LEDEV, ainsi que dans la formation complémentaire SALDI et SAHEL, 20 participants seront sélectionnés pour entreprendre des stages pour cadres de deux semaines dans des universités africaines et autres IES identifiées pour leur excellence en matière de leadership et de gestion pour un apprentissage cognitif et des échange d expériences. Les activités prévues et les résultats escomptés pour les quatre prochaines années se présentent comme suit : Activités Prévues Organiser un stage pour cadres à l intention de 20 leaders d IES par an dans des institutions africaines réputées pour leur mentorat en leadership Elaborer des rapports de mission pour les études de cas, et les disséminer au cours des ateliers, autres medias Résultats Escomptés Expérience pratique en résolution de problèmes d accès et d équité ; affaires personnel et étudiants ; mobilisation de ressources ; partenariats privé-public ; techniques d enseignement novatrices ; et innovations en matière de conception et d élaboration de programmes d enseignement, etc. dans les institutions participantes. Echange de connaissances en matière de bonnes pratiques, gestion de l enseignement supérieur et amélioration du rendement dans les IES d Afrique. Améliorer les Réseaux TIC/Recherche et Education La rapide évolution de l informatique, de la puissance de calcul, de la manière dont l information est numériquement traitée, organisée, transmise et échangée à l échelle planétaire, constitue une véritable révolution dans notre monde contemporain. Pendant que le reste du monde profite des 11

12 avantages des avancées en TIC, l Afrique reste à la traine du monde dans l utilisation de ces ressources. Si cette situation n est pas traitée à temps, elle risqué d exacerber la fracture numérique et l Afrique se retrouvera dans une position très peu avantageuse. La faible utilisation des TIC en Afrique s attribue en partie, au coût élevé de la largeur de bande, l inadéquate expertise en TIC et les coûts associés aux logiciels et à l équipement informatique. Le coût et l accès constituent pour les institutions africaines, des contraintes majeures à la mise en réseau des connaissances. Tandis que les universités moyennes de l Union Européenne disposent d environ 800 fois plus de largeur de bande que leurs homologues africaines, il est estimé que les universités moyennes d Afrique paient 50 fois plus l unité de largeur de bande que leurs homologues d Amérique du Nord ou d Europe. Etant donné la magnitude des défis liés à l accès et l abordabilité, l AUA a créé en 2006, l Unité Réseaux d'education et de Recherche (RENU) en tant que centre de ressources et d'information des TIC pour les universités africaines, dans l intention d aider les universités à mieux utiliser les TIC dans l enseignement, la recherche et les activités administratives, et à gérer de manière institutionnelle, les TIC sur les campus. Diversement finance dans le cadre du Programme de Base ( ), la majorité du travail du RENU est axée sur le plaidoyer et le lobbying en faveur de la largeur de bande et autres ressources TIC pour les IES africaines ; le lancement de dialogues politiques aux niveaux national et régional pour la création de réseaux d éducation et de recherche nationaux et régionaux en Afrique ; et l organisation d ateliers de formation pour les gestionnaires de réseaux de campus en collaboration avec des partenaires stratégiques. L Unité a déjà reçu d importantes contributions au niveau de ces initiatives. Elle a engagé des négociations pour l amélioration de la connectivité et l accès à une largeur de bande abordable et adéquate pour les IES africaines. Elle a aussi réussi à négocier avec le Registre Africain des Numéros Internet (AfriNIC) pour que les institutions d enseignement et de recherche d Afrique ne puissent payer que 50% des frais payables pour l allocation d IP et autres ressources Internet par AfriNIC. L Unité a aussi négocié pour les REN africains (Réseau d Education et de Recherche), un taux spécial de 100 US$ Mbps auprès de la Compagnie MainOne Cable pour Lagos, les pays où elle opère ou dispose de partenaires. L Unité est toujours déterminée à négocier pour un prix inférieur d'environ 50 $ US Mbps RENU a aussi établi de fortes relations entre les communautés REN mondiales. Elle a également fait la promotion de la création d une communauté REN dynamique en Afrique de l Ouest et du Centre (WACREN), laquelle promotion a permis la création de 8 REN nationaux après une série de réunions de dialogue politique. L Unité requiert des financements complémentaires pour mettre en œuvre les interventions énumérées ci-dessous : Activités Prévues Organiser 4 ateliers par an, sur une base rotationnelle, entre les IES africaines et les distributeurs de largeur de bande dans le but de négocier une largeur de bande abordable et adéquate Aider au développement de capacités des gestionnaires TIC de campus et de réseaux d éducation et de recherche dans les institutions Résultats Escomptés Les institutions membres de l AUA ont accès à une largeur de bande et connectivité Internet haut débit abordables Les capacités des gestionnaires TIC sont renforcées pour la gestion efficiente de WAN et LAN institutionnels 12

