RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 : RÔLE D UNE BANQUE AUPRÈS DE TOUS LES ACTEURS DE SA RÉGION

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 : RÔLE D UNE BANQUE AUPRÈS DE TOUS LES ACTEURS DE SA RÉGION"

Transcription

1 RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 : RÔLE D UNE BANQUE AUPRÈS DE TOUS LES ACTEURS DE SA RÉGION

2 L ESSENTIEL Depuis près de 200 ans, au plus proche de ses clients, la Caisse d Epargne Ile-de-France accompagne les évolutions de la société. Solidement ancrée sur le territoire francilien, elle est à l écoute de ses clients, sociétaires, collaborateurs et partenaires qui partagent à ses côtés, la vision d une banque proche et engagée. Avec une offre complète en bancassurance, la CEIDF réalise les projets des particuliers, des professionnels et de tous les acteurs économiques. Elle innove pour offrir des services et des produits adaptés aux besoins de ses clients et améliorer en permanence leur satisfaction. Partenaire durable du développement local, elle a poursuivi ses efforts en 2012 pour promouvoir une politique commerciale responsable, respectueuse de ses clients ; une politique capable de répondre à leurs projets d épargne et de financement. Au-delà de son rôle économique majeur, ses démarches en matière de mécénat, de philanthropie, d action sociale renforcent son engagement. 3

3 Le sommaire 3 L essentiel 6 Le message des présidents 7 Les instances dirigeantes 8/9 Les chiffres clés La conjoncture économique en Les faits marquants Une banque coopérative au service de sa région 13 Une banque du Groupe BPCE 14/19 La banque des Particuliers, des Professionnels et des Associations de proximité 20/25 La banque des décideurs en région 26/30 Une banque responsable et solidaire 31/38 Comptes annuels et consolidés 2011 et

4 message des présidents Jean-Paul Foucault Président du conseil d orientation et de surveillance Bernard Comolet Président du directoire L année 2012 a été une nouvelle fois marquée par un contexte économique dégradé. Pourtant, la Caisse d Epargne Ile-de-France a continué à exercer son métier de banquier en prêtant à l ensemble de ses clients. Preuve en est notre très bon coefficient emplois/ ressources qui mesure le rapport entre l encours de prêts et la collecte clientèle. Malgré un marché de l immobilier atone qui a vu baisser la production de prêts de 26 %, nous avons maintenu nos positions en finançant les besoins des Particuliers à hauteur de 3 Mds E. Nos objectifs ont été atteints alors que le marché a connu une chute de 12 % en Ile-de-France. Sur la collecte, notre bilan est particulièrement exceptionnel avec 780 ME, en partie grâce au Livret A. En tant qu acteur majeur du financement régional, la Caisse d Epargne Ile-de-France a réalisé de très bonnes performances en 2012 sur ces différents métiers et a su offrir à ses clients les produits et les services bancaires et financiers au plus proche de leurs besoins. En ces temps difficiles pour l économie, notre forte présence sur le terrain, aux côtés de nos clients, a fait la différence. Notre Caisse a enregistré en 2012 des niveaux d activités satisfaisants au regard de la conjoncture : une stabilisation de notre ratio de solvabilité à 14,6 %, des fonds propres renforcés grâce notamment à la collecte record de parts sociales, illustration de l intérêt que nous portent nos sociétaires. Notre produit net bancaire intrinsèque et notre résultat net sont en baisse par rapport à 2011, impactés par la baisse des commissions perçues sur le Livret A et par le mauvais contexte économique. De ce fait, nos résultats financiers sont en deçà des objectifs fixés. La baisse des rémunérations exogènes à notre dynamique commerciale entraîne mécaniquement la baisse de nos résultats globaux. Quant aux charges de la CEIDF, bien qu en très légère hausse, elles restent contenues et inférieures à celles budgétées. Tous les collaborateurs du réseau commercial comme des services du siège sont mobilisés pour améliorer notre qualité de service et la satisfaction de nos clients. Avec l engagement de tous, nous pouvons améliorer nos parts de marché et atteindre notre ambition : devenir la banque de référence en Ile-de-France. 6

5 instances dirigeantes directoire Bernard Comolet Président du directoire Jean-Pierre Deck Membre du directoire en charge du pôle Ressources Gilles Lebrun Membre du directoire en charge du pôle Banque de détail Pascale Parquet Membre du directoire en charge du pôle Finance Conseil d orientation et de surveillance (au 31 décembre 2012) De gauche à droite : Pascale Parquet, Jean-Pierre Deck, Bernard Comolet, Gilles Lebrun. Président Jean-Paul Foucault SLE Hauts-de-Seine premier vice-président Philippe Sueur SLE Val d Oise vice-président Pierre Jean Blard SLE Yvelines représentants des sle Patrick Béchet SLE Seine-Saint-Denis Laurent Béteille et Michel Bouillé SLE Essonne Jean-Claude Boutin* SLE Paris Est Jean-Pierre Comte, SA d HLM Logirep SLE Economie sociale François Content, Auteuil insertion SLE PME-Professionnels Guillaume Drancy SLE Hauts-de-Seine Elisabeth Boyer et Georges Gallet SLE Seine-et-Marne Jean-Claude Huart SLE Paris Ouest Jean-Jacques Jégou SLE Val-de-Marne Franck Lavigne SLE Yvelines représentant des collectivités locales et établissements publics de coopération intercommunale sociétaires Pascal Savoldelli Conseil général du Val-de-Marne représentant des salariés sociétaires Jacques Magoutier représentant des salariés Patrick Saurin Censeurs Serge Abily, Jean-Louis Coolen, Alain Gournac, Renée Mérin, Nicole Moreau, Jean-Max Pinon, Jean-Michel Schmidt, André Vanhollebeke, Patrick Wajsman censeur repésentant bpce Alain Bonnot représentant ce Bettina Larry * Fin mandat 12/12/

6 Chiffres clés 2012 Total du bilan consolidé ,76 54,86 53,91 3,6 millions de clients 2012 encours de crédit (hors BCP) 28, collaborateurs * , , agences Encours d épargne bilan et dépôts à vue (yc pso et livret a) (hors BCP) 38,81 35,79 26 centres d affaires Activités aux 31 décembre 34,71 Le total du bilan consolidé s élève à 57,8 Mds E, en progression par rapport à 2011 de 2,9 Mds E. L activité commerciale soutenue de 2011 et 2012 a garanti une progression sensiblement équivalente des encours de crédit et des encours d épargne bilan proche de 3 Mds E automates (GAB) * CDI inscrits au 31/12/2012

7 Répartition des encours de crédit La répartition des encours de crédit par marché est très proche de celle des années précédentes. Les marchés de la Banque de détail (particuliers et professionnels) représentent les 2/3 de l activité. 31,3 % Secteur Public Territorial (yc HLM, Eco soc.) 4,4 % Entreprises et PCA 64,3 % Particuliers et Professionnels résultats consolidés (normes IFRS) (en millions d euros) Produit net bancaire 990, , ,3 Résultat brut d exploitation 260,2 314,4 291,8 Résultat net intrinsèque* (part du Groupe) 129,7 183,4 139,9 Résultat net (part du Groupe) 57,8 26,6 136,6 Le ralentissement du PNB par rapport à 2011 est lié au contexte de taux marqué par une baisse plus rapide du rendement des actifs par rapport aux passifs clientèle, essentiellement indexés sur le taux du Livret A. Les évolutions réglementaires (baisse de la commission Livret A centralisé, baisse de la CIP et de la tarification des virements ) contribuent également à l érosion du PNB. La baisse du PNB, la progression mécanique de la masse salariale (effectifs et augmentations générales des salaires), l augmentation des impôts et taxes et de certaines charges structurelles ainsi que la hausse des provisions pour risques majeurs conduisent à un résultat inférieur à celui de 2011 (résultat net intrinsèque). Après dépréciation de 68,1 ME des titres de participation BPCE SA détenus par la CEIDF, le résultat net part du Groupe de la CEIDF est de 57,8 ME. Structure financière CONSOLIDÉE AU 31 DÉCEMBRE (en millions d euros) Capitaux propres part du groupe 3 922, , ,8 Ratio de solvabilité en % 14,58 14,56 %** 14,19 % Le renforcement des fonds propres grâce à une collecte de parts sociales sans précédent de 295 ME, a permis d assurer la croissance soutenue des encours de crédits de la CEIDF. Le rapport entre les fonds propres et les actifs pondérés est resté stable (mesure proforma sur 2011). * Intrinsèque : hors provisions épargne logement, hors dividendes BPCE et hors dépréciations des titres BPCE. ** Proforma Méthode IRBA. 9

