SECTEUR FINANCIER GUINÉEN: PRINCIPAUX DÉFIS ET STRATÉGIES POUR Y FAIRE FACE
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- Ghislaine Grégoire
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1 SECTEUR FINANCIER GUINÉEN: PRINCIPAUX DÉFIS ET STRATÉGIES POUR Y FAIRE FACE ABIDJAN, 28 ET 29 JUIN 2016 Gouverneur de la Banque Centrale de la République de Guinée Dr. Louncény NABE
2 PLAN DE PRESENTATION 1. Situation macroéconomique en fin Réformes monétaires et financières à partir de Quelques résultats des réformes 3. Principaux défis à relever 4. Perspectives et Projets prioritaires 5. Conclusion 2
3 SITUATION MACROECONOMIQUE EN FIN 2010 v Suspension des relations avec le FMI et la Banque Mondiale en 2008 à cause de la transition militaire v Déficit budgétaire hors dons représente 14,4% du PIB en fin 2010 v Recours au financement monétaire du déficit du Trésor Public v Stock des créances nettes de la Banque Centrale sur l Etat : 6 455,7 milliards en décembre 2010 contre 3448,7 en fin 2009 soit une hausse de 87,2% en un an. 3
4 SITUATION MACROECONOMIQUE EN FIN 2010 v Accroissement de la Masse monétaire de 74% par rapport à 2009 v Baisse des réserves à près de 15 jours d importations v Dépréciation de la monnaie nationale de 19% par rapport au dollar US et 12% par rapport à l euro en 2010 v Forte inflation : 5% en 2002, culmine à 39% en 2006 avant de tomber à 20,8% en 2010 v Baisse de la croissance : 5,2% en 2002 à 1,8% en 2007, puis à -0,3% en 2009 avant de remonter à 1,9% en
5 RÉFORMES MONÉTAIRES ET FINANCIÈRES A PARTIR DE 2011 Mesures de politique monétaire et de change : v Resserrement de la politique monétaire dès le premier trimestre 2011 par le relèvement du taux des réserves obligatoires et du taux directeur v Lancement du marché interbancaire de change v Réduction du coût des transactions bancaires (suppression des taxes sur les retrais en devises, ) 5
6 RÉFORMES MONÉTAIRES ET FINANCIÈRES A PARTIR DE 2011 Mesures de politique monétaire et de change (suite) : v Relance de la Centrale des risques v Déplafonnement du montant de la rémunération de l épargne 6
7 RÉFORMES MONÉTAIRES ET FINANCIÈRES A PARTIR DE 2011 Réformes réglementaires, institutionnelles et infrastructurelles v Octroi d agrément à deux sociétés de monétique (SMG et HPS) v Octroi d agrément à deux opérateurs de services financiers mobiles (MTN et Orange Money) 7
8 RÉFORMES MONÉTAIRES ET FINANCIÈRES A PARTIR DE 2011 Réformes réglementaires, institutionnelles et infrastructurelles (suite) v Introduction de la supervision basée sur les risques v Relèvement du capital minimum des banques v Adoption des nouveaux statuts de la Banque Centrale qui renforce son indépendance v Mise en place d une structure de gouvernance de la monétique 8
9 RÉFORMES MONÉTAIRES ET FINANCIÈRES A PARTIR DE 2011 Réformes réglementaires, institutionnelles et infrastructurelles (suite) v Mise à niveau du Système national des paiements qui vise à moderniser et à automatiser différentes transactions bancaires: Ø chambre de compensation électronique (ACP/ACH) Ø Système de Règlement Brut en Temps Réel (RTGS) Ø Système de Gestion des Titres d Etat (SSSS) 9
10 UN CADRE MACROECONOMIQUE STABILISE v Taux de croissance du PIB en moyenne 2,3% sur la période v Taux croissance attendu du PIB de 4,7% en 2016 v Taux d inflation en glissement annuel de 7,3% en décembre 2015 v Taux de change stabilisé v Primes de change entre les marchés officiel et parallèle en dessous de 2% sur le dollar US 10
11 UN CADRE MACROECONOMIQUE STABILISE v Réserves de change reconstituées pour plus de 3 mois d importation en moyenne sur la période
12 UN SYSTÈME FINANCIER EN PROFONDES MUTATIONS Le nombre d Institutions financières en nette progression v 15 banques en activités contre 11 à fin 2010 v 22 Institutions de Micro-Finance (IMF) contre 13 à fin 2010 v 10 compagnies d assurances contre 7 à fin 2010 v 2 sociétés de monétique (SMG et HPS) v 1 société de crédit bail 12