13 membres de l AUA Produire des manuels à l intention des décideurs et de gestionnaires TIC dans les institutions d enseignement supérieur d Afrique Mettre à jour le centre de ressources et d'information de l AUA sur la politique TIC et le Réseau d Education et de Recherche Les décideurs et les gestionnaires de réseau sont informés par rapport aux ressources disponibles en ligne Les institutions membres de l AUA sont mieux préparées à l utilisation des TIC dans leurs fonctions de base Programme d appui à l Assurance Qualité pour l Enseignement Supérieur L adoption de la Convention d Arusha en 1981, en Tanzanie, avait pour objectif la promotion de la mobilité universitaire et la mise en œuvre des dispositions continues dans la charte de l ancienne Organisation de l Unité Africaine (OUA), essentiellement liées à la coopération régionale, la formation de ressources humaines et l amélioration de l enseignement supérieur sur le continent. Toutefois, la libéralisation des services de l enseignement supérieur au tournant du siècle en dépit des nouvelles opportunités et avantages liés à la diversification des prestataires de services d enseignement et l amélioration de l accès, a suscité des inquiétudes et des débats visant à repenser l assurance qualité dans le service d enseignement transfrontalier et privé sous une perspective élargie, y compris la dotation en personnel, les infrastructures, l élaboration de programmes d études, la revue de programmes, la recherche, etc. L inclusion de l éducation dans l AGCS en 1985 a suscité des inquiétudes par rapport aux menaces posées par l AGCS aux économies nationales, la valeur de l éducation en tant que bien social, la qualité assurance, l équité sociale et l accès élargi. Le non ratification de la Convention d Arusha par de tous les pays africains peut s attribuer à l incertitude qui plane autour de la qualité des institutions et du contenu des programmes de formation. En réaction à ce défi, l AUA a lancé en 1999, le programme d assurance qualité pour jeter les bases des mécanismes institutionnels de l assurance qualité dans les institutions d enseignement supérieur, des agences nationales d assurance qualité et accréditation, et de la mise en place d un réseau régional pour la coordination de protocoles transfrontaliers et d initiatives de renforcement de capacités pour une meilleure gestion de l assurance qualité. Les principales réalisations du programme AQ comprennent la création du Réseau Africain d assurance qualité (AfriQAN) comme agence faîtière des Agences Nationales d Assurance Qualité (QAA) et la création d opportunités d apprentissage mutuel pour ces agences nationales. Outre la série de réunion et d ateliers de sensibilisation, le programme a aussi facilité les examens par les pairs et la formation de personnels parmi ses membres. Au cours des quatre prochaines années, l AUA envisage intensifier son programme QA, avec les résultats escomptés suivants : Activités Prévues Assurer la formation aux IES pour développer les capacités d autoévaluation et les mécanismes d examen AQ interne par les pairs Echange/formation de personnel parmi les membres d AfriQAN Appuyer le personnel des institutions membres Résultats Escomptés Les institutions d enseignement supérieur adoptent et appliquent des mécanismes des mécanismes internes d examen de l assurance qualité par les pairs Echange d information améliorée sur la situation/progrès des programmes d assurance qualité, les mécanismes de cote, équivalence et 13