8 la conjoncture économique en 2012 une menace européenne sur l'activité mondiale La zone euro a été en 2012, plus qu en 2011, au centre des préoccupations économiques de la planète, même si deux périodes restent à distinguer nettement : avant et après le 26 juillet, date de l annonce par la Banque centrale européenne (BCE) de sa volonté explicite de rendre l euro irréversible. Elle a encore été menacée d implosion par un effet domino et marquée par les développements de la crise des dettes souveraines. L Europe est ainsi devenue la principale menace de dérive déflationniste pour l activité mondiale, qui a davantage ralenti qu en La zone euro s est enfoncée en récession, du fait de l incertitude sur la pérennité de la monnaie unique, d une stratégie de consolidation budgétaire généralisée plus longue qu escomptée et de la contraction dangereuse de l activité dans les pays périphériques du sud, en manque structurel de compétitivité. A partir de l été, la BCE a contribué de façon décisive à sauvegarder l intégrité de la zone euro. Elle a en effet assuré son rôle de "prêteur en dernier ressort" auprès des Etats emprunteurs en difficulté, à la condition stricte qu ils demandent officiellement une aide au fonds européen de soutien. Elle a par ailleurs largement refinancé les banques de la zone euro. Elle a abaissé en juillet son principal taux directeur de 25 points de base à 0,75 %. Ces actions efficaces ne pouvaient pas être décidées sans la relance du projet européen : la ratification du traité européen imposant une règle d or d équilibre budgétaire ; la validation du Mécanisme européen de stabilité par la Cour constitutionnelle allemande ; le développement du principe d union bancaire ; l utilisation effective des mécanismes de solidarité dont l Europe s est dotée, avec notamment la restructuration historique de la dette publique grecque consentie par les investisseurs privés. La France est demeurée dans une position intermédiaire en Europe entre l Allemagne, qui a vu son activité fortement ralentir à + 0,9 % en 2012, et d autre pays périphériques, en profonde récession, comme l Espagne (- 1,4 %), l Italie (- 2 %), le Portugal (- 3 %) ou la Grèce (- 6,6 %). Cette résistance s explique par une moindre dépendance aux échanges mondiaux. Cependant, l économie n a toujours pas retrouvé le niveau de produit national et d emplois d avant crise. Son déficit de compétitivité est structurel, avec un mouvement amorcé dans l industrie depuis 2000 (rapport Gallois). Sa conjoncture s est dégradée à partir de l été 2011, les moteurs externes et internes faisant conjointement défaut. Son PIB a donc stagné en 2012 à 0,1 %, contre 1,7 % en Les prélèvements obligatoires ont connu une hausse historique en 2012, pour réduire le déficit public à 4,5 % du PIB. Le cycle d investissement des entreprises s est arrêté, en raison de l attentisme des acteurs économiques, de la très faible profitabilité des sociétés non financières et de l alourdissement de la fiscalité. Le nombre de chômeurs a fortement augmenté, dépassant le seuil des trois millions dès août. Les impôts se sont accrus de l ordre de un point de revenu des ménages. L inflation est restée en moyenne à 2 %, malgré une nette décélération en décembre (1,3 %). Pour la première fois depuis 1984, le pouvoir d achat des Français a donc diminué. En conséquence, la consommation, moteur traditionnel de l économie, a légèrement reculé. Sa faiblesse tendancielle oblige la France à revoir son modèle de développement. La France a perdu son triple A en Pourtant, les taux longs français, qui ont subi l impact de la stagnation économique, du retour de l aversion au risque excessif de déflation et des politiques monétaires ultra-conciliantes, ont atteint des niveaux anormalement bas. Ils ont ainsi joué un rôle de valeur refuge et de diversification, presqu à l instar des taux d intérêt américains ou allemands. L OAT 10 ans s est même inscrit légèrement en dessous de 2 % en décembre, contre une moyenne annuelle à 2,52 %. Les marchés boursiers, très corrélés entre eux, ont également connu deux périodes distinctes, baissant fortement au printemps, avant de se redresser à partir de l été, après l annonce du changement de cap stratégique de la BCE et la fin perçue du risque européen systémique. Malgré un plus bas à points le 1 er juin, le CAC 40, dont la volatilité a chuté en fin d année, a progressé de 15,2 % en 2012, pour atteindre points au 31 décembre. 10

9 faits marquants de la caisse d Epargne ILE-DE-FRANCE TARIFICATION L enquête annuelle réalisée par Mieux Vivre Votre Argent CLCV révèle que la CEIDF arrive à la 2 e place des banques les moins chères et que son offre groupée de services Bouquet Liberté est vivement recommandée. BANQUE PRIVÉE La CEIDF a créé son agence entièrement dédiée à la clientèle Banque Privée, installée sur le site historique et prestigieux du 19, rue du Louvre à Paris. L agence propose à la fois l ensemble des opérations de banque courante et de conseil patrimonial. Un seul interlocuteur assure l ensemble des services : gestion des moyens de paiement, placements les plus élaborés ACTEUR DU DÉVELOPPEMENT RÉGIONAL En tant que partenaire informé des enjeux économiques et sociaux de sa région, la Caisse d'epargne Ile-de-France participe activement au financement de projets emblématiques franciliens. 11

10 une banque coopérative au service de sa région Les 11 SLE de la Caisse d Epargne ILE-DE-FRANCE 1 SLE PARIS OUEST Jean-Claude Huart 2 SLE PARIS EST Jean-Claude Boutin 3 SLE SEINE-ET-MARNE Georges Gallet 4 SLE YVELINES Pierre Jean Blard 5 SLE ESSONNE Laurent Béteille 6 SLE HAUTS-DE-SEINE Jean-Paul Foucault 7 SLE SEINE-ST-DENIS Patrick Béchet 8 SLE VAL-DE-MARNE Jean-Jacques Jégou 9 SLE VAL D OISE Philippe Sueur 10 SLE ECONOMIE SOCIALE Yves Laffoucrière 11 SLE PME-PROS Daniel De Beaurepaire 3 Etre utile à la société : la Caisse d Epargne fait vivre son ambition fondatrice par les réponses qu elle apporte aux besoins de l économie et des clientèles locales, particuliers, professionnels, entreprises, associations, collectivités et institutions territoriales, par son engagement pour le développement de sa région, par son soutien aux acteurs de la vie sociale. Nos clients, nos sociétaires, nos collaborateurs et nos partenaires partagent notre vision d une banque proche et engagée. UNE BANQUE PROCHE La Caisse d'epargne est une banque coopérative où les décisions sont prises au plus près du terrain. Propriétaires de leur banque, via les sociétés locales d épargne (SLE), les clients sociétaires détiennent 100 % des droits de vote. En acquérant des parts sociales, chaque client peut devenir sociétaire et disposer d un droit de vote à l assemblée générale annuelle de la SLE, selon le principe "une personne, une voix". Cette assemblée générale est une occasion de dialogue entre les sociétaires, les administrateurs qu'ils ont élu, les collaborateurs et les dirigeants de la Caisse d Epargne. L exercice 2012, malgré un contexte économique et financier troublé, se caractérise par la nette évolution du nombre de sociétaires et du capital souscrit en parts sociales, preuve de la confiance et du soutien des sociétaires. Au 31 décembre 2012 le nombre de sociétaires des SLE affiliées à la CEIDF s établit à , en hausse de 6,7 %, pour un capital souscrit en parts sociales de E, soit une progression de 25 % sur l exercice. Acteur de proximité, la CEIDF est présente sur le terrain auprès de ses clients et sociétaires à travers les Rencontres de proximité locale (RPL) et le Forum de l Investissement. La satisfaction affichée des clients et sociétaires présents confirme l appétence du grand public pour une information vivante et de qualité. Ces rencontres sont un élément essentiel d une relation de proximité, dynamique et vivante, développée par la CEIDF avec ses sociétaires. Le Club des sociétaires de la CEIDF poursuit son développement notamment via l évolution du catalogue 2012, la création d une application mobile et la refonte de l espace club sur le site Sociétariat Magazine, le magazine des membres du club des sociétaires est tiré à exemplaires. L observatoire du sociétariat, initiative originale de la CEIDF, est un dispositif d écoute client qui réunit tous les deux mois des administrateurs de SLE et un panel de sociétaires volontaires et bénévoles pour commenter l actualité de l entreprise, l évolution de la satisfaction clientèle et pour contribuer aux réflexions sur l évolution des produits et services. Les Universités de la Vie coopérative à destination des administrateurs de SLE et de l encadrement supérieur de la CEIDF se sont tenues le 25 octobre 2012 à la ferme de la Petite Loge (Seine-et-Marne) et dans le cadre du musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux. * Au 31 décembre

11 une banque du groupe bpce organigramme simplifié du groupe bpce 2 e groupe bancaire en france Deuxième groupe bancaire en France, grâce à ses deux enseignes phares que sont Banque Populaire et Caisse d Epargne, le Groupe BPCE et ses collaborateurs sont au service de 36 millions de clients dont 8,6 millions de sociétaires. Les entreprises du groupe exercent leur métier de banquier au plus près des besoins des personnes et des territoires. Avec les 19 Banques Populaires, les 17 Caisses d Epargne, Natixis, le Crédit Foncier, la Banque Palatine, BPCE International et Outre-mer, le Groupe BPCE propose à ses clients une offre complète de produits et services : solutions d épargne, de placement, de trésorerie, de financement, d assurance, d investissement Fidèle à son statut coopératif, le groupe les accompagne dans leurs projets et construit avec eux une relation dans la durée, contribuant ainsi à 20 % du financement de l économie française. 13

12 la banque des particuliers des professionnels et des associations de proximité Épargne La Caisse d Epargne est devenue début 2012 la banque préférée des Français. Permettre à chacun de choisir les services dont il a vraiment besoin, conseiller nos clients au mieux de leurs intérêts, innover constamment pour être plus proche, constitue le socle de la relation de confiance établie avec eux. En 2012, nous avons souscrit neuf engagements simples et concrets pour satisfaire mieux encore leurs nouvelles attentes. L année 2012, toujours marquée par la crise, a confirmé et intensifié les tendances de l année dernière en matière d épargne avec une collecte atteignant 792 M, en augmentation de près de 50 % par rapport à 2011 et plutôt orientée vers l épargne liquide. Dans un climat d incertitude concernant l emploi, de flou sur la loi fiscale 2013 et grâce à l augmentation du plafond du Livret A ( à en octobre 2012) et du plafond du Livret de développement durable (6 000 à ), les épargnants se sont tournés vers leurs produits d épargne préférés. Le Livret A a donc été crédité d une collecte de 606 M. En revanche, les Livrets B et Livrets GrAnd FormAt affichent une décollecte de respectivement 148 M et 51 M. Suite au lancement du Livret 10/12 ans, livrets ont été ouverts par nos clients. L épargne logement tire difficilement son épingle du jeu en 2012 avec une décollecte de 16 M, inférieure à celle enregistrée en Quadreto permet l équilibre avec une collecte positive de 452 M à l instar de L assurance-vie a subi 14