13 UN SYSTÈME FINANCIER EN PROFONDES MUTATIONS Parmi les banques en activités : v 2 filiales de banques françaises v 7 filiales de banques de la sous-région ouest africaine v 4 filiales de banques magrébines ou arabes v 1 filiale d une banque malaisienne v 1 filiale d une banque de l Afrique Centrale Les compagnies d assurances appartiennent à des groupes étrangers solides 13
14 UN SYSTÈME FINANCIER EN PROFONDES MUTATIONS Une amélioration de la couverture nationale depuis 2010 Indicateurs Nombre d agences bancaires Nombre de distributeurs automatiques Nombre de points de service des IMF Nombre des intermédiaires d'assurances * 80 72* *Le retrait des agréments s inscrivant dans le cadre de l assainissement du secteur La confiance entre agents économiques et système financier se renforce Indicateurs (en %) Dépôts rapportés à la masse monétaire 61,54 71,20 67,64 68,99 70,54 70,61 Crédits à l économie rapportés au PIB 6,32 9,66 9,15 10,60 11,89 14,88 14
15 UN SYSTÈME FINANCIER EN PROFONDES MUTATIONS Un secteur financier plus rentable La rentabilité des Fonds propres(rapport entre le résultat net et le total des Fonds propres) est estimé à 17,9% en 2015, au dessus du taux d inflation. De nouveaux produits et services offerts par le secteur En plus des produits classiques (épargne, crédit et protection financière), on retrouve le courtage, le change manuel, le transfert des fonds, le mobile banking, le e-banking, le fonds de garantie automobile,... 15
16 LES PRINCIPAUX DEFIS A RELEVER v La faiblesse du taux de bancarisation et de la densification du système bancaire Taux de bancarisation Nombre d agences bancaires Nombre de distributeurs automatique Benin 17,05% Burkina Fasso 13,14% Maroc 64% Guinée 7% source: BCEAO, Bank Al-Maghrib et BCRG v La faible diversification du secteur financier en termes d acteurs et de produits 16
17 LES PRINCIPAUX DEFIS A RELEVER v La forte concentration du système financier autour d un certain nombre d institutions financières Les Trois (3) Banques de Grandes tailles Les Autres banques Dépôts et Agences Distributeurs Clients crédits bancaires automawques 60% 47% 85% 60% 40% 43% 15% 40% Source: BCRG 17
18 LES PRINCIPAUX DEFIS A RELEVER v La faiblesse du financement apporté à l économie Crédit au secteur privé rapporté au PIB est de 12% en 2014 contre 19,9% au Ghana, 24,5% au Mali et 33,2% au Sénégal. v Les taux d intermédiation ne sont pas incitatifs déb. créd. déb. créd. déb. créd. déb. créd. Guinée 24,12 4,56 24,69 4,41 22,71 3,60 22,09 3,75 Kenya 15,0 5,6 19,7 11,6 17,3 8,6 16,5 8,4 Ghana ND 8,9 ND 10,10 ND 12,4 ND 12,9 Sources : BCRG&Banque Mondiale 18
19 LES PRINCIPAUX DEFIS A RELEVER v La faiblesse de la mobilisation de l épargne financière les dépôts rapportés à la masse monétaire environ 70% en fin 2014 contre 80% au Ghana. v La vulnérabilité du secteur financier face aux chocs exogènes a été Révélée par la crise financière de 2008 et l épidémie de la fièvre à virus EBOLA de
20 LES PERSPECTIVES Cadre monétaire et de change v Assouplir progressivement les conditions monétaires (taux directeur, taux des réserves obligatoires ) v Redynamiser le marché monétaire interbancaire en GNF v Mettre en place une salle des marchés interbancaire des changes v Finaliser le système d information sur le crédit 20
21 LES PERSPECTIVES Cadre monétaire et de change (suite) v Mettre en place un système d assurance des dépôts v Favoriser l ouverture de guichets ou l arrivée de nouvelles institutions de financement spécialisées v Elaborer une stratégie de communication et de sensibilisation sur les produits et services financiers v Améliorer la qualité des services au niveau des institutions financières v Contribuer à la mise en place d une bourse des valeurs 21
22 LES PROJETS PRIORITAIRES DE LA BCRG Conformément à son plan d actions, la BCRG priorise les projets suivants: v La salle des marchés interbancaires des changes v Le développement de la monétique v Le système d information du crédit v La Bourse des valeurs mobilières 22
23 Merci pour votre aimable attention 23
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