14 d AfriQAN à participer aux conférences d AQ Participer aux stratégies d harmonisation de l enseignement supérieur et à la mise en œuvre de mécanismes de cote de qualité en collaboration avec la Commission de l Union Africaine et autres agences Organiser des ateliers régionaux sur l AQ pour promouvoir de bonnes pratiques et échanger des expériences Faciliter les examens des agences AQ par les pairs Conduire une étude sur l impact des programmes d assurance qualité dans différentes régions du monde. Conduire une étude sur les défis à la mobilité universitaire interrégionale avec un accent particulier sur l échange de personnel et d étudiants, et le transfert de crédit harmonisation des qualifications académiques entre les institutions d enseignement supérieur d Afrique Meilleure compréhension et appréciation des questions AQ entre les parties prenantes d Afrique Les capacités des agences AQ sont renforcées Les institutions d enseignement supérieur d Afrique ont une compréhension améliorée de l importance critique de l enseignement, la recherche et la prestation de services de qualité, et des diplômés de hauts calibres capables de participer à la compétition sur les marchés du travail national, régional et mondial Promotion du Centre d Excellence Africain Toutes les sociétés civilisées accordent une place de choix et d importance à l éducation formelle dans la reconstruction nationale et le bien-être social. Dans le sous-secteur de l éducation, l enseignement vise à donner aux étudiants, d importantes compétences pour utilisation pratique dans les situations de «vie réelle». A part le fait d être considérée comme un moyen d amélioration de l efficacité dans toutes sortes d activités, elle est aussi perçue comme un moyen de libération de toutes formes d asservissement. En Afrique, les institutions d enseignement supérieur, les universités en particulier, jouent un important rôle dans les processus démocratiques parce que ce sont des institutions dont les caractéristiques sont entre autres, la liberté des débats ainsi que la recherche critique de solutions. Un système d enseignement sain et efficace doit par conséquent, apporter des solutions et rendre une gamme complète de services à la société. Le concept de promotion d un Centre d Excellence Africain consiste à encourager les IES à poursuivre leurs fonctions holistiques fondamentales d enseignement, de recherche, d apprentissage et d engagement communautaire, ce faisant, elles jouent un rôle cohésif central en : Préparant les étudiants à leurs futurs rôles de cadres et leaders de manière a ce qu ils puissent comprendre les questions de durabilité et prendre ainsi des décisions informées ; Aidant la société à trouver des solutions sociales et techniques aux défis liés à la diminution des ressources sociales, économiques et naturelles ; et Agissant comme acteur catalyseur du changement avec les populations, les entreprises et les organismes publics. Avec la limitation des ressources humaines et essentielles et les différents niveaux de développement et d infrastructure, les perspectives d avenir de l enseignement supérieur africain résident dans la collaboration et l action dans un cadre continental à travers la création de centres d excellence visant à développer de solides études postuniversitaires et le développement d une solide base de recherche dotée d avantages compétitives de type international ; et la recherche d opportunités de collaboration et de partenariat avec la communauté international, y compris les universités d autres continents, des organisations et agences véritablement intéressées par l enseignement supérieur en Afrique, sur des plateformes égalitaires et mutuellement avantageuses. Plusieurs stratégies comprenant des partenariats entre les universités et l industrie peuvent être 14

15 utilisées pour créer des centres d excellence. Les centres d excellence doivent être de nature internationale et disposés à apporter des infrastructures dans divers domaines. En outre, ils pourraient assurer un environnement propice qui permette aux acteurs de bien travailler. A cet égard, la Banque Mondiale est en partenariat avec les interlocuteurs intéressés clés, y compris les institutions d enseignement supérieur d Afrique, pour le développement d'une opération régionale d'enseignement supérieur qui vise à promouvoir la spécialisation régionale parmi les IES qui travaillent dans des domaines particuliers, communs aux problèmes de développement régionaux. L opération en cours d élaboration vise aussi à renforcer les capacités et améliorer la situation des universités participantes et leurs institutions partenaires, pour fournir des services d enseignement de haute qualité au corps étudiant régional et conduire la recherche appliquée en Sciences, Technologies, Ingénierie et Mathématiques (STEM), Agriculture et Sciences de la Santé, en vue de permettre aux institutions d émerger tant que Centres d Excellence Africains (CEA) reconnus qui assurent