13 le contexte de crise et de doute quant à l évolution de la fiscalité mais la collecte est néanmoins positive de 68 M. Avec contrats de prévoyance, 2012 a montré un dynamisme exceptionnel en multipliant pratiquement par 4 le nombre de contrats de prévoyance souscrits. Garantie Urgence, Garantie Famille et Ecureuil Solutions Obsèques sont bien ancrés dans notre gamme de produits pour répondre à tous les besoins de protection de nos clients. En matière d innovation sur la prévoyance, la Caisse d épargne est la seule banque à répondre aux préoccupations des clients locataires souhaitant garantir le paiement de leur loyer en cas de perte d emploi ou d incapacité totale ou temporaire de travail du fait d un accident ou de la maladie. C est un contrat simple à souscrire, sans déclaration d état de santé, ni de quittance de loyer. L'objectif pour 2013 est de maintenir cette dynamique sur la collecte en s'appuyant sur notre ancrage sur le Livret A (soutenu par l'augmentation de son plafond) et le développement de nouvells offres. Ainsi, l offre Captio Croissance lancée en 2013 répond au souhait de récompenser la fidélité des clients particuliers comme professionnels en rémunérant de façon progressive les fonds déposés sur ce compte à terme en fonction du montant et de la durée de détention. Le compte Excédent professionnels permet de répondre au besoin de nos clients professionnels de rémunérer leurs excédents de trésorerie. Assurance des biens et des personnes L année 2012 a été stimulée par le projet "Ambition Banquier Assureur" qui continue à se déployer avec comme objectif principal la montée en compétence des collaborateurs. La CEIDF a réalisé plus de ventes soit une progression de 10 % par rapport à l année précédente (17 % en assurance Auto et 19 % en Multirisques Habitation). Dans la logique de "Banque de la famille", certaines offres ont été adaptées sous l angle de la famille telles que Sécur Média Famille et Assurance sur Compte Famille. Toujours dans cette démarche, la CEIDF a commercialisé l assurance Junior Expat, une offre de 792 ME de collecte ventes IARD MSH International. Il s agit d une solution d assurance complète qui propose les garanties santé, assistance rapatriement et prévoyance indispensables lors d études, stages ou séjours à l étranger pour un jeune. Et pour plus de proximité et de confort pour les clients, il est désormais possible de réaliser des devis d assurance Auto, Habitation, et Santé par Internet via le site de la CEIDF. A l occasion du Mondial de l Auto, le client avait la possibilité de participer à un tirage au sort en agence pour gagner une voiture et de bénéficier d un avantage tarifaire sur son assurance Auto. Une opun nouveau service en ligne Les Caisses d Epargne offrent un nouveau service à leurs clients sur Internet : le devis assurance Auto et MRH avec réponse et tarification immédiates. Le client peut enregistrer son devis et il reçoit dans ce cas, un de confirmation doublé pour les abonnés Direct Ecureuil Internet d un mail dans la messagerie sécurisée Internet. Le client peut également demander à être recontacté. 15

14 portunité pour la CEIDF de dynamiser les ventes en assurance Auto. L objectif 2013 en assurance non-vie est ambitieux avec une progression attendue de plus de 30 % par rapport à nos réalisations Pour atteindre ce résultat, de nombreux leviers sont prévus durant l année dont l offre Santé qui sera adaptée pour répondre au mieux aux attentes et aux préoccupations des clients. L offre Auto sera également revue en fin d année afin de proposer une version "entrée de gamme" à nos clients à un tarif compétitif. Un levier multi-vente est également programmé qui passera par une évolution sur l applicatif métier des collaborateurs. L objectif étant de systématiser la proposition de l assurance Auto au moment de la souscription d un prêt Auto. Le canal Internet viendra compléter le canal agence en permettant à la CEIDF de proposer la souscription d assurance Auto et Habitation et ainsi de toucher une clientèle orientée vers les Nouvelles Technologies de l Information et de la Communication. bancarisation Depuis 2012, la CEIDF s inscrit dans une double stratégie ambitieuse : se positionner comme étant "LA banque de la famille" et "LA banque des jeunes" en s orientant vers des offres attractives et avantageuses pour toute la famille mais aussi en priorisant le lancement de nouveaux produits et services consacrés aux jeunes. Côté "démarche Famille", la CEIDF a mis en place une tarification attrayante : l "Avantage Famille Bouquet Liberté" pour en favoriser l équipement. En 2012, la CEIDF a réalisé ventes de Bouquets Liberté, ventes de cartes bancaires dont Izicartes. Le parc de débit/crédit a évolué de 40 % par rapport à l année précédente. Par ailleurs, afin de capter les Jeunes, de nombreuses offres ont été mises en marché en adéquation avec leurs besoins telles que le service "Retrait déplacé à l international" et le forfait Solution 16/17. Le forfait Futéo, produit phare des Jeunes, dépasse très largement le plan de marche annuel avec ventes réalisées. Et pour toujours plus de visibilité, plusieurs nouveaux visuels cartes ont enrichi la gamme existante à l occasion de certains évènements : les visuels BD pour le festival d Angoulême, le visuel Swarovski lors de la journée de la femme Par ailleurs, la CEIDF fait évoluer les fonctions de ses cartes bancaires avec l arrivée du "sans contact". Cette fonctionnalité offre au client la possibilité de payer des achats inférieurs à 20 E sans avoir à insérer sa carte dans le terminal ni à composer son code confidentiel. A noter enfin que la Caisse d Epargne a arrêté le programme de fidélité S Miles depuis le mois de février En 2013, la CEIDF développera la montée en gamme de ses cartes bancaires soutenue par un accélérateur tarifaire sur les cartes Premium (Visa Premier, Infinite ) pour adapter le niveau de service aux besoins de nos clients. De plus, "la Carte Journée de la Femme 2013" avec le visuel de la nouvelle DS3 de Citroën est venue s ajouter à la gamme existante. La CEIDF prévoit de commercialiser le service de coffre-fort numérique qui consiste en un espace de sauvegarde en ligne à accès sécurisé garanti par la Caisse d Epargne. La CEIDF va adopter une politique offensive avec la mise en avant du relevé numérique, la remise en marché de Bouquet Liberté et de tous les services complémentaires, boostée par Domilis. Ce service permettra également de dynamiser la domiciliation de nos clients ainsi que la prospection de nouveaux clients. DES VISUELS CB ENRICHIS A l occasion du festival international de la bande dessinée d Angoulême, la Caisse d Epargne a proposé à ses clients deux visuels créés par les dessinateurs Pénélope Bagieu et Marc-Antoine Mathieu. Un autre visuel créé par Swarovski pour célébrer la Journée de la femme est venu enrichir le catalogue de la CEIDF. 16

15 crédit immobilier Plus de prêts représentant plus de 3 Mds de financements ont été réalisés en 2012 contre 3,7 Mds en La CEIDF gère aujourd hui prêts représentant un encours total de 16,5 Mds. Le Salon de l Immobilier à la Porte de Versailles a généré plus de 750 rendez-vous, et 313 dossiers de prêts représentant 76 M de financements. En partenariat avec le Crédit Foncier, la CEIDF a mis en place Foncier Box afin de fidéliser ses clients ou de conquérir de nouveaux bancarisés particuliers. Le marché s est inscrit dans un contexte difficile même si les besoins de logements restent élevés avec des français qui demeurent attachés à cette valeur-refuge. Cependant, c est l attentisme qui caractérise le marché avec une plus grande sélectivité des acquéreurs. La baisse au niveau national des transactions immobilières et une chute de près de 26 % de la production en 2012 n ont pas entraîné de baisse des prix, qui résistent particulièrement en Ile-de-France. Les pouvoirs publics ont décidé de restreindre la distribution du PTZ+ (Prêt à taux 0) en 2012 en jouant sur deux axes : la réduction des ménages éligibles (introduction de conditions de ressources) et la réduction des objets finançables (plus d accès à l ancien hors HLM). En parallèle, les taux de crédit sont exceptionnellement bas. Ainsi, les taux fixes de la CEIDF sont passés sur la durée de 20 ans de 4,17 % en 2011 à 3,45 % à fin décembre crédit consommation En 2012, la CEIDF a produit plus de 616 M de financements en prêt personnels. Le montant moyen d un prêt personnel instruit sur Izivente a atteint Le regroupement de crédit (lettre chèques mis en place en décembre 2011) a représenté 38 % des financements, dans la moyenne de ce qu a produit le Groupe. Au total, Izicartes (cartes de crédit renouvelables) dont Izicartes Premier ont été commercialisées pour 99 M de financements. Suite à la réforme Lagarde, le marché du crédit conso vit une période de profondes mutations entraînant une forte évolution des modèles économiques et des modes de distribution. Avec les effets de la crise économique, le pouvoir d achat en baisse et la poursuite de la hausse du chômage, le marché a poursuivi sa baisse en 2012 (près de 5 %) déjà engagée en 2011 avec une contraction encore plus marquée sur le crédit renouvelable. Avec le développement du multicanal, Internet devient un canal de production en matière de crédit consommation : ventes flash dès 2012 et ventes privées en Les clients internautes ont ainsi la possibilité de souscrire une offre de prêt personnel à taux promotionnel pendant une courte période (un week-end de 3 jours par exemple). D autres actions promotionnelles ont été réalisées tout au long de l année 2012 sur le crédit conso, calées sur des événements précis : taux promotionnel Saint-Valentin, taux dédié au Mondial de l Auto Les offres crédits 3 Mds E de financements de crédits immobiliers DEUX NOUVELLES OFFRES POUR LES JEUNES Depuis juin 2012, deux nouvelles offres sont dédiées aux jeunes de 18/25 ans : l'ajout de l assurance perte/vol de la carte Futéo sans supplément de prix (la carte reste toujours à 1 E par mois), la mise en marché du service "retraits déplacés à l international". L offre, commercialisée pour 1 E par mois, permet la gratuité en illimité des retraits en zone euro dont la France, ainsi que la gratuité des 4 premiers retraits hors zone euro. 17

16 Etudiant et Location avec option d achat (LOA) ont fait l objet d une mise en avant pour positionner clairement la CEIDF sur ce segment de clientèle. Avec Natixis Financement, la Caisse d Epargne se positionne clairement sur le crédit conso et gagne des parts de marché depuis de nombreuses années. Elle répond à 3 besoins essentiels : des solutions adaptées avec des produits répondant aux attentes des clients, des offres claires, souples, et sans surprise pour renforcer la confiance et des montants prêtés cohérents avec les budgets et ressources des ménages, au prix le plus juste pour sécuriser la situation de ses clients. gestion privée L année 2012 a été marquée par deux éléments majeurs : un environnement économique atone et financier contraignant ainsi qu un plus haut niveau d incertitude en matière d évolution de la fiscalité. Dans ce contexte, la Gestion Privée de la CEIDF a maintenu son ambition d apporter aux clients patrimoniaux un suivi renforcé et de qualité. Cela se traduit par l évolution du portefeuille qui atteint près de clients, en hausse de 24 % par rapport à De même, et toujours pour répondre au haut niveau d exigence de sa clientèle, la Banque Privée de la CEIDF a ouvert ses portes le 1 er mars Elle regroupe désormais plus de clients gérés en relation unique dans les locaux rénovés du 19, rue du Louvre à Paris. Le niveau d expertise mis à disposition des clients patrimoniaux a également été renforcé avec la création d un pôle d ingénierie patrimoniale. L ensemble de ces actions a permis de maintenir un haut niveau de collecte qui s établit à 833 ME dont 623 ME en assurance-vie. Cette performance place la Gestion Privée de la CEIDF en position de leader au sein des Caisses d Epargne. L activité immobilière est restée très soutenue avec près de 62 ME de transactions réalisées, notamment grâce à l étendue de l offre commerciale de nos 4 partenaires clients Gestion Privée 340 ME de nouveaux prêts professionnels En 2013, nos ambitions seront de poursuivre sur la voie tracée avec en 1 er lieu la volonté d accélérer le rythme de mise en portefeuille des clients patrimoniaux. Nous initierons également des actions de conquête de nouveaux clients, notamment grâce aux synergies désormais actives avec le marché des professionnels et l ensemble du pôle de la Banque des décideurs en région. LE SANS CONTACT POUR LES PROS ET LES ASSOCIATIONS Depuis juin 2012, la CEIDF commercialise la carte Business et Business Gold pour ses clients Professionnels et Associations. Le sans contact est une nouvelle fonctionnalité de la carte bancaire qui permet de régler simplement et rapidement les achats d une valeur inférieure ou égale à 20 E. Pour effectuer une transaction, il n est pas nécessaire d insérer la carte dans un TPE, ni de saisir un code confidentiel. 18

17 d entrée en relation. Objectifs : rappeler les engagements qualité et les solutions commerciales proposées par la Caisse d Epargne Ile-de-France. professionnels 2012 constitue l année de l intégration effective de la partie privée des gérants de société dans nos résultats commerciaux. Associé à une activité commerciale soutenue, le PNB croit de 10 % et atteint 89,6 M. Dans un contexte économique difficile, ce développement commercial s est accompagné d une maîtrise du risque de contrepartie et d une augmentation des flux confiés par les entreprises déjà clientes. Sur un marché concurrentiel et tendu, la Caisse d Epargne Ile-de- France a accordé 340 M de nouveaux prêts professionnels à moyen et à long terme, en quasi stabilité par rapport à 2011, démontrant son ancrage dans le tissu économique et local. La production d engagements du service prescription franchise a atteint un montant de 68 ME. Concernant le développement de notre fonds de commerce, ce sont nouveaux clients actifs qui ont rejoint la CEIDF. Depuis quelques années, ce dynamisme de la CEIDF sur le marché des professionnels se démontre avec clients actifs en relation. Ce développement va se poursuivre en 2013 avec un objectif prioritaire : développer le fonds de commerce de clients actifs. Pour cela, trois leviers seront privilégiés : la conquête de Professionnels déjà installés, de professions libérales notamment via la recommandation ; la satisfaction des clients en déployant un programme relationnel d entrée en relation et l activation de nos clients en portefeuille. Associations de proximité La Caisse d Epargne Ile-de-France compte près de associations clientes. Au cours de l année, le PNB a augmenté de 5 % pour atteindre 6,4 M. Fortement collecteur, le marché des associations contribue aux bons résultats sur le Livret A, sur le Compte sur livret Associatis et sur les parts sociales, qui sont des produits particulièrement adaptés et intéressants pour cette clientèle. La bancarisation constitue toujours un levier majeur de fidélisation. L offre est basée sur deux forfaits : Associatis Essentiel qui comprend un service de protection juridique pour les membres du bureau de l association ainsi qu un service d assistance juridique par téléphone et Basic Associatis pour les associations aux besoins bancaires plus limités. Les associations ont également la possibilité d être accompagnées en cas de besoin de trésorerie grâce à des avances sur subventions et à la mise en place de découverts ponctuels. En 2013, l amélioration de la satisfaction clients sera l un des axes mis en avant grâce notamment à un nouveau dispositif personnes protégées La Caisse d Epargne Ile-de-France accompagne les gérants professionnels et les tuteurs familiaux avec une offre dédiée : le forfait de services Satellis Autonomie et la carte Equilibra, carte bancaire sécurisée et sans code. Parmi les personnes protégées, sous tutelle, curatelle ou sauvegarde de justice, clients conservent ainsi un peu d autonomie tout en étant dans le respect de la mesure de protection. Les gérants professionnels ou des tuteurs familiaux ont à leur disposition Webprotexion, un service de banque à distance adapté à la gestion quotidienne de leurs protégés. Enfin, le guide pratique destiné aux tuteurs familiaux facilite leurs démarches bancaires et administratives. En 2012, les encours de collecte se sont montés à 638 M, en forte hausse par rapport à l année précédente. L excédent de collecte a atteint 27 M dont 17 M en assurance-vie, en raison d une exposition moindre aux aléas des mouvements d épargne dus à la crise. Pour 2013, l enjeu est d offrir une meilleure qualité d information à notre clientèle de tuteurs familiaux et d être encore plus présent auprès du réseau commercial. Un courrier d accueil sera progressivement remis à chaque nouveau client lors de l ouverture du compte, accompagné du guide pratique de la tutelle familiale et de la plaquette présentant les produits adaptés à cette clientèle. Notre objectif est d offrir à nos clients une information juridique et commerciale répondant à leur attente. 19

18 la banque des DÉCIDEURS en région secteur public local Nous accompagnons, au quotidien et dans la durée, tous les acteurs qui participent au développement de notre région. Nous agissons en partenaire informé des enjeux économiques et sociaux locaux et nous décidons rapidement. Ouverts aux opportunités, nous nous attachons à trouver des solutions aux difficultés rencontrées et nous mobilisons toutes nos expertises et nos ressources pour aider les projets d avenir à se concrétiser. Dans un contexte toujours marqué par la crise, la Caisse d Epargne Ile-de-France est toujours leader dans le financement du Secteur Public sur son territoire. En 2012, ses financements se sont montés à 1,3 Md, en léger retrait par rapport à Côté projets d aménagements et de Partenariats Publics-Privés en Ile-de- France, 200 M ont été financés. Depuis 2012, la CEIDF innove en aidant les collectivités à accéder au marché obligataire par l intermédiaire de produits spécifiques élaborés en collaboration avec Natixis. Sa gamme de produits adaptés aux besoins des clients du Secteur Public s articule autour des nouvelles technologies Internet et comprend, entre autres, les services de paiement en ligne et la Carte d achat public. Dans une logique de développement durable, nos solutions facilitent la vie des clients en donnant de la valeur notamment grâce à la valorisation des Certificats d Economie d Energie. 20

19 Forte de ses valeurs de banque mutualiste, la Caisse d Epargne Ile-de-France entend rester au plus près de ses clients dont en particulier les collectivités franciliennes. La CEIDF poursuivra sa stratégie de développement avec comme objectif de toujours proposer des produits financiers adaptés aux projets des collectivités locales, que ce soit en maîtrise d ouvrage public via l économie mixte ou à travers les Partenariats Public-Privé (PPP). entreprises La Caisse d Epargne Ile-de-France est depuis plusieurs années un acteur significatif sur le marché des entreprises. Avec ses 14 centres d affaires couvrant intégralement les 8 départements de la Région, un pôle reprise-transmission et une direction adjointe dédiée aux Grandes entreprises, la stratégie de conquête de la direction des Entreprises est orientée sur les sociétés dont le chiffre d affaires dépasse 1,5 M avec une volonté d être très présente sur celles dont le chiffre d affaires est supérieur à 5 M. En 2012, cette stratégie s est concrétisée par une augmentation de 16 % des clients actifs sur les moyennes et grandes entreprises et le PNB entreprises a progressé de plus de 23 %. Afin de renforcer sa notoriété et d'affirmer notre stratégie de développement entreprises, la CEIDF est présente sur des salons spécialisés (Class Export, AFTE ) et a conclu ou renouvelé plusieurs partenariats (HEC Entreprendre, Association Cédants/repreneurs, étapes du Tour de l Ile-de-France de la transmission ). En 2013, la Caisse d Epargne Ile-de- France poursuivra le développement de ses pôles de compétences en renforçant ses équipes et leur formation. Notre offre de produits, déjà de bon niveau, sera encore améliorée pour répondre aux demandes spécifiques de nos clients, en particulier au niveau international. La CEIDF continuera également à développer ses relations avec ses clients afin d être encore plus souvent leur banque principale. 1,1 MdE de financements sur le logement social 14 centres d'affaires Entreprises Enfin, la démarche proactive "approche globale" commencée en 2012 sera poursuivie afin de mieux connaître et mieux accompagner les chefs d entreprises en fonction de leurs besoins professionnels ou patrimoniaux. logement social L accompagnement des bailleurs sociaux s est poursuivi en 2012 avec un niveau de financement de l ordre de 1,1 Md (incluant les cautions bancaires et les garanties financières d achèvement) malgré un contexte marqué par le manque de liquidité. FINANCEr l'expansion des clients à l'international La CEIDF est entrée en relation avec une entreprise francilienne qui réalise 100 % de son chiffre d affaires à l exportation sur des marchés d expertise. Pour réaliser un nouveau marché avec la Russie, ce client cherchait une banque capable de le suivre sur la totalité de ses besoins, soit 9 M. La CEIDF est intervenue à ses côtés en amont de l opération avec l émission des cautions nécessaires pour lui ouvrir ce nouveau marché ainsi que sur le préfinancement export et un accès direct à la salle des marchés du Groupe qui lui ont permis de réaliser son sourcing. Ce client a confié à la CEIDF pour 2013 une nouvelle opération de 21 M. 21

20 L encours de collecte a été très soutenu en partie grâce au Compte sur livret HLM qui a fortement progressé pour sa 1 re année d existence. Le Livret A reste de son côté très important en raison des volumes placés à la Caisse des Dépôts pour financer le logement social. L activité de la CEIDF aura donc été dynamique malgré la baisse des subventions, l apparition de nouvelles taxes comme la hausse de la TVA et une demande en logement toujours aussi importante sur l Ile-de-France. Forte d une position de leader auprès des acteurs du logement social (OPH, ESH, Coopératives, SEM ), la CEIDF a mis en place en 2012 de nouveaux financements en matière de prêts réglementés en plus des financements libres (crédits relais, accompagnement sur le CMLT, cautions bancaires). A travers sa filiale Valoenergie, la CEIDF propose à ses clients dans le cadre du Grenelle 2 de l environnement de récupérer les quotas carbone, les certificats d économies d énergie et de réaliser des bilans énergétiques. La CEIDF est aussi présente sur la gestion des flux, la mise au norme du protocole SEPA dont la dernière phase est prévue en février En termes d innovations, plusieurs services ont fait leurs preuves tels le paiement en ligne SP Plus, le TPE, le paiement de son loyer sans contact par Smartphone. L objectif affiché est de capter les flux et de les traiter. Nos clients ont désormais la possibilité de payer leurs loyers par chèque, virement, ou en espèces via le TIP (titre interbancaire de paiement). Enfin, la CEIDF propose la location longue durée pour la flotte automobile des bailleurs sociaux. La Caisse d Epargne Ile-de-France, au travers de Natixis Interépargne, est positionnée sur le marché de l épargne salariale avec l accompagnement du PEE, les indemnités de fin de carrière, les titres de services comme les chèques-cadeaux, le chèque de table, le chèque emploi services. En 2013, l une des ambitions de la Caisse d Epargne Ile-de-France est de renforcer les partenariats par le biais de conventions pluriannuelles. Autre volonté : valoriser les actions de mécénats auprès de l ensemble de ses clients du logement social. Mais pas seulement. La conquête UN FINANCEMENT pour les écoles de corbeil essonnes Pitch Promotion et Fayat ont signé en 2012 avec la mairie de Corbeil- Essonnes (91) un contrat portant sur la construction, le financement, le gros entretien et des prestations de maintenance du groupe scolaire Langevin. Le montant des travaux financés par la CEIDF dans le cadre de ce Partenariat Public-Privé sera de 12,4 M. La livraison est prévue pour la rentrée scolaire