des services d enseignement et une recherche appliquées de qualité. La Banque Mondiale a de manière concurrentielle, sélectionné l AUA comme Unité de Facilitation Régionale (RFU) pour le projet CEA de plusieurs millions de dollars dont le lancement est prévu pour la mi Ce projet servira de modèle aux autres IES pour le développement de leurs centres d excellence nationaux et régionaux. Les activités à mettre en œuvre et les résultats escomptés dans le cadre de la création des CEA se présentent comme suit : Planned Activities Facilitation, Coordination et Administration Renforcement de capacités pour les équipes CEA et AUA Suivi, Evaluation et Elaboration/Présentation de Rapports Communication et Dissemination information Expected Outcomes Administration efficiente et efficace du Projet CEA Les personnels des CEA et de l AUA sélectionnés sont mieux équipés pour mettre en œuvre et gérer le Projet CEA respectivement Les études et enquêtes sur le Projet CEA été ont entreprises avec succès Le Projet CEA est popularisé au niveau de la communauté de l enseignement supérieur à travers la publicité sur les medias régionaux et nationaux ; développement et maintenance de site Internet ; facilitation en ligne pour apporter une plateforme d information sur le CEA et ; publication et dissémination des résultats d évaluation et d information sur les CEA réussis Sous-thème 2 : Promotion de la Production et de la Gestion de Connaissances o Amélioration de la Gouvernance de la Recherche dans les IES d Afrique o Appui de la Recherche Axée sur les Politiques o Facilitation de la Mobilité du Personnel Universitaire (Jumelage des IES d Afrique) o Promotion des Bourses d Etudes Doctorales pour le Perfectionnement du Personnel des IES d Afrique 15

16 o Accroissement de l Accès aux Ouvrages Universitaires Africains Les cinq activités énumérées des reports provenant du Programme de Base précèdent. Améliorer la Gouvernance de la Recherche dans les IES Comme il a déjà été mentionné dans ce rapport, les IES jouent un important rôle dans la satisfaction des exigences de connaissances pour le développement. Actuellement, les acteurs du développement acceptent de plus en plus les avantages économiques de l enseignement supérieur qui comprennent la formation de ressources humaines compétentes, la création de connaissances publiques, l échange de compétences entre l industrie et les universités et le développement de meilleures technologies. Les connaissances doivent être donc à tout moment, intégrées dans les systèmes de production. La recherche, une composante essentielle de l enseignement supérieur qui produit la fertilisation croisée d idées, est responsable de la grande majorité de la collaboration entre les universités et les entreprises, et l industrie et les gouvernements. Toutefois, tandis que les taux de participation de l enseignement supérieur dans la recherche au niveau de plusieurs pays à revenus élevés sont estimés être au-delà de 50%, en Afrique Subsaharienne, ils sont dans la plupart des cas, inférieurs à 5%. En Afrique, les programmes de recherche sont largement dictés par les intérêts des bailleurs de fonds, et les industries locales sensées être les moteurs de la recherche ont de très peu de rapports avec les IES qui sont responsables de la production de la recherche. Seuls quelques pays africains ont des systèmes logiques de formation et de recherche scientifique. Des études commanditées en 2009, par le Bureau Régional de l Afrique de l Ouest du CRDI sur la situation de la gouvernance de la recherche en Afrique de l Ouest et du Centre, ont indiqué le manque de structures appropriées et noté également, des différences au niveau de la gouvernance et de la gestion de la recherche. Dans ce contexte, une proposition conjointe a été développée par l AUA et l Institut de Recherche sur les Politiques en matière de Science et Technologie du Conseil pour la Recherche Scientifique et Industrielle du Ghana (CSIR) pour traiter les déficiences perçues et contribuer à un système de gestion de la recherche. Le projet intitulé : Amélioration de la Qualité et de la Pertinence de la Recherche Universitaire dans les Systèmes d Innovation Nationaux en Afrique de l Ouest et du Centre : Les questions de gouvernance a été par conséquence lance en mars 2010 sous le parrainage du CRDI. Ce projet sera exécuté par l AUA en partenariat avec l Institut de Gestion et d Administration Publique du Ghana (GIMPA), l Institut Supérieur de Développement Local (ISDL), l l Institut de Recherche sur les Politiques en matière de Science