21 de nouveaux flux (rôle de banque du quotidien) restera une priorité puisque la CEIDF continuera à équiper ses clients en produits dont ils ont besoin comme l assurance des biens ou l ingénierie sociale. Au niveau des financements, sa volonté est de conserver sa place de leader sur les prêts libres et les prêts réglementés par l entremise du Crédit Foncier (prêt locatif social, prêt locatif intermédiaire). économie sociale La Caisse d Epargne Ile-de-France est un des intervenants bancaires majeurs de l économie sociale. Sa direction Economie sociale, Santé et Institutionnels a en charge les organismes à but non lucratifs gestionnaires, la clientèle des institutionnels ainsi que l ensemble des opérateurs de toute nature juridique, y compris les entreprises privées, intervenant dans le champ de l économie sociale, plus particulièrement dans les secteurs de la santé et du médico-social. Son organisation commerciale repose sur une approche segmentée de la clientèle autour de six entités dédiées : le pôle Santé, le pôle Institutionnels et quatre centres d affaires dédiés aux associations gestionnaires situés à Paris, Saint- Quentin-en-Yvelines, Cergy-Pontoise et Evry. Elle permet à la Caisse d Epargne de mettre à disposition de ses clients des interlocuteurs disposant d une connaissance approfondie de leur environnement et de leurs enjeux et de tisser avec eux des liens forts de partenariat. En 2012, elle a continué à accompagner activement ses clients dans un environnement en mutation profonde. 163 ME c'est le budget du programme RECONSTRUCTION DE L'HÔPITAL DE VILLENEUVE-ST-GEORGES Dans le cadre du Plan Hôpital 2012, le Centre Hospitalier de Villeneuve-Saint-Georges mène la restructuration architecturale complète de ses bâtiments. Le programme, d un budget total de 163 M a débuté en 2007 et devrait s achever en Ce projet comprend 3 volets : la rénovation de toutes les façades, incluant le changement des fenêtres de l établissement avec des travaux de réhabilitations associés ; la construction d un nouveau bâtiment ( m 2 ) qui regroupera le pôle femme-enfant (maternité, gynécologie, pédiatrie, chirurgie pédiatrique) avec un parc de stationnement souterrain de 200 places ; la rénovation d un bâtiment de grande hauteur. La Caisse d Epargne Ile-de-France est intervenue activement dans le financement de ce programme (42 M dont 3 M sur ressources de la BEI). 23

22 Dans le domaine des investissements, la poursuite des restructurations que connaissent la plupart des secteurs de l économie sociale s est traduite par une diminution des projets, avec comme corollaire une baisse des demandes de financement. La Caisse d Epargne a néanmoins engagé un volume de prêt d équipement identique à celui de 2011 à 250 M. Les hôpitaux publics, toujours confrontés au retrait de prêteurs historiques ont pu mesurer l engagement de notre établissement à leurs côtés pour fournir les ressources nécessaires à leurs programmes d investissement. Sur la collecte, dans un contexte d écrasement des taux monétaires, c est la recherche de rendement et de diversification dans les placements de trésorerie qui a marqué l exercice 2012, tout particulièrement chez la clientèle institutionnelle. L année a été très active sur ce segment d activité avec une progression de plus de 60 % de l encours de collecte. Nos solutions innovantes et la mobilisation des équipes commerciales nous ont permis d accompagner efficacement nos clients dans plusieurs migrations informatiques sensibles touchant la gestion des flux et les échanges interbancaires (substitution du nouveau protocole EBICS à ETEBAC, nouvel outil de paiement en ligne ). La progression des flux commerciaux confiés (+ 11 %) atteste de la satisfaction de nos clients dans ces domaines. Enfin, nous avons continué à élargir notre offre de services spécialisés : financement, ingénierie financière, ingénierie sociale, services immobiliers. Forte de ces expertises, la caisse d épargne va poursuivre sa politique active de conquête et de renforcement de ses liens auprès de sa clientèle. La gamme des produits et services offerts continuera d être enrichie afin d apporter les réponses spécifiques aux problématiques propres à chaque organisme. 600 ME d'encours sur les Professionnels de l'immobilier + 11 % sur les flux commerciaux Economie sociale Professionnels de l immobilier En 2012, le marché du financement des professionnels de l immobilier a réalisé une année exceptionnelle, comme pour l ensemble de la profession : la production de crédits s est nettement développée d où une augmentation de 43 % du PNB qui s élève à 10,9 ME. L année 2012 s est illustrée par un dynamisme de tous les opérateurs liés probablement à l insécurité dynamique logements sociaux financés dans le val d'oise Val d Oise Habitat a signé une convention de préfinancement de 110 ME avec la CEIDF, la Banque Postale et Arkéa. Cette convention permettra à Val d Oise Habitat de devenir propriétaire de logements du parc social actuel et financer 510 logements neufs en cours de construction. 24

23 provoquée par les décisions d ordre fiscal décidées en fin d année (fin du bénéfice de l article 2010 du CGI, taxation des plus-values, modification du dispositif Scellier). Sur l ensemble du marché des professionnels de l immobilier, les encours suivis ressortent de l ordre de 600 ME en Banquier régional, impliqué dans le tissu local, la Caisse d Epargne Ile-de-France poursuivra ses actions commerciales notamment en renforcant sa présence sur différents salons immobiliers, dans un contexte plus difficile. En effet, les différentes échéances de la fin du premier semestre ont traditionnellement un effet d attentisme voire de ralentisseur sur l économie et plus particulièrement sur l immobilier, les différents acteurs préférant attendre les différentes réformes fiscales. Eu égard aux tensions prévisibles sur l immobilier, au ralentissement de l écoulement des stocks, le développement restera toutefois sélectif avec une maîtrise des risques. La CEidf aux côtés des marchands de biens La CEIDF a financé en 2012 un de ses clients marchand de biens dont le projet concerne l acquisition de deux immeubles à usage principal d habitation, développant au total une surface habitable de m², situés en plein cœur de Paris. Les immeubles abritent une cinquantaine de lots destinés à être revendus à la découpe. L acquisition de ces immeubles s est faite dans le cadre d un appel d offres réalisé par une Caisse de retraite qui a souhaité arbitrer une partie de son patrimoine. 25

AU SERVICE DE SES CLIENTS ET DE SA RÉGION

AU SERVICE DE SES CLIENTS ET DE SA RÉGION AU SERVICE DE SES CLIENTS ET DE SA RÉGION RAPPORT ANNUEL 2013 MESSAGE DES PRÉSIDENTS Jean-Paul Foucault Président du conseil d orientation et de surveillance Didier Patault Président du directoire Le sens

Plus en détail

Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises

Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises 27 mars 2008 Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises Résultat net part du groupe : 2 730 M Produit net bancaire : 10 568 M Coefficient

Plus en détail

RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE

RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 13 mars 2012 RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE Bonne résistance du PNB et du RBE en 2011, solidité financière confirmée, poursuite de la dynamique de développement

Plus en détail

Grâce à son dynamisme et à sa solidité, La Banque Postale conforte son développement et sa profitabilité

Grâce à son dynamisme et à sa solidité, La Banque Postale conforte son développement et sa profitabilité COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 9 septembre 2010 Grâce à son dynamisme et à sa solidité, La Banque Postale conforte son développement et sa profitabilité Au 30 juin 2010 : PNB consolidé : 2 640 millions

Plus en détail

Présentation des résultats 2006. 15 mars 2007

Présentation des résultats 2006. 15 mars 2007 Présentation des résultats 2006 15 mars 2007 Préambule Le intègre dans son périmètre la création de Natixis intervenue le 17 novembre. Les données financières présentées sont issues des comptes pro forma

Plus en détail

Le groupe Crédit Mutuel en 2010 Un réseau proche de ses sociétaires-clients, au service des entreprises créatrices d emplois dans les régions (1)

Le groupe Crédit Mutuel en 2010 Un réseau proche de ses sociétaires-clients, au service des entreprises créatrices d emplois dans les régions (1) 16 mars 2011 Le groupe Crédit Mutuel en 2010 Un réseau proche de ses sociétaires-clients, au service des entreprises créatrices d emplois dans les régions (1) Résultat net total 3 026 M (+61 %) Résultat

Plus en détail

Conférence de presse 26 février 2009. Groupe Banque Populaire. Résultats 2008

Conférence de presse 26 février 2009. Groupe Banque Populaire. Résultats 2008 Conférence de presse 26 février 2009 Groupe Banque Populaire Résultats 2008 Avertissement Cette présentation peut inclure des prévisions basées sur des opinions et des hypothèses actuelles relatives à

Plus en détail

RESULTATS ET ACTIVITE 2013 DE LA BANQUE POSTALE

RESULTATS ET ACTIVITE 2013 DE LA BANQUE POSTALE COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 25 février 2014 RESULTATS ET ACTIVITE 2013 DE LA BANQUE POSTALE Portée par ses activités de crédits, La Banque Postale poursuit son développement et enregistre des résultats

Plus en détail

bpce assurances L ESSENTIEL 2012

bpce assurances L ESSENTIEL 2012 bpce assurances L ESSENTIEL 2012 I ÉDITO Pierre Garcin Président du conseil d administration Paul Kerangueven Directeur général Sommaire Faits marquants ÉDITO p. 1 à propos de BPCE Assurances p. 2 l assurance

Plus en détail

La signature électronique en agence une étape clé de la banque numérique Conférence de presse

La signature électronique en agence une étape clé de la banque numérique Conférence de presse 17 Avril 2013 La signature électronique en agence une étape clé de la banque numérique Conférence de presse Jean Yves FOREL, directeur général, membre du directoire de BPCE en charge de la Banque commerciale

Plus en détail

Banque de détail. Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale

Banque de détail. Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale Banque de détail Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale L évolution de l environnement et les enjeux dans la Banque de détail CENTRES D'APPELS Intensification du

Plus en détail

RÉSULTATS ANNUELS 2014 DE SNCF

RÉSULTATS ANNUELS 2014 DE SNCF COMMUNIQUÉ PARIS, LE 12 FEVRIER 2015 RÉSULTATS ANNUELS 2014 DE SNCF Préambule : le présent communiqué s inscrit dans le contexte de la mise en œuvre de la Loi du 4 août 2014 portant réforme ferroviaire

Plus en détail

AVANTAGES TARIFAIRES AU PERSONNEL. Mesures prises unilatéralement par la direction le 1 er février 2011

AVANTAGES TARIFAIRES AU PERSONNEL. Mesures prises unilatéralement par la direction le 1 er février 2011 AVANTAGES TARIFAIRES AU PERSONNEL. Mesures prises unilatéralement par la direction le 1 er février 2011 1. Bénéficiaires. Sont seuls bénéficiaires des présentes décisions unilatérales : - tous les salariés

Plus en détail

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement

Plus en détail

RESULTATS ET ACTIVITE DE LA BANQUE POSTALE 1 ER SEMESTRE 2015

RESULTATS ET ACTIVITE DE LA BANQUE POSTALE 1 ER SEMESTRE 2015 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 30 juillet 2015 RESULTATS ET ACTIVITE DE LA BANQUE POSTALE 1 ER SEMESTRE 2015 Croissance des résultats opérationnels Produit Net Bancaire : 2 929 millions d euros (+ 2.9

Plus en détail

Paris, le 31 juillet 2014

Paris, le 31 juillet 2014 Paris, le 31 juillet 2014 Groupe BPCE : 1 er semestre 2014 solide avec un résultat net part du groupe de 1,7 milliard d euros 1 en hausse de 10,4 % par rapport au 1 er semestre 2013 Bonne performance commerciale

Plus en détail

10 février 2015. Présentation des résultats annuels 2014

10 février 2015. Présentation des résultats annuels 2014 10 février 2015 Présentation des résultats annuels 2014 Activité 2014 Bertrand CHEVALLIER Directeur Général Adjoint Présentation des résultats annuels 2014 du Crédit Agricole d Ile-de-France - 10 février

Plus en détail

Plan Stratégique Groupe BPCE 2014-2017

Plan Stratégique Groupe BPCE 2014-2017 Paris, le 13 novembre 2013 Plan Stratégique Groupe BPCE 2014-2017 Pour toute information complémentaire, consultez la présentation complète disponible sur le site internet du Groupe BPCE : www.bpce.fr

Plus en détail

La Banque de Savoie, une année florissante

La Banque de Savoie, une année florissante Communiqué de presse le 15 mai 2014, à Chambéry, La Banque de Savoie, une année florissante A l occasion de son Assemblée Générale qui s est tenue au Siège Social, le 22 avril 2014, la Banque de Savoie

Plus en détail

Une ETI* coopérative. 1 er. en Banque, Assurances et Immobilier. * Entreprise de Taille Intermédiaire

Une ETI* coopérative. 1 er. en Banque, Assurances et Immobilier. * Entreprise de Taille Intermédiaire * Entreprise de Taille Intermédiaire Une ETI* coopérative en Banque, Assurances et Immobilier 1 er PARTENAIRE DE L ÉCONOMIE DÉPARTEMENTALE LES CHIFFRES CLÉS 2014 UNE ETI COOPÉRATIVE actrice EN BANQUE,

Plus en détail

EN BREF. Convention PriviLège. La convention de relation sur mesure, dédiée aux Professions Libérales, pour faciliter votre gestion au quotidien.

EN BREF. Convention PriviLège. La convention de relation sur mesure, dédiée aux Professions Libérales, pour faciliter votre gestion au quotidien. Convention PriviLège La convention de relation sur mesure, dédiée aux Professions Libérales, pour faciliter votre gestion au quotidien. EN BREF La Convention de Relation PriviLège vous offre un choix de

Plus en détail

Études. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages

Études. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Depuis 25 ans, la structure de l épargne financière des ménages a été singulièrement modifiée par l essor

Plus en détail

Une banque coopérative solide engagée dans sa région. Victor Hamon Président du Conseil d Orientation et de Surveillance

Une banque coopérative solide engagée dans sa région. Victor Hamon Président du Conseil d Orientation et de Surveillance 2012 CAISSE D EPARGNE : UNE BANQUE ENGAGÉE DANS SA RÉGION LA BANQUE. NOUVELLE DÉFINITION. LE MESSAGE DES PRÉSIDENTS Victor Hamon Président du Conseil d Orientation et de Surveillance Jean-Marc Carcelès

Plus en détail

L assurance française : le bilan de l année 2012

L assurance française : le bilan de l année 2012 L assurance française : le bilan de l année 2012 1 L assurance française : le bilan de l année 2012 1 2 L environnement économique et financier : accalmie et incertitude Le bilan d activité : résistance

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

Communiqué de presse. Fonds Stratégique de Participations : un nouvel investissement de long terme dans le capital d un fleuron industriel français

Communiqué de presse. Fonds Stratégique de Participations : un nouvel investissement de long terme dans le capital d un fleuron industriel français Communiqué de presse Paris le 1 er juin 2015 Fonds Stratégique de Participations : un nouvel investissement de long terme dans le capital d un fleuron industriel français Le Fonds Stratégique de Participations

Plus en détail

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications

Plus en détail

Premier banquier de l immobilier

Premier banquier de l immobilier Premier banquier de l immobilier 2 e groupe bancaire en France 2e banque des particuliers 2e banque principale 2e pour les crédits immobiliers 2e pour l'épargne 1ère banque des PME 2e banque des professionnels

Plus en détail

Performance des grands groupes bancaires français au 31 mars 2012

Performance des grands groupes bancaires français au 31 mars 2012 Performance des grands groupes bancaires français au 31 mars 2012 Mercredi 16 mai 2012 Sommaire : Introduction > Un premier trimestre 2012 impacté par des éléments exceptionnels > Une dynamique commerciale

Plus en détail

Professions libérales Artisans Commerç ants Petites entreprises Auto-entrepreneurs GÉRER VOTRE QUOTIDIEN

Professions libérales Artisans Commerç ants Petites entreprises Auto-entrepreneurs GÉRER VOTRE QUOTIDIEN Professions libérales Artisans Commerç ants Petites entreprises Auto-entrepreneurs GÉRER VOTRE QUOTIDIEN VOUS AVEZ DES BESOINS PROS NOUS AVONS DES SOLUTIONS PROS Parce que vous préférez consacrer toute

Plus en détail

L ESSENTIEL CARREFOUR BANQUE

L ESSENTIEL CARREFOUR BANQUE CARREFOUR BANQUE PLUS DE 30 ANS D EXPÉRIENCE AU SERVICE DES CLIENTS Carrefour Banque commercialise des solutions de paiement, de financement, d épargne et d assurance. Depuis le lancement de la première

Plus en détail

RÉSULTATS ANNUELS 2013 Réunion financière du 5 mars 2014

RÉSULTATS ANNUELS 2013 Réunion financière du 5 mars 2014 RÉSULTATS ANNUELS 2013 Réunion financière du 5 mars 2014 Intervenants Jean Louis Bouchard Président Bruno Lemaistre Directeur Général Jean Philippe Roesch Directeur Général P. 1 Sommaire 1 2 3 4 5 6 Le

Plus en détail

Performance des résultats et solidité renforcée

Performance des résultats et solidité renforcée 4 mars 2015 Le groupe Crédit Mutuel en 2014 1 Performance des résultats et solidité renforcée Un résultat net de 3 027 M (soit + 11,4 %) permettant de renforcer la structure financière du Crédit Mutuel

Plus en détail

Carte d'identité Juillet 2012 BANQUE DE FINANCEMENT & D INVESTISSEMENT / ÉPARGNE / SERVICES FINANCIERS SPÉCIALISÉS

Carte d'identité Juillet 2012 BANQUE DE FINANCEMENT & D INVESTISSEMENT / ÉPARGNE / SERVICES FINANCIERS SPÉCIALISÉS Carte d'identité Juillet 2012 BANQUE DE FINANCEMENT & D INVESTISSEMENT / ÉPARGNE / SERVICES FINANCIERS SPÉCIALISÉS 2 PROFIL NATIXIS, AU CŒUR DU GROUPE BPCE Natixis est la banque de financement, de gestion

Plus en détail

Mobile : 15% de part de marché, 3 ans seulement après le lancement

Mobile : 15% de part de marché, 3 ans seulement après le lancement RESULTATS ANNUELS 2014 Paris, le 12 mars 2015 16 millions d abonnés (fixes et mobiles) Mobile : 15% de part de marché, 3 ans seulement après le lancement Chiffre d affaires dépassant pour la première fois

Plus en détail

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008

Plus en détail

Jeunes 12/25 ans Extrait des Conditions Générales de Banque

Jeunes 12/25 ans Extrait des Conditions Générales de Banque Jeunes 12/25 ans Extrait des Conditions Générales de Banque Tarifs TTC en vigueur au 1 er mai 2014 OFFRES JEUNES Offre 12-17 ans (s adresse aux détenteurs de Livret Mozaic) 1,00 /mois L offre Mozaic est

Plus en détail

3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties

3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 3C HAPITRE 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties 54 3 < L ÉVOLUTION MONÉTAIRE EN 2008 L ÉVOLUTION

Plus en détail

Comité de Groupe du 20 juin 2014

Comité de Groupe du 20 juin 2014 Comité de Groupe du 20 juin 2014 La délégation CGT : Nadia MASSON Thierry DUVERNAY Renée Lise TALBOT Pour la Direction Générale Monsieur COLLIN PREAMBULE Le secrétaire du comité de Groupe procède à la

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Contact Presse de Mutuelle Bleue

DOSSIER DE PRESSE. Contact Presse de Mutuelle Bleue Contact Presse de Mutuelle Bleue Stéphanie ARREGROS Responsable Communication Tél. : 01 64 71 39 74 Courriel : s.arregros@mutuellebleue.fr DOSSIER DE PRESSE Siège social : 68 rue du Rocher 75396 Paris

Plus en détail

AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014

AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014 AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014 Orientations Budgétaires 2015 ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES 2015 AVIS SUR LE RAPPORT GÉNÉRAL DU PRÉSIDENT DU CONSEIL RÉGIONAL Président : Patrick TASSIN Séance

Plus en détail

La Caisse d Epargne affirme ses ambitions sur le marché de la gestion privée en lançant des espaces Gestion Privée en régions.