et Technologie du Conseil pour la Recherche Scientifique et Industrielle du Ghana (CSIR), Gestion et Innovation de la Recherche Ouest-africain (WARIMA) et l Association Canadienne d Administrateurs de Recherche Universitaire (CAURA). Les conclusions préliminaires de la recherche entreprise dans le cadre du projet, indiquent entre autres, qu il n y a pas de structures de gouvernances appropriées dans plusieurs universités africaines ; que la recherche n est pas convenablement financée ou liée au programme national de recherche. De même, la recherche universitaire est assujettie à l impulsion de chercheurs individuels et des bailleurs de fonds, et non nécessairement liés à des besoins sociaux. Dans la plupart des cas, soit, il n y a aucune politique qui permette que la recherche de traite les problèmes sociaux existant, sou les politiques existantes ne sont pas appliquées. En ce qui concerne la 16

17 recherche au niveau national, les résultats indiquent que les responsabilités en matière de recherche et d innovation sont partagées entre plusieurs institutions indépendantes et il n y a pas de collaboration adéquate entre ces institutions. Les efforts ne sont pas coordonnés et font souvent l objet de duplication. Dans ce contexte et en guise de suite à la phase initiale du projet, l AUA se propose d entreprendre les activités suivantes : Activités Prévues Conduire une étude sur la gouvernance de la recherche dans les IES d autres sous-régions d Afrique Organiser chaque année, 4 ateliers sous régionaux de formation sur la gouvernance de la recherche à l intention des IES d Afrique Créer un forum de discussions et d échange d informations sur la gestion de la recherche universitaire Parrainer la participation des administrateurs de la recherche universitaire aux fora nationaux et internationaux liés à la gestion et innovation en matière de recherche Parrainer le partenariat entre 20 les administrateurs de la recherche universitaire africains et canadiens pour le développement d outils de gestion de la recherche. Résultats Escomptés Meilleure compréhension de la situation de la gouvernance dans les sous-régions concernées Les administrateurs de la recherche universitaire sont sensibilisés par rapport à la gestion efficace de la recherche et sont équipés avec les compétences nécessaires pour mener des recherches pertinentes et de qualité L échange d expérience sur la gestion de la recherche universitaire est amélioré Les administrateurs de la recherche universitaire sont sensibilisés par rapport aux tendances actuelles de la gouvernance de la recherche Une culture de recherche et d innovation sera lancée. La capacité de développement d outils de gestion de la recherche est renforcée. Soutenir la recherche pertinente pour la formulation des politiques En Afrique, les universités publiques sont souvent les seules institutions nationales ayant des compétences, des équipements et le mandat de générer de nouvelles technologies grâce à la recherche et d adapter des connaissances mondiales pour la résolution des problèmes locaux et de promouvoir le développement social et économique. L AUA soutient les EES à aider leurs pays hôtes à atteindre les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) à travers la recherche appliquée axée sur les politiques. Par exemple, avec le financement du Ministère britannique du développement international (DFID), l AUA a réussi à mettre en œuvre un programme de Mobilisation à l Initiative de la Capacité Régionale (MRCI) qui a démarré en Le programme MRCI a soutenu la recherche collaborative de haute qualité, pertinente pour la formulation des politiques, qui a abouti à l élaboration de 54 notes d orientation sur 21 projets de recherche qui ont 17

18 mis en exergue de nouveaux moyens novateurs que les établissements d enseignement supérieur peuvent utiliser pour contribuer aux programmes de développement national en vue de la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) et de la réduction de la pauvreté. Grâce au financement de l ACBF et aux financements promis par les bailleurs de fonds, la recherche pertinente pour la formulation des politiques continuera de permettre aux EES africains de générer de nouvelles connaissances à travers des recherches de qualité qui devront servir de base aux programmes nationaux indispensables au développement durable et à la réalisation des OMD. La recherche pertinente pour le développement permettra également de promouvoir la coopération sud-sud, la collaboration et le réseautage étant donné que les EES devraient mener