La Caisse d Epargne affirme ses ambitions sur le marché de la gestion privée en lançant des espaces Gestion Privée en régions. La Caisse d Epargne affirme ses ambitions sur le marché de la gestion privée en lançant des espaces Gestion Privée en régions. Paris, le 4 Février 2013 La Caisse d Epargne dispose depuis plus de vingt

Plus en détail

17/10/06 à la main dans le Masque. Groupe Banque Populaire. Résultats 2007. Conférence de presse 6 mars 2008

17/10/06 à la main dans le Masque. Groupe Banque Populaire. Résultats 2007. Conférence de presse 6 mars 2008 17/10/06 à la main dans le Masque Groupe Banque Populaire Résultats 2007 Conférence de presse 6 mars 2008 Avertissement L évolution des périmètres résultant de la création de Natixis conduit à une présentation

Plus en détail

Le budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du

Le budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du Le budget 2013 Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances Conseil Municipal du 8 février 2013 Les documents budgétaires : Le budget selon la nomenclature M14; Les documents annexes; Le budget

Plus en détail

Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants

Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants IStock - FredFroese Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays.

Plus en détail

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010 Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques

Plus en détail

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière

Plus en détail

A VOTRE SITUATION PERSONNELLE ET PROFESSIONNELLE (1/5)

A VOTRE SITUATION PERSONNELLE ET PROFESSIONNELLE (1/5) A VOTRE SITUATION PERSONNELLE ET PROFESSIONNELLE (1/5) METTRE DANS CETTE POCHETTE LES PHOTOCOPIES DES DOCUMENTS SUIVANTS (et cocher à droite si vous avez bien fourni le document) DOCUMENTS À FOURNIR (photocopies)

Plus en détail

«Regroupement de crédits : halte aux idées reçues» C O N F E R E N C E D E P R E S S E, 1 7 d é c e m b r e 2 0 1 3

«Regroupement de crédits : halte aux idées reçues» C O N F E R E N C E D E P R E S S E, 1 7 d é c e m b r e 2 0 1 3 «Regroupement de crédits : halte aux idées reçues» C O N F E R E N C E D E P R E S S E, 1 7 d é c e m b r e 2 0 1 3 INTRODUCTION : RAPPELS SUR LE REGROUPEMENT DE CREDITS 1 LE REGROUPEMENT DE CRÉDITS, QUAND?

Plus en détail

ENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020

ENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020 Jean-Louis DELPÉRIÉ Directeur ENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020 Antoine FOURNIER Directeur LES DEUX DERNIÈRES DÉCENNIES ONT VU L ÉMERGENCE EN FRANCE DES

Plus en détail

LE GUIDE LOI PINEL 2015 OU COMMENT SE CONSTITUER UN PATRIMOINE IMMOBILIER À MOINDRE EFFORT

LE GUIDE LOI PINEL 2015 OU COMMENT SE CONSTITUER UN PATRIMOINE IMMOBILIER À MOINDRE EFFORT LE GUIDE LOI PINEL 2015 OU COMMENT SE CONSTITUER UN PATRIMOINE IMMOBILIER À MOINDRE EFFORT L investissement Pinel, un Investissement immobilier Le site est édité par un groupement de conseillers en gestion

Plus en détail

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success. Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien

Plus en détail

Croissance soutenue et résultats solides en 2012 *** Accor s engage dans un plan de transformation profond pour accélérer sa croissance

Croissance soutenue et résultats solides en 2012 *** Accor s engage dans un plan de transformation profond pour accélérer sa croissance Communiqué de Presse 20 février 2013 Croissance soutenue et résultats solides en 2012 *** Accor s engage dans un plan de transformation profond pour accélérer sa croissance Résultats solides en 2012 Progression

Plus en détail

Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire

Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Directeur général adjoint en charge des finances et services généraux du conseil régional des Pays de la Loire Contexte La région des Pays de

Plus en détail

NOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER

NOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER NOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER REMARQUES PRELIMINAIRES Les ménages n ont pas d obligation de tenir une comptabilité. En revanche, d une part, certaines situations liées à un état de dépendance

Plus en détail

Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010

Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014 Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 COMPTE ADMINISTRATIF 2009 Des résultas de gestion satisfaisants mais une marge de manœuvre

Plus en détail

OFFRES TARIFAIRES AU PERSONNEL DE LA CEIDF

OFFRES TARIFAIRES AU PERSONNEL DE LA CEIDF OFFRES TARIFAIRES AU PERSONNEL DE LA CEIDF 1- Conditions d éligibilité aux avantages tarifaires bancaires Etre salarié sous contrat à durée indéterminée à la CEIDF, après validation de la période d essai.

Plus en détail

LES BANQUES. I. Les différents services proposés par les banques :

LES BANQUES. I. Les différents services proposés par les banques : LES BANQUES I. Les différents services proposés par les banques : Les services bancaires représentent l ensemble des produits proposés par une banque. Les services bancaires les plus connus sont : Epargne

Plus en détail

OPéRATIONS ET SERVICES BANCAIREs. CONDITIONs et TARIFS APPLICABLEs

OPéRATIONS ET SERVICES BANCAIREs. CONDITIONs et TARIFS APPLICABLEs OPéRATIONS ET SERVICES BANCAIREs CONDITIONs et TARIFS APPLICABLEs à LA CLIENTèLE DES particuliers au 1 er JANVIER 2012 Madame, Mademoiselle, Monsieur, Vous trouverez ci-après les conditions et tarifs des

Plus en détail

Dossier de presse. Naissance du premier groupe de protection professionnel du monde de la santé et du social

Dossier de presse. Naissance du premier groupe de protection professionnel du monde de la santé et du social Dossier de presse Naissance du premier groupe de protection professionnel du monde de la santé et du social c o n f é r e n c e d e p r e s s e d u m a r d i 7 j u i l l e t 2015 pershing hall 49 rue pierre

Plus en détail

VOUS ACCOMPAGNER DURABLEMENT. Pour tous vos projets personnels et professionnels

VOUS ACCOMPAGNER DURABLEMENT. Pour tous vos projets personnels et professionnels VOUS ACCOMPAGNER DURABLEMENT Pour tous vos projets personnels et professionnels 2 LA BANQUE PALATINE LES PRINCIPAUX INDICATEURS (données consolidées au 31/12/2013) (1) 307,7 M PRODUIT NET BANCAIRE 124,4

Plus en détail

RÉSULTATS 2013 Excellente année de croissance profitable : chiffre d affaires et EBITDA ajusté historiques

RÉSULTATS 2013 Excellente année de croissance profitable : chiffre d affaires et EBITDA ajusté historiques COMMUNIQUE DE PRESSE RÉSULTATS 2013 Excellente année de croissance profitable : chiffre d affaires et EBITDA ajusté historiques Points clés Paris-Nanterre, le 18 février 2014 Chiffre d affaires net record

Plus en détail

Les grandes réalisations sont la somme de toutes les petites

Les grandes réalisations sont la somme de toutes les petites ÉPARGNE SALARIALE SOLIDAIRE Les grandes réalisations sont la somme de toutes les petites BANQUE DE FINANCEMENT & D INVESTISSEMENT / ÉPARGNE / SERVICES FINANCIERS SPÉCIALISÉS Avec un encours de 3,15 milliards

Plus en détail

Banque Populaire de l Ouest : des résultats 2013 de bonne facture

Banque Populaire de l Ouest : des résultats 2013 de bonne facture Communiqué de presse Rennes, le 18 avril 2014 Banque Populaire de l Ouest : des résultats 2013 de bonne facture En 2013, la Banque Populaire de l Ouest a injecté 1,5 milliard de nouveaux financements dans

Plus en détail

Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics

Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics DOSSIER DE PRESSE PARTENARIAT CCCA-BTP et PRO BTP Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics Bernard Charpenel / CCCA-BTP Signature de la convention et point presse 10 mars 2010 0 SOMMAIRE

Plus en détail

Les ménages et le crédit

Les ménages et le crédit Les ménages et le crédit Marseille 16 novembre 2011 1 Tous droits réservés 2011 Objectif et plan PLAN DE LA PRÉSENTATION Etat des lieux : Endettement et surendettement Bien souscrire son crédit immobilier

Plus en détail

Professionnels Extrait des Conditions Générales de Banque

Professionnels Extrait des Conditions Générales de Banque Professionnels Extrait des Conditions Générales de Banque Tarifs nets en vigueur au 1 er mai 2014 LA BANQUE AU QUOTIDIEN OFFRES GROUPÉES DE SERVICES Offres de services groupés qui peuvent être achetés

Plus en détail

OPéRATIONS ET SERVICES BANCAIREs. CONDITIONs et TARIFS APPLICABLEs

OPéRATIONS ET SERVICES BANCAIREs. CONDITIONs et TARIFS APPLICABLEs OPéRATIONS ET SERVICES BANCAIREs CONDITIONs et TARIFS APPLICABLEs à LA CLIENTèLE DES particuliers AU 1 er JANVIER 2013 2 EXTRAIT STANDARD DES TARIFS Les tarifs indiqués ci-dessous sont hors offre groupée

Plus en détail

Présentation Macro-économique. Mai 2013

Présentation Macro-économique. Mai 2013 Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%

Plus en détail

Principales conditions tarifaires applicables aux particuliers. En vigueur au 01/01/2014 Tarifs TTC. www.ca-valdefrance.fr

Principales conditions tarifaires applicables aux particuliers. En vigueur au 01/01/2014 Tarifs TTC. www.ca-valdefrance.fr Principales conditions tarifaires applicables aux particuliers En vigueur au 01/01/2014 Tarifs TTC www.ca-valdefrance.fr Extrait standard des tarifs * Les tarifs ci-dessous sont hors offres groupées de

Plus en détail

WAFASALAF. L innovation, la clé du leadership

WAFASALAF. L innovation, la clé du leadership WAFASALAF L innovation, la clé du leadership Conférence de presse Mardi 1 er avril 2008 Sommaire L événement Wafasalaf, un leadership confirmé sur tous ses marchés Une croissance pérenne L innovation au