des recherches collaboratives pays entre eux. Les activités suivantes seront menées par l AUA au cours de la période en vue de soutenir la recherche pertinente à la formulation des politiques menée par les EES africains : Activités planifiées Résultats escomptés Organiser des ateliers de rédaction de Les EES sont suffisamment préparés pour la proposition à l intention des EES francophones, lusophones et anglophones. rédaction des propositions scientifiques de haute qualité pouvant faire l objet de financement Attribuer 20 projets collaboratifs de recherche pertinente à la formulation des politiques Supervision et suivi de 20 projets de recherche pertinente à la formulation des politiques. Les EES, en partenariat avec les institutions similaires en dehors des pays hôtes, réussissent à recevoir des subventions de l AUA. Mise en œuvre efficace et réussie des 20 projets de recherche. Faciliter la mobilité du personnel universitaire L AUA a commencé ses activités avec un programme de bourse initié plus tôt par Tom Mboya, un syndicaliste et responsable politique kenyan visant à actualiser la coopération interuniversitaire. Ce programme était suivi par le Programme de bourse africaine des universités américaines (ASPAU) financé l USAID par le truchement de African-American Institute (AAI) et par la suite le programme de bourse interafricain de l AAI (INTERAF) qui visait à orienter les étudiants africains qualifiés vers les différentes universités africaines à l étranger en raison du manque d espace ou de l absence de la matière envisagée dans leurs pays. Le programme INTERAF s est concentré sur les études de premier cycle (ASPAU) et par la suite les études des cycles supérieurs (AFGRAD) et le perfectionnement du personnel. Ces deux programmes constituaient les principaux programmes au cours des deux premières décennies de l Association. D autres projets ont vu le jour grâce aux nouvelles sources de financement. L actuel Programme d échange du personnel universitaire fournit de l appui aux universitaires des institutions membres de l AUA pour participer aux programmes d échange dans d autres universités africaines et vice versa dans le cadre des travaux de recherche, des missions d enseignement de courte durée, des examens externes et de l encadrement des travaux de thèse pour une période allant d une semaine à trois mois. Le programme comprend également des congés sabbatiques d une durée de 6 mois au maximum. Ces initiatives ont permis aux nouvelles 18

19 universités et aux universités confrontées à la pénurie de personnel dans des matières importantes de bénéficier des enseignants expérimentés des universités bien assises et facilité le réseautage des universités sur l ensemble du continent. A part la facilitation de l échange du personnel universitaire en Afrique, le programme s est élargi pour inclure l appui aux universitaires de la diaspora qui désirent passer une partie de leur temps dans les institutions membres de l AUA. L AUA entend poursuivre son programme d échange du personnel universitaire en se concentrant sur les interventions de courte durée en faveur des institutions membres de l AUA dans le but de tisser des relations entre ces institutions et les personnes ressources externes. Les expériences passées ont montré que le nombre optimal des missions d échange est dix (10) missions par an, ce qui fait un total de 40 missions d échange au cours de la période du projet qui est de 4 ans. Le tableau ci-après présente certains des activités planifiées et des résultats escomptés : Activités planifiées Faciliter 10 missions d échange de personnel par an dans les institutions membres de l AUA. Gérer les programmes d échange à l initiative des donateurs en Afrique Documenter et mettre en valeur les missions couronnées de succès Résultats escomptés Les spécialistes de différentes matières sont à la disposition des membres de l AUA qui en font la demande. Progrès sans entrave en matière de recherche et des travaux universitaires Missions d échange de personnel universitaire en Afrique harmonisé au sein d un ensemble d objectifs et de règlements communs Une réserve de réalisations des experts et des participants aux missions d échange mise en place et mise à la disposition des membres de l AUA pour des collaborations à l avenir. Promouvoir l octroi des bourses d études doctorales en vue du perfectionnement du personnel dans les EES africains Dans le cadre du dernier programme de bourses modiques, les étudiants de Doctorat et de maitrise des établissements membres de l AUA ont eu l opportunité de bénéficier des bourses destinées à faciliter l achèvement de leurs thèses et de leurs mémoires dans les meilleurs délais. Chaque série de bourses était destinée à appuyer des recherches sur des thèmes sélectionnés. Le choix des thèmes reflète les enjeux contemporains de l'enseignement supérieur en Afrique et l objectif poursuivi par l'association à tout moment. Le programme a été lancé après qu il a été constaté que, compte tenu de la situation économique qui prévaut dans de nombreux pays africains, il faut plus de temps à un grand nombre d étudiants poursuivant des études du deuxième cycle dans les universités africaines pour obtenir leurs diplômes comparativement à leurs homologues dans les autres universités. En outre, il a été reconnu que, bien souvent, les étudiants des cycles supérieurs ont des difficultés à mobiliser les ressources financières nécessaires pour achever leurs thèses en vue de l'obtention des diplômes dans les meilleurs délais. Dans le cadre du nouveau programme de bourses proposé, l'accent sera mis sur la promotion des bourses d'études doctorales en vue du perfectionnement du personnel dans les établissements d enseignement supérieur en Afrique. Dans une étude réalisée en 2011 par l AUA sur les capacités institutionnelles et les lacunes dans les EES en Afrique, 40% des 131 universités participantes ont 19

20 indiqué que moins de 25% de leurs facultés ont des programmes de doctorat ou leurs équivalents. Etant donné que le doctorat est désormais considéré comme une condition essentielle pour toute personne qui envisage une carrière universitaire ou qui postule à un poste universitaire, et une qualification importante requise pour diriger des travaux de recherche, l'aua propose de faciliter la poursuite de la formation doctorale dans le cadre de ses efforts en matière de perfectionnement du personnel dans les institutions membres. La coordination efficace de International Fellowship Programme (IFP) parrainé par la Fondation Ford en faveur de l Afrique de l'ouest (Ghana, Nigeria et Sénégal) témoigne de l expertise de l AUA en matière de gestion des programmes de bourses. Grâce à un suivi efficace, l'ifp a enregistré un taux élevé (80%) de boursiers qui ont terminé leurs programmes et sont de retour dans leur pays d'origine, tandis que quelques-uns ont continué les études avec d'autres bourses. Le programme sera lancé sur concours à l intention de 100 membres du personnel universitaire par an, qui désirent poursuivre des études de doctorat dans les EES africains dans des domaines d'études qui contribuent à la pertinence et à l'amélioration de la prestation de leur expertise dans leurs institutions. Un système de quotas serait utilisé pour sélectionner les candidats en fonction du sexe, de la langue et de la représentation régionale en Afrique. Les activités planifiées et les résultats escomptés sont les suivants : Activités planifiées Mise sur pied d un Comité de pilotage du programme et identification des thèmes de doctorat pouvant être financés Faire des annonces et sélectionner 100 lauréats par an. Organiser des réunions annuelles d orientation et d évaluation des besoins pour les lauréats des bourses dans chaque sous-région. Faciliter l admission et le placement des lauréats de bourses dans les EES africains de renom. Administrer les bourses et faire le suivi de l évolution des étudiants. Gérer, documenter et diffuser les résultats des recherches menées par les boursiers à travers le programme AUA DATAD. Résultats escomptés Critères et procédures d application et les outils mis en place pour l administration des bourses. 400 retenus pour les bourses. 400 lauréats ont des connaissances suffisantes des objectifs et des conditions des bourses et sont suffisamment préparés pour poursuivre des études de cycles supérieurs. 400 boursiers placés dans des EES africains de renom pour poursuivre des programmes académiques Les étudiants ayant des résultats scolaires satisfaisants reçoivent leurs allocations et d autres avantages à temps et répondent aux exigences de l AUA en matière de présentation de rapport. 400 nouvelles entrées dans la base de données de mémoires et de thèses de l AUA (DATAD) Accroitre l accès aux œuvres savantes africaines Des préoccupations ont été exprimées concernant l'absence d'indexation systématique et la diffusion des informations sur la recherche en Afrique. Tel qu indiqué ci-dessus, les œuvres savantes africaines ont été pratiquement invisibles étant donné que le taux de participation de son 20

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