Plus en détail

CONDITIONS & TARIFS DES OPÉRATIONS ET SERVICES BANCAIRES AUX PARTICULIERS

CONDITIONS & TARIFS DES OPÉRATIONS ET SERVICES BANCAIRES AUX PARTICULIERS CONDITIONS & TARIFS DES OPÉRATIONS ET SERVICES BANCAIRES AUX PARTICULIERS AU 1 er JUILLET 2013 Ce document vous indique les conditions et tarifs des opérations et services bancaires appliqués à la clientèle

Plus en détail

Actionnaires. Lettre d information. 32,6 Md. 1 Md 78,90. Rencontre avec Gilles Benoist, Directeur général. Chiffres clés au 31/12/2009

Actionnaires. Lettre d information. 32,6 Md. 1 Md 78,90. Rencontre avec Gilles Benoist, Directeur général. Chiffres clés au 31/12/2009 Numéro 42 Avril 2010 Lettre d information Actionnaires Rencontre avec Gilles Benoist, Directeur général Grâce à l ensemble de nos partenaires, nous avons développé l activité sur toutes les zones où nous

Plus en détail

Engagement 2014 : une ambition forte et sereine, une croissance organique rentable

Engagement 2014 : une ambition forte et sereine, une croissance organique rentable Paris, le 17 mars 2011 Engagement 2014 : une ambition forte et sereine, une croissance organique rentable * Crédit Agricole S.A : premier groupe bancaire français à publier un plan stratégique en environnement

Plus en détail

Cession de la clientèle des cabinets libéraux : les facteurs clés d une transmission réussie

Cession de la clientèle des cabinets libéraux : les facteurs clés d une transmission réussie Cession de la clientèle des cabinets libéraux : les facteurs clés d une transmission réussie Les pouvoirs publics ont attiré notre attention sur les enjeux de la transmission des entreprises, plus de 100

Plus en détail

Fiscalité du Grand Paris

Fiscalité du Grand Paris Fiscalité du Grand Paris Afin de financer le projet du métro automatique du Grand Paris Express et le plan de mobilisation pour les transports d IdF, l Etat a décidé de prélever de nouvelles recettes fiscales

Plus en détail

CIC Activité commerciale toujours en croissance

CIC Activité commerciale toujours en croissance Paris, le 26 juillet 2012 COMMUNIQUE DE PRESSE CIC Activité commerciale toujours en croissance Résultats au 30 juin 2012(1) Résultats financiers - Produit net bancaire 2 228 M - Résultat brut d exploitation

Plus en détail

L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013

L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES 25 ème rapport annuel Tableau de bord Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 La photographie des ménages détenant des crédits que propose la 25 ième

Plus en détail

L instabilité politique en Ukraine et en Grèce sont aussi des éléments qui peuvent continuer à perturber les marchés.

L instabilité politique en Ukraine et en Grèce sont aussi des éléments qui peuvent continuer à perturber les marchés. L année 2014 s achève, pour l indice boursier français, au niveau où elle a commencé, le CAC 40 a perdu - 0,5% sur l année, l indice européen (l Eurostoxx 50) a lui gagné + 2,82%, alors que l indice américain

Plus en détail

Amundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique

Amundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique Trimestriel 27 Janvier 214 nº2 Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 213 Tendances > Progressif redémarrage de l activité attendue au 4 e trimestre 213, mais l évolution du PIB devrait rester

Plus en détail

FAITS MARQUANTS DU 1 er TRIMESTRE 2008

FAITS MARQUANTS DU 1 er TRIMESTRE 2008 SOMMAIRE Faits marquants du 1 er trimestre 2008 2 Analyse de la production Locindus au 31 mars 2008 3 Analyse des activités 4 Analyse des comptes de résultats 5 Finance et trésorerie 7 Comptes consolidés

Plus en détail

LES FICHES ARGU DU GROUPE SOCIALISTE, RÉPUBLICAIN ET CITOYEN LE COLLECTIF BUDGÉTAIRE 12 JUILLET 2012

LES FICHES ARGU DU GROUPE SOCIALISTE, RÉPUBLICAIN ET CITOYEN LE COLLECTIF BUDGÉTAIRE 12 JUILLET 2012 LES FICHES ARGU DU GROUPE SOCIALISTE, RÉPUBLICAIN ET CITOYEN LE COLLECTIF BUDGÉTAIRE 12 JUILLET 2012 FICHE N 1 UN COLLECTIF BUDGÉTAIRE POUR REDRESSER NOS FINANCES PUBLIQUES L e projet de loi de Finances

Plus en détail

Europimmo LFP. SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT

Europimmo LFP. SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT LFP Europimmo SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine.

Plus en détail

Royaume du Maroc. Département de l Economie, des Finances et de la Privatisation. L'épargne intérieure au Maroc

Royaume du Maroc. Département de l Economie, des Finances et de la Privatisation. L'épargne intérieure au Maroc Royaume du Maroc Département de l Economie, des Finances et de la Privatisation L'épargne intérieure au Maroc Décembre 2001 Constituant une sélection mensuelle des travaux menés par les cadres de la Direction

Plus en détail

Les Matinales SILVER ECO La Synthèse. Assurance et Silver économie. 16 juin 2015 Théâtre du rond-point des Champs-Elysées

Les Matinales SILVER ECO La Synthèse. Assurance et Silver économie. 16 juin 2015 Théâtre du rond-point des Champs-Elysées Les Matinales SILVER ECO La Synthèse Assurance et Silver économie 16 juin 2015 Théâtre du rond-point des Champs-Elysées Une matinale animée par Hélène Delmotte (Care Insight) et Benoît Goblot (agence Matinal)

Plus en détail

LA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE. N 3 juillet 2014

LA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE. N 3 juillet 2014 LA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE N 3 juillet 2014 L Edito de Philippe Crevel L épargnant des temps nouveaux frappe à la porte En 2017, les «digital natives» auront pris le

Plus en détail

Décision n 12-DCC-163 du 29 novembre 2012 relative à la prise de contrôle exclusif de la société Natixis Financement par le groupe BPCE

Décision n 12-DCC-163 du 29 novembre 2012 relative à la prise de contrôle exclusif de la société Natixis Financement par le groupe BPCE RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 12-DCC-163 du 29 novembre 2012 relative à la prise de contrôle exclusif de la société Natixis Financement par le groupe BPCE L Autorité de la concurrence, Vu le dossier

Plus en détail

MÉMO. Des solutions en cas de coup dur ou de coup de cœur SOMMAIRE

MÉMO. Des solutions en cas de coup dur ou de coup de cœur SOMMAIRE Édition : décembre 13 MÉMO Des solutions en cas de coup dur ou de coup de cœur 1. Optimiser l utilisation des livrets défiscalisés 2. Épargner sans plafond 3. Placer une somme importante sur quelques mois

Plus en détail

Le spécialiste du crédit à la consommation au service des réseaux bancaires

Le spécialiste du crédit à la consommation au service des réseaux bancaires Le spécialiste du crédit à la consommation au service des réseaux bancaires banque de financement & d investissement / épargne / services financiers spécialisés Le spécialiste du crédit à la consommation

Plus en détail

Monnaie, banques, assurances

Monnaie, banques, assurances Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d

Plus en détail

LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES

LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement

Plus en détail

GROUPAMA Résultats annuels 2012. Présentation presse & analystes 21 février 2013

GROUPAMA Résultats annuels 2012. Présentation presse & analystes 21 février 2013 GROUPAMA Résultats annuels 2012 Présentation presse & analystes 21 février 2013 Introduction 2 «Je serai attentif à faire vivre un mutualisme moderne : qui s appuie sur un modèle d engagement et de responsabilité

Plus en détail

La Région des Pays de la Loire se dote d un fonds souverain régional pour le financement des PME

La Région des Pays de la Loire se dote d un fonds souverain régional pour le financement des PME La Région des Pays de la Loire se dote d un fonds souverain régional pour le financement des PME DOSSIER DE PRESSE Communiqué de presse.................................. p.2 et 3 Bilan des P2RI en Pays

Plus en détail

Un bon début d année. 6 mai 2014. Des succès locatifs grâce à un patrimoine de qualité. Solides performances opérationnelles

Un bon début d année. 6 mai 2014. Des succès locatifs grâce à un patrimoine de qualité. Solides performances opérationnelles Chiffre d affaires 3M 2014 Le Patio, Le Patio, Lyon Lyon - - Villeurbanne CB 21, La Défense Un bon début d année 6 mai 2014 Des succès locatifs grâce à un patrimoine de qualité 7 000 m² loués à La Défense

Plus en détail

L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013

L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013 Paris, le 15 octobre 2013 COMMUNIQUE DE PRESSE L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013 Un marché immobilier résidentiel caractérisé par une baisse

Plus en détail

CONDITIONS & TARIFS DES OPÉRATIONS ET SERVICES BANCAIRES APPLICABLES AUX PARTICULIERS AQUITAINE POITOU-CHARENTES

CONDITIONS & TARIFS DES OPÉRATIONS ET SERVICES BANCAIRES APPLICABLES AUX PARTICULIERS AQUITAINE POITOU-CHARENTES CONDITIONS & TARIFS DES OPÉRATIONS ET SERVICES BANCAIRES APPLICABLES AUX PARTICULIERS AU 1 er JANVIER 2015 AQUITAINE POITOU-CHARENTES Caisse d Épargne et de Prévoyance Aquitaine Poitou-Charentes, Banque

Plus en détail

L activité financière des sociétes d assurances

L activité financière des sociétes d assurances L activité financière des sociétes d assurances Les marchés boursiers ont repris au cours de l année 2003. Par conséquent, les plus-values latentes sur actifs des sociétés d assurances augmentent. Les

Plus en détail

Foncia. Votre référence habitat. Le groupe FONCIA

Foncia. Votre référence habitat. Le groupe FONCIA Foncia. Votre référence habitat Le groupe FONCIA Foncia. Votre référence habitat Le groupe Foncia allie la proximité avec le client et la force d un grand groupe expérimenté et performant. Photo DR Foncia,

Plus en détail

L engagement de la Chambre FNAIM Paris Ile de France dans le Grand Paris

L engagement de la Chambre FNAIM Paris Ile de France dans le Grand Paris L engagement de la Chambre FNAIM Paris Ile de France dans le Grand Paris La loi sur le Grand Paris, ainsi que les décisions récentes prises par les pouvoirs publics (Etat, Région), devraient permettre

Plus en détail